Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes.
Contribution: André H. Martel
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2021 Tesla Model S Plaid+
Selon la plus récente enquête d'Autolist.com, l'autonomie est l’élément le plus important pour les acheteurs de voitures électriques, marquant un changement par rapport à une enquête similaire menée par la société de référencement et d'analyse en 2019. Les problèmes de prix et de recharge étaient alors les principales priorités, maintenant, 61% des répondants ont indiqué que l’autonomie était leur priorité absolue, suivie par le prix (50%) et finalement l'infrastructure de recharge (43%). La recherche confirme que des progrès significatifs ont été réalisés sur le front des prix depuis 2019. La baisse des prix des batteries a grandement contribué à réduire le coût des véhicules électriques, et il existe désormais plus de modèles disponibles pour les acheteurs. Toujours selon les analystes, les nouveaux modèles, tels que la Ford Mustang Mach-E et la Volkswagen ID.4, ne sont peut-être pas moins chers, mais ils sont perçus comme un meilleur investissement par les consommateurs. L'infrastructure de recharge publique s'est développée depuis la dernière enquête, même si les problèmes de recharge ne sont toujours pas réglés. Même le réseau Supercharger de Tesla n’est plus aussi important pour les consommateurs. Lorsqu'on leur a demandé de choisir l'aspect le plus attrayant des véhicules électriques Tesla, seulement un quart des répondants a choisi le réseau Supercharger, le classant au cinquième rang sur 11 réponses possibles (les performances des véhicules étaient l’élément le plus important). L’Étude confirme également que la plupart des répondants souhaitaient recharger leurs VÉ à domicile, 70% d'entre eux affirmant que la recharge à domicile était «essentielle à leur achat». Cependant, ce n'est tout simplement pas une option pour de nombreux acheteurs de voitures , car avoir une borne de recharge signifie généralement que l’on possède une maison avec une allée de stationnement. Les répondants semblaient également insatisfaits des temps de recharge dans les bornes publiques. Lorsqu'on leur a demandé combien de temps ils étaient prêts à attendre à une aire de repos pour ajouter 480 km d'autonomie, 28% ont répondu jusqu'à 30 minutes, confirmant cette enquête en ligne de 2020 qui confirmait que la période d’attente maximale était de 30 minutes. Même si plusieurs spécialistes croient que l’importance d'une autonomie approchant les 800 km soit un faux problème, les sondages continuent de dire le contraire. Cependant, il y peut y avoir une explication à cette perception. Alors qu'une enquête récente a indiqué que les attentes des Américains en matière d’autonomie pourraient avoir augmenté pendant la pandémie de coronavirus, une autre a indiqué que les mêmes préoccupations disparaissent suite à l’achat d'un VÉ. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
Même si le montant n’est pas aussi élevé que prévu, les 56,1 millions de dollars du budget fédéral de la semaine dernière consacrés au financement de l'établissement de normes pour les stations de recharge et de ravitaillement au Canada et aux États-Unis pourraient avoir un impact significatif sur la réduction des freins à l'adoption des véhicules électriques.
Selon Suzanne Goldberg, directrice des politiques publiques chez le fournisseur de réseau de recharge ChargePoint, croit que l’annonce du nouveau financement dans le budget fédéral 2021 de la semaine dernière permettra d’élaborer une politique de prix transparente pour la recharge des véhicules électriques est importante. Maintenant, les intervenants du secteur attendent de voir comment les 56,1 millions de dollars seront investis et espèrent être consultés sur l’utilisation de ces fonds, qui, selon eux, pourraient atténuer l'un des derniers obstacles importants à l'adoption des VÉ. Codes et normes de vente au détail Le gouvernement fédéral prévoit investir 56,1 millions de dollars sur cinq ans «pour élaborer et mettre en œuvre» un ensemble de codes et de normes pour les stations de recharge et de ravitaillement de véhicules à zéro émission (VZE). En plus de l'investissement initial, Mesures Canada , l'organisme responsable des normes de facturation recevra 13 millions de dollars par année, de façon continue.
