La part de marché des voitures électriques au Canada a atteint 2,3% en mai; BYD obtient sa plus grande commande en Amérique avec 100 autobus à Santiago au Chili; Renault Zoé 2 : l’usine de Flins prépare son lancement pour 2019; Les véhicules autonomes devraient accroitre les bénéfices des véhicules électriques. Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture !
Contribution : André H. Martel
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Renault dévoile une ZOE STAR WARS, Tesla ouvre les réservations pour son Semi en Europe, Uber s'associe à Mahindra pour déployer des voitures électriques en Inde, et le VUS électrique Nio ES8 sera mis en vente en Chine ce mois-ci à la moitié du prix de la Tesla Model X : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
BMW investit 300 millions de dollars pour amener l'autonomie de ses VÉs à 700 km, Shell et Ionity installent un réseau de bornes ultra-rapides pour VÉs, louez une voiture électrique à Dubaï pour moins de 1,50 $ l'heure, et Toyota est seule à parier sur l'hydrogène alors que la vague de VÉs grossit : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
La saison 2017-2018 de Formule E devrait être la dernière de Renault. Partenaire au sein de l’Alliance, Nissan est attendu pour prendre la relève dès la prochaine campagne, selon des informations rapportées par le très sérieux Motorsport.com. Cette décision serait aujourd’hui actée et permettrait au constructeur japonais de disposer d’une implication sport automobile de grande envergure, comblant ainsi le vide créé par l’arrêt du programme usine LMP1 en 2015.
C’est une page victorieuse de Renault qui s’apprête à être tournée, si l’information se confirme. Le constructeur français, triple Champion du monde des constructeurs en titre, devrait avoir la possibilité de terminer son aventure avec la ZE17, dont les premiers essais sur piste se sont avérés concluants. L’arrivée de Nissan en Formule E n’a rien d’une surprise, puisque les rumeurs circulaient depuis plusieurs mois. Le constructeur japonais, numéro un mondial du véhicule électrique, vient tout juste de renouveler son modèle vedette, la Leaf. Et la présentation très récente d’un concept Nismo, la déclinaison sportive de ce modèle, laisse imaginer des liens en matière de communication avec ce nouvel engagement dans la discipline reine des monoplaces électriques. Pour Renault, l’arrêt du programme Formule E doit permettre de concentrer son investissement sur la Formule 1, à moins qu’un autre projet soit envisagé mais aucune rumeur ne circule en ce sens. e.Dams devrait pour sa part conserver ses responsabilités actuelles, tandis que la question du développement du powertrain doit être clarifiée. On peut imaginer plusieurs scénarios, comme une conception faite chez Nissan ou plus simplement un maintien des activités à Viry-Châtillon avec un financement opéré par le constructeur japonais. Ces " détails " seront très certainement évoqués lors de l’annonce, que Motorsport.com n’estime pas imminente, avec un rendez-vous potentiel lors du salon de Genève. D’ici là, il faudra probablement se contenter des rumeurs ou autres déclarations de personnes proches du dossier. Source: Confidentiel Renault
De nombreux médias européens ont eu la chance d'essayer la Renault ZOE e-Sport Concept dernièrement, incluant Autocar.co.uk et Fully Charged (qui conduit en pépère!). L'essai de Car Throttle nous semble le plus divertissant à vous présenter!
C'est formidable de voir le concept ZOE e-Sport de 456 HP lorsqu'il est poussé à ses limites, ce qui semble amuser beaucoup son conducteur. Ce véhicule semble absolument génial. Alex de Car Throttle a été positivement surpris par la performance en mode traction arrière et en traction intégrale. Espérons que la réponse des fans fera en sorte que Renault considère sérieusement la mise en marché de ce concept 100% électrique, qui s'inspire des modèles compactes haute performance "Hot hatch" dont les jeunes Européens raffolent (Ford Focus RS, VW Golf R, Peugeot 308 GTi, Renault Megane RS) Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Spécifications rapides:
L’objectif premier de la Formule E est de servir de banc d’essai à l’avancement et au développement des technologies en électrification des transports.
C’est pourquoi les écuries qui prennent part au championnat doivent obligatoirement utiliser un châssis identique, obligeant ainsi les constructeurs à concentrer leurs efforts sur certaines composantes clés, comme la motorisation. Conséquemment, cela permet de maximiser les investissements et de les diriger vers les éléments les plus essentiels des véhicules électriques.
D’ailleurs, les voitures de Formule E utilisent des batteries au Lithium-Ion, issues du savoir-faire québécois. En effet, une partie de ces batteries ont été conçues à l’Institut de recherche d’Hydro-Québec (IREQ).
