Grâce à ce sondage, RVE sera en mesure de développer des solutions pour faciliter la recharge des véhicules électriques à la maison.
La mission de RVE, une entreprise québécoise installée à Laval, est de transformer l’industrie de la recharge du véhicule électrique en milieu résidentiel, autant pour les bâtiments existants que pour les nouvelles constructions, en élaborant des solutions modulaires. Participez au sondage en vous rendant à l'adresse: https://evcharging.typeform.com/to/vu2ltGvp
Contribution: André H. Martel
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Autolist a publié une nouvelle enquête montrant les attitudes des consommateurs sur les voitures électriques. Entre autres questions, on a demandé aux consommateurs quelles étaient leurs principales raisons de ne pas acheter de VÉ, et les réponses étaient à peu près ce à quoi vous vous attendiez.
Les principales raisons citées étaient l’autonomie, le prix et la recharge. Mais le problème est que ces préoccupations sont, dans l’ensemble, obsolètes.
Dans le graphique ci-dessous, vous pouvez voir une ventilation des réponses les plus courantes. L’autonomie, le prix et la recharge sont les principales réponses, les 3ème et 4ème étant liées à la recharge. Près de la moitié (40%) des répondants étaient préoccupés par chacun de ces problèmes, même si les véhicules électriques modernes neufs avec une autonomie de 400 km sont disponibles à moins de 30 000 dollars USD après l’incitatif et permettent des taux de charge de 50 à 250 kW sur des milliers de bornes de recharge installées à travers les États-Unis. Ces données sont partagées par la grande majorité des conducteurs.
Bien que «trop cher» soit la deuxième raison la plus courante, avec une faible marge, pour laquelle les consommateurs n’achèteraient pas un véhicule électrique, les répondants ont également déclaré, avec une large marge, que le prix serait leur principale priorité pour l’achat d’un véhicule électrique.
Les répondants au sondage avaient une estimation raisonnable de l’autonomie d'un véhicule électrique moderne moyen. Lorsqu'on leur a demandé quelle autonomie attendrait un VÉ de 35 000 $ USD, la réponse la plus courante était de 400 à 480 km. Cela correspond à peu près aux offres sur le marché actuel, avec environ 400 km d'autonomie (Bolt, Leaf Plus, Kona, Model 3 de base, etc.), bien que 35 000 $ USD soit le prix annoncé, le prix de ces voitures devrait probablement être évalué entre 25 000 $ à 30 000 $, USD voire moins, compte tenu des économies d'essence et d'entretien. Mais quand on leur a demandé ce qu’ils pensaient d’un VÉ de 70 000 dollars USD, la plupart des répondants ont estimé qu’une autonomie de moins de 645 à 800 km ne serait pas acceptable. Lorsqu'on leur a demandé leurs opinions sur des incitatifs fédéraux, étatiques pour l'acquisition de VÉ, une vaste majorité (69%) étaient d’accord avec ces avantages, alors que seulement 16% s'y sont opposés. Autre constat positif, une majorité de répondants (55%) ont déclaré qu’ils utiliseraient un véhicule électrique comme principal véhicule à la maison. Auparavant, de nombreux consommateurs pensaient qu'un VÉ ne serait utile qu'en tant que véhicule secondaire . Suite à l’acquisition, il s’est souvent transformé en véhicule principal du ménage, en raison de son expérience de conduite supérieure, de sa commodité et du faible coût de recharge à domicile. Selon Electrek Les électromobilistes savent depuis longtemps que «l’anxiété liée à l’autonomie» est quelque chose qui est plutôt exclusif aux personnes qui ne conduisent pas de véhicules électriques. Les gens s'inquiètent souvent de l'autonomie avant d'avoir un VÉ, mais une fois qu'ils sont habitués à la voiture, ils réalisent que ce n'est vraiment pas un problème. Pour la plupart des électromobilistes, il est simplement plus pratique d’avoir une voiture que vous pouvez ravitailler à la maison. Ainsi, les problèmes mentionnés dans cette enquête sont, pour la plupart, des problèmes résolus. Les consommateurs ne le savent malheureusement pas encore. Ils ne réalisent pas que 320 km d’autonomie est plus que suffisant pour tous sauf dans des