Le sympathique blogueur et homme d'affaire Sylvain Juteau cherche à se cloner! Saurez-vous relever le défi? En effet, c'est une offre d'emploi à temps plein fort intéressante pour tous ceux qui veulent s'impliquer en électromobilité au Québec, grâce à cette entreprise trifluvienne qui s'y engage passionnément depuis plus de 2 ans. On cherche une personne dynamique et de confiance pour diverses tâches de comptabilité, de vente et de commerce internet. Ne manquez pas votre chance - c'est un emploi unique qui risque de partir rapidement!
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L'usine de Nissan à Smyrna a rapidement gonflé pour devenir l'usine automobile la plus productive des États-Unis. La société basée à Franklin prévoit y construire plus de 650 000 voitures cette année. Voici la statistique à retenir - le vice-président chez Nissan, John Martin, affirme que l'usine de Smyrna produit deux véhicules chaque minute. À ce rythme, Smyrna va briser des records. «Elle sera la plus grande usine automobile dans l'histoire des États-Unis. Elle est la plus grande, et il n'y en a jamais eu une autre qui était plus grande », dit Martin. Il y a aussi plus de travailleurs que jamais à l'usine, mais les 8500 ne sont pas des employés directs de Nissan. Certains travaillent pour des sous-traitants. D'autres sont temporaires. La facilité fonctionne à trois équipes par jour. Martin dit qu'il pourrait rajouter une quatrième si nécessaire, mais il dit que c'est dur sur les horaires des employés. L'usine de moteurs de Nissan à Decherd est déjà passée à quatre équipes, ce qui signifie que l'usine fonctionne à plein régime sauf neuf heures par semaine. Il est fort probable que la production de la LEAF augmente à 4000-5000 unités par mois pour suivre la demande du marché nord-américain. Source: Nashville Public Radio Voici un communiqué de presse trop important pour qu'il tombe dans l'oubli -- on parle de l'invasion chinoise dans le marché des véhicules électriques. Cela ne fera que stimuler l'industrie VÉ, et permettra une diminution des coûts grâce à la production de masse. Cet article fait suite à la déclaration du PDG de Boston-Power [lien WSJ] qui n'a pas l'intention de laisser Elon Musk et Tesla Motors s'accaparer du marché des batteries lithium sans compétition. TAIPEI, Taiwan - Hon Hai Precision Industry Co. (鸿海), un assembleur taïwanais des iPhones et iPads d'Apple Inc., a annoncé qu'il envisage de fabriquer des voitures électriques à prix réduit avec une étiquette de prix très abordable - moins de 15.000 US $. «Les voitures électriques faites par nous seront très abordable», a déclaré Terry Gou (郭 台 铭), président du plus grand fabricant d'électronique contractuels dans le monde, en réponse à une question lors d'une réunion d'assemblée annuelle des actionnaires. Contrairement aux modèles actuels qui coûtent jusqu'à NT $ 2,000,000 (66.800 US $), le prix de la plupart des voitures électriques développés par Hon Hai sera sous 15.000 dollars, Gou dit. Il a refusé de donner des détails sur les voitures ou indiquer à quel moment elles peuvent être introduites sur le marché. Interrogé par le même actionnaire sur la coopération entre Hon Hai avec le pionnier américain de l'automobile électrique Tesla Motors Inc., Gou a dit qu'il ne ferait aucun commentaire sur un client unique, ajoutant seulement que Tesla est une bonne compagnie et qu'elle peut aider Hon Hai à comprendre les tendances futures des voitures électriques. «Le développement de véhicules à énergies nouvelles ne fait que commencer», a-t-il noté. «Lorsqu'il est intégré avec le cloud computing, l'Internet, le trafic intelligent et villes intelligentes dans le futur, les gens seront en mesure de conduire plus facilement et de réduire les accidents de voiture plus efficacement.» «Ce type de technologie est dû dans les 10 à 20 prochaines années, et notre société va y faire d'énormes investissements», a déclaré Gou. Hon Hai, souvent appelé par son nom commercial de Foxconn Technology Group, cherche à se transformer en une société de services technologiques pour répondre à la demande des consommateurs et générer de la croissance de l'entreprise dans les années à venir. Dans son rapport annuel aux actionnaires, Hon Hai a dit qu'il est en train de passer sa base existante "Intégration-Innovation-Design-Manufacturing" dans les services de cloud computing, les services de réseautage 4G-LTE sans fil et le secteur de l'e-commerce. Au moment de l'apparition de la cinquième génération (5G) de télécommunications, la société va mettre l'accent sur le développement de l'automatisation et l'intelligence artificielle et la combinaison des applications matérielles et logicielles pour améliorer la vie humaine, selon le rapport annuel. Source: The China Post Le Québec compte cinq principaux pôles industriels dans le domaine de l'électrification des transports. «Ces grappes d'entreprises se distinguent particulièrement dans la fabrication des composantes ou de systèmes de véhicules électriques, ainsi que dans des marchés de niche comme le véhicule industriel, le véhicule récréatif, l'autobus scolaire ou la motocyclette, explique André St-Pierre, directeur général du consortium de recherche Inno-VÉ. L'industrie s'appuie également sur plusieurs organismes et chaires de recherche qui participent à son essor.» Voici les entreprises qui se distinguent dans chacun des pôles. LONGUEUIL Bathium Boucherville La filiale canadienne du groupe français Bolloré, qui fabrique des batteries en lithium pour des voitures électriques en libre-service en Europe, met actuellement au point une technologie de batteries à partir de l'énergie éolienne et photovoltaïque. 