Les ventes cumulatives du Groupe Renault à ce jour montent à 200,000 véhicules électriques, dont 175,000 voitures tout électriques
Le Groupe Renault a annoncé que les ventes cumulées de véhicules électriques atteindraient 200,000 . Le nombre inclut plusieurs modèles de véhicules électriques, un quadricycle lourd (Twizy) et le moteur SM3 ZE de Renault Samsung Motors (Renault Fluence ZE renommée et améliorée). Les données et estimations (à fin novembre) montrent que près des deux tiers des véhicules vendus incombent à la ZOE: Renault ZOE - environ 128,000 Renault Kangoo ZE - environ 37,000 Renault Master ZE - environ 85 Renault Fluence ZE - plus de 4,000 Renault Twizy - probablement environ 25,000 SM3 ZE - plus de 5,000 Si l’on présume que les ventes des Renault VÉ ont été réalisées presque entièrement en Europe, le résultat est notable. Cependant, si nous remontons à 2010, on réalise que les résultats sont loin des objectifs initiaux qui étaient de 200,000 véhicules électriques par an, dont 150,000 ZOE annuellement à compter de 2015. Aujourd'hui, on parle d’environ de 50,000 véhicules électriques par année, incluant moins de 40,000 ZOE au cours des 12 derniers mois, alors que Renault a déjà procédé à une mise à niveau importante de la capacité de la batterie pour la ZOE et le Kangoo ZE.
Pour augmenter son volume de ventes, Renault devra mettre sur le marché des modèles plus abordables, ce qui devrait être possible avec la nouvelle plateforme de Renault-Nissan-Mitsubishi Alliance.
INSIDEEVs
Contribution: André H. Martel
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Le gouvernement du Québec vient d'adopter, après avoir tergiversé pendant 4 ans, d'un Règlement sur les véhicules à basse vitesse qui définit les normes de sécurité visant à protéger leurs occupants et les autres usagers de la route.
Ce règlement introduit des règles additionnelles à celles de Transports Canada en matière d'équipements et de performance. La Société de l'assurance automobile du Québec jugera de la conformité des véhicules sur la base des dossiers que devront lui avoir présentés les fabricants à cet effet. >>> Lire notre article de 2013 à ce sujet: Le MTQ permettra les VBV électriques sur les routes, avec une bémol En mai 2016, une modification au Code de la sécurité routière (CSR) permettait la circulation des véhicules à basse vitesse (VBV) et attribuait au gouvernement le pouvoir de déterminer par règlement les normes de sécurité particulières leur étant applicables. Un véhicule à basse vitesse : · doit être entièrement électrique; · doit avoir une vitesse maximale entre 32 et 40 km/h; · doit être immatriculé; · peut accéder aux chemins publics où la vitesse permise est d'au plus 50 km/h. Jusqu'à maintenant, les VBV ne devaient circuler qu'en milieu fermé ou sur des chemins privés. Pour qu'ils aient accès aux chemins publics du Québec, le ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports a fait adopter un règlement basé sur des normes définies à la Société de l'assurance automobile du Québec et visant à rehausser leur niveau de sécurité. Ces normes visent notamment la capacité de freinage, la visibilité du conducteur et la perceptibilité du VBV, ainsi que la protection de ses occupants en cas d'impact. « Si la sécurité des usagers de la route est une priorité, l'intérêt démontré par des fabricants et importateurs québécois à investir dans le VBV a également incité le gouvernement à considérer ces véhicules dans son Plan d'action en électrification des transports 2015-2020 » affirme le ministre des Transports, Laurent Lessard. Circulation à l'extérieur des chemins publics Quant aux véhicules à basse vitesse utilisés uniquement à l'extérieur des chemins publics (en milieu fermé ou sur des terrains privés), la conformité aux normes de Transports Canada suffit et ils n'ont pas à respecter les normes additionnelles instaurées par le nouveau règlement. Ils doivent toutefois être immatriculés pour une utilisation hors route. Source: Transcontinental Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Nissan lance un nouveau service d’autopartage avec des véhicules électriques biplaces destinés uniquement à la conduite urbaine. Après plusieurs essais au cours des quatre dernières années, la compagnie offrira ce nouveau programme d’une durée de deux ans dans la ville de Yokohama, au Japon, avec une flotte de 25 véhicules.
Ce nouveau service sera offert au moyen du « nouveau concept mobile de Nissan » connu comme le « Twizy » de Renault, partenaire de Nissan. Bien qu'il ait des caractéristiques de sécurité limitées, le véhicule tout-électrique de 500 kg (1 100 lb) est autorisé sur les routes. Il peut atteindre une vitesse maximale d'environ 80 km/h et est doté d'environ 100 km d’autonomie. Tout ça n’est pas énorme, mais Nissan parie qu'il « encouragera des options de transport à faible émission, améliorera la qualité du transport et favorisera le tourisme ». Voici quelques images du véhicule :
Les essais antérieurs n'offraient qu'un service de voiture à sens unique, mais le nouveau programme permet maintenant un service aller-retour et comprend également des visites guidées autour du centre de Yokohama et des locations de voiture à long terme pour les entreprises.