circonstances les plus exceptionnelles. Ils ne réalisent pas à quel point les VÉ sont bon marché une fois que les incitatifs et les coûts de fonctionnement sont pris en compte. Et ils ne savent pas combien de stations de recharge publiques existent, et ils ne les utiliseront probablement pas très souvent de toute façon, car recharger à la maison, au travail ou peu importe où votre voiture passe le plus clair de son temps en stationnement est tellement plus pratique. Ce qui fait que la raison n ° 5 «n’en sait pas assez à leur sujet pour être à l'aise d'en acheter une» est la réponse la plus valide et la plus éloquente. En particulier, la réponse concernant les voitures avec une autonomie de 640 à 800 km est troublante. Les constructeurs automobiles, en particulier Tesla, devraient cesser de vouloir constamment augmenter l’autonomie de leurs véhicules et de considérer que l’autonomie soit la seule et unique caractéristique principale pour promouvoir leurs véhicules, car les consommateurs adhèrent à cette notion. Electrek a récemment écrit à ce sujet: « Tesla aura bientôt une voiture électrique de 640 km dont vous n’aurez pas besoin . Cette notion retarde l’adoption des VÉ. Premièrement, elle permet aux constructeurs de voitures à essence ou hybrides d’annoncer que leurs véhicules ont une autonomie supérieure à 950 km. Ce chiffre est souvent calculé en utilisant des conditions favorables (par exemple, autoroute uniquement) plutôt que les estimations moyennes de l'EPA. Tesla, par exemple, pourrait dire que son 100D peut parcourir 1070 km avec une recharge, s’il voulait jouer avec les chiffres mais toujours en demeurant techniquement correct. Et ces chiffres n’ont de toute façon pas de sens, car tout le monde s’arrêtera à un moment donné pendant un voyage de 950 km en voiture. Deuxièmement, cette approche va contre la croissance des véhicules électriques. Au lieu d'offrir une voiture offrant la bonne autonomie au bon prix, les constructeurs automobiles continuent de développer des batteries de plus en plus chères, les consommateurs pensent qu'ils doivent acheter les modèles haut de gamme parce qu’on les a convaincus de se procurer des véhicules électriques qui offrent une plus grande autonomie mais à des coûts souvent trop élevés. C’est évident que le prix est trop élevé si vous transportez des centaines de kilomètres de batterie supplémentaires que vous n'utiliserez jamais. Ce poids supplémentaire affecte également votre voiture. Elle résiste moins bien, est moins efficace, sa fabrication a un impact plus important sur l'environnement et ces batteries auraient pu être utilisées pour fabriquer une seconde voiture, et donc éliminer une autre voiture à essence. Le communiqué de presse d'Autolist indique que le prix, l’autonomie et la recharge sont les problèmes des véhicules électriques, mais ce n'est pas vraiment le cas. Le problème est l' éducation. Contrairement à la citation de Steve Jobs qui avait comme principe de base de : « déterminer ce que les consommateurs veulent avant de le faire », il semble que les consommateurs ne savent pas ce qu'ils veulent. Ou encore plus, ils ne savent pas ce qui est disponible. L’autonomie, le prix et les bornes de recharge ne sont plus des motifs pour éviter les véhicules électriques de nos jours, à moins que vous ne rencontriez un problème particulièrement exceptionnel. Heureusement, les consommateurs, qui ont tendance à être bien informés sur les véhicules électriques, peuvent résoudre ce problème. Discutez avec vos amis des avantages de posséder un VÉ et des principales préoccupations que ce sondage a mis de l’avant et qui ne concernent pas vraiment les électromobilistes. Les conducteurs de véhicules électriques doivent s’impliquer car ils possèdent des informations que le public n’a manifestement pas, alors il est important de les diffuser. electrek
Contribution: André H. Martel
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À la suite du sondage auprès des membres de l'AVEQ possédant au moins un véhicule électrique, l'AVEQ est très heureuse de vous présenter un portrait de ses membres électromobilistes, édition 2019!