Daniel Breton, président et chef de la direction de Mobilité électrique Canada, affirme que le financement est un pas dans la bonne direction, mais qu'il attend avec impatience la publication de détails plus précis.
« Pour moi, cette annonce confirme que le gouvernement fédéral comprend l’importance de mettre à jour ses politiques sur la recharge et le ravitaillement des véhicules zéro émission», a déclaré Breton dans une entrevue avec Electric Autonomy Canada , ajoutant qu'une norme de recharge nord-américaine serait plus efficace pour tout le monde. La recharge volumétrique une éternelle conversation L'un des sujets les plus discutés par les conducteurs de véhicules électriques est la vitesse de recharge. À mesure que la technologie s'améliore et que de plus en plus de véhicules dotés de capacités de recharge plus rapides prennent la route, on ressent une injustice: les véhicules à chargement plus rapide (généralement les modèles les plus récents) paient souvent moins pour la recharge publique.
Le gouvernement souhaite élaborer une politique qui permettra aux consommateurs d'obtenir une facturation juste, précise et transparente. Ce budget donne essentiellement à Mesures Canada une orientation et un financement qui lui permettront d’élaborer des normes et permettre une tarification basée sur l'énergie utilisée, qui permettront aux opérateurs de bornes de recharge de fixer leur tarification », explique Goldberg de ChargePoint, dans une entrevue avec Electric Autonomy Canada . «Nous nous sommes concentrés sur cette politique gouvernementale. C'est un levier politique très important qui aidera à éliminer les obstacles et aidera à accélérer les investissements dans les infrastructures de recharge et à éliminer un autre obstacle pour les consommateurs.»
Le problème est le suivant: actuellement, les conducteurs de VÉ canadiens qui se branchent sont facturés pour la durée de leur connexion à la borne de recharge plutôt que sur la quantité d'énergie qu'ils consomment. Ainsi, si deux véhicules branchés sur la même unité de recharge afin d'obtenir une recharge à 80% , le véhicule qui est capable de tirer l'énergie plus rapidement paiera moins, même si les deux véhicules consomment la même quantité d'énergie. Lobbying actif Des documents tirés du registre fédéral des lobbyistes confirment que Tesla Motors Canada fait pression depuis juillet 2020 sur Mesures Canada pour établir la métrologie* des bornes de recharge et des pratiques de facturation équitables dans le but de permettre la facturation des bornes de recharge de VÉ sur une base volumétrique». Tesla n'a pas influencé le gouvernement à lui seul, il y a évidemment eu des efforts importants de la part de nombreux intervenants pour que les hauts fonctionnaires du Canada prennent position sur le sujet, ce qui a permis l'annonce du budget 2021. «C’est quelque chose que les conducteurs de VÉ à travers le Canada demandent depuis des années, incluant les entreprises, municipalités et les fournisseurs de bornes de recharge. Cette annonce est importante autant pour les utilisateurs que pour les opérateurs de bornes de recharge. Les opérateurs souhaitent gérer leurs coûts car c'est important pour déterminer leurs futurs investissements», explique Goldberg. «Notre objectif de facturer par kilowattheure et la capacité de le faire est vraiment entravée par le manque de normes par Mesures Canada. Il s’agit pour nous d’un levier essentiel. »
Brian Kingston, président et chef de la direction de l'Association canadienne des constructeurs de véhicules, accueille favorablement l'idée la venue prochaine d’une norme de tarification.
