À la suite du sondage auprès des électromobilistes du Québec, l'AVEQ est très heureuse de vous présenter un portrait 2022 aussi fidèle que possible.
Avant de débuter, l'AVEQ tient à remercier chaleureusement les 1029 répondants qui ont pris la peine de répondre au questionnaire, soit approximativement le même nombre de répondants que l'an dernier. Sachez que ces données sont précieuses et serviront à poursuivre la mission de l'AVEQ. Qui sont les électromobilistes? À la lecture des résultats, on constate que l'électromobiliste type demeure un homme (80.5%) de 56 à 65 ans, avec un salaire de 70 à 80 000$ et un niveau d'éducation universitaire (baccalauréat). Il y a donc une augmentation de la présence féminine, passant de 15% à 19% cette année. Parmi l'ensemble des répondants, 62% sont membres de l’AVEQ. Quelles sont leurs voitures? Le modèle le plus populaire parmi les répondants est le Model 3 de Tesla (19%), suivi par la Hyundai Kona (12.4%) et la Nissan LEAF (12.1%). En fait, ces répondants possèdent plus de voitures tout électriques que des hybrides rechargeables, ne correspondant pas tout à fait au portrait global du Québec. Cela démontre que le portrait des participants au sondage n’est pas identique à celui de l’ensemble des électromobiliste au Québec. Un autre exemple est que seulement 10% des répondants du sondage possède un véhicule hybride rechargeable alors qu’il est de 42% dans sur l’ensemble des véhicules électriques immatriculés au Québec. Rappelons cependant que plusieurs flottes commerciales possèdent des hybrides rechargeables alors qu’on regarde ici l’électromobiliste particulier. Parmi ceux-ci, 91% sont propriétaires de leur véhicule électrique. Cela fait 3 ans qu’ils roulent sans essence (réponse médiane). Le deuxième véhicule prédominant demeure un véhicule à essence dans 45.4% des cas. 37% des répondants disent ne pas avoir d’autres véhicules, 14.3% ont un autre véhicule électrique ou hybride rechargeable et enfin 3.3% ont une voiture hybride comme second véhicule. Comment les utilisent-ils? À la question de savoir de combien d’autonomie disposait leur voiture en été et en hiver, les répondants ont eu comme réponse médiane 375 et 250 kilomètres respectivement en ville, versus 350 et 221 kilomètres sur autoroute. En général, les gens estiment leur autonomie en hiver à 65% de leur autonomie estivale. Ces estimations ressemblent à celles de l’an dernier, il est difficile de discerner une tendance sur le type d’électromobiliste ou la voiture qu’ils conduisent. Nous aurions d’ailleurs pu nous attendre à une estimation de perte d’autonomie supérieure en raison de l’hiver plus froid ou en se fiant à ce qu’on peut lire ou entendre dans les médias grand public à ce niveau. Rappelons que cette perte d’autonomie est normale et peut être amoindrie grâce à de petits trucs. À quel point ces électromobilistes se déplacent-ils? On apprend que la distance médiane au travail est de 2 kilomètres! Nos électromobilistes sont plus vieux en moyenne dans les répondants de l’année et le télétravail a fait sa place. Quant à la médiane du plus long déplacement effectué en une journée, elle est de 480 km, versus 439 km l’an dernier. À ce sujet, la médiane des répondants dit utiliser les BRCC en général une fois par mois, soulignant une fois de plus que bien que les BRCC soient essentiels pour les longs trajets, elles sont moins utilisées en absolu que les autres moyens de recharge (en particulier à la maison). Et qu’en est-il des déplacements sur une année entière? On parle d’un kilométrage annuel électrique de 16 000 km, sur 21 000 par le ménage. Ceci constitue une augmentation de 1000km par rapport à l’an dernier. Encore une fois, on constate que la majorité des déplacements d’un ménage se font en électrique dès qu’ils en ont l’opportunité. En dehors des recharges sur la route, 88.1% disent avoir une borne à la maison, une hausse de 3%, et 40% ont accès à des bornes de recharge au travail. Ces mêmes chiffres permettent également de confirmer qu’un VÉ peut très bien survivre à nos hivers sans un garage chauffé, car seulement 29% des VÉ de nos membres dorment dans un garage chauffé. Satisfaction et raisons de leur choix? Ces électromobilistes sont-ils satisfaits de leurs voitures électriques? On constate une quasi-unanimité sur ce sujet, au point où la très grande majorité des répondants (91%) disent que leur prochaine voiture sera 100% électrique. Il va sans dire qu'ils ont l'environnement à cœur puisque près de 69% d'entre eux ont fait ce choix pour des raisons écologiques (baisse de 10% toutefois) et près de 60% pour des raisons économiques (égalité à l’an dernier). Enfin, le sondage a aussi permis de savoir que 27% des répondants ont été influencé par l'AVEQ dans leur décision d’achat, soit une baisse de près de 10 points. Délais de livraison? Sans grande surprise cette année les délais de livraisons sont simplement hallucinants. En effet, au-delà de nos impressions et de ce qu’on entend, chiffres à l'appui on peut dire que la situation n’a jamais été aussi pire. Parmi les répondants, une proportion majoritaire (61%) a commandé un VÉ en 2021 ou 2022. Presque le quart des répondants (23.3%) disent avoir été incommodés par les délais de livraisons. Le délai médian fut de 7 mois pour avoir un véhicule! Oui mais… Nous avons également demandé aux électromobilistes ce que les gens dans leur entourage donnaient comme raisons pour les empêcher de faire le saut vers l’électromobilité. En 1ière position : le prix, avec 67.1% des gens citant cette raison. Il est vrai que plusieurs véhicules électriques neuf sont plus dispendieux à l’achat que les véhicules à essence, or une fois les incitatifs gouvernementaux soustraits, la différence du prix n’est pas celle qui parait aux premiers abords. En effet, en raison du coût de l’électricité versus l’essence et l’entretien, la très grande majorité des VÉ reviennent plus économique après seulement quelques années (2 à 5 selon le kilométrage annuel parcouru et du modèle de véhicule). Il faut cependant avouer que le marché de la voiture usagée, source d'approvisionnement pour beaucoup de Québécois, est effectivement fortement à la hausse actuellement étant donnée l’énorme demande pour les VÉ, combiné à la rareté relative de ceux-ci. En 2ième position se retrouve l’éternelle perception du besoin d’autonomie toujours plus grand (avec 44.2% pour l’autonomie en générale et 59.3% pour l’autonomie hivernale)! Rappelons que selon cette étude du gouvernement du Canada, la médiane des déplacements des Canadiens pour se rendre au travail est de 7.7 km et de 8.7 km pour leurs lieux de visites habituels, donc bien en deçà du 400 km d’autonomie de la majorité des VÉ (ou 200km dans les pires conditions en hiver). En 3ième position (à 40.8%) vient la perception du problème de la recharge sur de longue distances. Bien que la situation ne soit pas parfaite, le nombre de bornes de recharge