Il s'agit d'un partenariat public-privé entre la ville et Nissan, qui pourrait servir de référence à de futurs programmes. Le service coûte 250 yens (2.22 $ US) pour 15 minutes, plus une charge de base de 200 yens (1.78 $ US), avec une charge quotidienne maximum de 3000 yens (26.64 $ US). Les utilisateurs n'ont besoin que d'un permis de conduite valide, d'un téléphone intelligent pour accéder au site Web et d'une carte de crédit. Ils peuvent réserver les véhicules 30 minutes à l'avance.
Comme la plupart des constructeurs automobiles, Nissan investit actuellement dans différents projets de l'industrie de l'autopartage, qui devrait croître considérablement dans les années à venir. La compagnie se concentre sur la fabrication de véhicules électriques destinés à ces services et souhaite utiliser éventuellement des véhicules électriques autonomes.
Le mois dernier, l'alliance Renault-Nissan annonçait ses plans d’offrir une flotte de VÉs autonomes destinés au transport public et à la demande. Source : Electrek Contribution : Peggy Bédard Les partenaires de l'alliance Nissan-Renault viennent d’atteindre un tout nouveau jalon dans le monde des véhicules électriques. La paire de constructeurs automobiles japonais et français ont construit ensemble 340 000 voitures électriques depuis le lancement de la Nissan LEAF en décembre 2010.
Cet accomplissement a été brièvement mentionné dans une annonce conjointe traitant principalement de leur plan de réduction des coûts, qui combinerait l'achat, la fabrication et d'autres aspects de leurs opérations. La barrière des 340 000 véhicules a été brisée un peu plus d'un an après que Renault et Nissan aient dépassé des ventes de 250 000 VÉ. La Nissan LEAF représente encore la grande majorité de ces ventes. Elle est la voiture électrique la plus vendue de l'histoire, bien que les ventes américaines aient perdu de leur élan au cours des derniers mois. Selon le journal Le Soleil, le Kangoo Z.E. de Renault pourrait être vendu au Québec dès 2017. C’est le Réseau AZRA qui serait en charge de sa commercialisation, le même groupe qui a présenté le quadricycle Twizy plus tôt cette année et qui détient un mandat exclusif pour la distribution des marques Renault en territoire canadien.
Le constructeur français serait en pourparlers avec Ottawa présentement afin d’importer le Kangoo Z.E. en vertu de la dispense [l'article 9] de la Loi sur la sécurité automobile, qui permet l'importation d'un modèle sans passer par le processus standard d'homologation. Ce processus le limiterait cependant à l’importation de 1000 véhicules par année. La prochaine version du Kangoo Z.E. devra cependant présenter les exigences techniques requises pour qu’une homologation en Amérique du Nord soit permise, mais pas avant 2020. Voici quelques infos techniques sur le Kangoo Z.E. :
Du côté du Twizy, le Réseau AZRA serait toujours en attente d'approbations de la part du gouvernement provincial. Les dispositions de la loi qui concernent les véhicules à basse vitesse (VBV), dont fait partie le Twizy, n'ont pas encore été finalisées. Si le tout devait encore s’étirer, il faudra attendre à 2017 pour voir rouler les Twizy sur nos routes. Source : Le Soleil Contribution : Peggy Bédard
Événement aujourd'hui à Montréal de 16h à 20h avec des essaie routier sur la Twizy directement dans l’arrière cours de l’hôtel de ville de Montréal.
Chalenge du Président Les pilotes F1 de Renault devront faire un parcours au TWIZY et démontrer si il savent conduire un véhicule électrique…. Possibilité d’allocution du maire de Montréal. Vous êtes les bienvenus ! Source : Azra Contribution : Martin Archambault
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Absent d'Amérique du Nord depuis 25 ans, le constructeur automobile français Renault a lancé vendredi au Canada son mini-véhicule électrique Twizy, disponible dans l'immédiat uniquement en location.
Plutôt que de parler d'un retour outre-Atlantique, qui «n'est pas dans l'esprit de ce partenariat», Renault veut «tester et développer de nouveaux modes de commercialisation du Twizy», a souligné à l'AFP le directeur commercial monde de la branche véhicules électriques de Renault, Guillaume Berthier. Présente aux États-Unis et au Canada via le groupe Nissan dont elle est premier actionnaire, la marque au losange s'est associée au groupe québécois Azra pour commercialiser ce quadricycle. En s'associant avec Azra, le groupe français souhaite «exploiter toutes les pistes de nouveaux usages de mobilité» grâce aux «idées originales et disruptives» de son partenaire québécois, selon M. Berthier. Parmi ces nouveaux usages envisagés figure la livraison en milieu urbain, a indiqué Azra qui compte mettre en location 600 véhicules d'ici 18 à 24 mois. En tout, le groupe québécois a investi 40 millions $ dans ce projet. Proposé à la location pour 99$ par mois incluant l’immatriculation et les assurances, le petit véhicule est pour le moment bridé à 40 km/h mais la marque au losange et Azra espèrent pouvoir la proposer en version 80 km/h, une fois l'homologation fédérale obtenue. Outre la location individuelle, Azra souhaite aussi établir un programme de partage. AZRA-Renault fait équipe avec Uni-Sélect pour assurer la gestion et l'entretien du parc de véhicules.
Le lancement de la Renault Twizy n’est que la première étape pour Azra qui annonce vouloir investir quelque 40 millions de dollars au cours des 18 prochains mois dans l’établissement d’un réseau de bornes de recharge de quelque 2 000 points de service. Ces bornes offrant de 7 kW à 50 kW peuvent desservir jusqu'à 4 utilisateurs simultanément et sont intégrés dans un affichage publicitaire lumineux de 9 pieds de hauteur.
