«On va corriger la situation. À partir du 1er janvier, l’aide financière ira directement à la compagnie qui veut avoir Branché au travail », précise Pierre Arcand. Les fournisseurs comme Réseau Azra n’auront plus accès à cette aide financière. Plus de vigilance L’opposition péquiste s’attend à plus de vigilance de la part du gouvernement dans la gestion de l’aide financière versée par le Fonds Vert. « Il doit être plus vigilant. Très clairement, le programme n’est pas prévu pour aider une entreprise à mettre un réseau de bornes privées sur pied », soutient Martine Ouellet, porte-parole du parti Québécois en matière d’électrification des transports. Des compagnies en difficulté ? Le resserrement des critères pourrait faire mal aux entreprises qui prévoyaient exploiter la faille. Selon un ancien employé de Réseau Azra, qui a requis l’anonymat, la compagnie a déjà cessé de payer plusieurs de ses sous-traitants. « Je ne crois pas que les sous-traitants et les employés vont être payés pour les services rendus. On n’y croit plus», a-t-il confié à TVA Nouvelles. Pour sa part, Réseau Azra soutient qu’il a toujours agi selon les règles dans le cadre d’un programme gouvernemental. L’entreprise nie s’être constitué un réseau privé de bornes électriques aux frais des contribuables. [MÀJ]: L'équipe de direction du Réseau AZRA a réagit à ce reportage de TVA en publiant ce post sur leur page Facebook: Bonjour chers membres du Réseau AZRA, La semaine dernière, le réseau TVA publiait un reportage sur le programme « Branché au travail », qui facilite l’installation de bornes de recharge en milieu de travail. Malheureusement, ce reportage comportait un très grand nombre d’erreurs sur le programme ainsi que sur les activités du Réseau AZRA. Le programme « Branché au travail » est dirigé par le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles, qui fait beaucoup d’efforts pour faciliter l’aménagement de bornes électriques et contribue à l’augmentation du nombre de véhicules électriques au Québec. Le Réseau AZRA est fier d’avoir participé à l’installation de 236 stations de recharge privées dans le cadre du programme « Branché au travail », contribuant ainsi à la réussite de ce programme et facilitant la vie des 7 300 électromobilistes et des futurs électromobilistes québécois. Des études démontrent que chaque véhicule électrique permet une diminution de 2,2 tonnes de CO2 chaque année. Parce que l’avenir de notre planète passe par l’électrification des transports, nous sommes aussi très heureux d’annoncer que, dès le printemps 2016, nous déploierons 2 000 nouvelles bornes de recharge publiques dans des espaces commerciaux à travers le Canada. Encore une fois, le Réseau AZRA démontre qu’il est pleinement engagé dans sa mission de diminuer les émissions de gaz à effet de serre en facilitant l’accès à une énergie plus propre et en accélérant la transition des véhicules à énergie fossile vers des véhicules électriques. L'équipe de direction Réseau AZRA Article de Pierre-Olivier Zappa | TVA Nouvelles Québec promet de faire le ménage dans l’aide financière versée par le Fonds Vert. Dans une entrevue exclusive accordée à TVA Nouvelles, le ministre de l’Énergie Pierre Arcand reconnaît qu’une brèche a pu profiter à certains fournisseurs de bornes électriques. Source: TVA Nouvelles Contribution: François Viau Quelle sont vos réactions et vos commentaires en lien avec cet article? Avis à nos lecteurs: par la publication de cet article, notez que l'AVÉQ n'endosse en rien le ton ou les suppositions du journaliste concernant la méthode qui aurait pu être utilisée par le Réseau Azra pour l'installation de certaines bornes. Notre rôle étant de vous informer sur l'actualité dans le monde de l'électromobilité, nous avons jugé important de vous le partager. «Chaque programme a parfois des effets qu’on ne calcule pas toujours. On a corrigé immédiatement la situation, dès que c’est devenu clair », a-t-il insisté.
Le ministre réagissait à un reportage de TVA Nouvelles, diffusé mardi, révélant que des fournisseurs profitent de la subvention « Branché au travail » pour ajouter des bornes électriques à leur réseau privé. L’entreprise Réseau Azra, par exemple, a payé 25% des coûts d’installation de plusieurs bornes, et touchera la majeure partie des revenus générés.
Commentaires
La Corée du Sud a présenté mardi un ambitieux plan pour promouvoir les véhicules "verts", en se fixant pour objectif qu'ils représentent en 2020 20% du total des voitures vendues sur son marché intérieur. Ce programme prévoit que la production de voitures hybrides ou électriques passe en cinq ans de 80 000 à 920 000 par an, et ce afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de participer ainsi au combat contre le changement climatique, a annoncé le ministère sud-coréen de l'Energie. Les voitures dites "vertes" ne représentent actuellement que 2% des voitures qui se vendent en Corée du Sud. La question des émissions de gaz à effet de serre est devenue plus sensible encore en Corée du Sud après les révélations sur les fraudes mondiales commises par Volkswagen. Le constructeur allemand a équipé 11 millions de véhicules diesel dans le monde de logiciels visant à tromper les contrôles antipollution pour les faire apparaître comme moins polluants qu'ils ne le sont. Volkswagen a également reconnu récemment avoir falsifié les niveaux d'émission de dioxyde de carbone (CO2) de 800 000 autres voitures. Le gouvernement sud-coréen lui a ordonné de rappeler 125 000 véhicules diesel. Le ministère de l'Energie a indiqué que le plan concernant les véhicules électriques et hybrides devait permettre à la Corée du Sud de réduire ses émissions de CO2 de 3,8 millions de tonnes en cinq ans. Séoul s'est engagé à investir 150 milliards de wons (117 millions d'euros) pour aider ses constructeurs automobiles, comme Hyundai, à améliorer leurs voitures électriques et baisser leur coût. Des centaines de bornes de recharge pour véhicules électriques vont graduellement être implantées dans le pays, avec un objectif de 1 400 en 2020, contre 400 actuellement. "Les voitures respectueuses de l'environnement représenteront 50% du marché global en 2030", a espéré le ministère. Les Sud-Coréens ont tardé à se mettre aux véhicules verts en raison de leur prix prohibitif et du manque de stations de recharge. Mais Hyundai, premier constructeur sud-coréen, tente désormais de rattraper son retard, notamment sur le Japonais Toyota. Il vise à multiplier par trois sur cinq ans le nombre de ses modèles plus économes en carburant pour les porter à 22. En cette semaine de l'efficacité énergétique, le site WEB du Ministère de l'Énergie et des Ressources Naturelles vous propose de l'information pertinente en lien avec les véhicules électriques. L’automobile est au cœur de nos vies. Chaque année au Québec, nous parcourons l’équivalent de 75 milliards de kilomètres. Cela représente une consommation de 7,6 milliards de litres de carburant. Que faire pour consommer moins? - Évaluez vos besoins avant de choisir un nouveau véhicule Procurez-vous un véhicule électrique Plus de 7000 véhicules électriques sont actuellement immatriculés du Québec, ce qui représente près de 50 % des véhicules électriques en circulation sur les routes au Canada. Et 90 % des propriétaires de véhicules électriques se disent très satisfaits de leur véhicule. L’autonomie de la batterie vous inquiète? D’abord, si la distance que vous parcourez quotidiennement est de moins de 40 km par jour, elle est largement inférieure à l’autonomie moyenne d’un véhicule entièrement électrique qui est supérieure à 100 kilomètres. La plupart du temps, le propriétaire d’un véhicule électrique effectue la recharge de son véhicule à son domicile. Il est également possible de le recharger sur son lieu de travail si l’employeur offre ce service ou dans des lieux publics. Sachez que le Québec compte environ 800 bornes de recharge publiques dont plus de 25 bornes de recharge rapide à 400 volts. Ces bornes sont réparties le long des axes routiers ou sont accessibles dans des commerces, restaurants, hôtels ou stationnements publics. Huit bornes de recharge rapide Tesla sont également disponibles à Drummondville. Au Québec, nous disposons d’une électricité propre et renouvelable. Si 1 000 000 de véhicules électriques se branchaient tous les soirs, cela représenterait seulement 2 % des ventes d’électricité et on éliminerait 3,4 millions de tonnes de CO2 par année. Le Québec est donc en mesure de répondre aux ambitions de son nouveau Plan d’électrification des transports. Vous désirez en savoir plus? Informez-vous sur :
Le site propose même un petit quiz sur les VÉ ! Le ministre Poëti aimerait offrir le stationnement gratuit pour les véhicules électriques !20/11/2015
« Plus on va avancer, plus on aura des privilèges pour les gens qui ont des voitures électriques, qui sont déjà identifiées par une plaque d’immatriculation verte», a expliqué M. Poëti en marge d’un point de presse au sujet de l’expédition aux conducteurs des premiers avis de paiements réduits de la Société de l’assurance automobile du Québec. Le ministre a d’abord mentionné les mesures déjà implantées comme la gratuité sur les traversiers et aux postes de péage de même que sur le pont Olivier-Charbonneau, sur l’autoroute 25 entre Laval et Rivière-des-Prairies. « Et on discute avec certaines villes présentement afin de voir s’il ne serait pas possible d’offrir aussi le stationnement gratuit aux voitures électriques. On est déjà allé de l’avant et on va continuer. Il faut que l’ensemble de la société suive notre plan d’électrification des transports et on veut privilégier les gens qui ont déjà fait le saut vers les véhicules électriques», enchaîne-t-il. VOIES RÉSERVÉES Après avoir annoncé que les véhicules électriques pourraient rouler sur la nouvelle voie réservée qui sera mise en service dès lundi sur la route 112 ouest à Longueuil et à Saint- Lambert, l e ministre a également évoqué d’autres voies réservées sur lesquelles les véhicules électriques ou hybrides rechargeables auraient aussi le droit de circuler. «Il y a aussi des projets en ce sens à Québec. J’en ai discuté avec le maire Régis Labeaume», a-t-il poursuivi. Depuis un an, les voitures électriques peuvent déjà circuler sur la voie réservée aménagée sur l’autoroute Robert-Bourassa. «La technologie s’améliore et plus les gens connaissent les véhicules électriques, plus ils décident d’en faire non seulement leur deuxième voiture, mais souvent leur première voiture. Le Québec représente 50 % des ventes canadiennes de véhicules électriques», a fait remarquer le ministre. Québec Hormis l'autoroute 740 (Robert-Bourassa) qui dispose de voies réservées depuis 2014 grâce au projet pilote du MTQ, seul un tronçon de 800 mètres de l'autoroute 440 montant vers la colline parlementaire comprend une voie réservées bus/taxi/covoiturage-3/VE , entre 7h et 9h. Victoriaville L'AVÉQ souligne que l'incitatif du stationnement gratuit a déjà été implanté par la ville de Victoriaville et ce, depuis le rendez-vous branché d'Équiterre tenu le 25 septembre dernier dans cette municipalité.