rapide un peu partout en province rend la très grande majorité des déplacements presque aussi simple qu’avec un véhicule à essence. Est-ce qu’une partie du problème viendrait du fait que les BRCC sont tellement plus petites et discrète qu’une station d’essence et les gens ne les voient pas? Est-ce le changement de paradigme sur le temps de recharge sur les quelques fois où tu fais un long déplacement? Et en 4ième position avec 40.1% des répondants viennent les délais de livraisons qui eux ne sont malheureusement pas un problème de perception. S’il y a un point positif à en tirer c’est que cela indique qu’il y aurait 40.1% des proches des électromobilistes ayant répondus qui seraient prêt à passer à l’électromobilité si leur véhicule tant désiré était disponible? Grandes tendances selon les commentaires Alors que les gens aiment les véhicules électriques pour les raisons économiques et environnementales, on constate qu’ils aiment également leurs véhicules parce que ce sont de bons véhicules: plaisir de conduire, silence de la conduite, puissance, confort, douceur, fiabilité. En fait les répondants sont mêmes porté à mentionner encore plus ces sujets dans leurs commentaires comparés à l’ensemble des avantages environnementaux et économiques. Plusieurs profitent des commentaires pour rappeler qu’ils ne reviendront pas à l’essence, pour dire qu’ils apprécient de ne pas avoir à mettre de l’essence, de partir plein de la maison. Le commentaire négatif revenant le plus souvent est celui de l’autonomie hivernale trop basse. Il est intéressant de souligner que ce commentaire est mentionné autant sur des véhicules à longue autonomie qu’à basse autonomie, soulignant le fait qu’il est important de prendre en compte l’autonomie hivernale inférieure (de 30% à 50% inférieure dans les pires conditions) lors du choix de son véhicule. En deuxième position des commentaires négatifs vient la longue attente pour pouvoir s’en procurer un. Il est impossible de nier ce fait avec plusieurs modèles dont les délais d’attente se mesurant désormais en en années. Les trois principales raisons pour cela sont les problèmes d’approvisionnement, les manufacturiers devant faire la transition et la demande qui va en constante augmentation. Certains de ces facteurs vont probablement aider la situation dans un futur pas trop lointain, mais d'autres éléments sont présents depuis 2011 et pourraient très bien perdurer jusqu’à ce que les VÉ soient devenus plus communs que les véhicules à combustion interne. Le sondage a surtout permis de conclure ces faits d’une importance capitale:
Quelques commentaires comiques ou représentatifs:
Contribution: Jean-François Morissette et Frédérick St-Laurent
Commentaires
En ce qui concerne les aires de repos sur les autoroutes, le sondage d’Electric Autonomy Canada a révélé que les attentes des voyageurs qui roulent avec des véhicules électriques ou de moteurs à combustion sont passablement similaires. En prévision d'un univers où les véhicules électriques domineront les autoroutes, il est clair que les stations-service traditionnelles en bordure de route devront être radicalement réaménagées afin de pouvoir accueillir ce nombre croissant de véhicules électriques. Dans le cadre du concours pour la conception de la station de ravitaillement électrique du futur, dont le but est de réinventer à quoi devraient ressembler les stations de ravitaillement électriques polyvalentes du futur, Electric Autonomy Canada a commandé une enquête auprès des conducteurs de véhicules électriques en partenariat avec Parkland, l'Association des Véhicules Électriques du Québec ( AVÉQ ) et la Société EV pour explorer les profils de comportement des conducteurs et leurs intérêts concernant les installations de recharge sur autoroute. Les données exclusives ont révélé des informations intéressantes sur ce que les conducteurs attendent de l'industrie alors qu'elle se réorganise pour se recentrer sur zéro émission. Les consommateurs plus âgés chefs de file de l'adoption des véhicules électriques On suppose généralement que les jeunes se soucient davantage de la protection de l'environnement et de la lutte contre le changement climatique que les générations plus âgées, mais cela ne signifie pas nécessairement qu'ils mènent la charge quand il est question des véhicules électriques. Sur les 814 personnes interrogées dans le cadre de l'enquête, un peu plus de la moitié étaient des propriétaires de véhicules électriques bien que, parmi les autres, la plupart aient une certaine connaissance des véhicules électriques et sur ce groupe, 75 % des répondants avaient plus de 50 ans. Le fait que les conducteurs de véhicules électriques soient plus âgés confirme que pour la plupart des conducteurs non électriques, le prix d'achat initial élevé vient en tête de liste des raisons pour lesquelles ils n’achètent pas de voiture électrique. Par rapport aux véhicules à moteur à combustion interne (ICE), les véhicules électriques ont un prix initial considérablement plus élevé, ce qui les rend plus difficiles à acheter malgré un coût de possession inférieur au fil du temps. Voici quelques-unes des autres raisons pour lesquelles les personnes interrogées ont choisi de ne pas conduire de véhicules électriques :
Installations routières les plus populaires Mais peu importe si vous êtes un conducteur ICE ou EV, il sera toujours nécessaire de faire des arrêts le long des autoroutes lorsque vous parcourez de longues distances. De nombreuses installations en bordure de route devront être adaptées au réseau déjà disponible pour les utilisateurs de véhicules de moteur à essence. Des établissements de restauration rapide en passant par des dépanneurs et des toilettes publiques, sont les éléments qui devront être inclus alors que nous réimaginons les futurs arrêts routiers pour les véhicules électriques. Mais n'oublions pas que la différence la plus évidente entre les véhicules électriques et les véhicules ICE est que le temps de recharge est beaucoup plus long que les cinq minutes nécessaires pour ajouter du carburant à une voiture. L'enquête a révélé que 65% des conducteurs de véhicules électriques ont attendu au moins 40 minutes pour que leur véhicule se recharge avec une borne de recharge rapide CC, tandis que 35% ont attendu au moins 50 minutes. Mais à mesure que la technologie de recharge des véhicules électriques évolue et s'améliore, ces temps d'attente devraient également diminuer considérablement. L'enquête a également démontré que les propriétaires de véhicules électriques recherchent des installations qui leur permettront de côtoyer confortablement d'autres conducteurs, d’avoir accès aux médias et de mener une vie saine. Certaines des fonctionnalités qu'ils aimeraient également voir incluses sont :
Une enquête développée et lancée par Electric Autonomy met en évidence les principales conclusions sur la culture de la recharge des véhicules électriques.
