Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes.
Contribution: André H. Martel
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Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes québécois.
Contribution: André H. Martel
Avec le soutien de la campagne Roulons électrique, l'Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ) propose une série de webinaires sous forme de kiosque d'information virtuel. La pandémie COVID-19 a mené à l'annulation des événements d'information habituellement proposés au printemps et à l'été par nos équipes de bénévoles. Cette série de webinaires permettra au public d'avoir accès - à distance - à l'expertise de nos électromobilistes bénévoles.
Le premier kiosque virtuel AVEQ aura lieu le mardi 1er septembre 2020 de 20 h à 21 h. Ce panel est composé d'électromobilistes de Laval, de Montréal et de la Montérégie Leurs voitures électriques actuelles sont les suivantes : - Chevrolet Bolt EV - Hyundai Kona électrique - Jaguar I-Pace - Nissan LEAF - Tesla Model 3 - VW e-Golf. Cette activité virtuelle est gratuite. Les sujets couverts dépendront des questions du public. Le kiosque virtuel se déroule sur la plateforme ZOOM : Inscrivez-vous pour obtenir le lien de participation. Visitez le kiosque virtuel AVEQ! Que vous soyez à la recherche d'information sur la recharge, les batteries, l'entretien, les subventions, les différents modèles de voitures électriques ou autres choses... Venez poser vos questions ou venez écouter les questions des autres participants et les réponses de nos bénévoles.
PANÉLISTES du kiosque virtuel AVEQ - 1er septembre 2020 :
Plusieurs de nos panélistes ont déjà fait de longs déplacements en voiture électrique : en été, en hiver, au Québec, aux États-Unis. Certains ont des accessoires de transport pour les vélos ou les skis.
Polestar devient le deuxième constructeur automobile exclusivement électrique à s’établir au Canada13/8/2020
Des boutiques à Toronto, Montréal et Vancouver positionnent favorablement Polestar sur le marché des véhicules électriques canadien.
Polestar est sur le point de devenir le deuxième fabricant de véhicules uniquement électriques à s’établir au Canada. Basée en Suède, la société a récemment annoncé des partenariats avec le groupe Grand Touring Automobiles, un détaillant de véhicules de luxe, et GAIN Group, un représentant de véhicules basé en Colombie-Britannique, pour ouvrir des points de vente au détail au Canada. Les points de vente, appelés Polestar Spaces , seront situés à Montréal, Toronto et Vancouver. Il y aura également deux centres de service Polestar, un à Victoria en Colombie Britannique et l'autre à Waterloo, en Ontario. «95% des propriétaires et des détenteurs de réservation canadiens de Polestar vivront dans un rayon de 240 kilomètres de ces espaces de vente au détail Polestar», déclare Hugues Bissonnette, directeur de Polestar Canada. «Grâce à cette couverture et aux deux centres de service supplémentaires, nous sommes convaincus que le marché canadien sera bien soutenu dès le premier jour. Fondée en 2017, Polestar propose actuellement deux véhicules: le Polestar 1, un hybride haut de gamme en édition limitée, et le Polestar 2, un véhicule entièrement électrique au même prix que le Model 3 de Tesla, le seul fabricant 100% VÉ présent au Canada (11 magasins Tesla, plus deux nouveaux à venir). La venue sur le marché de Polestar, qui appartient conjointement à Volvo Car Group et à sa société mère chinoise Geely, est une bonne décision à la fois pour l'entreprise et pour l'ensemble de l'industrie des véhicules électriques, déclare Robert Karwel, directeur principal, Power Information Network Canada, chez JD Power et Associés . «Les performances actuelles des VÉ au Canada, d'après ce que nous en estimons, semblent confirmer que les Canadiens sont prêts à acheter des VÉ de luxe et à renoncer jusqu'à un certain point au modèle de vente traditionnel,», déclare Karwel, dans une entrevue par courriel avec Electric Autonomy Canada . Bien que cet ajout ne devrait pas créer un changement radical de notre industrie du jour au lendemain», ajoute-t-il, il permettra à Polestar d'être à l'avant-garde de ce changement. «Aujourd’hui, ils semblent prêts à développer leur marché en réalisant des investissements tout en revendiquant leur place sur le marché canadien», dit Karwel. «Je pense que l'amalgame de la technologie de VÉ et de la technologie hybride démontre que l'industrie ne passera pas au tout électrique du jour au lendemain, mais se fera plutôt de façon évolutive et Polestar semble refléter cette réalité. Alors que Polestar privilégie un modèle de vente au détail numérique, la compagnie confirme que ses boutiques (Spaces) emploieront des conseillers non commissionnés pour informer les clients sur les produits et pour aider les acheteurs potentiels à faire des essais sur routes. Les véhicules Polestar seront disponibles à l'achat dans tout le pays. La société offrira une option de livraison à domicile et de service pour ceux qui vivent à 250 kilomètres d'un point de vente ou d'un centre de service. Pour ceux qui sont plus éloignés, l'entreprise dit qu'elle élaborera un plan pour livrer le véhicule aux propriétaires. Electric Autonomy
Contribution: André H. Martel
L’Explosion de la Kona Electric de Hyundai: la batterie haute tension a subi le plus de dommages24/6/2020
On connait la source du problème, mais Transports Canada confirme que la cause fait toujours l'objet d'une enquête.