« Dès demain, à Vancouver, il est possible de rouler en Twizy en zone urbaine. Pour les autres régions, il faudra attendre des changements de règlements provinciaux », a expliqué monsieur Carrière. Une situation confirmée par Jacques Daoust, ministre des Transports et de la Mobilité durable du Québec, qui a expliqué, en conférence de presse, « qu’il faudrait modifier les règles pour permettre aux Twizy de prendre la route, mais nous avons bon espoir que cela se fera rapidement ». Grand producteur d'hydroélectricité, le Québec vise ainsi la circulation en 2020 de 100 000 véhicules électriques et hybrides rechargeables sur ses routes. En janvier, la province francophone avait annoncé la création d'une coentreprise réunissant le groupe français PSA Peugeot Citroën, Exagon Motors et deux groupes québécois afin de développer et produire, à terme, des composants pour véhicules électriques.
Le minuscule véhicule biplace a d’abord été présenté par Renault en Europe en tant que la Twizy dont plus de
17 000 unités ont été vendues en quelques années. La Twizy sera d’ailleurs bientôt disponible au Canada. Le concept du biplace de Nissan a été présenté au Japon et aux États-Unis. Un petit projet-pilote de 10 de ces véhicules en location à San Francisco a même été lancé. Par contre, on ne sait pas quand Nissan commencera à vendre ces « Twizy-twin » une fois que le projet de recherche sera terminé. Le véhicule est muni d’une batterie LG Chem de 6,1 kWh avec autonomie d’environ 60km. Nissan a fait la démonstration de son biplace en marge du Salon de l’auto de New York la semaine dernière. Nissan veut ainsi se pencher sur la « mobilité de l’avenir » et « discuter des tendances émergentes qui transforment aujourd'hui la façon dont les individus se déplace, particulièrement en milieux urbains peuplés ». Source:Inside EVs Contributeur: Benoit Raymond
Renault Twizy bientôt disponible au Québec via AZRA Canada.
Suivez @TwizyCanada sur Twitter pour plus d'infos sur les modalités pour vous procurer ce véhicule! Lire l'article de Sébastien Templier dans La Presse [lien] Contribution : Martin Archambault
Renault a réussi à obtenir 23,6% des parts de marché du véhicule électrique en Europe en 2015 (25,2% si on inclut la Twizy) avec 23 086 unités vendues lors de la dernière année.
En d’autres termes, un VE sur cinq vendu en Europe en 2015 était une Renault Z.E. Source: Electric Car Reports Contributeur: Benoit Raymond Plus de 30 ans après avoir quitté l’Amérique du Nord, le constructeur automobile français Renault a la ferme intention de revenir sur le marché canadien. Et cela se fera par l’intermédiaire des voitures électriques, selon ce qu’a appris La Presse. Une révolution en soi dans l’industrie automobile. C’est par l’intermédiaire de son modèle Kangoo que la célèbre marque au losange esquisse un retour au Canada. Décliné principalement en deux versions, passagers et commerciale, ce véhicule familial de forme cubique et de taille moyenne a été lancé en 1997 en France. Renault espère pouvoir vendre au pays la version commerciale dotée de la motorisation 100 % électrique. Il y a deux semaines, Renault a confirmé sans tambour ni trompette qu’il distribuera au Canada, d’abord un petit véhicule urbain deux places en tandem appelé Twizy, vendu déjà à 15 000 exemplaires dans le monde. « Nous avons une vraie envie de revenir, nous a confié en entrevue Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault. […] On a de très bonnes discussions avec le gouvernement du Québec et du Canada sur la façon dont on peut contribuer à l’évolution du marché électrique. » « On est prêts à le faire à condition que les dérogations soient apportées. Ça, c’est du court terme, c’est facile à faire. Après, la deuxième étape va évidemment dépendre de l’évolution du marché. Mais notre envie est là. » — Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault Depuis avril dernier, le constructeur français fait des démarches auprès des gouvernements canadien et québécois afin d’obtenir la permission de faire circuler sur nos routes le Twizy et la version électrique du Kangoo. Depuis le départ de l’Amérique des constructeurs français à la fin des années 80, leurs véhicules ne sont pas assemblés selon les normes nord-américaines de sécurité et environnementales. Et n’y sont donc pas vendables. D’où la nécessité pour Renault et son Kangoo d’obtenir « une dispense » de conformité aux normes réglementaires, dans ce cas-ci canadiennes. Cette dispense peut être accordée pour une période « d’au plus deux ans pour un nombre déterminé, limité à 1000, de véhicules du même modèle », comme le stipule la Loi canadienne sur la sécurité automobile. L'IMPLICATION DE L'AVÉQ: Depuis 2013, l'AVÉQ est impliquée avec la promotion des véhicules électriques Renault au Québec pour faire connaitre ces produits au public, créer un intérêt et une demande dans un marché québécois où les manufacturiers européens restent frileux (Fiat, Mercedes, Volkswagen) et ultimement offrir aux consommateurs québécois un plus grand choix. Pour se faire, nous avons