166 employés. Bombardier Transport Saint-Bruno-de-Montarville Le chef de file mondial dans la fabrication de trains s'affaire à la fabrication de 468 nouvelles voitures de métro pour la STM, dont les 9 premières sont en essais de qualification dans le réseau montréalais. 700 employés. Varitron Technologies Saint-Hubert Le chef de file en assemblage électronique, qui dessert les industries de l'énergie, de l'aérospatiale, du militaire et du transport électrique, notamment, vient de faire l'acquisition de la société américaine Altronics Manufacturing. 225 employés. TM4 Systèmes électrodynamiques Boucherville Filiale d'Hydro-Québec qui fournit des moteurs électriques, des générateurs et des convertisseurs de puissance aux industries de l'automobile et du transport avancé. 130 employés. Lito Green Motion Longueuil Les premières unités de la moto 100% électrique Sora sont en construction et devraient être livrées au cours de l'année par ce constructeur qui cherche maintenant à élargir sa gamme. 10 employés. LIRE PLUS .... >>>>>>>>>>>>> Le PDG de Tesla Motors, Elon Musk avait laissé entendre qu'il pourrait être prêt à libérer des brevets de l'entreprise à d'autres fabricants afin de stimuler l'industrie de la voiture électrique. Ce dernier a indiqué à un journaliste de la BBC qu'ils étaient «sur la bonne voie" lorsqu'on lui a demandé si des plans étaient en cours pour ouvrir leur coffre au trésor. "Nous ne voulons pas se frayer un chemin à travers la jungle, puis poser un tas de mines derrière nous", a-t-il dit. Musk avait déjà mentionné que le succès d'autres fabricants de voitures électriques serait à l'avantage plutôt qu'au détriment de Tesla. Controversé Ces commentaires viennent quelques jours après que Tesla ait communiqué aux actionnaires qu'il avait quelque chose de controversé à l'esprit en ce qui concerne la propriété intellectuelle de l'entreprise, et qu'il avait l'intention de formuler par écrit. M. Musk ajouta: «Je contemple de faire quelque chose d'assez important sur ce plan qui devrait être une sorte de controverse en ce qui concerne les brevets de Tesla. Mais je veux probablement écrire quelque chose pour que je puisse l'exprimer correctement et expliquer la motivation de la décision.» SuperChargers pour tous? CHAdeMO-2 en développement Qu'est-ce qui pourrait être intéressant comme stratégie pour tous les constructeurs incluant Tesla Motors? Puisque ce dernier a l'intention de construire de multiples Giga-usines de batteries lithium, la vente de ce produit aux manufacturiers automobile pourrait être assorti d'un accès au brevet du port de recharge Tesla qui permettrait l'accès aux SuperChargers et à des vitesses de recharge de plus du double de ce que l'industrie propose présentement (120 kW versus 50 kW) Nous sommes au courant que quelques Québécois font partie de l'équipe en place au Japon qui développe la nouvelle norme CHAdeMO-2, il ne faudrait donc pas sous-estimer cette organisation qui voudra défendre son avance et ses brevets. Tesla a vendu 22 500 voitures l'an dernier et est en voie d'en vendre 35 000 en 2014. Source: TechRadar Le premier budget du gouvernement Couillard fait tomber le couperet sur une longue liste de dépenses publiques et repousse à plus tard bien des promesses et des projets d'investissements. Qu'en est-il de l'électrification des transports dans toutes ces coupures? L'AVÉQ fait le point sur les engagements du gouvernement dans ce budget-minceur. Ce qu'on y découvre, outre son engagement pour promouvoir l'électrification du transport collectif (voir ci-bas), il n'y a aucun budget alloué à l'électrification des transports, et à ses infrastructures de recharge. Qu'est-ce que cela signifie? On soupçonne que le budget déjà alloué à ces projets est maintenu, sinon on les aurait mentionnés dans les coupures principales. [Mise à jour] : L'ÉLECTRIFICATION À HYDRO-QUÉBEC Autre dossier cher à Pauline Marois, celui de l'électrification des transports, qu'elle avait expressément demandé à Philippe Couillard de protéger. Il n'a pas été rayé de la carte, mais se retrouvera dans les mains d'Hydro-Québec. La société d'État accordera une aide financière aux organismes publics de transport en commun dont les projets auront été retenus par le gouvernement. Cette aide couvrira les coûts des infrastructures électriques nécessaires à la propulsion du matériel roulant - comme les câbles, les caténaires ou les transformateurs - et sera amortie sur la durée de vie utile des équipements. La propriété, l'exploitation et l'entretien des installations demeureront sous la responsabilité des sociétés de transport. Jusqu'à maintenant, Hydro-Québec s'est contentée d'accompagner les villes qui poursuivent des études sur de grands projets d'électrification des transports. Pour passer à la prochaine étape, il faudra ajuster la Loi sur Hydro-Québec et la Loi sur la Régie de l'énergie. Le texte est pratiquement écrit puisque les péquistes y travaillaient déjà. Du 26 au 28 mai, Hydro-Québec accueille à Montréal