Avec la venue des taxis électriques, de l'auto-partage électrique, de la Formule-E à Montréal, de l'événement international EVS-29 en juin, d'un nombre croissant de bornes sur rue et de BRCC, de nouveaux modèles de voitures, d'avancées technologiques au niveau des batteries et d'un Plan d'action en électrification du gouvernement très dynamique, nous croyons fermement que 2016 sera l'année par excellence en électromobilité au Québec.
Faites partie du changement, devenez membre de l'AVÉQ et offrez vos services comme bénévole dès maintenant! Contributeur: Simon-Pierre Rioux Pour orienter les consommateurs, la loi limite fortement le nombre d’immatriculations… sauf pour les véhicules électriques. La Chine a longtemps fait passer le développement économique avant l’environnement, prenant ainsi le premier rang des pollueurs de la planète. Mais les temps changent : selon le ministère chinois de l’environnement, 90 % des villes chinoises dépassent les seuils de pollution considérés comme sans risques par l’OMS. La population s’en émeut de plus en plus et demande au gouvernement d'agir. Ce dernier a donc décidé de passer à l'action et a mis au point une méthode redoutable : pour inciter à rouler électrique, la loi rend la vie impossible aux acheteurs de voitures avec un moteur à combustion interne. Une loterie pour obtenir une immatriculation. Pour diminuer la pollution, les autorités ont pris une mesure radicale pour limiter le nombre de voitures à Pékin. Une loterie est organisée tous les deux mois sur internet pour distribuer les nouvelles plaques d’immatriculation. Une personne sur 130 en obtient une, si bien que certains attendent parfois des années avant d’obtenir le précieux objet. Depuis le 27 octobre 2015, si vous voulez une voiture électrique, vous êtes très avantagé. En effet, elles obtiennent systématiquement une plaque d’immatriculation et les automobilistes chinois l’ont bien compris : les ventes de modèles électriques explosent depuis quelques jours. Ruée sur les modèles électriques. Les ventes de modèles électriques ont en effet bondi de 300% cette année et le gouvernement chinois souhaite devenir le leader mondial sur ce secteur. Toutefois, pour l’instant, le secteur automobile est tout simplement dépassé par la demande. La concession qu’Europe 1 a visité dans le nord de Pékin, n’échappe pas à la règle : lorsqu’un client demande une voiture électrique, on lui répond qu’il devra attendre au moins 25 jours. Un délai bien plus long que pour un véhicule avec un moteur à combustion interne. "On en vend plusieurs dizaines par jour depuis cette fin de semaine et on a demandé à nos usines à Pékin d’accélérer la cadence pour nous livrer 3 000 voitures ce mois-ci". Des bornes de recharges devenues trop rares. Madame Li, chef d’entreprise, fait partie de ces nouveaux adeptes de l’automobile électrique, avant tout par pragmatisme. "Cela fait deux ans que j’attends d’obtenir une plaque d’immatriculation avec le tirage au sort. Alors là, je suis bien contente !", assure-t-elle. Outre le fait de pouvoir enfin avoir sa voiture, les avantages sont nombreux à ses yeux : "c’est mieux pour l’environnement, on respire tellement mal à Pékin. Et puis je n’ai plus à payer l’essence maintenant ! A vrai dire, je m’inquiète un peu pour la batterie, parce qu’il y a beaucoup d’embouteillages ici et on m’a dit qu’on pouvait seulement rouler pendant 3 heures avant de devoir recharger les batteries". En effet, Pékin ne compte que 3 000 bornes de recharges de batteries. Le gouvernement a donc prévu d’en installer d’autres, une entreprise française spécialisée dans ce domaine va d’ailleurs bientôt en fabriquer pour la Chine. Source: Europe1 (adapté)
Contribution: Dany Labrecque La question est sur toutes les lèvres de nos lecteurs: que signifiera un mandat Libéral à Ottawa pour l'électromobilité? »» Lire Politique d'électrification fédérale: la réponse du Parti Libéral du Canada M. Trudeau fut le premier politicien à répondre à nos questions sur les engagements de son parti vis-à-vis l'électrification des transports au Canada, sans qu'on ait à lui rappeler l'échéancier que nous avions fixé au 1er septembre. Bien que les réponses fournies ne correspondaient pas tout à fait aux questions posées, son engagement envers les énergies vertes et le besoin de supporter cette industrie naissante nous laisse espérer un vrai début à électrifier les transports canadiens. Promesses électorales:
Selon certains observateurs sur la Colline Parlementaire, le changement de parti politique apportera une plus grande ouverture face à l'électrification des transports, et un vrai début à cette industrie qui ne jouissait d'aucun leadership à Ottawa.
Cela aidera aussi la feuille de route que Mobilité Électrique Canada doit remettre à différents ministères dans les prochains mois pour les aider à mieux orienter les politiques et stratégies gouvernementales. On devrait surtout voir des résultats au lieu de voir la poussière s'accumuler sur ces documents. Finalement, l'équipe de Mélanie Joly (Ahuntsic) nous avait déjà approché pour discuter du sujet en début d'été, ce qui a débouché sur les promesses ci-haut. Bien qu'on pourrait croire que c'est une incursion timide dans le domaine, nous sommes persuadés que cela formera plutôt une base solide sur laquelle nous pourrons croitre avec les années. Le temps nous en dira plus. Une autre preuve de ce que votre association fait pour vous. N'oubliez pas de nous supporter à votre tour! Contribution: Simon-Pierre Rioux Billet du président de l'AVÉQ Enfin, le voilà ce plan d'électrification des transports du Gouvernement Couillard - nous l'attendions tous avec impatience, et il nous a réservé quelques belles surprises! En fait, presque toutes les recommandations de l'AVÉQ lors de la Commission sur les Enjeux Énergétiques qui eut lieu au Parlement en début d'année sont présentes dans les documents et lors des discussions que nous avons eu après la conférence. Précisions... La première surprise fut lorsque le ministre Arcand mentionnait que le gouvernement souhaitait voir l'électrification non seulement des véhicules personnels, mais aussi des flottes de compagnies, de transport routier, de livraison du dernier kilomètres, des véhicules récréatifs, ainsi que des motos - ajoutant que les motos auraient accès à un incitatif financier, autant qu'à avoir accès à une plaque verte (qui viendra bientôt avec son lot d'avantages). Cette annonce créa une vague d'applaudissements dans la foule, une surprise à laquelle personne ne s'attendait. On a ensuite mentionné, à répétition, que le programme d'incitatifs à l'acquisition d'un VÉ (présentement de 8,000$) continuerait au-delà du 31 décembre 2016; on ne vise pas une date, mais des objectifs "quantifiables". Certains ont vu un flou à cette affirmation, mais nous avons vérifié avec les fonctionnaires du MTQ, et on nous a confirmé que ce serait lorsqu'une "masse critique" de VÉ serait atteinte. Et cette masse critique est d'atteindre 100,000 VÉ avant de requalifier le programme, selon certains critères dont le plus important: le prix des véhicules à ce moment, alors qu'on s'attend à une baisse naturelle des prix alors que la technologie s'améliorera et que la production de masse puisse avoir un impact sur le coût. On se donne par ailleurs d'autres objectifs, à 200,000 voire 300,000 VÉ (oui, on m'a bien mentionné 300K VÉ sur les routes). Comprenons ici qu'une baisse de prix de 4,000$ sur une voiture de base impliquerait une baisse de l'incitatif de 4,000$ également. En plus de l'expansion prévue du Circuit Électrique au 31 décembre 2016, où on cible la mise en fonction d'un total de 785 bornes dont 60 BRCC, le MTQ participera à l'exercice en ajoutant une somme de 2,5 millions$ qui se traduirait par un nombre de BRCC "bien supérieur à 70" à des emplacements stratégiques appartenant au MTQ ou à des emplacements où les coûts d'installation ne pourraient être absorbés facilement par les partenaires. Un exemple cité fut l'implantation de 3 bornes rapides dans le "centre-ville" de Montréal d'ici juin 2016. On peut donc s'attendre à ce que le réseau de BRCC soit élargi tel que présenté par le Circuit Électrique récemment, mais en plus il sera densifié afin d'éviter l'achalandage aux bornes les plus populaires. Selon toute vraisemblance, on parlerait ici de plus de 130 BRCC au total. M. Poéti a attiré l'attention en mentionnant que les automobilistes allaient s'arracher les plaques vertes, avec tous les avantages sociaux qu'elles vont offrir. « Il ne s'agit pas d'un privilège pour les électromobiliste, c'est plutôt un retour du balancier, pour les remercier d'être des pionniers. » Plus tard, il s'échappa auprès de quelques personnes en mentionnant que plusieurs annonces importantes ajoutant d'autres avantages d'être électromobiliste auraient lieu d'ici la fin de l'année, et que les gens se battraient pour avoir une plaque verte. Un gros qui saute aux yeux: Accès gratuit au Nouveau Pont Champlain? -- car pour ceux qui ne le savaient pas, le contrat signé avec "Signature sur le St-Laurent" contient une clause où le consortium mené par SNC-Lavallin sera responsable de l'exploitation et l'entretien du pont pour 30 ans, avec un prix maximum indexé pour le péage (information sur le prix non-divulguée) C'est ce qui fait que le coût du contrat est aussi bas: il y aura un revenu assuré au consortium suite à sa construction. Une autre surprise de