Rouler en voiture électrique est devenu assez aisé pour les résidents de Saint-Hyacinthe, non seulement grâce au réseau de bornes publiques, mais aussi à leur recharge à la maison. Le passage à la voiture électrique peut être intimidant pour certains, mais pour les conducteurs qui en ont fait l’expérience, recharger sa voiture fait maintenant partie de la routine.
Marie-Eve Létourneau-Durocher, enseignante au cégep de Granby, a décidé de tester pendant un an et demi une Nissan Leaf en location. Depuis qu’elle a pris le volant de sa voiture complètement électrique en novembre, elle se rend chaque jour au cégep de Granby, un aller-retour d’environ 80 kilomètres. Malgré cela, il lui reste toujours assez d’autonomie pour faire ses courses après le travail et aller chercher les enfants à la garderie.
De nouvelles habitudes La maman de trois enfants a rapidement développé de nouvelles habitudes, notamment de planifier ses déplacements davantage. « Parfois, j’ai une trentaine de minutes entre deux rencontres. Est-ce que je vais charger mon auto ou me chercher un café ? Maintenant, c’est sûr que je charge ma voiture, j’ai juste développé le réflexe de le faire », témoigne-t-elle. réseau d’entraide informel qui s’est installé entre les conducteurs de voitures électriques. Si elle doit charger d’urgence sa voiture, l’enseignante peut facilement trouver une borne grâce aux applications interactives comme ChargeHub, PlugShare et Circuit électrique, et même se brancher chez un particulier qui se porte volontaire. Il ne suffit que d’un petit coup de fil à l’avance. Malgré le défi que cela représente, Marie-Eve Létourneau-Durocher et son conjoint ont fait le pari d’une voiture complètement électrique par conscience environnementale. « S’il n’y a pas de pionniers, ça n’arrivera jamais », affirme-t-elle. Le couple conserve une voiture à essence pour ses déplacements plus longs, mais envisage d’acheter une deuxième voiture électrique si l’expérience s’avère concluante. La perspective des utilisateurs de la région Marie-Odile Benoit-Biancamano voyage tous les jours de son domicile à La Présentation jusqu’à son travail à la Faculté de médecine vétérinaire (FMV) de l’Université de Montréal à Saint-Hyacinthe, un trajet de 30 kilomètres aller-retour. Jamais elle n’a eu besoin d’un branchement d’urgence dans la ville, mais elle constate qu’il serait utile d’avoir davantage de bornes à Saint-Hyacinthe. En effet, la borne la plus proche de la FMV est située au cégep de Saint-Hyacinthe, à plus de deux kilomètres. Pour pouvoir s’y stationner, la professeure devrait donc faire un long trajet à pied jusqu’au travail. Selon elle, le stationnement de l’Université de Montréal serait un emplacement tout indiqué pour une borne de recharge, puisque de plus en plus de ses collègues possèdent une voiture électrique. De plus, l’installation d’une borne pourrait inciter d’autres personnes à se procurer un véhicule branchable. Pour Marie-Eve Létourneau-Durocher, l’ajout de bornes dans des commerces souvent fréquentés après le travail, comme les restaurants, centres de conditionnement physique et épiceries, faciliterait grandement les déplacements des électromobilistes. Plusieurs épiceries offrent d’ailleurs déjà des bornes dans d’autres villes. Car avec une voiture électrique, inutile de passer par la station-service : il suffit de se brancher le temps d’un marché. Source : Audrey Neveu - Journal Mobile Contribution : Martin Archambault
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Afin de sensibiliser la population aux nombreux avantages des véhicules électriques, les élus de la Coalition électrique pour la Rive-Sud et les bénévoles de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) organisaient ce samedi des essais routiers gratuits à la Place Longueuil.
Près de trente voitures d'une dizaine de marques différentes étaient à la disposition des citoyens, de 10h à 14h, sur le stationnement du centre commercial de l'arr. du Vieux-Longueuil.