tenu un blogue sur la Zoé et Twizy et présenté leurs statistiques à Renault pour les convaincre. Nous les avons ensuite introduits au Réseau AZRA pour l'importation des véhicules au Canada, et nous les avons introduit à notre lobbyiste sur la Colline Parlementaire pour faire l'application d'une dérogation sur le Kangoo, et modifier certaines règles de Transport Canada sur les véhicules à basse vitesse comme le Twizy. L'AVÉQ, c'est plus qu'un site web. UNE ARRIVÉE EMBLÉMATIQUE Ce petit modèle électrique qu’est le Twizy et surtout le plus grand, le Kangoo, représentent une arrivée très significative et emblématique. Jamais un véhicule de passagers de marque française n’avait traversé l’Atlantique depuis les derniers modèles Peugeot vendus en 1991. Il y a chez Renault une volonté claire de vendre des véhicules au Canada. « Oui, il y a une volonté bien sûr, confirme Vincent Carré. C’est pour ça qu’on amène d’abord le Twizy. C’est pour commencer à expérimenter ce marché, pour accélérer aussi le développement de l’électrique et contribuer à ce que l’électrique se développe au Canada. Effectivement, si le marché canadien de l’électrique se développe, nous avons une volonté forte d’y vendre des voitures. » Le premier constructeur français a bon espoir d’avoir une réponse positive des gouvernements canadien et québécois dans quelques mois. « On n’a pas le potentiel volume aujourd’hui chez Renault pour des véhicules électriques comme le Kangoo pour réaliser une adaptation aux normes du marché canadien, précise Vincent Carré. Il faut d’abord que le marché démarre avant qu’on puisse le faire. Nous soumettons une application au gouvernement canadien pour que ce véhicule puisse être vendu sous normes européennes […] de manière à pouvoir apporter très vite des voitures sur le marché sans faire de développement coûteux qui n’apporterait pas grand-chose. » Ce qui signifie que si le potentiel du marché des voitures électriques se confirme et qu’il faut alors à Renault produire en plus grand volume, le constructeur adaptera ses prochains véhicules aux normes canadiennes et américaines. « Il va falloir encore quatre ou cinq ans avant que les volumes soient suffisants pour valider les investissements industriels et modifier les produits, ajoute M. Carré. L’objectif est que les prochaines générations des voitures électriques soient aussi compatibles avec les normes canadiennes. » « C’est dans cet esprit-là qu’on demande la dérogation, pour pouvoir amener ensuite, au-delà des 1000 premières voitures, des véhicules qui seront compatibles avec les normes canadiennes. » — Vincent Carré, directeur commercial pour les véhicules électriques du Groupe Renault Source : La Presse + / Sébastien Templier Contribution : Richard Lemelin, directeur régional - Capitale Nationale LA VOITURE ÉLECTRIQUE AVANT TOUT Il est difficile d’imaginer Renault faire machine arrière à ce stade-ci de ses démarches. Et si jamais les premiers modèles de Kangoo et de Twizy livrés au pays ne convainquent pas le public, Renault n’a pas l’intention de repartir sans laisser ici une structure. Au contraire, comme nous le dit Vincent Carré : « De toute façon, si on vient, c’est avec un réseau capable d’entretenir dans la durée avec une garantie, un réseau d’après-vente qui est capable d’entretenir ces produits. Il n’est pas question qu’on laisse des clients sans une solution. » Le directeur commercial de Renault ne veut pas pour autant parler officiellement de retour de Renault en Amérique. « Un retour, c’est quand on amènera toutes nos voitures, une gamme complète, dit-il. Là on est vraiment concentré sur la voiture électrique, parce que c’est notre savoir-faire, notre compétence. On essaie d’exploiter cette opportunité-là. Ce qui est aussi pour nous une occasion de redécouvrir le marché canadien. » Pourtant, quand on en est rendu à ce point dans l’introduction de deux modèles dans un nouveau marché, il est difficile de nier la réalité. « Si on vient avec ce Kangoo électrique et si on a cette dérogation du gouvernement, c’est pour faire d’autres choses derrière, c’est évident », lâche Vincent Carré. Pour les amateurs de belles voitures, la rue Peel à Montréal est un rendez-vous à ne pas manquer lors du weekend de la Formule-1 pour voir de rutilantes bagnoles exotiques, et même des véhicules électriques!
En effet, BMW Laval présente sa BMW i3 et leur véhicule phare l'extraordinaire i8, alors que Réseau AZRA attire autant les regards avec la surprenante Twizy de Renault! Il est déjà possible de faire la réservation de ce petit véhicule citadin au twizy@reseauazra.com - les précommandes démontrent déjà un bel intérêt du public! Bien entendu, Tesla Montréal est là pour exposer ses voitures et charmer les consommateurs à sauter à bord du futur avec sa Model S. De plus, il est rafraichissant de constater que nos entreprises québécoises sont présentes:
On souhaite que les rues Peel et Crescent retrouvent cette même effervescence lors d'une future course de Formule-E à Montréal, possiblement à l'automne 2016!! Croisons-nous les doigts!
