Volvo a bâti sa réputation sur la sécurité, et souhaite conserver cette orientation pour sa division Polestar.
Selon un communiqué de presse du constructeur automobile, la prochaine voiture électrique Polestar 2 sera mise sur le marché avec une nouvelle génération de systèmes de sécurité.
La Polestar 2 a été développée avec les ingénieurs et les ressources de R&D de Volvo et respectera les mêmes normes de sécurité que les modèles précédents du constructeur automobile, nous a-t-on assuré. Pour sa nouvelle batterie, Polestar a utilisé une structure en aluminium pour assurer à la fois la protection contre les collisions et une rigidité structurelle supplémentaire. Comme dans la Volvo XC40 Recharge, la batterie a été intégrée dans le plancher, ce qui contribue selon Polestar à rendre plus rigide la structure de la carrosserie. La Polstar 2 a également inclus ce que le constructeur automobile a appelé des "blocs SPOC (Severe Partial Offset Crash)". Ce sont des blocs en aluminium massif montés sur le bord inférieur du pare-feu avant des deux côtés de la voiture. Ils sont conçus pour minimiser l'intrusion d'une roue ou d'autres objets dans la cabine ou dans la batterie lors d'une collision. Un dispositif similaire appelé FLLP (Front Lower Load Path) est conçu pour protéger à la fois l'habitacle et la batterie contre les collisions frontales avec des objets rigides comme des poteaux.
Airbags Polestar 2
La Polestar 2 disposera également d'émetteurs de sons à basse vitesse pour avertir les piétons. Ceux-ci sont désormais obligatoires pour les voitures électriques aux États-Unis, mais Polestar affirme que son système d'alerte acoustique de véhicule (AVAS) en instance de brevet donnera à ses véhicules une signature sonore unique.
De plus, selon Polestar, parmi la gamme prévue de coussins gonflables, on trouve entre autres des coussins pour les sièges avant. De plus, alors que les coussins gonflables latéraux conventionnels sont montés sur le côté du siège du côté de la porte, les nouveaux coussins sont montés dans le centre, assurant que les occupants soient protégés des deux côtés de leur corps. La Polestar 2 est également équipée d’une version du système d'assistance au pilotage de Volvo, qui peut automatiquement accélérer, freiner et garder une voiture centrée dans sa voie à des vitesses allant jusqu'à 130 km/h. La dernière version utilise des données de localisation pour prendre des décisions. La détection des piétons et des cyclistes, ainsi que le freinage d'urgence autonome, seront également disponibles lorsque la Polestar 2 sera mise en vente plus tard en 2020. Lorsqu'elle sera disponible sur le marché, la Polestar 2 sera probablement le plus gros rival du Model 3 de Tesla, ce qui sera difficile à suivre en matière de sécurité . Le Model 3 a bien performé dans les tests de collision, remportant les plus hautes distinctions de sécurité de l'Insurance Institute for Highway Safety (IIHS) et de la Federal National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA). La Polestar 2 offrira une autre première importante pour le groupe Volvo; ce sera aussi le premier véhicule au monde avec un système d'info divertissement construit sur Google Android et entièrement compatible avec l'écosystème Android. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
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Polestar a dévoilé mardi les premières photos et informations du Precept, un concept-car électrique qui sera présenté en mars au Salon international de l'automobile de Genève.
Polestar a testé le concept du Precept ces dernières semaines, On a pu ainsi confirmer que le fait d’intégrer des matériaux plus durables et naturels, une interface plus avancée et un design intérieur encore plus minimaliste que le concept intéresserait grandement les consommateurs .
L’entreprise n'avait pas encore révélé beaucoup de détails sur le design extérieur, et maintenant on comprend pourquoi: ce n'est pas une copie du VUS Polestar 3 qui devrait suivre le prochain Polestar, c'est une voiture de grand tourisme à quatre portes plus basse.
Concept Polestar Precept
Le Precept est bas et élégant, avec une conception de cabine qui met l'accent sur le dégagement pour la tête et les jambes pour les passagers sur la banquette arrière. Au lieu d'un grillage à l’avant, on retrouve la SmartZone qui abrite la technologie pour les fonctions de sécurité et d'assistance au conducteur. De plus, un groupe de capteurs lidar se trouve sur le toit en verre. Les phares sont une version évoluée du Thor Hammer LED de Volvo, et un aileron avant intégré permet de diriger le flux d'air sur le long capot, améliorant l'aérodynamisme et l'autonomie sur route, même si Polestar n'a toujours pas inclut de données concernant l’autonomie.
Bien que Polestar n'ait pas spécifié la plupart des dimensions du Precept, il a été mentionné qu’il aurait un empattement de 3.1 m pour accueillir un gros bloc-batterie. C'est près de 38.1 cm de plus que celui du Polestar 2, et environ 15.2 cm de plus que celui du Tesla Model S. Il aurait sensiblement la même taille que le prochain Lucid Air . Le Precept est, comme le Model S, un fastback, avec un hayon arrière à grande ouverture. L'absence de lunette arrière conventionnelle signifie que le hayon peut avoir une plus grande ouverture de chargement.