Avant de débuter, l'AVEQ tient à remercier chaleureusement les 523 répondants qui ont pris la peine de répondre au questionnaire. Ces données sont précieuses et serviront à poursuivre la mission de l'AVEQ. À la lecture des résultats, on constate que l'électromobiliste type de l’AVEQ est un homme (87%) de 46 à 55 ans, avec un salaire de 70 à 80 000$ et un niveau d'éducation collégial. Plusieurs tendances des années précédentes semblent s'être inversées: la proportion de femme a diminué, l'âge médian a augmenté et le salaire médian également. Est-ce le reflet du marché en général ou seulement celui des membres de l’AVEQ? Parmi ces électromobilistes, 91% sont propriétaires de leur véhicule électrique (dont l’année médiane est 2017). Le nombre d’entre eux avec un deuxième véhicule à essence est en baisse passant de 60% à 51%, duquel ils sont en très grande majorité propriétaires (91%). Parmi les répondants, 76% possèdent un véhicule avec un port de recharge rapide (en augmentation par rapport à 65% l’an passé) qu’ils utilisent en moyenne 1 fois par mois. Et si on considère seulement les 100% électrique, c’est plus de 94% des véhicules qui sont équipés d’un port de recharge rapide. Au niveau de la répartition, 46% sont équipés du port SAE Combo, 39% du port CHAdeMO et 15% du connecteur Tesla. En dehors des recharges sur la route, 84% disent avoir une borne à la maison et 44% ont accès à des bornes de recharge au travail. À quel point ces électromobilistes se déplacent-ils? On apprend que la distance médiane au travail est de 14 kilomètres et que la médiane du plus long déplacement effectué en une journée est de 399 km (alors qu’il était de 300km l’an passé) pour un kilométrage annuel électrique de 20 000 km. Cela veut donc dire que seulement 35% des déplacements électriques sont fait entre le travail et la maison en moyenne. Cela signifie que la majorité de la distance parcourue par les VÉ correspond à de longs déplacements autre que pour le travail, soulignant une fois de plus l’importance d’avoir un bon réseau de recharge rapide pour ces escapades électriques. On peut également voir que les ménages favorisent l’utilisation de leur véhicule électrique, car la distance médiane parcourue pour le ménage entier est de 26 000 km. C'est-à-dire que seulement 6000 km demeurent parcourus à l’aide du véhicule à essence. Ces électromobilistes sont-ils satisfaits de leurs voitures électriques? On constate une quasi-unanimité sur ce sujet, au point où la très grande majorité des répondants (92%) disent que leur prochaine voiture sera 100% électrique. Il va sans dire qu'ils ont l'environnement à cœur puisque près de 75% d'entre eux ont fait ce choix pour des raisons écologiques (et 53% pour des raisons économiques). Selon les répondants, leur voiture leur permet de parcourir 195 km en ville en été contre 168 sur l'autoroute, et 130 km en ville contre 114 km sur l'autoroute durant la saison hivernale. L’autonomie médiane en hiver est d'environ 67% de celle estivale. Ces mêmes chiffres permettent également de confirmer qu’un VÉ peut très bien survivre à nos hivers sans un garage chauffé, car seulement 25% des VÉ de nos membres dorment dans un garage chauffé, et selon ces mêmes données, cela n’affecterait que de façon minimale l’autonomie hivernale constatée (autonomie hivernale de 72% de celle estivale dans un garage vs 67% à l’extérieur). Nous profitons d’ailleurs du sujet de l’autonomie hivernale pour référer aux nouveaux électromobilistes notre guide hivernal. Enfin, le sondage a aussi permis de savoir que 45% des répondants ont été influencés par l'AVEQ dans leur décision d’achat. Ce chiffre, combiné au haut taux de satisfaction, est probablement la meilleure preuve que les nombreuses heures d’effort investies par les bénévoles de notre organisation ont atteint leurs objectifs. Après tout, promouvoir les véhicules électriques, donner l’heure juste aux gens afin qu'ils soient heureux de leur achat est la raison d’être de l’AVEQ! Le sondage a surtout permis de conclure ces faits d’une importance capitale:
Mon seul point négatif est que j'aurais dû prendre une 100% électrique au lieu d'une PHEV J'adore rouler électrique Meilleur véhicule a vie J'essaie d'être contagieuse! C'est la meilleure voiture que je n'ai jamais eue et j'en prendrai une autre à la fin de ma location C'est cohérent avec mes choix de vie J'aurais dû en acheter une avant !!! Plus jamais je n'aurai autre chose qu'une voiture 100% électrique L'expérience de conduite est inégalée. Je serais incapable de retourner en arrière, j'aurais l'impression de conduire un dinosaure. La puissance et couple du moteur électrique est incroyable, jumelée au silence et l'absence de vibrations. J'ai le gros sourire quand je suis au volant. NDLR : Ces chiffres ont été recueillis dans un sondage auprès des membre de l’AVEQ et ne représente pas nécessairement l’ensemble du marché Québécois. Le meilleur exemple de ce sujet est le haut pourcentage de Nissan LEAF. Contribution: Frédérick St-Laurent, Jean-François Morissette et Simon-Pierre Rioux
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C’est le temps du sondage annuel qui nous permet d’établir le portrait le plus complet et le plus précis possible de l’électromobilité au Québec. Tous les propriétaires de véhicules électriques sont invités à participer, membres ou non de l’AVÉQ. Confidentialité garantie. Ouvert jusqu’au 26 avril.
Voici le moment tant attendu de prendre une grande «photo de groupe» des électromobilistes québécois grâce à notre sondage annuel. Nous pouvons ainsi établir le portrait le plus complet et le plus précis possible de l’électromobilité au Québec.
Cette année, le questionnaire est ouvert à tous les électromobilistes, qu’ils soient membres ou non de l’AVÉQ. Le questionnaire est réservé aux propriétaires de véhicules électriques. Comme toujours, notre sondage est parfaitement confidentiel, aucune adresse courriel ou autre donnée permettant l’identification ne fait partie de l’étude. Répondre à notre sondage ne prend qu’une dizaine de minutes.
