Selon trois études récentes effectuées par l’American Council for an Energy-Efficient Economy (ACEEE), une organisation de défense des politiques énergétiques, les véhicules électriques pourraient contribuer à réduire les tarifs d’électricité en utilisant mieux l’infrastructure des réseaux. Ces études décrivent une utilisation d’électricité plus élevée, mais mieux répartie, qui permettra une meilleure utilisation de l’infrastructure qui permettra de couvrir de manière plus cohérente les coûts de production. Cela signifie des prix plus bas par kWh. Et généralement, les services publics sont tenus de répercuter une partie de ces économies sur les contribuables. Lucid connectée sur une borne de recharge maison La première étude de l’ACEEE a été publiée en avril 2023 par Synapse Energy Economics. elle a étudié les investissements dans les infrastructures de recharge pour les camions électriques et l’impact de l’électrification des camions sur les tarifs des deux plus grands services publics de l’État de New York. Elle a constaté qu’une augmentation des revenus nets pourrait compenser les investissements des deux services publics pour faire face à l’augmentation de la recharge des véhicules électriques, ce qui permettrait de réduire légèrement les tarifs. La deuxième étude, du Lawrence Berkeley National Laboratory, a été publiée en février 2023 et a révélé que les taux variables de pénétration du marché des VÉ et l’impact sur la demande du réseau pourraient entraîner une augmentation de 0,5 % à une baisse de 1 % des tarifs d’électricité sur 20 ans. La tendance représentait des augmentations de tarifs au cours des premières années en raison des coûts de restructuration qui tenaient compte de l’augmentation de la recharge des VÉ et de nouveaux revenus, mais les coûts ont diminué au cours des années ultérieures à mesure que les revenus s’accumulaient. De plus, dans le cadre de l’étude de décembre 2022, Synapse, à New York, a également examiné les coûts et les revenus associés aux VÉ dans les zones de service des trois plus grands services publics de Californie de 2012 à 2021. L’étude a révélé que, au cours de cette période, les conducteurs de véhicules électriques « ont contribué à hauteur d’environ 1,7 milliard de dollars US de plus que le coût de production », ce qui a entraîné une baisse des tarifs pour tous les clients des services publics. En effet, seulement 8 % à 17 % des recharges de VÉ étudiées ont eu lieu pendant les heures de pointe. Recharge d’une Porsche Taycan Des tarifs plus bas pourraient également avantager l’adoption des VÉ. Les idées fausses sur les coûts d’utilisation restent au cœur d’une étude de l’année dernière qui considérait ce facteur comme une diminution de l’intérêt pour les véhicules électriques. Une autre étude a révélé que les hausses du prix de l’électricité domestique sur la côte Est des États-Unis ont nui à l’utilisation des recharges à domicile. Le prix de l’essence devrait baisser en 2024, et les prix de l’électricité pourraient continuer à augmenter quelque peu, bien qu’il en coûte encore beaucoup moins cher de faire le plein d’un véhicule électrique. Et contrairement aux voitures à essence, les véhicules électriques seront de plus en plus propres à mesure que le réseau passera à des sources d’énergie renouvelables. Stephan Edelstein Green Car Reports Contribution: André H. Martel
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Impact de l’adoption des véhicules électriques sur la demande du pétrole
Véhicules électriques : impact sur la consommation de pétrole
Alors que le monde se dirige vers l’électrification du secteur des transports, la demande de pétrole sera remplacée par la demande d’électricité. Pour mettre en évidence l’impact des véhicules électriques sur la consommation de pétrole, l’infographie ci-dessus démontre combien de pétrole a été et sera économisé entre 2015 et 2025 par différents types de véhicules électriques, selon BloombergNEF. Quelle quantité de pétrole les véhicules électriques économisent-elles ? Un véhicule de tourisme à combustion standard aux États-Unis utilise l’équivalent d’environ 11 barils de pétrole (BOE)* par an. Une motocyclette en utilise 1, un camion de classe 8 environ 24 et un autobus utilise plus de 258 BOE par an. Lorsque ces véhicules sont électrifiés, l’essence que leurs homologues à moteur à combustion auraient utilisée n’est plus nécessaire, en remplaçant le pétrole par de l’électricité. Depuis 2015, les véhicules à deux et trois roues, tels que les cyclomoteurs, les scooters et les motos, ont représenté la majeure partie du pétrole économisé par les véhicules électriques à l’échelle mondiale. Largement adoptés en particulier en Asie, ces véhicules ont remplacé près de 675 000 barils de pétrole par jour en 2015. En 2021, ce nombre était rapidement passé à 1 million de barils par jour. Jetons un coup d’œil au déplacement quotidien de la demande de pétrole par segment des véhicules électriques.
