C’est avec une profonde tristesse que l’Association des véhicules électriques du Québec a appris le décès de M. Pierre Langlois, physicien, Ph. D. Scientifique passionné, vulgarisateur hors pair et ardent défenseur de la mobilité durable, Pierre Langlois a marqué notre communauté par son engagement indéfectible envers l’électrification des transports et la transition énergétique. Son savoir, sa rigueur et sa générosité intellectuelle ont inspiré tant de professionnels et de citoyens à s’engager en faveur d’un avenir plus vert. « Sa contribution restera gravée dans l’histoire de la mobilité électrique au Québec et continuera d’inspirer les générations futures », souligne le président de l’AVÉQ M. Sébastien Côté. « Nous perdons un pilier : ce grand Québécois apprécié par tous a su nous partager ses connaissances et ses analyses avec clarté et passion, tout en guidant notre réflexion sur la transition énergétique. Comme Pierre le mentionnait : l’information et la solidarité sont les piliers des véritables changements », conclut M. Simon-Pierre Rioux, qui l’a très bien connu à titre de président fondateur de l’AVÉQ. Au nom de tous nos membres et bénévoles, nous souhaitons offrir nos plus sincères condoléances à sa famille, à ses proches et à ses collègues. Merci, Monsieur Langlois, pour votre vision et votre héritage.
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Detroit, octobre 2025 — General Motors poursuit sa transformation vers un avenir entièrement électrique, et sa division énergétique, GM Energy, en est la pierre angulaire. En seulement 18 mois, l’entreprise a connu une progression fulgurante : une croissance des revenus de 30 % d’un mois à l’autre et une multiplication par cinq des ventes de ses produits de recharge et de gestion d’énergie depuis janvier 2025. Cette montée en puissance, annoncée par Wade Sheffer, vice-président de GM Energy, illustre la volonté du constructeur d’élargir l’accès à des solutions de recharge fiables, pratiques et intelligentes à travers les États-Unis. « GM Energy a été créée pour lever les obstacles à la possession d’un véhicule électrique et permettre aux clients de mieux contrôler leur consommation énergétique », explique Sheffer. « Les résultats démontrent à quel point les consommateurs adoptent rapidement des solutions qui rendent la mobilité électrique plus simple, plus propre et plus efficace. » Aujourd’hui, sept véhicules électriques GM sur dix sont vendus avec un produit GM Energy, dont près de 100 000 adaptateurs de recharge écoulés à ce jour. Un réseau énergétique en pleine expansion Un an après avoir déployé sa gamme de produits dans les 50 États américains, GM Energy propose désormais dix solutions innovantes, dont :
Des partenariats pour soutenir la recharge publique Pour soutenir le développement de l’infrastructure de recharge, GM Energy collabore avec EVgo, Pilot et ChargePoint, et a cofondé la coentreprise IONNA avec d’autres grands constructeurs automobiles. Ensemble, ils visent à élargir l’accès à la recharge rapide sur tout le continent. À ce jour, les conducteurs de véhicules électriques GM ont accès à plus de 250 000 bornes en Amérique du Nord. L’objectif est d’atteindre 35 000 bornes de recharge rapide financées par GM Energy d’ici 2030. Les sites de recharge de GM se distinguent déjà par leur expérience client, figurant régulièrement parmi les trois meilleurs réseaux selon les utilisateurs. Ils offrent des commodités telles que des toilettes, des restaurants et des zones abritées, conçues notamment pour les camionnettes et les longs trajets. Intégrer mobilité et énergie Au-delà de la recharge, GM Energy travaille de près avec les services publics américains pour développer de nouvelles synergies. Parmi les initiatives en cours :
« GM s’est assuré une place à la table des grandes décisions qui façonnent l’industrie des véhicules électriques », souligne Sheffer. « De la résilience du réseau à l’uniformisation des standards, nos initiatives garantissent à nos clients de rester à l’avant-garde de l’innovation. » Un acteur clé d’un avenir zéro émission Avec son approche intégrée combinant mobilité et énergie, GM Energy s’impose comme un pionnier de la convergence entre transport et production énergétique. L’entreprise renforce ainsi la vision de General Motors d’un futur entièrement électrique et sans émissions, où chaque véhicule pourrait devenir un acteur du réseau énergétique. Source : eMobility+ Victoriaville accueille maintenant la toute première borne de recharge V2X municipale au Canada16/10/2025 La Ville de Victoriaville, en collaboration avec l'entreprise Polara, innove en installant la toute première borne de recharge bidirectionnelle V2X (véhicule-à-tout) municipale au Canada. Située à l'hôtel de ville, cette innovation s'inscrit dans la démarche de la Ville pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre et explorer de nouvelles solutions énergétiques durables. Ce projet pilote ouvre la voie au déploiement graduel d'autres pôles de recharge sur son territoire. « Je suis très heureux que notre première borne bidirectionnelle soit officiellement installée! Ce projet innovateur confirme la volonté de Victoriaville de se positionner comme ville pionnière en développement durable », souligne le maire de Victoriaville, Antoine Tardif.