Concept Polestar Precept
À l'intérieur, l'interface fait un grand saut à bien des égards. Il fait fi des miroirs conventionnels et se concentre sur un écran tactile central de 38 cm et un écran de pilote de 31.75 cm. Développée en étroite collaboration avec Google, l'interface utilisera des capteurs oculaires et de proximité.
Les matériaux intérieurs comprennent des panneaux en composites à base de lin, des tapis tressés à partir de de filets de pêche récupérés et des surfaces de siège tricotées à partir de bouteilles en plastique recyclées. L’entreprise note dans son communiqué que le nom «Precept» est significatif. Il est en effet le «précurseur du développement futur ».
Concept Polestar Precept
Puisque Polestar est une toute nouvelle entreprise, établie par Volvo et Geely, elle a la liberté de créer son image en se basant sur la nouvelle technologie plutôt qu’en se référant sur des modèles historiques d’automobiles.
Nous devrons attendre et voir comment Polestar envisage sérieusement de développer cette voiture électrique; nous devrions avoir plus de détails au salon de Genève, qui débutera la semaine prochaine. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
BYD augmente sa présence sur le marché européen avec une commande danoise de 27 eBus; Waymo, filiale de Google nourrit l’ambition de lancer un premier service de taxis autonomes dès le mois prochain; Renault-Nissan-Mitsubishi investit dans les batteries lithium silicium; On nous dévoile le nouveau Subaru Crosstrek électrique hybride rechargeable; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Chine : lancement du premier taxi sans chauffeur; eCopo : une Chevrolet Camaro électrique de 700 chevaux; Google inclus maintenant les stations de recharge des VÉ sur ses cartes; Véhicules électriques : les taux d’intérêt minent malheureusement l’économie; Le premier projet de recyclage de batteries lithium-ion au Québec reçoit l'appui de TDDC et un financement de 3,8 M $; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Google Maps permet désormais de localiser des bornes de recharge pour véhicules électriques. Comme pour les commerces, les utilisateurs peuvent ajouter des photos de l’endroit, attribuer une note et rédiger des avis.
Officiellement, Google s’est associé à Tesla et à Chargepoint. Mais les bornes du réseau Circuit Électrique sont répertoriées elles aussi, y compris les BRCC et les N2 offertes par des partenaires comme Saint-Hubert.
Par contre, les bornes du réseau Flo ne semblent pas répertoriées au moment d’écrire ces lignes. Pour le moment, les informations disponibles sur chaque installation restent sommaires. Les outils usuels qu’utilisent les électromobilistes, tels ChargeHub, demeurent plus performants et complets. Mais selon Google, il sera bientôt possible d'y consulter le nombre de bornes ainsi que les types de ports disponibles ou encore leur vitesse de charge. Afin de repérer une borne de recharge à partir de l’application ou de la version web de Google Maps, il suffit d’écrire «Bornes de recharge» ou «Bornes VÉ» dans la barre de recherche.
Une batterie instantanément rechargeable pourrait changer l'avenir des VÉs, le pape reçoit une Ampera E tout-électrique en cadeau, les VÉs plus populaires que les hybrides rechargeables en Europe ce trimestre, Audi s’attend à ce que les VÉs représentent un tiers de ses ventes d'ici 2025, et Waymo travaille sur des camions autonomes : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Un go-kart électrique démentiel passe de 0 à 96 km / h en 1,5 seconde, le prochain défi de Waymo est de taille, la Roumanie double le montant des subventions pour les voitures électriques, GM veut mener dans le rayon des voitures électriques, et Tesla prend de l’expansion en Chine : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Des travailleurs de Tesla portent des accusations contre la compagnie, la valeur des Tesla Model S usagées reste plus élevée que prévu, GM affirme que les propriétaires de Chevy Bolt ont parcouru près de 7,5 millions de km depuis le lancement, et Waymo commande 500 Pacifica hybrides de plus pour offrir des courses gratuites : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Trump éliminerait le budget de l'EPA pour les tests de véhicules, les voitures autonomes d'Uber environ 5 000 fois pires que celles de Waymo, une tour pour recharger les VÉs dans les villes, et Audi et Porsche font équipe pour construire des VÉs autonomes : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Les dirigeants de Nvidia, Bosch et BMW ont prononcé des discours à la récente conférence Bosch Connected World à Berlin qui ont clairement mis en évidence les différents échéanciers de leurs projets de conduite autonome.