La date limite pour participer est le 26 avril 2019.
Les résultats seront rendus publics lors de l’Assemblée générale annuelle de l’AVÉQ, le 4 mai 2019. Partagez en grand nombre. Plus il y aura de réponses, plus le portrait obtenu sera représentatif. Pour consulter les résultats de l’année dernière : https://www.aveq.ca/actualiteacutes/sondage-2018-aupres-des-membres-de-laveq
Contribution : Simon-Pierre Rioux et Daniel Rochefort
D’après un important sondage pancanadien, les Canadiens sont d’avis que l'avenir du marché des véhicules domestiques sera défini par les véhicules électriques, et ils espèrent que cela se produira le plus rapidement possible. Voici la TRADUCTION INTÉGRALE des résultats de cette étude, gracieuseté de l’AVÉQ (avec des petits ajouts d'analyse).
C’est la deuxième étude exclusive sur le sujet réalisée par Abacus Data et Clean Energy Canada. Elle se concentre sur l’opinion des Canadiens face à la transformation du marché automobile provoqué par les véhicules électriques. Les résultats révèlent que les Canadiens voient le véhicule électrique comme étant l’avenir du marché des véhicules domestiques. De plus, cette étude révèle que les Canadiens croient et espèrent que le renversement de la position dominante du véhicule à essence se produira rapidement.
La majorité des répondants (64%) affirment que si ça n’en tenait qu’à eux, ils préfèreraient que les voitures électriques deviennent majoritaires.
Le désir de voir les voitures électriques éclipser les véhicules à essence est beaucoup plus grand chez les jeunes et à l'extérieur de l'Alberta, même si la moitié des Albertains, 54% de la génération silencieuse et 46% des électeurs conservateurs affirment tout de même espérer que ça se produise.
Plus encore, 72% des répondants croient que cela se produira de toute façon, à un moment donné.
Cette certitude semble corrélée avec le désir de la transition électrique, et ce peu importe l’âge, la province ou l’allégeance politique.
Notons que la proportion de Canadiens qui croient «fortement» et «certainement» que les véhicules électriques deviendront la norme est toujours moins grande que le désir de le voir arriver… ce qui indique que les Canadiens croient que l’industrie des transports veut moins qu’eux ! Un indice qu’il est socialement acceptable de prendre des mesures pour accélérer le pas de cette transition.
À la question d’estimer dans combien de temps ce changement se produira, 71% prédisent qu’il faudra moins de 15 ans, ce qui comprend les 56% qui affirment attendre ce jour pour dans 10 ans ou moins.
Cette prédiction est distribuée de façon remarquablement uniforme parmi toutes les strates de la population.
S'il n’en tenait qu’à eux, la moitié des répondants croient que le meilleur moment pour que le véhicule électrique supplante la voiture à essence devrait être dans cinq ans et moins, tandis que 79% espèrent que cela se produira dans 10 ans ou moins.
S'ils achetaient une nouvelle voiture, la majorité des consommateurs canadiens seraient favorables au véhicule électrique. 10% des répondants feraient ce choix de façon certaine, tandis que 14% déclarent qu’ils y serait très favorables. 30% des répondants affirment, quant à eux, avoir besoin de comparer avec le véhicule à essence même s’ils affichent une préférence pour l’électrique.
L'intérêt des répondants pour les véhicules électriques semble être motivé par plusieurs raisons. Une grande majorité considère la motorisation électrique meilleure pour améliorer la qualité de l'air et diminuer les impacts des changements climatiques. Pour 2 personnes sur 3, le véhicule électrique représente une économie sur les coûts de carburant.
Les répondants semblent cependant mitigés sur les économies d’entretien, la plus grande fiabilité et le plaisir de conduire qu’on associe au véhicule électrique. Cependant, à l’inverse, le véhicule à essence n’est jamais perçu de façon plus avantageuse pour chaque critère [36% des répondants à l’impression que le véhicule à essence est plus fiable, 29% qu’il coûte moins cher à entretenir et 26% qu’il est plus agréable à conduire]. Notons cependant, à l’intention des promoteurs du véhicule électrique qui cherchent à mieux cibler leurs interventions:
Parmi les facteurs susceptibles d’influencer la décision d’acheter électrique, la perception d’avoir un nombre suffisant de stations de recharge à disposition arrive bonne première comme vraiment importante. La vitesse de recharge, l’amélioration de l’autonomie liée aux technologies des batteries et les coûts d’entretien ont une influence comparable.
Dans l’ensemble, l’idée d’avantages fiscaux pour établir une parité entre le prix de la voiture électrique et celui de la voiture à essence semble peser un peu moins lourd dans la balance que les autres facteurs chez les répondants, bien que les différences ne sont pas très significatives (très près ou sous de la marge d'erreur).