Aujourd’hui, alors que l’on produit de plus en plus des véhicules utilitaires, les manufacturiers produisent très peu de gros camions électriques, mais cela devrait changer d’ici 2025.
Entretemps, les véhicules de tourisme électriques ont affiché la plus forte croissance d’adoption depuis 2015. En 2022, le marché des voitures électriques a connu une croissance exponentielle, avec des ventes dépassant les 10 millions de voitures. Le marché devrait poursuivre sa forte croissance tout au long de 2023 et au-delà, pour finalement économiser 886 700 barils de pétrole par jour en 2025. Recharge des véhicules électriques : de l’essence à l’électrique Alors que le monde passe des combustibles fossiles à l’électricité, BloombergNEF prédit que la baisse de la demande de pétrole n’équivaudra pas nécessairement à la baisse du prix du pétrole. Si les investissements dans le développement diminuent plus rapidement que la demande, le prix du pétrole pourrait demeurer instable et élevé. Le virage vers l’électrification aura probablement d’autres implications. Alors que la plupart d’entre nous associons les véhicules électriques à moins d’émissions de carbone, il est important de réaliser qu’ils sont aussi durables que l’électricité utilisée pour les recharger. Le virage vers l’électrification présente donc une occasion incroyable de répondre à la demande croissante d’électricité avec des sources d’énergie propres, telles que l’énergie éolienne, solaire et nucléaire. L’abandon des combustibles fossiles dans le transport routier nécessitera également une infrastructure élargie. Les bornes de recharge pour véhicules électriques, l’augmentation de la capacité de transmission et le stockage des batteries seront tous essentiels pour soutenir la transition à grande échelle du gaz à l’électricité. *BOE : Baril d’équivalent pétrole (BOE): Qu’est-ce qu’un baril équivalent pétrole (bep)? Un baril d’équivalent pétrole (BOE) est un terme utilisé pour résumer la quantité d’énergie équivalente à la quantité d’énergie trouvée dans un baril de pétrole brut. En englobant différents types de ressources énergétiques en un seul chiffre, les analystes, les investisseurs et la direction peuvent évaluer la quantité totale d’énergie à laquelle l’entreprise peut accéder. Ceci est également connu sous le nom d’équivalent pétrole brut (COE). Selin Oguz World Economic Forum
Contribution: André H. Martel
Aucune vente de véhicules à essence au Québec dès 2035: Qu'est-ce que ça signifie pour vous?14/11/2020
L'article de "La Presse" ce samedi sur l'interdiction de vente de véhicules à essence dès 2035 a eu l'effet d'une bombe parmi les groupes environnementaux et les consommateurs. "Trop peu" ou "Trop vite", le sujet est polarisant. Voici ce que vous devez savoir sur cette interdiction qui sera présentée officiellement par le Gouvernement Legault lundi matin.
>> Lire l'article de La Presse: La vente de véhicules à essence interdite dès 2035 L'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) a été consultée l'automne dernier pour l'élaboration du Plan d'électrification et de changements climatiques (PECC) du gouvernement provincial, créé pour orienter le gouvernement dans la tâche difficile de créer de nouveaux objectifs afin de diminuer la pollution atmosphérique tout en s'offrant de solides perspectives économiques. Une des mesures phares est d'en finir une fois pour toute avec la vente de véhicules polluants, qui sont responsables pour 43% de la pollution atmosphérique au pays. Plusieurs groupe environnementaux appuyaient l'AVÉQ afin que la date butoir soit fixée à 2030, donc 5 ans plus tôt que ce qui a été présenté aujourd'hui. Par contre, cette date rejoint d'autres pays et États américains comme la Norvège et la Californie. De multiples annonces sont à prévoir dans les prochaines années par les autres pays qui ne se sont pas encore prononcés. C'est une tendance mondiale qui ne pourra être renversée face à la gravité de la situation environnementale. Cela signifie pour le consommateur moyen que d'ici 2035, leur manufacturier favori devrait offrir sur le marché le véhicule dont ils ont besoin, que ce soit une voiture compacte, un véhicule utilitaire sport, une fourgonnette, une camionnette ou une voiture sport. De la conception du véhicule jusqu'à la disponibilité chez le concessionnaire, une période d'environ 7 ans s'écoule pour franchir les différentes étapes afin d'élaborer un véhicule, en créer un prototype, le tester sous différentes conditions, et créer les machines et les chaines de montage nécessaires afin de construire le véhicule final. La transition industrielle chez de nombreux manufacturiers est déjà entamée depuis quelques années, et les retardataires tels