Cela fera un an le 26 juillet 2019 que Piero Cosentino a entendu une explosion dans sa résidence . Sa Kona Electric était en feu et sa porte de garage était de l'autre côté de la rue. Nous attendions des réponses sur la cause de cet incendie, et nous avons enfin des nouvelles. Les enquêtes ne sont toujours pas terminées, mais Transports Canada nous a dit que «le secteur de la batterie a subi le plus de dommages». Il s’agit d’une information partielle mais qui ne répond pas aux questions que nous nous posons. Transports Canada est le service chargé de la règlementation et des politiques pour tous les types de moyens de transport au Canada. Nous avons pu rejoindre des représentants du ministère grâce au service des relations publiques de Montréal, qui a confirmé que les enquêtes étaient sous la responsabilité de ce ministère. Hyundai nous a également confirmé que le ministère était effectivement chargé de l’enquête. L'équipe des relations publiques de Transports Canada a été rapide à nous répondre Selon le ministère, la cause exacte de l'incendie du véhicule n'a pu être déterminée en raison de l'ampleur des dégâts. «Les incendies de véhicules sont difficiles à enquêter, car les dégâts importants causés par le feu laissent souvent peu de preuves à examiner, et l'analyse de ces preuves doit être effectuée avec soin.»
Quoi qu'il en soit, il est clair que le feu a commencé dans «la zone de la batterie haute tension». Mais quel en était la cause? C'est ce que Transports Canada s'est engagé à découvrir.
«L'enquête reste ouverte, on est actuellement à évaluer la mise à jour du système de surveillance de la batterie du véhicule par le fabricant pour déterminer s'il y aurait eu une corrélation avec la mise à jour du système de prévention de la gestion thermique de la batterie et l’évènement; on continue de surveiller et d’analyser tout autre rapport d'incendie dans un véhicule électrique similaire, y compris les incidents survenus en Corée du Sud. » Il se peut que Transports Canada veuille s'assurer que la mise à jour du BMS (Battery Management System) effectuée par Hyundai ne soit pas une façon de masquer un problème avec la batterie. Une action en justice aux États-Unis accuse Tesla de vouloir masquer un problème avec les mises à jour logicielles 2019.16.1 ou 2019.16.2 pour le Model S et X . Ces mises à jour ont plafonné la tension de la batterie. Tesla n'a pas expliqué pourquoi cela était nécessaire.
Hyundai n'a affiché aucune sorte de défaillance qui exigerait un rappel. Il pourrait s'agir d'un cas isolé, mais un nouvel incendie s'est produit le 29 mai dernier à Daegu, en Corée du Sud . Lors de cet incident, la Kona Electric était en mode recharge.
Transports Canada confirme que le Kona Electric de Cosentino n'était pas en mode recharge, conformément à la déposition de son propriétaire. La voiture a pris feu et a explosé. Ce client canadien avait probablement une assurance pour couvrir les dommages sur sa voiture et sa maison, mais cela ne résout pas le problème. Si un défaut de la voiture a causé l’explosion, Hyundai devrait compenser monsieur Cosentino pour tous les dommages et problèmes.
Lorsque Hyundai nous a informé de la mise à jour du BMS, elle a également confirmé qu'elle coopérait pleinement avec Transports Canada. La société a également déclaré qu'elle prendrait rapidement toute autre mesure nécessaire et que les détails de l'indemnisation potentielle de Hyundai seront réglés à la fin de l'enquête.
Le constructeur automobile et Transports Canada nous ont dit qu'ils nous tiendraient au courant dès qu'il y aura des nouvelles. À suivre. Un reportage de Gustavo Henrique Ruffo INSIDEEVs
Contribution: André H. Martel
Taïga Motors, un fabricant québécois de véhicules récréatifs électriques, a mérité un symbole internationalement reconnu concernant la qualité de ses produits et de son savoir-faire: le prix d’excellence Red Dot.
Plus tôt cette semaine, la société a annoncé qu'elle avait remporté le Red Dot Award: Product Design 2020 pour l’Orca, une motomarine de type jet-ski, qui a été dévoilée en septembre dernier.
«Les lauréats du Red Dot Award ont prouvé qu'ils ont créé d'excellents produits dignes de remporter un prix. Les produits ont conquis le jury non seulement par leur esthétique, mais aussi grâce à leur fonctionnalité incomparable », a déclaré, dans un communiqué de presse, Peter Zec, fondateur et PDG de Red Dot. «grâce à leurs concepts, les lauréats établissent de nouvelles normes dans leur domaine.» Des milliers de produits sont considérés Plus de 6 500 produits venant d’entreprises de 60 pays différents ont été évalués pour déterminer le gagnant du prix Red Dot. Les Red Dot Awards sont décernés depuis 1955 dans trois catégories: la conception du produit, ainsi que le produit fini et le mode de communication.
La motomarine toute électrique : Le Orca de Taïga
«Je ne pouvais pas être plus fier de l'équipe derrière Orca et je remercie Red Dot d'avoir reconnu les grands efforts qui ont été consacrés à une approche nouvelle et unique différente des concepts traditionnels des motomarines», a déclaré le directeur général de la Taïga, Samuel Bruneau.