Le PDG de Nvidia, Jen-Hsun Huang, a déclaré qu'en raison des récentes avancées de l'intelligence artificielle, il faut prévoir que plusieurs constructeurs automobiles accélèreront leur calendrier de production pour offrir des véhicules autonomes dès 2025. « Grâce à ce processus d’apprentissage en profondeur qu'est l'intelligence artificielle, nous avons surchargé notre échéancier pour offrir des véhicules autonomes » a t-il déclaré. Huang a ajouté qu'il s'attendait à ce que Nvidia offre la technologie permettant des fonctionnalités de conduite autonome de niveau 3 sur le marché d'ici la fin de 2017 et dans les modèles grand public d'ici la fin de 2018. Le niveau 4 arriverait sur le marché en 2019, et se retrouverait dans les modèles destinés aux consommateurs d'ici 2020. Commentant la nécessité d'utiliser l’intelligence artificielle pour le développement de la technologie de conduite autonome (Nvidia y travaille depuis une dizaine d'années maintenant), Huang a déclaré: « Aucun humain ne pourrait écrire suffisamment de code pour saisir la vaste diversité et complexité que représente la conduite. » Ces commentaires contrastent avec ceux du PDG de Bosch, Volkmar Denner, qui a déclaré qu'il n'était pas clair quand l'autonomie complète serait atteinte, et que les fonctionnalités de niveau 4 ne seraient pas sur le marché avant 2025. Denner a noté : « Bien sûr, nous devons encore prouver qu'une voiture autonome fait mieux côté conduite et a moins d'accidents qu'un être humain. » Selon Reuters, « aux côtés des dirigeants de Bosch, Huang a présenté un prototype d'ordinateur de bord qui devrait entrer en production au début de la prochaine décennie. L'ordinateur utilisera la puissance de traitement de Nvidia pour interpréter les données collectées par les capteurs de Bosch. » Les échéanciers mentionnés ci-dessus contrastent également avec celui mentionné par le responsable du programme de conduite autonome chez BMW. Ce dernier a déclaré que BMW était sur la bonne voie pour présenter un modèle autonome de niveau 3 sur le marché en 2021, et que les fonctionnalités de niveau 4 ou de niveau 5 pourraient se retrouver sur le marché cette année là aussi. Et comment tous ces échéanciers se comparent-ils à ceux des autres intervenants de l'industrie? Il est difficile de dire exactement, car il y a beaucoup de secrets qui entourent ces projets, mais Waymo (Google), Ford, Volvo, Audi, GM/Cruise et Uber prétendent tous qu’il ne s’agit que d’une question d’années. Et Tesla? Eh bien, la compagnie affirme qu'un déplacement entièrement autonome de New York à la Californie sera entrepris quelque part cette année, et les nouveaux modèles de l'entreprise sont maintenant tous équipés du matériel permettant un voyage entièrement autonome (retardé pour le moment par le logiciel ). Ainsi, s’il faut en croire ses dirigeants, les déplacements entièrement autonomes pourraient se concrétiser d’ici 1 ou 2 ans chez Tesla. Il semble toutefois probable que le conducteur ou le propriétaire continuera d'être tenu responsable de tout accident qui pourrait survenir lors de l'utilisation de la technologie, en raison de la présence de restrictions réglementaires. Source : Clean Technica Contribution : Peggy Bédard Les industries de biocarburants et pétrolière s'en prennent aux incitatifs pour VÉs, l'ancien chef de cabinet du ministère de l'Environnement de l'Ontario démissionne pour aller chez Tesla, Waymo affirme qu'un ancien employé a volé des informations secrètes sur sa technologie de conduite autonome, et Faraday Future défiera Tesla à Pikes Peak : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
L'unité d'auto-conduite de Google a perdu des cadres en les surpayant, Les véhicules hybrides rechargeables de Toyota sont plus populaires que les véhicules hybrides conventionnels, une compagnie d'électricité au coeur de l'Amérique prend d'assaut le marché des véhicules électriques, et la iOniq électrique de Hyundai nommée « véhicule le plus écologique de 2017 » : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Scotland Yard pense remplacer ses voitures de police par des VÉs, la Waymo de Google est en tête de course des voitures autonomes, Faraday Future réduit drastiquement ses ambitions pour son usine à Las Vegas, et Ebay offre des batteries de remplacement pour certains modèles de Tesla à seulement 15 000 $ : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Elio Motors reporte son lancement à 2018, seulement 5000 stations à hydrogène prévues d'ici 2032, Tesla poursuit un ancien employé, et SAE International annonce une station de test sans fil : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Le cofondateur d’Apple achète une deuxième Tesla plutôt qu’une Bolt, Lucid Motors annonce un autre partenariat avec un fournisseur de batteries, Chrysler et Waymo dévoilent le design de la première Chrysler Pacifica électrique et autonome et les propriétaires de Nissan LEAF passent le cap des trois milliards de km : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Mise à jour: Elon Musk, le patron de Tesla, et Travis Kalanick, DG chez Uber, rejoignent la nouvelle équipe consultative économique de