Cent quatre essais et une soixantaine de curieux ont été enregistrés, selon le directeur régional de l'AVÉQ Ghislain Poisson. Les participants ont essayé autos et vélos électriques en compagnie des bénévoles qui offraient gracieusement leurs véhicules pour l'occasion. Les députés Pierre Nantel, Catherine Fournier, Diane Lamarre, Marc Bourcier, Martine Ouellet et Xavier Barsalou-Duval, formant la Coalition électrique, étaient sur place pour répondre aux questions des citoyens. Ils ont notamment rappelé leur volonté d’inciter les deux gouvernements à favoriser la création d’emplois dans le secteur de l’électrification sur leur territoire. Démystifier les véhicules électriques Le bénévole pour l'AVÉQ Dany Labrecque informait les participants sur les véhicules à leur disposition. «Les gens ont souvent des a priori, explique l'informaticien de Brossard. Mais lorsqu'ils viennent essayer, ils sont rapidement conquis. Ces voitures ont tellement d'avantages! En plus de proposer beaucoup d'options et de technologie, elles sont économiques et réduisent l'empreinte sur l'environnement. Le problème, c'est que les concessionnaires n'en proposent pas assez et que les citoyens ne sont pas bien informés.» Si le prix d'un véhicule électrique est effectivement plus élevé à l'achat – à partir de 20 000$ – qu'une voiture à essence, les membres de l'association estiment que la rentabilité est vite observée. «En terme de consommation, cela doit représenter à peine 20$ par mois en électricité comparativement à plus de 200$ par mois dépensés en essence; le calcul est vite fait», précise M. Labrecque. Pourtant, les efforts gouvernementaux pour inciter les citoyens à acheter «électrique» ne sont pas suffisants, selon le délégué régional de l'AVÉQ Michel Turcotte. Vers une banalisation de «l'électrique» À l'origine du projet Coalition électrique, le député de Longueuil-Saint-Hubert Pierre Nantel a tout d'abord évoqué la nécessité de démystifier les véhicules électriques auprès du grand public. «Notre objectif est que l'électrification des transports devienne banale. Nous voulons démontrer que ce n'est pas un projet d'avenir, mais que c'est maintenant que cela se passe», a lancé M. Nantel, appuyé par l'adjoint de la circonscription Longueuil-Saint-Hubert, Maxence Huard Lefebvre. Le député de Saint-Jérôme Marc Bourcier a quant à lui rappelé la responsabilité gouvernementale. «Il faut démocratiser l'accès aux véhicules électriques et faire davantage de publicité, a-t-il ajouté. Ce qui veut dire plus d'incitatifs gouvernementaux, comme rendre les bornes de recharge plus accessibles et en déployer partout dans la province.» Les membres de Coalition électrique s'accordent également sur une plus grande mise en valeur du savoir-faire québécois en matière d'électrification. «Au lieu de faire venir des véhicules de l'étranger, achetons Québécois, a lancé M. Bourcier, qui a évoqué le projet d'électrification de tous les autobus scolaires de la province avant 2030. Nous sommes l'Arabie saoudite de l'électricité, alors utilisons nos ressources!» «On fabrique déjà ici à Boucherville un des meilleurs moteurs électriques au monde, a poursuivi la députée de Vachon Martine Ouellet. On possède des brevets extraordinaires pour les batteries. Ça, c'est du développement économique intelligent, créateur d’emplois, permettant l'exportation de produits à forte valeur ajoutée.» Source : Sara Lahou - Le Courrier du Sud Contribution : Martin Archambault
Le 21 mai dernier, vingt-neuf bénévoles de la Montérégie étaient présents au rendez-vous de l’Exposition de voitures classiques de St-Lambert. Encore une fois, la technologie de demain côtoyait les belles d’hier
Par une journée assez ensoleillée mais fraîche, la rue Green a hébergé 25 véhicules électriques accompagnés des propriétaires bénévoles. Nous avions un très large éventail des véhicules électriques vendus au Québec : Volt, Bolt, Leaf, Model S, Model X, Audi e-tron, Fusion Energi, Smart ED, BMW i3, Soul EV et Ioniq.
On nous avait réservé une section de rue complète pour toutes les accueillir. Avec le mini chapiteau et l’oriflamme qui trônaient sur le coin de la rue, nous étions bien en évidence. Le résultat fut que plusieurs centaines de visiteurs se sont régalés et ont posé une multitude de questions à nos propriétaires, qui étaient fiers d’y répondre. Les essais routiers étaient également disponibles, avec une dizaine de voitures de différents modèles. Fait assez surprenant, il s’en est fait peu (moins de dix), considérant l’affluence. Les gens étaient plus intéressés à questionner et discuter avec les bénévoles, qu’à faire un essai routier. Notre rue a d’ailleurs été achalandée jusqu’à la toute fin alors que le reste du site s’était vidé. Sommes toutes, ce fut la plus importante visibilité de l’AVÉQ Montérégie en 2017 jusqu’à date. Merci à toutes et tous pour votre présence. Source : Alain Bélanger – Délégué régional AVÉQ, Montérégie Contribution : Ghislain Poisson - Directeur régional AVÉQ, Montérégie
Dans le cadre de l'événement : Roulez Vert Sorel Tracy, notre Président fera une conférence
L'exposition mettra en valeur l'histoire automobile depuis ses débuts en passant par l'Âge d'or des véhicules des années 40, 50, 60 et 70, qui vont côtoyer la toute dernière technologie des véhicules électriques. L'événement avait été un franc succès l’an dernier alors que les organisateurs estiment avoir eu près de 300 voitures différentes exposées et plus de 12 000 visiteurs !
Cette année, ce sera la deuxième fois que des véhicules électriques seront en démonstration avec la présence des bénévoles de l'AVÉQ ! Les véhicules électriques seront démontrés et les bénévoles qui le désirent pourront même offrir des essais routiers durant l’activité. Nous visons une présence plus importante encore sur le site cette année avec plus d’une vingtaine de véhicules électriques. Il reste encore des places pour des participants additionnels, les bénévoles de l'AVÉQ intéressés à participer sont invités à envoyer rapidement un courriel à l’adresse suivante : ghislain@aveq.ca . Vous pouvez également trouver plus d’information sur la page de l’événement à l’adresse suivante : http://www.saint-lambertenfete.com/expo_voitures_classiques.html .