Les inconvénients majeurs Pour de nombreux conducteurs de véhicules électriques qui ont répondu à l'enquête, l'un des principaux inconvénients sur les autoroutes est que souvent, les bornes de recharge sont situés dans des endroits inintéressants ou dans des zones de stationnement plus éloignées où il n'y a pas de commodités immédiates ou d'endroits extérieurs pour s'asseoir, rester au chaud, se détendre ou se promener. Les propriétaires de véhicules è combustion n'ont généralement pas à faire face à ces types de problèmes. Par conséquent, alors que de plus en plus de conducteurs se préparent à passer à l'électrique, les futurs concepteurs de stations devront répondre à ces préoccupations et s'assurer que les stations de recharge le long des autoroutes sont équipées de suffisamment de bornes rapides CC fiables et des commodités appropriées à proximité pour desservir correctement la communauté des véhicules électriques. Plus positivement, les propriétaires de véhicules électriques croient fermement qu’il est essentiel de prendre des pauses pendant les longs trajets pour assurer la santé et la sécurité des voyageurs. Le fait que les conducteurs soient obligés de faire des pauses importantes pour recharger est bénéfique pour l'esprit et le corps et aide à améliorer la concentration et la vigilance. Les conducteurs de voitures électriques apprécient généralement l’expérience environnante qui accompagne la conduite d'un véhicule électrique. L'enquête a également révélé que la découverte et la contribution au tourisme dans les nouvelles régions sont une partie importante des expériences des conducteurs de VÉ, ainsi que la rencontre et la connexion avec d'autres propriétaires de VÉ et le partage de cette philosophie. Le 1er février, en partenariat avec notre commanditaire principal, Parkland , Electric Autonomy dévoilera les gagnants du concours de conception de la station de ravitaillement électrique du futur. Inscrivez-vous à notre bulletin d’information ici pour les mises à jour et pour recevoir une invitation à regarder l'annonce en direct. Mehanaz Yakub Electric Autonomy Canada
Contribution: André H. Martel
Le Musée canadien de l'automobile est à la recherche de Canadiens qui ont été propriétaire de VÉ dans les années 70-80-90 pour une future exposition. Pouvez-vous les aider?
L'équipe des expositions du Musée canadien de l'automobile à Oshawa, en Ontario, cherche à interviewer des propriétaires de voitures électriques canadiennes qui ont commencé à conduire des voitures électriques dans les années 70, 80 et 90 dans le cadre de leur prochaine exposition numérique Du courant au volant: véhicules électriques au Canada et ailleurs, qui sera lancé en juillet 2022. « Nous racontons l'histoire de la voiture électrique canadienne d'un point de vue national et personnel, et voulons connaître vos histoires sur la façon dont vous êtes devenu propriétaire d'une voiture électrique, vos expériences de conduite au Canada et comment l'industrie automobile électrique a changé et évolué au fil des ans.» a mentionné à l'AVÉQ le coordinateur des projets spéciaux du Musée, M. Dumaresq de Pencier. Si vous êtes intéressé, veuillez communiquer avec M. de Pencier à ddepencier@canadianautomotivemuseum.com. Votre histoire pourrait être incluse dans une exposition de portée internationale!
Le projet comprend un sondage qui permettra de déterminer les forces et les faiblesses du réseau de recharge public existant afin de contribuer à l'élaboration de stratégies et de priorités en ce qui concerne la recharge publique des VE au Canada.
Un réseau de recharge public robuste, efficace et accessible qui répond aux besoins des propriétaires de VE sera essentiel pour aider le Canada à atteindre son objectif de 100% de ventes de VE pour passagers d'ici 2035 et à contribuer à ses engagements climatiques. Pollution Probe est heureux d'annoncer que le sondage est maintenant en ligne! Nous vous invitons à partager les liens du sondage avec toute personne de votre réseau personnel ou professionnel susceptible d'être intéressée, ainsi qu'avec les propriétaires de VE que vous connaissez. For the English version of the survey, please click on the following link: https://www.pollutionprobe.org/ev-charging-survey/ Pour la version française du sondage, veuillez cliquer sur le lien suivant: https://www.pollutionprobe.org/evaluation-de-lexperience-de-recharge-des-vehicules-electriques/ Les résultats du sondage et d'autres conclusions clés seront résumés dans un rapport public qui sera publié cet hiver. Merci d'avance de nous aider à faire partager le sondage et de contribuer à l'amélioration du réseau public de recharge du Canada! Salutations distinguées, Derek May | Senior Project Manager
Contribution: André H. Martel
Ce sondage s'adresse aux propriétaires de véhicules 100 % électriques. Merci d'y répondre au plus tard le mardi 23 novembre 2021 à 23 h 59.
Aucun des renseignements personnels vous concernant ne seront divulgués et vos réponses ne seront utilisées qu'à des fins statistiques dans un rapport que la Coalition zéro émission Québec (CZÉQ) pourrait confectionner et remettre au gouvernement. Préambule - Il se dégage des données actuelles qu’une batterie de VE ayant 10 ans d’usage pourrait avoir une dégradation moyenne inférieure à 15%. Le recyclage d’une batterie encore bonne serait un gaspillage économique et écologique et une opportunité industrielle manquée. Tesla a annoncé travailler sur une batterie qui serait efficace pour effectuer un million de km. Le MELCC (ministère de l’Environnement et de la lutte aux changements climatiques du Québec) a déposé un projet de règlement qui, s'il était adopté tel quel, inciterait fortement, via des incitatifs financiers, les fabricants à remplacer votre batterie après une durée fixe dans le temps plutôt qu’en fonction de sa dégradation réelle. Le règlement pourrait également interdire le reconditionnement de votre batterie à moindre coût par un fournisseur tiers ou interdire la revente de votre batterie à un tel tiers pour des fins de réutilisation (batterie stationnaire, conversion de véhicule, etc.). Cela aurait pour conséquence d’empêcher le développement d’une filière industrielle de réutilisation, de valorisation et de reconditionnement de batteries au Québec, en amont de son recyclage, ce qui rendrait la filière batterie du Québec potentiellement moins concurrentielle. Selon nos informations, il en coûterait entre 15 % à 25 % de la valeur neuve de remplacement de votre batterie hors garantie pour la reconditionner par un fournisseur tiers. Les questions suivantes sont pertinentes en fonction des faits ci-haut et nous souhaitons que vous y répondiez dans l’hypothèse que vous garderiez votre VÉ le plus longtemps possible, même si dans les faits vous comptez la remplacer plus rapidement. Pour participer au sondage :
Contribution: André H. Martel
Que vous conduisiez un véhicule électrique ou un véhicule à combustion, nous aimerions connaître vos préférences afin d’améliorer l'expérience des électromobilistes sur l’autoroute.
Vos réponses à ce sondage de deux minutes serviront à concevoir la station de recharge de l’avenir. À noter, le sondage est en Google Forms, et requiert un compte Google pour y répondre.
Avec l'Assemblée Générale Annuelle virtuelle qui s'en vient, l'AVÉQ fera appel aux candidatures pour rejoindre le conseil d'administration.
Venez rejoindre un CA déjà bien établi mais qui a toujours besoin de sang neuf , d'énergie et/ou d'expérience...
Candidats demeurant en poste pour une autre année
Trois (3) Postes en élection
Comportements attendus chez les administrateurs de l'Association :
Poser sa candidature
Les personnes intéressées à poser leur candidature doivent envoyer une lettre de motivation avec photo, avant le 7 mai 18h à l'adresse suivante :
SONDAGE SUR LES ÉLECTROMOBILISTES QUÉBECOIS
Encore cette année, nous désirons mettre à jour nos statistiques afin de compléter le portrait typique de l'électromobiliste québécois. Toutes vos réponses sont confidentielles, le lien web à cette page ne contient pas votre adresse courriel ou autre. Il nous est donc impossible de lier l'information personnelle qui sera entrée dans le formulaire ci-bas et l'envoi qui a été fait par courriel.