Donald Trump. Leurs nominations ont été annoncées ce mercredi 14 décembre 2016, avec celle de la PDG de PepsiCo, Indra Nooyi. Le conseil économique est dirigé par le DG de Blackstone, Steve Schwarzman. Lancé début décembre, ce groupe fournira des conseils économiques à Donald Trump. Ses membres seront "appelés à rencontrer le président régulièrement pour partager leurs expériences et leurs connaissances dans leur domaine d'expertise spécifique. Et pour cause: le président met en place son projet pour ramener des emplois aux Etats-Unis et rendre l'Amérique grande à nouveau", d'après le communiqué. Le PDG de Tesla, Elon Musk, fait partie d'un groupe de chefs d'entreprises de la Silicon Valley qui se réunira ce mercredi avec le président élu Donald Trump. Musk a déjà affirmé que le changement climatique est l'un des défis les plus urgents auxquels doit fait face l'humanité, l’une des raison pour laquelle son entreprise ne fabrique que des voitures électriques à zéro émission. Le président élu, de son côté, ne semble pas toujours partager cette vision. Il a déjà fait usage d’un langage grossier pour décrire la science du climat et même suggéré qu’il s’agissait d’une invention de la Chine pour nuire aux affaires des États-Unis. Pas de doute que cette rencontre sera des plus intéressante ! La nouvelle de cette réunion a été rapportée par The Wall Street Journal, qui a nommé les cadres de nombreuses entreprises de technologie et de logiciels de premier plan comme participants. En plus de Musk, ils ont mentionné les PDG d'Alphabet (anciennement Google), d'Amazon, d'Apple, de Cisco, d'IBM, d'Intel, de Microsoft et d'Oracle, ainsi que le chef de l'exploitation de Facebook. Les politiques du président élu sur l'énergie et l'environnement semblent pour le moment très éloignées de celles de son prédécesseur. Trump a promis de débloquer et de déréglementer l'exploration des combustibles fossiles, d'aider à la construction de nouvelles raffineries de pétrole et de raviver l’industrie du charbon, entre autres promesses. Il a nommé le procureur général de l'Oklahoma, Scott Pruitt, à la tête de l’Agence américaine pour la protection de l’environnement (EPA), que ce dernier a poursuivi à plusieurs reprises pour l'empêcher d'appliquer certains règlements. Le gouverneur du Texas Rick Perry, un autre partisan des combustibles fossiles, a été nommé pour diriger le ministère de l'Énergie et Rex Tillerson, le PDG d'ExxonMobil, sera vraisemblablement le nouveau secrétaire d'État, s’ils sont tous les deux approuvés par le Congrès.
À l'exception de l’investisseur de capital-risque libertaire Peter Thiel, la plupart des dirigeants du secteur des nouvelles technologies n'ont pas soutenu Trump dans sa course pour la présidence. Et la majorité d’entre eux acceptent le consensus scientifique selon lequel l'activité humaine a contribué aux changements climatiques. Selon le journal, aucun ordre du jour n'a été révélé, mais l’un des objectifs devrait être de savoir comment maintenir les emplois aux États-Unis. Alors que Tesla fabrique toutes ses voitures en Californie, Apple construit la majeure partie de ses appareils électroniques grand public en Chine. Trump a d’ailleurs suggéré dans le passé qu’Apple devrait ouvrir une usine américaine. L’article rappelle également que les cadres sont préoccupés par les restrictions à l'immigration, l'application des lois antitrust et les demandes du gouvernement pour les données sur les utilisateurs de produits et services. On sait relativement peu de choses sur les positions spécifiques de Trump au sujet des véhicules électriques. Il a déclaré être contre « toutes ces choses qui ne fonctionnent pas » en réponse à une question de Fox News sur les prêts gouvernementaux consentis à Fisker Automobile. Cette société ayant déclaré faillite, le Département américain de l'énergie a perdu environ 100 millions de dollars du prêt à faible intérêt accordé à Fisker. Les restes de la compagnie ont été plus tard achetés hors cour par le fournisseur de pièces chinois Wanxiang, qui tente maintenant de ressusciter des modèles comme la Karma Revero. La rencontre étant prévue ce mercredi, nous en saurons un peu plus par la suite. Source : Green Car Reports Contribution : Peggy Bédard Une nouvelle compagnie pour la voiture autonome de Google, les prochaines générations de LEAF et de Zoe partageront une plate-forme commune, les premières Chevrolet Bolt 2017 offertes en Californie et plus de 100 000 VÉ sur les routes norvégiennes : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Une Hyundai à hydrogène moitié prix pour 2018, la nouvelle version de l’Autopilot pourra gérer les échangeurs d'autoroute, une embauche chez Google laisse croire que le projet de voiture autonome avance et une nouvelle image de l'intérieur de la Model 3 émerge : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
Selon des informations tirées de personnes familières avec les plans d'Apple et le réseau LinkedIn, Apple rencontrerait des entreprises spécialisées dans la conception et la construction de stations de recharge, et aurait embauché plusieurs ingénieurs ayant une expertise dans le domaine.