Conçu pour usage personnel, l'Orca a été développé pour limiter l'impact environnemental que les véhicules de loisirs aquatiques ont souvent. Comme Electric Autonomy l'a indiqué après l'introduction du véhicule en 2019, Taïga voulait rencontrer les attentes et augmenter davantage l'intérêt des acheteurs pour un environnement propre, techniquement avancé et avoir un impact positif sur le marché mondial des sports motorisés de plus de 10 milliards de dollars américains». Véhicule zéro émission, l'Orca est équipé de nombreuses fonctionnalités différentes, notamment une coque et un pont supérieur en fibre de carbone, un siège flottant, un GPS intégré et une connexion Wi-Fi. Il fonctionne également sur une batterie lithium-ion avec une tension standard de 400 volts et peut être rechargé sur des bornes de recharge pour automobiles, atteignant 80% d’autonomie en 20 minutes. Taïga n'a pas encore annoncé de date à laquelle elle commencera à expédier ses Orca, mais les plans prévoient que les premières unités de production quitteront la chaîne de montage cette année. Le 22 juin, la compagnie Taïga aura une autre raison de célébrer; l'Orca fera partie de l'exposition Design on Stage au Red Dot Design Museum à Essen et d'une exposition virtuelle en ligne. Electric Autonomy
Contribution: André H. Martel
La plus grande ville du Canada a approuvé un plan pour atteindre 100% d'émissions zéro pour les véhicules privés d'ici 2050, grâce à l'expansion des réseaux de recharge publics, des incitatifs financiers, des mises à jour du code du bâtiment et plus encore.
Le conseil municipal de Toronto a voté jeudi dernier pour adopter une stratégie globale d'intégration des véhicules électriques dans le tissu urbain. La stratégie, préparée par Dunsky Consulting, a défini 10 actions clés que la ville doit prendre pour atteindre l’objectif 100% des véhicules légers de la ville zéro émission d'ici 2050.
«C'est une décision très importante pour Toronto, parce que les émissions des transports ont un impact énorme sur notre profil d'émissions de gaz à effet de serre dans la ville», a déclaré le conseiller Brad Bradford. «C'est la direction que nous souhaitons prendre pour relever ce défi.» Selon le rapport, l'adoption de ces règlements concernant les véhicules électriques permettra à la ville de réduire les émissions de gaz à effet de serre causés par les voitures qui représentaient 30% de toutes les émissions en 2017 et d'améliorer la santé des résidents. Il renforcera également son économie locale, car les résidents épargneront de l’argent en raison du coût relativement faible de l'alimentation et de l'entretien des véhicules électriques. Les objectifs intermédiaires d’ici 2050 incluent l’immatriculation de 5% des véhicules électriques d'ici 2025, 20% d'ici 2030 et 80% d'ici 2040. Actuellement, il n’y a seulement que 0,6% des véhicules torontois qui sont électriques. Cette stratégie a été adoptée avec quatre amendements supplémentaires. Le premier, présenté par le conseiller Layton, demande que le maire Tory signe la déclaration C40 concernant l’interdiction de véhicules à combustibles dans les rues de la ville. Cette déclaration, que plusieurs villes du monde entier ont signée, consiste à s'engager à électrifier les flottes de transports en commun et à garantir qu'une section majeure de la ville soit à zéro émission d'ici 2030. Un autre amendement, proposé par le conseiller Gord Perks, demande que les futures mises à jour sur les progrès de la stratégie devraient inclure des informations complètes la façon dont l'électrification aura un impact sur les réseaux de la ville. Les actions immédiates recommandées comprennent l'expansion de l'infrastructure de tarification publique et l'élaboration de politiques et de règlementations de tarification publique. Cela comprendrait l'installation de 650 bornes de recharge rapides CC et de 10 000 bornes de recharge de niveau 2 d'ici 2030 afin de s'adapter à la venue des véhicules électriques. Cela comprendrait également la mise à jour des codes du bâtiment pour s'assurer que toutes les places de stationnement dans les nouveaux bâtiments soient équipées avec des bornes de recharge pour les véhicules électriques. «La Ville compte beaucoup d’immeubles résidentiels à usages multiples, sans accès à un garage ou à un stationnement n’ayant évidemment aucun accès à ce service», note la stratégie. "Le manque réel de bornes de recharge publiques contribue à l'anxiété concernant l’autonomie qui rend les consommateurs moins susceptibles de passer aux véhicules électriques." D'autres actions à court terme incluent l'augmentation du nombre de véhicules électriques utilisés dans les programmes d’autopartage, la sensibilisation du public aux avantages environnementaux et économiques des véhicules électriques et l'électrification de la flotte de la ville. La stratégie examine également les principaux incitatifs financiers pour encourager les conducteurs à acheter des véhicules zéro émission. Les initiatives potentielles dans ce domaine pourraient inclure la réduction des péages routiers pour les véhicules électriques ou la création de zones pilotes réservées aux véhicules tout électriques ou hybrides. Les autres actions à moyen et à long terme comprennent le plaidoyer auprès d'autres niveaux de gouvernement et le soutien continu de la recherche et de l'innovation dans la technologie des véhicules électriques. Le rôle que les municipalités peuvent jouer dans la promotion de l'électrification est majeur. Un récent rapport du Conseil international sur les transports propres examinant les 25 principales villes avec le plus de véhicules électriques à l'échelle internationale a révélé que les politiques municipales étaient souvent les plus efficaces pour encourager l'adoption des