que Mazda et Honda se sont associés avec d'autres manufacturiers afin de créer une plateforme électrifiée standard sur laquelle on n'a qu'à y déposer une carrosserie, pour ainsi diminuer les investissements en recherche, diminuer le cycle de développement, et offrir des produits de qualité à un coût raisonnable aux consommateurs. Il est bien précisé que c'est la vente de véhicules légers destinés aux consommateurs qui est visée en tout premier lieu d'ici 2035, et que les véhicules commerciaux et industriels n'ont pas à s'y conformer. Votre voisin qui est entrepreneur général pourra donc s'acheter un F-350 en 2035 s'il le voulait. Cependant, d'ici 2035, le marché sera inondé de camionnettes électriques qui seront plus puissantes et qui offriront beaucoup plus de fonctionnalités que leurs cousines à essence, à un prix concurrentiel; naturellement, votre voisin devrait être beaucoup plus intéressé à acquérir le F-350 électrifié qui sera disponible chez son concessionnaire. Donc bien qu'on le présente comme étant un "objectif gouvernemental ambitieux", c'est plutôt une estimation très conservatrice de l'évolution du marché du véhicule électrique. En 2035 ou même bien avant, le marché des véhicules neufs sera probablement submergé de véhicules électriques de toutes catégories. Et les incitatifs financiers à l'acquisition ne seront plus nécessaires, car produire un véhicule électrique en millions d'exemplaires aura un impact sur son coût de fabrication. Par contre, c'est également une façon de s'assurer de l'évolution du marché. Depuis plusieurs années, les manufacturiers automobiles qui se font presser à offrir des véhicules électriques (VÉ) se plaignent que ces véhicules sont chers à construire car leur quantité est limité, et qu'il n'y a pas de demande, donc pourquoi se forcer? Une bonne solution de la part des gouvernements qui désirent une augmentation des ventes VÉ pour diminuer l'impact de leur utilisation sur la pollution atmosphérique est de leur répondre que les consommateurs seront obligés d'acheter ces VÉ puisque qu'on interdira la vente de voitures à essence à une date spécifique. Ce que ça signifie, c'est que les investissements des manufacturiers automobiles ne seront pas vains, il y aura un marché pour les VÉ, et tous les manufacturiers devront respecter l'échéancier. Problème résolu. Tout le monde jouera à armes égales. Le Plan pour une économie verte prévoit également une possibilité de révision annuelle des cibles qui seront présentées lundi, afin de renforcer les mesures selon l'évolution du marché, la réponse du public, et l'urgence climatique. Cela signifie qu'il est fort probable qu'en 2035, les véhicules commerciaux à essence fassent également partie d'une interdiction de vente puisque des alternatives viables seront disponibles sur le marché depuis plusieurs années, et les quelques irréductibles consommateurs restants devront s'y plier. Tout cela n'est pas une surprise. Les voitures et camions polluent, et notre planète en souffre. Les manufacturiers automobiles et les pétrolières sont bien au courant de l'impact de leurs véhicules et de la combustion de l'essence sur l'état de santé de la planète et de ses habitants, et doivent maintenant offrir des véhicules qui ne pollueront plus. Après les véhicules électriques, il faudra s'assurer que ces voitures puissent s'approvisionner en électricité de source renouvelable pour que ce soit réellement "Zéro Émission", comme les Québécois peuvent le faire avec l'hydro-électricité. >> Lire: Exclusif: GM et Ford étaient au courant du changement climatique il y a 50 ans Contributeur: Simon-Pierre Rioux, président AVÉQ.ca L’AVÉQ est satisfaite de l’annonce gouvernementale qui permettra de diminuer la pollution atmosphérique liée à l’utilisation des véhicules à essence en s’assurant que les manufacturiers automobiles vont offrir des véhicules électriques en quantité suffisante dans les prochaines années, et à 100% dès 2035. Bien que nous espérions une transition dès 2030, nous désirons rassurer la population qui s’inquiète de cette nouvelle: dans les 15 prochaines années, vous pourrez retrouver chez votre concessionnaire la voiture ou la camionnette que vous désirez à un prix abordable, tout en sachant que vos déplacements longue distance seront supportés par des recharges ultra-rapides offrant plus de 200 kilomètres d’autonomie en moins de 5 minutes, à un prix moins élevé qu’un plein d’essence équivalent. Également pendant les prochaines années, le surcoût d’un véhicule électrique sera pallié par les incitatifs financiers du provincial et du fédéral, mais la parité avec les voitures à essence est prévue vers 2025, donc ces incitatifs sont appelés à disparaitre avec le temps.