Les entreprises qu’elle a rencontrées disent cependant se méfier de l'intérêt d'Apple envers leur technologie. Elles croient que la compagnie pourrait facilement opter pour intégrer sa propre solution de station de charge en utilisant la technologie propriétaire d'Apple, pour se retrouver potentiellement en concurrence avec eux. Mais un véhicule électrique qui ne serait compatible qu’avec la technologie d’Apple pourrait rebuter certains consommateurs. C’est sans doute pourquoi Apple serait à la recherche d'une solution qui pourrait l'aider à atteindre une masse critique et stimulerait du même coup les taux d'adoption de véhicules électriques. La société a récemment embauché Kurt Adelberger, un ancien de Google qui est nommé sur plusieurs brevets relatifs à la façon dont les véhicules électriques emmagasinent de l'énergie, ainsi qu'à la manière dont ils peuvent être chargés plus efficacement. L’agence de presse Reuters note également qu’Apple a embauché l’ancien employé de BMW Rónán Ó Braonáin, qui a travaillé sur l'intégration des stations de recharge dans les foyers, et Nan Liu, un ingénieur qui a étudié la recharge sans fil pour les véhicules électriques Apple n'a pas nié qu'elle travaillait sur un projet de véhicule électrique, mais elle ne l’a toujours pas confirmé officiellement, pour au moins deux raisons : elle est probablement réticente à parler publiquement de ses projets, car cela pourrait donner aux concurrents potentiels un aperçu de sa stratégie, elle évite également d'en discuter publiquement car certains, sinon plusieurs, de ceux-ci ne sont pas nécessairement des produits concrets. On peut cependant affirmer que des preuves circonstancielles s’accumulent concernant le projet Titan, le nom de code interne pour le projet de voiture électrique, qui semble devenir de plus en plus réel à mesure que les semaines passent. Source : World News Report Contribution : Peggy Bédard
Lors d'un événement présenté au Atlanta Press Club fin avril, Dietmar Exler a déclaré au Atlanta Business Chronicle que, bien que les voitures électriques fassent peser une menace sur la voiture à essence, celle-ci ne serait pas à craindre avant au moins 10 ans.
Selon lui, il y a quelques problèmes qui freinent une possible révolution. Exler croit que les batteries sont encore trop dispendieuses et que le marché des voitures d'occasion ne s'adresse pas aux véhicules électriques. Citant Exler sur le prix : « L’offre de véhicules électriques est très intéressante. Mais si le consommateur moyen ne peut se les permettre, nous avons un problème. » Et sur le marché des voitures d'occasion : « Seriez-vous à l'aise d'acheter une voiture électrique vieille de quatre ans dont la batterie ne serait pas garantie ? » Comme nous le savons, il y a déjà une offre de voitures électriques usagées et les batteries offrent habituellement une garantie de plus de 4 ans. Les commentaires d’Exler manque donc de crédibilité.
Il s’en est même pris à Google au détour, faisant le commentaire suivant au sujet de la M-B autonome :
« C’est une voiture de production. Ce ne sont pas les voitures de la Silicon Valley avec 15 capteurs sur le dessus qui semblent venir de Mars. Nos voitures - les classes E et S - permettent la conduite autonome aujourd'hui. Mais la loi ne nous autorise pas encore à le faire. » Source : InsideEVs et Atlanta Business Chronicle Contribution : Peggy Bédard Note de la rédaction: Comme toujours, certains articles provenant d'autres publications sont là pour présenter une vision de l'électromobilité qui diffère de la nôtre, mais nous les publions afin de stimuler la conversation. Nous ne sommes pas d'accord sur l'idée initiale du chroniqueur (Tesla va perdre la course), mais certains points apportés sont tout de même intéressants. Bonne lecture! Être le premier n’est pas toujours aussi avantageux qu’on le croit. Avant que Facebook ne soit adopté par tous, il y avait MySpace. Les DVD HD ont battu les disques Blu-Ray sur le marché de quelques mois, mais ils ont fini par être abandonnés par la société qui les a créés. Tesla est la première à lancer des voitures électriques qui sont à la fois séduisantes et bien construites – le dernier Modèle S a brisé la notation du Consumer Reports – et le PDG Elon Musk souhaite rendre accessibles les voitures électriques au grand public. Mais ce n’est peut-être pas la bonne compagnie pour atteindre cet objectif. Apple aurait déjà démarré son projet de voiture électrique, et Google n’est pas loin derrière avec son programme de voitures autonomes. Sans oublier que presque toutes les marques établies de voitures travaillent sur une voiture électrique. Tesla, une avant-gardiste du marché, pourrait-elle ne devenir qu’une note de bas de page dans l'histoire du succès d’un rival? À ce jour, Tesla a livré plus de 78 300 berlines Model S, et plus de 2100 Roadsters. Avec les S, l'entreprise a créé la première voiture entièrement