L'AVEQ Laurentides en donnait plein la vue lors de 2 événements simultanés cette fin de semaine
Nous avons commencé en partenariat avec le premier événement Branchez-Vous qui avait lieu à St-Jérôme les vendredi 27 et samedi 28 avril
Samedi le 28 avril, la municipalité de Ste-Lucie-des-Laurentides a sollicité la présence de l'AVEQ pour tenir un kiosque d'information lors de leur journée environnement qui avait lieu à l'église de Ste-Lucie. Sur la photo ci-haut, nous pouvons voir Mme Marie-Ève Gagné déléguée de Lanaudière et Mme Stéphanie Hogue des Laurentides prier pour que l'essence monte a 2$ le litre afin que tous les gens puissent prendre le virage vert ! ;-)
Source : Éric Racine - Directeur régionale AVÉQ - Laurentides
Contribution : Martin Archambault
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Dans le but de promouvoir le transport écologique, la Ville de Prévost offre à ses résidents 100 $ de subvention municipale à l'achat et à l'installation d'une borne domestique de recharge pour véhicule électrique ou hybride rechargeable.
Malgré les programmes gouvernementaux et les nombreux avantages des véhicules électriques, le coût additionnel à l’achat demeure toujours une barrière par rapport aux véhicules à essence. C’est pourquoi, la Ville de Prévost souhaite bonifier l’offre du gouvernement du Québec par l’octroi d’une aide financière additionnelle et ainsi favoriser l’achat de véhicules électriques par ses citoyens. Plus d'une borne par résidence peut être subventionnée dans le cas où les résidents possèdent plus d'un véhicule électrique. Les personnes intéressées trouveront plus de détails au www.ville.prevost.qc.ca > Onglets |Services municipaux | Environnement | Programmes et subventions.
Le député Marc Bourcier s’inquiète du choix de l’utilisation de l’hydrogène du Parti libéral du Québec qui, selon lui, aura des répercussions négatives sur le développement du transport électrique, mais aussi sur une entreprise de Saint-Jérôme, la Compagnie Électrique Lion.
« L’arrivée de l’hydrogène risque fortement de retarder les projets électriques déjà en cours », souligne M. Bourcier.
Selon le député, l’hydrogène est une ressource excessivement dispendieuse. « Il coûte sept fois plus cher de rouler à l’hydrogène qu’à l’électricité sur une distance de 100 kilomètres. De plus, une seule station-service d’hydrogène coûte 4 M$, tandis qu’une borne de recharge rapide vaut 50 000 $. Deux stations seront construites dans le cadre du projet pilote du gouvernement libéral. Les sommes investies permettraient de doubler le nombre de bornes de recharge rapide au Québec », explique ce dernier. Pour Marc Bourcier, le fait de rouler à l’hydrogène permet l’utilisation des carburants fossiles produits en Arabie Saoudite ou aux États-Unis à coût moindre que l’hydrogène généré par électrolyse. « Favoriser les véhicules électriques, c’est faire usage de l’électricité produite ici, au Québec, par des Québécois », ajoute le député de Saint-Jérôme. « Ce choix de l’hydrogène ne va que retarder les nombreux projets électriques, ce qui sera dommageable et même néfaste pour l’électrification des transports. Dernièrement, le Parti Québécois a mis en lumière les liaisons dangereuses entre le Parti libéral et la filière de l’hydrogène. Est-ce en raison du lobby libéral que le gouvernement a décidé de se tourner vers l’hydrogène ? », questionne le député de Saint-Jérôme et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’électrification des transports, Marc Bourcier. Inquiétude pour les emplois d’ici L’hydrogène est dangereux pour l’électrification et pour de nombreux emplois à Saint-Jérôme. La Compagnie Électrique Lion, de Saint-Jérôme, continue sa progression dans l’électrification du transport scolaire et compte prochainement tripler la superficie de ses installations pour répondre à la demande de son nouveau camion urbain. Cette compagnie jérômienne innovante de l’industrie du transport contribue à l’économie des Laurentides avec ses 120 employés et envisage maintenant de concurrencer Tesla. « Pour permettre aux entreprises de chez nous, comme la Compagnie Électrique Lion, de continuer leur progrès dans l’énergie propre, le gouvernement doit offrir un meilleur soutien », conclut le député. Source : Journal le Nord
Dans un esprit de courtoisie, nous vous demandons de rester à proximité de votre véhicule lors de la recharge et libérer la borne dès que possible afin qu’un autre électromobiliste puisse en profiter. Cliquez-ici et lisez l'encadré orangé afin de prendre connaissances des bonnes règles de conduite avec une borne de recharge rapide.
Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information! => D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique
Souhaitant apporter sa contribution dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), un constructeur québécois s’est récemment lancé dans la fabrication de camions 100 % électriques. Une première dans la province qui a amorcé un virage vert dans le secteur des transports ces dernières années.
La société lavalloise Nordresa, spécialisée en camions électriques, a reçu la semaine passée la première plaque verte de type L — destinée aux camions électriques de plus de 3000 kg — des mains du ministre des Transports, André Fortin.
« L’industrie du transport de marchandises est l’une des plus polluantes au monde. L’arrivée des camions électriques sur nos routes est une excellente nouvelle, puisqu’ils permettent de réduire l’émission de GES tout en offrant des économies appréciables aux utilisateurs », fait remarquer le fondateur de Nordresa, Sylvain Castonguay. Son équipe travaille depuis 2015 à la transformation de camions traditionnels, fonctionnant à essence ou au diesel, en camions électriques. Le moteur est ainsi vidé et remplacé par un moteur à batteries importées de Corée du Sud ainsi qu’un système de propulsion développé par les ingénieurs de Nordresa. ![]()
C’est avec grande fierté que Nordresa, une entreprise qui conçoit et fabrique des systèmes de propulsion pour véhicules électriques, a reçu la visite de Monsieur André Fortin, ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports (MTMDET). Monsieur Fortin a procédé à la remise de la toute première plaque verte de type L au Québec, laquelle est destinée aux camions électriques de plus de 3 000 kg.
« L’industrie du transport de marchandise est l’une de plus polluantes au monde. L’arrivée des camions électriques sur nos routes est une excellente nouvelle, puisqu’ils permettent de réduire l’émission de gaz à effet de serre tout en offrant des économies appréciables aux utilisateurs. Nous sommes fiers d’être la première entreprise canadienne à offrir un camion électrique qui répond à ces deux objectifs. De plus, notre camion est conçu et fabriqué ici au Québec. C’est donc le seul au monde à avoir été testé pour résister aux conditions hivernales québécoises. », indique Sylvain Castonguay, président et fondateur de Nordresa.
Comme les voitures électriques, les camions électriques de Nordresa ont droit à plusieurs avantages puisqu’ils sont admissibles à la plaque verte :
Fondée en 2015, Nordresa s’est donnée pour mission d’être un leader de la mobilité durable en développant et fabriquant des véhicules électriques destinés au transport de marchandises. Située à Laval, Québec, l’entreprise commercialise des systèmes de propulsion électriques pour véhicules commerciaux. Les camions de Nordresa – les seuls ayant été conçus et testés pour résister à nos hivers québécois – permettent à ses clients du Canada et d’ailleurs de réduire considérablement l’émission de gaz à effet de serre tout en offrant un retour rapide sur l’investissement. A l’heure actuelle, l’entreprise offre deux plateformes, soit la série W, une fourgonnette construite sur le châssis Ford E-450, et la série T, des camions à cabine avancée. Tous nos produits sont admissibles au programme Écocamionnage. Pour en savoir plus sur Nordresa :
DESCRIPTION DU POSTE
Relevant du chargé de projet « Flotte Rechargeable », le conseiller en électrification participera au projet en démarchant des entreprises participantes pour notre projet de démonstration dans les flottes commerciales. Il sera responsable de fournir au chargé de projet les informations des entreprises contactées et indiquer celles qui auront rempli le sondage. STATUT •Contrat à durée déterminée, fin anticipée aout 2019; • Temps partiel de 20 à 35 heures par semaine. PRINCIPALES RESPONSABILITÉS • Prendre contact avec les entreprises et identifier le gestionnaire de la flotte; • Valider les principaux critères d’éligibilité avec l’entreprise; • Proposer l’essai gratuit de 5 à 8 véhicules électriques pendant 3 semaines; • Obtenir de l’entreprise qu’elle complète le formulaire qui permettra de valider son éligibilité; • Tenir à jour une liste d’entreprises ayant une flotte de véhicules légers (automobiles); • Assurer le respect des ententes de visibilité avec les partenaires; • Assurer la logistique de transport et installation chez les participants; • Communiquer les résultats au chargé de projet. PROFIL RECHERCHÉ • Connaissance et intérêt pour les véhicules électriques, l’innovation et l’environnement; • Entregent ; • Maîtrise des communications, orales et écrites, en français et en anglais; • Maîtrise de la suite Office sous Windows. QUALITÉ ET APTITUDES • Rigueur et minutie; • Flexibilité sur l’horaire et polyvalence; • Professionnalisme; • Leadership, dynamisme et autonomie; • Bon sens du jugement. À noter que la forme masculine est utilisée aux fins de simplification du texte. SVP envoyez votre CV, votre lettre de motivation et tous liens pertinents en mentionnant le numéro de l’offre d’emploi OEIVI18001_FLOTTE à : Mme Claudine Leblanc : cleblanc@ivisolutions.ca Date limite : 16 février 2018
La municipalité de Val-David et l'Association des Véhicules Électriques du Québec (l'AVEQ) Laurentides étais heureux de faire l'inauguration, samedi le 18 novembre, de 2 bornes de recharges, pour véhicules électriques, offert gratuitement par la municipalité.