En moins de trois saisons, certains constructeurs automobiles ont déjà intégré des technologies développées et testées sur le circuit de la Formule E. En voici quelques exemples :
Renault TREZOR La voiture concept TREZOR de Renault incorporera la motorisation développée en Formule E, celle-là même qui a aidé le constructeur français à remporter les premiers championnats. NIO EP9 La NIO EP9, la « super voiture » la plus rapide au monde, est propulsée par les mêmes fournisseurs que l’écurie NextEV, qui a remporté la première course de Formule E. RapidE de Aston Martin Pour assurer l’autonomie de sa voiture concept RapidE, Aston Martin intégrera une batterie bâtie sur la même technologie que celle de William Advanced Engineering, également utilisée en Formule E. La Formule E nous réserve certainement bien d’autres innovations que nous retrouverons dans les véhicules de demain. Source :Montréal c'est électrique Contribution : Martin Archambault
Une ancienne usine de Hummer en deviendra une de VÉs, les ventes de véhicules tout-électriques dépassent maintenant celles des hybrides rechargeables, Tesla discute avec ses rivaux de l'utilisation de son réseau de Superchargeurs, 8 des 10 voitures les plus vendues en Norvège sont électriques, et la décision de Trump de se retirer de l'Accord de Paris dynamise les affaires pour la compagnie d'autobus électriques Proterra : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Avec plus de véhicules électriques rechargeables sur la route que jamais, les constructeurs automobiles travaillent à résoudre un problème imminent : quoi faire avec les batteries lithium-ion usagées.
Une fois que les batteries ne sont plus aptes à faire rouler des véhicules, les constructeurs automobiles doivent les recycler ou les réutiliser. Maintenant, grâce à un partenariat avec The Mobility House, Renault Nissan Alliance prévoit les utiliser dans une centrale de stockage de 100 mégawatts en Europe. Le site de stockage d'énergie fournirait aux batteries lithium-ion usagées des voitures électriques une seconde vie pendant de nombreuses années. Reuters rapporte que l'usine sera assez grande pour alimenter 120 000 maisons, ce qui équivaut à peu près à ce que produit une station utilitaire à gaz naturel ou au charbon. Elle pourra également être utilisée pour assurer l’approvisionnement en électricité pendant les pics de demande.
BMW dévoile un nouveau concept de moto électrique auto-équilibré, des détails sur la batterie de la Renault Zoe ZE 40, Petit VÉ ou multisegment électrique pour Nissan et deux annonces surprises pour Tesla : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
Renault vend son 100 000e VÉ, une bande-annonce accrocheuse pour le VUS électrique de Mercedes, autonomie de 300 km et batterie de 41 kWh pour la nouvelle Renault ZOE ZE 40 et le cofondateur de Tesla veut aider une société chinoise de VÉ à s’installer aux États-Unis : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
Le constructeur, qui vient d'ouvrir avec l'Ecole centrale de Nantes une chaire de recherche sur la propulsion électrique, entend conserver, à long terme, son leadership dans le véhicule électrique.
Pas question de se laisser distancer. C’est dans ce contexte que Renault vient de signer un partenariat de cinq ans avec l’Ecole Centrale de Nantes pour créer une chaire de recherche sur la propulsion électrique. «Elle sera pour nous un catalyseur pour accélérer le développement des futurs moteurs électriques, annonce Philippe Schulz, directeur de l’ingénierie groupe motopropulseur électrique et hybride chez Renault. Son objectif est d’explorer de nouvelles pistes d’optimisation sur la performance, la robustesse, la sécurité et les coûts des motorisations électriques et hybrides. »
Une start-up sur le campus
Quelque 4,6 millions d’euros seront investis dans ce projet (2,3 millions par Renault et autant par l’Ecole). Cette chaire est constituée comme une véritable start-up qui va vivre sur le campus pendant cinq ans. Elle occupera une trentaine de chercheurs internationaux, professeurs, ingénieurs et autres doctorants, sous la direction de Malek Ghanes. « Les résultats se retrouveront assez vite sur les véhicules, prévoit Philippe Schulz. Ils aboutiront à une baisse des coûts et à une amélioration de la fiabilité à iso-performances.Nous n’en sommes qu’au début de la courbe d’apprentissage. Les progrès espérés sur les moteurs sont tout aussi importants que ceux attendus sur les batteries. C’est le couple batterie/système de charge et moteur qu’il faut prendre en compte pour améliorer l’autonomie. Mais le moment où la question de l’autonomie ne se posera plus est proche. » A Nantes, la Chaire va également travailler sur les propulsions hybrides « mais à partir de l’apprentissage fait sur le véhicule électrique ». Une gamme conjointe Renault et Nissan Désormais, Renault et Nissan seront mieux coordonnés et vont élaborer