Une barrière importante «Le nouveau financement pour développer des codes et des normes d'infrastructure de recharge de VÉ est encourageant», a déclaré Kingston dans une entrevue avec Electric Autonomy Canada , «car nous savons que l'un des obstacles les plus importants à l'adoption accrue de véhicules à émission zéro au Canada est l'inquiétude des consommateurs concernant les infrastructures de recharge. » Kingston a déclaré que l'annonce concernant le financement de l'élaboration et de la mise en œuvre de ces normes pourrait inspirer confiance aux consommateurs qui souhaitent faire de plus longs trajets avec des véhicules électriques, mais que le gouvernement fédéral a encore besoin d’effectuer des investissements à long terme dans les programmes de recharge et d'incitatifs à la consommation pour rendre les véhicules électriques plus abordables. Kingston a également déclaré. «Le principal défi auquel nous sommes confrontés est que les véhicules électriques sont encore trop chers car la technologie est toujours en développement. Comme le prix des batteries continue de baisser, nous finirons par atteindre la parité des prix avec les véhicules à essence. Mais ce ne sera pas avant plusieurs années ». L'annonce du budget 2021 concernant le financement de Mesures Canada pour l'élaboration et la mise en œuvre de ces normes comprend la possibilité d'une éventuelle coordination avec des partenaires internationaux. Selon Kingston, la coordination des normes de tarification avec les États-Unis est particulièrement importante. «L'industrie automobile canadienne est liée à l'Amérique du Nord. Il en résulte que le succès de notre industrie et de notre capacité d’augmenter les investissements au pays dépendent principalement de notre alignement avec les États-Unis, à la fois pour encourager les manufacturiers canadiens et promouvoir les ventes de véhicules électriques au Canada.»
* La métrologie est la science de la mesure. Elle définit les principes et les méthodes permettant de garantir et maintenir la confiance envers les mesures résultant des processus de mesure.
Electric Autonomy
Contribution: André H. Martel
La Commission européenne a publié son rapport trimestriel sur les marchés de l'électricité de la région, soulignant les facteurs clés qui ont façonné la production, la consommation et les prix d'électricité en 2020.
Selon le rapport de l' Observatoire du marché de l'énergie de la DG Énergie, la pandémie COVID-19 et les conditions météorologiques favorables sont les deux principales causes des tendances vécues sur le marché européen de l'électricité en 2020. Cependant, les deux conditions étaient exceptionnelles ou saisonnières. Les principales tendances du marché européen de l'électricité sont les suivantes: 1 . Diminution des émissions de carbone du secteur électrique En 2020, en raison de l'augmentation de la production d'énergies renouvelables et de la diminution de la production d'électricité à partir de combustibles fossiles, le secteur de l'électricité a pu réduire son empreinte carbone de 14%. La diminution de l'empreinte carbone du secteur durant cette année est similaire aux tendances observées en 2019, lorsque le changement de combustible était le principal facteur de la tendance à la décarbonisation. Cependant, les conditions qui ont influencé cette situation étaient exceptionnelles ou saisonnières (pandémie, hiver chaud, forte production hydroélectrique). Cependant, l'inverse pourrait se produire en 2021, les premiers mois de 2021 étant caractérisés par un temps relativement froid, des vitesses de vent plus faibles et des prix du combustible plus élevés, des développements qui pourraient signifier une augmentation des émissions de carbone ainsi qu’une demande accrue d’énergie électrique. L'Union européenne vise à décarboniser complètement son secteur électrique d'ici 2050 grâce à l'introduction de politiques de soutien telles que le système d'échange de quotas d'émission de l'UE, la directive sur les énergies renouvelables et la législation relative aux émissions de polluants atmosphériques des installations industrielles. Selon l' Agence européenne pour l'environnement, l' Europe a réduit de 50% les émissions de carbone de son secteur électrique en 2019 par rapport aux niveaux de 1990. 2. Modifications de la consommation d'énergie La consommation d'électricité de l'UE a chuté de -4%, la majorité des industries n'ayant pas fonctionné à plein régime au cours du premier semestre de 2020. Bien que la majorité des résidents de l'UE soient restés chez eux, ce qui signifie une augmentation de la consommation d'énergie résidentielle, la demande croissante des ménages n'a pas pu inverser la baisse dans d’autres secteurs de l’économie. Cependant, alors que les pays reconduisaient les restrictions relatives au COVID-19, la consommation d'énergie au 4e trimestre était plus proche des «niveaux normaux» qu'au cours des trois premiers trimestres de 2020. L'augmentation de la consommation d'énergie au quatrième trimestre 2020 est également en partie due à des températures plus froides par rapport à 2019. 