Merci au bénévoles de l'AVEQ ainsi qu'aux citoyens et membres du conseil municipal de Val-David qui on bravé le froid pour discuté de l'électrification des transports.
>> D'autres actualités dans les Laurentides Source : Eric Racine, Directeur régional AVÉQ - Laurentides Contribution : Martin Archambault
La Ville de Sainte-Agathe-des-Monts fera partie du Circuit électrique de la société Hydro-Québec. Le conseil municipal a adopté une résolution en ce sens, le 3 octobre, lors de sa dernière assemblée publique. On veut conclure des ententes avec Hydro-Québec et le ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles pour acquérir une borne de recharge.
"Les infrastructures publiques de recharge permettent aux automobilistes de rouler l’esprit tranquille en leur offrant la possibilité de se ravitailler en chemin lorsque nécessaire", souligne le maire de Sainte-Agathe-des-Monts, Denis Chalifoux. "Cette initiative se veut aussi une autre façon de démontrer que notre ville entend faire sa part pour favoriser la réduction de la pollution atmosphérique, et ce, dans l’intérêt de toute la population."
Centre-ville Une nouvelle borne de recharge sera donc installée au cœur du centre-ville de Sainte-Agathe-des-Monts, soit dans le stationnement municipal situé près de l’école Notre-Dame-de-la-Sagesse. Elle s’ajoutera à celle déjà en place dans le stationnement de la Rôtisserie St-Hubert. "Le centre-ville de Sainte-Agathe-des-Monts se retrouvera ainsi sur la carte officielle du Circuit électrique, ce qui incitera peut-être les propriétaires de véhicules électriques à venir nous visiter et à encourager nos commerçants", prévoit le maire. Le Circuit électrique est le premier réseau de bornes de recharge publiques pour véhicules électriques au Canada. Les bornes sont installées dans les stationnements de ses nombreux partenaires partout au Québec et dans le nord-est de l'Ontario. Le Plan d’action 2011-2020 sur les véhicules électriques, initié par le gouvernement du Québec, vise à mettre sur pied un plan de déploiement d'infrastructures de recharge pour véhicules électriques pour favoriser leur autonomie. Source : L'information du Nord - Ste-Agathe Contribution : Martin Archambault
La Ville de Saint-Jérôme appuie le projet de l’Institut du véhicule innovant (IVI) pour se doter d'un nouveau bâtiment, afin de regrouper le personnel et les équipements actuels et pour répondre aux besoins technologiques du transport avancé et durable.
Le projet, qui est estimé à 10 M$, permettra la création d’emplois de haute technologie à Saint-Jérôme, ce qui pourrait attirer des entreprises du secteur et d’autres acteurs de l’écosystème de l’innovation et de la formation.