la conférence OREBA 1.0, la première conférence internationale sur les olivines pour les batteries rechargeables. Cet événement réunira des chercheurs, des constructeurs et des industriels provenant de plus d’une douzaine de pays et désireux de faire le point sur l’état des recherches dans le domaine des batteries au lithium-ion ainsi que sur les différentes applications de cette technologie. « Les batteries rechargeables jouent déjà un rôle primordial dans nos vies si on pense à toutes les technologies portables comme les cellulaires, tablettes et ordinateurs. Ce rôle sera encore plus important à l’avenir pour paver la route vers l’électrification des transports et dans le stockage à grande échelle de l’énergie », mentionne Karim Zaghib, directeur - Stockage et conversion d'énergie à l'IREQ, et président du congrès OREBA 1.0. De son côté, Thierry Vandal, président-directeur général d’Hydro-Québec, souligne que « le potentiel et les applications des batteries rechargeables sont loin de se limiter au secteur du transport terrestre. Leur développement pourrait s'avérer fort utile dans le domaine des réseaux électriques notamment pour diminuer la demande en puissance lors de pointes de consommation et pour faciliter l'intégration au réseau de la production d'électricité provenant de sources renouvelables intermittentes ». La conférence OREBA 1.0 sera aussi l’occasion de rendre hommage au Dr Michel Armand pour sa contribution exceptionnelle au développement de l’électrochimie appliquée à l’énergétique, notamment le procédé de nanorevêtement de carbone qui a fait du phosphate de fer-lithium un matériau d’électrode très sécuritaire et le plus universellement utilisé. Cet hommage sera donné par le Prof. John B. Goodenough du Texas Materials Institute de l’Université du Texas et reconnu comme l’un des pères de la technologie lithium-ion pour les batteries rechargeables. Nissan Motors a publié un communiqué de presse aujourd'hui concernant un rappel de 65 Nissan Leaf 2014 au Canada (211 aux USA), car une poignée de ces véhicules pourraient avoir des soudures manquantes. Celles-ci sont nécessaires pour l'absorption d'impact en cas d'accident frontal. Une lettre de rappel sera envoyée aux propriétaires qui pourraient être concernés par cette faiblesse structurelle, afin de vérifier que leur voiture est sécuritaire. Si les soudures manquent, on remplacera le véhicule en entier. Heureusement, on ne parle que de quelques voitures parmi celles qui seront inspectées, construites entre le 28 février et le 12 mars 2014. Mise-à-jour: Selon le site de Transport Canada, ce rappel est effectif depuis la mi-avril. Cela signifie que les propriétaires devraient déjà avoir reçu une lettre de Nissan Canada. Tenez-nous informés de vos démarches si vous êtes affectés par ce rappel. Merci! Cimetière de voitures neuves Rien à voir avec le rappel, mais tout de même fort troublant et qui laissait tout de même planer un doute face à sa véracité, un article de Zero Hedge discute de mers de voitures neuves invendues qui traînent dans des stationnements gigantesques. Heureusement, Richard D. nous a redirigé vers un article de Jalopnik qui réfute point par point les photos, qui sont en réalité assez vieilles, et qui reflétaient une situation temporaire qui a été réglée depuis. Aucune voiture neuve n'a été abandonnée tel que décrit dans l'article original. L’électrification des transports est un marché en émergence dans lequel le Québec est bien positionné pour prendre une place de chef de file et stimuler le développement économique, l’indépendance énergétique et la lutte aux changements climatiques. C’est dans cette perspective que les deux organisateurs du Forum Enjeux et Solutions VÉ – l’ITAQ et le Consortium Inno-VÉ - ont lancé la première édition qui a eu lieu au Cégep de St-Jérôme le 13 mars 2014. Le Forum Enjeux et Solutions VÉ avait la particularité d'élargir la réflexion au-delà des considérations techniques habituelles, où cinq "Grands Rapporteurs" scrutaient les enjeux sociologique, économique, technologique, industriel et enfin l'acceptabilité sociale des véhicules électriques. Cet événement a suscité un grand intérêt et fait naître de nouvelles synergies parmi une centaine de spécialistes du milieu du véhicule électrique provenant à 36% de l’entreprise privée, 32% des centres de recherche et universités et 32% d’organismes. Les différents ateliers travaillés en petits groupes ont fait ressortir plusieurs constats, notamment :
Plusieurs projets de collaboration seront issues de ces rencontres favorisant la réflexion et l'innovation. La prochaine édition d’Enjeux et solutions VÉ se tiendra à l’École de Technologie Supérieure le 12 mars 2015. Un rendez-vous à ne pas manquer ! Inscrivez-vous pour recevoir l'invitation Source: Institut du Transport Avancé du Québec (ITAQ)
