L’objectif premier de la Formule E est de servir de banc d’essai à l’avancement et au développement des technologies en électrification des transports.
C’est pourquoi les écuries qui prennent part au championnat doivent obligatoirement utiliser un châssis identique, obligeant ainsi les constructeurs à concentrer leurs efforts sur certaines composantes clés, comme la motorisation. Conséquemment, cela permet de maximiser les investissements et de les diriger vers les éléments les plus essentiels des véhicules électriques.
D’ailleurs, les voitures de Formule E utilisent des batteries au Lithium-Ion, issues du savoir-faire québécois. En effet, une partie de ces batteries ont été conçues à l’Institut de recherche d’Hydro-Québec (IREQ).
En moins de trois saisons, certains constructeurs automobiles ont déjà intégré des technologies développées et testées sur le circuit de la Formule E. En voici quelques exemples :
Renault TREZOR La voiture concept TREZOR de Renault incorporera la motorisation développée en Formule E, celle-là même qui a aidé le constructeur français à remporter les premiers championnats. NIO EP9 La NIO EP9, la « super voiture » la plus rapide au monde, est propulsée par les mêmes fournisseurs que l’écurie NextEV, qui a remporté la première course de Formule E. RapidE de Aston Martin Pour assurer l’autonomie de sa voiture concept RapidE, Aston Martin intégrera une batterie bâtie sur la même technologie que celle de William Advanced Engineering, également utilisée en Formule E. La Formule E nous réserve certainement bien d’autres innovations que nous retrouverons dans les véhicules de demain. Source :Montréal c'est électrique Contribution : Martin Archambault
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