Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes.
Contribution: André H. Martel
Commentaires
Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes.
Contribution: André H. Martel
Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes.
Contribution: André H. Martel
La livraison des autobus a été effectuée par Western Canada Bus, un concessionnaire d’autobus IC qui s’associe aux districts scolaires de la Colombie-Britannique depuis deux ans pour électrifier leur flotte.
Volkswagen et Navistar ont présenté leur bus scolaire électrique ChargE en 2018. Depuis, Navistar a fondé une unité commerciale pour les autobus électriques et les camions en 2019 et, à la fin de l’année dernière, la compagnie Traton, filiale de Volkswagen, a repris Navistar pour faciliter son développement en Amérique du Nord. « IC Bus est fière de livrer nos autobus scolaires électriques de la série CE aux districts scolaires de la Colombie-Britannique », a déclaré Trish Reed, vice-présidente et directrice générale d’IC Bus. « Nous sommes impatients d’accroître notre empreinte électrique et d’intégrer l’univers électrique en offrant la meilleure solution d’autobus scolaires électriques sur le marché. » IC Bus affirme que ses autobus offrent la meilleure autonomie sur une seule charge dans l’industrie, expliquant que les trois options de batterie offrent une autonomie variant entre 113 km et 320 km. Face à une augmentation des commandes potentielles au Canada, le gouvernement du Québec a récemment annoncé qu’il électrifierait la plupart des autobus scolaires, soit environ 2 600 autobus d’ici 2030. On croit que le fabricant d’autobus local Lion Electric sera en tête dans cette compétition puisqu’il produit déjà des autobus scolaires électriques et est basé à St-Jérôme au Québec. Le fait qu’un certain nombre d’États américains ont récemment manifesté leurs intentions de commander des autobus scolaires électriques devrait intéresser les manufacturiers. Pour le moment, la plus grosse commande d’autobus scolaires électriques aux États-Unis vient du comté de Montgomery au Maryland. Pour le moment, IC Bus met l’emphase sur sa spécificité, en disant que la compagnie IC Bus offre le seul autobus scolaire électrique avec trois niveaux de freinage régénérateur. Cela permet à l’autobus de recueillir l’énergie cinétique créée par le freinage et de l’utiliser pour alimenter le véhicule. Electrive.com
Contribution: André H. Martel
Québec et Ottawa financeront à hauteur de 100 millions $ la construction d'une usine d'assemblages de bloc-batteries du constructeur de camions électriques Compagnie électrique Lion à Saint-Jérôme, dans les Laurentides.
Annoncé lundi, le projet dont la facture est évaluée à 185 millions $ devrait se traduire par la création de 135 emplois lorsque la construction du complexe sera achevée, en 2023. Par la suite, 150 postes de plus devraient s’ajouter.
L’annonce a été effectuée en conférence de presse à Montréal en présence du premier ministre canadien, Justin Trudeau, du premier ministre québécois, François Legault, et du président et fondateur de Lion Électrique, Marc Bédard. La contribution de Québec sera un prêt pardonnable de 50 millions $ lié à la création d’emplois. De son côté, le gouvernement Trudeau offre 50 millions $ par l’entremise du Fonds stratégique pour l’innovation. Le projet devrait permettre à Lion d’accroître sa production annuelle de véhicules à 2500 unités. La construction d'une usine devrait permettre à la société «d'améliorer sa structure de coûts», ce qui devrait contribuer à la rendre «plus compétitive», a fait valoir le gouvernement Legault dans un communiqué. Lion, qui a entre autres vendu des camions au géant Amazon et à la Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada (CN), compte actuellement 465 employés à Saint-Jérôme, où elle construit des autobus électriques et des camions urbains. La municipalité des Laurentides avait également offert un terrain à Lion afin d'accueillir l'usine de batteries. «(Environ) 80 % des composantes utilisées par Lion pour construire les véhicules proviendront d’environ 300 fournisseurs canadiens, a fait valoir M. Trudeau, dans ses remarques d’ouverture. Lion va devenir le premier fabricant de véhicules de poids moyens et lourds au Canada à produire ses propres batteries.» Pour sa part, M. Legault a souligné que les appuis financiers permettront au Québec de «bâtir une expertise en transport électrique». En plus de l'usine, l'entreprise établira un centre d’innovation pour effectuer de la recherche et du développement afin de mettre à l’essai et de perfectionner d'autres produits, notamment des batteries pour des véhicules d’urgence tels que des ambulances. Fondée en 2008, Lion doit bientôt prendre le chemin de la Bourse de New York pour financer sa croissance, qui passera également par l’ajout d’une usine de production aux États-Unis. La valeur boursière initiale de la nouvelle entité, qui s’appellera Lion et dont le symbole boursier sera «LVE», a été évaluée à 1,9 milliard $ US (2,5 milliards $ CAN). Julien Arsenault, La Presse Canadienne Microsoft Actualités
Contribution: André H. Martel
Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes québécois.