Le tout est pour que vous puissiez nous offrir le portrait le plus complet et le plus précis possible, à travers vos réponses. Si vous ne possédez pas de voiture électrique, ce questionnaire ne vous est pas destiné, SVP ne pas y répondre. https://fr.surveymonkey.com/r/AVEQ2021 Nous vous remercions d'avance d'avoir pris le temps de répondre à nos questions. PS: Si vous désirez consulter les résultats du sondage 2019, c’est ici: https://www.aveq.ca/actualiteacutes/sondage-2019-aupres-des-membres-de-laveq
C’est le temps du sondage annuel qui nous permet d’établir le portrait le plus complet et le plus précis possible de l’électromobilité au Québec. Tous les propriétaires de véhicules électriques sont invités à participer, membres ou non de l’AVÉQ. Confidentialité garantie.
Voici le moment tant attendu de prendre une grande «photo de groupe» des électromobilistes québécois grâce à notre sondage annuel. Nous pouvons ainsi établir le portrait le plus complet et le plus précis possible de l’électromobilité au Québec. Cette année, le questionnaire est ouvert à tous les électromobilistes, qu’ils soient membres ou non de l’AVÉQ. Le questionnaire est réservé aux propriétaires de véhicules électriques. Comme toujours, notre sondage est parfaitement confidentiel, aucune adresse courriel ou autre donnée permettant l’identification ne fait partie de l’étude. Répondre à notre sondage ne prend qu’une dizaine de minutes. Les résultats seront rendus publics lors de l’Assemblée générale annuelle de l’AVÉQ, le 15 mai 2021. Partagez en grand nombre. Plus il y aura de réponses, plus le portrait obtenu sera représentatif. Pour consulter les résultats du dernier sondage: https://www.aveq.ca/actualiteacutes/sondage-2019-aupres-des-membres-de-laveq
Grâce à ce sondage, RVE sera en mesure de développer des solutions pour faciliter la recharge des véhicules électriques à la maison.
La mission de RVE, une entreprise québécoise installée à Laval, est de transformer l’industrie de la recharge du véhicule électrique en milieu résidentiel, autant pour les bâtiments existants que pour les nouvelles constructions, en élaborant des solutions modulaires. Participez au sondage en vous rendant à l'adresse: https://evcharging.typeform.com/to/vu2ltGvp
Contribution: André H. Martel
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
Autolist a publié une nouvelle enquête montrant les attitudes des consommateurs sur les voitures électriques. Entre autres questions, on a demandé aux consommateurs quelles étaient leurs principales raisons de ne pas acheter de VÉ, et les réponses étaient à peu près ce à quoi vous vous attendiez.
Les principales raisons citées étaient l’autonomie, le prix et la recharge. Mais le problème est que ces préoccupations sont, dans l’ensemble, obsolètes.
Dans le graphique ci-dessous, vous pouvez voir une ventilation des réponses les plus courantes. L’autonomie, le prix et la recharge sont les principales réponses, les 3ème et 4ème étant liées à la recharge. Près de la moitié (40%) des répondants étaient préoccupés par chacun de ces problèmes, même si les véhicules électriques modernes neufs avec une autonomie de 400 km sont disponibles à moins de 30 000 dollars USD après l’incitatif et permettent des taux de charge de 50 à 250 kW sur des milliers de bornes de recharge installées à travers les États-Unis. Ces données sont partagées par la grande majorité des conducteurs.
Bien que «trop cher» soit la deuxième raison la plus courante, avec une faible marge, pour laquelle les consommateurs n’achèteraient pas un véhicule électrique, les répondants ont également déclaré, avec une large marge, que le prix serait leur principale priorité pour l’achat d’un véhicule électrique.
Les répondants au sondage avaient une estimation raisonnable de l’autonomie d'un véhicule électrique moderne moyen. Lorsqu'on leur a demandé quelle autonomie attendrait un VÉ de 35 000 $ USD, la réponse la plus courante était de 400 à 480 km. Cela correspond à peu près aux offres sur le marché actuel, avec environ 400 km d'autonomie (Bolt, Leaf Plus, Kona, Model 3 de base, etc.), bien que 35 000 $ USD soit le prix annoncé, le prix de ces voitures devrait probablement être évalué entre 25 000 $ à 30 000 $, USD voire moins, compte tenu des économies d'essence et d'entretien. Mais quand on leur a demandé ce qu’ils pensaient d’un VÉ de 70 000 dollars USD, la plupart des répondants ont estimé qu’une autonomie de moins de 645 à 800 km ne serait pas acceptable. Lorsqu'on leur a demandé leurs opinions sur des incitatifs fédéraux, étatiques pour l'acquisition de VÉ, une vaste majorité (69%) étaient d’accord avec ces avantages, alors que seulement 16% s'y sont opposés. Autre constat positif, une majorité de répondants (55%) ont déclaré qu’ils utiliseraient un véhicule électrique comme principal véhicule à la maison. Auparavant, de nombreux consommateurs pensaient qu'un VÉ ne serait utile qu'en tant que véhicule secondaire . Suite à l’acquisition, il s’est souvent transformé en véhicule principal du ménage, en raison de son expérience de conduite supérieure, de sa commodité et du faible coût de recharge à domicile. Selon Electrek Les électromobilistes savent depuis longtemps que «l’anxiété liée à l’autonomie» est quelque chose qui est plutôt exclusif aux personnes qui ne conduisent pas de véhicules électriques. Les gens s'inquiètent souvent de l'autonomie avant d'avoir un VÉ, mais une fois qu'ils sont habitués à la voiture, ils réalisent que ce n'est vraiment pas un problème. Pour la plupart des électromobilistes, il est simplement plus pratique d’avoir une voiture que vous pouvez ravitailler à la maison. Ainsi, les problèmes mentionnés dans cette enquête sont, pour la plupart, des problèmes résolus. Les consommateurs ne le savent malheureusement pas encore. Ils ne réalisent pas que 320 km d’autonomie est plus que suffisant pour tous sauf dans des circonstances les plus exceptionnelles. Ils ne réalisent pas à quel point les VÉ sont bon marché une fois que les incitatifs et les coûts de fonctionnement sont pris en compte. Et ils ne savent pas combien de stations de recharge publiques existent, et ils ne les utiliseront probablement pas très souvent de toute façon, car recharger à la maison, au travail ou peu importe où votre voiture passe le plus clair de son temps en stationnement est tellement plus pratique. Ce qui fait que la raison n ° 5 «n’en sait pas assez à leur sujet pour être à l'aise d'en acheter une» est la réponse la plus valide et la plus éloquente. En particulier, la réponse concernant les voitures avec une autonomie de 640 à 800 km est troublante. Les constructeurs automobiles, en particulier Tesla, devraient cesser de vouloir constamment augmenter l’autonomie de leurs véhicules et de considérer que l’autonomie soit la seule et unique caractéristique principale pour promouvoir leurs véhicules, car les consommateurs adhèrent à cette notion. Electrek a récemment écrit à ce sujet: « Tesla aura bientôt une voiture électrique de 640 km dont vous n’aurez pas besoin . Cette notion retarde l’adoption des VÉ. Premièrement, elle permet aux constructeurs de voitures à essence ou hybrides d’annoncer que leurs véhicules ont une autonomie supérieure à 950 km. Ce chiffre est souvent calculé en utilisant des conditions favorables (par exemple, autoroute uniquement) plutôt que les estimations moyennes de l'EPA. Tesla, par exemple, pourrait dire que son 100D peut parcourir 1070 km avec une recharge, s’il voulait jouer avec les chiffres mais toujours en demeurant techniquement correct. Et ces chiffres n’ont de toute façon pas de sens, car tout le monde s’arrêtera à un moment donné pendant un voyage de 950 km en voiture. Deuxièmement, cette approche va contre la croissance des véhicules électriques. Au