La vaste majorité des répondants soutient les gouvernements qui offrent des incitatifs à l’achat de véhicules électriques, de même que ceux qui investissent dans les infrastructures de recharge publique.
Moins de 15% s’opposent à l'une ou l'autre de ces mesures, et ce peu importe la province, l’âge ou l’allégeance politique (à l’exception des partisans du Parti Conservateur [PC] et du Parti Populaire du Canada [PPC] qui s’y opposent respectivement à 22% et 27%… ce qui n’est tout de même pas si pire !
CITATIONS
« Les Canadiens sont emballés par les voitures électriques et par la possibilité de réduire à la fois la pollution et leurs coûts de carburant. C’est une solution gagnant-gagnant pour les navetteurs et c’est pourquoi l’intérêt [pour le VÉ] et l’impression d’inéluctabilité [de la transition à venir] ne cessent de croître. De plus en plus de Canadiens veulent opter pour le VÉ comme prochain véhicule, et les gouvernements ont la possibilité de faciliter ce choix en leur offrant des rabais à l'achat ou des incitatifs fiscaux, ainsi qu’en investissant dans les infrastructures de recharge. Le gouvernement fédéral [s’est donné] des objectifs ambitieux, mais réalisables pour mettre plus de voitures électriques sur les routes. Il doit maintenant soutenir le désir des Canadiens d’en arriver là. » — Dan Woynillowicz, directeur des politiques, Clean Energy Canada « La première voiture électrique a été inventée avant la Ford modèle T, puis l’évolution [de cette] technologie a stagné pendant une centaine d’années. Mais la convergence des préoccupations concernant les changements climatiques, la qualité de l'air et le sentiment que la technologie est à la fois grandement améliorée et plus abordable suggèrent que le monde devrait se préparer à une accélération remarquable [de la transition vers les] véhicules électriques. Les politiques publiques peuvent jouer un rôle majeur dans le rythme de cette transition, l’investissement dans les infrastructures étant prioritaire dans la liste des choses que les gouvernements peuvent faire. Depuis les vingt dernières années, les sceptiques parient contre l’avenir du véhicule électrique… mais ils se ravisent maintenant. » — Bruce Anderson, président, Abacus Data MÉTHODOLOGIE Le sondage a été mené en ligne auprès de 1 495 résidents canadiens âgés de 18 ans et plus, du 11 au 13 mars 2019. Les répondants invités à répondre au sondage ont été échantillonnés aléatoirement parmi un ensemble de panels de partenaires basés sur la plate-forme d’échange Lucid. Ces partenaires sont généralement des panels d’enquête à double participation, mélangés pour gérer les biais éventuels dans les données provenant d’une source unique. La marge d'erreur probabiliste pour un échantillon aléatoire comparable de la même taille est de +/- 2,45%, 19 fois sur 20. Les données ont été pondérées en fonction des données du recensement canadien afin de garantir que l'échantillon soit représentatif de la population canadienne au regard de l'âge, du sexe, du niveau d'instruction et des régions. Les totaux peuvent ne pas correspondre à 100% en raison de l'arrondissement des résultats affichés.
Il y a quelques semaines, nous enjoignions les électromobilistes québécois à participer au sondage national de l’Université Mc Master qui vise à dresser un portrait de la mobilité électrique au Canada. Les membres de l’AVÉQ ont répondu d’une façon exceptionnelle.
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250 propriétaires de voiture électrique canadiens ont complété le sondage. Tenez-vous bien, 200 de ceux-ci sont des Québécois ! Les cinquante autres participations complètes proviennent, à part relativement égales, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique.
L’analyse de quelques 200 questionnaires additionnels incomplets n’est pas encore terminée, mais on peut d’ores et déjà affirmer que c’est au Québec qu’on trouve les électromobilistes les plus motivés et les plus engagés du pays. Les responsables de l’étude en question remercient tous les participants. De notre côté, nous aimerions scander avec fierté «Vive les électromobilistes Québécois!»
Contribution : Daniel Rochefort
D’après une étude réalisée auprès de 1000 conducteurs anglais, l’option de la voiture électrique fera partie du choix pour 83 % des répondants lorsque viendra le temps de changer leur véhicule. Ce sont les jeunes conducteurs qui semblent définitivement plus ouverts à l’idée : ce taux grimpe à 91 % chez les milléniaux, tandis que seuls 32% des 55-64 ans seraient ouverts à l’idée.
Cette étude commandée par HPI contraste avec celle réalisée à l’automne 2017 par CarGurus, qui indiquait que 35% des répondants seraient heureux d’acheter un véhicule électrique, contre 51% qui feraient le choix de l’hybride.