Tesla Motors Inc. ( TSLA ) , le fabricant de voiture électrique qui a l'intention de construire la plus grande usine de batteries au monde, a déclaré que son accord pour fournir à Toyota Motor Corp des batteries et des moteurs pour son crossover rechargeable se terminera cette année . Toyota, qui détient une participation de 2,4 pour cent dans Tesla de Californie, a déclaré en mai 2012 qu'il achèterait les composants de la société pour 2600 véhicules RAV4 électriques sur trois ans. Elon Musk, PDG de Tesla , a dit qu'il s'attendait à ce que Toyota prolonge l'accord qui a été initialement évalué à près de 100 millions de dollars sur la base d'un dépôt en Juillet 2011. « On s'attend à ce que Toyota termine la production du modèle RAV4 EV cette année », a déclaré aujourd'hui Tesla dans un dépôt trimestriel. Bien que l'accord d'approvisionnement ait généré $ 15,1 millions de recettes pour Tesla dans le trimestre terminé le 31 Mars , «la fin de nos activités de production dans le cadre de ce programme sera à la fin de 2014 », a déclaré Tesla . «Toyota n'a pas annoncé son intention de conclure le programme RAV4 EV» , a déclaré John Hanson , un porte-parole de l'entreprise. «Ce fut un projet pour un certain nombre de véhicules que nous avions prévu de vendre pour un certain nombre d'années ", a déclaré Hanson . "Nous n'avons pas fait d'annonce à propos de la relation ou ce que nous ferons avec Tesla dans l'avenir . " Des modèles tels que le RAV4 EV se vendent principalement en Californie, qui nécessite que les grands constructeurs automobiles offrent des véhicules non polluants. Toyota a vendu 1594 RAV4 électriques depuis 2012 jusqu'à maintenant, selon les rapports de la société . En 2015, Toyota doit débuter les ventes d'une berline à pile à combustible d'hydrogène, un autre type de véhicule à zéro émission qui remplit le mandat ZEV de Californie. Pour les personnes qui souhaitent se procurer une voiture électrique Tesla pour leur entreprise, et qui ne peuvent pas faire affaire avec la Banque Scotia (partenaire financier officiel de Tesla Motors au Canada), Location Park Avenue peut financer les entreprises qui désirent acquérir ce type de VÉ à un taux très avantageux. En effet, il semblerait que présentement la Banque Scotia ne fait que des prêts aux particuliers pour l'achat de la Tesla, ce qui laisse bon nombre de gens sans solution de rechange. Location Park Avenue se spécialise dans les solutions de location à long terme pour le secteur des affaires à travers le Canada. Pour ceux qui pourraient être intéressés par cette offre, vous pouvez communiquer avec M. Maxime Lefrançois par courriel ou directement chez Location Park Avenue. Mise à jour: un article à propos de nos amis chez EEKO Rentals peut être trouvé sur AutoSphère, discutant de leur partenariat avec Location Park Avenue. Les derniers chiffres de PL Polk sont sortis aujourd'hui, et les ventes de voitures électriques continuent à prendre de l'expansion en mars. Hybrides branchables: des ventes molles de janvier avec 59 unités, nous sommes passés à 102 en février puis à 196 en mars, on double presque le nombre de VÉ vendus à chaque mois. Véhicules 100% électriques: Le mois de janvier est statistiquement le mois le plus lent de l'année, donc il n'est pas surprenant d' y retrouver seulement 77 unités de vendues, chiffre qui monte à 123 en février puis un étonnant mois de mars avec 300 voitures électriques vendues. En tout, 857 VÉ ont été vendus au Canada dans les 3 premiers mois de l'année 2014, avec une proportion 357:500 VHB:VEB. Nous n'avons pas encore les détails par manufacturiers ni par province.
Les automobilistes québécois risquent d'avoir peu de répit avec le prix de l'essence au cours des prochaines semaines.
Même si on prévoit une augmentation des stocks de pétrole aux États-Unis, ce qui amènerait un léger recul du prix brut, les tensions en Ukraine continuent de peser lourd dans la balance. Ajoutons à cela une devise canadienne qui s'est nettement dépréciée depuis un an, et les marges de raffinage qui se maintiennent à un niveau élevé. L'augmentation de la demande en essence est aussi à prendre en compte, alors que nous sommes à quelques semaines seulement des vacances estivales, autant aux États-Unis qu'au Canada. Après avoir dépassé la barre psychologique de 1,50 $ la semaine dernière, il faudra s'attendre, si la tendance se maintient, à atteindre 1, 60 $ le litre d'essence ordinaire d'ici un mois. Depuis le début de l'année, le prix de l'essence vendu aux détaillants a bondi de 21 % par rapport à la même période en 2013. Les détaillants refilent donc la hausse du prix aux automobilistes. Vous pouvez vous procurer une voiture électrique en location dès maintenant pour aussi peu que le prix de 3-4 pleins d'essence par mois: Mitsubishi iMiev, Smart électrique, Ford Focus EV, Nissan Leaf, etc... Rendez-vous sur nos forums pour mieux vous renseigner, et poser des questions à nos membres-propriétaires de VÉ. Source: Canoe Les Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ) souhaite faciliter la participation de jeunes entrepreneurs et professionnels de l'industrie de l'électrification des transports à la conférence iTEC 2014-IEEE Transportation Electrification Conference and Expo qui aura lieu du 14 au 19 juin 2014, à Détroit (USA) Cet évènement est l'un des plus importants de l'industrie et porte sur les composantes, les systèmes, les normes et les technologies d'interface réseau liés à la conversion efficace de l'énergie en vue de l’électrification des transports y compris les véhicules électriques, les véhicules électriques hybrides et plug-in, ainsi que le transport lourd, ferroviaire, aérien et maritime. L'appel de candidatures est disponible à l'adresse suivante : http://www.lojiq.org/participer/stages/stage/article/entrepreneurs-et-professionnels-de-lindustrie-du-transport-electrique-pour-participer-a-itec-2014/ La date limite de réception des candidatures est le 5 mai 2014. Merci de nous tenir au courant de votre participation! La minière québécoise Nemaska Lithium a annoncé avoir réussi à fabriquer de l'hydroxyde de lithium pur à 99.99% à un coût moins élevé que ses compétiteurs, grâce à une nouvelle méthode en voie d'être brevetée, ce qui pourrait rendre plus compétitive la voiture électrique. L'hydroxyde de lithium est de plus en plus utilisé dans la fabrication de piles au lithium. Contrairement au carbonate de lithium utilisé dans plusieurs piles, l'hydroxyde permet de fabriquer des piles qui ont une durée de vie plus longue, une meilleure densité et une meilleure sécurité. L'hydroxyde est donc de plus en plus prisé par les constructeurs de piles, particulièrement dans le domaine des transports électriques avec des constructeurs tel Tesla. La plupart des fournisseurs de carbonate de lithium atteignent une pureté maximale de 99,95 %. Or, la nouvelle méthode de transformation de Nemaska permet d'atteindre de l'hydroxyde pur à 99,99 %, ce qui pourrait améliorer la qualité des piles. Nemaska Lithium est propriétaire à 100 % du gisement Wabouchi dans le Nord-du-Québec, situé près de la communauté de Nemaska. Il s'agit du deuxième plus important gisement de lithium connu au monde. L'entreprise souhaite aussi ouvrir une usine de transformation à Valleyfield, près de Montréal. Le nerf de la guerre pour elle est de réussir à financer son projet. Les investisseurs se font rares dans le domaine des métaux actuellement. L'entreprise devrait publier d'ici la fin du mois son étude de faisabilité. «Nous avons produit un hydroxyde de lithium de haute pureté toujours en cherchant à le faire au plus bas coût. Ceci d'ailleurs se reflétera dans l'étude de faisabilité. Le marché du lithium demeure fort et les annonces récentes des fabricants de voitures, comme Tesla, permettent de croire que la croissance demeurera forte dans le futur», a indiqué le président et chef de la direction, Guy Bourassa. SOURCE: Canoe Argent
Plusieurs aéroports américains prennent un tournant vert, en grande partie grâce à des subventions fédérales, en électrifiant leur flotte de véhicules au sol. Parmi ceux-ci, l'aéroport SeaTac de Washington.
Bien sûr, il y a encore le rugissement des moteurs et la frénésie des équipes au sol pour décharger les bagages. Mais le personnel au sol remarque le changement: des centaines de nouveaux remorqueurs de bagages, de camions-rampes et de camions de soutien 100% électriques. Il y a encore quelques vieux véhicules diesel qui restent, mais ils seront bientôt remplacés par 650 voitures électriques. L'aéroport possède une meilleure qualité d'air et les compagnies aériennes dépensent moins. "Ça profite vraiment aux transporteurs. Ils sont capables d'économiser du carburant et de réduire leurs coûts de maintenance avec ces véhicules", a déclaré Russ Simonson, responsable de la qualité de l'air de l'Aéroport Sea-Tac. Alaska Airlines a pris les devants avec plus de 200 véhicules électriques sur le terrain. Le port de Seattle a installé des centaines de stations de recharge aux halls de l'aéroport. Il ne suffit que de les brancher, les laisser charger pendant la nuit et les équipes au sol respirent beaucoup mieux. "Sea-Tac espère être le premier grand aéroport américain à avoir chaque porte d'embarquement équipée de bornes de recharge. Le tout pourrait se produire dans les prochains 18 mois", a rajouté Simonson. Le projet est financé en grande partie par des subventions fédérales. Alaska Airlines s'attend à économiser US$300,000 par année en coûts de carburant. Pourquoi Tesla Motors, une petite société de voitures, est une telle force perturbatrice? Tout d'abord, tout ce que cette compagnie fait marque la voie à suivre dans l'industrie, de la voiture elle-même à son réseau de distribution sans concessionnaires. Deuxièmement, parce qu'elle est "sexy". Elle apporte un niveau d'excitation apprécié par l'industrie de haute technologie pour le secteur automobile, ce à quoi la plupart des constructeurs automobiles traditionnels n'est pas parvenu à faire depuis longtemps. Mais surtout, parce que Tesla n'a pas d'actifs à protéger dans la vieille industrie automobile. D'autres compagnies automobiles font face à d'énormes défis en considérant l'introduction de voitures électriques qui sont en train de cannibaliser les ventes de leurs modèles de voitures thermiques. Kodak a fait face à des défis similaires avec les caméras numériques: c'est Kodak qui a inventé l'appareil photo numérique, introduisant ainsi une technologie de rupture qui allait conduire à sa disparition éventuelle. IBM a également fait face à la même situation quand il a inventé le PC: cette invention a presque détruit IBM tout en permettant à Microsoft de s'épanouir. La plupart des gens sont surpris quand ils apprennent que GM est vraiment une société de financement qui utilise les voitures comme une excuse pour leur «vraie» entreprise. De la même manière, Tesla pourrait devenir une entreprise de batteries qui utilise des voitures comme une excuse pour sa «vraie» entreprise: le stockage d'énergie pour gérer l'énergie de pointe des réseaux, et éventuellement, pour permettre l'introduction massive de panneaux photovoltaïques pour produire de l'énergie