En tant que bon citoyen corporatif, Réseau AZRA encourage les compagnies à poser des gestes pour un meilleur environnement, en offrant des borne de recharge en millieu de travail en collaboration avec le ministère des ressources naturelles (MÉRN) dont le programme "Branché au travail" rembourse jusqu'à 75% de l’achat et l’installation de ces infrastructures. Jusqu'à présent, Réseau AZRA a contribué à cet essor avec plus de 600 bornes au travail vendues et plus de 235 installées en 4 mois. Réseau AZRA croit pertinement qu’une borne au travail et une Twizy vont de pair, et que chaque case de stationnement réservée pour un VE équivaut à une diminution importante des GES pour une planète en santé. De dire le PDG du Réseau AZRA, Jean-François Carrière:«C'est avec fierté que l’équipe d'AZRA mettra tous les efforts et le meilleur service possible afin de vous faire revivre des aventures en Renault mais en 100% électrique et ce dans les grandes villes du Canada tout en sauvant des GES. Nous croyons aux véhicules électriques car l’avenir de notre planète passe par l’électrification des transports. ENSEMBLE, provoquons le changement» Le prix officiel sera dévoilé plus tard (autour de 17,000$ avant les incitatifs gouvernementaux), mais on peut déjà se placer sur une liste d'attente pour l'achat d'une Twizy en contactant l'équipe des ventes chez Réseau AZRA. Lors de l'événement annuel "Journée électromobile Ile-des-Soeurs" aujourd'hui, les représentants de Renault France Thierry Bataille et le directeur VÉ Eric Feunteun étaient présents afin de présenter l'importateur officiel de ses véhicules électriques au Canada. Renault a arrêté son choix sur Réseau AZRA, une compagnie que la communauté VÉ connait bien depuis l'introduction de son réseau de bornes rapides dans ses haltes routières. Avec son réseau de bornes de recharge pour véhicules électriques, Réseau AZRA s’est donné comme mission première d’être au service de la population afin de faire diminuer les émissions de gaz à effet de serre avec une solution complète. À noter que Renault n'a pas l'intention d'offrir ses véhicules à essence, mais uniquement ses véhicules électriques, à commencer avec la Twizy 40 qui est en court d'homologation, une version bridée du Twizy 80 (80 km/h) qui est la prochaine étape d'offre 100% électrique. Le Kangoo est en cours de discussion avec Transport Canada pour être offert au Canada, mais la Zoé ne sera pas introduite puisqu'elle ne passerait pas les tests d'impact latéraux - par contre, il semblerait que la Zoé v2.0 présentement en développement est conçue pour être un produit répondant aux exigences européennes ET nord-américaines. Quoi de mieux qu’une ancienne station-service dessinée par Ludwig Mies van der Rohe convertie en magnifique centre intergénérationnel pour organiser un événement sur les transports de l’avenir? C'est en effet le lieu de l'événement qui aura lieu ce samedi à l'Ile-des-Soeurs de 9h à 17h, arrondissement Verdun. Cet événement gratuit ouvert au public de tous âges se déroule en trois phases :
L'AVÉQ sera présente pour promouvoir ses différents partenaires et sensibiliser les participants aux avantages de rouler électrique.Twizy, le bi-place 100 % électrique de Renault est désormais accessible aux abonnés du service Bluely, de la ville de Lyon en France. L’intégration de Renault Twizy dans le réseau d’auto-partage du groupe Bolloré, en plus des Bluecar, permet d’étendre les usages possibles pour les clients. Actuellement, plus de 30 Renault Twizy intègrent la flotte d’auto-partage Bluely. Il s’agit du premier résultat concret de la coentreprise créée en 2014 entre les groupes Renault et Bolloré. D’ici fin 2015, 110 Renault Twizy feront partie des flottes Bluely (Lyon) et Bluecub (Bordeaux). Renault Twizy, un véhicule adapté à l’auto-partage Renault Twizy enrichit l’offre d’auto-partage Bluely : c’est un véhicule électrique 2 places, ludique et maniable, car ultra compact (2,3 m de long pour 1,24 m de large). Il permet d’étendre les usages possibles pour les abonnés du service. Renault Twizy : les chiffres
Au Québec Le quadricycle de Renault, présenté ce printemps au Salon International de l'auto de Québec (SIAQ), n'a pas encore de partenaire distributeur officiel au Québec. Rappelons également que la SAAQ doit créer une nouvelle classe de véhicule pour permettre au quadricycle de circuler sur nos voies publiques. La quadricycle sera-t-il proposé par la coentreprise pour l'appel d'intérêt à venir pour l'offre de véhicules en libre service (VLS) de Montréal en 2016? C'est à suivre. Nissan mettra bientôt à l’essai un nouveau véhicule base sur le châssis de la Renault Twizy. L’essai du véhicule se fera dans le cadre d’un programme d’autopartage à Yokohama au Japon. Le programme pilote devrait commencer en avril et durer un an. Ce programme – le Ultra Compact Mobility Certification System – fait partie d’un projet de plus grande envergure afin de revitaliser les milieux urbains. Nissan sera accompagné par Urban Renaissance, un office du logement au Japon pour ce projet. Les citoyens de Yokohama pourront tout simplement embarquer dans un de ces véhicules le plus près et conduire jusqu’à leur destination. Comparativement à la Smart for Two, le véhicule de Nissan est un pied plus court, soit environ la longueur d’une bicyclette. Trouver un stationnement, même dans les villes populeuses du Japon, devrait donc être facile. Source : Cleantechnica Originalement accessible qu'au conducteurs de 16 ans et plus, une directive de l'Union Européenne (UE) prévoit l’harmonisation des permis de conduire sur le territoire européen, à partir de la nouvelle réglementation Française au sujet des quadricycles légers. En France, un brevet de sécurité routière (BSR), lequel correspond à la catégorie AM du permis de conduire permet de conduire des cyclomoteurs de 50 cm³ maximum ou des quadricycles légers n’excédant pas une cylindrée de 50cm³ ou une puissance électrique de 4kW, dès l'âge de 14 ans. Au Québec Le quadricycle, récemment présenté par Renault au Salon International de l'Auto de Québec (SIAQ) a été homologué par Transport Canada. La Société de l'Assurance Automobile du Québec devra créer une catégorie spécifique pour quadricycle. Nous avons contacté la SAAQ pour connaitre les futures conditions pour conduire le quadricycle : "À la suite d’un projet pilote qui s’est déroulé sur 5 ans afin de recueillir de l’information sur les VBV, un arrêté ministériel a été publié pour permettre aux véhicules ayant participé au projet pilote de continuer de circuler d’ici à ce que soit modifié le Code de la sécurité routière afin d’encadrer la circulation de ces véhicules." "Le gouvernement travaille présentement à l’élaboration d’un nouvel encadrement juridique en vue de permettre aux VBV de circuler sur certains chemins publics du Québec. Un accent sera mis sur la sécurité des occupants comme sur celle des autres usagers de la route, toutefois, nous ne sommes pas en mesure, pour le moment, de donner plus de détails sur les conditions qui s’appliqueront pour l’utilisation de ce type de véhicule ou sur l’échéancier de réalisation de ce nouvel encadrement." Mars 2012, la Renault Twizy fait irruption dans le marché de la voiture électrique.