3. Augmentation de la demande de véhicules électriques Alors que l'électrification du système de transport s'intensifie, la demande en 2020, de véhicules électriques a augmenté avec près d'un demi-million de nouvelles immatriculations au quatrième trimestre 2020. Il s'agit du chiffre le plus élevé jamais enregistré et se traduit par une part de marché sans précédent de 17%, soit deux fois plus élevé qu'en Chine et six fois plus élevé qu'aux États-Unis. Cependant, l'Agence européenne pour l'environnement (AEE) fait valoir que les immatriculations de véhicules électriques étaient plus faibles en 2020 qu'en 2019. L' AEE indique qu'en 2019, les immatriculations de voitures électriques étaient proches de 550 000 unités, après avoir atteint 300 000 unités en 2018. 4. Modifications du mix énergétique de la région et augmentation de la production d'énergie renouvelable Selon le rapport, la structure du mix énergétique a changé en 2020. En raison de conditions météorologiques favorables, la production d'énergie hydraulique a été très élevée et l'Europe a pu élargir sa production d'énergie renouvelable de telle sorte que les énergies renouvelables (39%) ont dépassé la part des combustibles fossiles (36%) pour la première fois en UE. L'augmentation de la production d'énergie renouvelable a été grandement aidée par 29 Gigawatt d'ajouts de capacité solaire et éolienne en 2020, ce qui est comparable aux niveaux de 2019. Malgré la perturbation des chaînes d'approvisionnement de l'énergie éolienne et solaire entraînant des retards dans les projets, la pandémie n'a pas ralenti de manière significative l'expansion des énergies renouvelables. En effet, la production d'énergie au charbon et du lignite a diminué de 22% (-87 TWh) et la production nucléaire de 11% (-79 TWh). En revanche, la production d'énergie gazière n'a pas été significativement impactée en raison des prix favorables qui ont intensifié le passage du charbon et du lignite au gaz. 5. Intensification du retrait de la production d'énergie au charbon Alors que les perspectives pour les technologies à forte intensité d'émissions se détériorent et que les prix du carbone augmentent, on anticipe une diminution de l’utilisation du charbon. On s'attend à ce que les services publics en Europe continuent de diminuer leur dépendance au charbon pour la production d’énergie dans le but d'atteindre des objectifs stricts de réduction des émissions de carbone alors qu'ils se préparent à engendrer de futurs modèles commerciaux émetteurs de faibles émissions de carbone. 6. Augmentation des prix de gros de l'électricité Ces derniers mois, des quotas d'émission plus chers, ainsi que la hausse des prix du gaz, ont fait grimper les prix de gros de l'électricité sur de nombreux marchés européens comparés aux niveaux observés pour la dernière fois au début de 2019. L'effet a été plus prononcé dans les pays dépendants du charbon et du lignite. La dynamique des prix de gros de l'électricité devrait se répercuter sur les prix de détail. La croissance rapide des ventes dans le secteur des véhicules électriques s'est accompagnée de l'expansion de l'infrastructure de recharge. Le nombre de bornes de recharge haute puissance par 100 km d'autoroutes est passé de 12 à 20 en 2020. Smart Energy
Contribution: André H. Martel
Alors que la Californie et Washington s'apprêtent à mettre fin aux ventes de nouveaux véhicules à combustion, une nouvelle étude affirme que tous les nouveaux véhicules aux États-Unis pourraient être rendus électriques d'ici 2035.
Le rapport 2035 2.0 de l'Université de Californie à Berkeley préconise également des avantages économiques majeurs liés au passage à l'électricité. Cela permettrait aux ménages d'économiser environ 1 000 $ USD par an au cours des 30 prochaines années et de soutenir une augmentation nette de plus de 2 millions d'emplois d’ici 2035. L'étude prétend être la première à démontrer à quel point les améliorations de la technologie des batteries, la diminution des coûts de production, l’augmentation du niveau de production et l’accélération de l'électrification des voitures et des camions auront un impact positif sur le futur des VÉ. Ses résultats prédisent un taux d'électrification beaucoup plus rapide du parc automobile américain que les analyses précédentes. Selon l’étude, d'ici 2030, les États-Unis pourraient ne vendre que des voitures neuves électriques, ainsi que plus de 80% des camions neufs, et les alimenter avec 90% d'électricité propre. Cette électrification généralisée réduirait également de 35% les émissions de gaz de l'ensemble de l'économie américaine
Cela serait en partie possible grâce à des diminutions des coûts de vente. L'étude prédit que les coûts totaux d’acquisition des véhicules électriques et des véhicules à moteur à combustion interne seront bientôt comparables et que les véhicules électriques permettront d'économiser de l'argent à long terme.