domestique grâce à l'autre compagnie de Elon Musk, SolarCity. Pour rappel , les compagnies d'électricité ont vendu pour plus de 360 milliards$ d'électricité en 2012 aux États-Unis; aussi, posséder une voiture est la dépense la plus importante pour la plupart des ménages, comparativement à une hypothèque vue comme un investissement. La gestion efficace de l'énergie est essentielle pour l'introduction de voitures électriques. Ces dernières, étant capables de gérer la demande de pointe du réseau et de stocker de l'énergie renouvelable, vont accélérer l'introduction des véhicules intelligents à conduite autonome. Le cercle de la vie... automobile! En parcourant eBay dernièrement, nous avons remarqué qu'il y avait une section sur les véhicules écologiques et électriques, ainsi qu'un sondage sur le type de véhicule vert auquel on peut participer. Sans surprise, près de la moitié des répondants ont l'intention d'essayer l'électricité comme prochain type de carburant, le gaz naturel étant bon deuxième avec 26%. On peut retrouver quelques voitures électriques en vente sur eBay, dont plusieurs Tesla Model S à fort prix et des Nissan Leaf plus abordables. À noter que l'importation de véhicules américains nécessite un peu plus de travail. Avec la fin des locations de VÉ de 2 ans chez GM et Nissan aux USA, on s'attend à voir de plus en plus de ces véhicules importés par des grossistes sur le marché canadien. L'Institut de recherche d'Hydro-Québec (IREQ) et Arkema annoncent la conclusion d'un accord de collaboration de recherche pour le développement d'un nouvel électrolyte d’une grande sûreté à base de sels fluorés et non fluorés produits par Arkema. Dans ce cadre, Arkema a signé un contrat de licence portant sur la technologie de ses sels fluorés dont l'IREQ détiendra la propriété intellectuelle. Cette collaboration est une excellente nouvelle pour l'industrie de l'automobile et de l'électrification des transports collectifs et individuels qui recherchent des technologies performantes, de grande qualité et à moindre coût pour le développement de matériaux à destination des batteries électriques. Ce nouvel électrolyte pourra être utilisé pour les technologies de batteries lithium-ion et lithium polymère, actuellement sur le marché et de prochaine génération. «Nous sommes heureux qu'un groupe aussi prestigieux qu'Arkema, reconnu mondialement pour la qualité de ses procédés et de ses produits, s'intéresse à la technologie développée par notre équipe. Cette recherche commune reflète tout à fait l'esprit du groupe de travail franco-québécois pour l'électrification des véhicules routiers collectifs et individuels», mentionne Karim Zaghib, directeur - Stockage et conversion d'énergie à l'IREQ. «Ce partenariat est stratégique pour Arkema : il nous permettra d'accélérer nos développements et de valider nos solutions pour les batteries grâce aux compétences mondialement reconnues de l'IREQ dans le domaine des batteries lithium-ion. Cette collaboration renforce l'engagement d'Arkema dans le développement des énergies renouvelables.», souligne Ian Cayrefourcq, Directeur des Technologies Emergentes chez Arkema. Premier chimiste français, acteur majeur de la chimie mondiale, Arkema invente chaque jour la chimie de demain. Une chimie de spécialité, moderne et responsable, tournée vers l'innovation, qui apporte à ses clients des solutions concrètes pour relever les défis du changement climatique, de l'accès à l'eau potable, des énergies du futur, de la préservation des ressources fossiles, et de l'allègement des matériaux. Présent dans plus de 40 pays, avec un effectif d'environ 14 000 personnes, 10 centres de recherche, Arkema réalise un chiffre d'affaires de près de 6,1 milliards d'euros et occupe des positions de leader sur ses marchés avec des marques internationalement reconnues. Source: Hydro-Québec L'électromobilité est complexe. Demandez à un responsable d'organisme gouvernemental, et il hochera la tête. Demandez à un propriétaire enthousiaste, et sa réponse sera probablement l'inverse. Qui dit vrai? Pour les électromobilistes qui sont vendus à l'idée de l'électromobilité, qui profitent chaque jour du plaisir de conduire une voiture avant-gardiste, écologique, et économique à l'utilisation, il est évident que c'est la meilleure solution. Ils ont fait le choix de conduire électrique après souvent quelques mois de questionnement, de quête d'information, de calculs financiers, pour en arriver à la conclusion que le choix théorique était sain et intelligent. Plus de 90% de ceux qui en ont fait le choix sont aujourd'hui extrêmement satisfaits, et leur loyauté dans l'industrie automobile dépasse tout ce qui se faisait auparavant. Où sont les voitures alors? Certains argumenteront qu'il n'y a pas assez d'unités disponibles sur le marché, d'autres qu'il n'y a tout simplement pas assez de choix pour que le consommateur moyen trouve un véhicule électrique abordable qui réponde à ses désirs, à son coup de coeur. Que si on pouvait faire essayer des véhicules électriques au public, qu'eux aussi seraient accros. Que si on pouvait offrir de multiples modèles, qu'on puisse en retrouver en inventaire chez les concessionnaires, et que la plus grande compétition entre les manufacturiers permettait des frais de location plus bas, qu'on aurait alors les composantes nécessaires à un