véhicules électriques. «Les gouvernements locaux ont souvent fixé des objectifs encore plus audacieux que les gouvernements fédéraux et développé des actions de promotion uniques, résultant en une adoption nettement plus élevée sur des marchés locaux spécifiques», indique le rapport. À ce titre, plusieurs stratégies incluses dans le plan directeur de Toronto ont déjà connu du succès au niveau international. La majorité des 25 capitales favorables aux véhicules électriques ont introduit des incitatifs fiscaux incluant d’autres avantages reliés à la possession de véhicules électriques, et beaucoup ont développé de solides réseaux publics de recharge. Cinq de ces villes, Paris, Los Angeles, Oslo, Tokyo et Londres se sont engagées à créer une zone majeure zéro émission d'ici 2030 dans leur ville. La première rue à zéro émission de Londres, qui permettra de surveiller les changements d'air qualité et des conditions de circulation, devrait être inaugurée ce printemps. Un tel projet pourrait s'avérer un modèle utile pour un essai similaire à Toronto. Les villes canadiennes qui ont également adopté des stratégies municipales pour les véhicules électriques comprennent Montréal , Vancouver , Edmonton et Calgary . Electric Autonomy
Contribution: André H. Martel
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Pour permettre aux autobus de faire le plein d’énergie, un pantographe a été installé à chaque extrémité du parcours, à la station de métro Angrignon et à la station Square-Victoria (photo).
La ligne 36 Monk de la Société de transport de Montréal (STM) deviendra dans quelques semaines le premier parcours d’autobus entièrement électrique au Canada, après deux ans de tests, preuve que l’hiver québécois n’est pas un obstacle à l’électrification des transports en commun.
Un reportage de : Jean-Thomas Léveillé À lire dans: La Presse
Contribution: André H. Martel
Informations et évènements de la semaine intéressants pour les électromobilistes du Québec
Contribution: André H. Martel
Informations et activités de la semaine pertinentes pour les électromobilistes québécois
Contribution: André H. Martel
Polestar, la marque de performance électrique, a aujourd'hui annoncé que le Groupe Park Avenue devenait son premier partenaire commercial pour les ventes au détail en Amérique.
Un Espace Polestar, le nouveau concept de vente au détail automobile de Polestar, ouvrira ses portes à Montréal, au Canada. Dans le cadre de l'annonce de cette première pour le marché canadien, Polestar a aussi annoncé la nomination de Hugues Bissonnette au poste de directeur national pour le Canada.
« Je suis ravi d'annoncer aujourd'hui deux éléments essentiels de l'entrée de Polestar sur le marché canadien », a déclaré Gregor Hembrough, chef de Polestar pour l'Amérique. « Nous avons choisi un partenaire incroyable dans le Groupe Park Avenue. Je suis persuadé que l'équipe saura offrir l'expérience de vente au détail haut de gamme et axée sur le consommateur que nous recherchons. Il est également approprié qu'en parallèle, nous annoncions la nomination d'un Québécois au poste de directeur national. Hugues a les compétences appropriées, acquises au fil du temps en Amérique et en Europe, et je suis convaincu qu'il saura lancer avec grand succès la marque Polestar au Canada. » L'entente avec le Groupe Park Avenue permet le lancement de Polestar sur le marché montréalais. Les prochaines étapes comprennent le choix de l'emplacement physique de l'Espace Polestar et l'intensification des efforts de marketing, qui ont débuté la semaine dernière au Complexe Desjardins. « Groupe Park Avenue est extrêmement fière de s'associer à Polestar, non seulement en raison de la qualité et de l'innovation qui caractérisent les produits 100% électriques Polestar qui seront commercialisés au cours des prochaines années, mais aussi pour sa contribution à l'électrification de la flotte automobile québécoise. Le Québec est depuis longtemps un chef de file en matière d'électrification. Nous croyons qu'après plus de 60 ans en affaires, cet ajout à notre portefeuille de marques plaira à notre clientèle et nous donne une impulsion importante pour emprunter le virage de l'électrification des transports avec une longueur d'avance », a déclaré Norman Hébert, président et chef de la direction chez Groupe Park Avenue. Hugues Bissonnette, nouveau directeur national pour le Canada, appuiera le Groupe Park Avenue. Hugues a commencé sa carrière dans l'automobile en 1997, et il a depuis mené de multiples lancements sur le marché au Canada et à l'étranger. Sa carrière l'a conduit au siège social de Volvo à Göteborg, en Suède, où il est devenu chef de projet commercial et, plus récemment, il a dirigé les ventes, la planification des produits et la distribution des véhicules de Volvo Canada. « C'est un privilège que de diriger une entreprise dans le marché en pleine croissance des véhicules électriques », de partager Hugues Bissonnette, directeur national pour le Canada. « J'ai hâte de mettre en œuvre une nouvelle marque unique, et la possibilité de le faire chez moi, au Canada, est la concrétisation d'un rêve. Avec l'appui d'une équipe expérimentée, c'est passionnant de pouvoir faire partie de la première étape de l'aventure Polestar et de concevoir des produits et services qui répondront aux exigences les plus élevées de notre clientèle unique. » Polestar Montréal ouvrira ses portes en 2020. Suivront Toronto et Vancouver au Canada, ainsi qu'un réseau de détaillants stratégiquement situés aux États-Unis. Pour des images et d'autres informations à l'intention des médias, visitez media.polestar.com. Groupe Park AVenue
Contribution: André H. Martel
Une invitation à signer une pétition pour interdire l’affichage des véhicules à combustion thermique.