Les bornes V2X permettent non seulement de recharger les véhicules électriques, mais aussi d'utiliser leurs batteries comme source d'énergie pour alimenter des bâtiments lors de pannes de courant ou de périodes de forte demande. Cette technologie permet ainsi une meilleure gestion de l'énergie, ce qui réduit les coûts, optimise la consommation et aide à équilibrer la demande sur le réseau électrique. « Nous sommes heureux d'accompagner ce projet fortement innovant qui démontre une fois de plus que les municipalités osent emprunter des solutions originales pour répondre à leurs enjeux de résilience et d'adaptation aux changements climatiques », ajoute le directeur général d'IVÉO, Benoit Balmana. « Polara est fière de participer à un projet d'électrification novateur marquant une première au Canada : la mise en service d'une borne de recharge bidirectionnelle dans un contexte municipal. Cette avancée ouvre la voie à des infrastructures plus résilientes et à une utilisation plus intelligente des véhicules électriques au service de la collectivité », conclut le président de Polara, Sébastien Fournier. Située à l'hôtel de ville, cette première borne permettra de tester la technologie dans un secteur très fréquenté et d'offrir une solution aux conducteurs qui n'ont pas accès à une borne de recharge à domicile. En misant sur les batteries de véhicules comme source complémentaire d'énergie, Victoriaville pourra éventuellement limiter l'utilisation de ses génératrices au diesel et ainsi réduire son empreinte carbone tout en renforçant sa démarche de durabilité. L'expérience tirée de cette première phase guidera les prochaines étapes du projet pour déployer d'autres bornes bidirectionnelles sur le territoire. Ce projet marquera une véritable transformation de l'écosystème de recharge. Un partenariat innovant Ce projet, d'une valeur de 356 200 $, est soutenu dans le cadre du programme « Défis Innovation / volet villes intelligentes et durables » et subventionné à 50 % par l'organisme IVÉO. Pour cette première phase, Polara met son expertise en électrification et sa plateforme intelligente de gestion de la recharge Cleo au service de Victoriaville. Le projet bénéficie également d'une aide financière du gouvernement du Québec dans le cadre de son programme Accélérer la transition climatique locale, découlant du Plan pour une économie verte 2030. SOURCE Ville de Victoriaville Les ventes mondiales de véhicules électriques atteignent un record de 2,1 millions en septembre15/10/2025 Selon la firme de recherche Rho Motion, les ventes mondiales de véhicules entièrement électriques et hybrides rechargeables ont bondi de 26 % en septembre 2025 par rapport à l’année précédente, atteignant un record de 2,1 millions d’unités. Cette croissance est principalement attribuable à une forte demande en Chine et à une ruée vers les crédits d’impôt aux États-Unis avant leur expiration. La Chine en tête du marché mondial La Chine, premier marché automobile mondial, a représenté environ les deux tiers des ventes mondiales avec quelque 1,3 million de véhicules écoulés. Septembre étant traditionnellement le mois le plus actif pour l’achat de voitures en Chine, les consommateurs ont profité des subventions à la reprise avant que certaines régions ne commencent à les éliminer progressivement. L’Amérique du Nord stimulée par les incitatifs fiscaux En Amérique du Nord, les ventes ont également atteint un sommet, avec environ 215 000 unités vendues, soit une hausse de 66 %. Cette augmentation est largement due à l’intérêt des acheteurs américains pour le crédit d’impôt fédéral de 7 500 $, qui devait expirer. Toutefois, Rho Motion prévoit une baisse marquée de la demande au quatrième trimestre, alors que les incitatifs fédéraux disparaissent pour les consommateurs et les entreprises. L’Europe en croissance grâce aux incitatifs et à Tesla L’Europe a enregistré une hausse de 36 %, avec 427 541 véhicules vendus. L’Allemagne et le Royaume-Uni ont particulièrement contribué à cette croissance, soutenue par des mesures incitatives locales. Par ailleurs, le lancement par Tesla d’une version plus abordable du Model Y sur le marché européen devrait intensifier la concurrence dans les mois à venir. Chiffres clés du mois de septembre
Citation marquante « Avec la fin des incitatifs fédéraux, la demande américaine devrait chuter fortement au dernier trimestre de l’année », a déclaré Charles Lester, gestionnaire de données chez Rho Motion. Certaines entreprises, comme General Motors et Hyundai, tentent d’atténuer l’impact en offrant des rabais ou en misant sur les stocks des concessionnaires. Néanmoins, la production globale est en cours de réduction. Source : Reuters Plus de 30 bénévoles étaient présents au Salon de l'auto de l'Estrie 2025, qui s'est déroulé du 3 au 5 octobre dernier à Sherbrooke. À cette occasion, l'AVÉQ était responsable d'offrir les essais routiers pour tous les concessionnaires présents au Salon, parmi lesquels Acura, BMW, Cadillac, Chevrolet, Ford, GMC, Hyundai, Kia, Mazda, Mitsubishi, Tesla, Toyota et Volvo.
Nos bénévoles ont eu l'occasion de réaliser plus de 400 essais routiers pendant les trois jours du salon, d'offrir des conférences sur les véhicules électriques aux visiteurs, et de donner des conseils et démystifier les véhicules électriques à plusieurs centaines de visiteurs! Merci à tous les bénévoles pour votre implication! Visitez-nous lors d'un prochain événement!