Source : Ghislain Poisson - Directeur régional AVÉQ, Montérégie
Contribution : Martin Archambault
Les bornes de Saint-Hyacinthe figurent chaque mois parmi les dix bornes les plus achalandées au Québec, selon le réseau Circuit électrique qui gère les bornes de recharge publiques dans la province. L’une des plus courues est la borne de recharge rapide de niveau 3 (400 volts) de la rôtisserie Saint-Hubert, la seule de la ville qui permet une recharge à 80 % en 20 à 50 minutes. « J’ai été surpris du nombre de personnes qui s’y arrêtent, indique le propriétaire de la rôtisserie, Steve Deslauriers. J’ai un client régulier de Drummondville qui arrête ici 15 minutes tous les matins avant d’aller travailler, pour avoir assez d’énergie pour revenir le soir. »
Steve Deslauriers a aussi fait installer une borne de niveau 2 (240 volts) pour ses clients et une autre pour l’un de ses véhicules de livraison électrique. Trois autres bornes du même type sont situées au cégep de Saint-Hyacinthe, et une autre est disponible à l’édifice d’Hydro-Québec. Ce type de borne permet une recharge complète en trois à dix heures, dépendant des modèles de véhicules. Les concessionnaires Nissan et Chevrolet mettent également leur borne à la disposition des conducteurs pendant leurs heures d’ouverture. D’autres entreprises réservent leurs bornes à leurs clients, comme le Holiday Inn et Paysages Rodier. Une répartition inégale La répartition géographique des bornes n’est toutefois pas équilibrée, puisqu’elles se trouvent en majorité près de l’autoroute 20. « Si on veut aller du côté du Rang Saint-François ou de Saint-Pie, on est coincé », déplore Robert Dupuy, porte-parole de l’AVÉQ. Il note que la disposition des bornes est avantageuse pour les voyageurs, mais qu’elle ne les incite pas à entrer et à consommer dans la ville. « Pourtant, il y a une possibilité d’avoir du tourisme électromobile », avance Robert Dupuy.
En comparaison, le centre-ville de Joliette, une ville de taille semblable à Saint-Hyacinthe, compte environ cinq bornes gratuites de 240 volts, tandis que Mascouche en a installé une à la bibliothèque municipale. De nombreux conducteurs de véhicules électriques interrogés s’entendent sur le manque de bornes au centre-ville de Saint-Hyacinthe. Steve Deslauriers, propriétaire de la rôtisserie Saint-Hubert, croit qu’un emplacement stratégique serait autour du parc Casimir-Dessaulles, près de l’hôtel de ville, du palais de justice, de nombreux commerces et du bord de l’eau.
Le futur du réseau de bornes La Ville de Saint-Hyacinthe a prévu d’investir 80 000 $ pour l’achat et l’installation de deux bornes de recharge rapide d’ici 2019, à des endroits stratégiques encore à dévoiler. Le maire est ouvert à l’idée de réviser à la hausse le nombre de bornes s’il y a de la demande. Sans affirmer que Saint-Hyacinthe manque de bornes, Circuit électrique se féliciterait d’en voir apparaître davantage. « On ne veut pas de surreprésentation dans une région, mais on remarque qu’il y a un problème de l’œuf et de la poule, note le porte-parole de Circuit électrique, Louis-Olivier Batty. Si les futurs acheteurs savent qu’il y a un bon nombre de bornes dans leur région, c’est un incitatif, ça les rassure et ça influence leur choix. » Source : Journal Mobiles - Audrey Neuveu Contribution : Martin Archambault
Longueuil vise à devenir un chef de file dans l’électrification des transports. Le gouvernement du Québec a formé une grappe industrielle du transport électrique. Seul le fédéral n’adhère pas à cette voie d’innovation majeure.
Pour le gouvernement d’Ottawa, l'électrification des transports n’est pas une priorité. C’est l’industrie pétrolière qui est prioritaire. En 2015, le fédéral l’a subventionnée à hauteur de 3,3 G$. Durant la campagne électorale, Justin Trudeau avait promis de cesser les subventions directes au pétrole; il a plutôt décidé de les prolonger jusqu’en 2025.