Les dérèglements climatiques font partie des très nombreux et graves impacts liés aux activités humaines. Plus personne ne peut nier l'urgence d'agir pour limiter les conséquences du réchauffement climatique à l'échelle planétaire. Les villes doivent être en première ligne dans la très forte réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le 23 septembre 2019, la mairesse de Montréal Valérie Plante s’est engagée devant l’ONU "à réduire de 55 %, par rapport au niveau de 1990, les émissions de gaz à effet de serre (GES) de sa ville d’ici 2030."
Bien qu'encore très insuffisante, cette volonté doit être appuyée par des actions fortes afin d'être prise au sérieux. Ainsi, nous, signataires de la présente pétition, réclamons pour commencer l'interdiction sur le territoire de Montréal des panneaux publicitaires de véhicules à propulsion thermique, toutes catégories confondues. Cette interdiction devrait prendre effet d'ici la fin de l'année 2020. Change.org
Contribution: André H. Martel
C’est la deuxième province à se joindre à l’engagement «Drive to Zero» qui a pour objectif d’accroitre l’utilisation des camions et des bus à zéro émission.
Le Québec a redoublé d'efforts pour réduire les émissions de carbone en adhérant à l'engagement Conduire à zéro émission.
Annoncé le 24 septembre dans le cadre de la Semaine du climat, le Québec se joint à plusieurs organisations canadiennes participant à l' initiative Calstart, notamment BYD Canada et Énergie Propre Canada, le gouvernement du Canada, la ville de Vancouver et la Colombie-Britannique. Lancé à l'origine en septembre 2018 lors du Sommet mondial pour l'action contre le changement climatique, « Drive to Zero » a pour mission de soutenir le secteur des véhicules légers et lourds à zéro émission et d'intégrer des véhicules à zéro émission dans les parcs d'autobus et de camions. «Les transports représentent le quart de la pollution au carbone au Canada et dans certaines provinces, comme le Québec et la Colombie-Britannique, ils représentent même plus du quart», a déclaré Merran Smith, directeur exécutif de Clean Energy Canada. En fait, la pollution causée par les transports représente 43% de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre de la province, selon le ministère de l’Environnement du Québec. En général, dit Smith, les camions et les bus ne représentent qu'environ 11% des véhicules actuellement sur la route, mais ils consomment 46% du carburant. Électrification accélérée «Les objectifs de l'engagement« Drive to Zero » sont directement alignés sur notre objectif d'accélérer l'électrification de nos transports», a déclaré Benoit Charette, ministre de l'Environnement et du Changement climatique du Québec. L'objectif de « Drive to Zero » est de fabriquer des véhicules utilitaires lourds, tels que des autobus et des camions de transport, d'ici 2025 et d’en mettre plus sur la route que leurs équivalents essence et diesel d'ici 2040. Le Québec compte deux fabricants d'autobus électriques, Lion Electric et Nova Bus et contribue à rendre l'objectif de « Drive to Zero » encore plus réalisable, ajoute Smith. Le gouvernement du Québec veut aider les entreprises et d'autres acteurs à atteindre l'objectif zéro émission. Il faudra trouver le moyen de coordonner ce potentiel; il est nécessaire d’évaluer quelles politiques pourraient contribuer à l’atteinte de cet objectif, quels incitatifs pourraient aider, quelle infrastructure serait nécessaire et existe-t-il un moyen de mettre en place cette infrastructure par le biais de collaborations? “ À ce jour, 58 entreprises et gouvernements ont signé l'engagement «Drive to Zero». Parmi ceux-ci on retrouve IKEA, Ryder, la Commission de l'énergie de Californie et le département des services administratifs de la ville de New York. Parmi les initiatives connexes au Québec, citons entre autres l’ouverture de la première superstation de recharge du pays à Montréal au complexe Desjardins et les rabais sur les nouveaux achats de véhicules électriques et l’achat de certains véhicules électriques usagés. Electric Autonomy
Contribution: André H. Martel
Les Montréalais devraient voir apparaître des vélos électriques tirant des remorques pleines de colis dans les rues du centre-ville au cours des prochains jours.
Pendant la prochaine année, les poids lourds pourront décharger leurs marchandises dans des conteneurs situés dans le stationnement arrière de l'ancienne gare d'autocars de Montréal, au coin des rues Berri et Ontario, évitant ainsi de circuler dans le centre-ville de Montréal. Des vélos-cargos électriques prendront alors le relais afin transporter les colis jusqu'au domicile des citoyens.