Les ventes ont été initialement stellaires (plus de 9000 vendus en 2012), mais ont chuté de façon spectaculaire (3000 en 2013 et environ 2000 en 2014) depuis l'introduction du véhicule. Bien que largement disponible, Twizy souffre d'être classé comme un quadricycle, mais portant une étiquette de prix qu'il la met sur le territoire des vraies voitures. Mais encore, Twizy est une voiture électrique amusante qui pourrait bien être fait son chemin en Amérique du Nord bientôt. Ainsi, alors que nous attendons son arrivée, nous allons passer le temps en célébrant les 3 ans de la Twizy! Ceux qui seraient intéressés d'essayer le véhicule pourraient le faire lors des journées Branchez-vous (branchezvous.org) qui se tiendront sur le circuit Gilles-Villeneuve, à Montréal, les samedi 18 et dimanche 19 avril prochain. Selon Mme Desbrosse, Renault devrait apporter un exemplaire du Twizy à cet événement où des essais gratuits de VE peuvent être faits.
Bien qu'aucun distributeur canadien ne soit encore dévoilé, le constructeur français Renault a bon espoir que le quadricycle électrique Twizy soit homologué par Transports Canada d'ici le mois de mai. C'est à tout le moins l'information obtenue par Le Soleil de la part d'Emmanuelle Desbrosse, directrice générale au développement des véhicules électriques (VE) chez Renault. «Ce sera plus facile dans le cas du Twizy 45, limité à 45km/h, mais pouvant être descendu à 40 km/h, de répondre aux normes canadiennes des véhicules à basse vitesse [VBV]. Mais dans le cas du Twizy 80 [limité à 80 km/h], ce sera plus complexe», ajoute-t-elle. Selon la réglementation québécoise sur les VBV, ceux-ci ne peuvent pas emprunter les routes dont la vitesse maximale dépasse 50 km/h. En ce qui concerne l'éventuel distributeur, Mme Desbrosse souligne que six candidatures sont présentement à l'étude. Évidemment, l'annonce du choix de Renault sera faite après que le véhicule soit homologué. Sans nécessairement l'écarter, Nissan - qui fait partie de l'Alliance Renault-Nissan - ne semble pas être le choix numéro un. «C'est une option, mais nous souhaitons faire affaire avec un distributeur passionné et dédié au modèle et à la marque», a déclaré Vincent Carré, directeur commercial pour les VE chez Renault. La venue du Renault Twizy au 34e Salon international de l'auto de Québec constituait une première nord-américaine - même si le constructeur marchait sur des oeufs et affirmait qu'il s'agissait d'une «première canadienne». Les véhicules Renault ne sont plus distribués ici depuis plus de 25 ans. Il n'est pas possible de connaître le prix de vente du Twizy au Québec. Cependant, M. Carré a indiqué que Renault imagine un prix cible autour de 15 000 $. «Mais ce sera à déterminer avec notre éventuel partenaire», précise-t-il. Ce véhicule serait aussi éligible à une subvention de 1000 $ du gouvernement du Québec, selon M.Carré. Le Renault Twizy est un «véhicule emblématique et l'icône du VE chez Renault», selon M. Carré. Il a été conçu par la filiale Renault Sport afin d'offrir «une manière différente de se déplacer en ville». Ce véhicule biplace en tandem propose une ceinture de sécurité à quatre points pour le conducteur et une à trois points pour le passager. Selon Renault, le Twizy a une autonomie de 70 à 100 kilomètres et est rechargeable sur une borne publique de 240 volts en trois heures. Le constructeur en a vendu plus de 15 000 exemplaires dans 40 pays. «Véhicule intéressant» Jonatan Julien, vice-président du Conseil exécutif de la Ville de Québec, a semblé avoir apprécié l'expérience du Twizy, après l'avoir essayé deux tours plutôt qu'un. Il avait précédé le ministre Sam Hamad lors de l'ouverture officielle du Salon de l'auto de Québec. Il a été toutefois discret sur une possible application du véhicule dans les rues de Québec. «Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il s'agit d'un véhicule intéressant», affirme celui qui a remplacé le maire Régis Labeaume mardi dernier. «Pour le moment, je ne vois pas quelle application on pourrait donner à ce véhicule dans