La transition vers une économie propre est bénéfique pour notre santé, notre environnement, les occasions d'affaires et les emplois pour la classe moyenne dans l'ensemble du Canada. C'est pourquoi le gouvernement prend des mesures concrètes pour aider les Canadiens à effectuer une transition propre et abordable, notamment en investissant en efficacité énergétique, en offrant plus de transports publics, en éliminant progressivement la pollution générée par l'électricité au charbon et en appuyant les technologies propres.
De plus, le gouvernement éliminera les subventions inefficaces aux combustibles fossiles au niveau fédéral d'ici 2025. Le Canada a réalisé des progrès importants dans cet engagement en rationalisant à ce jour huit dépenses fiscales du secteur des combustibles fossiles, éliminant ainsi le traitement fiscal préférentiel pour ce secteur. Afin de continuer de démontrer le leadership du Canada en matière d'élimination des subventions inefficaces aux combustibles fossiles, la ministre de l'Environnement et du Changement climatique du Canada, Catherine McKenna, a annoncé aujourd'hui une consultation sur le cadre préliminaire que le gouvernement utilisera pour examiner ces mesures non fiscales. Pour la tenue de cette consultation, la ministre McKenna a publié le cadre préliminaire d'évaluation du ministère sur les subventions non fiscales inefficaces aux combustibles fossiles ainsi que les résultats initiaux de l'application de ce cadre aux mesures du gouvernement fédéral. La consultation lancée aujourd'hui vise à recueillir des commentaires sur les points suivants :
La période de consultation se déroulera jusqu'au 30 juin 2019. Les consultations ciblées auprès des principaux intervenants seront dirigées par Michael Horgan, ancien sous-ministre des Finances et sous-ministre de l'Environnement du gouvernement du Canada. Les résultats des consultations serviront à produire le rapport du Canada lors de l'examen par les pairs avec l'Argentine, lequel sera rendu public à la fin de leur examen. Citations « En adoptant des mesures pour lutter contre les changements climatiques, nous pouvons protéger notre santé et créer de bons emplois dans une économie propre. Nous respectons l'engagement que nous avons pris avec nos partenaires internationaux pour éliminer progressivement les subventions inefficaces qui procurent un avantage injuste aux combustibles fossiles comparativement aux solutions plus propres. Il est important d'entendre directement les Canadiens pour nous assurer que nous utilisons les définitions et les critères appropriés afin de procéder avec confiance à l'élimination des subventions inefficaces aux combustibles fossiles. » - Catherine McKenna, ministre de l'Environnement et du Changement climatique Faits en bref
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Avec sarcasme, voici une petite vidéo sympathique qui permet de souligner l’absurdité du raisonnement de ceux qui veulent démoniser la voiture électrique. Dans un tel monde, exit magiquement «l’électricité sale», de même que les batteries polluantes et la pression sur les ressources métalliques !
Serait-ce une meilleure solution, le statu quo, en attendant qu’on décarbonise magiquement la production mondiale d’électricité ? À ce qu’on sache, cette décarbonisation est déjà en cours… trop lente mais bel et bien en cours, et la Chine en est la championne !
Et à ce qu’on sache, la production d’électricité est déjà décarbonisée au Québec ! Au lieu de militer CONTRE l’électrification des transports, pourquoi pas militer POUR des usines de batteries et de voitures électriques AU QUÉBEC ? POUR des voitures électriques fabriquées avec la plus faible empreinte écologique au monde !
Contribution : Daniel Rochefort
(Merci François Viau pour l’inspiration)
Le ministre Sohi annonce des fonds pour transformer Borden en une « mine de l’avenir »; L’IONIQ électrique de Hyundai aura une autonomie accrue; Sondage Léger: les Québécois sont les plus ouverts à l'interdiction des véhicules à essence; Le prochain VÉ de Ford sera…un scooter? Volkswagen, Mobileye (Intel) et Champion Motors ont annoncé un service de taxis autonomes. Le déploiement est attendu pour 2019 en Israël; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Plus de 50 lancements mondiaux à l'AutoMobility LA 2018 du 26 au 29 novembre; Renault EZ-PRO : un concept de robot-livreur pour 2030; Croissance du programme d’autopartage de véhicules électriques aux États-Unis; Aston Martin donne un avant-goût de la Rapide E, son tout premier véhicule électrique; Le VUS PSA DS 3 Crossback électrique pourrait être bientôt disponible en Amérique; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Projet de révision des règles sur les émissions des autos; Les jeunes libéraux manifestent leur intention de bannir les voitures à essence d’ici 32 ans; Elon Musk nous annonce aujourd’hui qu’il considère privatiser la compagnie Tesla; Faraday Future annonce les premières livraisons de la FF91 en fin d’année : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : André H. Martel
Michel Girard, du Journal de Montréal, tire la sonnette d'alarme sur une décision hallucinante de la Régie de l'énergie : depuis le 1er juin 2018 le tribunal administratif - QUI RELÈVE DIRECTEMENT DU MINISTRE DE L'ÉNERGIE ET DES RESSOURCES NATURELLES PIERRE MOREAU - a décidé de ne plus publier l'estimation de la marge de raffinage sur l’essence qu’empochent les pétrolières au Québec.