Cette annonce a été faite par le maire Stéphane Maher, en présence du directeur général de l’IVI, François Adam et de Nadine Le Gal, directrice générale du Cégep de Saint-Jérôme. Cession de terrain «La Ville de Saint-Jérôme désire appuyer et contribuer à la réalisation du futur bâtiment de l’IVI, en s’engageant à céder une partie d’un terrain d’une superficie de 140 000 pieds carrés appartenant à la Ville et situé dans le quartier industriel, a dévoilé le maire. Reconnue comme ville pionnière et pilote du véhicule électrique au Canada, Saint-Jérôme entend continuer à promouvoir l’électrification des transports. Fort de cette orientation, le choix d’assurer la croissance de l’IVI sur son territoire et d’améliorer ses opérations afin de répondre à la demande était logique», a conclu M. Maher. Centre de recherche «Les projets de l’IVI occupent une équipe de plus de vingt personnes composée d’ingénieurs ainsi que d’employés techniques et de soutien. La nouvelle construction engendrera la création de 25 emplois supplémentaires en haute technologie à Saint-Jérôme. De plus, elle nous permettra de créer un centre de recherche de haut calibre et de positionner les Laurentides comme un incontournable dans le domaine, a souligné François Adam. Je tiens à remercier la Ville de Saint-Jérôme pour son appui. Ce partenariat confirme sa position de leader en matière de véhicule innovant», a signalé François Adam de l’IVI. Affiliation avec le Cégep «L’IVI est un centre collégial de transfert technologique (CCTT) affilié au Cégep de Saint-Jérôme. Les projets soutenus par l’IVI consolident le tissu industriel de la région des Laurentides et de l’ensemble du Québec. Nous saluons l’appui de la Ville de Saint-Jérôme pour ce nouveau projet de construction, qui permettra à l’IVI de croître et de propulser les industriels québécois sur l’échiquier mondial des véhicules électriques et intelligents», a déclaré Nadine Le Gal. Source: Journal Le Nord Contribution : Martin Archambault
Mise-à-jour: EN DIRECT: https://www.facebook.com/fred.allard/videos/10158886438335716/
Merci à Frédéric Allard pour la couverture vidéo! La mobilisation citoyenne prend parfois des tournures inattendues . En effet, devant la décision du groupe Harnois Groupe Pétrolier d'offrir des BRCC dans certaines de ses stations services et de surcroît, d'abaisser le tarif d'utilisation à 10$ / heure, les électromobilistes ont décidé de se mobiliser pour leur dire "MERCI"! Rappellons les faits : en mai dernier, nous annoncions la mise en service de cinq BRCC (bornes de recharge rapide) dans des stations services Harnois Groupe Pétrolier de la région des Laurentides et de Lanaudière. Installées par le réseau FLO, ces bornes marquent un tournant et un "statement" fort de la part d'une entreprise pétrolière québécoise: " Nous nous tournons tranquillement mais sûrement vers l'électrification des transports".. Après avoir annoncé la mise en service de la toute première de ces cinq BRCC à Ste-Adèle, Harnois Groupe pétrolier nous a grandement impressionné par sa capacité à réagir promptement face à l'insatisfaction des électromobilistes envers la tarification qui était proposée initialement. Rapidement, la tarification a été ajustée aux taux normalement en vigueur dans la majorité des sites de recharge, et ce à la très grande satisfaction de l'AVÉQ et des électromobilistes en général.
Nous vous demandons de bien vouloir confirmer votre présence via la page d'événement Facebook créée à cet effet. Ceci permettra d'évaluer le nombre de participants, et de prévoir assez de café pour tous les participants !
Harnois Groupe Pétrolier, votre décision était LA BONNE. L'AVÉQ, ses membres et les électromobilistes en général sauront vous le démontrer !
Remerciement : Richard Allard - François Viau
Source : Martin Archambault ![]() Nous sommes heureux de vous annoncer qu'une nouvelle borne de recharge rapide est désormais disponible pour les utilisateurs du réseau FLO à Sainte-Adèle, dans les Laurentides.
Dans un esprit de courtoisie, nous vous demandons de rester à proximité de votre véhicule lors de la recharge et libérer la borne dès que possible afin qu’un autre électromobiliste puisse en profiter. Cliquez-ici et lisez l'encadré orangé afin de prendre connaissances des bonnes règles de conduite avec une borne de recharge rapide.
Source : Flo
Contribution : Martin Archambault ![]() La Ville de Saint-Jérôme et le Circuit électrique ont annoncé la mise en service de huit nouvelles bornes de recharge publiques pour les véhicules électriques dans le stationnement P9 de la place de la Gare.
Les nouvelles bornes ont été implantées de sorte qu'elles puissent offrir une alternative intéressante pour les citoyens et visiteurs du centre-ville.