L’idée du VÉ fait donc son chemin dans l’esprit des acheteurs - particulièrement les jeunes générations - qui ne sont toutefois pas automatiquement prêts à passer à l’acte pour leur prochain achat. Le sondage de HPI jette aussi un éclairage sur les préoccupations des personnes interrogées. Les deux tiers [64%) sont préoccupés par le manque de stations de recharge électrique, tandis que 56 % sont préoccupées par le prix plus élevé du VÉ. 38% s’inquiètent du temps de recharge et 61% sont toujours persuadés que les batteries devraient être remplacées avant 2 ans d’utilisation. D’après Chris Plumb de HPI, ces idées reçues à propos du VÉ contribuent à l’incertitude dans l’esprit des acheteurs potentiels. « Il est vraiment surprenant que la plupart des gens pensent que les batteries ont une durée de vie si courte», affirme-t-il, «surtout qu’en fait les batteries semblent plutôt dépasser les attentes de l’industrie». Chris Plumb est cependant encouragé de constater que la génération des milléniaux est plus ouverte au VÉ, et qu’ils perçoivent probablement mieux les bénéfices à long terme des technologies vertes. ![]()
Vous avez jusqu'à vendredi, 22 juin, pour ajouter votre voix aux répondants qui ont déjà participé à cette importante étude qui dresse un portrait de la mobilité électrique au Canada .
Le sondage vise particulièrement les propriétaires de VÉ, pour mieux connaitre leurs caractéristiques sociodémographiques. Un des thèmes majeurs est le comportement et les infrastructures de rechargement électrique. Nous vous encourageons à compléter le sondage en cliquant ici: http://survey-ca.researchnow.com/survey/selfserve/53b/180251?list=3 Ce sondage constitue un élément important d'un projet de recherche majeur s'étalant sur 5 ans et financé par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), visant à évaluer le futur de la mobilité électrique au Canada. Le projet est mené par le McMaster Institute for Transportation and Logistics (Institut des transports et de la logistique de l'Université McMaster). En temps qu'électromobiliste, il devrait vous falloir environ 25 minutes pour répondre au sondage. Pour répondre à ce sondage, vous devez être âgé(e) d’au moins 18 ans et être l’un des principaux décideurs pour votre ménage. Votre ménage doit envisager l’achat ou la location à bail d’un véhicule neuf ou d’occasion dans un futur plus ou moins proche. Cette étude sera effectuée en partenariat avec nos collègues de l'Ontario (EV Society) et de la Colombie-Britannique (Vancouver Electric Vehicle Association). Participez en grand nombre, on veut se distinguer par le nombre de répondants!! Le président du EV Society m'a gagé qu'il aurait plus de répondants que nous... il ne faut pas se laisser faire :) Contribution: Simon-Pierre Rioux
Quelle est votre definition d’un véhicule écologique? Les résultats d’un sondage Twitter; Le coût et le confort des véhicules électriques sont de plus en plus attrayants; Les services de covoiturage empiètent sur les services de transport public de la ville de New York. « Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture! »
Contribution : André H. Martel
L’AFIREV propose une charte pour fiabiliser les réseaux de recharge; Le projet de Virgin “Hyperloop One” garantit la construction de son premier « Hyperloop » en Inde; La Turquie aura sa voiture électrique; Sondage – 83% des répondants considèrent acheter un véhicule électrique. . « Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture ! »
Contribution : André H. Martel
Combat de coq à Pilote Académie en virage vert; Les québécois et l'électrification des transports; Coup d'accélérateur en Californie pour la recharge : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture !
Contribution : Daniel Rochefort
Pour une deuxième année, l’Association américaine des automobilistes (AAA) a sondé l’opinion des consommateurs américains concernant les véhicules électriques. Il en ressort que 20 % des répondants se disent intéressés au VÉ comme prochain véhicule.
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20 % des répondants intéressés au VÉ comme prochain véhicule, c’est tout de même une amélioration de 5% par rapport à 2017. La proportion de personnes intéressées par l’hybride demeure inchangée avec 31%. Les bénéfices environnementaux sont la principale raison d’acheter électrique (80% de répondants), suivi des économies à réaliser à long terme (67%). Les femmes semblent beaucoup plus sensibles aux questions environnementales que les hommes (90% contre 68%).
Sans surprise, les critères qui guident le choix du modèle de véhicule électrique ou hybride sont la fiabilité (92%), l’économie de carburant (87%) et l’autonomie (87%). 63% des répondants qui ne considèrent pas l’achat d’un véhicule électrique trouvent qu’il n’y a pas suffisamment de bornes de recharge. Ça représente tout de même une amélioration de 6% par rapport à 2017. La crainte de tomber en panne a aussi diminué (58% contre 68% en 2017), de même que la perception du coût de remplacement élevé des batteries (49% contre 55% en 2017). Intéressant: La génération des «milléniaux» semble moins affectée par «l’angoisse de l’autonomie» (48%) contre 66% pour les baby-boomers et 64% pour la génération «X». Les Américains ont cependant de grandes attentes quant au temps de recharge. 68% considèrent raisonnable une durée de recharge qui ne dépasse pas 30 minutes! Pour ce sondage, 10003 États-Uniens ont été sondés entre le 8 et le 11 mars 2018.
