L’énergie propre, les incitatifs à l’achat et les politiques progressistes de la ville poussent les exploitants de flottes commerciales à choisir le Grand Montréal comme un lieu de prédilection pour déployer des camions électriques lourds.
Traverser la grande région de Montréal vous permettra de voir de nouveaux véhicules sur la route que seuls quelques Canadiens ont vus : des camions électriques moyens et lourds. Loblaw, Coke, McDonald’s, une poignée d’exploitants de flottes qui transportent des marchandises à Montréal par camion électrique et qui confirment une tendance dans l’industrie vers le transport de marchandises zéro émission. Le fait que les corridors de transport urbain soient devenus un point chaud nord-américain pour les camions électriques lourds n’est pas un hasard. Il s’agit plutôt d’un indicateur clair que la combinaison de politiques municipales, provinciales et fédérales s’harmonise pour créer des conditions idéales pour l’achat et le déploiement de camions électriques. Loblaw est la plus récente entreprise à se joindre aux exploitants de camions électriques de la région. Le mois dernier, le géant de l’épicerie a lancé son premier camion de transport lourd entièrement électrique au Canada : un Freightliner eCascadia électrique de Daimler Truck North America. Le camion effectue des trajets quotidiens sur de courtes distances entre le centre de distribution de Loblaw à Boucherville et les magasins appartenant à Loblaw dans le Grand Montréal. Les destinations de livraison incluent Provigo, Provigo Le Marche et Maxi. « Ce n’est un secret pour personne que la décarbonisation des véhicules est essentielle à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, et nous voulons être les chefs de file dans l’adoption de cette nouvelle technologie », a déclaré dans un communiqué de presse Brian Springer, vice-président des opérations nationales du transport chez Loblaw. « Pendant près de deux ans, nous avons déployés différents véhicules dans divers secteurs de notre entreprise, et nous sommes ravis de déployer une solution qui fonctionne. » Soutien de la Ville, implication de la province Selon la Ville de Montréal, ce n’est que le début. L'objectif de son plan climatique est de réaliser 25 % des livraisons sans émissions de GES d’ici 2030. « Conformément à ses engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre, la Ville de Montréal souhaite augmenter et diversifier l’offre de transport électrique en développant des options de mobilité plus durables, abordables et accessibles », a déclaré un porte-parole de la Ville. De plus, Montréal a investi 13 millions de dollars dans des entreprises locales liées à la mobilité durable et zéro émission. Toutefois, ces objectifs dépendent également de l'implication du gouvernement provincial. Dans le cas de Loblaw, l’énergie propre et peu coûteuse du Québec a été l’une des principales raisons pour lesquelles l’entreprise a décidé de déployer ce camion électrique à Montréal. « La production d’électricité au Québec est relativement peu coûteuse et presque entièrement hydroélectrique, ce qui en fait une source d’énergie propre que nous pouvons exploiter pour recharger notre véhicule électrique », a déclaré le porte-parole de Loblaw dans une déclaration par courriel à Electric Autonomy. L’utilisation du véhicule entre Boucherville et Montréal donne également à Loblaw l’occasion de tester la technologie du camion électrique dans différents climats et conditions routières. « Le déploiement du camion au Québec nous permettra également de mieux comprendre comment les fluctuations de température pourraient avoir un impact sur la durée de vie de la batterie », explique le porte-parole. Objectifs climatiques des entreprises D’autres entreprises ont adopté une approche similaire. L’an dernier, le distributeur de McDonald’s Canada, la compagnie Martin Brower, a commencé à utiliser un camion semi-remorque Volvo VNR Electric Class pour la livraison d’aliments et de boissons aux restaurants de Montréal. À peu près au même moment, Kruger Énergie, un développeur et gestionnaire de centrales électriques d’énergie renouvelable basé à Montréal, a déployé deux semi-remorques électriques Peterbilt 8EV de classe 579 sur la Rive-Nord de Montréal. Les camions livrent du papier de toilette, les essuie-tout Sponge Towel et des produits de papier tissu de marque Bonterra entre deux installations appartenant à Produits Kruger. Les deux camions électriques de Kruger fonctionnent 20 heures par jour, sept jours par semaine. À plein régime, ils parcourront 365 000 km par année, soit plus de 1 000 km par jour, entre les dépôts de Crabtree et de Laval. Le Freightliner Cascadia de Loblaw, d’une capacité de transport allant jusqu’à 82 000 livres de poids brut et d’une autonomie allant jusqu’à 370 kilomètres par charge, retourne en fin de journée au dépôt de Boucherville après chaque quart de travail pour se recharger. Kruger et Loblaw affirment que l’expansion de leurs parcs de camions électriques leur permettra de réduire leur empreinte carbone. Kruger a déjà commandé 50 camions électriques supplémentaires, et environ 20 devraient prendre la route au cours des deux prochaines années, tandis que Loblaw prévoit ajouter quatre autres Freightliner Cascadia électriques à sa flotte canadienne au cours des prochains mois . Loblaw prévoit également décarboniser son parc de plus de 160 camions d’ici 2030. « Bien que les emplacements n’aient pas encore été finalisés, nous prévoyons les déployer également dans d’autres provinces », a déclaré le porte-parole de Loblaw. Incitatifs et mise à niveau des compétences En plus de l’énergie propre du Québec, le soutien financier des gouvernements provincial et fédéral est un autre facteur important à l’origine de l’essor du camionnage électronique au Québec. Le Québec encourage l’adoption des camions électriques avec des incitatifs à l’achat pour aider les entreprises à compenser les coûts plus élevés des véhicules moyens et lourds. Dans le cadre de son programme Ecocamionnage, la province offre un rabais à l’achat de 175 000 $ par camion lourd électrique. La Colombie-Britannique est la seule autre province à offrir un incitatif similaire. L’an dernier, le gouvernement fédéral a également commencé à offrir des incitatifs à l’achat pouvant atteindre jusqu’à 200 000 $ pour les véhicules moyens et lourds, qui peuvent être combinés à des rabais provinciaux ou territoriaux. Loblaw n’a pas précisé si elle avait profité de ces programmes. Mais pas plus tard que le mois dernier, Coca-Cola Canada a confirmé qu’elle avait profité des deux programmes pour financer l’achat de six camions électriques Volvo VNR Class 8. Les camions, qui seront livrés en 2023, effectueront quotidiennement 150 km aller-retour entre son centre de distribution et les emplacements des clients à Montréal. En plus des programmes de rabais, le gouvernement du Québec investit également dans le perfectionnement de sa main-d’œuvre avec les compétences nécessaires pour entretenir et réparer les camions lourds. Le mois dernier, le gouvernement du Québec s’est engagé à verser plus de 7 millions $ pour développer un programme de formation de trois ans sur l’entretien des véhicules électriques et hybrides lourds. L’objectif du programme est de former 264 mécaniciens et réparateurs de véhicules électriques et hybrides lourds au Québec, créant ainsi plus d’emplois et une main-d’œuvre qualifiée pour répondre aux besoins de l’industrie croissante des camions électriques au Québec. Focus sur le fret urbain À Montréal, la stratégie d’électrification des transports 2021-2023 de la ville vise d’autres éléments pour réduire les émissions de carbone. Adoptée en 2021, l’un des principaux objectifs de la stratégie est « d’intensifier les efforts pour encourager l’électrification du transport urbain de marchandises ». La Ville souhaite, dans le cadre du projet Colibri, accélérer le déploiement de véhicules zéro émission et réduire la circulation des camions lourds dans la mesure du possible, en transférant certaines livraisons à de plus petits véhicules électriques comme des vélos cargo électriques afin de réduire les embouteillages et les impacts de la pollution à Montréal. Lancé initialement en 2019, Montréal a fortifié le projet Colibri en novembre dernier. Les coursiers à vélo participant au projet comprennent FedEx, Courant Plus et Machool. « Le projet Colibri favorise la cohabitation sécuritaire entre tous les usagers de la route et contribue à une industrie du transport de marchandises urbaine plus verte et plus flexible », a déclaré le porte-parole de Montréal. Le projet vise à éliminer 150 tonnes de CO2 ainsi que plus de 35 000 livraison de camions diesel et plus de 30 000 heures de présence de camions dans les quartiers centraux de Montréal annuellement. Montréal a également adopté une mesure unique au Canada en établissant une zone zéro émission dans certaines parties de la ville d’ici 2030 qui empêchera les véhicules à combustion, incluant les camions, de s’y rendre. Katie Ingram Electric Autonomy Canada
Contribution: André H. Martel
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McDonald's Canada et la compagnie Martin Brower dévoilent le tracteur électrique Volvo de classe 814/4/2022
Le camion Volvo électrique de classe 8, loué et exploité par le partenaire de distribution de la chaîne de restauration rapide, sera utilisé pour effectuer des livraisons aux restaurants McDonald's Canada à Montréal.