General Motors a levé le voile, mercredi, sur la prochaine génération de sa voiture électrique emblématique : la Chevrolet Bolt 2027. Ce modèle marquera le retour d’un nom bien connu des amateurs de véhicules électriques abordables — mais il faudra agir vite, car cette nouvelle Bolt ne restera pas longtemps sur le marché. Moins de 30 000 $ US pour une voiture électrique complète Lorsqu’elle arrivera chez les concessionnaires en janvier 2026, la Bolt 2027 deviendra le véhicule électrique le plus abordable aux États-Unis, avec un prix de départ de 29 990 $ US, frais inclus. Une version encore plus accessible, baptisée LT, suivra quelques mois plus tard à 28 995 $ US.. Le prix annoncé par GM p our le Canada est de 43 425$ CAN pour le modèle LT Sous sa carrosserie rappelant la défunte Bolt EUV, la nouvelle génération affiche une autonomie estimée par GM à 255 milles (environ 410 km) et une puissance de recharge maximale de 150 kW — une nette amélioration par rapport à la génération précédente, qui plafonnait à 50 kW. Autre nouveauté notable : la Bolt 2027 sera équipée dès l’usine d’un port de recharge de type Tesla (NACS), donnant ainsi accès au vaste réseau de bornes Supercharger. Une édition à production limitée Chevrolet a confirmé que cette nouvelle Bolt sera produite en quantité limitée à l’usine de Fairfax, au Kansas. Le constructeur n’a pas précisé combien d’unités seront assemblées, ni combien de temps le modèle restera en vente. « Nous avons réagi rapidement pour conserver la Bolt un peu plus longtemps dans notre gamme, après avoir entendu les réactions des clients lorsque la production a cessé », a expliqué un porte-parole de Chevrolet. Même si la production sera restreinte, la marque affirme vouloir continuer à faire de l’accessibilité une valeur fondamentale, soulignant que la Bolt et l’Equinox EV devraient continuer à jouer un rôle clé dans sa stratégie électrique. Nouvelle batterie LFP et performances amélioréesPlus de 50 % des composants de la Bolt 2027 sont nouveaux ou modifiés, dont :
GM s’approvisionnera d’abord auprès d’un fournisseur étranger avant de transférer la production de batteries LFP en sol américain. Un modèle crucial pour le marché post-crédit fédéral Le retour de la Bolt arrive à un moment clé. Avec la fin du crédit d’impôt fédéral aux États-Unis de 7 500 $ pour plusieurs modèles électriques, les ventes de VÉ pourraient connaître un ralentissement. En lançant une voiture électrique sous la barre des 30 000 $ US, GM espère stimuler la demande et maintenir l’accessibilité dans un marché de plus en plus concurrentiel. Un symbole de continuité pour GM Pour General Motors, la Bolt 2027 représente bien plus qu’une simple voiture : elle symbolise la transition vers une électrification durable et accessible. Bien qu’elle soit de passage pour une durée limitée, cette nouvelle génération confirme que Chevrolet n’a pas l’intention d’abandonner sa mission de démocratiser la mobilité électrique. Source : InsideEVs Joignez-vous à nous pour protéger le mandat solide de la norme sur la disponibilité des véhicules électriques (NDVÉ) au Canada. Nous soutenons la campagne « Notre avenir électrique ». Il s'agit d'une campagne nationale mise sur pied par Mobilité électrique Canada, visant à protéger la norme sur la disponibilité des véhicules électriques (NDVÉ). Une NDVÉ forte et axée sur les consommateurs protège les emplois, attire les investissements et rend les véhicules électriques plus abordables pour les familles canadiennes.
À présent, les décideurs envisagent des changements qui pourraient affaiblir la norme. Veuillez prendre 30 secondes pour faire entendre votre voix et demander à votre député de maintenir l'ambition et la force exécutoire de la NDVÉ sur NotreAvenirÉlectrique.ca. Téléchargez la brochure suivante pour connaître tous les détails de la campagne. Merci de vous joindre à nous. Toyota Canada a annoncé que son VUS entièrement électrique, désormais appelé Toyota bZ, est disponible dès maintenant dans les concessions canadiennes, avec un prix de départ fixé à 45 990 $. Anciennement connu sous le nom de bZ4X, le modèle 2026 bénéficie d’une refonte majeure qui améliore son autonomie, sa puissance et ses capacités de recharge. Trois versions proposéesLa gamme 2026 comprend trois déclinaisons :
Selon Robert Tsang, vice-président de Toyota Canada Inc., « le nouveau Toyota bZ rend le véhicule électrique plus attrayant pour un plus grand nombre de conducteurs, en offrant le style, la performance, la sécurité, la qualité et les commodités propres à Toyota, soutenus par notre expertise de pointe en électrification et notre expérience client reconnue. » Autonomie et performance accruesLes modèles à traction intégrale sont désormais équipés d’une batterie lithium-ion de 77 kWh, permettant une augmentation de l’autonomie allant jusqu’à 25 % par rapport à la génération précédente. Toyota estime une autonomie maximale de :
Le modèle XLE à traction avant, quant à lui, utilise une batterie de 57,7 kWh, offrant une autonomie allant jusqu’à 380 km. Côté performance, les versions à traction intégrale voient leur puissance grimper à 338 chevaux, soit une hausse de 50 %. Elles peuvent passer de 0 à 100 km/h en environ 5,1 secondes. Recharge plus rapide et nouvelles fonctionnalitésParmi les nouveautés, le bZ 2026 intègre désormais un port NACS (North American Charging System), permettant l’accès au réseau de Superchargeurs Tesla à travers le Canada. En conditions idéales, la recharge rapide en courant continu permet de passer de 10 à 80 % de batterie en environ 30 minutes. De plus, le chargeur embarqué en courant alternatif a été amélioré sur toutes les versions, passant de 7 kW à 11 kW, pour une recharge plus rapide à domicile ou sur les bornes publiques de niveau 2. Design et confort repensésLe design extérieur a été modernisé avec une nouvelle façade avant, des phares à DEL plus fins et des ailes avant et arrière assorties en option. À l’intérieur, Toyota a revu l’habitacle pour offrir plus de confort et de praticité, incluant :