Un problème: le coût d’achat du VÉ Selon un sondage Environics, 70% des Québécois considèrent que le principal obstacle à l’achat d’un véhicule électrique (VÉ) est le coût. Ils verraient d’un bon œil soit un rabais à l’achat, ou une exemption de taxes. En janvier 2017, le député fédéral de Longueuil—Saint-Hubert Pierre Nantel disait qu’il se faisait un «devoir personnel» que le fédéral inscrive dans le budget du printemps «la création d’incitatifs fiscaux à l’achat de véhicules électriques». Le dernier budget fédéral lui a donné tort. Pourtant, les gouvernements de France, d’Angleterre, d’Allemagne, d’Italie, de la Chine, de l’Inde, du Japon, de la Corée du Sud, de la Suède, de la Norvège, etc., offrent diverses formes d’appuis financiers aux acheteurs de VÉ. Même les États-Unis de Trump versent jusqu'à 7500$ à l’achat d’un VÉ. Le gouvernement du Canada: RIEN. Au contraire, le fédéral perçoit la TPS, une taxe qui hausse le coût d’un VÉ d’environ 2000$. Au minimum le fédéral devrait renoncer à percevoir la TPS sur les VÉ. Notre député fédéral devrait y travailler. Il est consternant de constater que les encouragements du Québec, qui verse une subvention allant jusqu’à 8000$, et de l’Ontario (14 000$), soient amoindris par la TPS fédérale. Des conseils Plus d’un Québécois sur huit prévoit acheter un VÉ d’ici trois ans. Le principal conseil qu’on peut donner aux futurs acheteurs, c’est d’amasser l’information et de faire un essai sur route. Pour l’info, il y a le guide de L’auto électrique, hybride ou écoénergétiqu de Jacques Duval et le site web de l’Association des véhicules électriques du Québec (aveq.ca). Il comporte des forums où proprios et futurs proprios échangent sur tous les sujets pratiques entourant les VÉ. Pour découvrir ou faire un essai, il y a l’événement Branchez-vous (branchez-vous.org) les 22 et 23 avril à Montréal. Sans oublier le premier Salon du véhicule électrique et hybride, à la Place Bonaventure, les 26, 27 et 28 mai. Il est aussi possible d’obtenir un essai privé grâce aux bénévoles de l’AVEQ ici à Longueuil Source : Le courrier du Sud - Alain Lavallée. Contribution : Martin Archambault
Toujours le 23 avril, dès 13h30 à la Place du Marché, débutera la 5e Marche pour le Jour de la Terre. Venez marcher et rencontrer les deux initiateurs de cette marche, messieurs Raymond Forget et Jacques Meunier, de l’AREQ Haut-Richelieu. Une plaque sera dévoilée lors de la plantation symbolique de l’arbre de la 5e marche.
Lundi 24 avril, 2 représentations du film DEMAIN seront offertes gratuitement pour tous dans le cadre du Ciné-club du Haut-Richelieu au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu. Elles auront lieu grâce au Projet Toujours en action de l’AREQ. Le comité présente ce film pour faire suite à la conférence de l’an dernier sur l’écocitoyenneté. Les heures des représentations sont à 15:15 et à 19:30 Pour clôturer la semaine en beauté, dimanche le 30 avril, de 10h à 13h se tiendra l’Opération Grand Nettoyage, visant à encourager les citoyens à passer à l’action dans leur quartier. L’activité est organisée par la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu et la Société de développement Vieux-Saint-Jean (SDVSJ)! À propos de la Semaine de la Terre à Saint-Jean-sur-Richelieu Depuis 2007, la Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu appuie la SDVSJ dans l’organisation de l’Opération Grand Nettoyage. En avril 2013, l’Association des retraités et retraitées de l’éducation et des autres services publics du Québec (AREQ) et le Mouvement écologique du Haut-Richelieu (MÉHR) ont organisé la première marche. Grâce à l’appui de différents services de la ville, cette activité a pu être répétée. C’est en 2015, afin de maximiser l’impact de leurs efforts sur l’environnement que les trois organismes impliqués ont décidé de coordonner leurs activités et de créer : La Semaine de la Terre à Saint-Jean-sur-Richelieu. Source : Richard Gouin, Responsable Environnement et Développement Durable, AREQ Haut-Richelieu Contribution : Martin Archambault
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Dans ce contexte, TM4, une filiale d’Hydro-Québec, a annoncé aujourd’hui sa décision de repositionner ses activités autour des moteurs destinés aux véhicules lourds et aux autobus, secteur ayant un fort potentiel de croissance et où TM4 connaît déjà un succès significatif. À preuve, la part de marché en Chine de notre coentreprise, Prestolite Electric Propulsion Systems (PEPS), est passée de 0,4 % en 2015 à 4 % en 2016, avec une prévision de l’ordre de 7 à 8 % pour l’année en cours.
Le développement de nouveaux produits ciblera principalement la famille de moteurs SUMO, réduisant ainsi les activités liées au secteur passager. L’entreprise demeure toutefois à l’affût de nouvelles opportunités pour des productions à grande échelle dans l’industrie automobile. Les activités de recherche et de développement demeurent à nos installations de Boucherville afin de maintenir au Québec le savoir-faire de TM4. Cet ajustement, combiné à un exercice d’efficience, entraîne malheureusement la suppression d’une trentaine de postes. Le repositionnement de TM4 permettra de mieux répondre à l’évolution de l’industrie de l’électrification des transports, d’assurer la pérennité de l’entreprise et de saisir de nouvelles opportunités. Source : Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault
Le 18 mars dernier s’est tenu à Boucherville un déjeuner-causerie à l’attention des bénévoles de l’AVÉQ en Montérégie. Ce fut l’occasion pour les 28 personnes présentes d’échanger leurs expériences avec les véhicules électriques et de mieux se connaître. Nous avions la présence de nouveaux bénévoles motivés et de bénévoles d’expérience qui conservent toujours le désir de parler d’électromobilité.