Contribution: André H. Martel
Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes québécois.
Contribution: André H. Martel
Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes québécois.
Contribution: André H. Martel
Si on additionne l'expertise de la province dans les batteries, les véhicules électriques, la construction navale, et le potentiel d’utilisation local, les ingrédients pour une grappe de traversiers électriques au Québec sont déjà en place.
Le Québec compte plus de véhicules électriques sur ses routes que toute autre province. Les municipalités du Québec, comme Montréal et Laval, déploient activement des autobus électriques dans leurs parcs de véhicules. Québec et Gatineau explorent également l'idée de développer un train léger sur rail électrique. Le gouvernement provincial a encouragé l'électrification par des remises et des incitatifs en offrant les subventions les plus généreuses au Canada. Le résultat est que le Québec est devenu un chef de file dans le développement, la fabrication et l’utilisation de véhicules électriques. Fort de ce leadership et de cette expérience incroyables en électrification, le Québec a l'occasion de franchir une nouvelle étape en développant une expertise dans les traversiers électriques et les navires maritimes. Traversiers largement utilisés L'un des aspects géographiques les plus importants du Québec est son incroyable littoral le long des deux côtes du fleuve Saint-Laurent. Près de huit millions de Québécois vivent dans le couloir entre Montréal, la Côte-Nord et Gaspé. Le résultat de cette situation géographique est que le Québec utilise beaucoup de traversiers pour transporter les gens et les produits d'une rive à l'autre du fleuve. À titre d'exemple, Québec est reliée à Lévis par un traversier. Il s'agit d'un lien de transport important entre deux grandes villes de la septième plus grande région urbaine du Canada. Ces traversiers représentent une part considérable de l'infrastructure de transport et de l'économie de la province, ainsi que de ses émissions de gaz à effet de serre. Le fait que ses traversiers soient une source d'émissions de GES est bien connu au Québec. Le gouvernement a annoncé qu'il achètera de nouveaux traversiers qui utiliseront le gaz naturel liquéfié (GNL) comme source de carburant. La Société des traversiers du Québec (STQ) affirme que la conversion au gaz naturel réduira les coûts et les émissions de gaz à effet de serre de 25%. Il s'agit d'une première étape que l’on doive encourager. Cependant, une réduction de 25% des émissions de gaz à effet de serre ne devrait pas être l'objectif final de la STQ. Le transport maritime crée d'autres émissions nocives, en particulier des oxydes d'azote et de soufre, en plus du dioxyde de carbone. En effet, l'an dernier, un porte-parole de la STQ a confirmé que l'électrification complète était une option envisagée. Étant donné que le Québec est doté des compétences, des ressources et de la main-d'œuvre pour accroître son leadership dans ce domaine, la province semble mûre pour investir et innover. La Norvège, un exemple Pour voir ce à quoi pourrait ressembler une reprise verte au Québec, nous pouvons nous tourner vers l'Europe. La Norvège est une autre juridiction dont la répartition de la population est similaire à celle du Québec, dans la mesure où ses principales villes sont toutes situées le long de la côte. C'est également la juridiction ayant le taux d'adoption le plus élevé de véhicules électriques en Europe, semblable à la position du Québec au Canada. En 2015, Norled, une compagnie de ferry norvégienne, a commencé à exploiter le premier car-ferry entièrement électrique au monde. Trois ans plus tard, la Norvège a annoncé son intention de créer une zone sans émissions sur tous ses fjords classés au patrimoine mondial, et depuis lors, d'autres opérateurs de ferry norvégiens, dont Fjord1, qui exploite l'un des plus grands réseaux de transport du pays, ont acheté des ferries électriques ou annoncé leur intention d’électrifier leurs flottes. La Scandinavie n'est pas seule à adopter cette approche. La ville de New York, divisée en plusieurs îles, a passé une commande de traversiers électriques dans le cadre d'une initiative élargie de la ville pour électrifier sa flotte de transports publics. Au Canada, la Colombie-Britannique et l'Ontario ont également commencé à acquérir des traversiers électriques hybrides. Le Québec devrait assumer le leadership dans ce domaine Le Québec devrait saisir l'occasion pour devenir le chef de file en matière d'électrification maritime. La province est unique en ce qu'elle abrite un réseau de spécialistes universitaires en véhicules électriques