lieu d'offrir une voiture offrant la bonne autonomie au bon prix, les constructeurs automobiles continuent de développer des batteries de plus en plus chères, les consommateurs pensent qu'ils doivent acheter les modèles haut de gamme parce qu’on les a convaincus de se procurer des véhicules électriques qui offrent une plus grande autonomie mais à des coûts souvent trop élevés. C’est évident que le prix est trop élevé si vous transportez des centaines de kilomètres de batterie supplémentaires que vous n'utiliserez jamais. Ce poids supplémentaire affecte également votre voiture. Elle résiste moins bien, est moins efficace, sa fabrication a un impact plus important sur l'environnement et ces batteries auraient pu être utilisées pour fabriquer une seconde voiture, et donc éliminer une autre voiture à essence. Le communiqué de presse d'Autolist indique que le prix, l’autonomie et la recharge sont les problèmes des véhicules électriques, mais ce n'est pas vraiment le cas. Le problème est l' éducation. Contrairement à la citation de Steve Jobs qui avait comme principe de base de : « déterminer ce que les consommateurs veulent avant de le faire », il semble que les consommateurs ne savent pas ce qu'ils veulent. Ou encore plus, ils ne savent pas ce qui est disponible. L’autonomie, le prix et les bornes de recharge ne sont plus des motifs pour éviter les véhicules électriques de nos jours, à moins que vous ne rencontriez un problème particulièrement exceptionnel. Heureusement, les consommateurs, qui ont tendance à être bien informés sur les véhicules électriques, peuvent résoudre ce problème. Discutez avec vos amis des avantages de posséder un VÉ et des principales préoccupations que ce sondage a mis de l’avant et qui ne concernent pas vraiment les électromobilistes. Les conducteurs de véhicules électriques doivent s’impliquer car ils possèdent des informations que le public n’a manifestement pas, alors il est important de les diffuser. electrek
Contribution: André H. Martel
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
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À la suite du sondage auprès des membres de l'AVEQ possédant au moins un véhicule électrique, l'AVEQ est très heureuse de vous présenter un portrait de ses membres électromobilistes, édition 2019!
Avant de débuter, l'AVEQ tient à remercier chaleureusement les 523 répondants qui ont pris la peine de répondre au questionnaire. Ces données sont précieuses et serviront à poursuivre la mission de l'AVEQ. À la lecture des résultats, on constate que l'électromobiliste type de l’AVEQ est un homme (87%) de 46 à 55 ans, avec un salaire de 70 à 80 000$ et un niveau d'éducation collégial. Plusieurs tendances des années précédentes semblent s'être inversées: la proportion de femme a diminué, l'âge médian a augmenté et le salaire médian également. Est-ce le reflet du marché en général ou seulement celui des membres de l’AVEQ? Parmi ces électromobilistes, 91% sont propriétaires de leur véhicule électrique (dont l’année médiane est 2017). Le nombre d’entre eux avec un deuxième véhicule à essence est en baisse passant de 60% à 51%, duquel ils sont en très grande majorité propriétaires (91%). Parmi les répondants, 76% possèdent un véhicule avec un port de recharge rapide (en augmentation par rapport à 65% l’an passé) qu’ils utilisent en moyenne 1 fois par mois. Et si on considère seulement les 100% électrique, c’est plus de 94% des véhicules qui sont équipés d’un port de recharge rapide. Au niveau de la répartition, 46% sont équipés du port SAE Combo, 39% du port CHAdeMO et 15% du connecteur Tesla. En dehors des recharges sur la route, 84% disent avoir une borne à la maison et 44% ont accès à des bornes de recharge au travail. À quel point ces électromobilistes se déplacent-ils? On apprend que la distance médiane au travail est de 14 kilomètres et que la médiane du plus long déplacement effectué en une journée est de 399 km (alors qu’il était de 300km l’an passé) pour un kilométrage annuel électrique de 20 000 km. Cela veut donc dire que seulement 35% des déplacements électriques sont fait entre le travail et la maison en moyenne. Cela signifie que la majorité de la distance parcourue par les VÉ correspond à de longs déplacements autre que pour le travail, soulignant une fois de plus l’importance d’avoir un bon réseau de recharge rapide pour ces escapades électriques. On peut également voir que les ménages favorisent l’utilisation de leur véhicule électrique, car la distance médiane parcourue pour le ménage entier est de 26 000 km. C'est-à-dire que seulement 6000 km demeurent parcourus à l’aide du véhicule à essence. Ces électromobilistes sont-ils satisfaits de leurs voitures électriques? On constate une quasi-unanimité sur ce sujet, au point où la très grande majorité des répondants (92%) disent que leur prochaine voiture sera 100% électrique. Il va sans dire qu'ils ont l'environnement à cœur puisque près de 75% d'entre eux ont fait ce choix pour des raisons écologiques (et 53% pour des raisons économiques). Selon les répondants, leur voiture leur permet de parcourir 195 km en ville en été contre 168 sur l'autoroute, et 130 km en ville contre 114 km sur l'autoroute durant la saison hivernale. L’autonomie médiane en hiver est d'environ 67% de celle estivale. Ces mêmes chiffres permettent également de confirmer qu’un VÉ peut très bien survivre à nos hivers sans un garage chauffé, car seulement 25% des VÉ de nos membres dorment dans un garage chauffé, et selon ces mêmes données, cela n’affecterait que de façon minimale l’autonomie hivernale constatée (autonomie hivernale de 72% de celle estivale dans un garage vs 67% à l’extérieur). Nous profitons d’ailleurs du sujet de l’autonomie hivernale pour référer aux nouveaux électromobilistes notre guide hivernal. Enfin, le sondage a aussi permis de savoir que 45% des répondants ont été influencés par l'AVEQ dans leur décision d’achat. Ce chiffre, combiné au haut taux de satisfaction, est probablement la meilleure preuve que les nombreuses heures d’effort investies par les bénévoles de notre organisation ont atteint leurs objectifs. Après tout, promouvoir les véhicules électriques, donner l’heure juste aux gens afin qu'ils soient heureux de leur achat est la raison d’être de l’AVEQ! Le sondage a surtout permis de conclure ces faits d’une importance capitale:
Mon seul point négatif est que j'aurais dû prendre une 100% électrique au lieu d'une PHEV J'adore rouler électrique Meilleur véhicule a vie J'essaie d'être contagieuse! C'est la meilleure voiture que je n'ai jamais eue et j'en prendrai une autre à la fin de ma location C'est cohérent avec mes choix de vie J'aurais dû en acheter une avant !!! Plus jamais je n'aurai autre chose qu'une voiture 100% électrique L'expérience de conduite est inégalée. Je serais incapable de retourner en arrière, j'aurais l'impression de conduire un dinosaure. La puissance et couple du moteur électrique est incroyable, jumelée au silence et l'absence de vibrations. J'ai le gros sourire quand je suis au volant. NDLR : Ces chiffres ont été recueillis dans un sondage auprès des membre de l’AVEQ et ne représente pas nécessairement l’ensemble du marché Québécois. Le meilleur exemple de ce sujet est le haut pourcentage de Nissan LEAF. Contribution: Frédérick St-Laurent, Jean-François Morissette et Simon-Pierre Rioux
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
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C’est le temps du sondage annuel qui nous permet d’établir le portrait le plus complet et le plus précis possible de l’électromobilité au Québec. Tous les propriétaires de véhicules électriques sont invités à participer, membres ou non de l’AVÉQ. Confidentialité garantie. Ouvert jusqu’au 26 avril.