Le géant mondial de la chaîne de restauration rapide McDonald's Canada a annoncé qu'il intégrerait un nouveau tracteur semi-remorque Volvo VNR électrique de classe 8 dans sa flotte de distribution après que son partenaire de distribution, Martin Bower, ait accepté d’inclure le véhicule. Le tracteur zéro émission de Martin Brower sera utilisé pour transporter des remorques de McDonald's pour les livraisons d'aliments et de boissons aux établissements McDonald's de Montréal, le premier de deux tracteurs électriques Volvo de classe 8 impliquant la chaîne de restauration rapide cette année. La compagnie Martin Brower, basée aux États-Unis opère dans 18 pays, est un prestataire de services logistiques spécialisés dans la restauration. Le nouveau camion de McDonald's, assurera les livraisons par camion électrique dans un rayon de 150 kilomètres de son centre de distribution de Montréal, situé dans la ville de Baie-D'Urfé. Une infrastructure de recharge a été installée sur le site pour prendre en charge les livraisons quotidiennes. Julie Dell'Aniello, présidente de Martin Brower Canada a déclaré dans un communiqué de presse. « Notre objectif est de fournir des solutions innovantes et significatives pour aider les restaurants et notre entreprise à créer un avenir plus durable, éthique et responsable, chaque jour, partout dans le monde. » « En intégrant le tracteur électrique Volvo VNR à notre flotte, nous acquerrons une expérience précieuse pour les futurs déploiements de tracteurs à zéro émission qui nous permettront de continuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre afin que nous puissions atteindre nos objectifs de durabilité.» Dans le communiqué de presse, le directeur général de Volvo Trucks North America, Paul Kudla, a ajouté : « Nous sommes ravis de nous associer à notre client de longue date, Martin Brower, pour être le premier à déployer un Volvo VNR Electric à Montréal en collaboration avec McDonald's Canada… Nous souhaitons poursuivre notre collaboration avec les deux organisations alors qu'elles entreprennent leur voyage vers l'électromobilité. » Des ambitions zéro nettes McDonald's Canada se dit très intéressée de voir comment le tracteur Volvo s'intégrera à ses opérations. McDonald's compte plus de 1 400 établissements au Canada. Montréal a été choisie pour tester les performances et la fiabilité du tracteur dans des conditions estivales et hivernales. "Cet essai a le potentiel d'influencer un changement majeur dans la façon dont nous abordons la distribution de la chaîne d'approvisionnement, ce qui nous rapprochera de l'atteinte des objectifs net zéro de McDonald's", a déclaré dans un communiqué de presse Jacques Mignault, président et chef de la direction de McDonald's Canada. "Compte tenu de l'impact potentiel que l'essai pourrait avoir sur notre activité et nos engagements mondiaux en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre, il s'agit d'un projet extrêmement important pour l'entreprise." McDonald's s'aligne sur l'objectif mondial d'atteindre des émissions nettes nulles dans toutes ses opérations d'ici 2050. Selon les résultats du projet pilote, McDonald's envisage la possibilité d’ajouter plus de véhicules zéro émission dans sa chaîne d'approvisionnement. En plus de l'essai à Montréal, McDonald's a confirmé son intention de lancer plus tard cette année un deuxième essai pour tester le second véhicule Volvo VNR électrique de classe 8 à Brampton, en Ontario, Concessionnaire de services Le tracteur électrique de Martin Brower sera entretenu au nouveau centre de service de véhicules électriques certifié Volvo Trucks, Camions Volvo Montréal. L'entente de service pour l’entretien du camion de Brampton n'a pas été confirmée. En février dernier, Volvo Trucks North America a étendu son réseau de concessionnaires certifiés de véhicules électriques au Canada et a choisi Camions Volvo Montréal ainsi que Paré Centre du Camion, basé à Québec, comme premiers concessionnaires à compléter le programme de formation de certification requis pour ses camions électriques de classe 8. . « En tant que concessionnaire de véhicules électriques certifiés Volvo Trucks, nous sommes prêts et capables de soutenir nos clients dans leurs objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre », a déclaré Jean-François Bibeau, directeur général de Camions Volvo Montréal. « L'électrique est l'avenir du transport, et il s'agit d'une première étape passionnante alors que nous contribuons à faciliter la transition vers les tracteurs électriques au Canada. » Mehanaz Yakub Electric Autonomy
Contribution: André H. Martel
Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes.
Contribution: André H. Martel
Le fabricant de câbles et d'assemblages de câbles ProEV prévoit ouvrir une usine de câblage et une division d'ingénierie à Montréal, au Canada, pour les véhicules électriques commerciaux et industriels en août 2022.
L'entreprise indique qu'elle est actuellement à la recherche de personnel pour l'usine de Montréal, ainsi que pour le développement et l'installation d'équipement à l'usine. Elle souhaite qu'une fois complété, ce devienne "le plus gros centre de câblage et d'ingénierie dédiés aux véhicules électriques commerciaux et industriels en Amérique du Nord". ProEV, basée au Canada, est une division d' Electrical Components International .
*Fondée par le fabricant de matériel électronique, la compagnie Promark Electronics Inc., chef de file de l’industrie, ProEV ™ a été créée pour répondre aux besoins grandissants du domaine du transport en matière de câbles et d’assemblages pour les véhicules électriques. Motivé par les 35 années d'expérience de Promark dans la création de composantes électroniques essentielles, pour les fabricants de matériel d’origine, ProEV ™ est conçue par des ingénieurs, pour des ingénieurs. Promark Electronics est un fier fournisseur canadien de services de fabrication de matériel électronique (SFE), reconnu pour appuyer depuis longtemps l’innovation en matière de transport dans les secteurs commercial, civil et militaire partout en Amérique du Nord.
Matt Cousineau ChargedEVs
Contribution: André H. Martel
Êtes-vous prêts à embarquer dans un taxi sans chauffeur, partager l’autoroute avec un camion sans conducteur, traverser au passage piéton devant un véhicule 100% automatisé?
Montréal teste actuellement une navette autonome dans un des quartiers les plus achalandés de la ville. Quels sont les défis en matière de technologie et de sécurité? Comment les véhicules autonomes risquent de transformer nos villes en profondeur? Sont-ils une voie vers une mobilité plus fluide et plus respectueuse de l’environnement? Embarquement immédiat pour une discussion sur les enjeux soulevés par ces véhicules pas si futuristes que cela. Avec la participation de:
Mercredi 10 novembre 2021, 18h EN LIGNE - GRATUIT Événement Facebook Pour participer : rendez-vous sur la chaîne YouTube du Cœur des sciences.
Contribution: André H. Martel
Depuis 10 ans, plusieurs municipalités de la Colombie-Britannique exigent que les nouvelles constructions immobilières soient pourvues de bornes de recharge pour véhicules électriques. À Montréal, il semble que les bornes soient plutôt rares dans les nouveaux bâtiments résidentiels, selon ce que révèle le plan d'électrification des transports à Montréal. Pourtant, la métropole semble vouloir s'inspirer de la Colombie-Britannique, comme le rapporte notre journaliste cambrioleuse Hélène Mercier.
Elle s’est tournée vers l’Association des véhicules électriques du Québec pour en apprendre davantage sur l’adaptation des infrastructures électriques en place dans les bâtiments résidentiels. Pour en savoir plus sur ce sujet, écoutez l’entrevue de David Corbeil, responsable des infrastructures de recharge à l’AVÉQ et PDG de la compagnie RVE Recharge. Rendez-vous sur le site : Radio Canada OhDio
Contribution: André H. Martel
La Ville de Montréal a dévoilé sa stratégie d'électrification des transports, qui consiste en un plan d’action de 885 millions de dollars. Ce plan, composé de sept orientations et de 23 objectifs, vise à faciliter l’accès à la recharge des véhicules électriques (VE) et à accélérer la transition écologique de façon concrète et significative.
L’Association des véhicules électriques du Québec accueille favorablement cette ambitieuse stratégie et souhaite collaborer avec la ville afin que les objectifs fixés dans ce plan soient atteints dans les meilleurs délais. Depuis 2014, la Ville de Montréal a installé près de 1000 bornes de recharge publiques de niveau 2 et prévoit doubler ce chiffre d'ici la fin 2025. La Ville de Montréal prévoit également travailler avec Hydro-Québec pour ajouter 60 bornes de recharge publiques rapides avec la création de carrefours de recharge dans les stationnements publics. « L’accès à la recharge est essentiel à l’adoption des véhicules électriques et la Ville de Montréal prend des actions concrètes pour anticiper les besoins grandissants des montréalais. En obligeant les nouveaux immeubles à prévoir les infrastructures de recharge dès la construction, les élus ont démontré qu’ils saisissent bien les enjeux de l’électromobilité. », soutient David Corbeil, administrateur et spécialiste en infrastructures de recharge à l’AVÉQ. De plus, la Ville de Montréal soutiendra les entreprises sur le territoire, afin qu'elles puissent participer activement au déploiement de bornes de recharge disponible pour tous. La mission de l’AVÉQ est de soutenir l'électromobilité sous toutes ses formes, en offrant une information neutre et objective aux consommateurs. Cette nouvelle stratégie de la Ville de Montréal permettra de créer un levier pour les autres villes du Québec, afin d'accélérer l’électrification des transports, de partager les meilleures pratiques et d’augmenter l’accès à la recharge dans les immeubles multilogements. Il suffit que le reste du Québec suive ce mouvement pour atteindre les objectifs gouvernementaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre provenant des véhicules légers. Stratégie d’électrification des transports 2021-2023 , Ville de Montréal : Ville de Montréal
Contribution: André H. Martel
Porsche Drive et Turo collaborent pour offrir à Montréal l’ultime expérience Taycan en juin10/6/2021
Automobiles Porsche Canada, Ltée et Turo, la plus grande plateforme d’autopartage entre particuliers au Canada, sont fiers d’annoncer le lancement aujourd’hui d’une toute nouvelle collaboration au Canada qui met en vedette la Porsche Taycan, la première voiture de sport entièrement électrique de la marque, accessible à partir de la plateforme tout au long de juin, à Montréal.