boum de ventes. La réalité.... Certains constructeurs automobiles ont dépensé des fortunes à développer des voitures électriques, et veulent vendre ces voitures. D'autres en ont construit sans conviction, simplement pour répondre aux exigences des lois CARB-ZEV. Honda a récemment annoncé que sa fougueuse Fit EV arrivait en fin de production, après avoir vendu 1,100 unités tel que prescrit par la loi. Même chez les constructeurs traditionnels poussant l'électromobilité, Mitsubishi, Nissan et GM en tête, il faut aussi considérer l'impact que possède leur concessionnaire qui sera responsable de ces ventes. En Californie, le royaume des VÉ en Amérique, il y a une multitude de produits disponibles, comme nulle part ailleurs au monde. Mais les concessionnaires savent que vendre un VÉ prend en moyenne 5 fois plus de temps qu'une voiture thermique. On doit discuter de choses telle qu'une borne de recharge et son installation à la maison, ou des limites de son autonomie qui doivent être respectées afin d'être un propriétaire heureux. On veut aussi s'assurer que le VÉ correspond bien aux besoins du client. Il faudrait donc que le véhicule soit 5 fois plus profitable qu'une voiture à essence/diesel pour qu'un concessionnaire puisse continuer à faire ses marges. Ce qui n'est pas le cas; les profits sont bas, et les voitures possèdent une fiabilité étonnante donc peu de réparations sont requises. On utilise donc des techniques pour dissuader les consommateurs: désinformation, et méthodes d'essais routiers douteuses. Chez certains, on s'assure que la batterie du VÉ est presqu'à plat avant l'essai routier pour faire vivre quelques moments intenses au consommateur. On leur mentionnera des faussetés du style "La batterie n'est bonne que pour 5 ans, et ça va vous coûter une beurrée à remplacer ensuite!" alors qu'on sait que la batterie survivra le véhicule, et que son coût de remplacement si ce moment survient sera extrêmement bas en 2025... Il y a heureusement des concessionnaires qui sont heureux d'en vendre, et qui possèdent des conseillers en vente entrainés pour les VÉ. Mauvaise idée #1: On peut forcer les concessionnaires non accrédités à vendre des véhicules électriques, mais on risque de se retrouver avec des directeurs des ventes qui donneront la consigne aux vendeurs de détruire la réputation des VÉ avec ces tactiques. Ça arrive présentement, autant au Québec qu'en Californie. Le consommateur sera mêlé, ou pire, deviendra un ardent combattant des VÉ en continuant la désinformation autour de lui. Travaillons plutôt avec ceux qui veulent bien en vendre. S'ils ont du succès, cela pourra peut-être faire changer d'avis les autres concessionnaires. Lire plus.... Messieurs Roger Lanoue et Normand Mousseau ont remis leur rapport final sur la Commission sur les enjeux énergétiques du Québec aujourd'hui. C'est une commission à laquelle l'AVÉQ a participé en deux volets, afin de bien faire passer le message. Le volumineux document de plus de 300 pages est disponible au téléchargement ici même [lien] au format PDF. Si vous avez du temps, c'est une lecture fort intéressante! Au Québec, nous sommes de forts consommateurs d'énergie, que ce soit du pétrole ou de l'électricité. Comparativement aux Européens, on ne s'empêche pas de consommer. Notre déficit commercial dû à l'importation d'essence est de 15 milliards $ par année, et ne fait que croitre avec le prix du brut. On consomme en moyenne 15 litres par jour par personne - parmi les plus gros consommateurs de la PLANÈTE! Pas évident de briser une habitude aussi bien ancrée... Puisque notre électricité provient à 99% de sources renouvelables, notre consommation de pétrole est encore plus surprenante -- presque partout ailleurs dans le monde, on la produit en brûlant des combustibles fossiles ou avec le nucléaire, et on ne dépasse pas ce 15 litres par personne par jour... Les surplus d'électricité sont de l'ordre de 30 TWh et plus par année. On s'attend à ce que cette situation perdure 15 ans, sinon plus. On recommande donc d'utiliser nos surplus en électrifiant les transports afin de réduire notre dépendance au pétrole. « Il y a toutefois lieu de l’appuyer, notamment en soutenant le développement de l’indispensable réseau des bornes d’approvisionnement.» (Recommandation AVÉQ) «Dans le cas du transport interfrontalier ou de longue distance, le gaz naturel liquéfié (GNL) s’avère une solution intermédiaire, proposée une trentaine de fois dans les mémoires et les contributions du public, en attendant la mise au point de technologies permettant l’utilisation d’énergie à faible émission de GES. La Commission estime qu’il est opportun d’inclure également dans cette stratégie les véhicules qui transportent des marchandises sur de courtes distances.» (Recommandation AVÉQ) «Que l’installation d’un circuit électrique approprié pour la recharge de voitures électriques soit obligatoire pour toute nouvelle construction résidentielle.» (Recommandation AVÉQ) «Que le gouvernement du Québec suscite le déploiement de projets pilotes de véhicules autoguidés sur son territoire.» (Pas notre rec. mais intéressant quand même!) «Que le gouvernement du Québec étende son appui aux véhicules électriques à l’ensemble des modes de transport, incluant le vélo, la moto et autres modes non traditionnels» NDLR: Renault Twizy!!! :) (Rec. AVÉQ) «Que