électrique qui a un look invitant et qui fonctionne bien. La société est sur le point de lancer son prochain véhicule, le multisegment Model X, la semaine prochaine. La X, qui coûte environ 130 000 $, sera destinée à un marché de voitures de luxe similaire au modèle S. La prochaine voiture de la société après la X sera le Model 3, qui devrait coûter 35 000 $. Mais les premiers Model 3 ne sont pas censés être livrés avant 2017, date à laquelle Tesla ne sera sans doute plus la seule entreprise à fabriquer des voitures électriques intéressantes. Audi et Mercedes devraient produire des véhicules électriques d'ici la fin de la décennie, et Porsche prévoit d'être juste derrière eux. À l'heure actuelle, Tesla est un peu comme BlackBerry en 2007: elle a pris le contrôle d'un marché relativement nouveau et elle possède les produits les plus populaires dans ce marché. Mais BlackBerry, qui était encore la société de téléphones intelligents dominante aux États-Unis en 2010, n'a pas réussi à faire face à de nouveaux concurrents. Apple a fini par gagner la course des téléphones intelligents contre les BlackBerry, en partie parce qu'elle était une société d'informatique (et que les téléphones sont devenus de petits ordinateurs), mais aussi parce qu'elle construisait un meilleur téléphone et excellait à la commercialisation. Cela ne veut pas dire que le marché de la voiture électrique va s’organiser de la même manière que celui des téléphones intelligents. Aujourd’hui, beaucoup de marques de voitures différentes, qu’elles soient luxueuses ou économiques, parviennent à se concurrencer dans le même espace. Et même si les voitures électriques finissent comme les téléphones intelligents, il peut encore y avoir plusieurs gagnants – Apple et Samsung se partagent maintenant environ 35% seulement du marché des téléphones intelligents. Dans 10 à 20 ans, de quoi aura l’air le marché automobile? Voici quelques scénarios: 1-Les grands fabricants d'automobiles sont toujours en charge La création de nouvelles lignes de voiture prend des années de recherche, de développement, de réoutillage de l'usine et de logistique. Les constructeurs automobiles le savent. Chevrolet a lentement – et jusqu’à maintenant, sans grand succès – commencé à s’intéresser à l’électricité avec son hybride Volt, avant de développer son modèle entièrement électrique, la Bolt. Mais les compagnies de voiture ont déjà les infrastructures nécessaires, et le prestige de leur marque. Que préfériez-vous : acheter une voiture électrique qui fonctionne aussi bien qu’une Porsche, ou acheter une vraie Porsche électrique? Les constructeurs automobiles traditionnels ont le patrimoine de leur côté, et s’ils sont prêts à investir dans une modernisation, rien ne peut les empêcher d’entrer dans l'ère électrique. Récemment, Audi, BMW et Daimler ont formé un consortium pour acheter HERE, la technologie de cartographie de Nokia. Ces mêmes sociétés travaillent sur des voitures électriques de luxe et sur des voitures autonomes, ou assistées par intelligence artificielle, qui utiliseraient ces cartes géographiques. Toyota a récemment annoncé qu'elle allait investir 50 millions de dollars dans un partenariat avec le MIT et Stanford pour des recherches sur l’intelligence artificielle et la robotique, dont Gill Pratt, l'ancien directeur de la DARPA Défi Robotique, sera en charge. Avec les voitures électriques et autonomes, on verra s’il est plus facile d’intégrer la technologie dans les voitures ou de transformer les voitures elles-mêmes en technologie. 2-Tesla domine le marché Dans les prochaines années, Tesla a le potentiel de devenir le Apple des voitures électriques, même si Apple elle-même fait son entrée dans l'industrie. La société aura quatre modèles en circulation – la Roadster, la S, la X, et la 3 – alors qu’Apple ou tout autre compétiteur n’aura eu le temps que d’en concevoir un seul. La méga-usine Tesla – un centre de production massif dans le Nevada qui peut produire jusqu'à 500 000 packs de batteries par an – sera aussi en marche. Si Tesla peut baisser ses prix, ses voitures pourraient devenir beaucoup plus courantes sur les routes. Tesla met également en place la même fidélité à la marque qu’impose Apple à ses consommateurs. La société a construit son réseau « Supercharger », une série de stations de recharge rapide pour les voitures Tesla, placées sur les principales autoroutes américaines. Depuis 2014, les clients de Tesla sont en mesure de conduire à travers le continent américain, l'Europe occidentale et le Japon, sans craindre de tomber en panne avant d’atteindre une station de recharge Tesla. [NDLR: corrections effectuées - le réseau SC est bien en fonction!] En plus de cela, Tesla rendra bientôt disponibles ses piles « Powerwall » pour la maison. Les consommateurs pourront relier leur batterie à des panneaux solaires et alimenter en énergie leur maison et leur Tesla, stockant tout