C'est ainsi que, sur demande, les invités de Turo pourront constater par eux-mêmes l’exceptionnelle technologie et l’incroyable comportement dynamique de la Taycan, et auront un aperçu des avantages qu'offre le programme Porsche Drive. Grâce à cet accès à la voiture électrique la plus encensée sur le marché, le programme constitue l'occasion par excellence de pleinement profiter de l'expérience Porsche. Les voitures pourront être réservées exclusivement à Montréal et aux alentours. « Le programme de location et d'abonnement Porsche Drive a été lancé à Toronto en 2019, puis récemment, à Vancouver », raconte Marc Ouayoun, président-directeur général d’Automobiles Porsche Canada, Ltée. « Cette collaboration avec Turo représente la parfaite formule d'essai en prévision du futur lancement du programme complet à Montréal. » Turo a été lancé au Canada en 2016 comme moyen d’encourager les Canadiens à mieux exploiter les 23 millions d’automobiles sur la route au pays. À ce jour, plus d’un million de Canadiens se sont inscrits à Turo et plus de 44 000 voitures sont inscrites sur la plateforme. Ces dernières années, Turo est devenue la plateforme de choix pour l’utilisation ou l’essai d’un véhicule électrique. « Cette collaboration est une occasion fantastique pour Porsche d’atteindre un nouveau groupe d’acheteurs potentiels parmi nos très nombreux membres et permet à Turo de diversifier son offre de véhicules électriques », a déclaré Cedric Mathieu, vice-président et chef de Turo Canada. « De plus en plus de gens qui veulent essayer un véhicule électrique pour la première fois s’adressent à Turo et peuvent ainsi savoir si une telle voiture conviendrait à leur style de vie. Nous croyons que l’autopartage pourrait servir d’outil d’adoption de la voiture électrique au Canada, c’est pourquoi nous sommes ravis de pouvoir proposer ces incroyables nouvelles voitures à certains de nos membres. » Lancée en première mondiale à Niagara Falls, en Ontario, en septembre 2019, la Taycan est une berline de sport quatre portes tout à fait unique qui offre les performances propres à Porsche et la connectivité qui s’apprécie au quotidien. Les méthodes de production ultra évoluées et certains éléments de la Taycan établissent de nouvelles normes en matière de durabilité et de numérisation. Au Canada, la Taycan se décline en versions Taycan 4S, Taycan Turbo et Taycan Turbo S livrant entre 522 et 750 chevaux et dotées de série d'une transmission intégrale et d'une boîte novatrice à deux vitesses. La Taycan est la première voiture de série à adopter une architecture de recharge de 800 volts et sa charge peut passer de 5 à 80 % en rien que 22 min 30 s. La collaboration entre Porsche Drive et Turo mise sur le succès de Porsche Host, un projet pilote réalisé en 2019 par Porsche Digital, Inc. qui mettait des invités en contact avec des membres exemplaires Turo offrant certains modèles Porsche en Californie. Les Taycan, offertes aux membres Turo de Montréal âgés de 30 ans et plus, pourront être réservées entre 1 et 30 jours par le truchement de deux hôtes de confiance triés sur le volet pour leur connaissance des véhicules électriques et leur passion pour Porsche. Ces hôtes pourront aussi expliquer aux locataires tous les atouts qu’offre la Taycan. Le prix de la location commence à 365 $ par jour, entièrement remboursable par Porsche si le membre achète une Taycan dans un Centre Porsche du Canada. Pour en savoir plus sur la façon de réserver une voiture, les Canadiens peuvent télécharger l’application Turo ou visiter le site turo.com. Automobiles Porsche Canada, Ltée Fondée en 2008, Automobiles Porsche Canada, Ltée (PCL) est importateur et distributeur exclusif des Porsche 911, 718 Boxster et 718 Cayman, Taycan, Panamera, Cayenne et Macan. Le siège social est situé à Toronto (Ontario) depuis 2017 et la société emploie une équipe de plus de 50 personnes en vente, après-vente, finances, marketing, développement commercial et relations publiques. L’équipe vise à fournir à la clientèle Porsche une expérience de la plus grande qualité dans le respect des 70 ans de leadership de la marque en matière de performance, de sécurité et de rendement. Un Centre de distribution de pièces a ouvert ses portes en 2019 à Mississauga pour servir l’ensemble du réseau qui compte 21 Centres Porsche partout au pays. PCL est la filiale dédiée de Porsche AG ayant son siège social à Stuttgart, en Allemagne. En 2020, Porsche a vendu 7 402 véhicules au Canada. Ce succès est basé sur un remarquable palmarès sportif qui compte près de 30 000 victoires en course. Suivez-nous sur twitter.com/porschecanada | facebook.com/porsche | instagram.com/porschecanada Applications Porsche : https://www.porsche.com/usa/apps-and-entertainment/apps/ À propos de Turo Turo est une plateforme d’autopartage qui permet de réserver la voiture que vous voulez, là où vous la voulez, auprès d’un groupe dynamique d’hôtes de confiance aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni. Les voyageurs peuvent choisir parmi une sélection unique de voitures à proximité, tandis que les hôtes peuvent gagner de l’argent pour compenser les frais liés à la possession de leur véhicule. Reconnue pour son avant-gardisme dans les domaines de l’économie de partage et des voyages, Turo est une communauté fiable et positive comptant plus de 14 millions de membres, offrant plus de 450 000 véhicules de plus de 900 marques et modèles. Porsche
Contribution: André H. Martel
Montréal, 1ier juin 2021 Les plus importants événements consacrés à la mobilité électrique au Canada, les Salons du Véhicule électrique de Montréal et Québec, seront de retour cet automne pour présenter les exclusivités de la mobilité électrique. Les 17, 18 et 19 septembre 2021 au Stade Olympique de Montréal et les 1, 2 et 3 octobre 2021 au Centre de foires de Québec.
« Puisque qu’une grande partie de la population a maintenant reçu sa première dose du vaccin et que les autorités gouvernementales nous confirment que la majorité des citoyens québécois auront reçu leur deuxième dose à la fin du mois d’août, affirme Luc Saumure, copromoteur de l’événement, directeur de l’administration et du marketing, nous sommes convaincus que les grands rassemblements de plus de 250 personnes seront alors autorisés. Les SVEM et SVEQ deviendront donc les premiers grands Salons intérieurs à ouvrir leurs portes au grand public, » poursuit-il. « Le fait que les SVEM et SVEQ soient les premiers grands événements publics intérieurs à se tenir en 2021 est une excellente nouvelle, alors que l’enjeu social environnemental fait de plus en plus partie de notre vie, explique Louis Bernard, copromoteur de l’événement et directeur de la logistique. Les deux événements auront lieu à ces nouvelles dates uniquement en fonction de l'évolution de la situation actuelle et de l'approbation de la Santé publique. « Tout ce qui a trait à la mobilité électrique et les énergies alternatives font partie des solutions pour atteindre les objectifs fixés par les gouvernements en ce qui concerne les GES ainsi que la qualité de l'air », conclut monsieur Bernard. La direction, les exposants et les partenaires de ces événements sont très enthousiastes et excités à l’idée de reprendre leurs activités, un an et demi après le report des salons qui devaient avoir lieu en avril et mai 2020. Pour plus d'informations, veuillez-vous référer au FAQ en cliquant ici.
Contribution: André H. Martel
Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes québécois.
Contribution: André H. Martel
L'avenir est clairement électrique, à l'échelle mondiale, les ventes de véhicules électriques légers ont augmenté de plus de 60% par an depuis 2012. Mais le Canada ne produit qu'un seul modèle de véhicule rechargeable, ce qui représente moins 1,5% cent de la production des véhicules légers domestiques.
En cette période de grande incertitude, les travailleurs de première ligne et les travailleurs essentiels œuvrent pour nous protéger de la crise du COVID-19, les entreprises se rééquipent afin de répondre aux besoins de santé critiques, et les gouvernements travaillent sans relâche pour déployer les secours financiers dont ils ont besoin de toute urgence pour garder l'essentiel des services intacts. Ces efforts sont primordiaux alors que nous nous efforçons d'aplanir la courbe de cette pandémie et maintenir les familles et les communautés à flot.