Sources : AAA Newsroom
Contribution : Daniel Rochefort ![]()
À la suite du sondage auprès des membres de l'AVEQ possédant au moins un véhicule électrique, l'AVEQ est très heureuse de vous présenter un portrait de ses membres électromobilistes, édition 2018!
Avant de débuter, l'AVEQ tient à chaleureusement remercier les 324 répondants qui ont pris la peine de répondre au questionnaire. Ces données sont précieuses et serviront à poursuivre la mission de l'AVEQ. À la lecture des résultats, on constate que l'électromobiliste type est un homme (81,8%) de 36 à 45 ans, avec un salaire de 60 à 70 000$ et un niveau d'éducation collégial. On peut ainsi constater en comparant avec le sondage de 2017 que les membres de l’AVEQ rajeunissent (contrairement à chacun de nous individuellement) et de plus en plus de femmes se joignent au mouvement de l’électrification des transports. Parmi ces électromobilistes, 86% sont propriétaires de leur véhicule électrique qui a une année médiane de 2016 et la plupart (61%) ont encore une voiture à essence comme second véhicule duquel ils sont en très grande majorité propriétaire (91%). Parmi les répondants, 65% possèdent un véhicule avec un port de recharge rapide (en augmentation par rapport à 60% l’an passé) qu’ils utilisent en moyenne 2.5 fois par mois. Cela rejoint l’une des préoccupations principales des membres ayant participés au sondage qui disent souhaiter un plus grand nombre de bornes et une meilleure couverture du réseau de BRCC au Québec. À quel point ces électromobilistes se déplacent-ils? On apprend que la distance médiane au travail est de 22 kilomètres et que la médiane du plus long déplacement effectué en une journée est de 300 km. Ceci nous emmène à un kilométrage annuel parcouru de 28 000 kilomètres pour le ménage. Pour 28% d'entre eux, la voiture électrique est stationnée au chaud dans le garage l'hiver. Ces électromobilistes sont-ils satisfaits de leurs voitures vous demandez-vous? Eh bien on constate une quasi-unanimité sur ce sujet, au point où la très grande majorité des répondants (83%) disent que leur prochaine voiture sera 100% électrique. Il va sans dire qu'ils ont l'environnement à cœur puisque près de 91% d'entre eux ont fait ce choix pour des raisons écologiques (et 80% pour des raisons économiques). Selon les répondants, leur voiture leur permet de parcourir 132 km en ville en été contre 100 sur l'autoroute, et 85 km en ville contre 75 sur l'autoroute durant la saison hivernale, bref une autonomie médiane en hiver d'environ 64% de celle estivale en ville et 75% sur l’autoroute. À la question de savoir ce que les autres attendent pour faire le saut, ceux-ci disent que la voiture devra avoir une autonomie de 301 à 400 kilomètres, soit l’autonomie de la nouvelle génération de véhicules électriques qui est de plus en plus disponible sur le marché. Enfin, le sondage a aussi permis de savoir que 38% des gens ont été influencé par l'AVEQ dans leur achat, et 37% ont profité d'un rabais d'un partenaire de l'AVEQ. Le sondage a surtout permis de conclure ces faits d’une importance capitale:
Pour terminer, voici une synthèse des commentaires qu'on a pu retrouver de la part des répondants, qui reflète l'état d'esprit général de l'électromobiliste québécois: Cette année encore, la critique principale se situe au niveau des bornes rapides. Les gens veulent une meilleure couverture, plus d'une borne par site et n'aiment pas devoir attendre qu’une borne se libère. On mentionne notamment que c'est long avec des enfants. La recharge rapide, autant en vitesse qu'en nombres de bornes est le principal frein à l'explosion des ventes selon plusieurs. Mais les membres de l’AVEQ ne font pas que se plaindre sans proposer de solutions : En installer dans toutes les succursales de la Société des Alcools du Québec. C’est une société d’État et il y en a partout dans la province ?. De nombreux électromobilistes aimeraient que leur Véhicule Électrique ait plus d’autonomie (surtout en hiver). Plusieurs sont irrités que le moteur à essence de leur hybride rechargeable parte si souvent et par temps froids et vont sérieusement considérer une 100% électrique pour leur prochain achat. Fini l’essence! Conduite agréable / silencieuse / zen! Réagit rapidement sur la route. Bonne tenue de route en hivers. Pouvoir se recharger à la maison permet de ne plus perdre de temps à la station-service. Certains types / catégories de véhicules ne sont toujours pas disponibles en électrique. Contribution: Frédérick St-Laurent, Jean-François Morissette et Simon-Pierre Rioux
Roxane doit entrer en contact avec des gens qui sont intéressés par les VÉs afin qu'ils complètent un questionnaire. Ceci lui permettra d'analyser des données sur les comportements entourant les voitures électriques.