surplus d'électricité dans la pile, au besoin. C’est comme avoir un iPhone connecté à une montre Apple qui se synchronise avec un MacBook et un iPad sur une plus grande échelle encore. En supposant que Tesla parvienne à réaliser tous ses projets et que la qualité soit la même que ce qu'elle a produit à ce jour, la compagnie pourrait continuer de dominer le marché de la voiture électrique pour les prochaines décennies. En plus de tout cela, Tesla a Elon Musk. Quand il ne dirige pas Tesla, celui qu’on compare à Tony Stark (Iron Man) lance des fusées dans l'espace et essaie de tente d’envoyer des humains sur Mars. Comme Steve Jobs avant lui, il semble exiger le meilleur de son équipe pour livrer des produits qui intéressent vraiment les médias et le marché. 3-Une société d'informatique se taille une place Apple a passé la dernière décennie et demie à créer de l'électronique très populaire et bien conçu. Comme Wired l’a récemment souligné, la voiture moderne est essentiellement un téléphone intelligent avec des roues. Et Apple sait comment commercialiser des téléphones intelligents. Les ventes de l'iPhone sont la plus grande source de revenus de la société depuis des années. Si Apple est en mesure de fournir un modèle de production à l'industrie automobile aussi efficace que celui de ses appareils mobiles, elle pourrait avoir une chance de réussir. Les marges de profits de Tesla sont proches de celles de Porsche, ce qui signifie que si Apple arrive à produire à grande échelle comme elle l’a fait pour l'iPhone, elle pourra demander des prix similaires à ceux de Tesla. La société a également réussi à développer sa branche informatique à un moment où le reste de l'industrie du PC est en train de sombrer. Cela est dû en partie au fait qu'elle produit un gadget bien conçu, bien commercialisé, mais aussi parce que ses ordinateurs font partie d'un écosystème plus vaste de produits Apple. Apple est un choix de vie, et à cet égard, il n’y a pas de meilleure expression de votre choix de vie en Amérique que la voiture que vous conduisez. Apple se dépêche de lancer son programme de développement automobile : pour ce faire, elle augmente son personnel à 1 800 personnes et elle recrute, selon le Wall Street Journal, des experts des voitures autonomes. De son côté, Google a récemment embauché John Krafcik, l'ancien PDG de Hyundai États-Unis, pour diriger son programme de voitures autonomes. Un porte-parole de Google a déclaré que ce programme était un « bon candidat » pour devenir une compagnie distincte dans la grande famille Alphabet (conglomérat appartenant à Google), même si le géant a déjà dit ne pas vouloir construire ses propres voitures, préférant à la place des partenariats avec des fabricants d'automobiles. Voilà qui diffère de la manière dont Google fonctionne avec Android, soit le développement d’un système d'exploitation open-source que les fabricants de téléphones intelligents peuvent utiliser. Peut-être qu’un constructeur automobile bien établi – Nissan pourrait être un candidat décent, car elle produit actuellement la voiture électrique la plus populaire qui n’est pas dans l’écurie Tesla, la Leaf – pourrait utiliser la technologie de Google pour faire de la compétition à la voiture d’Apple. Ou alors peut-être que Google suivra ses propres traces et produira une voiture en quantité limitée, comme sa ligne de téléphones Nexus. 4-Une jeune entreprise perturbatrice Si Tesla laisse filer son avance et qu’Apple finit par rater sa cible, il y a une autre entreprise qui pourrait arriver à dominer notre avenir automobile: Uber. La jeune entreprise évaluée à 50 milliards a déjà perturbé de nombreuses sociétés de taxi, et elle ne cache pas son ambition de remplacer éventuellement sa main-d'œuvre humaine par des véhicules autonomes. Uber a récemment décimé le laboratoire de robotique à Carnegie Mellon en engageant plusieurs talents pour travailler sur une flotte de voitures sans conducteur. Si la société peut arriver à transformer la recherche en robotique directement en voitures autonomes, elle pourrait être en mesure de contourner toute la course vers la voiture électrique. Peut-être que dans quelques décennies, en supposant que les obstacles juridiques et logistiques qu’implique l'intégration de voitures robotisées dans nos systèmes d'autoroute puissent être surmontés, l'achat d'une voiture – électrique ou autre –vous semblera aussi pittoresque que l'envoi d'un télégramme. En attendant, cela ressemble à une course où Tesla devra continuer à exceller pour rester compétitif. Source: Quartz Collaboration: Lisanne Rheault-Leblanc Une alliance entre Apple, Google, Tesla et Fiat alliance et une entente entre Toyota et Mazda?12/5/2015 Le président-directeur général de Fiat a rencontré Tim Cook (Apple) et Elon Musk (Tesla) et est embarqué dans le véhicule autonome de Google. Fiat a affirmé être ouvert à une alliance avec Google ou Apple.