Le secteur canadien de la fabrication d'automobiles s'est associé à la demande de services essentiels et se redéploie actuellement pour produire des fournitures médicales désespérément nécessaires, incluant des ventilateurs. C'est une décision qui pourrait sauver d'innombrables vies canadiennes. Alors que ce travail essentiel se poursuit, bon nombre d'entre nous se tournent vers la reconstruction de l'économie canadienne lorsque nous émergerons de cette situation. Parallèlement à un allègement financier immédiat pour les travailleurs, les entreprises et les collectivités, des discussions sont déjà en cours sur la façon dont les investissements pourraient stimuler notre économie à long terme et protéger les travailleurs contre les chocs futurs. Pour que le secteur automobile lui-même prospère après la pandémie, il est important de créer des emplois et de stimuler notre économie nationale grâce à des investissements dans la production de véhicules électriques. Au cours des dernières années, nous avons assisté à un ralentissement de la production de véhicules à moteur conventionnel au Canada, avec des fermetures d'usines et des milliers de pertes d’emplois. Un rapport récemment publié par le Pembina Institute et le Conseil international sur les transports propres a révélé que pour que le Canada puisse assurer la pérennité de son industrie automobile, nous aurons besoin d'investissements financiers associés à une politique axée sur l'électrification. Alors que l'économie mondiale vise une production zéro carbone, la demande d'autobus, de voitures et de camions électriques ne fera que s'accélérer. Nous voulons nous assurer que notre production nationale corresponde à la demande. La bonne nouvelle est que le Canada est bien placé grâce à un historique de fabrication automobile, particulièrement en Ontario. Le marché mondial des poids lourds et des autobus de tourisme électriques connaît également une croissance rapide, les grandes entreprises et les grandes villes, dont Toronto, Edmonton, Montréal investissant dans des parcs de véhicules électriques. Le Canada est en avance sur la courbe de fabrication de véhicules lourds électriques, en tant que sixième plus grand producteur de véhicules lourds électriques au monde, avec des installations de production et d'assemblage concentrées au Québec. Les bases de la croissance sont déjà posées. Étant donné que les émissions de GES du fret devraient éclipser les émissions des véhicules de tourisme d'ici 2030, investir dans le passage à l'électrification pour les poids lourds est également judicieux pour l'environnement. Parallèlement à la fabrication de véhicules électriques légers et lourds, nous avons découvert un énorme potentiel de production de piles à combustible à hydrogène au Canada. On prévoit que l'hydrogène jouera un rôle majeur dans la transition d'électrification des véhicules commerciaux. Nous pouvons nous appuyer sur un leadership précoce dans le développement et la production de technologies de piles à combustible à hydrogène, en particulier pour les véhicules de transport de marchandises lourds à long terme. Étant donné que les entreprises d'hydrogène et de piles à combustible sont déjà établies en Colombie-Britannique, en Alberta, au Manitoba, en Ontario et au Nouveau-Brunswick, le potentiel de croissance de l'emploi à travers le pays est vaste. Enfin, même si les investissements fédéraux et provinciaux sont essentiels pour donner à l'industrie des véhicules électriques l'impulsion dont elle a besoin, tout soutien devrait être complété par des politiques fermes. La croissance des véhicules électriques nécessite une augmentation de la demande. En donnant aux investisseurs et aux consommateurs les signaux politiques dont ils ont besoin (financement de la recherche et du développement, soutien financier aux usines de fabrication, norme de carburant propre et mandat national de vente de véhicules zéro émission), nous pourrons contribuer à ajuster l'offre et la demande. Une nouvelle analyse de Navius Research Inc. estime qu'avec un cadre politique national VZE (véhicule zéro émission) solide comprenant une politique de véhicule zéro émission et une subvention pour la fabrication de véhicules électriques, ce secteur de l’économie pourrait éventuellement représenter un potentiel économique de 152 milliards de dollars et générer 1,1 million d’emplois d'ici 2040. Avec les bons investissements dans la fabrication et la reconversion des travailleurs de l'automobile, et avec le support des gouvernements, le Canada peut redevenir un poids lourd dans la fabrication automobile, tout en relançant l'économie à faible émission de carbone. Pembina Institute
André H. Martel
Contribution: André H. Martel
Le Club Tesla Québec et l’AVÉQ souhaitent mobiliser les électromobilistes du Québec pour souligner l’ouverture du tablier Nord du nouveau pont Samuel-de Champlain en le traversant avec le maximum de voitures électriques le 24 juin 2019 au petit matin.
Nous vous donnons donc rendez-vous à 4h du matin le 24 dans l’un des stationnements près de Taschereau, de la 10 et du Quartier DIX30. Un coordonnateur sera présent dans chacun des stationnements pour donner le coup de départ. Si tout va comme prévu, le départ devrait se faire entre 4h30 et 5h30.
Si vous souhaitez participer à ce moment historique, veuillez vous inscrire en choisissant le stationnement de départ correspondant à la première lettre de votre nom. Votre inscription nous permettra de vous informer du report ou de l’annulation de l’événement, le cas échéant.
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
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Les membres AMI et membres OR de l'AVÉQ sont invités à L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE DE L'AVÉQ 2019 (sur inscription gratuite préalable seulement)
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Dutrizac s’en est pris à Germain Belzile, chercheur associé sénior à l’Institut économique de Montréal (IEDM), jeudi, concernant leur recherche qui suggère que les millions consacrés aux incitatifs pour l’achat de voitures électriques seraient du gaspillage d’argent.
«Faites donc une publicité pour les pickups, tant qu’à y être!», a lancé l’animateur de Dutrizac de 6 à 9 sur QUB radio. |
M. Belzile a soutenu que les résultats de cette mesure encourageant l’achat de véhicules écologiques n’étaient pas convaincants si on tenait compte du prix de celle-ci. «On pourrait dépenser 1/23 de ce qu’on dépense, mais obtenir le même résultat [avec d’autres moyens]», a-t-il martelé.
Afin de décrire l’efficacité de la mesure incitative, M. Belzile a expliqué: «C’est comme si je construisais ma maison, mais que je demandais à des unijambistes qui ont juste un bras de construire. Je vais les payer le même salaire que les autres, mais ma maison va coûter immensément plus cher.»
Talonné par Benoit Dutrizac qui voulait connaître les autres moyens qui seraient plus rentables, M. Belzile a eu du mal à renchérir, prétextant que le meilleur moyen d’arriver à nos fins est de «mettre un prix sur la carbone».
«Mettre un prix sur le carbone, ça sert à rien parce que les gaz son émis quand même, s’est insurgé l’animateur. Vous réfléchissez en gars de droite financé par les pétrolières! Vous ne pouvez pas mettre un prix sur l’air qu’on respire!»
Afin de décrire l’efficacité de la mesure incitative, M. Belzile a expliqué: «C’est comme si je construisais ma maison, mais que je demandais à des unijambistes qui ont juste un bras de construire. Je vais les payer le même salaire que les autres, mais ma maison va coûter immensément plus cher.»
Talonné par Benoit Dutrizac qui voulait connaître les autres moyens qui seraient plus rentables, M. Belzile a eu du mal à renchérir, prétextant que le meilleur moyen d’arriver à nos fins est de «mettre un prix sur la carbone».
«Mettre un prix sur le carbone, ça sert à rien parce que les gaz son émis quand même, s’est insurgé l’animateur. Vous réfléchissez en gars de droite financé par les pétrolières! Vous ne pouvez pas mettre un prix sur l’air qu’on respire!»
Cette semaine, c’est la semaine du véhicule électrique chez Montréal Auto-Prix hybride/électrique. Une belle occasion de célébrer la prolongation pour deux ans du rabais de 4000$ sur l'achat de véhicule électrique usagé.

L’ambiance sera festive toute la semaine chez Montréal Auto-Prix hybride/électrique en raison des bonnes nouvelles de la semaine dernière, alors que les gouvernements Trudeau et Legault ont annoncé leur volonté d’accélérer l’électrification des transports, au Canada comme au Québec.
Voici l’horaire des activités prévues chez Montréal Auto-Prix hybride/électrique du 25 au 31 mars :
Voici l’horaire des activités prévues chez Montréal Auto-Prix hybride/électrique du 25 au 31 mars :
Lundi 25 mars
Lancement de la semaine avec le tirage d’une borne et conseils personnalisés de Daniel Breton via Facebook pendant toute la semaine.
Mercredi 27 mars
Invitation aux acheteurs potentiels et clients propriétaires d’un véhicule électrique à venir poser des questions à Daniel Breton en Facebook Live avec des clients invités.
Samedi 30 mars
-Tire d’érable sur la neige
-Essais de véhicules partiellement et entièrement électriques en collaboration avec l’AVÉQ
-Conférences :
Dimanche 31 mars
-Tire d’érable sur la neige
-Essais de véhicules partiellement et entièrement électriques en collaboration avec l’AVÉQ
-Conférences :
Lancement de la semaine avec le tirage d’une borne et conseils personnalisés de Daniel Breton via Facebook pendant toute la semaine.
Mercredi 27 mars
Invitation aux acheteurs potentiels et clients propriétaires d’un véhicule électrique à venir poser des questions à Daniel Breton en Facebook Live avec des clients invités.
Samedi 30 mars
-Tire d’érable sur la neige
-Essais de véhicules partiellement et entièrement électriques en collaboration avec l’AVÉQ
-Conférences :
- 11h : la voiture électrique, une partie de la solution
- 13h : mythes et légendes sur les voitures électriques
- 14h30 : L’avenir de la recharge des véhicules électriques
Dimanche 31 mars
-Tire d’érable sur la neige
-Essais de véhicules partiellement et entièrement électriques en collaboration avec l’AVÉQ
-Conférences :
- 11h : Quoi de neuf chez Tesla ?
- 13h : Que préparent les autres constructeurs ?