nos services», a-t-il dit sans toutefois fermer la porte à d'éventuelles idées. Maya Vautier, attachée de presse pour Renault, a fait part de l'accueil des gens de Québec au sujet du Twizy. «Beaucoup de monde voulait se mettre à son volant et les plus vieux nous ont dit être heureux de revoir "le losange" au Québec», a-t-elle écrit par courriel au Soleil. «Les questions les plus fréquentes sont bien sûr son prix, sa date de disponibilité et la recharge. «On a même un monsieur qui nous a laissé sa carte d'affaires, car il souhaite acheter le premier Twizy qui sera vendu au Canada», conclut-elle. Les clients potentiels de Renault pour ce véhicule de proximité trois saisons sont notamment les entreprises, les firmes d'autopartage et les particuliers qui s'en serviraient pour faire de petits déplacements. Le Twizy peut aussi servir de véhicule pour les touristes en ville ou pour effectuer des patrouilles. Notes d'intérêt
Source: Le Soleil Une délégation de 5 représentants de l'AVÉQ était présents au SIAQ en ce lundi 2 mars 2015 : Simon-Pierre Rioux - Pierre Langlois - Dany Labrecque - Yvon Bergeron - Richard Lemelin Voici les présentations principales sur vidéo, avec une mention spéciale sur la présentation du Circuit Électrique où le PDG d'AddÉnergie, Louis Tremblay, fait allusion à la persistance de l'AVÉQ sur le dossier des BRCC, et lors de la présentation de Renault pour les remerciements à notre association. Source: Forums AVÉQ - Richard Lemelin Ça y est, la première Renault Twizy en sol québécois est apparue avec une bouille fort sympathique pour charmer les chroniqueurs et journalistes présents lors de la journée média du SIAQ. Le tapis rouge fut déroulé pour le petit quadricycle entièrement électrique, alors que quatre employés de Renault étaient sur place afin de présenter le premier véhicule de la gamme ZE qui pourrait être disponible au Québec prochainement. L'homologation fédérale avec Transport Canada étant complétée pour Twizy45, il s'agit maintenant de présenter le véhicule à la SAAQ pour une vérification finale avant de créer une catégorie spécifique pour quadricycle dans la province. En ce qui concerne Twizy80, il n'y a aucune catégorie qui existe présentement pour l'accepter. Renault est donc en pourparlers avec Transport Canada pour faire accepter cette nouvelle catégorie de véhicule sans qu'il soit classifié comme voiture, puisqu'il ne passerait pas les tests de collision pour voiture. Ce véhicule est très sécuritaire, ayant passé des crash tests en Europe malgré le fait qu'il n'était pas obligatoire de le faire, possédant un sac gonflable pour le conducteur ainsi qu'une ceinture de sécurité à 4 points (et à 3 points pour le passager). La technologie de sécurité est de haut niveau, profitant de l'expérience des ingénieurs de Renault Sport qui furent responsables du projet Twizy. On peut donc s'attendre à voir la Twizy sur nos routes vers la fin de l'été, l'homologation étant plus longue que prévue. Le prix n'est pas encore annoncé. Avec un conducteur de 6'3" / 1m92 à bord, il y a amplement d'espace pour la tête, alors que comme passager, c'est juste pour la tête mais surprenant comme espace pour les jambes, avec une excellente visibilité permettant d'apprécier le paysage. Vraiment surprenant. Renault a remercié ses partenaires québécois qui ont permis la venue de Twizy au Québec: CAA-Quebec, PosImage, l'Institut du Véhicule Innovant (anciennement CNTA et ITAQ qui sont officiellement fusionnés), le Salon de l'auto de Québec, et bien entendu votre association, l'AVEQ, qui travaille avec Renault depuis plus d'un an pour les intéresser à offrir leurs VÉ ici et en servant d'intermédiaire avec différents partenaires.
Cette année, le Salon international de l'auto de Québec a le plaisir d'inviter le constructeur français Renault pour présenter en grande primeur Canadienne l'arrivée prochaine de son biplace électrique Twizy. Afin de frapper fort, Renault affiche même le véhicule aux couleurs du Québec. Le travail a été réalisé par Posimage, une entreprise de la région.