Voilà tout un cadeau que la Régie de l’énergie fait à l'industrie pétrolière car ça empêche les groupes de protection des consommateurs et les médias de se servir de la fluctuation de la marge de raffinage pour dénoncer l’exploitation des automobilistes par les pétrolières.
Comme l'affirme Michel Girard, « L’information sur la marge de raffinage étant dorénavant camouflée, les pétrolières auront beau jeu pour " jouer " avec ladite marge sans se faire emmerder et critiquer par les médias et les consommateurs »...
Est-ce en privant le public d'information qu'on va favoriser la transition vers une économie décarbonisée ?
Drôle de façon de professer son « progressisme » et son engagement envers le développement durable… surtout à l'aube des élections !
Vivre en mode hybride; De nouvelles stations de recharges sur les autoroutes faciliteront la motorisation électrique en Colombie Britannique; L’auto allemande prend le virage chinois; Le prix de l’essence pourrait doubler d’ici 2020, dynamisant ainsi les ventes de voitures électriques; Le groupe EVgo utilise des batteries de seconde main pour construire des bornes de recharge rapides. Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture !
Contribution : André H. Martel
Concessionnaires de véhicules électriques montréalais débordés; Une Leaf cabriolet présentée à Tokyo; Un Leaf cabriolet présentée à Tokyo : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture !
Contribution : Daniel Rochefort
Motor Trend fait une comparaison entre la Bolt, la LEAF et la Model 3, le PDG de VW affirme que les subventions européennes pour le diesel devraient cesser, BMW a vendu 11 710 voitures électriques rechargeables en novembre, des chercheurs affirment pouvoir tripler l'autonomie des VÉs, et les VÉs seraient moins chers que les véhicules à essence d'ici 2022 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
La Californie compte interdire les voitures à essence neuves d'ici 2040, Uniti dévoile sa voiture urbaine tout-électrique à 23 400 $ US, les ventes de voitures hybrides rechargeables en France ont triplé en novembre, et Honda présentera de mignons robots électriques au CES 2018 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Les véhicules électriques sont peut-être à zéro émission, mais pour calculer à quel point ils sont réellement écologiques, il faut prendre en compte la manière dont leur électricité est produite. Une étude de l'université du Michigan s'est intéressée à la question.
Cette étude a tenu compte de la pollution produite par un VÉ sur une base équivalente à des miles au gallon et de la pollution générée pour produire l’électricité nécessaire au fonctionnement des VÉs dans différents pays. Le tout a été ramené à une base de consommation de litres aux 100 kilomètres et a ensuite permis de déterminer combien une voiture à essence doit consommer en carburant pour être moins polluante qu’un VÉ. Au Canada, par exemple, les voitures à essence devraient consommer moins de 1,4 litres par 100 km. En France, un VÉ produit autant de gaz à effet de serre qu'une voiture à essence qui consomme 0,45 litres par 100 km. Ce résultat s'explique par l'énergie nucléaire, principale source d'énergie électrique de la France et relativement propre, du moins en ce qui concerne les gaz à effet de serre. Les pays qui comptent principalement sur l'hydroélectricité ont obtenu les meilleurs résultats. L'un d'eux est l'Albanie, avec un équivalent de 0,046 litres par 100 km. La Suède, la Norvège et le Congo ont également obtenu de bons résultats. Les pays les moins performants, car ils dépendent presque exclusivement du charbon et du pétrole pour leur électricité, comprennent le Botswana, l'Érythrée et le Kosovo. L’étude est somme toute assez complexe, mais elle rappelle que la production d’électricité ne se fait pas sans conséquences. Malgré tout, pour la majorité des pays, l’augmentation de l’adoption des VÉs aurait un impact positif sur l’environnement. Pour consulter le résumé de l'étude (en anglais) c'est ici.