Voici le moment tant attendu de prendre une grande «photo de groupe» des électromobilistes québécois grâce à notre sondage annuel. Nous pouvons ainsi établir le portrait le plus complet et le plus précis possible de l’électromobilité au Québec.
Cette année, le questionnaire est ouvert à tous les électromobilistes, qu’ils soient membres ou non de l’AVÉQ. Le questionnaire est réservé aux propriétaires de véhicules électriques. Comme toujours, notre sondage est parfaitement confidentiel, aucune adresse courriel ou autre donnée permettant l’identification ne fait partie de l’étude. Répondre à notre sondage ne prend qu’une dizaine de minutes.
La date limite pour participer est le 26 avril 2019.
Les résultats seront rendus publics lors de l’Assemblée générale annuelle de l’AVÉQ, le 4 mai 2019. Partagez en grand nombre. Plus il y aura de réponses, plus le portrait obtenu sera représentatif. Pour consulter les résultats de l’année dernière : https://www.aveq.ca/actualiteacutes/sondage-2018-aupres-des-membres-de-laveq
Contribution : Simon-Pierre Rioux et Daniel Rochefort
D’après un important sondage pancanadien, les Canadiens sont d’avis que l'avenir du marché des véhicules domestiques sera défini par les véhicules électriques, et ils espèrent que cela se produira le plus rapidement possible. Voici la TRADUCTION INTÉGRALE des résultats de cette étude, gracieuseté de l’AVÉQ (avec des petits ajouts d'analyse).
C’est la deuxième étude exclusive sur le sujet réalisée par Abacus Data et Clean Energy Canada. Elle se concentre sur l’opinion des Canadiens face à la transformation du marché automobile provoqué par les véhicules électriques. Les résultats révèlent que les Canadiens voient le véhicule électrique comme étant l’avenir du marché des véhicules domestiques. De plus, cette étude révèle que les Canadiens croient et espèrent que le renversement de la position dominante du véhicule à essence se produira rapidement.
La majorité des répondants (64%) affirment que si ça n’en tenait qu’à eux, ils préfèreraient que les voitures électriques deviennent majoritaires.
Le désir de voir les voitures électriques éclipser les véhicules à essence est beaucoup plus grand chez les jeunes et à l'extérieur de l'Alberta, même si la moitié des Albertains, 54% de la génération silencieuse et 46% des électeurs conservateurs affirment tout de même espérer que ça se produise.
Plus encore, 72% des répondants croient que cela se produira de toute façon, à un moment donné.
Cette certitude semble corrélée avec le désir de la transition électrique, et ce peu importe l’âge, la province ou l’allégeance politique.
Notons que la proportion de Canadiens qui croient «fortement» et «certainement» que les véhicules électriques deviendront la norme est toujours moins grande que le désir de le voir arriver… ce qui indique que les Canadiens croient que l’industrie des transports veut moins qu’eux ! Un indice qu’il est socialement acceptable de prendre des mesures pour accélérer le pas de cette transition.
À la question d’estimer dans combien de temps ce changement se produira, 71% prédisent qu’il faudra moins de 15 ans, ce qui comprend les 56% qui affirment attendre ce jour pour dans 10 ans ou moins.
Cette prédiction est distribuée de façon remarquablement uniforme parmi toutes les strates de la population.
S'il n’en tenait qu’à eux, la moitié des répondants croient que le meilleur moment pour que le véhicule électrique supplante la voiture à essence devrait être dans cinq ans et moins, tandis que 79% espèrent que cela se produira dans 10 ans ou moins.
S'ils achetaient une nouvelle voiture, la majorité des consommateurs canadiens seraient favorables au véhicule électrique. 10% des répondants feraient ce choix de façon certaine, tandis que 14% déclarent qu’ils y serait très favorables. 30% des répondants affirment, quant à eux, avoir besoin de comparer avec le véhicule à essence même s’ils affichent une préférence pour l’électrique.
L'intérêt des répondants pour les véhicules électriques semble être motivé par plusieurs raisons. Une grande majorité considère la motorisation électrique meilleure pour améliorer la qualité de l'air et diminuer les impacts des changements climatiques. Pour 2 personnes sur 3, le véhicule électrique représente une économie sur les coûts de carburant.
Les répondants semblent cependant mitigés sur les économies d’entretien, la plus grande fiabilité et le plaisir de conduire qu’on associe au véhicule électrique. Cependant, à l’inverse, le véhicule à essence n’est jamais perçu de façon plus avantageuse pour chaque critère [36% des répondants à l’impression que le véhicule à essence est plus fiable, 29% qu’il coûte moins cher à entretenir et 26% qu’il est plus agréable à conduire]. Notons cependant, à l’intention des promoteurs du véhicule électrique qui cherchent à mieux cibler leurs interventions:
Parmi les facteurs susceptibles d’influencer la décision d’acheter électrique, la perception d’avoir un nombre suffisant de stations de recharge à disposition arrive bonne première comme vraiment importante. La vitesse de recharge, l’amélioration de l’autonomie liée aux technologies des batteries et les coûts d’entretien ont une influence comparable.
Dans l’ensemble, l’idée d’avantages fiscaux pour établir une parité entre le prix de la voiture électrique et celui de la voiture à essence semble peser un peu moins lourd dans la balance que les autres facteurs chez les répondants, bien que les différences ne sont pas très significatives (très près ou sous de la marge d'erreur).
La vaste majorité des répondants soutient les gouvernements qui offrent des incitatifs à l’achat de véhicules électriques, de même que ceux qui investissent dans les infrastructures de recharge publique.