Les entreprises de livraison Chasseurs Courrier, Courant Plus, La roue Libre, LVM Livraison et Purolator se sont toutes portées volontaires pour participer à ce projet pilote.
Extraits du reportage de : Guillaume Pelletier Tous les détails dans : Le Journal de Montréal
Si le Canada veut que les agences de transport en commun achètent davantage d’autobus électriques, il devrait mettre en place le type de financement simple, prévisible et facilement accessible qui permet de relancer l’adoption de véhicules électriques, déclarent Fernando Melo de Clean Energy Canada et Robert Parsons dans un communiqué issu de : Options politiques.
«Un programme fédéral facile d'accès offre un rabais de 5 000 dollars canadiens aux conducteurs qui achètent une voiture électrique. Mais ce type d'aide n'est pas proposé aux agences de transport en commun qui souhaitent acquérir des bus électriques », écrivent Melo et Parsons .
«Il est vrai que le transport en commun est en soi une solution au problème climatique, car les bus et les trains sont des options offertes aux conducteurs de voitures individuelles», ce qui rend le transport en commun environ 20 fois plus propre que les véhicules privés, selon une étude réalisée à Montréal. «Mais la grande majorité des véhicules de transport en commun polluent toujours. Les autobus électriques, en revanche, réduisent la pollution en éliminant complètement les gaz d'échappement. Ils sont également plus sains pour les nombreux voyageurs qui montent à bord tous les jours. » Et pourtant, «le développement des autobus électriques n'a pas suivi celle des voitures électriques», même si «le Canada compte plusieurs fabricants d'autobus électriques de premier plan, tels que le New Flyer de Winnipeg et le Nova Bus du Québec». Le document d’Énergie propre Canada publié au printemps dernier, « Will Canada Miss the Bus? », soulignait le fait que le pays était en retard pour l’adoption des autobus électriques. Maintenant, le professeur d'économie de la durabilité à l'Université du Manitoba monsieur Parsons, insiste sur l'importance d'un financement facilement accessible, soutenu par un processus de demande simplifié. Les deux auteurs voient cependant des signes de progrès: Vancouver et la Colombie-Britannique ont adhéré au programme américain « Drive to Zero » et le gouvernement fédéral a investi dans de nouveaux autobus électriques à Brampton, en Ontario. «Mais ce financement provient souvent de divers programmes qui soutiennent plusieurs projets», écrivent-ils. «Cela risque d’impliquer de longues demandes d’applications et d’approbations avant même qu'un seul bus puisse être acheté. Le processus peut convenir à de grands projets d’infrastructure, mais il peut également être un facteur de dissuasion majeur pour une petite municipalité aux ressources limitées, qui souhaite réduire son empreinte carbone. » En revanche, un rabais fédéral pour des bus zéro émission, inspiré du programme actuel relatif aux véhicules électriques, contribuerait à uniformiser les règles du jeu pour les petites municipalités, pour les villes et villages dont les gestionnaires de transports en commun n'auraient peut-être pas le temps de gérer un long processus de demande de financement, en plus de veiller à ce que leur flotte actuelle fonctionne bien, précisent Melo et Parsons. «Cela permettrait également au Fonds pour l'infrastructure de transport en commun, qui est actuellement la principale source de financement des bus, de concentrer ses dépenses sur d'autres éléments essentiels tels que les installations de recharge et les travaux d'intégration nécessaires pour l'adoption généralisée des bus à zéro émission.» Le document de Parsons envisage un investissement de 100 millions de dollars sur six ans, avec des ristournes, au début, de 250 000 dollars par bus à zéro émission diminuant jusqu’à 50 000 dollars à la fin du programme. «Cela concorderait également avec les baisses prévues du coût de production des autobus électriques, qui devraient atteindre la parité des prix avec les autobus diesel vers 2030», notent Melo et Melo. Ce niveau d'investissement suffirait à atténuer l’actuel désavantage qui ouvrira la porte à des futures acquisition pour les agences de transport en transit à court d'argent. «Nous savons que les bus à zéro émission ont des coûts d’exploitation nettement inférieurs, grâce aux économies de carburant et d’entretien», écrivent-ils. «Mais pour le moment, leur prix d’achat plus élevé signifie que les bus diesel sont, dans de nombreux cas, moins chers sur la base du coût total de possession. C'est pourquoi, un programme de rabais qui permettra de faire baisser le coût total de possession en faveur des bus à zéro émission, doit être un engagement à long terme de la part de nos gouvernements. The Energy Mix
Contribution: André H. Martel
MONTRÉAL, le 27 juin 2019 /CNW Telbec/ - La Ville de Montréal et le gouvernement du Québec sont heureux d'annoncer le début du premier projet pilote de navettes automatisées sur les voies publiques en milieu urbain à Montréal. Il se déroulera dans l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, entre le Parc olympique et le marché Maisonneuve, pour une durée de 6 semaines.