Ce fut l’occasion de faire un retour sur les événements de 2016, de discuter des événements prévus en 2017 et de récolter les suggestions des bénévoles. Le tour de table a permis de constater à quel point les bénévoles présents sont passionnés de véhicules électriques et convaincus que c’est une solution d’avenir.
La Montérégie est la région qui compte le plus de véhicules électriques au Québec avec 24% des véhicules électriques du Québec. Avec plus de 300 bénévoles pour l'AVÉQ en Montérégie, cela constitue également 24 % de tous les bénévoles de l'AVÉQ pour la province. En 2017, les bénévoles de la Montérégie se sont impliqués dans 10 activités qui ont mobilisé entre 4 à 35 bénévoles à chaque fois. L’équipe de la Montérégie subit quelques changements pour 2017, alors que Michel Turcotte devient directeur régional adjoint en remplacement de François Viau qui demeure cependant délégué régional. Alain Bélanger se joint à l’équipe à titre de nouveau délégué régional. Ghislain Poisson demeure directeur régional, alors que Dian Morin, Martin Archambault et Martin Boisvert demeurent délégués régionaux. Notre équipe est riche de talent et de dévouement, en plus d’être très bien soutenue par des bénévoles impliqués, ce qui augure bien pour la prochaine saison. Surveillez les prochaines annonces d’événements à partir de ce printemps ! Source : Ghislain Poisson, directeur régional Montérégie - AVÉQ Contribution : Martin Archambault Bilan des bornes de recharge mises en service en janvier – Le Circuit électrique poursuit son développement et a mis 5 bornes en service au mois de janvier :
Depuis son inauguration en mars 2012, 183 partenaires privés et institutionnels se sont joints au Circuit électrique et le réseau compte maintenant plus de 11 800 membres.< >> D'autres nouvelles sur le Circuit Électrique Source : Le Circuit Électrique Contribution : Martin Archambault
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=> D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique =>D'autres articles sur la montérégie Source: Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault
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=> D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique =>D'autres articles sur la montérégie Source: Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault Deux Thaïzone se sont récement procuré des Nissan Leaf afin de faire la livraison à domicile. Une initiative qui s'ajoute à celle du Thaïzone de Terrebonne qui avait fait le virage électrique en mai dernier Ce sont les Thaïzone de St-Hubert et de Sherbrooke qui ont emboité le pas cette fois ci, avec des LEAF usagées à bas kilométrage du concessionnaire JN Auto. Si l'expérience est concluante, les 2 restaurants pourraient même poursuivre avec une transition complète de leur flotte vers le 100% électrique. Nous savons que nos membres aiment encourager les commerces qui endossent la cause de l'électromobilité. Voici les adresses de ces deux restaurants: 104 Boulevard Moïse-Vincent Saint-Hubert QC, J3Z 0C4 1780 Rue King O Sherbrooke QC, J1J 3E2 Félicitation aux 2 propriétaires visionnaires, Patrick Gingras et Éric Thibert ! Source : JN Auto.com
Contribution : Martni Archambault C’est en compagnie d’une soixantaine d’entrepreneurs, d’acteurs clés du transport, de partenaires et d’élus que l’équipe de Développement économique de l’agglomération de Longueuil (DEL) et celle du technopôle IVÉO ont procédé aujourd’hui à l’annonce officielle des lauréats de son premier appel de projets en transport intelligent et durable. Lancée le 3 mai dernier, cette initiative a permis de recueillir quinze projets innovants desquels six se sont distingués et se sont vus décerner 50 000 $ chacun en contribution non remboursable, pour un total de 300 000 $. Les projets retenus représentent un investissement total de près de cinq millions de dollars. Ils créeront plus de 270 emplois sur un horizon de cinq ans et généreront plus de 35 millions de dollars de revenus supplémentaires au cours des trois prochaines années. Analysés par un comité de sélection composé d’experts en financement de l’innovation et en transport et évalués à partir de critères prédéfinis tels que les retombées économiques et la viabilité financière démontrées, les projets participent à positionner l’agglomération de Longueuil comme un territoire distinctif accordant valeur et importance à son tissu industriel : « Je vous assure que nous gardons toujours le cap sur notre objectif ultime : faire de l’agglomération de Longueuil une des communautés économiques les plus attirantes, accueillantes, innovantes et vibrantes du Grand Montréal. Ce premier appel de projets lancé par DEL, une équipe chevronnée mettant en œuvre nos priorités économiques, démontre notre volonté d’offrir les meilleurs leviers et conditions pour faire croître nos entreprises et en attirer de nouvelles chez nous », a souligné Caroline St-Hilaire, mairesse de Longueuil.