- 14h30 : Nos coups de cœur électriques : véhicules neufs et d’occasion

Montréal Auto-Prix hybride/électrique est situé à l’adresse suivante :
5600, Métropolitain Est,
St-Léonard, Montréal
(Québec) H1S 3A4
Numéros de téléphone:
514-593-9020
1-888-476-7747
5600, Métropolitain Est,
St-Léonard, Montréal
(Québec) H1S 3A4
Numéros de téléphone:
514-593-9020
1-888-476-7747
Directeur des ventes: Marc Lajeunesse
marc.l@mtlautoprix.net
Pour consulter l’inventaire
https://mtlautoprix.com/inventaire-vehicules/?location=D
marc.l@mtlautoprix.net
Pour consulter l’inventaire
https://mtlautoprix.com/inventaire-vehicules/?location=D
Une première cohorte vient de terminer le tout premier cours de 105 heures offert à l’ÉMÉMM aux techniciens de l’industrie sur l’entretien et la réparation des véhicules hybrides branchables et électrique.
Les 8 techniciens qui ont pris part au projet pilote recevaient leurs diplômes le 19 février à L’École des métiers de l’équipement motorisé de Montréal (ÉMÉMM), devenant ainsi les premiers professionnels à suivre un cours de cette envergure sur les technologies électriques dans le cadre de la formation continue.
40 techniciens se sont inscrits jusqu’à présent à ce cours; quatre cohortes sont en cours. Le tout s’échelonne sur quatre mois et est désormais offert au coût de 2 $ de l’heure, grâce à un financement de Service Québec qui s’est engagé dans le projet.
Des ateliers à la page
Représentant de l’ÉMÉMM, du MÉES et de CAA-Québec, qui s’inscrit en important promoteur du programme, étaient sur place pour cette remise des diplômes. « D’ici 2030, les constructeurs devraient produire au moins 50 % de véhicules électriques, souligne Jacques Maheux, directeur du réseau des garages recommandés CAA-Québec. Il est primordial de nous mettre à jour, et nous encourageons fortement nos garages recommandés à suivre cette formation. »
Deux techniciens des garages recommandés CAA-Québec recevaient leur diplôme.
CAA-Québec s’engage à pouvoir diriger ses membres d’ici la fin de 2019 vers au moins six ateliers recommandés habiletés à faire l’entretien et la réparation sur des véhicules hybrides branchables et électriques. Ces ateliers auront obligatoirement suivi le cours de 105 heures offert actuellement à L’ÉMÉMM et bientôt au Centre Wilbrod Bherer de Québec.
Un départ réussi
Deux enseignants de L’ÉMÉMM ont été affectés à temps plein à la création des modules du cours, dont la première cohorte s’est échelonnée sur un an.
À la demande de CAA-Québec, ces enseignants iront former les enseignants du Centre de formation Wilbrod Bherer de Québec dans les prochaines semaines, afin que le cours y soit offert. La même formule pourrait être répétée dans d’autres centres de formation de la province.
Selon Norman Biron, Agent-conseil pour le Bureau de la formation continue à la CSDM, ce projet illustre l’avant-garde de L’ÉMÉMM et de son directeur général, Serges Gauthier.
« Habituellement, on attend d’avoir les inscriptions pour créer un cours. L’ÉMÉMM a fait l’inverse et a pris un risque en allouant d’importants investissements à ce projet, souligne-t-il. Serges Gauthier a engagé l’ÉMÉMM dans les technologies électriques depuis longtemps et sa vision s’est soldée en succès. »
Parti d’une requête de Daniel Manseau, directeur des ventes nationales chez ProLab, le projet cours du l’entretiens et la réparation de véhicules hybrides branchable et électriques a débuté en février 2018 par un projet pilote auquel ont pris part les huit techniciens aujourd’hui diplômés.
Source : Autosphère.ca
40 techniciens se sont inscrits jusqu’à présent à ce cours; quatre cohortes sont en cours. Le tout s’échelonne sur quatre mois et est désormais offert au coût de 2 $ de l’heure, grâce à un financement de Service Québec qui s’est engagé dans le projet.
Des ateliers à la page
Représentant de l’ÉMÉMM, du MÉES et de CAA-Québec, qui s’inscrit en important promoteur du programme, étaient sur place pour cette remise des diplômes. « D’ici 2030, les constructeurs devraient produire au moins 50 % de véhicules électriques, souligne Jacques Maheux, directeur du réseau des garages recommandés CAA-Québec. Il est primordial de nous mettre à jour, et nous encourageons fortement nos garages recommandés à suivre cette formation. »
Deux techniciens des garages recommandés CAA-Québec recevaient leur diplôme.
CAA-Québec s’engage à pouvoir diriger ses membres d’ici la fin de 2019 vers au moins six ateliers recommandés habiletés à faire l’entretien et la réparation sur des véhicules hybrides branchables et électriques. Ces ateliers auront obligatoirement suivi le cours de 105 heures offert actuellement à L’ÉMÉMM et bientôt au Centre Wilbrod Bherer de Québec.
Un départ réussi
Deux enseignants de L’ÉMÉMM ont été affectés à temps plein à la création des modules du cours, dont la première cohorte s’est échelonnée sur un an.
À la demande de CAA-Québec, ces enseignants iront former les enseignants du Centre de formation Wilbrod Bherer de Québec dans les prochaines semaines, afin que le cours y soit offert. La même formule pourrait être répétée dans d’autres centres de formation de la province.
Selon Norman Biron, Agent-conseil pour le Bureau de la formation continue à la CSDM, ce projet illustre l’avant-garde de L’ÉMÉMM et de son directeur général, Serges Gauthier.
« Habituellement, on attend d’avoir les inscriptions pour créer un cours. L’ÉMÉMM a fait l’inverse et a pris un risque en allouant d’importants investissements à ce projet, souligne-t-il. Serges Gauthier a engagé l’ÉMÉMM dans les technologies électriques depuis longtemps et sa vision s’est soldée en succès. »
Parti d’une requête de Daniel Manseau, directeur des ventes nationales chez ProLab, le projet cours du l’entretiens et la réparation de véhicules hybrides branchable et électriques a débuté en février 2018 par un projet pilote auquel ont pris part les huit techniciens aujourd’hui diplômés.
Source : Autosphère.ca
L’université de Montréal fait à son tour un pas vers l’électrification des transports en installant 19 bornes de recharge L2 pour véhicules électriques à plusieurs endroits du campus. Un bel exemple à suivre.
L’université de Montréal joint ainsi - de façon exemplaire - le mouvement amorcé depuis quelques années par plusieurs autres universités québécoises, particulièrement l’Université de Sherbrooke, l’École de technologie supérieure (ÉTS) et l’Université Laval.
Les bornes de niveau 2 (240 volts) sont réparties sur plusieurs campus de l’Université de Montréal et sont disponibles depuis décembre 2018. La plupart sont installées sur le campus de la Montagne à Montréal, tandis que quelques autres sont réparties à Laval et à Saint-Hyacinthe.
Les bornes sont situées dans les stationnements suivants:
L’université s’engage d’ores et déjà à installer dix places de rechargement supplémentaires sur le nouveau campus MIL dès son ouverture à l’automne 2019.
Un partenariat payant pour tous le monde
Le service, accessible autant aux visiteurs qu’aux membres de la communauté de l’université, est intégré au réseau FLO et sera facturé un dollar de l’heure. L’application mobile FLO ou une carte du Circuit Électrique est nécessaire pour utiliser les bornes.
L’université y trouve son compte, en répondant bien sûr à une demande grandissante pour le branchement de véhicules de la part de visiteurs et d’employés, mais aussi en y tirant une source de revenus. « L’UdeM récolte l’argent des bornes, mais 15 % des revenus sont récoltés par FLO pour l’utilisation de la plateforme Web, pour le site transactionnel et pour l’assistance 24 h/7 », précise Mme Gazaille, attachée de presse de l’UdeM.
Rappel à tous
L’UdeM tient à rappeler sur son site que les aires de recharge sont exclusivement réservées à la recharge des véhicules, et qu’elles ne sont pas des places de stationnement. Selon l’université, «tout véhicule garé dans une aire de recharge et qui n’est pas branché à la borne est passible d’un constat d’infraction».
Voilà de la musique aux oreilles de la plupart des électromobilistes !
Les bornes de niveau 2 (240 volts) sont réparties sur plusieurs campus de l’Université de Montréal et sont disponibles depuis décembre 2018. La plupart sont installées sur le campus de la Montagne à Montréal, tandis que quelques autres sont réparties à Laval et à Saint-Hyacinthe.
Les bornes sont situées dans les stationnements suivants:
- garage Louis-Colin : 10 bornes, dont 5 au premier étage et 5 au cinquième étage;
- pavillon 3744, rue Jean-Brillant : 3 bornes;
- campus de Laval : 3 bornes;
- campus de Saint-Hyacinthe : 3 bornes.
L’université s’engage d’ores et déjà à installer dix places de rechargement supplémentaires sur le nouveau campus MIL dès son ouverture à l’automne 2019.
Un partenariat payant pour tous le monde
Le service, accessible autant aux visiteurs qu’aux membres de la communauté de l’université, est intégré au réseau FLO et sera facturé un dollar de l’heure. L’application mobile FLO ou une carte du Circuit Électrique est nécessaire pour utiliser les bornes.