Cette initiative émane d'une démarche entamée par la Ville en mai 2016 alors que le conseil municipal a mandaté la Commission sur le transport et les travaux publics pour identifier les enjeux et défis de l'arrivée de la mobilité autonome à Montréal. Il est rendu possible grâce à un appui financier de 5 M$ sur cinq ans du ministère des Affaires municipales et de l'Habitation (MAMH). Dans le cadre de sa Politique de mobilité durable - 2030, le gouvernement du Québec désire accroître le soutien à différents projets pilotes relatifs à l'utilisation de véhicules électriques autonomes pour améliorer l'accès au transport en commun. Un arrêté du ministère des Transports du Québec (MTQ) signé récemment permet à des navettes autonomes de circuler sur certaines voies publiques de la Ville de Montréal. « Notre gouvernement soutient activement les initiatives visant les nouvelles technologies en matière de transports. Le projet pilote lancé aujourd'hui s'inscrit dans les grands principes et orientations de la Politique de mobilité durable et permettra de développer l'expertise dans la réalisation de projets destinés à tester des véhicules électriques autonomes. » François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie « Nous sommes fiers de participer à cette initiative qui, en plus de desservir deux lieux emblématiques de l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, favorise la transition énergétique et la lutte contre les changements climatiques. » Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal « Notre vision en termes de voiture autonome est claire. Celle-ci doit être destinée au transport collectif et dans une optique de mobilité durable. Pour ce faire, dans le cadre de ce projet pilote, nous tenons à prendre en compte les attentes et les besoins des citoyens. » Valérie Plante, mairesse de Montréal « Ce projet pilote nous permettra de déterminer la façon dont la technologie peut s'insérer dans l'offre de transport de la Ville. Il contribuera également à familiariser la population à l'arrivée de cette technologie, encore peu connue, mais qui suscite curiosité et questionnements. » Eric Alan Caldwell, responsable de la mobilité au sein du comité exécutif de la Ville de Montréal Cette initiative est réalisée en partenariat avec le Ministère des transports du Québec (MTQ), la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ), l'opérateur Transdev et la Régie des installations olympiques (RIO). Elle permettra d'alimenter le processus de planification et d'évaluer l'intégration de ce nouveau service dans l'offre de transport collectif de la Ville, dans une optique de mobilité durable et en fonction des attentes et des besoins des citoyens. Rappelons qu'à l'automne 2018, la Ville de Montréal a participé à un projet pilote, mis en place par le Parc olympique, à titre de partenaire financier. Cette fois-ci, la Ville agira à titre de maître d'œuvre et consultera les usagers des navettes ainsi que les riverains par le biais de sondages. Plus de détails : site Internet de la Ville de Montréal SOURCE Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif Renseignements: Sources : Geneviève Jutras, Attachée de presse de la mairesse, Cabinet de la mairesse et du comité executive, 514 243-1268; Sarah Bigras, Attachée de presse, Cabinet du ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie, Tél. : 418 446-5911; Camille Lambert-Chan, Attachée de presse, Cabinet de la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, 418 558-8329; Renseignements : Mélanie Gagné, Relationniste, Service de l'expérience citoyenne et des communications, 514 868-8762; Équipe des relations de presse, Direction des communications du ministère des Affaires municipales et de l'Habitation, 418 691-2015, poste 3746 CISION
Contribution: André H. Martel
Bonjour Mme. Parisien, Pouvez-vous, s'il vous plait, accéder à votre espace membre ( https://espace.aveq.ca/fr/connexion/authentication#login_content_box ) et mettre à jour vos informations postale fin que je puisse poster votre carte de membre svp? J'attends votre retour, Merci L'Équipe de l'AVÉQ
Plusieurs personnes et de très nombreux exposants actuels et futurs du SVEM attendaient la nouvelle. C’est maintenant confirmé : Les prochaines éditions du Salon du véhicule électrique de Montréal (SVEM) se dérouleront, à partir de 2020, au Stade olympique de Montréal.
Le Stade olympique s’électrifie et devient vert
Ainsi, l’édition 2020 s’y tiendra les 24, 25 et 26 avril prochains. Grâce à cela, notre Salon entre maintenant sans contredit dans les ligues majeures des Salons professionnels en Amérique du nord. Le plus grand Salon public de véhicules électriques au monde Le SVEM avait besoin de vastes espaces afin d’assurer sa croissance fulgurante depuis sa toute première édition en 2017. Permettez-nous de remercier la Place Bonaventure d’avoir cru en notre projet et d’avoir soutenu sa croissance depuis le tout début. En 2020 et pour les années à venir, le SVEM se déploiera sur 204 000 pieds carrés (plus de 18 950 mètres carrés), ce qui se traduira par plusieurs changements : Le SVEM deviendra par le fait même le plus grand Salon public de véhicules électriques au monde; Montréal devient ainsi la capitale nationale de l’électrification des transports au Canada; La nouvelle superficie du SVEM, nettement plus grande, permettra plus d’essais, plus d’information, plus d’exposants et, en fin de ligne, plus de plaisir pour les visiteurs. Côté plaisir, justement, le SVEM pourra désormais compter sur la plus grande piste d’essais intérieure jamais réalisée pour cet évènement. De nouvelles dates propices aux deux et trois roues Maintenant en avril, soit quelques semaines avant le début officiel de la saison des vélos, motos, trottinettes mus à l’électricité, nous savons déjà que de nombreux manufacturiers et de distributeurs de ces produits pourront plus facilement intégrer notre évènement à leurs calendriers d’activité et devenir ainsi de nouveaux exposants. Réjouissons-nous donc de cette bonne nouvelle qui aura pour effet d’augmenter l’offre d’exposants présents et ainsi contenter sans l’ombre d’un doute les dizaines de milliers de visiteurs qui visiteront le SVEM les 24, 25 ou 26 avril prochains au Stade olympique. Nous avons déjà hâte de vous y rencontrer ! SVEM
Contribution: André H. Martel
Uber devrait déployer les vélos rouges de sa filiale Jump « d'un jour à l'autre » à Montréal.