Moins de 15% s’opposent à l'une ou l'autre de ces mesures, et ce peu importe la province, l’âge ou l’allégeance politique (à l’exception des partisans du Parti Conservateur [PC] et du Parti Populaire du Canada [PPC] qui s’y opposent respectivement à 22% et 27%… ce qui n’est tout de même pas si pire !
CITATIONS
« Les Canadiens sont emballés par les voitures électriques et par la possibilité de réduire à la fois la pollution et leurs coûts de carburant. C’est une solution gagnant-gagnant pour les navetteurs et c’est pourquoi l’intérêt [pour le VÉ] et l’impression d’inéluctabilité [de la transition à venir] ne cessent de croître. De plus en plus de Canadiens veulent opter pour le VÉ comme prochain véhicule, et les gouvernements ont la possibilité de faciliter ce choix en leur offrant des rabais à l'achat ou des incitatifs fiscaux, ainsi qu’en investissant dans les infrastructures de recharge. Le gouvernement fédéral [s’est donné] des objectifs ambitieux, mais réalisables pour mettre plus de voitures électriques sur les routes. Il doit maintenant soutenir le désir des Canadiens d’en arriver là. » — Dan Woynillowicz, directeur des politiques, Clean Energy Canada « La première voiture électrique a été inventée avant la Ford modèle T, puis l’évolution [de cette] technologie a stagné pendant une centaine d’années. Mais la convergence des préoccupations concernant les changements climatiques, la qualité de l'air et le sentiment que la technologie est à la fois grandement améliorée et plus abordable suggèrent que le monde devrait se préparer à une accélération remarquable [de la transition vers les] véhicules électriques. Les politiques publiques peuvent jouer un rôle majeur dans le rythme de cette transition, l’investissement dans les infrastructures étant prioritaire dans la liste des choses que les gouvernements peuvent faire. Depuis les vingt dernières années, les sceptiques parient contre l’avenir du véhicule électrique… mais ils se ravisent maintenant. » — Bruce Anderson, président, Abacus Data MÉTHODOLOGIE Le sondage a été mené en ligne auprès de 1 495 résidents canadiens âgés de 18 ans et plus, du 11 au 13 mars 2019. Les répondants invités à répondre au sondage ont été échantillonnés aléatoirement parmi un ensemble de panels de partenaires basés sur la plate-forme d’échange Lucid. Ces partenaires sont généralement des panels d’enquête à double participation, mélangés pour gérer les biais éventuels dans les données provenant d’une source unique. La marge d'erreur probabiliste pour un échantillon aléatoire comparable de la même taille est de +/- 2,45%, 19 fois sur 20. Les données ont été pondérées en fonction des données du recensement canadien afin de garantir que l'échantillon soit représentatif de la population canadienne au regard de l'âge, du sexe, du niveau d'instruction et des régions. Les totaux peuvent ne pas correspondre à 100% en raison de l'arrondissement des résultats affichés.
Il y a quelques semaines, nous enjoignions les électromobilistes québécois à participer au sondage national de l’Université Mc Master qui vise à dresser un portrait de la mobilité électrique au Canada. Les membres de l’AVÉQ ont répondu d’une façon exceptionnelle.
250 propriétaires de voiture électrique canadiens ont complété le sondage. Tenez-vous bien, 200 de ceux-ci sont des Québécois ! Les cinquante autres participations complètes proviennent, à part relativement égales, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique.
L’analyse de quelques 200 questionnaires additionnels incomplets n’est pas encore terminée, mais on peut d’ores et déjà affirmer que c’est au Québec qu’on trouve les électromobilistes les plus motivés et les plus engagés du pays. Les responsables de l’étude en question remercient tous les participants. De notre côté, nous aimerions scander avec fierté «Vive les électromobilistes Québécois!»
Contribution : Daniel Rochefort
D’après une étude réalisée auprès de 1000 conducteurs anglais, l’option de la voiture électrique fera partie du choix pour 83 % des répondants lorsque viendra le temps de changer leur véhicule. Ce sont les jeunes conducteurs qui semblent définitivement plus ouverts à l’idée : ce taux grimpe à 91 % chez les milléniaux, tandis que seuls 32% des 55-64 ans seraient ouverts à l’idée.
Cette étude commandée par HPI contraste avec celle réalisée à l’automne 2017 par CarGurus, qui indiquait que 35% des répondants seraient heureux d’acheter un véhicule électrique, contre 51% qui feraient le choix de l’hybride.
L’idée du VÉ fait donc son chemin dans l’esprit des acheteurs - particulièrement les jeunes générations - qui ne sont toutefois pas automatiquement prêts à passer à l’acte pour leur prochain achat. Le sondage de HPI jette aussi un éclairage sur les préoccupations des personnes interrogées. Les deux tiers [64%) sont préoccupés par le manque de stations de recharge électrique, tandis que 56 % sont préoccupées par le prix plus élevé du VÉ. 38% s’inquiètent du temps de recharge et 61% sont toujours persuadés que les batteries devraient être remplacées avant 2 ans d’utilisation. D’après Chris Plumb de HPI, ces idées reçues à propos du VÉ contribuent à l’incertitude dans l’esprit des acheteurs potentiels. « Il est vraiment surprenant que la plupart des gens pensent que les batteries ont une durée de vie si courte», affirme-t-il, «surtout qu’en fait les batteries semblent plutôt dépasser les attentes de l’industrie». Chris Plumb est cependant encouragé de constater que la génération des milléniaux est plus ouverte au VÉ, et qu’ils perçoivent probablement mieux les bénéfices à long terme des technologies vertes.
Vous avez jusqu'à vendredi, 22 juin, pour ajouter votre voix aux répondants qui ont déjà participé à cette importante étude qui dresse un portrait de la mobilité électrique au Canada .
Le sondage vise particulièrement les propriétaires de VÉ, pour mieux connaitre leurs caractéristiques sociodémographiques. Un des thèmes majeurs est le comportement et les infrastructures de rechargement électrique. Nous vous encourageons à compléter le sondage en cliquant ici: http://survey-ca.researchnow.com/survey/selfserve/53b/180251?list=3 Ce sondage constitue un élément important d'un projet de recherche majeur s'étalant sur 5 ans et financé par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), visant à évaluer le futur de la mobilité électrique au Canada. Le projet est mené par le McMaster Institute for Transportation and Logistics (Institut des transports et de la logistique de l'Université McMaster). En temps qu'électromobiliste, il devrait vous falloir environ 25 minutes pour répondre au sondage. Pour répondre à ce sondage, vous devez être âgé(e) d’au moins 18 ans et être l’un des principaux décideurs pour votre ménage. Votre ménage doit envisager l’achat ou la location à bail d’un véhicule neuf ou d’occasion dans un futur plus ou moins proche. Cette étude sera effectuée en partenariat avec nos collègues de l'Ontario (EV Society) et de la Colombie-Britannique (Vancouver Electric Vehicle Association). Participez en grand nombre, on veut se distinguer par le nombre de répondants!! Le président du EV Society m'a gagé qu'il aurait plus de répondants que nous... il ne faut pas se laisser faire :) Contribution: Simon-Pierre Rioux
Quelle est votre definition d’un véhicule écologique? Les résultats d’un sondage Twitter; Le coût et le confort des véhicules électriques sont de plus en plus attrayants; Les services de covoiturage empiètent sur les services de transport public de la ville de New York. « Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture! »
Contribution : André H. Martel
L’AFIREV propose une charte pour fiabiliser les réseaux de recharge; Le projet de Virgin “Hyperloop One” garantit la construction de son premier « Hyperloop » en Inde; La Turquie aura sa voiture électrique; Sondage – 83% des répondants considèrent acheter un véhicule électrique. . « Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture ! »
Contribution : André H. Martel
Combat de coq à Pilote Académie en virage vert; Les québécois et l'électrification des transports; Coup d'accélérateur en Californie pour la recharge : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture !
Contribution : Daniel Rochefort
Pour une deuxième année, l’Association américaine des automobilistes (AAA) a sondé l’opinion des consommateurs américains concernant les véhicules électriques. Il en ressort que 20 % des répondants se disent intéressés au VÉ comme prochain véhicule.
20 % des répondants intéressés au VÉ comme prochain véhicule, c’est tout de même une amélioration de 5% par rapport à 2017. La proportion de personnes intéressées par l’hybride demeure inchangée avec 31%. Les bénéfices environnementaux sont la principale raison d’acheter électrique (80% de répondants), suivi des économies à réaliser à long terme (67%). Les femmes semblent beaucoup plus sensibles aux questions environnementales que les hommes (90% contre 68%).
Sans surprise, les critères qui guident le choix du modèle de véhicule électrique ou hybride sont la fiabilité (92%), l’économie de carburant (87%) et l’autonomie (87%). 63% des répondants qui ne considèrent pas l’achat d’un véhicule électrique trouvent qu’il n’y a pas suffisamment de bornes de recharge. Ça représente tout de même une amélioration de 6% par rapport à 2017. La crainte de tomber en panne a aussi diminué (58% contre 68% en 2017), de même que la perception du coût de remplacement élevé des batteries (49% contre 55% en 2017). Intéressant: La génération des «milléniaux» semble moins affectée par «l’angoisse de l’autonomie» (48%) contre 66% pour les baby-boomers et 64% pour la génération «X». Les Américains ont cependant de grandes attentes quant au temps de recharge. 68% considèrent raisonnable une durée de recharge qui ne dépasse pas 30 minutes! Pour ce sondage, 10003 États-Uniens ont été sondés entre le 8 et le 11 mars 2018.
Sources : AAA Newsroom
Contribution : Daniel Rochefort
À la suite du sondage auprès des membres de l'AVEQ possédant au moins un véhicule électrique, l'AVEQ est très heureuse de vous présenter un portrait de ses membres électromobilistes, édition 2018!
Avant de débuter, l'AVEQ tient à chaleureusement remercier les 324 répondants qui ont pris la peine de répondre au questionnaire. Ces données sont précieuses et serviront à poursuivre la mission de l'AVEQ. À la lecture des résultats, on constate que l'électromobiliste type est un homme (81,8%) de 36 à 45 ans, avec un salaire de 60 à 70 000$ et un niveau d'éducation collégial. On peut ainsi constater en comparant avec le sondage de 2017 que les membres de l’AVEQ rajeunissent (contrairement à chacun de nous individuellement) et de plus en plus de femmes se joignent au mouvement de l’électrification des transports. Parmi ces électromobilistes, 86% sont propriétaires de leur véhicule électrique qui a une année médiane de 2016 et la plupart (61%) ont encore une voiture à essence comme second véhicule duquel ils sont en très grande majorité propriétaire (91%). Parmi les répondants, 65% possèdent un véhicule avec un port de recharge rapide (en augmentation par rapport à 60% l’an passé) qu’ils utilisent en moyenne 2.5 fois par mois. Cela rejoint l’une des préoccupations principales des membres ayant participés au sondage qui disent souhaiter un plus grand nombre de bornes et une meilleure couverture du réseau de BRCC au Québec. À quel point ces électromobilistes se déplacent-ils? On apprend que la distance médiane au travail est de 22 kilomètres et que la médiane du plus long déplacement effectué en une journée est de 300 km. Ceci nous emmène à un kilométrage annuel parcouru de 28 000 kilomètres pour le ménage. Pour 28% d'entre eux, la voiture électrique est stationnée au chaud dans le garage l'hiver. Ces électromobilistes sont-ils satisfaits de leurs voitures vous demandez-vous? Eh bien on constate une quasi-unanimité sur ce sujet, au point où la très grande majorité des répondants (83%) disent que leur prochaine voiture sera 100% électrique. Il va sans dire qu'ils ont l'environnement à cœur puisque près de 91% d'entre eux ont fait ce choix pour des raisons écologiques (et 80% pour des raisons économiques). Selon les répondants, leur voiture leur permet de parcourir 132 km en ville en été contre 100 sur l'autoroute, et 85 km en ville contre 75 sur l'autoroute durant la saison hivernale, bref une autonomie médiane en hiver d'environ 64% de celle estivale en ville et 75% sur l’autoroute. À la question de savoir ce que les autres attendent pour faire le saut, ceux-ci disent que la voiture devra avoir une autonomie de 301 à 400 kilomètres, soit l’autonomie de la nouvelle génération de véhicules électriques qui est de plus en plus disponible sur le marché. Enfin, le sondage a aussi permis de savoir que 38% des gens ont été influencé par l'AVEQ dans leur achat, et 37% ont profité d'un rabais d'un partenaire de l'AVEQ. Le sondage a surtout permis de conclure ces faits d’une importance capitale:
Pour terminer, voici une synthèse des commentaires qu'on a pu retrouver de la part des répondants, qui reflète l'état d'esprit général de l'électromobiliste québécois: Cette année encore, la critique principale se situe au niveau des bornes rapides. Les gens veulent une meilleure couverture, plus d'une borne par site et n'aiment pas devoir attendre qu’une borne se libère. On mentionne notamment que c'est long avec des enfants. La recharge rapide, autant en vitesse qu'en nombres de bornes est le principal frein à l'explosion des ventes selon plusieurs. Mais les membres de l’AVEQ ne font pas que se plaindre sans proposer de solutions : En installer dans toutes les succursales de la Société des Alcools du Québec. C’est une société d’État et il y en a partout dans la province ?. De nombreux électromobilistes aimeraient que leur Véhicule Électrique ait plus d’autonomie (surtout en hiver). Plusieurs sont irrités que le moteur à essence de leur hybride rechargeable parte si souvent et par temps froids et vont sérieusement considérer une 100% électrique pour leur prochain achat. Fini l’essence! Conduite agréable / silencieuse / zen! Réagit rapidement sur la route. Bonne tenue de route en hivers. Pouvoir se recharger à la maison permet de ne plus perdre de temps à la station-service. Certains types / catégories de véhicules ne sont toujours pas disponibles en électrique. Contribution: Frédérick St-Laurent, Jean-François Morissette et Simon-Pierre Rioux |
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