Outil multiplicateur de retombées Démontrant l’excellence des entreprises de la filière du transport intelligent et durable, l’appel de projets a permis de reconnaître l’expertise des entreprises de l’agglomération de Longueuil : « Notre appel de projets est un outil remarquable permettant concrètement d’accélérer, d’encourager et de récompenser l’innovation. Le développement économique, c’est justement de croire en nos entreprises prometteuses et d’investir dans celles qui ont la capacité de maximiser les retombées au sein de notre communauté industrielle », a précisé Julie Ethier, directrice générale de DEL. Précisons d’ailleurs que les projets retenus engendreront des retombées positives indirectes auprès de plus de 30 fournisseurs locaux. Des projets distinctifs Alliant ingéniosité, innovation et un haut potentiel de commercialisation, les projets retenus sont les suivants :
À propos de DEL et du technopôle IVÉO DEL (Développement économique de l’agglomération de Longueuil) est un organisme sans but lucratif qui offre ses services à l’ensemble des villes de l’agglomération de Longueuil soit Boucherville, Brossard, Longueuil (Vieux-Longueuil, Saint-Hubert et Greenfield Park), SaintBruno-de-Montarville et Saint-Lambert. Le technopôle IVÉO, relevant de DEL, a pour mission de structurer, mobiliser et appuyer un écosystème d’innovation visant à accélérer le développement et le déploiement de produits, d’applications et de technologies qui permettront de rendre le transport des biens et des personnes plus efficace, plus intelligent et plus durable. Il a pour vision de devenir un écosystème d’innovation de classe mondiale dans le créneau des transports. Pour plus d’information : www.delagglo.ca/fr/ et www.iveo.ca Source : Catherine Beaudin Valérie Gonzalo Coordonnatrice des communications Agglomération de Longueuil (DEL) Contribution : Martin Archambault Deux bornes de recharge rapide maintenant en service l'une à Chandler, l'autre à St-Hyacinthe25/10/2016
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=> D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique Source: Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault La présente contribution vise à relater la façon dont le Syndicat des copropriétaires du Vistal II, un important immeuble à condo de l’île-des-Sœurs a réglé, au bénéfice de ses 151 copropriétaires, la toujours délicate question de l’installation de bornes de recharge pour véhicule électrique. Nous souhaitons que notre expérience réussie puisse servir à ceux et celles qui envisagent un tel aménagement au cours des mois ou des années à venir. Les constats
Vistal II, construit en 2008 et habité à compter de l’automne 2009, est un édifice LEED OR, l’un des tous premiers avec notre voisin Vistal I, à se voir décerner cette mention prestigieuse. Habiter un tel édifice emporte des responsabilités en matière de développement durable, de sauvegarde de l’environnement et de conservation d’énergie. Le conseil ne pouvait tolérer plus longtemps l’aberration d’être l’un des rares édifices LEED OR à résister à l’implantation de bornes de recharge pour véhicule électrique. Des exemples d’installations individuelles dans certains autres immeubles de l’île-des-Sœurs, notamment au Sommet 2, dont l’architecture présentait les mêmes défis que chez nous indiquaient que la chose était réalisable pourvu qu’on se donne la peine d’aborder la question sous tous ses angles, y compris les plus délicats. Certaines demandes des copropriétaires trainaient dans le paysage depuis trop longtemps en attendant une solution que l’on souhaitait globale plutôt que faite sur mesure pour notre environnement particulier. Ne pas donner suite à ces demandes consistait à imposer un «status quo» ni raisonnable, ni justifiable envers ceux qui exprimaient le besoin de se doter d’une prise de recharge dans leur espace de stationnement.
Afin de renforcer son rôle de chef de file dans l'électrification des transports et compte tenu de la demande croissante à cet effet, la Ville de Longueuil a réitéré, lors de la séance du conseil de ville, son intention de bonifier considérablement, d'ici le printemps 2017, son réseau de bornes de recharge pour véhicules électriques. La Ville procédera donc à l'achat de 22 nouvelles bornes dont 4 à recharge rapide dans le cadre de son entente de partenariat avec Hydro-Québec pour le déploiement de bornes de recharge.
Ces nouvelles bornes seront réparties dans 8 stations-service électriques, un nouveau concept où plusieurs voitures peuvent effectuer la recharge simultanément. Elles desserviront les pôles commerciaux et institutionnels afin d'assurer un achalandage significatif, tout en atténuant les impacts sur les quartiers résidentiels. Avec ces ajouts, Longueuil se positionnera parmi les villes québécoises comptant le plus de bornes à l'intérieur du Circuit électrique au Québec. On retrouve actuellement à Longueuil 11 bornes de recharge électrique, dont 4 appartenant à la Ville.
« Un des objectifs de la Ville de Longueuil dans la lutte aux changements climatiques est de favoriser le développement durable et l'écomobilité. D'ailleurs, plusieurs initiatives en ce sens ont été déployées, comme le Plan de mobilité active, le développement du réseau cyclable, la promotion des modes de transport actif, les voies réservées et l'élargissement de la flotte de véhicules électriques de la Ville. Autant de gestes concrets qui consolident notre engagement dans la lutte aux changements climatiques et qui permettront d'offrir à nos citoyens un milieu de vie de qualité, axé sur le développement durable et le respect de l'environnement », a déclaré la mairesse de Longueuil, Caroline St-Hilaire. En plus de contribuer à réduire notre empreinte écologique, l'électrification des réseaux de transport permettra de créer de nouvelles opportunités de développement pour la région dans le secteur des énergies propres. En tant que centre de compétences, d'innovation et d'excellence en matière de transport électrique, Longueuil mise d'ailleurs sur la présence d'entreprises spécialisées pour développer un créneau d'excellence dans le domaine de l'électrification des véhicules et ainsi favoriser le transport intelligent et durable. Source : Ville de Longueuil Contribution : Martin Archambault
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=> D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique =>D'autres articles sur la Montérégie Source: Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault
C'est par un magnifique samedi d'automne que s'est déroulé le rendez-vous branché de Longueuil qui avait lieu au Marché Public sur la rue de La Savane. L'équipe AVÉQ Montérégie était sur place pour sensibiliser le public à l'électromobilisme.