le gouvernement du Québec utilise son pouvoir d’achat, de financement et de directive pour fonder le développement de ce secteur industriel, tant au niveau du transport collectif et des marchandises de courte distance que des véhicules individuels, aussi bien par son action directe que par celle des institutions publiques relevant de son autorité» (Rec. AVÉQ) «Que la SAAQ module de manière plus importante les frais d’immatriculation selon la taille et la consommation des véhicules» (Rec. AVÉQ) «Que le gouvernement du Québec encourage l’utilisation de véhicules municipaux et de flottes de livraison locale à faible émission de GES.» Rec. AVÉQ: on demandait surtout les flottes de livraison électrifiée (voir Frito-Lay, Fedex, etc... sur notre site comme exemples) mais la commission ne veut pas favoriser seulement l'électrique pour ce volet. «Que le gouvernement encourage le développement des infrastructures requises pour permettre la circulation des véhicules électriques partout au Québec; Que le rôle d’Hydro-Québec soit élargi au domaine de l’électrification des transports; Qu’Hydro-Québec Distribution puisse inclure dans ses actifs les infrastructures reliées à l’électrification des transports, telles que les bornes de recharges et certains projets collectifs. Que le gouvernement du Québec utilise son pouvoir d’achat, de financement et de directive pour fonder le développement de ce secteur industriel, tant au niveau du transport collectif et de marchandise de courte distance que des véhicules individuels, aussi bien par son action directe que par celle des institutions publiques relevant de son autorité.» Rec. AVÉQ: Explication: HQ n'était que "vendeur" de bornes avec son mandat du gouvernement Charest; nous désirions qu'il participe en tant que partenaire à son propre Circuit Électrique pour étendre le réseau de bornes rapides là où il n'aurait pas pû autrement trouver de "partenaire". Si le gouvernement lui donne ce mandat, il n'aura plus les mains liées comme présentement. On voulait aussi que le MTQ et le MRN deviennent partenaires du Circuit Électrique. C'est bien là, on a élargi aux institutions relevant de l'autorité du gouvernement - encore mieux. «Que le gouvernement du Québec continue d’appuyer la recherche fondamentale non orientée, dans les domaines touchant à l’énergie via le Fonds de recherche du Québec.» Rec. AVÉQ À premier abord, toutes les recommandations significatives de l'AVÉQ concernant l'électrification des transports sont là! Quelle fierté! Bien entendu, ce document discute des multiples facettes de nos enjeux énergétiques, autant en transport qu'en bâtiment, bioénergie, réduction des GES, système de redevance sur le carbone ou en maîtrise de l'énergie. L'électrification des transports y occupe une partie, et nous n'allons pas discuter des autres recommandations qui dépassent de loin nos compétences. VOLKSWAGEN Group France et la Société Nouvelle d’Affinage des Métaux (SNAM) s’engagent pour le recyclage des batteries de véhicules électriques et hybrides Vendredi dernier, le Directeur Pièces et Service du Volkswagen Group France, Monsieur Sylvain Charbonnier et le Président de SNAM, Monsieur Eric Nottez, ont signé un accord de partenariat durable, afin que les batteries issues des réseaux des marques du Groupe - VOLKSWAGEN, AUDI, SEAT, SKODA et VOLKSWAGEN Utilitaires - soient traitées dans les deux usines françaises appartenant à SNAM, à Saint-Quentin- Fallavier (Isère) et Viviez (Aveyron). Par cet accord, SNAM (filiale du Groupe Floridienne) sera responsable non seulement du démantèlement et du recyclage, mais aussi de la collecte des batteries issues des véhicules électriques et hybrides (batteries industrielles de puissance Nickel Métal Hydrure NiMH et Lithium Ion) de VOLKSWAGEN Group France sur le territoire métropolitain. VOLKSWAGEN Group France et SNAM ont mis en place un programme visant à assurer la traçabilité des batteries en fin de vie depuis leur collecte auprès des Distributeurs des marques du Groupe et des Centres VHU (Véhicule Hors d’Usage) agréés par celui-ci, jusqu’à leur lieu de recyclage. Chaque point de collecte du réseau de VOLKSWAGEN Group France travaillera en étroite collaboration avec la société SNAM pour gérer le traitement des batteries NiMH et Li-Ion dans le plus grand respect des normes environnementales européennes. La collecte et le recyclage des batteries industrielles en Europe sont règlementés par la Directive Européenne 2006/66/CE sur les piles et accumulateurs (batteries) entrée en vigueur le 26 septembre 2006. Bien que la Directive ne spécifie pas les objectifs de collecte pour les batteries industrielles, depuis septembre 2011, l’efficacité du recyclage doit atteindre un minimum de 50 % du poids. Source: SNAM L'entreprise israélienne Phinergy affirme avoir développé une batterie avec une technologie qui permettrait de changer le portrait actuel de l'autonomie des voitures électriques. Voici quelques précisions
Hier soir durant les cérémonies d'ouverture des Jeux Olympiques de Sotchi 2014, à Radio-Canada, il fut rafraîchissant de voir deux annonces publicitaires de voitures électriques: Chevrolet Volt, et BMW i8. Qui d'autre les avaient remarqué? En parlant de BMW, voici une pub américaine pour la i3 qui est absolument géniale!! |
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