Tsang conclut : « Avec toutes ces améliorations, le bZ 2026 illustre notre volonté constante d’offrir aux Canadiens le pouvoir de choisir – y compris parmi plusieurs options de motorisation, toutes conçues pour exceller dans la réalité du quotidien. » Source : Electric Autonomy Nissan Canada a conclu un partenariat stratégique pluriannuel avec Lithion Technologies Inc., une entreprise montréalaise spécialisée en technologies propres, afin de recycler les batteries de véhicules électriques (VE) en fin de vie. Cette collaboration vise à renforcer la circularité des batteries et à réduire l’impact environnemental de leur production. Grâce au procédé hydrométallurgique développé par Lithion, les deux entreprises pourront extraire et réutiliser des minéraux critiques contenus dans les batteries lithium-ion, tels que le lithium, le nickel, le cobalt, le graphite et le manganèse. Cette approche permet de diminuer la dépendance à l’extraction de ressources vierges et de soutenir la création d’une chaîne d’approvisionnement circulaire pour les batteries au Canada. « Ce partenariat avec Lithion Technologies nous permet de poser un geste concret vers un écosystème de véhicules électriques plus durable », a déclaré Andrew Harkness, directeur du développement du réseau de concessionnaires, de l’électrification et de la stratégie d’entreprise chez Nissan Canada. Une stratégie alignée sur les objectifs mondiaux de Nissan Cette initiative s’inscrit dans la stratégie mondiale d’électrification de Nissan, qui met l’accent sur la réutilisation, le recyclage et la gestion responsable des ressources tout au long du cycle de vie des VE. Elle contribue également aux objectifs de durabilité du constructeur en réduisant les déchets, les émissions et en renforçant la chaîne d’approvisionnement canadienne en batteries. « Ensemble, nous contribuons à localiser le recyclage des batteries, à réduire la dépendance à l’exploitation minière et à soutenir la croissance du secteur des technologies propres au Canada », ajoute Harkness. Un procédé de recyclage en deux étapes Le procédé de Lithion se déroule en deux phases. D’abord, dans son usine commerciale de Saint-Bruno-de-Montarville, ouverte en 2024, Lithion reçoit, démonte et broie les batteries pour produire une « masse noire », concentré de matériaux précieux. Cette installation peut actuellement traiter 10 000 tonnes de batteries par an, avec une capacité projetée de 20 000 tonnes, soit environ 45 000 batteries de VE. Ensuite, cette masse noire est raffinée dans une usine hydrométallurgique pour produire du carbonate de lithium de qualité batterie, du sulfate de nickel et du sulfate de cobalt. Ces matériaux récupérés sont ensuite réintégrés dans la chaîne de production, bouclant ainsi le cycle de vie des batteries. Lithion prévoit de commencer la construction de son usine commerciale de raffinage en 2026. Selon l’entreprise, son procédé permet de récupérer jusqu’à 95 % des matériaux critiques des batteries et 98 % des minéraux critiques, réduisant considérablement les déchets et le besoin d’extraction de nouvelles ressources. Un réseau de partenariats en expansion L’accord avec Nissan s’ajoute à la liste croissante de partenariats de Lithion avec des constructeurs automobiles, incluant General Motors et Hyundai. « Nous sommes ravis de collaborer avec Nissan et de soutenir sa vision de circularité des minéraux stratégiques et critiques issus des VE », a affirmé Yves Noël, vice-président et chef du développement des affaires chez Lithion Technologies. « Ce partenariat avec Nissan Canada et son réseau de concessionnaires illustre bien les collaborations nécessaires pour atteindre une circularité propre, sécuritaire et efficace des batteries de véhicules électriques. » Source : Electric Autonomy En améliorant l'accès aux infrastructures de recharge de véhicules électriques (VE) dans la région de l'Atlantique, le Canada aide les familles et les entreprises à faire la transition vers l'électromobilité. Aujourd'hui, le secrétaire parlementaire du premier ministre, Kody Blois, au nom du ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles, l'honorable Tim Hodgson, a annoncé un financement fédéral de plus de 5 millions de dollars pour cinq projets, dans le cadre du Programme d'infrastructure pour les véhicules à émission zéro (PIVEZ) de Ressources naturelles Canada. Les nouvelles bornes de recharge seront installées près de lieux de travail, d'espaces de stationnements publics dans la rue et d'immeubles résidentiels à logements multiples, en Nouvelle-Écosse, au Nouveau-Brunswick, à Terre-Neuve-et-Labrador et à l'Île-du-Prince-Édouard. Les projets prévoient aussi des fonds pour deux organisations autochtones qui installeront des bornes de VE dans une aire de service d'autoroute et à l'aéroport international d'Halifax. Ces investissements ne font pas qu'améliorer nos infrastructures - ils facilitent la vie des gens et font du Canada un chef de file de l'édification de l'économie propre de demain. Citations « Le gouvernement du Canada aide les Canadiens à choisir l'électromobilité en aménageant des infrastructures de recharge fiables là où les gens en ont besoin. Chaque nouvelle borne que nous aidons à installer nous rapproche d'un Canada Atlantique plus propre et plus électrifié. En facilitant le choix de l'électromobilité par les ménages et les entreprises, nous ne faisons pas qu'investir dans les infrastructures, nous outillons les conducteurs pour aider à faire fonctionner un monde plus propre et plus durable. » L'honorable Tim Hodgson Ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles « Les gens de l'Atlantique sont prêts à ouvrir la voie dans la transition vers l'énergie propre, et les investissements annoncés aujourd'hui nous donnent les moyens d'y arriver. En développant les infrastructures de recharge d'un océan à l'autre, nous aidons les familles, les travailleurs et nos partenaires autochtones à passer à l'électrique tout en créant de bons emplois et en soutenant les économies locales. » Kody Blois Secrétaire parlementaire du premier ministre Quelques faits