Actuellement, la Californie a décidé de mettre fin aux ventes de voitures neuves à essence d' ici l'année civile 2035 , tandis que l'État de Washington a l'intention de le faire d'ici 2030 . Les sénateurs de Californie incitent l'administration Biden à adopter un plan similaire à l'échelle nationale, mais il est peu probable que cela se produise de sitôt. Une étude nous a également permis de découvrir plusieurs avantages pour les véhicules électriques par rapport aux véhicules à combustion interne au niveau des manufacturiers. Par exemple, la fabrication des VÉ nécessite moins de matières premières que les véhicules à combustion. Les prix des batteries continuent de baisser, rapprochant le coût des véhicules électriques aux véhicules à essence et diesel. Cependant, le cabinet de conseil LMC Automotive avait prédit l'année dernière qu'en 2030, l'essence alimentera toujours sept véhicules américains sur dix . Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
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Contribution: André H. Martel
Le président Biden a dévoilé la semaine dernière un plan d'infrastructure détaillé impliquant un financement substantiel pour le développement du réseau de recharge des voitures électriques, un montant plus élevé que pour l’entretien des routes et des ponts.
Cette décision suscite déjà la controverse, a rapporté lundi le Wall Street Journal . L'investissement de 218 milliards $ CAD de Biden pour développer le marché des véhicules électriques a pour objectif de stimuler l'adoption des véhicules électriques, incluant les chaînes d'approvisionnement. le réoutillage des usines, les rabais aux points de vente et les incitatifs fiscaux, sans oublier le financement de 500 000 bornes de recharge. En comparaison, le plan de 2,5 trillions de dollars CAD qui comprend 144 milliards de dollars CAD pour l’entretien et la rénovation des routes et des ponts, est déjà critiqué par les républicains. Le gouverneur républicain du Mississippi, Tate Reeves, a qualifié cet accent mis sur les véhicules électriques de «décision politique». Les gouverneurs comme Reeves ont certainement leur mot à dire sur la façon dont le financement d'infrastructure sera dépensé, mais le projet de loi devra d’abord être présenté aux membres républicains du Congrès, qui sont peu susceptibles de soutenir les mesures pour favoriser les VÉ.
Marengo Charging Plaza, Pasadena, Californie
Si le projet de loi est adopté, le gouvernement fédéral pourrait au moins intervenir pour éliminer les goulots d'étranglement règlementaires aux niveaux national et local, a déclaré Chris Nedler du Wall Street Journal, qui étudie l'intégration du réseau électrique au groupe de défense le RMI*, Personne ne devrait être surpris que le président Biden mette l'accent sur les véhicules électriques, car ils ont été un sujet de discussion majeur dans le cadre de sa campagne présidentielle. En tant que candidat, Biden a préconisé de nombreuses mesures qui sont maintenant incluses dans le projet de loi sur les infrastructures, allant de meilleurs incitatifs pour véhicules électriques à la transition des bus scolaires vers l'énergie électrique. En plus d'un crédit d'impôt fédéral élargi pour les véhicules électriques, toujours disponible, les remises au point de vente sont privilégiées dans le plan d'infrastructure incluant la relance du programme Cash for Clunkers lancé il y a un peu plus de dix ans. Biden a déjà confirmé l' écologisation de la flotte fédérale , mais a cependant suscité de nombreuses critiques concernant un récent contrat attribué à Oshkosh Defence pour de nouveaux camions postaux du service postal américain qui maintiendront la majeure partie de la flotte en mode de combustion interne. * RMI est une organisation indépendante, non partisane et à but non lucratif d'experts de toutes disciplines travaillant à accélérer la transition énergétique propre et à améliorer des vies. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
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