une gamme de moteurs électriques, sur lesquels ils communiqueront lorsque les technologies seront abouties. « Il y aura quelques briques technologiques sensiblement différentes, précise Philippe Schulz, mais elles s’intégreront dans une gamme conjointe ». Une partie des technologies mises au point à Nantes pourront servir à d’éventuels futurs véhicules à pile à combustible« qui font partie du panorama.» En parallèle à cette initiative nantaise, Renault travaille également sur les prochaines générations de batteries, notamment avec les CEA et le CNRS. Pour l’heure, il utilise pour Zoe une batterie assemblée à Flins, dont les éléments sont fournis par l’équipementier coréen LG. Tesla, un utile concurrent Renault, ne risque-t-il pas d’être dépassé par Tesla et ses technologies d’avant-garde très médiatisées ? « Tesla est différent par le prix, se défend Philippe Schulz, par le poids, il embarque plus de batteries, moins performantes que celles que nous utilisons. Mais cette compétition est salutaire. Elle va permettre de définir les nouveaux standards et l’interopérabilité. » En attendant, le constructeur entend conserver son leadership. Il revendique plus de 100 000 ventes de véhicules électriques et reste leader en Europe sur le marché des VE particuliers et utilitaires avec 27% de pénétration. Source :Pro L'argus Contribution : Martin Archambault Les partenaires de l'alliance Nissan-Renault viennent d’atteindre un tout nouveau jalon dans le monde des véhicules électriques. La paire de constructeurs automobiles japonais et français ont construit ensemble 340 000 voitures électriques depuis le lancement de la Nissan LEAF en décembre 2010.
Cet accomplissement a été brièvement mentionné dans une annonce conjointe traitant principalement de leur plan de réduction des coûts, qui combinerait l'achat, la fabrication et d'autres aspects de leurs opérations. La barrière des 340 000 véhicules a été brisée un peu plus d'un an après que Renault et Nissan aient dépassé des ventes de 250 000 VÉ. La Nissan LEAF représente encore la grande majorité de ces ventes. Elle est la voiture électrique la plus vendue de l'histoire, bien que les ventes américaines aient perdu de leur élan au cours des derniers mois.
Renault a réussi à obtenir 23,6% des parts de marché du véhicule électrique en Europe en 2015 (25,2% si on inclut la Twizy) avec 23 086 unités vendues lors de la dernière année.
En d’autres termes, un VE sur cinq vendu en Europe en 2015 était une Renault Z.E. Source: Electric Car Reports Contributeur: Benoit Raymond La flotte d’ERDF (Électricité Réseau Distribution France) compte désormais 1 000 Kangoo Z.E., l’utilitaire électrique de Renault. C’est Philippe Monloubou, président du directoire d’ERDF, qui a pris livraison le 25 septembre 2015 du véhicule, à sa sortie de chaîne de l’usine Renault MCA de Maubeuge. Le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité ambitionne de gérer l’un des plus grands parcs de véhicules électriques de France. Dans le cadre de son projet ECOFLOT, ERDF prévoit ainsi de se doter d’ici fin 2016, de 2 000 véhicules électriques, dont 1 500 Kangoo Z.E. Malgré ce nombre important, il semble que c'est la Poste Française qui possède le plus de ces véhicules dans sa flotte, soit plus de 5 000. Source: Media Renault
Contribution: Dany Labrecque Plus de 30 ans après avoir quitté l’Amérique du Nord, le constructeur automobile français Renault a la ferme intention de revenir sur le marché canadien. Et cela se fera par l’intermédiaire des voitures électriques, selon ce qu’a appris La Presse. Une révolution en soi dans l’industrie automobile. C’est par l’intermédiaire de son modèle Kangoo que la célèbre marque au losange esquisse un retour au Canada. Décliné principalement en deux versions, passagers et commerciale, ce véhicule familial de forme cubique et de taille moyenne a été lancé en 1997 en France. Renault espère pouvoir vendre au pays la version commerciale dotée de la motorisation 100 % électrique. Il y a deux semaines, Renault a confirmé sans tambour ni trompette qu’il distribuera au Canada, d’abord un petit véhicule urbain deux places en tandem appelé Twizy, vendu déjà à 15 000 exemplaires dans le monde. « Nous avons une vraie envie de revenir, nous a confié en entrevue Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault. […] On a de très bonnes discussions avec le gouvernement du Québec et du Canada sur la façon dont on peut contribuer à l’évolution du marché électrique. » « On est prêts à le faire à condition que les dérogations soient apportées. Ça, c’est du court terme, c’est facile à faire. Après, la deuxième étape va évidemment dépendre de l’évolution du marché. Mais notre envie est là. » — Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault Depuis avril dernier, le constructeur français fait des démarches auprès des gouvernements canadien et québécois afin d’obtenir la permission