travaillant pour des groupes tels que l' Institut des Véhicules Innovants (IVI), ainsi que des producteurs du secteur privé comme Lion et Novabus. Le Québec possède également un réseau de chantiers navals capables de produire des traversiers, notamment le Chantier Davie situé à Lévis. Davie a de l'expérience dans l'installation de systèmes d'alimentation électrique Wärtsilä sur des traversiers diesel conventionnels, ainsi que dans des technologies de propulsion alternatives comme les traversiers GNL. Davie a livré le traversier MV Armand-Imbeau II à la STQ en 2018, qui présentait des capacités de propulsion électrique sur une plateforme de GNL. Bien que le Québec puisse concevoir et construire des traversiers électriques pour son propre usage, il existe de nombreuses autres juridictions au Canada qui pourraient également profiter de cette expertise. Les quatre provinces de l'Atlantique exploitent des traversiers, comme la ville de Halifax, qui exploite des traversiers dans le cadre de son réseau de transport en commun. Le Québec pourrait également devenir un chef de file national dans la démonstration du potentiel de réduction des coûts de l'électrification maritime. Alors qu'aujourd'hui le prix du diesel et du gaz naturel diminue sur un marché de plus en plus volatile, les traversiers sont des investissements à long terme, conçus pour être utilisés pendant plusieurs décennies. Par conséquent, les effets à long terme de la taxation du carbone et du plafonnement du prix du diesel et du gaz naturel comme source de carburant deviendront un fardeau croissant par rapport au prix de l'électricité. De même, le prix de l'électricité au Québec est très bas par rapport à d'autres juridictions au Canada. Potentiel de marché concret Il existe un potentiel de marché concret et démontrable dans l'électrification des traversiers. Ils parcourent de courtes distances et accostent fréquemment dans des ports où le potentiel de recharge est important. Le couplage avec une source d'énergie renouvelable comme l'immense réserve d'hydroélectricité du Québec offre un potentiel exceptionnel pour améliorer la qualité de l'air, tout en économisant sur les coûts de carburant et en investissant dans les technologies propres. Le mondedevrait être très différent après la COVID-19. La façon dont les gens se déplaceront dans la province va changer, ainsi que leurs habitudes de consommation. Malgré ce changement, tant que le fleuve Saint-Laurent séparera le Québec en deux, les traversiers seront toujours nécessaires. Christopher Ralph Electric Autonomy
Contribution: André H. Martel
Informations et activités de la semaine au Québec
Contribution: André H. Martel
Le marché mondial des véhicules électriques devrait dépasser les 425 milliards de dollars d’ici 2025, selon un rapport de recherche de Global Market Insights, Inc.
La prévalence croissante des émissions de carbone ainsi que la préoccupation de réduire l’utilisation carburants fossiles contribuent de manière significative à la demande croissante de véhicules électriques. Les autorités établissent des lignes directrices pour la sécurité énergétique et l'amélioration de la qualité de l'air, offrant ainsi des perspectives positives pour l'adoption de la mobilité verte à travers le monde. L'augmentation du revenu disponible ainsi que la nécessité de solutions de mobilité efficaces accroissent encore la croissance prévue du marché.
L’utilisation des véhicules électriques est en grande partie dictée par l’environnement politique de soutien. Les principales économies du monde cherchent à réduire leur dépendance aux carburants classiques en éliminant progressivement les véhicules à moteur diesel et à essence. Ces politiques créent un environnement favorable pour que les consommateurs optent pour les véhicules électriques. Les participants de l'industrie lancent également de nombreuses variantes de véhicules électriques pour cibler une large clientèle, offrant ainsi une perspective positive de l'expansion de l'industrie dans un avenir prochain. Selon les dernières prévisions, le niveau de CO2 dans l'atmosphère devrait enregistrer une augmentation moyenne de 2,75 parties par million par rapport à 2019. Si le monde doit atteindre les objectifs de l'accord de Paris sur la température, les émissions mondiales doivent chuter d'ici 2020. Contrairement aux véhicules classiques, les véhicules alimentés par batterie ne nécessitent pas de carburant et ne dégagent donc pas de CO2. Le nombre croissant de problèmes liés aux émissions des véhicules, associé à la nécessité croissante de réduire les effets des gaz à effet de serre, propulsera ainsi à l'avenir la part de marché des véhicules électriques.