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Le 3 octobre 2025, le secrétaire parlementaire du premier ministre, Kody Blois, a annoncé au nom du ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles, l'honorable Tim Hodgson, un financement fédéral de plus de 5 millions de dollars pour cinq projets, dans le cadre du Programme d'infrastructure pour les véhicules à émission zéro (PIVEZ) de Ressources naturelles Canada. En soutenant l'installation de bornes de recharge près des habitations, des lieux de travail et des routes, ces investissements faciliteront le choix de l'électromobilité par les familles et les entreprises du Canada atlantique. Programme d'infrastructure pour les véhicules à émission zéro (PIVEZ) Le PIVEZ finance le déploiement de bornes de recharge pour VE et de stations de ravitaillement en hydrogène. Bénéficiaire : Nova Scotia Power Lieu : Nouvelle-Écosse Montant du financement : 3 000 000 $ Description : Le promoteur installera 60 bornes de recharge de VE de niveau 3 dans des endroits publics. Bénéficiaire : Steele Auto Group Limited Lieu : Nouveau-Brunswick, Terre-Neuve-et-Labrador, Nouvelle-Écosse et Île-du-Prince-Édouard Montant du financement : 1 300 000 $ Description : Le promoteur installera 37 bornes de recharge de VE de niveau 2 et 28 bornes de niveau 3 chez des concessionnaires. Bénéficiaire : Nikmaq Trading Inc. Lieu : Goffs (Nouvelle-Écosse) Montant du financement : 742 500 $ Description : Le promoteur installera dix bornes de recharge de VE de niveau 3 près de l'aéroport international d'Halifax. Bénéficiaire : Première Nation de Glooscap Lieu : Hantsport (Nouvelle-Écosse) Montant du financement : 225 000 $ Description : Le promoteur installera deux bornes de recharge de VE de niveau 3 à Glooscap Landing, une aire de service d'autoroute appartenant à la Première Nation de Glooscap. Ces bornes seront alimentées par un microréseau solaire, qui a été aménagé grâce à un investissement de 200 000 $ de Services aux Autochtones Canada dans le cadre de l'Atlantic Indigenous Clean Energy Initiative de l'Initiative sur les partenariats stratégiques. Bénéficiaire : Southwest Properties Lieu : Halifax (Nouvelle-Écosse) Montant du financement : 100 000 $ Description : Le promoteur installera 20 bornes de recharge de niveau 2 dans des immeubles résidentiels à logements multiples. Liens pertinents
Suivez Ressources naturelles Canada sur LinkedIn. SOURCE Ressources naturelles Canada Personnes-ressources: Ressources naturelles Canada, Relations avec les médias, 343-292-6096, [email protected]; Greg Frame, Cabinet du ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles, [email protected] Source : Cision Dans un contexte de tensions géopolitiques mondiales, d'incertitude commerciale et de recul par rapport aux objectifs climatiques, le dernier rapport d'Exportation et développement Canada (EDC) sur le secteur des technologies propres souligne le leadership du Canada dans trois secteurs à forte croissance : les énergies renouvelables, les véhicules électriques et les technologies d'électrification. Le rapport, intitulé L'avenir des technologies propres au Canada : croissance, rentabilité et nécessité, souligne la résilience et le potentiel économique de ces technologies propres parvenues à maturité, positionnant le Canada comme un acteur essentiel de la transition énergétique mondiale. « Le paysage des technologies propres est actuellement façonné par deux réalités concurrentes », déclare Prerna Sharma, auteure du rapport et économiste principale à EDC. « Les tensions géopolitiques et l'urgence des mesures de lutte contre les changements climatiques tirent la transition énergétique dans des directions différentes. Pourtant, la transition demeure économiquement viable. Les technologies propres continuent de présenter un fort potentiel de croissance au niveau mondial, car elles sont de plus en plus rentables, demandent de moins en moins d'entretien et leur adoption est intéressante pour le grand public. Les pays qui investissent dans les technologies propres évolutives seront mieux placés pour assurer leur sécurité énergétique, bâtir des chaînes d'approvisionnement prévisibles et garantir une croissance économique à long terme. » Le secteur canadien des technologies propres présente un potentiel d'exportation important et un intérêt stratégique dans un marché mondial en rapide mutation. Le pays est un chef de file dans la production d'énergie renouvelable, dispose de minéraux critiques nécessaires à la fabrication de batteries pour véhicules électriques et stimule l'innovation dans le domaine de l'électrification. Ces sous-secteurs sont matures, évolutifs et rentables, représentant 90 % des investissements mondiaux dans la transition énergétique en 2024 et continuent de susciter l'intérêt de la communauté internationale. « La demande croissante de sécurité énergétique, en particulier dans des régions comme l'Europe et l'Indo-Pacifique, permet au Canada d'y répondre grâce à ses solides capacités, à sa réputation mondiale et à son expertise dans le secteur des technologies propres », explique Guillermo Freire, premier vice-président du Groupe du marché intermédiaire d'EDC. « Depuis 2012, EDC a fait des technologies propres l'une de ses priorités stratégiques, reconnaissant leur potentiel d'expansion de l'innovation canadienne à l'échelle mondiale. Nous soutenons activement l'expansion des entreprises canadiennes de technologies propres, stimulant leur innovation et les aidant à relever des défis majeurs. » À ce jour, EDC a soutenu des exportations de technologies propres d'une valeur de près de 50 milliards de dollars, aidant ainsi des entreprises de toutes tailles et de tous les sous-secteurs à réussir leur expansion au-delà de nos frontières. Rien qu'en 2024, nous avons facilité des activités commerciales d'une valeur de 9,7 milliards de dollars pour 500 entreprises canadiennes de technologies propres. Points saillants du rapport d'EDC sur les technologies propres :
Pour en savoir plus, visitez EDC.ca. Source : Cision La Polestar 3, le VUS compact de luxe 100 % électrique, reçoit une importante mise à jour pour l’année-modèle 2026, malgré son arrivée récente en 2025. La principale évolution réside dans l’adoption d’une architecture électrique de 800 volts, en remplacement du système 400 V, permettant des recharges nettement plus rapides et une meilleure efficacité énergétique. Grâce à cette nouvelle plateforme, la Polestar 3 peut désormais accepter une puissance de recharge allant jusqu’à 350 kW. Résultat : le passage de 10 % à 80 % de la batterie s’effectue en seulement 22 minutes, soit un gain de 25 % par rapport au modèle précédent. Si le chargeur embarqué de 11 kW demeure inchangé, les batteries passent désormais à une chimie lithium-ion, offrant une autonomie estimée jusqu’à 315 miles (environ 507 km), en attendant l’homologation officielle de l’EPA.