La Ville prévoit aussi offrir deux nouvelles bornes de recharge rapide, lesquelles s'ajouteront à celle déjà implantée sur le site du Restaurant St-Hubert. D'ailleurs, cette dernière constitue l'une des bornes électriques les plus utilisées sur tout le réseau québécois du Circuit électrique. L'électrification des transports fait partie du plan stratégique Destination 2020 et vise à assurer un développement écoresponsable du territoire, de l'émergence de projets d'expérimentation, de vitrine technologique et d'entreprises innovantes, dont Les Autobus Lion, et de favoriser la synergie avec les établissements d'enseignement. «Capitale régionale et administrative des Laurentides, la Ville de Saint-Jérôme s'est positionnée comme leader en électrification des transports et poursuit ses démarches avant-gardistes aux côtés des régions du Québec, du Canada et du monde pour apporter une réponse aux changements climatiques et nous en sommes fiers», a affirmé le maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher. On compte maintenant 17 bornes sur le territoire de Saint-Jérôme et 67 bornes dans la région des Laurentides, dont quatre bornes rapides. Le Circuit électrique est le plus important réseau de recharge public du Québec et compte plus de 800 bornes de recharges, dont 70 bornes rapides, déployées dans seize régions du Québec. Depuis son inauguration en mars 2012, 185 partenaires se sont joints au projet et le réseau compte maintenant plus de 12 000 membres. Source : Le Mirabel Contribution : Martin Archambault Cinq stations-service multi-carburants dans Lanaudière et les Laurentides d'ici octobre 201725/5/2017 ![]() FLO est heureux de s'associer avec Harnois Groupe pétrolier pour déployer cinq nouveaux sites de recharge qui contribueront à faciliter les déplacements électriques dans les Laurentides et Lanaudière.
Pour Harnois Groupe pétrolier, il s'agit de la première étape d'un projet plus vaste de développement d'un réseau de stations-service multi-carburants.
Chaque site sera équipé d'une borne de recharge rapide et d'une borne de niveau 2. La présence de ces deux types de bornes permettra de répondre aux besoins de tous les électromobilistes, qu’ils conduisent un véhicule entièrement électrique ou hybride rechargeable. Tous les sites ont été stratégiquement sélectionnés en raison de leur proximité avec des corridors de transit et la disponibilité d'aires de restauration qui permettront aux clients de se ravitailler pendant la recharge. Ces déploiements contribueront notamment à bonifier l'offre de recharge rapide sur la route achalandée reliant Montréal et Mont-Tremblant. Tous les sites devraient être mis en service d'ici octobre 2017. Liste complète des sites de recharge visés par le projet
Le projet est notamment rendu possible par le soutien de Ressources naturelles du Canada.
Source : Flo
Contribution : Martin Archambault Le jeune Raphaël, un étudiant de secondaire 5 de l'Académie Lafontaine peut dire mission accomplie pour son projet étudiant de fin d'année. Raphaël à lancé le tout premier salon du véhicule électrique au carrefour du Nord de St-Jérôme. L'AVEQ Laurentides avec leur nouveau directeur régional Eric Racine, était sur place pour répondre aux questions des curieux et de ceux qui pensent changer leur véhicule pour un tout électrique ! BMW Laval était présent avec la i3, Chrysler St-Jérôme étais fier de présenter leur première mini-fourgonette hybride, la Pacifica. Chevrolet St-Jérôme présentait la Volt 2017. Grâce à un bénévole de l'AVÉQ nous avons également eu la présence de la Bolt EV. Finalement, soulignons la présence de Belvédère Nissan avec la Leaf. La générosité d'un bénévole de L'AVEQ a permis au projet étudiant de Raphaël d'avoir une Tesla modèle X sur place. L'équipe de L'AVEQ Laurentides et son directeur régional tiennent à féliciter Raphaël pour son implication et son intérêt pour l'électrification des transports. Source : Eric Racine, directeur régional - Laurentides - Association des Véhicules Électriques du Québec
Contribution : Martin Archambault
Depuis décembre 2016, la société Autobus Lion exporte ses autobus scolaires électriques eLion jusqu’en Californie. Avec 85 salariés, cette PME originaire de Saint-Jérôme est en pleine progression, avec un chiffre d’affaires qui dépasse les 20M$ grâce à un positionnement qui la place comme le seul fabricant d'autobus scolaires électriques à grande capacité en Amérique du Nord.
Lorsqu’il a monté la société en 2008, le comptable agréé Marc Bédard souhaitait bousculer le milieu conservateur des autobus scolaires, tant au niveau des matériaux que de la motorisation. En s’associant avec Camile Chartrand, ex-président du fabricant de bus scolaires Corbeil, les deux fondateurs ont d’abord mené 3 à 4 années de R&D visant à alléger le poids et le coût d’achat des véhicules. Après avoir commercialisé de premiers véhicules diesel en 2011, la société a travaillé sur le passage à l’électrique.