Au cours des dernières années, les véhicules électriques sont devenus monnaie courante, du moins sur les principaux marchés mondiaux. Ayant maintenant acquis une part modeste mais significative du marché des voitures particulières, l’industrie des véhicules électriques s’intéresse au secteur du transport en commun. Les entreprises fabriquent maintenant des bus électriques et les vendent aux villes souhaitant réduire leur empreinte carbone. Les principaux fabricants du secteur des bus électriques comprennent New Flyer, basé au Canada, BYD en Chine et la startup américaine Proterra. Au Québec, les Autobus Lion ainsi que Novabus sont aussi des intervenants importants dans le domaine des bus électriques.
Austin est récemment devenue la cinquième ville du Texas à investir dans les bus à batterie Proterra. Capital Metro, l’agence de transport en commun de la ville, a pour objectif principal d’acquérir 40 autobus ainsi que 4 systèmes de recharge Proterra de 60 kilowatts. Sans émission d'échappement, les bus électriques peuvent aider l'agence à atteindre efficacement ses objectifs de développement durable. L'adoption croissante de tels véhicules pour les transports en commun va proliférer davantage sur le marché mondial des véhicules électriques. L’amélioration des capacités d’ingénierie des véhicules, associée aux progrès techniques des systèmes de transmission, favorise le développement de systèmes de véhicules électriques. La disponibilité de composants mécaniques plus simples, associée à un poids de moteur réduit, contribue de manière significative à accroître l'efficacité globale du véhicule. La possibilité de recharger des véhicules de remplacement sur les lieux d'accueil et sur les lieux de travail contribuera également à renforcer la pénétration du marché des véhicules électriques. Parcourez les informations clés du secteur, réparties sur 210 pages, avec 218 tableaux de données de marché, 9 graphiques et graphiques tirés du rapport "Marché des véhicules électriques", ainsi que la table des matières. https://www.gminsights.com/industry-analysis/battery-electric-vehicles-bev-market Le développement des véhicules électriques d'Amérique du Nord dépend encore des incitatifs gouvernementaux et des politiques fiscales favorables. En outre, les gouvernements doivent mettre en place des infrastructures de recharge pour répondre à la demande croissante de tels véhicules. Par exemple, le gouvernement de la Colombie-Britannique offre des réductions et des remises allant jusqu'à 5 000 USD pour l’acquisition de véhicules électriques dans le cadre de son programme incitatif : "Véhicules à énergie propre pour la Colombie-Britannique". Parmi les principaux acteurs du marché des véhicules électriques à batterie, citons les sociétés BYD Ltd., BMW, Daimler AG, Volkswagen AG, Ford Motor Company, Toyota Motor Corporation, Nissan Motor Corporation, Hyundai Motor Company et Tesla Inc. Obtenez un exemple de copie de ce rapport https://www.gminsights.com/request-sample/detail/3181 Market Watch
Contribution: André H. Martel
Sujets d’intérêt à consulter ce matin: VOITURE ÉLECTRIQUE Parlons des vraies affaires, Nous sommes 270, 650!, Le CN signe pour huit tracteurs électriques québécois Lion.
.
VOITURE ÉLECTRIQUE Parlons des vraies affaires Sylvain Juteau Président de Roulez Électrique, et trois autres signataires* Voulant une fois pour toutes dissiper les doutes et les rumeurs au sujet de la voiture électrique, voici un résumé des faits admis par tous les spécialistes en électrification des transports. La Presse+
Nous sommes 270 650 !
Le succès de la mobilisation ne se dément pas ! Tou-te-s uni-e-s pour le climat, nous sommes chaque jour plus nombreux à poser des gestes, à revendiquer, mais ça n’est pas encore assez! La situation continue de se dégrader, les émissions de GES sont en hausse, le Canada se réchauffe de plus en plus et les politiques ne nous convainquent pas. Il faut continuer de relayer l’alarme de la science : Dominique Champagne Outlook.live.com
Le CN signe pour huit tracteurs électriques québécois Lion
Le CN a annoncé aujourd’hui avoir signé un protocole d’entente avec La Compagnie Électrique Lion pour l’acquisition de huit camions électriques de classe 8 à essieu tandem et à émission zéro dans le cadre de sa plus vaste stratégie de développement durable visant la réduction des émissions grâce à l’innovation. Transport Routier
Contribution: André H. Martel
|
Abonnez-vous à notre infolettre hebdomadaire
Use a valid e-mail address Votre inscription est confirmée.
xhr
100
NOS PARTENAIRES |