Plus de puissance sous le capot Polestar introduit également un nouveau moteur arrière conçu en interne, qui rehausse la puissance de toute la gamme. La nomenclature évolue et se décline désormais en Rear Motor, Dual Motor et Performance.
Améliorations techniques et de conduite Outre la motorisation, la Polestar 3 2026 bénéficie d’améliorations dynamiques avec de nouvelles barres antiroulis, une direction recalibrée et une électronique embarquée considérablement optimisée. L’ordinateur de bord est désormais huit fois plus puissant, et bonne nouvelle : Polestar prévoit de proposer cette mise à jour matérielle en rétrofit pour les modèles 2025. Disponibilité et prix Pour l’instant, ces nouveautés concernent principalement les marchés internationaux. La division nord-américaine de Polestar précisera bientôt les détails propres à notre marché, notamment en ce qui concerne les prix. À titre indicatif, la gamme 2025 s’établissait entre 68 900 $ et 86 300 $ US, hors options. Avec ces améliorations, la Polestar 3 2026 s’annonce non seulement plus performante, mais aussi plus compétitive face à ses rivales dans le segment des VUS électriques haut de gamme. Source : Car and Driver L’AVÉQ prend acte du réajustement des cibles de ventes de véhicules zéro émission pour 2035.
Montréal, le 29 septembre 2025 -- Tous les acteurs du milieu de l’électromobilité sont conscients que l’inflation et les mesures économiques causées par le contexte géopolitique actuel plombent les ventes de véhicules électriques. L’abandon de l’interdiction de vendre des véhicules neufs à essence en 2035 peut être vu comme une bonne nouvelle pour le libre choix des consommateurs. L'incertitude, toujours un frein majeur à l'électrification Le changement au règlement annoncé par le Gouvernement du Québec doit cependant s’accompagner d’un plan prévisible et de mesures concrètes et précises pour atteindre son objectif de réduction de GES et l’atteinte du 90 % des ventes de véhicules électriques d’ici 2035. « Cette nouvelle annonce, jumelée à celle de la reconduction de la subvention fédérale annoncée il y a quelques mois et qui se fait toujours attendre, viennent ralentir les ventes de véhicules électriques », affirme Sébastien Côté, président de l’AVÉQ. « Comme toujours, le manque de prévisibilité des différents paliers de gouvernement, dans un dossier où les objectifs ultimes à long terme sont pourtant clairs, connus et admis, crée le doute dans l’esprit des consommateurs intéressés par l’achat à court ou moyen terme d’un véhicule électrique. » La disponibilité des bons modèles : la clé de voûte du succès L’AVÉQ est d’avis qu’une plus grande disponibilité de véhicules électriques abordables faciliterait l’atteinte de toute cible de vente future. Nous souhaitons également rappeler au gouvernement que la stratégie de recharge des véhicules électriques publiée en 2023 n’est toujours pas mise en œuvre. Cette stratégie doit s’appuyer sur une politique claire, ambitieuse et prévisible en adéquation avec un plan défini pour l’atteinte de ses objectifs de réduction des GES. Les véhicules hybrides conventionnels ne doivent pas être permis De plus, nous déplorons que les véhicules hybrides non branchables permettent aux constructeurs d’obtenir des crédits. Bien que nous soyons d’accord avec un certain niveau d’assouplissement, le gouvernement doit garder en tête la résultante de ce manque de rigueur : un retard important par rapport aux pays européens et asiatiques, une attaque directe à un secteur économique en plein essor et un risque grandissant pour la santé de la population. En effet, comme l’affirme Mobilité électrique Canada, les véhicules hybrides conventionnels émettent entre 365 et 1 400 fois plus de GES par kilomètre parcouru que les véhicules électriques à batterie après 40 000 km ou 15 % de la durée de vie utile des véhicules hybrides au Québec. Communiqué officiel Le Canada célèbre une avancée majeure dans son virage vers l’électrification des transports. NextStar Energy, une coentreprise entre LG Energy Solution et Stellantis, vient d’obtenir son permis d’occupation pour sa toute première usine de fabrication de batteries pour véhicules électriques à grande échelle, située à Windsor. Estimée à 5 milliards de dollars, cette installation marque la fin officielle des travaux de construction. Bien que quelques activités mineures se poursuivent dans les zones non opérationnelles, le site est désormais entièrement approuvé pour une occupation sécuritaire, rapprochant l’entreprise de son objectif de lancer la production de cellules dès la fin de