PHOTO ALAIN MCKENNA, COLLABORATION SPÉCIALE Après avoir voté un règlement encadrant les véhicules en libre-service sans ancrage le mois dernier, Montréal se prépare à accueillir une première entreprise de vélos électriques grand public à l'été. Et il s'agit de nulle autre qu'Uber, qui devrait déployer les vélos rouges de sa filiale Jump « d'un jour à l'autre ».
Pouvant se permettre de temporiser grâce à l'existence des BIXI, Montréal a donc pris un peu de recul afin d'élaborer un cadre qui vise à autoriser le déploiement de ces vélos électriques, d'abord, puis des trottinettes, éventuellement, sans que tout se fasse dans un chaos désorganisé. « On voulait s'assurer d'accueillir sur notre territoire uniquement les joueurs sérieux, et d'éviter les situations de "dumping" de produits de mauvaise qualité, ou d'entrave à la circulation, comme on l'a fréquemment vu à l'étranger », explique Éric Alan Caldwell, responsable de l'urbanisme, du transport et de l'Office de consultation publique de Montréal, dans un communiqué. Extraits du reportage dans la Presse + du 13 mai 2019, signé: ALAIN MCKENNA À lire dans la Presse +
Contribution: André H. Martel
Sébastien de JN Auto inc a rencontré le co-propriétaire de CertaPro Antoine Lebouc. Ce dernier est spécialiste en peinture commerciale, institutionnelle et résidentielle depuis près de 20 ans à Montréal . Il envisageait l'achat d’un premier VÉ soit une BMW I3 , par conscience environnementale et économique. L'entreprise avait déjà des véhicules à essence. Les co-propriétaires étaient convaincus que cet effort environnemental rendrait leur entreprise plus compétitive et aura un impact positif sur leur marque de commerce tout en la rendant plus éco-responsable !
M. Lebouc et la co-propriétaire, Mme Genevieve Giguere LeBouc, étonnés par l’efficacité et les économies réalisées par cette technologie ont converti début 2017 deux autres véhicules de leur flotte et ont acquis quatre nouvelles bornes de recharge pour ravitailler leur flotte verte !!
Voici un bref résumé des économies qu'ils entrevoient :
Leaf 2016 (Fouad Sitout) Leur employé Fouad a parcouru 1153 km depuis le 3 avril (soit 14 jours de travail). l'économie est donc de 110 litres d'essence vs Le Ford Escape 2010. Ceci représente environ 110 litres x 1.05 $ = 115.50$ (8.25$ par jours) Par année, Fouad va travailler environ 210 jours, donc 1732.50$ d'essence sera économisé.......Moins les frais d'électricité (500$ ?) = 1232.50$ d'économie annuelle. Fouad se branche tout le temps au bureau; le matin et l'après-midi à son retour. BMW i3 2015 (Antoine LeBouc) Antoine a parcouru 10 800 km depuis le 21 décembre..... Une économie de 1080 litres vs le Touareg TDI.....1080 litres x 1.10$ = 1188$ (10$ par jours) Par année, l'entreprise va économiser 10$ / jours x 365 jours = 3650$...Moins les frais d'électricité (650$) = 3000$ . Le tout basé sur le principe qu'Antoine se branche à la maison le soir + la fin de semaine et parfois sur les bornes du bureau. BMW X5 Hybrid (Geneviève Giguère LeBouc) Elle a parcouru 1274km en 23 jours. Une économie de 76 litres vs le Audi SQ5 2015.... 76 litres x 1.10$ = 83.60$ (3.63$ par jours) Par année, elle va sauver 3.63$ / jours x 365 jours = 1325$....Moins les frais d'électricité (300$) = 1025$ Elle se branche la nuit à la maison + les week end. Elle se branche aussi sur les bornes du bureau le jour. Total d'économie par année; 1232.50$ + 3000$ + 1025$ = 5257.50$ + frais entretien réduits + moins de pollution !!! Félicitation à M. Lebouc et Mme Giguère LeBouc pour ce virage éco-responsable qui leur permet de surcroît, des économies substantielles ! Si vous avez besoin de peintres qui ont les mêmes valeurs que vous, vous savez qui appeler ! http://www.certapromontreal.ca/ Si vous avez des expériences semblables à raconter, N'hésitez pas à nous en faire part ! Source : JN Auto Contribution : Martin Archambautl |
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