Il a également eu de bons mots pour l’initiative d’Elon Musk de rendre public ses brevets il y a quelques mois. Rappelons qu’Apple travaillerait aussi sur un véhicule électrique autonome, appelé Titan, et que l’entreprise en est à explorer les processus de fabrications d’un véhicule électrique. Par ailleurs, Toyota et Mazda échangent de l’information sur leurs technologies automobiles. Toyota considérerait de partager ses connaissances en matière de technologies sur les véhicules à hydrogène et hybrides alors que Mazda en dirait plus sur SkyActiv à Toyota. Source : World eNews Le milliardaire américain Elon Musk a envisagé début 2013 de vendre sa société de voitures électriques Tesla au groupe internet Google, selon des extraits d'un livre à paraître le mois prochain. Dans Elon Musk: Tesla, SpaceX, et la quête d'un avenir fantastique, qui sortira le 19 mai, le journaliste de Bloomberg Ashlee Vance raconte comment début 2013, Tesla est confrontée à des problèmes techniques avec sa Model S, sa future berline phare. Faute d'arriver à livrer autant de véhicules que convenu, la société est «au bord de la faillite», selon des extraits du livre publiés lundi par l'agence Bloomberg. Dans la première semaine de 2013, Elon Musk contacte le co-fondateur de Google Larry Page, écrit-il en citant deux sources proches du dossier. Il lui propose de racheter Tesla pour 6 milliards de dollars, avec la promesse de 5 milliards de dollars d'investissements supplémentaires pour agrandir ses usines. Elon Musk veut aussi, entre autres, la garantie de conserver la direction pendant huit ans. Interrogé par l'auteur, Larry Page a répondu ne voulait «pas spéculer sur des rumeurs», et qu'«un fabricant de voitures est plutôt éloigné de ce que Google sait faire». Mais d'après les sources du livre, il aurait accepté les grandes lignes de l'accord, et les négociations se poursuivent dans les semaines qui suivent. Début mai, à la surprise générale, Tesla annonce le premier bénéfice net de son histoire: la société arrive enfin à vendre assez de Model S. L'action Tesla s'envole, et Elon Musk rompt les négociations avec Google. «Il n'avait plus besoin d'un sauveur», écrit Ashlee Vance. L'année dernière, des rumeurs avaient déjà circulé sur un possible rachat de Tesla par un autre poids lourd de la Silicon Valley, Apple. À l'époque, Elon Musk, avait indiqué qu'il y avait eu «des conversations» entre son groupe et la marque à la pomme, sans préciser leur nature Google, qui compte les voitures sans chauffeurs parmi ses projets futuristes, a pour sa part investi il y a quelques mois dans une autre société d'Elon Musk: avec le fonds d'investissement Fidelity, il a pris une participation d'un peu moins de 10% dans la société de transport spatial SpaceX pour un milliard de dollars. Source: Agence France-Presse, Jalopnik Lorsque le véhicule sans conducteur de Google a été rejeté par les autorités gouvernementales, les détracteurs de ce type de voiture ne pouvaient être plus heureux. Cependant, Mercedes et Nissan se sont aussi lancées dans cette technologie. Que vous l’aimiez ou nom, les pour et les contre de Jimmy Fallon sur le sujet vous feront rire. Google s’amuse présentement avec son véhicule sur le territoire de la compagnie en Californie. Quant à Mercedes, Nissan et Tesla, ils ont fait germer quelques idées. De son côté, Intel vient tout juste de lancer un logiciel appelé « In-Vehicle Solutions » qui fournira la puissance informatique pour ce type de voitures à venir. Cette technologie de demain alimentera les systèmes d’info-divertissement à l’intérieur du véhicule ainsi que le système de conduite autonome. Tout ça, sans oublier les plans de la NASA pour les véhicules sans conducteur. Les mauvais et les bons côtés que Jimmy Fallon expose dans ce vidéo à propos des véhicules autonomes sont évidemment farfelus, mais ils illustrent bien que ce concept n’a plus rien à voir avec la conduite en soi. Source: AutoEvolution Google affirme que ses véhicules sans conducteur devraient être sur les routes d’ici 5 ans. Lors d’une conférence à Détroit, un haut dirigeant de Google a dit que les inquiétudes de l’industrie automobile à propos de la réglementation sur les voitures sans conducteur étaient exagérées. Google, par l’entremise de Google X, met à l’essai ses véhicules autonomes depuis 2009. Google X est également derrière de nouvelles technologies comme les Google Glass. Plusieurs constructeurs automobiles, comme Tesla et Daimler, ont émis des inquiétudes sur la réglementation entourant les véhicules autonomes. Selon Elon Musk, l’arrivée de ces véhicules sur nos routes devra attendre au moins jusqu’au 2022. Ceci dit, la plupart des constructeurs développent actuellement ces technologies. La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) n’a par contre toujours pas statué sur ces véhicules. En plus de la sécurité et de l’acceptation de cette technologie par la population, Google ajoute que le prix du véhicule peut être un autre obstacle. Les radars sur la voiture coûtent présentement 75 000 $, un coût qui est appelé à diminuer avec un volume de production plus élevé. Google a également affirmé ne pas être intéressé à développer des technologies pour véhicules semi-autonomes. « On a encore du travail à faire ». Source: BDLive |
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