L’université y trouve son compte, en répondant bien sûr à une demande grandissante pour le branchement de véhicules de la part de visiteurs et d’employés, mais aussi en y tirant une source de revenus. « L’UdeM récolte l’argent des bornes, mais 15 % des revenus sont récoltés par FLO pour l’utilisation de la plateforme Web, pour le site transactionnel et pour l’assistance 24 h/7 », précise Mme Gazaille, attachée de presse de l’UdeM.
Rappel à tous
L’UdeM tient à rappeler sur son site que les aires de recharge sont exclusivement réservées à la recharge des véhicules, et qu’elles ne sont pas des places de stationnement. Selon l’université, «tout véhicule garé dans une aire de recharge et qui n’est pas branché à la borne est passible d’un constat d’infraction».
Voilà de la musique aux oreilles de la plupart des électromobilistes !

Alors qu’il commente le besoin légitime de trouver de nouvelles sources de financement pour le transport en commun montréalais, le président de Trajectoire Québec, François Pépin, écorche au passage le véhicule électrique. L’AVÉQ tient à dénoncer ces propos qui donnent de l’eau au moulin à ceux qui opposent transport en commun et électrification des transports routiers.
Tel que rapporté par Zacharie Goudreault du journal Métro, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) lance une consultation publique pour sonder la population sur l’avenir du transport en commun dans le Grand Montréal.
L'AVÉQ salue l’initiative de l’ARTM, mais ne pouvons laisser passer la déclaration malheureuse de François Pépin, qui a travaillé auprès de l’ARTM dans la réalisation de cette plateforme.
L'AVÉQ salue l’initiative de l’ARTM, mais ne pouvons laisser passer la déclaration malheureuse de François Pépin, qui a travaillé auprès de l’ARTM dans la réalisation de cette plateforme.
De tels propos sont pour le moins réducteurs. Certains pourraient y voir que la transition vers la voiture électrique nuit au financement du transport en commun. Pourtant, on révèle plus loin dans l’article que la taxe sur l’essence ainsi que celle sur l’immatriculation (combinées) ne représentent que 5 % du financement du transport en commun dans le Grand Montréal.
Notez au passage que, si les voitures électriques de la région de Montréal se soustraient au paiement de la taxe sur l’essence, elles paient toujours leur part de taxe sur l’immatriculation…
En opposant ainsi la voiture électrique et le transport en commun, le président de Trajectoire Québec fait - de façon involontaire - le jeu des opposants à l’électrification des transports, partisans du statu quo et de l’attentisme.
Monsieur Pépin devrait plutôt dû mettre l'accent sur la dépendance aux taxes sur l’essence - même si ce n’est que de 5 % - dans le budget d’exploitation du transport en commun montréalais. C’est cette même dépendance aux revenus pétroliers «pour payer l’épicerie» qui enchaîne le gouvernement fédéral et l’empêche de se lancer dans une véritable transition énergétique.
Les revenus de la taxe spéciale sur le pétrole et les immatriculations dans la grande région de Montréal devraient plutôt être consacrés exclusivement au DÉVELOPPEMENT du réseau de transport en commun montréalais… pas à son exploitation !
En aucun cas, Trajectoire Québec ne devrait laisser planer que l’adoption spectaculaire du véhicule électrique nuit au financement du transport en commun. Le transport en commun et le véhicule électrique ne sont pas en opposition. Ils sont complémentaires dans cette recherche d’un monde plus propre, plus vert, pour nos enfants.
Notez au passage que, si les voitures électriques de la région de Montréal se soustraient au paiement de la taxe sur l’essence, elles paient toujours leur part de taxe sur l’immatriculation…
En opposant ainsi la voiture électrique et le transport en commun, le président de Trajectoire Québec fait - de façon involontaire - le jeu des opposants à l’électrification des transports, partisans du statu quo et de l’attentisme.
Monsieur Pépin devrait plutôt dû mettre l'accent sur la dépendance aux taxes sur l’essence - même si ce n’est que de 5 % - dans le budget d’exploitation du transport en commun montréalais. C’est cette même dépendance aux revenus pétroliers «pour payer l’épicerie» qui enchaîne le gouvernement fédéral et l’empêche de se lancer dans une véritable transition énergétique.
Les revenus de la taxe spéciale sur le pétrole et les immatriculations dans la grande région de Montréal devraient plutôt être consacrés exclusivement au DÉVELOPPEMENT du réseau de transport en commun montréalais… pas à son exploitation !
En aucun cas, Trajectoire Québec ne devrait laisser planer que l’adoption spectaculaire du véhicule électrique nuit au financement du transport en commun. Le transport en commun et le véhicule électrique ne sont pas en opposition. Ils sont complémentaires dans cette recherche d’un monde plus propre, plus vert, pour nos enfants.
Alors que l’empreinte environnementale de la fabrication des voitures électriques suscite la controverse ici et ailleurs, une firme québécoise a développé LA solution pour recycler à l’infini les batteries au lithium-ion… ce qui promet d’éliminer les dernières objections à l’électrification des transports !
Le nouveau procédé hydrométallurgique breveté par Recyclage Lithion permet de recycler 95% des composants et de les réincorporer dans la fabrication d’autres batteries. De l’économie circulaire, quoi !
Cet ambitieux projet est supporté par un consortium formé de
Selon M. Benoit Couture, président de Seneca et de Recyclage Lithion, les procédés de recyclage des batteries lithium-ions visaient jusqu’à maintenant à résoudre un problème de gestion des déchets, pour réduire le volume et la dangerosité de cet encombrant rebut. Créer de la valeur semblait hors de portée.
C’était avant l’arrivée de Seneca dans le domaine...
«Nos objectifs initiaux étaient de valoriser les matériaux des batteries avec un impact minimal sur l’environnement, en plus d’être rentable… donc un procédé qui n’aurait pas besoin d’écofrais ni de subventions» affirme M. Couture.
Partis d’une page blanche, les experts de Seneca se sont donné le défi de résoudre la quadrature du cercle avec un cahier des charges sans compromis… et ils ont réussi !
Selon Charles Gagné-Bourque, ingénieur en procédés chimiques, les matériaux purifiés et revalorisés ont une pureté de «grade batterie» parfaitement utilisable par les fabricants :
Les plastiques, fer, cuivre et aluminium sont séparés pour recyclage dans les filières traditionnelles.
Grâce à Recyclage Lithion, il sera maintenant possible de réaliser le rêve d’une batterie entièrement faite de matériaux recyclés !
Cet ambitieux projet est supporté par un consortium formé de
- Seneca : idéateur du projet, concepteur du procédé et constructeur de l’usine-pilote;
- Le Centre d'études des procédés chimiques du Québec du Collège de Maisonneuve (CEPROCQ) : le «lab» de Lithion. Les ingénieurs de Seneca y font leurs manipulations chimiques;
- Le Centre d'excellence en électrification des transports et stockage d'énergie (CEETSE) : on y commercialise des technologies d’Hydro-Québec protégées par 800 brevets. Le CEETSE est responsable de la qualification des produits de Lithion et de la validation des résultats.
- Appel à Recycler : le programme de recyclage de piles le plus important au Canada. Ils fourniront la matière première de l’usine pilote, les batteries à recycler.
Selon M. Benoit Couture, président de Seneca et de Recyclage Lithion, les procédés de recyclage des batteries lithium-ions visaient jusqu’à maintenant à résoudre un problème de gestion des déchets, pour réduire le volume et la dangerosité de cet encombrant rebut. Créer de la valeur semblait hors de portée.
C’était avant l’arrivée de Seneca dans le domaine...
«Nos objectifs initiaux étaient de valoriser les matériaux des batteries avec un impact minimal sur l’environnement, en plus d’être rentable… donc un procédé qui n’aurait pas besoin d’écofrais ni de subventions» affirme M. Couture.
Partis d’une page blanche, les experts de Seneca se sont donné le défi de résoudre la quadrature du cercle avec un cahier des charges sans compromis… et ils ont réussi !
- Traite tous les types de batteries lithium-ion;
- Traite de manière sécuritaire les piles chargées;
- Ne génère aucun effluent liquide;
- Requiers peu de réactifs, ce qui diminue l’impact environnemental;
- Revalorise 95% des composants de la batterie de façon écologique et économiquement viable;
Selon Charles Gagné-Bourque, ingénieur en procédés chimiques, les matériaux purifiés et revalorisés ont une pureté de «grade batterie» parfaitement utilisable par les fabricants :
- Carbonate de lithium
- Cobalt
- Graphite
- Hydroxyde de nickel
- Oxyde de manganèse
Les plastiques, fer, cuivre et aluminium sont séparés pour recyclage dans les filières traditionnelles.
Grâce à Recyclage Lithion, il sera maintenant possible de réaliser le rêve d’une batterie entièrement faite de matériaux recyclés !
En activité dès 2020
L’usine-pilote de Recyclage Lithion est un projet de 12 millions $. C’est un projet tellement prometteur que Technologies du développement durable Canada (TDDC) y a investi 3,8 millions $. L’usine-pilote sera installée dans la région de Montréal. La construction durera une année et l’usine sera en activité durant 2 ans, le temps de perfectionner et de valider l’opération industrielle et de qualifier les produits auprès des clients potentiels. Cette usine-pilote aura la capacité de traiter jusqu’à 200 tonnes de batteries par année, fournies par Appel à Recycler.