Renault annonce l'arrivée de 3 nouveaux VÉs sur le marché chinois, Ford commencera à tester des voitures autonomes dans un certain nombre de villes américaines en 2018, les ventes de Chevrolet Bolt ont atteint un sommet en octobre, et une étude révèle que même les voitures électriques alimentées par l'électricité la plus sale émettent moins d'émissions que les voitures diesel : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Le 10 octobre dernier, le nouveau gouvernement hollandais a présenté son plan détaillé pour les prochaines années qui prévoit que toutes les nouvelles voitures soient exemptes d'émissions d'ici 2030 - interdisant pratiquement les voitures à essence et à diesel au profit des véhicules à batterie.
Les quatre partis de la coalition négociaient ce plan depuis les élections de mars et après plus de 200 jours ils ont finalement publié celui sur lequel ils se sont mis d'accord. Le NL Times a publié tous les principaux engagements du plan et rapporté qu’au niveau du transport « d'ici 2030, toutes les voitures aux Pays-Bas devraient être exemptes d'émissions. » Alors que certains articles locaux parlent de « toutes les voitures », il semblerait plutôt que ce soit « toutes les nouvelles voitures », comme c'est le cas pour les pays ayant des interdictions similaires à l'étude. L’interdiction potentielle est à l'étude dans le pays depuis l'année dernière. L'année 2025, comme en Norvège, a été mentionnée, mais ils ont apparemment décidé de l’objectif moins ambitieux de 2030. Comme les VÉS représentent moins de 2% des parts de marché, les Pays-Bas ont un long chemin à parcourir pour atteindre leur objectif, même si le marché est relativement petit, avec environ un demi-million de voitures vendues chaque année dans le pays. Un mandat zéro émission, combiné à l’arrivée imminente de plusieurs nouveaux VÉs sur le marché, pourrait rendre l'objectif réalisable. Actuellement, Tesla domine le marché dans le pays. Les Model S et X sont respectivement les premier et deuxième VÉs les plus vendus, suivis par la toute récente Hyundai Ioniq, dont les ventes devraient augmenter avec une nouvelle flotte à Amsterdam, et la BMW i3 en quatrième place. Tesla a maintenant une flotte de plus de 8 000 voitures dans le pays, que le constructeur a choisi comme siège européen. Ce dernier se trouve à Amsterdam et la société exploite une usine d'assemblage à Tilburg. La première Tesla Model 3 a été récemment repérée en Europe près de l'usine. La Model 3, de même que la Nissan Leaf et les VÉs de nouvelle génération provenant des constructeurs automobiles européens, sont susceptibles d'aider les Pays-Bas à atteindre leur nouvelle cible de 2030. Ils rejoignent plusieurs autres pays et gouvernements qui font des efforts similaires actuellement. La France, le Royaume-Uni et l'Ecosse ont récemment annoncé vouloir interdire les voitures à essence en faveur des véhicules électriques. La Chine et la Californie sont également censées travailler vers cet objectif. Source : Electrek Contribution : Peggy Bédard Une nouvelle étude démontre que les VÉs sont 3 fois plus efficaces que ceux à l'hydrogène13/10/2017
Transport & Environment (qui se présente comme la première ONG européenne à militer pour des transports plus verts) a publié une comparaison graphique intéressante de l'efficacité énergétique de trois types de groupes motopropulseurs (de la production à l'utilisation): tout-électrique, à hydrogène et à essence.
Dans cette étude, on a considéré que la recharge des voitures électriques à batterie et la production d'hydrogène (ou de carburant pour les voitures à essence) était faite avec de l'énergie renouvelable, mais on ne peut pas dire que les voitures à hydrogène sont optimales au niveau écologiques, puisqu'elles perdent 78 % de leur énergie nette (soit trois fois celle de la voiture électrique à batterie).
Voici les résultats globaux :
L'avantage des voitures tout-électriques paraît évident, au point où celles-ci deviennent rapidement la solution ultime à travers le monde. De nombreux pays sont en train d'envisager des dates limites strictes pour la vente de voitures qui ne fonctionnent qu'à essence. Et l'avantage des voitures électriques à batterie, en plus d'offrir le meilleur rendement énergétique, c'est que leur énergie elle-même peut être produite proprement, presque sans émission.