Afin d'aider le constructeur à présenter le Twizy au Salon, CAA-Québec a joué le rôle de facilitateur. L'organisme a fourni des informations essentielles à Renault et l'a mis en contact avec différents intervenants impliqués dans ce projet. Plusieurs se souviennent de la Renault 5, de la Renault Alliance et de la Renault Encore du début des années 1980. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'avec l'arrivée du Twizy, Renault promet de faire jaser. L'électrification des véhicules et les produits compétitifs du fabricant offerts ailleurs dans le monde le placent désormais en bonne position pour affronter le marché québécois et, pourquoi pas, canadien. Motorisation Le Twizy est un véhicule particulier et original. Il se décline en deux versions; le Twizy 40 et le Twizy 80. Les deux versions entièrement électriques peuvent accueillir deux passagers positionės en tandem, c'est-à-dire l'un derrière l'autre, ou encore une seule personne avec de l'espace de chargement. Les portes s'ouvrent en ciseaux. Comme son nom l'indique, le Twizy 40 peut atteindre une vitesse maximale de 40 km/h. Il sagit d'un véhicule à basse vitesse selon la réglernentation de l'Assurance automobile du Québec. Le Twizy 40 est en cours d'homologation. Pour sa part, le Twizy peut atteindre 80 km/h. Ce dernier sera homologué un peu plus tard, car Transport Canada doit créer une autre catégorie de véhicule pour l'accueillir sur nos routes. Le véhicule est équipé d'une batterie de 52 volts nominal, ce qui permet une autonomie d'environ 100 km. Pour charger le véhicule, il faut compter environ 3 h 30 sur une prise de 240 volts. Le véhicule est garanti 2 ans/50,000 km, alors que la batterie l'est pour 3 ans/50,000 km. Caractéristiques Côté sécurité, le Twizy est équipé d'un châssis tubulaire protégeant des chocs, de quatre freins à disque et, pour le conducteur, d'un coussin gonflable ainsi que d'une ceinture quatre points. Fait à savoir, en Europe, ce véhicule peut être conduit dès l'âge de 16 ans, et ce, sans permis. Petit bémol, le Twizy est considéré comme étant un véhicule trois saisons. Il est toutefois possible d'ajouter en option un parebrise chauffant et des chauffe-jambes. Avis aux personnes un peu plus téméraires! L'importateur n'est pas encore connu, mais devrait l'être sous peu. Le prix de vente et l'entretien seront alors gérés par ce dernier, mais le Twizy devrait être le véhicule électrique le moins cher offert sur le marché, sans compter qu'il sera admissible au rabais gouvernemental de 1000$. Le Twizy est offert en Europe depuis 2012 et environ 14,000 exemplaires ont été vendus. Renault espère être en mesure de vendre le Twizy au Québec ce printemps, ou d'ici la fin de l'année 2015. Un dossier à suivre. Source: Autonet La venue d'une Renault Twizy, un véhicule de proximité tout-électrique déjà commercialisé en Europe, annonce un possible retour de la marque française au Québec. Déjà, cette venue au 34e Salon international de l'auto de Québec constitue une première nord-américaine, car les Renault ne sont plus distribuées ici depuis plus de 25 ans. Selon les informations obtenues par Le Soleil auprès de CAA-Québec, Renault est à la recherche d'un distributeur québécois pour vendre ses véhicules électriques ici. Sans vouloir en dire davantage, Renault confirme en quelque sorte sa volonté de percer le marché québécois dans le créneau du véhicule électrique (VE) à basse vitesse. «Au départ, le constructeur souhaitait importer le fourgon Kangoo, mais il n'est pas homologué ici», confie Daniel Bédard, directeur adjoint aux services-conseils automobiles chez CAA-Québec. «Si le Kangoo vient ici, il faudra attendre que la refonte du modèle soit faite, mais pas avant quatre ou cinq ans.» «S'inscrivant dans la stratégie d'électrification des transports annoncée par le gouvernement québécois qui vise à faire du Québec un leader mondial des transports électriques, Renault saisit cette opportunité pour proposer Twizy sur le marché canadien et apporter ainsi une réponse aux nombreuses demandes», a écrit par courriel Emmanuelle Desbrosse, directrice générale au développement des VE chez Renault. Par ailleurs, Mme Desbrosse sera présente à l'ouverture du Salon. L'AVÉQ impliquée avec Renault depuis le début de 2014. [Cliquez les petites photos pour agrandir]Deux versions La Twizy est un quadricycle 100 % électrique, homologable au Canada selon les normes des véhicules à basse vitesse. Selon Mme Desbrosse, le véhicule est en cours d'homologation auprès de Transports Canada et de la Société de l'assurance automobile du Québec. Le constructeur a vendu plus de 14 000 exemplaires dans 40 pays. Deux versions seraient offertes : une limitée à 45 km/h et l'autre à 80 km/h. Deux configurations seraient aussi proposées : avec coffre pour les microlivraisons urbaines et une autre à deux places pour les besoins de mobilité des citadins. Selon Renault, la Twizy a une autonomie de 70 kilomètres et est rechargeable sur une borne publique de 240 volts en trois heures. Il n'est pas possible de connaître le prix de vente de la Twizy au Québec, mais ce véhicule serait éligible à une subvention de 1000 $ du gouvernement du Québec, selon Renault. Ce véhicule de proximité trois saisons pourrait être idéal pour les entreprises ayant de grandes étendues, pour l'autopartage, pour faire de petits déplacements, comme véhicule pour touristes en ville ou pour des patrouilles. «En Italie, où on est féru de café, un carrossier a transformé une Twizy Cargo [à une place] en une machine à café sur roues pour faire la tournée des chantiers. Comme les cantines mobiles ici», illustre Olivier Ourseau, agent d'information chez CAA-Québec, qui a déjà travaillé chez Renault sur le prototype de la Twizy. Le Centre National de Transport Avancé (CNTA) fut aussi impliqué dans l'adaptation de la Twizy aux normes nord-américaines, en offrant un support à Renault pour l'intégration d'un port J1772 à l'avant de la Twizy. Source: Le Soleil |
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