de faire circuler sur nos routes le Twizy et la version électrique du Kangoo. Depuis le départ de l’Amérique des constructeurs français à la fin des années 80, leurs véhicules ne sont pas assemblés selon les normes nord-américaines de sécurité et environnementales. Et n’y sont donc pas vendables. D’où la nécessité pour Renault et son Kangoo d’obtenir « une dispense » de conformité aux normes réglementaires, dans ce cas-ci canadiennes. Cette dispense peut être accordée pour une période « d’au plus deux ans pour un nombre déterminé, limité à 1000, de véhicules du même modèle », comme le stipule la Loi canadienne sur la sécurité automobile. L'IMPLICATION DE L'AVÉQ: Depuis 2013, l'AVÉQ est impliquée avec la promotion des véhicules électriques Renault au Québec pour faire connaitre ces produits au public, créer un intérêt et une demande dans un marché québécois où les manufacturiers européens restent frileux (Fiat, Mercedes, Volkswagen) et ultimement offrir aux consommateurs québécois un plus grand choix. Pour se faire, nous avons tenu un blogue sur la Zoé et Twizy et présenté leurs statistiques à Renault pour les convaincre. Nous les avons ensuite introduits au Réseau AZRA pour l'importation des véhicules au Canada, et nous les avons introduit à notre lobbyiste sur la Colline Parlementaire pour faire l'application d'une dérogation sur le Kangoo, et modifier certaines règles de Transport Canada sur les véhicules à basse vitesse comme le Twizy. L'AVÉQ, c'est plus qu'un site web. UNE ARRIVÉE EMBLÉMATIQUE Ce petit modèle électrique qu’est le Twizy et surtout le plus grand, le Kangoo, représentent une arrivée très significative et emblématique. Jamais un véhicule de passagers de marque française n’avait traversé l’Atlantique depuis les derniers modèles Peugeot vendus en 1991. Il y a chez Renault une volonté claire de vendre des véhicules au Canada. « Oui, il y a une volonté bien sûr, confirme Vincent Carré. C’est pour ça qu’on amène d’abord le Twizy. C’est pour commencer à expérimenter ce marché, pour accélérer aussi le développement de l’électrique et contribuer à ce que l’électrique se développe au Canada. Effectivement, si le marché canadien de l’électrique se développe, nous avons une volonté forte d’y vendre des voitures. » Le premier constructeur français a bon espoir d’avoir une réponse positive des gouvernements canadien et québécois dans quelques mois. « On n’a pas le potentiel volume aujourd’hui chez Renault pour des véhicules électriques comme le Kangoo pour réaliser une adaptation aux normes du marché canadien, précise Vincent Carré. Il faut d’abord que le marché démarre avant qu’on puisse le faire. Nous soumettons une application au gouvernement canadien pour que ce véhicule puisse être vendu sous normes européennes […] de manière à pouvoir apporter très vite des voitures sur le marché sans faire de développement coûteux qui n’apporterait pas grand-chose. » Ce qui signifie que si le potentiel du marché des voitures électriques se confirme et qu’il faut alors à Renault produire en plus grand volume, le constructeur adaptera ses prochains véhicules aux normes canadiennes et américaines. « Il va falloir encore quatre ou cinq ans avant que les volumes soient suffisants pour valider les investissements industriels et modifier les produits, ajoute M. Carré. L’objectif est que les prochaines générations des voitures électriques soient aussi compatibles avec les normes canadiennes. » « C’est dans cet esprit-là qu’on demande la dérogation, pour pouvoir amener ensuite, au-delà des 1000 premières voitures, des véhicules qui seront compatibles avec les normes canadiennes. » — Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault Source : La Presse + / Sébastien Templier Contribution : Richard Lemelin, directeur régional - Capitale Nationale LA VOITURE ÉLECTRIQUE AVANT TOUT Il est difficile d’imaginer Renault faire machine arrière à ce stade-ci de ses démarches. Et si jamais les premiers modèles de Kangoo et de Twizy livrés au pays ne convainquent pas le public, Renault n’a pas l’intention de repartir sans laisser ici une structure. Au contraire, comme nous le dit Vincent Carré : « De toute façon, si on vient, c’est avec un réseau capable d’entretenir dans la durée avec une garantie, un réseau d’après-vente qui est capable d’entretenir ces produits. Il n’est pas question qu’on laisse des clients sans une solution. » Le directeur commercial de Renault ne veut pas pour autant parler officiellement de retour de Renault en Amérique. « Un retour, c’est quand on amènera toutes nos voitures, une gamme complète, dit-il. Là on est vraiment concentré sur la voiture électrique, parce que c’est notre savoir-faire, notre compétence. On essaie d’exploiter cette opportunité-là. Ce qui est aussi pour nous une occasion de redécouvrir le marché canadien. » Pourtant, quand on en est rendu à ce point dans l’introduction de deux modèles dans un nouveau marché, il est difficile de nier la réalité. « Si on vient avec ce Kangoo électrique et si on a cette dérogation du gouvernement, c’est pour faire d’autres choses derrière, c’est évident », lâche Vincent Carré. Quoi de mieux qu’une ancienne station-service dessinée par Ludwig Mies van der Rohe convertie en magnifique centre intergénérationnel pour organiser un événement sur les transports de l’avenir? C'est en effet le lieu de l'événement qui aura lieu ce samedi à l'Ile-des-Soeurs de 9h à 17h, arrondissement Verdun. Cet événement gratuit ouvert au public de tous âges se déroule en trois phases :