Avec plus de 70 bus scolaires électriques vendus à ce jour, la croissance de l’entreprise provient désormais essentiellement de ce marché. «En 2017, les véhicules électriques vont représenter plus de 50% de nos ventes. Nous avons commencé les livraisons dans des marchés comme la Californie, le Québec et la Nouvelle Angleterre», confie le cofondateur Marc Bédard, qui espère doubler le volume des ventes au cours des deux prochaines années. Une croissance électrique Seul fabricant d'autobus scolaires électriques à grande capacité en Amérique du Nord, les Autobus Lion s’attendent également à profiter des marchés qui émergent en Amérique du Nord. L’Ontario s’apprête par exemple à lancer son plan d’électrification des transports, comme le Québec qui a l’objectif d’atteindre les 100 000 véhicules électriques vendus d’ici 2020. «On regarde aussi des États à tendance verte comme ceux de Washington ou New York», glisse-t-il. En vertu de ces développements, les exportations pourraient même devenir dominantes à compter de 2018. Pour doper les ventes, Autobus Lion a recruté des distributeurs spécialisés, préalablement formés en vue de pouvoir réaliser l’entretien des véhicules électriques. «On pense à ouvrir une usine du côté américain d’ici quatre ans, même si notre site principal restera celui des Laurentides», s’engage Marc Bédard. Côté financement, la société a réalisé deux rondes en 2011 et 2015, dont les montants n'ont pas été révélés, auprès d’investisseurs privés dont XPND Capital, le fonds d’Alexandre Taillefer qui est derrière la flotte de taxis électriques québécois Téo. D’autres rondes de financement ne sont pas exclues pour conserver l’équilibre financier. Un marché subventionné Si les véhicules d’Autobus Lion possèdent pour l’instant une autonomie de 150 km, ce chiffre pourrait doubler d’ici 2 à 3 ans. Leur alimentation se fait via des bornes que le client achète auprès de fournisseurs recommandés par la société. «Les clients ont le choix entre 5 à 6 fournisseurs principaux, pour un coût net d’environ 2000$ la borne, car leur achat est remboursé à 50% par le gouvernement provincial», ajoute-t-il. Affichés à un tarif de 300 000$, les véhicules sont éligibles à une subvention de 125 000$ de la part du gouvernement du Québec, ce qui ramène le prix d’achat net à 175 000$. «Difficile de parler du prix sans la subvention», concède toutefois Marc Bédard, tant l’incitatif joue une place importante pour l’essor de ce marché. Mais ce dernier reste confiant, car la tendance est plutôt à l’arrivée de nouveaux plans verts dans les provinces canadiennes. «Les gouvernements fixent toujours un horizon de 5 ans, à l’intérieur duquel on s’attend à ce que l’augmentation des volumes et la maîtrise de la technologie fassent fondre la différence de prix existant entre le diesel et l’électrique». Un pari sur l’avenir. Alors que le marché des véhicules de grande dimension représente 30 000 ventes annuelles en Amérique du Nord, les Autobus Lion produisent 1 000 véhicules à l’année, «ce qui laisse une belle marge de progression». Un pari de constructeur Autobus Lion fait affaire avec plus de 400 fournisseurs de pièces (Québec, États-Unis, Asie) et assemble ensuite les véhicules dans son usine des Laurentides. «Nous faisons nous-même la production complète des châssis, des fourgons et du bloc batterie. L’objectif étant de ne dépendre d’aucun fournisseur», explique Marc Bédard. Avec un seul site dans les Laurentides cumulant à la fois la production et le bureau des ventes, Autobus Lion fonctionne avec une armée de vendeurs au Québec et en Ontario, et de distributeurs dans les autres régions. «Nos clients sont principalement des opérateurs ou des commissions scolaires», précise Marc Bédard. La PME regarde déjà d’autres secteurs comme le transport de marchandises, un marché qui représente plusieurs centaines de milliers de véhicules vendus chaque année, et où le rendement sur le capital investi pourrait être encore plus important étant donné le nombre de kilomètres parcourus. Autobus Lion en quelques chiffres Année de création : 2008 Chiffre d’affaires annuel: 20M$ Marchés desservis: Canada, États-Unis Emplacement du siège social: Saint-Jérôme Objectif pour l’année à venir: Développer les ventes de son nouvel autobus électrique eLion au Canada et aux États-Unis. Autobus Lion en quelques chiffres Année de création : 2008 Chiffre d’affaires annuel: 20M$ Marchés desservis: Canada, États-Unis Emplacement du siège social: Saint-Jérôme Objectif pour l’année à venir: Développer les ventes de son nouvel autobus électrique eLion au Canada et aux États-Unis. Source : Marie Lyan - Les Affaires Contribution : Martin Archambault Autobus Lion fabrique des autobus électriques depuis 2011 et a commencé à les vendre en 2015. Depuis, l'entreprise en a vendu environ 70, dont une cinquantaine au Québec. « Ce nombre augmente à chaque semaine », explique Marc Bédard, président d'Autobus Lion.