La première chose qui frappait sur le site, c'était la présence de l'AVÉQ... Un résumé, il y avait du orange partout... Outre les tentes et autres articles promotionnels aux couleurs de l'AVÉQ, c'est 31 bénévoles qui étaient présents sur le site pour accueillir, informer, faire essayer, discuter etc... Plusieurs personnes ont d'ailleurs fait le commentaire d'être impressionnés par autant de bénévoles passionnés et dévoués ! Chapeaux à l'organisation de l'AVÉQ Montérégie.
Nous avons dans la journée seule de samedi, effectué 172 essais routiers répartis de la façon suivante :
En résumé, une journée fort bien remplie. Ghislain Poisson, directeur régional AVÉQ pour la Montérégie remercie chaudement tous les bénévoles pour le don généreux de leur temps. Sans vous, rien n'est possible.
Source : Martin Archambault
Équiterre, en collaboration avec la Ville de Longueuil et l'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ), vous invite au Rendez-vous branché de Longueuil.
Quand: Le samedi 24 septembre de 10h à 16h Où: Marché public de Longueuil – 4200, chemin de la Savane Pour toutes questions concernant le déroulement de l'activité, contactez : transport@equiterre.org Pour offrir des essais routiers bénévolement, contactez : ghislain@aveq.ca DÉROULEMENT DE L'ÉVÉNEMENT10h00 à 16h00 • Essais routiers de voitures électriques animés par l'AVÉQ • Exposants - Experts en électrification et en transport 13h00 à 14h15 (sujet à changement) • Mots d'accueil d'Équiterre et de la mairesse de la Ville de Longueuil • Conférence de Steven Guilbeault d’Équiterre • Conférence «Démystifier la voiture électrique» par l’AVÉQ (11h et 14) • Période d'échanges avec les experts LA VOITURE ÉLECTRIQUE À PORTÉE DE MAIN Participez aux essais routiers animés par l'Association des véhicules électriques du Québec. Chaque essai dure une quinzaine de minutes. Vous serez accompagné par un spécialiste - propriétaire d'une voiture électrique - qui pourra répondre à toutes vos questions. Inscriptions sur place seulement. Pour conduire le véhicule, vous devez apporter votre permis de conduire et votre preuve d'assurance automobile valides. DE NOMBREUX EXPERTS POUR RÉPONDRE À VOS QUESTIONS Venez rencontrer sur place nos spécialistes en électrification et en transport durable : Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) Circuit électrique d'Hydro-Québec Conseil régional de l’environnement de la Montérégie Ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles D'autres à confirmer Source : Ghislain Poisson - Directeur régional Montérégie - AVÉQ Contribution : Martin Archambault
1. Quels sont les avantages de posséder un véhicule électrique?
Ça permet de réduire son empreinte carbonique en plus d’économiser sur les coûts d’entretien du véhicule, car il y en a peu. On économise également sur les coûts d’utilisation, puisque faire un plein électrique coûte moins cher qu’un plein d’essence. On parle de 1,50 $ par plein pour une voiture qui est 100 % électrique. Et nous ne sommes pas obligés de la charger chaque jour. Certaines atteignent les 160 km d’autonomie. Aussi, les conducteurs ont découvert qu’ils étaient moins agressifs derrière le volant. Le véhicule est complètement silencieux. Il a une puissance qui est disponible à l’instant et l’accélération est très performante. Également, le véhicule se réchauffe très rapidement l’hiver grâce à l’électricité. Pas besoin d’attendre que le moteur à essence se réchauffe, puis réchauffe le véhicule. Finalement, le centre de gravité du véhicule est très bas. Il est stable et tient bien la route. Il est bien ancré sur ses pneus, car la batterie est située dans le plancher. 2. Quelles sont les contraintes? Le coût à l’achat est plus important. Si on prend un véhicule à essence qui coûte 20 000 $, le même modèle 100 % électrique coûtera 32 000 $. On enlève toutefois 8 000 $ du gouvernement [rabais offert par Québec à l’achat ou à la location]. Par contre, on rentre rapidement dans notre argent, car le coût d’utilisation est d’environ 25 $ pour recharger le véhicule par mois, contre 200 $ d’essence par mois pour parcourir la même distance. Aussi, l’autonomie est parfois restreinte. Il faut être capable de recharger le véhicule de façon régulière. Le réseau électrique est très étendu. Il y a des bornes à haute vitesse qui permettent de recharger le véhicule à 80% en 15 minutes. 3. À qui s’adressent particulièrement les véhicules électriques? Les gens qui habitent la banlieue et qui ont deux voitures pourraient avoir une voiture électrique sur deux. Si ces gens trouvent qu’il y a trop de restrictions pour une longue distance, ils peuvent utiliser leur véhicule électrique pour aller travailler ou se promener en ville. Ça permet de diminuer les coûts. 