taille fut la mention d'une norme Zéro Émission qui serait adoptée au Québec, en partenariat avec d'autres provinces (Ontario et/ou Colombie-Britannique). Ce que la plupart des gens dans la salle ignorait, c'est que les représentants de Global Auto Makers (14 manufacturiers automobile internationaux) et du Canadian Vehicle Manufacturer's Association (Ford, GM, Chrysler) étaient sur place pour écouter la présentation, et que cette annonce les a complètement estomaqué. Le gouvernement leur avait pourtant assuré qu'aucune loi contraignante serait même mentionnée. Ce changement de cap a eu lieu après moultes négociations la nuit précédente, et qui ont continué jusqu'au matin de la présentation. Nous devons tous une fière chandelle à un homme respecté de la province qui n'a jamais lâché prise sur ce sujet, et qui a argumenté avec brio les conditions que nous voulions qui soient défendues. Bien que présentement nous ne pouvons nommer ce champion sans son consentement, son équipe nous avait rejoint il y a quelques jours afin de déterminer de quelle façon il pouvait pousser les conditions sine-qua-none que nous avions pour qu'une stratégie d'électrification des transports puisse rencontrer ses objectifs au Québec. Plusieurs autres individus sont intervenus dans le dossier afin de convaincre des bienfaits d'un mandat Zéro Émission, un combat jusqu'à la dernière minute. Tentant d'obtenir plus de détails sur ces négociations, on m'a laissé comprendre de manière fort diplomatique et avec le sourire que peu importe les défis rencontrés, le résultat aujourd'hui est là, et qu'on pouvait en être fier. Quelques heures après la conférence, les acteurs dans le domaine de l'électromobilité (dont l'AVÉQ) ont accepté de collaborer ensemble afin d'être impliqués dans l'élaboration de la norme VZÉ québécoise. Nous avons aussi obtenu le soutien du parti d'opposition (PQ) afin de s'assurer qu'une loi puisse être votée d'ici la fin de l'année. Notons que ces derniers avaient réclamé une loi Zéro Émission en avril 2015. Une journée folle, excitante à souhait, qui nous a permis de rêver d'un Québec propre, riche, silencieux, enviable; d'un projet de société solide dont les Québécois pourront être fiers. Un rassemblement de près de 200 personnes qui ont l'électromobilité et l'environnement à coeur. Et un plan qui sera mis en action. L'AVÉQ est très satisfaite de ce qui fut présenté aujourd'hui, mais nous resterons vigilants quant à la mise en fonction d'un mandat ZÉV. De très bonnes nouvelles pour toutes les sphères de l'électromobilité: des utilisateurs jusqu'à la filière industrielle. Un grand merci à toute l'équipe de l'AVÉQ ainsi qu'à ses partenaires pour votre support, une grande étape est finalement franchie! Maintenant, célébrons!! Vidéo mettant en vedette la LEAF de notre vice-président Michel Gélinas, la Tesla de Mario Langlois du Club Tesla Québec, et la Volt de notre membre Michel Turcotte (ainsi que sa main qui débranche la borne!) Vidéo mettant en vedette la LEAF de notre membre Étienne Chalifour Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Des détails du «Plan d'action en électrification» du gouvernement en avant-première à Radio-Canada8/10/2015 Exclusif - Québec annoncera vendredi qu'il investira 420 millions de dollars pour l'électrification des transports au cours des cinq prochaines années et prévoit des investissements de cinq milliards pour des projets en transport collectif. Un texte de Martine Biron - Radio-Canada L'AVÉQ sera en entrevue à Radio-Canada demain matin 6h40 pour commenter cet article à l'émission Première Heure, animée par Claude Bernatchez En 2013, le plan d'électrification du gouvernement péquiste de Pauline Marois prévoyait des investissements de 516 millions sur 3 ans, de 2014 à 2017. Sous le thème « Propulser le Québec par l'électricité », le plan libéral repose sur trois piliers : favoriser les transports électriques, développer la filière industrielle et créer un environnement favorable pour les automobilistes. Ainsi, Québec vise l'ajout de 100 000 nouveaux véhicules électriques et hybrides rechargeables sur les routes du Québec d'ici 5 ans. Pour encourager les automobilistes à opter pour ce type de véhicule, le ministère des Transports installera 785 bornes de recharge publiques sur le réseau, dont au moins une soixantaine de bornes de recharge rapide. Le gouvernement invitera aussi les employeurs à implanter des bornes sur les lieux de travail. Comme l'avait annoncé le gouvernement libéral de Jean Charest, le gouvernement Couillard maintient le rabais à l'achat d'un véhicule électrique jusqu'à concurrence de 8000 $ jusqu'à la fin de 2016. Québec entend par ces mesures faire en sorte qu'à partir de 2020, la consommation annuelle de carburant dans les transports aura diminué de 66 millions de litres. Il vise aussi, toujours à partir de 2020, une réduction annuelle des émissions de GES de 150 000 tonnes dans les transports. Le gouvernement prévoit que 5000 emplois seront créés dans l'industrie liée à l'électrification des transports alors qu'il prévoit des investissements privés de l'ordre de 500 millions. Québec donnera l'exemple Québec entend favoriser la recherche et le développement dans le secteur, et mettra sur pied des programmes conjoints entre l'entreprise et le secteur universitaire. Différents programmes de formation de la main-d'œuvre seront mis en place. Pour donner l'exemple, Québec s'engagera à électrifier le parc automobile gouvernemental et promet que d'ici 2020, 1000 véhicules seront électriques. Il s'engage aussi à créer un environnement propice aux automobilistes qui prendront le virage électrique en leur donnant, par loi, accès aux voies réservées. Ces automobilistes pourront aussi passer gratuitement aux ponts à péage des autoroutes 25 et 30, et sur les traverses payantes de la société des traversiers à partir du 1er janvier 2016. [NDLR: Pour un usager quotidien du pont payant de l'A25, cet incitatif représenterait des économies mensuelles totales de l'ordre de 125$] Le plan du gouvernement Couillard prévoit aussi des investissements de 5 milliards de dollars pour des projets présentement à l'étude en transport collectif, dont le système de transport collectif sur le nouveau pont Champlain et le train de l'Ouest de Montréal. Le PLQ se traîne les pieds, dit le PQ À 24 heures de l'annonce du gouvernement, le Parti québécois a accusé le gouvernement Couillard de prendre son temps dans ce dossier. « On a l'impression que le gouvernement libéral a le pied sur le brake », a affirmé la députée Martine Ouellet. En compagnie du chef du parti Pierre Karl Péladeau, elle a réclamé du gouvernement qu'il s'engage à présenter un projet de loi « zéro émission » pour augmenter de façon significative l'offre de véhicules électriques sur le marché automobile québécois. « Une telle législation ferait en sorte de rendre les véhicules hybrides branchables et électriques plus accessibles pour les Québécois », ajoute Mme Ouellet. Source: Radio-Canada Info Contribution: Simon-Pierre Rioux Le Plan d'action en électrification des transports 2015-20 sera présenté officiellement ce vendredi6/10/2015 L'AVÉQ, c'est plus qu'un site internet. Notre travail bénévole pour supporter les propriétaires et l'industrie sera bientôt récompensé, alors que le Ministère des Transports (MTQ) annoncera son «Plan d'action en électrification des transports 2015-2020» vendredi prochain le 9 octobre 2015. L'IMPLICATION DE L'AVÉQ - Depuis la fondation de l'AVÉQ en 2013, l'exécutif bénévole de l'AVÉQ s'est toujours impliqué au niveau politique afin de s'assurer de bien faire comprendre l'électrification des transports à nos élus et à nos fonctionnaires, et de permettre l'épanouissement de la filiale d'électromobilité dans la Belle Province. Nous avons présenté des mémoires lors de : * la Commission sur les Enjeux énergétiques du MÉRN (PQ, 2013) * la Commission sur la Politique de mobilité durable du MTQ (PQ, 2013) * la table ronde d'experts sur l'électrification du Conseil du Patronat (PLQ, 2014) * la Commission parlementaire sur l'environnement et le transport du MDD (PLQ, 2015) * la table ronde d'experts sur la décarbonisation du transport routier du MTQ (PLQ, 2015) L'AVEQ se donne pour mission de sensibiliser le grand public aux avantages des véhicules électriques. Sur son site internet, on retrouve des actualités, des témoignages et plusieurs guides d'achat et d'utilisation d’un véhicule électrique. Le site internet attire plus de 400 000 visites par mois avec plus de 5,000 articles d'actualité qui en font un incontournable dans la province. L'AVÉQ sera sur place afin de vous représenter, et de vous offrir les détails de ce Plan d'action en électrification qui s'orientera dans les prochaines années autour de nos quatre recommandations principales: 1. Un programme de sensibilisation grand public adéquat 2. Une disponibilité, un choix et un inventaire adéquat pour les futurs consommateurs 3. Des incitatifs financiers et sociaux pour supporter les actuels et futurs électromobilistes 4. Des investissements dans les infrastructures de recharge en ville et sur les axes routiers majeurs Ce ne sera pas un secret pour personne que l'offre du gouvernement à ce stade ne saurait remplir les demandes des électromobilistes en ce qui concerne une loi Zéro Émission, on nous assure que cette partie du Plan d'action en électrification pourra évoluer avec le temps et l'attitude des manufacturiers. C'est donc un rendez-vous à ne pas manquer vendredi le 9 octobre 2015, l'accomplissement de plusieurs années de travail bénévole de l'AVÉQ au niveau provincial. Notre travail au niveau fédéral est déjà en action… Contribution: Simon-Pierre Rioux Lors du «Grand Débat» à Radio-Canada ce soir, le journaliste Yves Boisvert a posé la question suivante: Le secteur des transports est responsable d'environ la moitié des gaz à effet de serre, plusieurs Canadiens voudraient rouler dans une voiture verte, mais elles sont souvent hors de prix. Est-ce une bonne idée pour le gouvernement de subventionner ces véhicules? Voici en résumé la position des candidats:
Nous remercions Yves Boisvert, journaliste à La Presse+, d'avoir posé cette question importante lors du Débat des chefs. L'électrification des transports est une des solutions pour permettre de diminuer les GES dans notre atmosphère, créer des emplois payants pour les Canadiens dans cette économie du futur, et permettre aux Canadiens d'économiser de l'argent en utilisant de l'énergie produite localement. Source: Radio-Canada Contributeur: Simon-Pierre Rioux Simon-Pierre Rioux, Président Association des Véhicules Électriques du Québec Quebec EV Association Monsieur Rioux, Je vous remercie pour votre lettre dans laquelle vous me posez des questions quant aux orientations du Nouveau Parti démocratique en matière d’électrification des transports. Veuillez prendre note que le NPD n’a pas encore rendu publique sa plateforme électorale complète. En réponse aux questions que vous soulevées, le NPD croit que le gouvernement fédéral doit travailler avec les Canadiens pour bâtir un avenir énergétique durable. Sous les conservateurs, nous avons plutôt été témoins de l’inverse. Le NPD a été le seul champion à Ottawa d’une stratégie pour développer une industrie de fabrication des voitures vertes. Le Canada a perdu sa place de leader environnemental et il est clair que les États-Unis ont une longueur d’avance dans la construction d’une économie propre et durable. Ainsi, un gouvernement néo-démocrate travaillera avec le secteur automobile pour favoriser la recherche et le développement pour faire du Canada un chef de file en production de voitures vertes et éco énergétiques. Nous avons proposé de créer un crédit d’impôt à l’innovation pour les entreprises qui investissent dans la machinerie, l’équipement et les actifs qui stimulent la recherche et le développement. Ce plan fera économiser près de 40 millions $ par année aux fabricants canadiens qui font d’importants investissements en recherche et développement. Nous travaillerons également avec le secteur pour améliorer la performance énergétique des véhicules fabriqués au Canada ainsi que ceux qui sont offerts aux consommateurs. De plus, le NPD croit que le gouvernement devrait faire des investissements ciblés dans les infrastructures qui encourageront le développement d’une flotte de véhicules éco- énergétiques. Un gouvernement néo-démocrate considérerait diverses mesures pour appuyer la réduction des gaz à effet de serres, comme un usage stratégique des acquisitions gouvernementales pour appuyer une flotte de véhicules exo-énergétiques. Aussi, le NPD travaillera avec les provinces sur une stratégie pour réduire les GES, y compris en sensibilisant les consommateurs sur l’impact de leurs choix en matière de transport. En ce qui concerne l’accord de libre-échange Canada-Europe, le NPD souhaite accroître les choix des consommateurs tout en maintenant des normes robustes en matière de sécurité des véhicules. Le NPD estime qu’il faut avoir en main un texte final de l’accord de libre-échange Canada-Europe avant de se prononcer sur le contenu. À cette heure, aucun texte final n’existe. En terminant, je réitère l’engagement du NPD à redevenir un leader mondial en matière de lutte aux changements climatiques. L’électrification des transports fait partie du plan du NPD pour le développement d’une économie verte et durable. Je vous remercie d’avoir communiqué avec moi dans le cadre de la présente campagne électorale. Veuillez recevoir, monsieur, mes cordiales salutations. Tom Mulcair, Chef Nouveau Parti démocratique du Canada Un questionnaire fut envoyé mi-juin par l'AVÉQ aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports serait à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. »» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Voici la réponse officielle qui nous fut envoyée le 29 août 2015 par le chef du NPD, M. Tom Mulcair: Les commentaires de nos membres sont appréciés. Que pensez-vous de l'offre du NPD?
Un questionnaire fut envoyé mi-juin par l'AVÉQ aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports serait à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. »» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Voici la réponse officielle qui nous fut envoyée le 30 juin 2015 par le chef du Parti Conservateur, M. Stephen Harper: 1) 2) 3) 4) 5) 6) 7) 8) 9) 10) Please know that your e-mail message has been received in the Prime Minister's Office and that your comments have been noted. Our office always welcomes hearing from correspondents and being made aware of their views. Thank you for writing. »» Lire Politique d'électrification fédérale: la réponse du Parti Libéral du Canada »» Lire Politique d'électrification fédérale: la réponse du Parti Vert du Canada Les commentaires de nos membres sont appréciés. Que pensez-vous de l'offre du Parti Conservateur?
Un questionnaire fut envoyé mi-juin par l'AVÉQ aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports serait à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. »» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Voici la réponse officielle qui nous fut envoyée le 29 juillet 2015 par le chef du Parti Libéral, M. Justin Trudeau: Simon-Pierre Rioux, Membre du conseil d’administration de Mobilité électrique Canada Président de l’Association des véhicules électriques du Québec simon@aveq.ca Cher M. Rioux, Je vous remercie d’avoir pris le temps de m’écrire pour me faire part des questions formulées par l’Association des véhicules électriques au sujet du transport électrique. Le caucus libéral et moi croyons que le Canada peut être un chef de file mondial dans la recherche, le développement et la fabrication de technologies propres. Afin d’atteindre cet objectif, j’ai récemment pris l’engagement que le Parti libéral, s’il forme le prochain gouvernement, ajouterait les technologies de stockage de l’électricité et les stations de recharge pour voitures électriques à la liste des investissements qui sont admissibles à l’amortissement accéléré. Par ailleurs, nous installerons des bornes de recharge pour véhicules électriques dans tous les terrains de stationnement du gouvernement fédéral, et nous ajouterons des véhicules électriques au parc automobile fédéral. Un gouvernement libéral collaborera avec les provinces, et les territoires pour attirer au Canada plus d’entreprises de technologies propres et plus d’investissements dans ce secteur. En veillant à ce que le gouvernement fédéral utilise davantage de technologies propres, pour ses édifices, ses achats et ses besoins en énergie, nous aiderons à créer une demande pour les entreprises de technologies propres, tout en appuyant des entrepreneurs canadiens et en donnant l’exemple sur la scène internationale. Permettez-moi encore une fois de vous remercier d’avoir pris le temps de m’écrire pour me faire part de vos questions relatives au transport électronique. Recevez, Monsieur, mes salutations distinguées. Cordialement, Justin P.J. Trudeau Député de Papineau Chef du Parti libéral du Canada Les commentaires de nos membres sont appréciés. Que pensez-vous de l'offre du Parti Libéral? AVEQ - Green Party of Canada
Le Parti vert du Canada a un plan d’ensemble pour encourager l’utilisation des véhicules électriques et d’autres formes de transport vert à l’échelle du pays. L’utilisation des technologies vertes actuellement disponibles pour rendre le transport plus efficient réduira énormément les émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur du transport qui représente environ 25 pourcent des émissions du Canada. Le Parti vert incitera les gens à utiliser des véhicules électriques et puis, s’efforcera de rendre les véhicules électriques et l’infrastructure plus répandus. Les véhicules entièrement électriques d’aujourd’hui sont économiques pour la conduite en ville et les modèles qui sont en développement remplaceront la fonction complète des véhicules à moteur à combustion interne. Alors qu’un plus grand nombre de véhicules électriques et de véhicules hybrides deviennent disponibles à des prix abordables, les véhicules personnels à combustion interne non hybride devraient disparaître progressivement. En vue d’appuyer entièrement les véhicules électriques verts, nous devons également éliminer la production d'électricité à partir de charbon partout au Canada. Dans l’intention de promouvoir l’utilisation des véhicules électriques partout au Canada, le Parti vert adoptera les mesures suivantes :
Oui, le Parti vert compte offrir des rabais à échelle progressive pour l’achat des véhicules les plus efficaces, y compris les véhicules électriques. Nous comptons également mettre en place des frais à échelle progressive pour l’achat de véhicule énergivore au Canada afin de créer un fond de transition équitable pour le secteur automobile.