« Chaque semaine, nous envoyons un à deux autobus électriques à Sacramento [en Californie]. Ils vont nous en acheter une trentaine en tout. Et nous discutons aussi avec la région de Los Angeles pour en fournir environ 80 de plus, parce que la Californie est très sérieuse dans sa volonté d'électrifier les transports », poursuit M. Bédard. L'entreprise de Saint-Jérôme a commencé par construire des véhicules à moteur diésel, mais depuis 2014, elle a mis au point un modèle entièrement électrique, ce qui en fait le seul fabricant d'autobus scolaires électriques à grande capacité en Amérique du Nord. Autobus Lion compte 85 employés et assemble tous les composants de ses véhicules. « Nous assemblons aussi nos batteries », insiste Marc Bédard. « Nos autobus offrent une autonomie qui varie de 90 à 120 kilomètres, selon le modèle. » Chaque véhicule se vend un peu moins de 300 000 $. Le gouvernement du Québec offre une subvention d'environ 125 000 $. « Sans la subvention, ça ne serait pas rentable », affirme pour sa part Pierre Breton, d'Autobus Breton, à Saint-Georges, qui possède deux autobus électriques. « Il est souhaitable que cette subvention soit maintenue si on veut continuer à encourager les transporteurs à acheter des autobus électriques », poursuit-il. À l'heure actuelle, il faut compter entre six et sept ans pour rentabiliser l'investissement à la suite de l'achat d'un autobus électrique, selon Marc Bédard, des Autobus Lion. Source et Article Complet : Radio-Canada Contribution : Martin Archambault
L'AVÉQ est fière d'annoncer la nomination de deux nouveaux directeurs régionaux ainsi que d'un directeur adjoint, afin de parfaire son équipe de directions régionales.
MONTRÉAL
Afin d'appuyer M. Trudel dans ses nouvelles fonctions, l'AVÉQ est également fière d'annoncer la nomination de M. Éric Lacoursière à titre de directeur adjoint pour la région de Montréal. Bienvenue à Éric !
Dans le but de parfaire leur équipe, M. Trudel et M. Lacoursière auront besoin de volontaires prêts à s'impliquer avec lui eux de faire rayonner l'électromombilité dans la grande région de Montréal. Le défi est grand et nous aurons besoin d'aide. N'hésitez pas à soumettre votre intérêt à venir joindre l'équipe de Montréal.
L'AVÉQ tient à remercier Corinne Tastayre et et Robert Dupuy qui ont assumé conjointement l'intérim sur ces postes.
LAURENTIDES
l'AVÉQ tient à remercier sincèrement Caroline Lachance pour tout le travail effectué à titre de directrice sortante des Laurentides. Tous reconnaissent la rigueur, l'implication et les grandes compétences de Caroline. Bonne chance dans tes projets futurs.
Nous vous rappellons que vous pouvez en tout temps consulter nos équipes régionales à partir du menu en haut de la page : A PROPOS -> NOTRE ÉQUIPE. cliquez ici pour voir nos équipes régionales.
Source : AVÉQ
Contribution : Martin Archambault
Lorsque vient le temps de promouvoir ses merveilleux véhicules électriques, le concessionnaire Kia Boisvert de Blainville n'y va pas avec le dos de la cuillère. Une belle visite sur la glace lors d'un match de l'Armada !
Source : Richard Trudeau
Contribution : Martin Archambault
Simon Granger d'AddÉnergie nous partage le premier d'une série de témoignages d'électromobilistes qui expliquent pourquoi ils ont fait le choix de passer à la voiture électrique
La première vidéo met en vedette l'une de nos membres et ancienne directrice régionale des Laurentides pour l'AVÉQ, Mme Caroline Lachance.