4. Croyez-vous que le futur est prometteur pour l’industrie du véhicule électrique? Oui, car une des choses qui est très encourageante est que les gouvernements à travers la planète se dotent de lois restrictives sur la pollution que peut émettre un véhicule à essence. À un moment donné, les technologies vont faire en sorte que les manufacturiers ne pourront plus créer de véhicules à essence, car les normes seront à zéro émission carbonique. La question n’est plus de savoir si je vais acheter un véhicule électrique, mais quand je vais l’acheter. Portrait de la situation D’après l'AVEQ, les ventes de voitures qui ne consomment pas d’essence doublent chaque année. «Le Québec est le champion au Canada, alors que 50 % des ventes au pays sont au Québec», affirme le président Simon Rioux En date du 30 avril, 9,763 véhicules électriques avaient été vendus dans la province. Près de 980 bornes de recharge sont disponibles au Québec. Selon l’AVÉQ, le propriétaire moyen au Québec est un homme âgé d’environ 45 ans dont le salaire annuel médian est de 65 000 $. Source : Audrey Leduc-Brodeur - Granby Express Contribution : Martin Archambault
La deuxième édition de l'Expo Greenfield Park, aura lieu samedi le 17 septembre de 9h00 à 17h00.
La Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy (CCIST), en collaboration avec Jocelyn Parenteau, a permis la tenue d’une activité d’information sur l’électrification des transports aux Promenades de Sorel, le 27 août dernier. Malgré le beau temps et la rentrée scolaire, plus de 450 personnes se sont présentées. La gratuité de l’événement a été permise grâce à la participation financière de plusieurs entreprises membres de la CCIST.
L’activité Roulez vert Sorel-Tracy a pris naissance grâce à l’initiative citoyenne de Monsieur Jocelyn Parenteau, un artiste de la région passionné de l’électrification des transports. La Chambre de commerce s’est jointe à lui en voyant le potentiel de faire bouger les choses à Sorel-Tracy, en lien avec sa mission de dynamiser la région et d’ouvrir de nouvelles perspectives d'affaires.
Différents exposants de véhicules électriques étaient sur place pour présenter leurs produits et renseigner les visiteurs, dont JN autos.com, Boutique Bouchard & filles, GEEBEE, le projet HeliTE de l’Université de Sherbrooke, l’AVEQ, etc. L’activité la plus appréciée de la journée a été manifestement la possibilité d’effectuer des essais routiers parmi plus d’une vingtaine de voitures électriques; Tesla model S, Chevrolet Volt, Kia Soul, Toyota Prius, Nissan Leaf, Mitsubishi i-MiEV, BMW i3, etc. Les propriétaires de ces voitures, tous bénévoles, ont été très généreux de leur temps et ont ajouté beaucoup à l’événement par leurs connaissances et leur propre expérience VÉ. Les résultats s’estiment à plus de 450 visiteurs, dont une centaine, souvent accompagnés, se sont inscrits aux essais routiers avec une moyenne de deux essais par inscription. Nous constatons que bien qu’ils aient démontré un intérêt particulier pour les Tesla disponibles, les gens se sont principalement intéressés aux voitures ayant un prix conventionnel et accessible comme la Volt de Chevrolet, la Soul de Kia et la Leaf de Nissan. L’attraction de la journée était définitivement la Tesla model X, exposée bien en évidence avec non loin son propriétaire, Monsieur Sylvain Juteau, président d’honneur de l’événement, se tenant à la disposition des visiteurs pour répondre aux questions. Le volet conférence permettait aux gens d’entendre des experts du domaine de l’électrification des transports et du développement durable dont messieurs Daniel Breton et Christian Patenaude qui ont suscité des échanges de connaissances et d'opinions sur le sujet. Le volet arts visuels a permis la mise en valeur d’artistes de la région, qui par leur art ont élaboré sur l’impact des transports sur l’environnement, et ce dans la sphère sociopolitique actuelle. Il est important de remercier les partenaires financiers de la Chambre de commerce; Desjardins et Habitations Richard Hébert. Merci aux partenaires majeurs de l’événement : Les Promenades de Sorel, la Ville de Sorel-Tracy, le journal Les 2 Rives, Cournoyer communication marketing, CJSO 101,7 FM, Studio Grafik et la Rôtisserie St-Hubert de Sorel-Tracy. Un gros merci également à CNC Tracy, le CTTÉI, Innosphère solutions durables, le Cégep de Sorel-Tracy, Desmarais protection électronique, la Maison de la musique, le député de Richelieu Monsieur Sylvain Rochon, Les Forges de Sorel, le Parc éolien Pierre-De Saurel, le restaurant Belvédère et Silencieux GMS Richelieu.
Source : Chambre de commerce et de l'industrie de Sorel-Tracy
Contribution : Martin Archambault |
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