Source : Inside EVs
Contribution : Naïma Hassert
BYD déploie la plus grande usine d'assemblage d'autobus et de camions électriques aux États-Unis, VW prévoit un important investissement de 1,7 milliard de dollars pour amener des camions et des autobus électriques sur le marché, Paris prévoit interdire les voitures à essence d'ici 2030, la Californie autorisera les voitures autonomes sans conducteur à rouler sur les routes publiques dès l'année prochaine, et Ford triplera le nombre de bornes de recharge pour VÉs réservées à ses employés en Amérique du Nord : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Le gouvernement néerlandais confirme son intention d'interdire les voitures neuves à essence et au diesel d'ici 2030, Mercedes-Benz aura 5 usines de batteries en service d'ici 2019, la recharge d'un VÉ consomme généralement moins d'énergie qu'un chauffe-eau aux États-Unis, et les finalistes pour le « Prix de la voiture verte de l'année 2018 » ont été annoncés : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Nissan fixe le coût de remplacement de la batterie de 24 kWH de la LEAF à 5 499 $ US, la Mission E de Porsche a été surprise en train de se mesurer aux Tesla, Ford s'apprête à transférer un tiers de ses investissements destinés aux moteurs à combustion interne aux voitures électriques, Tesla a livré plus de 250 000 VÉs, dont environ 55% aux États-Unis, et les États de New York et du New Jersey songent sérieusement aux voitures électriques : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
La Californie et son Air Resources Board ont longtemps été perçus comme des leaders dans la lutte contre le changement climatique et surtout dans l'adoption des voitures électriques.
Mais plusieurs autres pays ont depuis été plus agressifs et ont annoncé de futures interdictions sur les ventes de voitures à l'essence et diesel neuves. À présent, le gouvernement de la Californie envisagerait de prendre la même initiative drastique.
Mary Nichols, présidente du California Air Resources Board, a confirmé l'intérêt du gouverneur Jerry Brown pour une telle interdiction lors d'une entrevue avec Bloomberg la semaine dernière.
La France, le Royaume-Uni et l'Écosse ont tous récemment annoncé des efforts visant à interdire les voitures à essence en faveur des véhicules électriques, mais ce n'est qu'après que la Chine ait annoncé qu'elle envisageait également de faire la même chose que le gouverneur Brown a communiqué avec Nichols : « J'ai reçu des messages du gouverneur qui me demandait pourquoi nous n'avons pas déjà fait quelque chose », a déclaré Nichols, en se référant à l'élimination prévue des ventes de véhicules à combustible fossile par la Chine. « Le gouverneur a certainement manifesté un intérêt sur la raison pour laquelle la Chine peut le faire et pas la Californie. » Soyons clairs, la Californie a déjà fixé l'objectif de réduire ses émissions de carbone de 80 % par rapport au niveau de 1990 d'ici 2050, ce qui nécessiterait de remplacer pratiquement toute la combustion par des énergies renouvelables dans l'État une décennie avant l'année visée. Mais il n'existe pas de politique réelle qui oblige à se diriger vers vers cela, excepté le mandat actuel des véhicules à zéro émission que les écologistes considèrent comme faible. Nichols ne semble pas avoir déterminé un calendrier spécifique pour imposer une interdiction, en autant que 2030 ne soit pas « hors de question » : « Il y a des gens qui croient, y compris ceux qui travaillent pour moi, qu'on peut arrêter toutes les ventes de nouvelles voitures à combustion interne d'ici 2030. Certaines personnes disent 2035, certaines personnes disent 2040 », a-t-elle déclaré. « Il est terriblement difficile de prédire tout cela avec précision, mais cela ne semble pas être hors de question. » Il y a un peu plus de 300 000 VÉs sur les routes californiennes aujourd'hui, et l'État ajoute 2 millions de voitures par an. Une interdiction réelle des véhicules à essence et au diesel serait d'une importance telle qu'elle aurait probablement un impact sur l'ensemble de l'industrie automobile. Le point de vue d'Electrek Comme nous l'avons déjà signalé auparavant lorsque nous parlions de ces possible interdictions, nous pensons que ces délais pour la fin des ventes de voitures à essence neuves sont trop conservateurs. Une fois que les groupes motopropulseurs tout-électriques, en raison de la chute des coûts des batteries, atteindront la parité des coûts avec les moteurs à combustion interne avant même de tenir compte du coût de fonctionnement (économies sur l'essence et l'entretien), il n'y aura pratiquement aucune raison pour les acheteurs de vouloir des voitures à essence plutôt que des voitures électriques à batterie. Au rythme où les coûts des batteries diminuent, cela se produira bientôt (entre 2020 et 2025) et l'industrie devra migrer sa capacité de production au cours des 10 années suivantes. Apparemment, la plupart des constructeurs automobiles ne sont pas d'accord avec ce calendrier, mais c'est pour cela que ces interdictions sont bénéfiques. Elles envoient un message clair à l'industrie automobile selon lequel il existe un délai pour la vente de produits émettant de la pollution, et celle-ci doit s'y préparer.
