Un flot de véhicules verts va déferler dans les rues de Dundee (ville d’Écosse) au cours des 12 prochains mois dans un mouvement qui pourrait mettre la ville à l'avant-garde d'une révolution du véhicule électrique. Déjà la ville ayant le plus de véhicules électriques appartenant au conseil municipal que toute autre collectivité locale en Grande-Bretagne, elle pourra bientôt se vanter d’avoir la plus grande flotte de taxi vert aussi. Dix taxis électriques sont déjà dans les rues selon un plan de développement élaboré sur une durée de trois ans par David Young, président de la compagnie « 203020 Taxis ». Et au cours des 12 prochains mois, il va progressivement remplacer l'ensemble de sa flotte de 60 taxis adaptées aux fauteuils roulants par des voitures électriques. Les progrès réalisés et le succès de sa décision d'affaires est déjà surveillée par les grandes entreprises de taxi à travers l'Ecosse - dont les six plus grande d'Edimbourg. La conversion à l'électricité a aussi le soutien du gouvernement écossais. M. Young espère que le remplacement va permettre de sauver, à long terme, d’importantes sommes d'argent. Il espère également que sa décision aura un effet significatif sur la qualité de la vie dans la ville. Il croit que, en supprimant plus de 60 véhicules diesel des rues de la ville, il pourrait y avoir une amélioration marquée de la qualité de l'air. Ce serait particulièrement bienvenue à des points pollués comme Seagate, Lochee Road et Whitehall Street. En janvier, un rapport de l’organisation « Les Amis de la Terre » a révélé qu’elles étaient parmi les 10 rues les plus polluées du pays. « C’est la première fois que quelqu'un au Royaume-Uni s’est engagé à convertir au complet une flotte de véhicules électriques », a déclaré M. Young. « Des choses se passent sur le continent, mais l'adoption des véhicules électriques a été beaucoup plus lente dans le Royaume-Uni. Nous espérons commencer à changer cela, et, avec nos ressources et celles du conseil municipal combinées, je pense Dundee possède déjà une des plus fortes concentrations de chargeurs rapides de la planète. » « Nous avons signé un accord avec le Conseil municipal de Dundee qui nous permettra d'utiliser tous leurs chargeurs, tandis que les nôtres sur la rue Isla seront disponibles pour le public. » Il a poursuivi: «J’ai d'abord vu cette décision d’un point de vue d'affaires, mais les avantages environnementaux sont également très importants pour moi. » « Nous avons déjà 10 véhicules dans les rues et au cours des 12 prochains mois, nous allons remplacer l'ensemble de notre flotte de quelque 60 taxis accessibles en fauteuil roulant avec des nouvelles ENV 200 de Nissan. » «J’ai passé une bonne partie de trois dernières années ans de recherches sur ce changement, conduit chaque véhicule électrique disponible, visité des usines et parlé aux experts de cette technologie. » « Ce qui a rendu la décision plus facile a été l'investissement et l'engagement du Conseil municipal de Dundee aux véhicules électriques. Ils ont été des pionniers et ont établi une grande partie de l'infrastructure nécessaire pour faire un usage plus complet de la technologie et cela nous a permis de suivre leur exemple. » Source: The Courier.co.uk
Collaboration: Dany Labrecque
Commentaires
Les Nissan branchés sont décidément des engins qui savent séduire les compagnies et chauffeurs de taxis ! On ne compte plus les Leaf et e-NV200 qui circulent un peu partout dans le monde avec le distinctif répétiteur lumineux sur le toit. Pour aujourd’hui, la course s’arrête à Bruxelles, en Belgique. Là, ce sont 12 exemplaires de la compacte électrique du constructeur japonais qui sillonnent les rues de la capitale depuis le début de l’automne. Cette flotte est répartie sur plusieurs opérateurs qui témoignent de la satisfaction des chauffeurs, comme des clients, à rouler plus vertueusement. UN TÉMOIGNAGE... Sur les 14 véhicules qui composent le parc de taxis de Reza Seyed, 5 sont des Nissan Leaf. L’agrément