Oui, le Parti vert accélérera l’arrivée sur le marché des véhicules hybrides rechargeables (VHR) et des véhicules entièrement électriques en ajoutant des clauses de conditionnalité de carbone dans les contrats fédéraux. Ces contrats nécessiteront l’achat d’un grand nombre de véhicules électriques destinés à être utilisés par le gouvernement fédéral aussitôt qu’ils sont disponibles.
Le Parti vert reconnaît la nécessité d’avoir une infrastructure facilement accessible pour appuyer l’utilisation des véhicules électriques à l’extérieur des routes principales, y compris des bornes de recharge électrique près de la maison et du travail. Nous reconnaissons que le secteur privé a également un rôle à jouer dans la promotion des véhicules électriques et de l’infrastructure des édifices. Nous encouragerons les efforts des entreprises en ce sens, y compris en accordant un montant déductible aux fins de l'impôt aux voitures d’entreprises écoénergétiques.
Le Parti vert compte adopter les normes de la Californie dans lesquelles une réduction de 30 pourcent des émissions de GES pour les nouveaux véhicules vendus au Canada d’ici 2020, de 50 pourcent d’ici 2025 et de 90 pourcent d’ici 2030. Ceci permettra d’augmenter la disponibilité des véhicules à émission zéro et de l’infrastructure requise pour les appuyer. Il créera également des normes de rendement du carburant conformes à celles des principaux états des États-Unis pour le modèle de l’année 2011.
Oui, le Parti vert compte démarrer une infrastructure nationale de recharge rapide des véhicules électriques en investissant 12 millions de dollars dans des projets pilotes de couloirs de déplacement autour des grands centres urbains.
Le Parti vert du Canada fera la promotion de la sensibilisation du public et du soutien des véhicules électriques en contribuant au développement de l’infrastructure requise pour appuyer leur utilisation répandue. Nous comptons également accroître la sensibilisation aux véhicules électriques auprès du grand public en faisant la promotion des achats à grande échelle de véhicules électriques au sein du secteur public et des industries privées. De plus, nos normes sur les systèmes d'échappement des véhicules feront la promotion du rendement du carburant et des VHR sur le marché de l'automobile. L’exigence que nous proposons concernant l’étiquetage obligatoire de l'efficacité énergétique des véhicules, tel que la mesure qui a été adoptée par l’UE, servira également à informer les Canadiens au sujet de l’efficacité accrue des véhicules électriques par rapport aux modèles traditionnels.
Dans le but d’appuyer l’industrie de la voiture électrique au Canada, le Parti vert offrira des primes aux fabricants canadiens de véhicules électriques et de véhicules hybrides rechargeables. Le Parti vert compte également travailler avec l’industrie automobile, les provinces, les territoires et les autres partenaires dans le but d’élaborer une stratégie des véhicules durables qui permettrait d’atteindre une réduction de 85 pourcent des émissions sous le niveau actuel d’ici 2040. Nous offrirons des incitations fiscales pour le stockage de l’électricité afin de favoriser le développement de l’énergie renouvelable dans chaque province et territoire, et de maximiser l’utilisation efficiente de l’infrastructure existante. Notre plan vis à encourager la transition vers les véhicules électriques comprend également l’établissement d’une nouvelle autorité pour créer un fond de transition équitable pour le secteur automobile. Ce fond serait appuyé par des frais additionnels sur toutes les ventes de voitures énergivores au Canada.
Bien que le Parti vert s’oppose généralement à l’Accord de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne (AECG), nous appuyons absolument l’harmonisation des normes d’émissions avec l’Union européenne de façon à ce que les Canadiens aient accès à un meilleur choix de véhicules électriques de qualité.
Oui, le Parti vert est en fait disposé à discuter de notre soutien des véhicules électriques et de nos autres initiatives d’infrastructure de transport vert dans de futurs débats de chef de partie. Un questionnaire fut envoyé mi-juin par l'AVÉQ aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports serait à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. »» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Voici la réponse officielle qui nous fut envoyée le 28 août 2015 par la cheffe du Parti Vert, Mme Elizabeth May: Les commentaires de nos membres sont appréciés. Que pensez-vous de l'offre du Parti Vert?
Électrification des transports au niveau fédéral: les réponses des partis politiques à venir4/9/2015 Un questionnaire fut envoyé mi-juin par l'AVÉQ aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports serait à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. Nous avons eu la chance d'obtenir des confirmations de tous les partis politiques concernant notre demande. Déjà certains ont répondu, et d'autres s'apprêtent à nous envoyer le tout. »» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Une feuille de route de l'électrification des transports au niveau fédéral datant de 2009 mentionnait qu'il était crucial de suivre les recommandations incluses et qu'il ne fallait surtout pas que le dossier accumule de la poussière (ce qui est finalement arrivé). On projetait 500,000 VÉ sur les routes du pays en 2018 grâce aux recommandations. Nous avons eu mercredi un meeting avec le Bloc Québécois, qui nous ont mentionné que le dossier de l'électrification des transports était entre les mains de Daniel Breton entre autres, ancien ministre péquiste et bras droit de Pauline Marois sur le dossier. Malheureusement, nous n'avons aucune réponse de leur part, mais on nous a assuré que le sujet de l'électrification serait certainement abordé pendant la prochaine période parlementaire. Bien que nous espérions vous présenter toutes les réponses des différents partis politiques dès le 1er septembre, les stratèges des différents partis en ont décidé autrement. Un important blitz des différents partis fédéraux, qui fait partie de la stratégie électorale élaborée au début de l'année, coïncidera avec la période de la fête du Travail, date à laquelle la véritable campagne électorale prendra son envol, selon les stratèges de tous les partis politiques. Nous avons donc décidé de vous présenter les réponses de chaque parti dès ce weekend, jusqu'à lundi. Puisque les plateformes de chaque parti n'ont pas été dévoilé officiellement, les réponses pourront sembler incomplètes. Collaboration: Simon-Pierre Rioux Ils ont poussé leur recherche, et il est certain qu’il y a des différences régionales et même horaire dans les réseaux à travers le pays. Les chercheurs ont mis le focus sur cinq polluants majeurs: le gas carbonique (CO2), le dioxyde de soufre (SO2), l’oxyde d’azote (NOx), les particules (PM 2,5) et les composés organiques volatils (COV). Ceux-ci vont au-delà des gaz à effet de serre de base que l’EPA tient compte pour sur le site fueleconomy.gov, mais, ils ont omis toutes les émissions en amont impliqués avant que l’essence arrive à la pompe. Actuellement, les chercheurs disent que comparer les échappements (des véhicules à combustion) par rapport aux émissions «de cheminées» des VÉ est équitable. Et, ces émissions «de cheminées» sont utilisées pour colorer les cartes afin de montrer les endroits où les véhicules électriques ne devraient pas être utilisés. Et ça, cela n’aurait pas changé même s’ils avaient comptabilisé toutes les émissions en amont de la production de l’essence, dit la source anonyme.