L’usine-pilote de Recyclage Lithion est un projet de 12 millions $. C’est un projet tellement prometteur que Technologies du développement durable Canada (TDDC) y a investi 3,8 millions $. L’usine-pilote sera installée dans la région de Montréal. La construction durera une année et l’usine sera en activité durant 2 ans, le temps de perfectionner et de valider l’opération industrielle et de qualifier les produits auprès des clients potentiels. Cette usine-pilote aura la capacité de traiter jusqu’à 200 tonnes de batteries par année, fournies par Appel à Recycler.
Usine de première génération
Une usine commerciale de première génération devrait ensuite voir le jour au Québec, avec une capacité de traiter près de 2000 tonnes par année, suivi d’un déploiement d’usines commerciales d’une capacité de 10,000 tonnes par année ! D’après M. Couture, de telles usines de recyclage devront idéalement être proches des marchés automobiles pour diminuer le transport et la manipulation des batteries. Il estime qu’il serait raisonnable d’envisager une dizaine d’usines en Europe et en Amérique du Nord. Il est indéniable que le procédé intéressera aussi les autres marchés, particulièrement le marché asiatique.
Recyclage Lithion devrait tirer des revenus conséquents des droits de propriété intellectuels associés à son procédé déjà breveté, ce qui rejaillira sur l’économie québécoise.
Recyclage Lithion prévoit construire la première usine de 10 000 tonnes par année au Québec, compte tenu des objectifs d’électrification du Gouvernement du Québec. Cette usine desservira le marché régional, qui pourrait s’étendre à l’Est du Canada et même plus.
L’avis de l’auteur
La perspective de boucler presque entièrement le cycle de vie des batteries des voitures électriques est une très bonne nouvelle qui va donner des ailes à l’électrification des transports. En effet, l’argument de la pression sur les ressources métalliques devient ainsi moins préoccupant. De même, ce bouclage de la vie des matériaux pourrait réduire la spéculation autour des métaux, ce qui pourrait faire baisser le prix des véhicules électriques et en accélérer le déploiement.
Il est particulièrement excitant que cette technologie soit développée au Québec, qui se positionne davantage comme une acteur majeur de l’électrification des transports. Nous espérons que les Gouvernements québécois et canadien assureront le déploiement de cette filière d’économie circulaire ici, au Québec avec une transition massive vers la voiture électrique.
Après le recyclage, peut-être pourrions-nous développer une filière de la fabrication de batteries 100% québécoises, voire même des batteries exemplaires à haut contenu recyclé. Ça aurait beaucoup de sens puisque les principaux impacts environnementaux de la fabrication des batteries proviennent de la source d’énergie électrique utilisée. Le Québec serait donc l’endroit idéal pour fabriquer des batteries avec l’empreinte écologique la plus basse qui soit.
Une usine commerciale de première génération devrait ensuite voir le jour au Québec, avec une capacité de traiter près de 2000 tonnes par année, suivi d’un déploiement d’usines commerciales d’une capacité de 10,000 tonnes par année ! D’après M. Couture, de telles usines de recyclage devront idéalement être proches des marchés automobiles pour diminuer le transport et la manipulation des batteries. Il estime qu’il serait raisonnable d’envisager une dizaine d’usines en Europe et en Amérique du Nord. Il est indéniable que le procédé intéressera aussi les autres marchés, particulièrement le marché asiatique.
Recyclage Lithion devrait tirer des revenus conséquents des droits de propriété intellectuels associés à son procédé déjà breveté, ce qui rejaillira sur l’économie québécoise.
Recyclage Lithion prévoit construire la première usine de 10 000 tonnes par année au Québec, compte tenu des objectifs d’électrification du Gouvernement du Québec. Cette usine desservira le marché régional, qui pourrait s’étendre à l’Est du Canada et même plus.
L’avis de l’auteur
La perspective de boucler presque entièrement le cycle de vie des batteries des voitures électriques est une très bonne nouvelle qui va donner des ailes à l’électrification des transports. En effet, l’argument de la pression sur les ressources métalliques devient ainsi moins préoccupant. De même, ce bouclage de la vie des matériaux pourrait réduire la spéculation autour des métaux, ce qui pourrait faire baisser le prix des véhicules électriques et en accélérer le déploiement.
Il est particulièrement excitant que cette technologie soit développée au Québec, qui se positionne davantage comme une acteur majeur de l’électrification des transports. Nous espérons que les Gouvernements québécois et canadien assureront le déploiement de cette filière d’économie circulaire ici, au Québec avec une transition massive vers la voiture électrique.
Après le recyclage, peut-être pourrions-nous développer une filière de la fabrication de batteries 100% québécoises, voire même des batteries exemplaires à haut contenu recyclé. Ça aurait beaucoup de sens puisque les principaux impacts environnementaux de la fabrication des batteries proviennent de la source d’énergie électrique utilisée. Le Québec serait donc l’endroit idéal pour fabriquer des batteries avec l’empreinte écologique la plus basse qui soit.
Pour son 80e anniversaire, le Comité paritaire de l’industrie des services automobiles de la région de Montréal (CPA Montréal) a immergé ses invités dans un bain de voitures électriques. L’AVÉQ et Équiterre étaient là, de même que Véhicules Électriques Simon André, EcoTuned, Elmec, Montréal Auto Prix et VerTransport (Voir galerie de photos plus bas).
Pour le CPA Montréal, c’était l’occasion de souligner le virage technologique inéluctable que prend l’industrie automobile, ce qui nécessite de préparer rapidement la main-d’oeuvre des services automobiles.

«Nous avons organisé un événement tourné vers l’avenir en exposant des véhicules électriques et en invitant leurs propriétaires de venir parler de leur voiture.», raconte Suzanne Proulx, directrice générale du CPA Montréal. L’organisme voulait ainsi souligner que «L’avenir se prépare aujourd’hui».
De concert avec les centres de formation professionnelle, le CPA Montréal prépare activement ses membres à l’accréditation des compétences nécessaires pour réparer les voitures électriques. Il en va à la fois de la protection des travailleurs et de la protection du public. Rappelons que le mandat de protection du public est le socle fondateur du CPA Montréal depuis 80 ans.
«La main-d’œuvre dans l’automobile subira une mutation dans les prochaines années. Nous ne souhaitons pas que notre industrie, qui représente 13 000 salariés chez 3000 employeurs de la grande région de Montréal, se retrouve le bec à l’eau dans cinq ans. Nous essayons de voir clair et de déterminer quelles seront les compétences à acquérir pour les membres actuels», ajoute Mme Proulx.
De concert avec les centres de formation professionnelle, le CPA Montréal prépare activement ses membres à l’accréditation des compétences nécessaires pour réparer les voitures électriques. Il en va à la fois de la protection des travailleurs et de la protection du public. Rappelons que le mandat de protection du public est le socle fondateur du CPA Montréal depuis 80 ans.
«La main-d’œuvre dans l’automobile subira une mutation dans les prochaines années. Nous ne souhaitons pas que notre industrie, qui représente 13 000 salariés chez 3000 employeurs de la grande région de Montréal, se retrouve le bec à l’eau dans cinq ans. Nous essayons de voir clair et de déterminer quelles seront les compétences à acquérir pour les membres actuels», ajoute Mme Proulx.
Madame Suzanne Proulx, directrice générale du CPA Montréal a également donné une entrevue sur les ondes du 98,5 FM avec monsieur Bernard Drainville. Vous pouvez l'écouter en suivant ce lien :
Pour l’occasion, Daniel Rochefort, de l'AVÉQ et consultant pour Équiterre, à réuni une brochette de voitures dans le stationnement souterrain du CPA, dont une Nissan Leaf (prêtée par Nissan Canada), une Volt (accompagnée de Dominic Gratton de Montréal Auto Prix) et une Bolt (accompagnée de Yannick Lemelin de VerTransport).
Dans cette atmosphère festive, les Tesla Model 3 et Model X ont suscité l’enthousiasme des invités. Merci à leurs propriétaires Frédéric Allard, Guillaume André et Jean-Marc Pittet qui ont allumé une part de rêve dans les yeux des participants.
Guillaume André et Jean-Marc Pittet ont été invités par le CPA afin de répondre aux questions techniques et commerciales qu’auraient pu avoir les invités.
Le gros F-150 électrique de ÉcoTuned a aussi pris sa place dans l’espace limité du 5 à 7. Andy Ta, président de la jeune firme québécoise, à provoqué beaucoup d’intérêt en raison du caractère unique de son offre de service. Le marché du camion utilitaire est définitivement mûr pour être conquis par l’électrification.
Le succès de l’événement et l’engagement du CPA Montréal sont autant de nouvelles preuves que l’avenir est bel et bien à la voiture électrique. Les heures de la motorisation à essence semblent comptées…
Dans cette atmosphère festive, les Tesla Model 3 et Model X ont suscité l’enthousiasme des invités. Merci à leurs propriétaires Frédéric Allard, Guillaume André et Jean-Marc Pittet qui ont allumé une part de rêve dans les yeux des participants.
Guillaume André et Jean-Marc Pittet ont été invités par le CPA afin de répondre aux questions techniques et commerciales qu’auraient pu avoir les invités.