L'AVÉQ sera présente pour promouvoir ses différents partenaires et sensibiliser les participants aux avantages de rouler électrique.Renault a profité du Salon de Genève pour présenter son nouveau moteur électrique qui équipera la Zoé, le R 240. Il vient d’entrer en phase de production en série au sein de l’Usine Renault Cléon en Normandie. Grâce à cette nouvelle production, la marque au losange a annoncé cette semaine qu’elle allait embaucher 100 personnes qui permettront de renforcer les compétences de Renault dans la conception et la fabrication des véhicules électriques. UN MOTEUR 100% FRANÇAIS Contrairement à son prédécesseur qui a été développé par l’équipementier allemand Continental, le R 240 a été intégralement conçu en France par Renault. Fruit de 2 ans de recherche et de l’expérience acquise en Formule E, le R 240 est 10 % moins encombrant que la génération précédente et augmente l’autonomie de la Zoe de 30 km 50 millions d’euros ont été investis dans la conception de ce moteur synchrone à rotor bobiné qui se révèle très performant, puisqu’il permet à la Zoé de bénéficier d’une plus grande autonomie, soit 240 kilomètres. Le moteur bénéficie de 95 brevets spécifiques issus de l’expérience électrique acquise par le groupe. Ce moteur bénéficie aussi de l’engagement de Renault dans le championnat de voitures électriques Formule E, qui lui permet de développer de nouvelles approches et de les tester en conditions extrêmes, à la fois en terme de performances et d’autonomie. Miniaturiser l’électronique C’est un moteur synchrone à rotor bobiné de 65 kW avec un couple de 220 Nm, refroidi par air. Ce choix technique de rotor bobiné, ainsi que le choix de technologie de bobinage, font partie des solutions qui améliorent la performance du moteur et l’autonomie du véhicule. La ligne stator est celle sur laquelle les innovations sont les plus nombreuses. Le bobinage, le laçage, et son imprégnation sont les opérations ayant nécessité les études et mises au point les plus complexes. Plusieurs centaines de mètres de fil de cuivre sont utilisées sur chaque stator. La ligne d’assemblage du moteur présente également plusieurs innovations, notamment la liaison entre le carter moteur et le stator bobiné. Une bonne part des travaux a porté sur l’intégration et la miniaturisation de la partie électronique du moteur. L’empilage de modules d’interconnexion entre les différentes éléments (moteur, batterie, secteur), de contrôle de la puissance du moteur et de la charge de la batterie, fait place à un module unique. Les câbles d’alimentation externes intermodulés ont ainsi été supprimés. Le volume du Power Electronic Controller a été réduit de 25%. Renault prévoit une production de 50 000 unités au lancement, mais, la chaîne est configurée pour pouvoir produire le double à terme. Twizy, le bi-place 100 % électrique de Renault est désormais accessible aux abonnés du service Bluely, de la ville de Lyon en France. L’intégration de Renault Twizy dans le réseau d’auto-partage du groupe Bolloré, en plus des Bluecar, permet d’étendre les usages possibles pour les clients. Actuellement, plus de 30 Renault Twizy intègrent la flotte d’auto-partage Bluely. Il s’agit du premier résultat concret de la coentreprise créée en 2014 entre les groupes Renault et Bolloré. D’ici fin 2015, 110 Renault Twizy feront partie des flottes Bluely (Lyon) et Bluecub (Bordeaux). Renault Twizy, un véhicule adapté à l’auto-partage Renault Twizy enrichit l’offre d’auto-partage Bluely : c’est un véhicule électrique 2 places, ludique et maniable, car ultra compact (2,3 m de long pour 1,24 m de large). Il permet d’étendre les usages possibles pour les abonnés du service. Renault Twizy : les chiffres
Au Québec Le quadricycle de Renault, présenté ce printemps au Salon International de l'auto de Québec (SIAQ), n'a pas encore de partenaire distributeur officiel au Québec. Rappelons également que la SAAQ doit créer une nouvelle classe de véhicule pour permettre au quadricycle de circuler sur nos voies publiques. La quadricycle sera-t-il proposé par la coentreprise pour l'appel d'intérêt à venir pour l'offre de véhicules en libre service (VLS) de Montréal en 2016? C'est à suivre. Mars 2012, la Renault Twizy fait irruption dans le marché de la voiture électrique.