« Chaque fois qu’un véhicule électrique enfichable [PEV] est vendu aux États-Unis, les émissions nettes de gaz à effet de serre du parc de véhicules augmentent jusqu’à 60 tonnes métriques de CO2 et la consommation d’essence augmente jusqu’à 6 700 gallons, » dit l’abstrait. C’est vrai. Ce qu’il dit est que les règles fédérales permettent aux constructeurs automobiles de vendre des véhicules énergivores dans d’autres États dans lesquels il n’est pas nécessaire de vendre des voitures électriques (du tout). Par conséquent, il est raisonné que, les consommateurs qui achètent une voiture comme un Nissan Leaf sont complices avec cette politique tordue, et donc indirectement responsables des véhicules gourmands en essence achetés. Les auteurs supposent donc sans équivoque, que chaque véhicule électrique enfichable [PEV] égal un véhicules gourmands en essence et par le fait même, anéanti tout avantage offert par voiture comme une Nissan Leaf. Cela semble indiquer un défi de politique nationale qui doit maintenant être abordé, mais ce n’est pas un problème avec la voiture électrique typique qui est vendue. Alternativement, les défenseurs des VÉ pourraient dire qu’un véhicule électrique enfichable [PEV] déplace un véhicules gourmands en essence, mais les auteurs inversent cette possibilité et font une recommandation: Durant ce temps, dans la pire section du réseau utilisant intensément le charbon (« RMPA »), l’électricité d’une Nissan Leaf est responsable de 290 g / mile de CO2, moins que le 480 g / mile de de la voiture moyenne qui consomme 24 mpg, et, c’est encore beaucoup que les voitures gourmandes en essence. Encore plus d’articles anti-VÉ Nous pourrions tripler la longueur de cet article en résumant simplement quelques unes des études et re-rapports et des réfutations qui en résultent, mais peut-être qu’il est clair que des messages ambigus sont diffusés? À une époque où les clips de 30 secondes font loi, certains médias alimentent cette habitude, contraints également par des lecteurs qui ne vont pas écouter plus longtemps. Cependant, lors de l’examen des sujets complexes et plus nuancés comme l’empreinte carbone pour les technologies émergentes, c’est peut-être de rendre un mauvais que de trop tronquer le message. Les détails sont perdus, les messages sont biaisés, et ainsi de suite. Il ya quelques années, ce que les partisans des VÉ considérait comme des articles anti-VÉ étaient plus axés sur d’autres points, comme les batteries coûteuses, à courte portée, les prix élevés, les implications politiques, l’inquiétude sur le feu, et plus encore. Neil Cavuto de Fox News est allé jusqu’à dire à des millions de téléspectateurs que la Chevy Volt était tout simplement «stupide», une «Obamamobile » et les conjointes qui oublierait de se appeller de la brancher pour la nuit se retrouveraient en divorce à cause de la voiture! Au cours des dernières années, les attaques sont devenues plus nettes, de même que d’autres articles disant que des sociétés comme Tesla pourraient signaler la fin du pétrole. Quel que soit les motifs, des histoires s’acharnent à réduire la montée des VÉ sont devenus plus présents. Et, à chaque fois que l’une de ces histoires sort, des dénis de la presse pro-VÉ, bien moins influente vont peut-être sortir pour lutter contre les grands médias qui répètent la réthorique « les-VE-ne-sont-pas-vert». Ansi va-t-il, mais si vous êtes un consommateur d’informations, s’il vous plaît, rappelez-vous, «caveat emptor» (que l’acheteur soit vigilant). Plutôt, les émissions en amont des voitures comme la Ford Focus et Focus électrique ont été calculées comme des sorties de «cheminée». Toutefois, les émissions que EPA associe avec l’approvisionnement, le raffinage et le transport de l’essence à la pompe n’ont pas été comptées. Pour cette raison, les commentateurs Internet ont appelé la recherche imparfaite, mais une source impliquée dans l’étude qui a demandé à ne pas être nommée, a également observé qu’il y a eu omission d’autres sources en amont pour la production d’électricité, telles que l’extraction du charbon et son expédition aux centrales électriques. Ce que les commentateurs Internet ne se rendent pas compte, a dit la source anonyme, est que si ces sources en amont (et la production en tant que telle des véhicules électriques) avaient été prises en compte, les VÉ auraient paru encore plus mal. Donc, si on suit son raisonnement, les résultats sont légèrement biaisées en faveur des véhicules électriques. Cet argument pourrait être contrecarré par ceux qui observent que de nombreux coûts plus en amont impliqués dans le pétrole pourraient être considérés pour obtenir des chiffres de GES beaucoup plus élevés que ce l’EPA estime de façon conservatrice. Mais, que voulez-vous, c’est ça qu’il existe comme situation. 3) Chaque VÉ est à blâmer pour produire durant sa vie 60 tonnes métriques de CO2 et 6 700 gallons d’essence supplémentaires brûlée OK, nous avons entendu les arguments que les véhicules électriques sont responsables d’émission de CO2 en amont, mais si vous vous grattez la tête pour la partie du titre sur l’essence, cette logique prend quelques explications. Ce qui précède n’est pas une manchette, mais est le résumé d’une déclaration sans équivoque faite par une étude publiée par « Carnegie Mellon University Engineering and Public Policy». Comme son nom l’indique, il propose des recommandations aux décideurs fédéraux pour y penser à deux fois à propos des règles du programme «Average Fuel Economy (CAFE)» de maintenant jusqu’en 2025. Pourquoi? «Les normes fédérales de consommation de carburant permettent aux constructeurs automobiles qui vendent véhicules électriques enfichables [PEV – Plug-in Electrified Vehicles] qui répondent aux normes d’efficacité énergétique de la flotte moins rigoureuses jusqu’en 2025», dit un résumé. « Donc, quand un consommateur opte pour un véhicules électriques enfichable, il permet à d’autres consommateurs d’acheter des véhicules à essence plus émetteurs, ce qui, par effet d’entraînement, augmente les émissions nettes des États-Unis et provoque l’augmentation de la consommation d’essence.» Personne n’a prouvé sans équivoque que les voitures électriques sont moins respectueuses de l’environnement que les voitures à essence et diesel. Cela ne l’empêche pas les gens de dire toutes les âneries possibles sur les VÉ et espérer que ces faussetés collent aux VÉ. C’est effectivement de la propagande, et nous, le public en général, en sommes la cible. Bien sûr, ce n’est pas présenté comme tel, mais vous, vous pouvez le voir présenté comme de nouvelles informations sur les impacts environnementaux négatifs potentiels des véhicules électriques (VE). Le message sous-jacent: Réfléchissez-y à deux fois! Décisionnaires et les écologistes peuvent être sur la mauvaise route et vous faire glisser dans leur religion verte. Depuis l’arrivée des véhicules électriques en masse à la fin 2010, les arguments anti-EV ont varié grandement, certains sans fondements et d’autres portent à réfléchir. Les sources sont passées d’articles d’opinion à des études à – le pire de tout – des article qui reprennent des études en prenant les chercheurs hors contexte pour justifier des titres accrocheurs et faire la manchette. Pourquoi cela se passe ainsi? Certains pensent les grosses compagnies de pétrole («Big Oil») ou d’autres intérêts financent de façon cachée (back-door) de la recherche ou des médias afin de manipuler le public non averti, qui est par ailleurs une source de revenus. Sans verser dans les théories du complot, des motifs moins sinistres peuvent être attribués à des écrivains négligents qui veulent simplement attirer votre attention sur ce qu’ils ont à dire. L’Union of Concerned Scientists à mise à jour en 2014 son étude de 2012 montrant le réseau électrique et déjà, il est nettement plus propre et plus convivial aux VÉ, avec 60% des Américains vivant dans la «meilleure» région où un VÉ est toujours plus propre qu’une hybride ayant une faible consommation (ou si on veut, qui fait beaucoup de «miles au gallon»).
Pendant ce temps, les données de l’EPA tiennent compte des émissions pour l’essence en amont par rapport aux émissions «de cheminée» des VÉ. Elle dit que les émissions pour une Ford Focus électrique et Focus à essence classique montre qu’avec un des réseaux le plus intensif pour son utilisation de charbon nommé dans l’étude – Grand Ford, Dakota du Nord – émet 270 g / mile de GES pour la version électrique contre 351 g / mile pour la version à essence. Que le document sur l’économie possède des points valables est incontestable, mais le message sensationnaliste livré par par les rapports était inexact, et les chercheurs – les économistes – s’en sont servit pour justifier le fait que le crédit 7 500$ (US) d’impôt fédéral est un mauvais investissement. En réponse au document de travail, Dave Reichmuth de l’«Union of Concerned Scientist » a écrit une analyse approfondie afin d’en signaler les lacunes. Grâce à un règlement municipal qui protège l'accès aux bornes pour les voitures en recharge, règlement qu'on aimerait voir s'appliquer au Québec aussi, le "malheureux" propriétaire de la Mustang grise fera face à une belle contravention de 100$, en plus de voir son véhicule remorqué pour permettre aux électromobilistes de se recharger. C'est ce qui attend les automobilistes qui VACHENT <lien à l'article> les bornes dans cette communauté de Floride. Le délateur roule en Chevrolet Volt, voiture hybride rechargeable qui ne peut utiliser les BRCC... mais le bon samaritain nous a expliqué avoir posé ce geste au nom de la communauté électrique et ainsi démontrer son soutien aux VÉistes qui dépendent de ce type d'infrastructure pour effectuer leur trajet. Tous ensemble, nous pouvons faire une différence en éduquant les automobilistes (et électromobilistes!) réfractaires ou tout simplement inconscients des panneaux qui indiquent bien CLAIREMENT que le stationnement est réservé aux VÉ en recharge. Contribution: Simon-Pierre Rioux To all our Canadian EV driving friends, here is the letter that was sent on the 16th of June 2015 to the political party leaders to insure that transportation electrification will be on their agenda when they start campaigning for the upcoming federal elections, October 19th 2015. Canada is the only industrialized country which doesn't have any political initiatives concerning transportation electrification, which is unacceptable in the global war against pollution, smog, impact on citizens' health, and geopolitical tensions linked to the petrol industry, amongst others. We have contacted the following leaders:
to invite them in answering our questions so they can better shape public policies of transportation electrification. Their answers will be published on our site September 1st. WE NEED YOUR HELP So far, we've received acknowledgement reception notices from all major parties. However, when our members have enquired directly to their party representatives, most
This is serious. We need you to pay attention to the political parties in your area which are holding "family BBQs" and other social activities during summer, and go talk to them! You might spend one hour of your time doing so, but it will help tremendously. You can copy the following letter (COPY+PASTE to your favorite word processor), personalize it with the party leader's name and political party and PRINT a few copies to give to them IN HAND in our name. This will have »»TREMENDOUS«« impact; we have noticed it during the weekend at a few rallies. Those initiatives cannot only come from Quebec. We need support across Canada, especially from provinces that do not have purchase incentives (all except QC/BC/ON basically) and that have little to no charging infrastructure. Manitoba, Alberta, Saskatchewan, Maritimes: you know who you are! :) With much thanks and appreciation, Simon-Pierre Rioux and the AVEQ.ca team »» article en français, cliquer ici Dear party leader,
My name is Simon-Pierre Rioux, president of the Quebec Electric Vehicle Association (www.aveq.ca) and member of board of directors of Electric Mobility Canada. With my many roles as a volunteer in the electric vehicle (EV) field, I represent more than 12,000 EV owners across Canada. Our great country is currently the only industrialized country which does not have a policy or an action plan for transport electrification in order to reduce its GHG emissions and improve the quality of life of its citizens. Canada produces electricity that mostly comes from renewable sources. We must take full advantage of this situation for the Canadian economy. We want to know what the party name plans to present as a Canadian transport electrification strategy for the upcoming elections: 1) 99% of EVs are in Quebec, Ontario and British-Columbia because of the provincial financial incentives when buying or renting such a car. What are your plans to grow this mode of transportation in the country? 2) All industrialized countries offer an incentive when acquiring an EV. In the United States, we are talking about 7,500$USD Federal incentive aside from the State incentives. Will you establish a federal incentive when buying/renting an EV for an individual, a fleet or a company? 3) Governments across the globe are leading by example. Will you give instructions to the ministers for them to integrate EVs to their fleets? 4) Workplace charging infrastructure is a sine qua non condition to the adoption of electric vehicles. Will there be a program for enterprises and employers to install 240V charging stations? 5) To this day, the vast majority of EVs are sent in priority to countries and states (CA, OR, NJ, NY MA, and even smaller ones VT, NH, CT, ME, MD, RI) which have voted a Zero Emission Law to force OEMs to offer non-polluting vehicles at the risk of financial penalties. It is thus very difficult to get an EV in Canada. There are few models in the showrooms and some models are not at all available since we do not have a Zero Emission Law. Will you legislate in favour of consumers who do want to have access to all the EV models by establishing a Zero Emission Law? 6) Charging infrastructures are vital to ensure the success of these vehicles and to lower range anxiety of future EV drivers. Close to 2,000 240V public charging stations (3-4 hour charging) have been installed in Canada by enterprises that invest to decarbonise transportation (see www.evchargehub.com). The 400V fast charging stations will allow for 15-20 minute charging under normal conditions. These stations open the territory to Canadians who wish to drive long distances. Do you plan to invest in fast charging station deployment on major transit roads and major cities as it is the case in other countries? 7) Consumers must of course be properly educated on EVs, their availability, the presence of numerous new 400V charging stations on Canadian roads and the multiple environmental and financial advantages of this fantastic mode of transportation. How do intend to increase awareness about EVs? 8) For any government, each investment must be cost effective and create jobs. There is today a young industry in Canada that is involved in transport electrification: providers, manufacturers, research centres and universities (www.inno-ve.ca/) that invest and create jobs in this fast growing sector. The parallel is often made between aeronautic industry and electric mobility industry as the next Canadian symbol. Research is often supported by the private sector. How do you plan to support the electric mobility industry in Canada? 9) In the Canada-Europe Free Trade Agreement, the governments have committed to improve the environmental performance of automobiles and support the efforts of the harmonization of standards such as vehicle security. Since the EVs that are manufactured in Europe respect European standards and cannot be sold in Canada, do you agree to prioritize the harmonization process for EVs? 10) Do you plan to discuss transport electrification during the upcoming Leader’s Debates? Contrary to popular opinion, Western Canada is ready for this type of vehicle. Steve Williams, CEO of Suncor, has even recently declared that he was in favour of a carbon tax. “We think climate change is happening […] We think a broad-based carbon price is the right answer.” We thank you for taking time to consider our questions which are the cornerstone of an innovative federal strategy in the field of transport electrification. It would be important for us to obtain answers to our questions before August 31, 2015 in order to direct the vote of our members and supporters. The answers of all parties will be published on our website as soon as September 1st, 2015. I wish you an electoral season full of success. Sincerely, Simon-Pierre Rioux, Member of board of directors of Electric Mobility Canada President of the Quebec Electric Vehicle Association (www.aveq.ca) Très faible de la part du Parti Libéral, et très décevant.
"National Drive Electric Week" aura lieu cette année du samedi 12 au dimanche 20 septembre à travers l’Amérique; il y aura différentes activités organisées à travers le Canada, et l'AVÉQ en organisera au Québec aussi. Nous utiliserons cette semaine afin de mettre de l'avant les réponses des différents partis fédéraux à nos questions [lien] lors de nos interactions avec les médias, qui seront aussi traduites en anglais pour que d'autres associations canadiennes puissent les utiliser à leur tour. Nous vous tiendrons au courant des prochaines étapes. Contributeur: Simon-Pierre Rioux En ce jour de Fête du Canada, nous aimerions vous mettre à jour sur ce qui s'est passé depuis notre initiative en politique fédérale pour encourager les partis à présenter une stratégie d'électrification des transports. »»» Lire Électrification des transports au Canada: l'AVÉQ présente sa stratégie pour les prochaines élections fédérales
"Nous commencerons par étendre la déduction pour amortissement accéléré aux investissements dans les technologies de stockage de l’électricité et les bornes de recharge pour voitures électriques" Projet porteur pour l’ex-première ministre Pauline Marois, l’électrification des transports tarde à décoller avec le gouvernement libéral. Le plan qui devait être présenté en juin par le ministre des Transports Robert Poëti a été repoussé et une confusion demeure sur le moment où la stratégie sera déposée. En avril dernier, les intentions étaient pourtant claires. Lors de l’événement Branchez-vous, le ministre avait affirmé par deux fois que le plan «allait être annoncé en juin». Selon nos sources, la date avait même été arrêtée au 15 juin. «Notre participation à cet événement démontre l’engagement et la ferme volonté du gouvernement pour l’électrification des transports», avait-il dit alors devant une salle acquise à sa cause qui l’avait chaudement ovationné. Mais la situation a totalement changé. Le décès de l’ancien premier ministre péquiste Jacques Parizeau a repoussé l’annonce de la stratégie maritime, projet phare du premier ministre Philippe Couillard. Tous les autres projets ou initiatives ont donc été repoussés eux aussi. Mais il y a plus. Selon nos informations, le plan d’électrification qui avait été complété «à 98 % par les fonctionnaires» doit être en parti revu. «Les fonctionnaires pensaient que tout était terminé, mais certains sont déçus de devoir plancher là-dessus durant l’été», nous a dit cette source bien au fait du dossier. Si en avril, il était clair que le plan devait être déposé en juin, au ministère des Transports, on ne semblait pas informé des intentions du ministre formulées publiquement. «Ce sera déposé dans quelques semaines», nous a dit un porte-parole, Benoît Lachance, qui n’était pas au courant d’une annonce en juin. Au cabinet du ministre, le délai est différent et on parle maintenant d’une annonce d’ici «quelques mois», mais clairement, elle ne sera pas faite en plein été ou avant la stratégie maritime. La cible pourrait être début septembre. «Il ne se passe pas grand-chose» En attendant, l’industrie des véhicules électriques commence à perdre patience envers le ministre et le gouvernement. «Ce gouvernement a été élu il y a 14 mois, mais il ne se passe pas grand-chose. En 18 mois, l’autre gouvernement en avait fait tellement plus. On se demande vraiment ce qui se passe», nous a dit Yvon Bergeron, porte-parole de la Coalition zéro émission Québec. Selon ses dires, le plan pourrait être annoncé à la fin de l’été ou au début de l’automne, «mais l’information est difficile à obtenir actuellement». Dans ce plan, le ministre Poëti pourrait aller de l’avant avec des voies réservées aux véhicules électriques comme cela se fait déjà sur l’Autoroute Robert-Bourassa à Québec. Une initiative qui est saluée par l’industrie mais qui est toutefois assez peu. D’ailleurs, plusieurs réclament toujours une loi zéro émission qui obligerait les fabricants à proposer des véhicules électriques aux Québécois, comme cela se fait dans plusieurs États américains. Un projet de loi a été déposé par l’ex-ministre des Ressources naturelles Martine Ouellet. Depuis plusieurs années, plusieurs clients qui aimeraient faire le changement vers un tel véhicule se bute à une offre loin d’être suffisante. Selon nos informations, le ministre Poëti ne serait pas chaud à l’idée et croit que les fabricants vont proposer plus de véhicules aux Québécois sans une loi qui les obligerait. En avril, le ministre