Source : AddÉnergie Contribution : Martin Archambault Enseigner dans l'AEC en technologie des véhicules électrique vous intéresse ? Vous avez les compétences requises pour le poste ? ![]() Les premiers étudiants ont terminé leur programme: 11 nouveaux techniciens en VÉ disponibles pour le marché de l'emploi. Par ailleurs, deux nouvelles cohortes débuteront leurs cours à la prochaine session: une cohorte en janvier (réservée aux employés de Nova Bus) et une autre en avril pour des candidats référés par Emploi-Québec. En raison de ces développements très positifs, le cégep est à la recherche d'enseignants pour se joindre à l'équipe pédagogique. Les nouvelles recrues seront appelées à enseigner des cours au sein de ces deux cohortes ci-haut mentionnées. Source : Cégep de St-Jérôme Contribution : Martin Archambault
La première cohorte d'étudiants inscrits à l'attestation d'études collégiales en technologie des véhicules électriques au Cégep de Saint-Jérôme (CSTJ) est maintenant prête à se lancer sur le marché du travail.
TC Media a rencontré les intervenants de ce programme qui permettra aux futurs techniciens d'assister les ingénieurs dans la conception et la fabrication de véhicules électriques, tout en assumant l'entretien des véhicules et leurs composantes. Aidé par l'Institut du véhicule innovant (IVI), le nouveau programme développe les connaissances et les habiletés des étudiants en électromécanique en fonction des particularités des véhicules électriques. Il permet également aux futurs employés d'acquérir une formation de base en électronique industrielle et d'en arriver à une compréhension en profondeur des différents systèmes de propulsion des véhicules électriques. «Ce cours permet l'amélioration de la courroie de transmission entre les ingénieurs et les mécaniciens. Le technicien que nous formons au CSTJ doit pouvoir trouver des solutions face aux différents problèmes en lien avec ces véhicules électriques. Il y avait un manque au niveau des mécaniciens qui peuvent être démunis devant un tel véhicule et les ingénieurs qui élaborent les composantes. Ce programme de 8 mois vient pallier ce besoin», a indiqué Érik Laperle, conseiller pédagogique au Service de la formation continue. Ce cours aide à développer des compétences que personne ne possède actuellement sur le marché du travail. L'IVI, un centre collégial de transfert de technologie affilié au Collège, a légué un véhicule électrique sur lequel les étudiants peuvent travailler. «L'électrification des transports est un domaine en émergence dans lequel on apprend tous les jours. Nous avons été bien épaulés par les membres de l'IVI», a souligné M. Laperle. Bâtir le futur Érik Laperle ajoute que le CSTJ a défrichi un nouveau sentier. «Ça n'a pas été toujours facile, mais nous allons en sortir gagnants au bout du compte», a-t-il lancé. En effet, la première cohorte a dû composer avec plusieurs facteurs, dont les délais dans la livraison de certains outils de travail. «Le projet intégrateur consiste à installer une motorisation électrique sur un Go Kart. Nous avons rencontré quelques difficultés, notamment concernant l'assemblage. Par contre, pour les prochaines cohortes, nous sommes déjà plus avancés. Malgré ces problèmes, nos étudiants ont développé les compétences nécessaires pour faire ce métier», a soutenu le conseiller pédagogique qui mentionne que le programme devra s'adapter à ce domaine qui évolue rapidement. De plus en plus d'employeurs En plus d'Autobus Lion et Nova Bus, plusieurs employeurs cherchent de jeunes techniciens en véhicules électriques. Le milieu bouillonne de microentreprises qui se lancent dans l'électrification des transports et dans la confection des composantes. Nos étudiants peuvent également trouver du travail au sein des entreprises qui détiennent des flottes de véhicules électriques.» Source: Le Mirabel Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Les bénévoles de l'AVÉQ viendront partager leur passion pour l'électromobilité en assurant un service de navette VÉ entre le stationnement ( situé à 2 km ) et le site du festival. Quelle belle occasion de faire essayer nos VÉs à une vaste clientèle !
Pour de l’information supplémentaire, veuillez communiquer avec Eve Lanthier au eve@aveq.ca
Contribution : Martin Archambault Le 23 juillet prochain, la Ville de Mont-Tremblant en collaboration avec l'AVÉQ et plusieurs autres partenaires vous invitent à l'événement "Soyez Électrique" Vous pourrez faire des essais routiers de véhicules électrique sur un circuit urbain de 5 km. Tous les détails se trouvent sur une page spéciale prévue pour l'événement Source : Jean Gariepy - Administrateur AVÉQ Contribution : Martin Archambault |
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