l’année. « C’est un peu comme recevoir les clés de sa nouvelle voiture », confie Brett Hillock, chef des opérations chez NextStar Energy. « L’équipe est très enthousiaste à l’idée de mettre la main à la pâte, de tester nos procédures et de commencer à travailler sur le produit réel. » Située près de l’autoroute E.C. Row et de la route Banwell, l’usine comprend deux installations principales — Cell et Module — ainsi que neuf bâtiments de soutien, dont un centre de recyclage et un laboratoire d’essais de sécurité. Hillock précise que l’entreprise est maintenant en mesure d’affiner ses procédés à l’aide de matériaux de test. Une fois les processus validés et certifiés, la production de masse pourra débuter. L’usine vise une capacité annuelle de production pouvant atteindre 49,5 gigawattheures, avec des opérations clés telles que la production d’électrodes, la formation et l’assemblage des cellules, ainsi que l’assemblage des modules. À ce jour, plus de 950 employés à temps plein ont été embauchés, et NextStar Energy s’engage à créer 2 500 emplois locaux. Lancée en 2022, la construction de cette installation de 4,23 millions de pieds carrés représente un jalon stratégique pour le Canada dans le développement de sa chaîne d’approvisionnement en véhicules électriques. Source : CTV News Le gouvernement fédéral envisage de faciliter l’entrée des véhicules électriques (VÉ) européens au pays, une demande réitérée par plusieurs acteurs de l’industrie qui souhaitent élargir l’offre et accélérer l’adoption de cette technologie au Canada. Daniel Breton, ancien ministre de l’Environnement du Québec et figure influente du secteur, estime que les règles actuelles freinent inutilement la diversité. « Plusieurs modèles européens ne franchissent pas la barrière des normes de sécurité canadiennes, qui sont plus strictes que celles en vigueur ailleurs. Cela prive les consommateurs d’un choix plus vaste et ralentit l’électrification du parc automobile », souligne-t-il. Ottawa évalue ses options La ministre de l’Industrie, Mélanie Joly, a confirmé ce matin que le gouvernement étudie différents scénarios afin de faciliter l’importation de véhicules électriques provenant d’Europe, mais aussi de Corée du Sud et du Japon. Elle n’a toutefois pas voulu se prononcer sur le tarif de 100 % actuellement imposé aux VÉ chinois, un dossier toujours en révision et qui doit être tranché d’ici la fin du mois. Prudence face à la Chine Du côté des constructeurs automobiles nord-américains, la vigilance reste de mise. Ils craignent qu’un assouplissement trop large, notamment envers les fabricants chinois, ne bouleverse le marché. Les modèles chinois, offerts à des prix nettement inférieurs, pourraient selon eux déstabiliser l’industrie et mettre en péril des milliers d’emplois au Canada. Les tensions commerciales demeurent vives : Pékin a récemment répliqué aux mesures canadiennes contre ses VÉ en imposant de lourds tarifs sur le canola canadien. Un geste qui illustre la fragilité des équilibres économiques dans ce secteur hautement stratégique. Source : L'hebdo du St-Maurice
Le gouvernement fédéral affirme qu’il a entamé l’examen de sa décision d’imposer des droits de douane de 100 % sur les véhicules électriques chinois, en vigueur depuis le 1er octobre 2024. Mais Ottawa demeure incapable – ou peu disposé – à préciser quand ce processus a réellement débuté, ni quand il prendra fin. Le décret initial prévoyait qu’un tel examen devait se tenir dans l’année suivant l’entrée en vigueur des mesures. Or, le ministère des Finances parle désormais d’un processus « informel », sans échéancier ni consultation publique officielle. Une confusion politique La question a refait surface le 11 septembre dernier, lorsqu’un journaliste a interrogé le premier ministre Mark Carney sur l’avenir de ces tarifs. Le chef du gouvernement a semblé confondre l’examen des droits de douane avec une autre révision, lancée quelques jours plus tôt, concernant les cibles canadiennes de vente de véhicules électriques. Après plusieurs demandes de clarification, le cabinet du ministre des Finances, François-Philippe Champagne, a d’abord soutenu que l’examen n’avait pas encore commencé. Puis, plus récemment, il a confirmé qu’il était bel et bien en cours, de façon officieuse, depuis le début du mois de septembre. « L’examen a été lancé dans le délai prescrit d’un an et se poursuit », a déclaré l’attaché de presse du ministre, John Fragos, tout en insistant sur le caractère informel du processus. Pressions divergentes Le dossier est sensible, à la fois sur le plan économique et diplomatique.