Le sujet de la recherche est en lien avec l'authenticité des fabricants. Elle cherche aussi à voir si leurs intentions de vente de VE sont perçues comme "vraies" sur le marché. Roxane aimerait avoir environ 200 questionnaires remplis. Choisissez le bouton du sondage en fonction de "votre mois de naissance" Merci de votre aide.
Un article de Steven Guilbault, directeur principal d'Équiterre, nous apprend que plus de 80 % de la population québécoise appuierait des actions gouvernementales favorisant l'achat de véhicules électriques.
Ces données ont été recueillies par le sondage « Les Québécois et les véhicules électriques », commandité par Équiterre et réalisé par la firme Léger Marketing entre le 11 et le 14 septembre 2017,
Comme le dit l'auteur de l'article, « ce sondage démontre que les mesures gouvernementales prises en faveur des véhicules électriques sont très populaires au Québec et que le gouvernement doit maintenir le cap. » Le seul fait que le Québec ait été la première province à avoir adopté, à l’unanimité, la loi sur les véhicules zéro émission (VZE), obligeant les manufacturiers à produire et commercialiser un quota obligatoire de véhicules électriques qui augmentera dans le temps, montrait déjà un intérêt des québécois envers l'électrification des transports. Ce nouveau sondage nous révèle que cet intérêt n'est pas seulement présent dans la sphère politique, mais également chez les citoyens. La loi sur les VZE entrera en vigueur en 2018. Mais déjà, les constructeurs ont annoncé que certains modèles de VÉs, tels la Toyota Prius Prime et la Ford Focus Électriques 2018, ne seront vendus qu'au Québec. Autres faits saillants du sondage - La norme véhicules zéro émission (VZE), reçoit l’appui de presque trois personnes sur quatre. - 85 % de la population aimerait rendre obligatoire l’installation de bornes de recharge électriques dans les stationnements de certains bâtiments, comme les centres commerciaux et les immeubles de logements. - Près de la moitié de la population québécoise serait d’accord avec l’imposition d’une taxe de 10 % à l’achat des véhicules plus polluants que la moyenne.
Source : La Presse
Contribution : Naïma Hassert ![]() Louis Bernard, Co-Promoteur du SVÉM et administrateur de l'AVÉQ nous partage des statistiques fort intéressantes sur les participants de la première édition de ce salon fortement prisé par le public.
Il ressort que le 2/3 des visiteurs n'étaient pas des propriétaires de VÉ, donc, de futurs électromobilistes, espérons-le. (71% prévoient faire l'achat ou la location de VÉ dans les prochains mois)
Également il est intéressant de constater que ce que les gens recherchent d'abord dans le salon, c'est de l'information. L'AVÉQ s’efforce depuis ses tout début à justement œuvrer sur cet élément en diffusant le maximum d'information possible. On n'est pas trop à côté des attentes du public !
Un sondage révèle que les conducteurs préfèrent de loin 480 km d'autonomie à 320 km, voici combien coûte réellement un véhicule à essence aux États-Unis, deux énormes traversiers sont sur le point de devenir les plus grands navires tout-électriques du monde, et NAVYA affirme qu'elle construira 25 autobus entièrement autonomes d'ici la fin de 2017 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Un projet de loi britannique exigerait des bornes de recharge à toutes les stations-service, Mercedes produira des batteries dans une autre usine, Tesla sera le constructeur automobile le plus prospère des 10 prochaines années selon un sondage, et on se demande si Tesla pourra atteindre son objectif de 10 000 Superchargeurs d'ici la fin de 2017 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
La nouvelle stratégie de Honda consiste à se concentrer sur les voitures autonomes et les VÉs, Autolist annonce de la turbulence dans les ventes de voitures neuves aux États-Unis, les acheteurs de voitures n'ont aucune idée qu’il existe des stations de recharge pour VÉs, Honda dévoilera un nouveau véhicule tout-électrique cet automne, et Nissan explique comment l'intelligence humaine créera finalement des voitures autonomes qui fonctionnent dans toutes les situations : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
L'Inde préfère les électriques aux hybrides, l'argument numéro un contre les voitures électriques est maintenant totalement déboulonné, 23% à 50% des conducteurs de VÉs actuels pensent que leur prochaine voiture sera une Tesla Model 3, et Faraday Future prépare sa FF 91 pour la Pikes Peak Climb : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
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