Les ventes ont été initialement stellaires (plus de 9000 vendus en 2012), mais ont chuté de façon spectaculaire (3000 en 2013 et environ 2000 en 2014) depuis l'introduction du véhicule. Bien que largement disponible, Twizy souffre d'être classé comme un quadricycle, mais portant une étiquette de prix qu'il la met sur le territoire des vraies voitures. Mais encore, Twizy est une voiture électrique amusante qui pourrait bien être fait son chemin en Amérique du Nord bientôt. Ainsi, alors que nous attendons son arrivée, nous allons passer le temps en célébrant les 3 ans de la Twizy! Ceux qui seraient intéressés d'essayer le véhicule pourraient le faire lors des journées Branchez-vous (branchezvous.org) qui se tiendront sur le circuit Gilles-Villeneuve, à Montréal, les samedi 18 et dimanche 19 avril prochain. Selon Mme Desbrosse, Renault devrait apporter un exemplaire du Twizy à cet événement où des essais gratuits de VE peuvent être faits.
Bien qu'aucun distributeur canadien ne soit encore dévoilé, le constructeur français Renault a bon espoir que le quadricycle électrique Twizy soit homologué par Transports Canada d'ici le mois de mai. C'est à tout le moins l'information obtenue par Le Soleil de la part d'Emmanuelle Desbrosse, directrice générale au développement des véhicules électriques (VE) chez Renault. «Ce sera plus facile dans le cas du Twizy 45, limité à 45km/h, mais pouvant être descendu à 40 km/h, de répondre aux normes canadiennes des véhicules à basse vitesse [VBV]. Mais dans le cas du Twizy 80 [limité à 80 km/h], ce sera plus complexe», ajoute-t-elle. Selon la réglementation québécoise sur les VBV, ceux-ci ne peuvent pas emprunter les routes dont la vitesse maximale dépasse 50 km/h. En ce qui concerne l'éventuel distributeur, Mme Desbrosse souligne que six candidatures sont présentement à l'étude. Évidemment, l'annonce du choix de Renault sera faite après que le véhicule soit homologué. Sans nécessairement l'écarter, Nissan - qui fait partie de l'Alliance Renault-Nissan - ne semble pas être le choix numéro un. «C'est une option, mais nous souhaitons faire affaire avec un distributeur passionné et dédié au modèle et à la marque», a déclaré Vincent Carré, directeur commercial pour les VE chez Renault. La venue du Renault Twizy au 34e Salon international de l'auto de Québec constituait une première nord-américaine - même si le constructeur marchait sur des oeufs et affirmait qu'il s'agissait d'une «première canadienne». Les véhicules Renault ne sont plus distribués ici depuis plus de 25 ans. Il n'est pas possible de connaître le prix de vente du Twizy au Québec. Cependant, M. Carré a indiqué que Renault imagine un prix cible autour de 15 000 $. «Mais ce sera à déterminer avec notre éventuel partenaire», précise-t-il. Ce véhicule serait aussi éligible à une subvention de 1000 $ du gouvernement du Québec, selon M.Carré. Le Renault Twizy est un «véhicule emblématique et l'icône du VE chez Renault», selon M. Carré. Il a été conçu par la filiale Renault Sport afin d'offrir «une manière différente de se déplacer en ville». Ce véhicule biplace en tandem propose une ceinture de sécurité à quatre points pour le conducteur et une à trois points pour le passager. Selon Renault, le Twizy a une autonomie de 70 à 100 kilomètres et est rechargeable sur une borne publique de 240 volts en trois heures. Le constructeur en a vendu plus de 15 000 exemplaires dans 40 pays. «Véhicule intéressant» Jonatan Julien, vice-président du Conseil exécutif de la Ville de Québec, a semblé avoir apprécié l'expérience du Twizy, après l'avoir essayé deux tours plutôt qu'un. Il avait précédé le ministre Sam Hamad lors de l'ouverture officielle du Salon de l'auto de Québec. Il a été toutefois discret sur une possible application du véhicule dans les rues de Québec. «Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il s'agit d'un véhicule intéressant», affirme celui qui a remplacé le maire Régis Labeaume mardi dernier. «Pour le moment, je ne vois pas quelle application on pourrait donner à ce véhicule dans nos services», a-t-il dit sans toutefois fermer la porte à d'éventuelles idées. Maya Vautier, attachée de presse pour Renault, a fait part de