Le gros F-150 électrique de ÉcoTuned a aussi pris sa place dans l’espace limité du 5 à 7. Andy Ta, président de la jeune firme québécoise, à provoqué beaucoup d’intérêt en raison du caractère unique de son offre de service. Le marché du camion utilitaire est définitivement mûr pour être conquis par l’électrification.
Le succès de l’événement et l’engagement du CPA Montréal sont autant de nouvelles preuves que l’avenir est bel et bien à la voiture électrique. Les heures de la motorisation à essence semblent comptées…
On s'y attendait, bien sûr, mais voilà que ça se confirme : l'annulation en Ontario du programme d'incitatif à l'achat provoque un transfert massif des voitures électriques vers les concessionnaires québécois... au grand bonheur des acheteurs de voitures électriques.
Yvon Laprade, de La Presse, a rencontré plusieurs concessionnaires automobiles qui constatent une nette augmentation de la disponibilité des VÉ de plusieurs marques. Les clients n'ont plus à attendre des mois… et souvent la voiture est maintenant disponible sur le plancher !
Le résultat est une forte hausse des ventes depuis le début de l'automne. Déjà que l'année 2018 était une année record jusqu'en septembre ! (voir les dernières statistiques compilées par l'AVÉQ).
Et ce n'est pas parti pour s'essouffler. Selon Hugo Janson de Bourgeois Chevrolet, tout indiquerait qu'il en sera de même au début de 2019.
«Cette année, au moins 30 % de nos véhicules vendus étaient électriques.» affirme Patrick Quintal, directeur des ventes chez Nissan Saint-Hyacinthe. Ça confirme les chiffres spectaculaires dévoilés plus tôt cette année par le Groupe Albi, où le VÉ représentait 25% des ventes de certains concessionnaires cet été.
Encore plus d'information dans cet article à lire sur La Presse
Le résultat est une forte hausse des ventes depuis le début de l'automne. Déjà que l'année 2018 était une année record jusqu'en septembre ! (voir les dernières statistiques compilées par l'AVÉQ).
Et ce n'est pas parti pour s'essouffler. Selon Hugo Janson de Bourgeois Chevrolet, tout indiquerait qu'il en sera de même au début de 2019.
«Cette année, au moins 30 % de nos véhicules vendus étaient électriques.» affirme Patrick Quintal, directeur des ventes chez Nissan Saint-Hyacinthe. Ça confirme les chiffres spectaculaires dévoilés plus tôt cette année par le Groupe Albi, où le VÉ représentait 25% des ventes de certains concessionnaires cet été.
Encore plus d'information dans cet article à lire sur La Presse
Note de l'AVÉQ:
Il faut comprendre que des allocations pour le Canada sont faites pour la production dans les usines 2x par année pour la majorité des constructeurs. L'aile canadienne de ces constructeurs essaie d'estimer le nombre de véhicules qui sera nécessaire pour distribuer chez les concessionnaires, et le fait que l'Ontario ait arrêté les incitatifs est une bonne nouvelle puisqu'on se retrouve avec 6 mois de production pour l'Ontario qui devra être redistribué au QC et BC.
Cependant, lors de la prochaine allocation, l'aile canadienne révisera certainement à la baisse la commande de VÉ puisqu'il n'y aura que la Colombie-Britannique et le Québec à desservir, ce sont les deux seules provinces avec un incitatif à l'acquisition de véhicules électriques.
Nous ne sommes pas aussi positifs que cet article le laisse sous-entendre, tout dépendra de la façon dont l'aile canadienne des constructeurs évaluera les besoins en VÉ pour l'année 2019. Chez GM, Nissan et Kia/Hyundai, on semble avoir mieux saisi l'ampleur de la demande chez les consommateurs, mais nous restons prudents face aux autres constructeurs automobiles.
Pour ceux qui sont sur une liste d'attente, est-ce que votre concessionnaire vous a contacté pour vous dire que vous alliez recevoir votre VÉ plus tôt que prévu??
Il faut comprendre que des allocations pour le Canada sont faites pour la production dans les usines 2x par année pour la majorité des constructeurs. L'aile canadienne de ces constructeurs essaie d'estimer le nombre de véhicules qui sera nécessaire pour distribuer chez les concessionnaires, et le fait que l'Ontario ait arrêté les incitatifs est une bonne nouvelle puisqu'on se retrouve avec 6 mois de production pour l'Ontario qui devra être redistribué au QC et BC.
Cependant, lors de la prochaine allocation, l'aile canadienne révisera certainement à la baisse la commande de VÉ puisqu'il n'y aura que la Colombie-Britannique et le Québec à desservir, ce sont les deux seules provinces avec un incitatif à l'acquisition de véhicules électriques.
Nous ne sommes pas aussi positifs que cet article le laisse sous-entendre, tout dépendra de la façon dont l'aile canadienne des constructeurs évaluera les besoins en VÉ pour l'année 2019. Chez GM, Nissan et Kia/Hyundai, on semble avoir mieux saisi l'ampleur de la demande chez les consommateurs, mais nous restons prudents face aux autres constructeurs automobiles.
Pour ceux qui sont sur une liste d'attente, est-ce que votre concessionnaire vous a contacté pour vous dire que vous alliez recevoir votre VÉ plus tôt que prévu??
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
Des bornes de recharge rapide seront installés dans les McDonald's des Pays-bas, les partis politiques ont répondu aux questions qu'on leur avait posées à propos de leurs engagements électoraux en lien avec l'électromobilité, la Société de transport de Montréal achète quatre autobus électriques à recharge rapide la quote de sécurité de la Tesla 3 ne pourrait être mieux, les trottinette électriques à Montréal, ce n'est pas demain la veille, On s'entretien avec deux citoyens qui ont décidé de s'installer des panneaux solaires. On discute avec Sass Peress de iSun Energy. Les activités à venir au courant des prochaines semaines
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Les trottinettes électriques en libre service de Lime révolutionnent la mobilité urbaine dans plus de 33 villes aux États-Unis. Ce mode de transport 2.0 ultra-convivial déborde maintenant les frontières américaines. Les Montréalais pourraient eux-aussi adopter Lime à l’instar de Paris, Madrid, Zurich et Tel-Aviv… si ce n’était des fonctionnaires du Ministère des Transports du Québec qui leur mettent des bâtons dans les roues.

Bird, Lime, Skip, Scoot, Lyft et Spin, autant de startups qui envahissent les rues de villes américaines grâce à leur application mobile et leurs véhicules électriques ludiques en libre service. Le succès est tel que les villes sont obligées de songer à règlementer, car ça fait un peu désordre tous ces engins qu’on stationne n’importe où sur les trottoirs et dans les parcs. Mais la révolution est en marche et les citoyens en redemandent !
De l’aveu des autorités américaines, les cas d’accidents et de blessures rapportées sont très rares, tout comme le vandalisme et le vol.
Chez les géants Lime et Bird, c’est même la folie furieuse lorsque vient le temps de recharger les machines. Le travail est confié à la communauté qui est payée pour faire tout le travail de recharge et de redéploiement. Chez Lime, un «juicer» [rechargeur] gagnera entre 9$ et 12$ par machine qu’il rechargera à la maison (charger une trottinette consomme environ un 0.5 kWh… soit 5 sous au Québec !).
Mais voilà que, au Québec, la révolution 2.0 se bute une fois de plus à une lourde machine administrative incapable de réagir à la vitesse de l’innovation au XXIe siècle. Les règles mises en place par Québec pour encadrer l’arrivée des trottinettes électriques en libre service semblent leur fermer la porte jusqu’en 2021 !
De l’aveu des autorités américaines, les cas d’accidents et de blessures rapportées sont très rares, tout comme le vandalisme et le vol.
Chez les géants Lime et Bird, c’est même la folie furieuse lorsque vient le temps de recharger les machines. Le travail est confié à la communauté qui est payée pour faire tout le travail de recharge et de redéploiement. Chez Lime, un «juicer» [rechargeur] gagnera entre 9$ et 12$ par machine qu’il rechargera à la maison (charger une trottinette consomme environ un 0.5 kWh… soit 5 sous au Québec !).
Mais voilà que, au Québec, la révolution 2.0 se bute une fois de plus à une lourde machine administrative incapable de réagir à la vitesse de l’innovation au XXIe siècle. Les règles mises en place par Québec pour encadrer l’arrivée des trottinettes électriques en libre service semblent leur fermer la porte jusqu’en 2021 !
C’est bien connu au Québec, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !
Bien que Lime manifeste son désir de lancer ses activités au centre-ville de Montréal dès cet automne, les bureaucrates du ministère des Transports tiennent mordicus à faire entrer cette nouvelle forme de mobilité à la fois ludique libératrice dans le moule d’un «projet-pilote de trois ans».
Les contraintes du projet pilote sont telles quelles excluent déjà Lime !
Après, on se demande pourquoi le Québec est toujours à la traine en matière d’innovation !
Les contraintes du projet pilote sont telles quelles excluent déjà Lime !
Après, on se demande pourquoi le Québec est toujours à la traine en matière d’innovation !
En attendant, voici un aperçu de ce dont
on veut priver les Québécois jusqu’en 2021…
on veut priver les Québécois jusqu’en 2021…
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