Le premier ministre ontarien Doug Ford a d’ailleurs pressé Ottawa de maintenir sa ligne dure, estimant qu’un recul mettrait en péril les discussions avec Washington sur la protection des chaînes d’approvisionnement nord-américaines. Relations tendues avec Pékin Cette révision intervient alors que les relations commerciales entre le Canada et la Chine demeurent délicates. Pékin a récemment imposé de lourds droits de douane sur le canola canadien, une mesure perçue comme une riposte aux surtaxes canadiennes sur les véhicules électriques. Dans ce contexte, le gouvernement Carney semble vouloir ménager les deux fronts. Plusieurs ministres fédéraux préparent des visites en Chine, et le premier ministre a rencontré son homologue Li Qiang en marge des Nations unies pour discuter, entre autres, de canola et de véhicules électriques. Pour Chris Davison, président du Conseil canadien du canola, ces signaux d’ouverture sont prometteurs : « Nous avons récemment constaté des signes encourageants de rapprochement entre le Canada et la Chine. Nous reconnaissons qu’il s’agit d’une condition préalable à la résolution des questions tarifaires. » Une équation politique Alors que l’examen des droits de douane demeure flou dans sa forme et son calendrier, une certitude s’impose : le gouvernement fédéral marche sur une corde raide entre la protection de son industrie automobile, les pressions de ses partenaires américains, et la nécessité de calmer les tensions commerciales avec Pékin. Source : Presse Canadienne IKEA Canada est fière d'avoir franchi une étape importante dans son parcours vers l'objectif zéro émission. En août 2025, 72 % de ses livraisons à domicile par camions volumineux ont été effectuées à l'aide de véhicules électriques, surpassant pour la première fois le nombre de livraisons effectuées par véhicules à moteur à combustion interne. Cette réussite est un pas colossal pour soutenir l'ambition du Groupe Ingka à l'échelle mondiale, visant à réaliser plus de 90 % des livraisons à domicile avec des véhicules à émission zéro d'ici 2028. Les progrès de IKEA Canada vers les livraisons à domicile à émission zéro sont possibles grâce à une collaboration fructueuse avec des services de livraison partenaires qui partagent la vision de l'entreprise, qui emploie des solutions novatrices pour soutenir la santé des villes et du climat. Des investissements envers le développement d'infrastructures de recharge pour les véhicules électriques ont également joué un rôle crucial dans le bon déroulement de cette transition et le maintien de cette lancée. « Grâce à nos investissements dans le développement d'infrastructures de recharge, nos services de livraison partenaires ont chaque jour accès à une source d'énergie fiable et sécurisée, de sorte qu'ils peuvent commencer chaque journée pleinement rechargés et prêts à effectuer leurs livraisons », dit Liz Wilson, directrice Traitement des commandes clients. « En août 2025, nous avons effectué plus de livraisons à domicile au moyen de véhicules électriques que par camions à essence : cela constitue une étape marquante sur le parcours de IKEA en matière de durabilité. Ce progrès ne serait pas possible sans une collaboration fructifiante avec nos services de livraison partenaires, qui partagent notre engagement envers l'innovation et la responsabilité écologique. Plus important encore : IKEA est fière de ne pas avoir à demander de frais supplémentaires à sa clientèle pour effectuer ces livraisons à émission zéro, ce qui reflète notre dévouement de rendre les options durables accessibles et abordables pour le plus grand nombre ». IKEA Canada a investi 3,75 M$, auxquels s'ajoute un financement de 1,175 M$ provenant du programme d'infrastructure pour les véhicules à émission zéro (PIVEZ) de Ressources naturelles Canada (RNCan) et d'entreprises partenaires, afin d'installer des bornes de recharge destinées aux flottes des 17 établissements de traitement des commandes à travers le Canada. Ce déploiement à l'échelle nationale garantit que chaque établissement offrant un service de livraison à domicile, dont les magasins IKEA et les centres de distribution client (CDC), possède une infrastructure de recharge pour véhicules électriques mise à la disposition de ses partenaires de livraison. La clientèle de IKEA n'a pas à payer de frais supplémentaires pour la livraison à domicile à émission zéro. Cela fait partie de l'engagement de l'entreprise visant à rendre la durabilité accessible et abordable au plus grand nombre, tout en continuant à offrir le service de haute qualité recherché par ses clients. S'alignant avec l'ambition du Groupe Ingka à l'échelle mondiale, visant à ce que 90 % des livraisons à domicile soient effectuées avec des véhicules à émission zéro d'ici 2028, IKEA Canada encourage le progrès à travers des solutions novatrices et des efforts collaboratifs stratégiques qui favorisent la durabilité et répondent aux attentes de la clientèle. Source : Cision Les automobilistes électriques de la région du Bas-Saint-Laurent disposent de nouvelles options pratiques pour recharger leurs véhicules. Quatre bornes de recharge rapide ont récemment été installées dans le stationnement du IGA Extra de Rivière-du-Loup. Ces équipements, intégrés au réseau RechargÉco, font partie d’un vaste déploiement qui comptera plus de 70 sites IGA au Québec et au Nouveau-Brunswick. Ces bornes, qui se partagent une puissance totale de 200 kW, permettent à quatre véhicules de se brancher simultanément. En moyenne, une recharge complète nécessite de 20 à 30 minutes — le temps idéal pour faire son épicerie. Le projet est soutenu par le Fonds ÉcoIGA, administré par Jour de la Terre Canada, et développé en collaboration avec Papillons Infrastructure Nature.
Un impact local et communautaire Au-delà de l’électrification des transports, l’initiative contribue aussi à la vie communautaire. Chaque mois, lors des Dons du 22, les revenus générés par les bornes sont remis à un organisme choisi par le marchand local. À Rivière-du-Loup, les fonds iront à la Maison de la famille du Grand-Portage. « Il y a tellement de monde qui ont besoin et je pense que c’est important qu’on puisse redonner aux familles, aux enfants et aux jeunes. Ça a toujours été la base depuis que je suis directrice au magasin », a déclaré Lucie Dumont, directrice du IGA Extra de Rivière-du-Loup. Du côté de Trois-Pistoles, la Coop IGA a également inauguré ses nouvelles bornes de recharge le 17 septembre dernier. Les revenus des Dons du 22 seront remis à Croc-Ensemble des Basques, un organisme communautaire bien ancré dans le milieu. Des tarifs adaptés à la demande énergétique Afin de limiter la pression sur le réseau électrique, le service propose une modulation de tarifs entre le jour et la nuit. Les utilisateurs peuvent ainsi optimiser leurs coûts de recharge tout en contribuant à une meilleure gestion de l’énergie. Pour consulter la carte des bornes disponibles et suivre le développement du réseau RechargÉco, il est possible de visiter le site papillons.io/rechargeco. Source : Info Dimanche |