Poëti se disait toutefois fier des efforts déployés par son gouvernement jusqu’ici. Selon lui, plusieurs mesures ont été mises en place comme un corridor électrique sur l’autoroute 40 entre Québec et Montréal, l’implantation de voies réservées et l’électrification de la flotte des véhicules de ministères. Source: Canal Argent / Olivier Bourque Contributeur: Simon-Pierre Rioux Monsieur «...» Chef du Parti «...» Cher Monsieur «...», Je me présente: Simon-Pierre Rioux, président de l’Association des véhicules électriques du Québec (www.aveq.ca), et membre du conseil d’administration de Mobilité Électrique Canada (www.emc-mec.ca). À travers mes différentes fonctions comme bénévole, je représente plus de 11,000 propriétaires de véhicules électriques (VÉ) à travers le Canada. Le Canada est présentement le seul pays industrialisé qui ne possède aucune politique ni aucun plan d’action pour l’électrification des transports qui permettrait ainsi de diminuer nos émissions de GES et d’améliorer la qualité de vie des citoyens. Le Canada a une production d’électricité qui repose en bonne partie sur une source renouvelable. Il est tout à notre avantage de profiter au maximum de cet avantage pour l’économie de notre pays. Nous voulons savoir ce que le Parti «...» a l’intention de présenter comme stratégie d’électrification des transports à travers le Canada aux prochaines élections: 1) 99% des VÉ sont au Québec, Ontario et Colombie-Britannique grâce aux incitatifs financiers provinciaux à l’achat/location. Qu’allez-vous faire pour augmenter la progression de ce mode de transport à travers le pays? 2) Tous les pays industrialisés offrent un incitatif à l’acquisition d’un VÉ. Aux É-U on parle de 7,500$USD en plus des incitatifs locaux. Allez-vous doter le Canada d’un incitatif fédéral à l’achat/location d’un véhicule électrique pour les particuliers, les flottes et les entreprises? 3) Les gouvernements à travers la planète prêchent par l’exemple dans ce domaine. Allez-vous à votre tour donner des directives aux ministères pour qu’ils se procurent des véhicules électriques pour leurs flottes? 4) Notez que l’infrastructure pour la recharge au travail est sine qua none à l’adoption de ces véhicules non polluants. Y aura-t-il un programme pour doter les entreprises et les employeurs de bornes de recharge 240V? 5) Présentement, la grande majorité des véhicules électriques sont envoyés prioritairement dans des pays et États (CA, OR, NJ, NY MA, et même les petits VT, NH, CT, ME, MD, RI) qui possèdent une loi Zéro Émission forçant les manufacturiers à offrir des véhicules non-polluants sous peine de pénalités financières. Il est donc difficile de se procurer des VÉ au Canada, il y a peu d’exemplaires chez les concessionnaires, et certains modèles ne sont carrément pas disponible ici puisque nous n’avons pas ce type de loi. Avez-vous l’intention de légiférer en la faveur des consommateurs qui veulent un accès à tous les modèles de VÉ grâce à une loi Zéro Émission? 6) Les infrastructures de recharge sont vitales pour assurer le succès de ces véhicules, et pour apaiser les craintes de panne des futurs propriétaires de VÉ. Déjà, près de 2,000 bornes publiques de recharge lente 240V (3-4 heures pour une recharge) ont été installées à travers le Canada par des entreprises qui s’investissent à la décarbonisation des transports (visibles sur www.evchargehub.com). Les bornes rapides à 400 volts permettent la recharge en 15-20 minutes dans les meilleures conditions, elles ouvrent le territoire à tous les Canadiens voulant parcourir les routes du pays. Avez-vous l’intention d’investir dans le déploiement de ces bornes rapides à travers les grands axes routiers du Canada et dans les grands centres urbains comme c’est le cas ailleurs dans le monde? 7) Bien entendu, les consommateurs doivent être renseignés correctement sur les véhicules électriques, leur disponibilité, la présence de nombreuses nouvelles bornes rapides 400V sur les routes Canadiennes et sur leurs nombreux avantages environnementaux et financiers qu’offrent l’utilisation de ce fantastique mode de transport. Comment avez-vous l’intention de sensibiliser les Canadiens aux véhicules électriques? 8) Pour tout gouvernement, chaque investissement doit être rentable et créer des emplois. Il y a présentement une jeune industrie au Canada qui est engagée dans l’électrification des transports, ce sont des fournisseurs, constructeurs, centres de recherche, ou encore des universités (http://www.inno-ve.ca) qui investissent et créer des emplois dans ce secteur en pleine expansion. Le parallèle a souvent été fait entre l’industrie aéronautique et l’industrie électromobile qui serait le prochain flambeau canadien. Plusieurs recherches sont soutenues par l’industrie privée. Comment avez-vous l’intention de supporter l’industrie de l’électromobilité au Canada? 9) Dans l`accord de libre-échange Canada-Europe, les gouvernements se sont engagés à améliorer la performance environnementale des véhicules automobiles et à appuyer les efforts pour l’harmonisation des règlements incluant la sécurité des véhicules automobiles. Puisque les véhicules électriques manufacturés en Europe selon les normes européennes ne peuvent pas être vendus au Canada, êtes-vous d’accord pour prioriser le processus d’ harmonisation pour les véhicules électriques? 10) Avez-vous l’intention d’aborder le sujet d’électrification des transports lors des débats des Chefs? Contrairement à la croyance populaire, l’Ouest du Canada est prêt pour ce type de véhicule. Le PDG de Suncor, Steve Williams, a même récemment déclaré qu’il était favorable à une taxe sur le carbone. "We think climate change is happening, »; "We think a broad-based carbon price is the right answer. » Nous vous remercions de prendre le temps de considérer nos questions qui sont la pierre angulaire d’une stratégie fédérale innovatrice en matière d’électrification des transports. Il serait important pour nous d’obtenir une réponse à nos questions d’ici le 31 août 2015 dans le but d'orienter le vote de nos membres et sympatisants. Les réponses de tous les partis seront publiés sur notre site dès le 1er septembre 2015. En vous souhaitant une période électorale remplie de succès. Cordialement, Simon-Pierre Rioux, Membre du conseil d’administration de Mobilité Électrique Canada Président, AVÉQ.ca Voici la lettre qui a été envoyée aujourd'hui aux chefs des partis politiques fédéraux afin de s'assurer que l'électrification des transports sera à l'agenda lors des élections fédérales du 19 octobre prochain. Le Canada est le seul pays industrialisé qui ne possède aucune initiative en matière d'électrification des transports, ce qui est inacceptable dans la lutte mondiale contre la pollution, le smog, l'impact sur la santé des citoyens, et les tensions géopolitiques liées au secteur pétrolier, entres autres. Nous avons donc contacté les chefs suivants:
pour les inviter à répondre à nos questions afin d'orienter leur future politique d'électrification des transports. Leurs réponses seront publiées sur notre site le 1er septembre. Véhicules électriques: ce qui doit être fait pour éliminer les carburants fossiles d’ici 25 ans15/5/2015 Plus de quatre ans après une pénétration significative du marché du VÉ, des efforts concertés par les constructeurs automobiles, les gouvernements, et les défenseurs assortis ont assuré un minimum de succès. Mais que faudrait-il pour que les voitures électriques deviennent la norme?
Plug-In America croit qu'il est non seulement possible pour les voitures électriques de remplacer les véhicules à combustion interne, mais que les bonnes politiques pourraient permettre le tout d’ici 25 ans. Le groupe a publié un rapport la semaine dernière qui fait le survol des efforts pour promouvoir les voitures électriques entre 2011 et aujourd'hui. Le rapport conclut que le principe de "l’union fait la force" est nécessaire et doit remplacer les efforts actuellement disparates pour promouvoir les voitures électriques. Il a identifié une kyrielle de politiques gouvernementales actuelles et incohérentes, et noté que certains efforts sont victimes des caprices de constructeurs automobiles et d'autres intérêts corporatifs avec pour conséquence de freiner l’adoption massive des VÉ. Le rapport comprend 11 «principales conclusions» dans trois domaines principaux: le marketing, les politiques publiques et les réseaux de soutien potentiels. L’importance de la sensibilisation Du côté marketing, Plug-In America appelle à un effort plus large qui fait la promotion des voitures électriques comme une catégorie en soi, plutôt que de compter sur la promotion des fabricants . Le rapport note que les voitures électriques se vendent bien dans les grandes zones métropolitaines – autant sur la Côté ouest que sur la Côté est - mais pas au centre des États-Unis. Pour hausser les ventes, Plug-In America propose d’offrir plus de modèles. Le rapport appelle les constructeurs automobiles à offrir des modèles à l'échelle nationale, y compris les camions et VUS, et encourage les concessionnaires à les promouvoir activement. Politiques VÉ Le rapport suggère également un alignement des politiques qui font la promotion des VÉ à l’échelle nationale. Cela signifie aussi de normaliser la signalisation des bornes. Source: GreenCarReports Depuis 2011, plus de 300 000 véhicules hybrides et électriques ont été vendus aux États-Unis, dont près de 120 000 unités en 2014 seulement. Il s’agit d’une augmentation importante, surtout en considérant que certains VÉ ne sont disponibles que dans certains états américains.
Plug-In America a émis un rapport qui comprend 11 recommandations pour augmenter les parts de marché du VÉ aux États-Unis. En voici un résumé : # 1: Manque de connaissance sur les véhicules électriques rechargeables et leur technologie # 2: La disponibilité restreinte des VÉ # 3: Un petit nombre de constructeurs automobiles domine le marché du VÉ # 4: Un manque flagrant d’efforts coordonnés pour la promotion nationale du VÉ dans les médias # 5: Efficacité des conduites d’essai pour augmenter les ventes # 6: Les VÉ sont un moyen efficace d’atteindre les cibles environnementales des États-Unis # 7: Des politiques en faveur du VÉ sont nécessaires à tous les paliers de gouvernement # 8: Partage de l’expérience des conducteurs de VÉ et des meilleures pratiques # 9: Les VÉ jouissent d’un soutien bipartisan auprès des législateurs. #10: Les conducteurs de VÉ sont les mieux placés pour répandre la bonne nouvelle #11: Les fondations philanthropiques doivent jouer un rôle plus proéminent Source: CleanTechnica |
Abonnez-vous à notre infolettre hebdomadaire
Use a valid e-mail address Votre inscription est confirmée.
xhr
100
NOS PARTENAIRES |