l'accueil des gens de Québec au sujet du Twizy. «Beaucoup de monde voulait se mettre à son volant et les plus vieux nous ont dit être heureux de revoir "le losange" au Québec», a-t-elle écrit par courriel au Soleil. «Les questions les plus fréquentes sont bien sûr son prix, sa date de disponibilité et la recharge. «On a même un monsieur qui nous a laissé sa carte d'affaires, car il souhaite acheter le premier Twizy qui sera vendu au Canada», conclut-elle. Les clients potentiels de Renault pour ce véhicule de proximité trois saisons sont notamment les entreprises, les firmes d'autopartage et les particuliers qui s'en serviraient pour faire de petits déplacements. Le Twizy peut aussi servir de véhicule pour les touristes en ville ou pour effectuer des patrouilles. Notes d'intérêt
Source: Le Soleil Renault profite du salon de Genève 2015 pour présenter la dernière évolution de la Zoé. Elle est animée par un moteur électrique plus petit et dotée d'une batterie à l'autonomie plus importante. La Renault Zoé arrive au salon de Genève 2015 dans une version légèrement améliorée. Les nouveautés se situent sous le capot : la voiture électrique de Renault dispose d'un nouveau moteur synchrone, baptisé R240. En concevant ce moteur, Renault a travaillé l'intégration des composants, ce qui a permis de réduire la taille du moteur de 10%. 240 km d'autonomie pour la nouvelle Renault Zoé
La Renault Zoé est désormais disponible avec un nouveau moteur avec laquelle son autonomie passe de 210 à 240 km. C'est un progrès assez étonnant, parce que la batterie n'a pas changé. Tout le progrès est à porter à la plus grande efficience de ce nouveau groupe propulseur. Et la consommation théorique serait alors incroyablement faible, inférieure à 10 kWh/100 km. Soit une valeur jamais vue sur une vraie voiture, respectant toutes les normes de sécurité. Une consommation aussi basse était jusqu'à ce jour, celle de prototypes hyper aérodynamiques et ultra légers. Ce serait un véritable exploit si Renault parvenait à s'en approcher avec une voiture normale. Le moteur développe 65 kW (environ 88 ch) et 220 Nm de couple. Grâce à une batterie à la gestion optimisée, l'autonomie (théorique) augmente de 30 km par rapport au modèle actuel. Alliance Nissan-Renault Le nouveau moteur sera-t-il disponible du côté Nissan? Sera-t-il disponible dans la prochaine Leaf? Voilà d'excellentes questions auxquelles nous pouvons simplement émettre des hypothèses à l'heure actuelle :
À suivre. Une délégation de 5 représentants de l'AVÉQ était présents au SIAQ en ce lundi 2 mars 2015 : Simon-Pierre Rioux - Pierre Langlois - Dany Labrecque - Yvon Bergeron - Richard Lemelin Voici les présentations principales sur vidéo, avec une mention spéciale sur la présentation du Circuit Électrique où le PDG d'AddÉnergie, Louis Tremblay, fait allusion à la persistance de l'AVÉQ sur le dossier des BRCC, et lors de la présentation de Renault pour les remerciements à notre association. Source: Forums AVÉQ - Richard Lemelin Ça y est, la première Renault Twizy en sol québécois est apparue avec une bouille fort sympathique pour charmer les chroniqueurs et journalistes présents lors de la journée média du SIAQ. Le tapis rouge fut déroulé pour le petit quadricycle entièrement électrique, alors que quatre employés de Renault étaient sur place afin de présenter le premier véhicule de la gamme ZE qui pourrait être disponible au Québec prochainement. L'homologation fédérale avec Transport Canada étant complétée pour Twizy45, il s'agit maintenant de présenter le véhicule à la SAAQ pour une vérification finale avant de créer une catégorie spécifique pour quadricycle dans la province. En ce qui concerne Twizy80, il n'y a aucune catégorie qui existe présentement pour l'accepter. Renault est donc en pourparlers avec Transport Canada pour faire accepter cette nouvelle catégorie de véhicule sans qu'il soit classifié comme voiture, puisqu'il ne passerait pas les tests de collision pour voiture. Ce véhicule est très sécuritaire, ayant passé des crash tests en Europe malgré le fait qu'il n'était pas obligatoire de le faire, possédant un sac gonflable pour le conducteur ainsi qu'une ceinture de sécurité à 4 points (et à 3 points pour le passager). La technologie de sécurité est de haut niveau, profitant de l'expérience des ingénieurs de Renault Sport qui furent responsables du projet Twizy. On peut donc s'attendre à voir la Twizy sur nos routes vers la fin de l'été, l'homologation étant plus longue que prévue. Le prix n'est pas encore annoncé. Avec un conducteur de 6'3" / 1m92 à bord, il y a amplement d'espace pour la tête, alors que comme passager, c'est juste pour la tête mais surprenant comme espace pour les jambes, avec une excellente visibilité permettant d'apprécier le paysage. Vraiment surprenant. Renault a remercié ses partenaires québécois qui ont permis la venue de Twizy au Québec: CAA-Quebec, PosImage, l'Institut du Véhicule Innovant (anciennement CNTA et ITAQ qui sont officiellement fusionnés), le Salon de l'auto de Québec, et bien entendu votre association, l'AVEQ, qui travaille avec Renault depuis plus d'un an pour les intéresser à offrir leurs VÉ ici et en servant d'intermédiaire avec différents partenaires.
Cette année, le Salon international de l'auto de Québec a le plaisir d'inviter le constructeur français Renault pour présenter en grande primeur Canadienne l'arrivée prochaine de son biplace électrique Twizy. Afin de frapper fort, Renault affiche même le véhicule aux couleurs du Québec. Le travail a été réalisé par Posimage, une entreprise de la région.
Afin d'aider le constructeur à présenter le Twizy au Salon, CAA-Québec a joué le rôle de facilitateur. L'organisme a fourni des informations essentielles à Renault et l'a mis en contact avec différents intervenants impliqués dans ce projet. Plusieurs se souviennent de la Renault 5, de la Renault Alliance et de la Renault Encore du début des années 1980. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'avec l'arrivée du Twizy, Renault promet de faire jaser. L'électrification des véhicules et les produits compétitifs du fabricant offerts ailleurs dans le monde le placent désormais en bonne position pour affronter le marché québécois et, pourquoi pas, canadien. Motorisation Le Twizy est un véhicule particulier et original. Il se décline en deux versions; le Twizy 40 et le Twizy 80. Les deux versions entièrement électriques peuvent accueillir deux passagers positionės en tandem, c'est-à-dire l'un derrière l'autre, ou encore une seule personne avec de l'espace de chargement. Les portes s'ouvrent en ciseaux. Comme son nom l'indique, le Twizy 40 peut atteindre une vitesse maximale de 40 km/h. Il sagit d'un véhicule à basse vitesse selon la réglernentation de l'Assurance automobile du Québec. Le Twizy 40 est en cours d'homologation. Pour sa part, le Twizy peut atteindre 80 km/h. Ce dernier sera homologué un peu plus tard, car Transport Canada doit créer une autre catégorie de véhicule pour l'accueillir sur nos routes. Le véhicule est équipé d'une batterie de 52 volts nominal, ce qui permet une autonomie d'environ 100 km. Pour charger le véhicule, il faut compter environ 3 h 30 sur une prise de 240 volts. Le véhicule est garanti 2 ans/50,000 km, alors que la batterie l'est pour 3 ans/50,000 km. Caractéristiques Côté sécurité, le Twizy est équipé d'un châssis tubulaire protégeant des chocs, de quatre freins à disque et, pour le conducteur, d'un coussin gonflable ainsi que d'une ceinture quatre points. Fait à savoir, en Europe, ce véhicule peut être conduit dès l'âge de 16 ans, et ce, sans permis. Petit bémol, le Twizy est considéré comme étant un véhicule trois saisons. Il est toutefois possible d'ajouter en option un parebrise chauffant et des chauffe-jambes. Avis aux personnes un peu plus téméraires! L'importateur n'est pas encore connu, mais devrait l'être sous peu. Le prix de vente et l'entretien seront alors gérés par ce dernier, mais le Twizy devrait être le véhicule électrique le moins cher offert sur le marché, sans compter qu'il sera admissible au rabais gouvernemental de 1000$. Le Twizy est offert en Europe depuis 2012 et environ 14,000 exemplaires ont été vendus. Renault espère être en mesure de vendre le Twizy au Québec ce printemps, ou d'ici la fin de l'année 2015. Un dossier à suivre. Source: Autonet |
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