Source : Electrek
Contribution : Naïma Hassert
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Morgan Stanley affirme que les VÉs auront les mêmes prix que les véhicules à essence d'ici 202529/9/2017
Morgan Stanley est de plus en plus optimiste avec ses estimations sur les VÉs. Le groupe de recherche a récemment conclu que les VÉs atteindront la parité des prix avec les voitures à essence d'ici 2025.
Les voitures électriques ont encore un long chemin à parcourir avant de pouvoir être considérées un tant soit peu comme étant grand public. Dans la plupart des endroits, les VÉs ne représentent que 1 à 2% du marché total. Bien que cela prenne beaucoup de temps avant que ce pourcentage ne soit vraiment mesurable (dans la plupart des endroits), certains facteurs peuvent accélérer de beaucoup l'adoption.
Maintenant que l'autonomie des VÉs devient de moins en moins un facteur contribuant, et cela va changer radicalement dans les années à venir, le facteur numéro un qui inhibe la croissance du segment des VÉs est probablement le prix. Les gens ne vont tout simplement pas acheter un véhicule électrique si celui-ci coûte beaucoup plus cher. Cela est particulièrement vrai dans une économie où les prix de l'essence sont bas et l'ont été pendant un certain temps. Mais si les VÉs avaient le même prix que les voitures à essence? Certains soutiendraient que certains VÉs ont déjà atteint la parité des prix avec les voitures à essence si vous comptez les économies sur l'essence et l'entretien, surtout avec les incitatifs financiers. D'autres pensent toujours qu'un VÉ coûte simplement plus cher. Malheureusement, nous vivons dans une société où les coûts à l'achat comptent beaucoup plus que les coûts à long terme.
Ford et Lyft s'associent pour déployer des voitures autonomes, d'anciens cadres de BMW et de Nissan forment la marque de voitures électriques Byton, 2017 est l'année charnière pour les VÉS selon BHP, et les nouvelles stations de recharge pour VÉs dans les stations-services de Shell sont pareilles aux pompes à essence : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
La France, le Royaume-Uni, et plus récemment l'Écosse, ont tous annoncé leur intention d'interdire le pétrole et les voitures à essence en faveur des véhicules électriques.
Bien que certaines de ces initiatives puissent avoir un impact significatif, aucune ne serait plus importante que si le plus grand marché automobile du monde, la Chine, ferait de même. À présent, le gouvernement chinois envisagerait également un date limite pour rendre son pays tout-électrique, ce qui serait en gros la fin du moteur à combustion interne.
Bloomberg a rapporté qu'un haut fonctionnaire du gouvernement a confirmé qu'ils travaillent sur le calendrier d'une telle date limite :
« Xin Guobin, vice-ministre de l'industrie et des technologies de l'information, a déclaré que le gouvernement travaille avec d'autres régulateurs sur un calendrier pour mettre fin à la production et aux ventes. Le mouvement aura un impact profond sur l'environnement et la croissance de l'industrie automobile chinoise, a déclaré Xin lors d'un forum automobile à Tianjin samedi ». D'autres pays, comme la Norvège, le Royaume-Uni et la France, ont proposé des dates limites entre 2025 et 2040 pour la fin des nouvelles ventes de voitures à essence et au diesel. On n'est pas encore sûrs de la date visée par la Chine. Le point de vue d'Electrek En tant que plus grand marché automobile du monde, la Chine mettant en œuvre un délai pour la fin de la vente de nouvelles voitures à essence et au diesel serait pratiquement une condamnation à mort pour le moteur à combustion interne. La Chine a déjà un mandat de zéro émission assez agressif à court terme qui a incité les constructeurs automobiles à augmenter considérablement leurs investissements dans la production de véhicules électriques dans le pays. GM, Volkswagen, Daimler, Toyota, et plus récemment Ford, ont annoncé de nouveaux projets de véhicules électriques en Chine. C'est le résultat direct du mandat de véhicules à zéro émission du pays, qui oblige les constructeurs automobiles à ce que les véhicules à zéro émission représentent 8% des ventes de voitures neuves dès 2018, nombre qui devra augmenter rapidement jusqu'à 12% d'ici 2020. Le nouvel effort fixerait le calendrier pour amener cette part de marché des VÉs de 12% à 100%. Selon le moment où la date limite est fixée, il devrait avoir un impact beaucoup plus important.
Samsung dévoile de nouvelles batteries pour voitures électriques offrant jusqu'à 600 km d'autonomie, « la plus grande station de recharge du monde » ouvrira en 2018 en Allemagne, les constructeurs automobiles devront déterminer leurs propres règles de conduite autonome, Daimler affirme que les VÉs sont moins rentables que les véhicules classiques, et la Chevrolet Bolt peut parcourir 750 km sur une seule charge : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
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