de conduite ainsi que les coûts d’exploitation réduits ont été un facteur décisif pour lui, comme il l’explique : « Mes chauffeurs sont beaucoup moins stressés. J’ai moi-même testé la voiture dans des conditions réelles avant de les acheter. La vie à bord est beaucoup plus agréable dans une Nissan Leaf. Ce qui m’a convaincu pour cet investissement, ce sont aussi les faibles coûts d’exploitation et de recharge. Le silence de la voiture a aussi été déterminant ». …ET UN AUTRE Un enthousiasme partagé par Bouzouika Bilal, propriétaire de deux taxis du même modèle. Il avoue avoir lui aussi préféré cette voiture à ses concurrentes électriques. Des témoignages de ce type, la Leaf les accumule. Et notre site devrait encore s’en faire l’écho longtemps ! Après avoir présenté sa voiture en kit Tomahawk au Salon de l'Auto de Montréal en janvier dernier, Dubuc Motors veut maintenant devenir un fabricant de VÉ avec "le cousin de Tesla, le Tomahawk" selon leur PDG. Initialement prévu comme "kit car" où le consommateur pouvait y boulonner presque n'importe quel type de groupe motopropulseur, le projet a lentement évolué au point où on explorait la possibilité de fabriquer une version entièrement électrique au Québec de voitures complètes (exit le kit). Un taxi électrique, ainsi qu'un véhicule utilitaire électrique! La société Dubuc Motors a annoncé aujourd'hui qu'elle prévoit révéler la version 2017 du Tomahawk, avec un taxi et un modèle utilitaire, construits sur le même châssis utilisé pour le kit de voiture Tomahawk, dès 2016 - selon nous, probablement au Salon de l'auto de Montréal et/ou de Québec. Dubuc est actuellement à la recherche d'investisseurs pour financer leurs projets. «Nous sommes assis sur quelque chose d'énorme! Des millions de dollars en subventions du gouvernement sont disponibles, c'est le moment idéal pour investir», a déclaré le co-fondateur et COO de Dubuc Motors, Mike Kakogiannakis. »»»»Voir la prédiction de l'AVÉQ sur le taxi de Dubuc Motors ici Selon Dubuc, le VÉ Tomahawk fabriqué en aluminium sera en mesure d'accélérer à 100 km/h en un peu moins de 3 secondes, avec une vitesse maximale de 225 km/h pour une autonomie de près de 450 kilomètres. Le Tomahawk sera «accueillant pour les personnes de grande stature (6 pieds 5, 275 lbs) avec une cabine intérieure au design luxueux et un tableau de bord personnalisable» et sera vendu moins de $100,000. Source: Carscoops Contribution: Simon-Pierre Rioux NOTE : Cet article est une combinaison et un condensé de 2 articles. Lorsque Michelle Williams propriétaire de C&C Taxis a acheté sa première Nissan Leaf en 2013 pour l'utiliser comme une voiture de location privée* (‘Private Hire’, voir bloc d’information supplémentaire sur le sujet à la fin de l’article), la plupart des gens pensaient qu'elle était folle! Peut-être qu'elle l’est, mais elle est aussi une femme s’étant donné comme mission de prouver que malgré tous les obstacles - si vous voulez faire fonctionner quelque chose, vous le pouvez! Tout a commencé avec son père qui a laissé traîner un magazine de voiture après une visite chez-elle. Son partenaire Mark a vu un article sur la Renault Fluence. Mais, comme ce modèle passe par la location de ses batteries, cela ne pouvait pas fonctionner avec une voiture de location privée. Ils ont ensuite examiné la Nissan Leaf et le reste, comme on dit, c’est de l’histoire ancienne. C&C Taxis a été la première compagnie d’Angleterre à utiliser une Nissan LEAF comme véhicule taxi. 12 mois plus tard, elle a a maintenant 5 Nissan Leafs utilisées pour la location privée, une 6 sur commande et un Nissan ENV200 converti en une version 7 places pour remplacer son Ford Transit Minibus très gourmand en essence. Elle a effectuée plus de 44 000 courses sans émission de GES et parcouru plus de 180,000 miles (environ 290 000 km) avec son parc super-efficace de véhicules électriques Nissan Leafs. Ce qui est encore plus étonnant, c’est qu'elle a fait cela sans le soutien de sa municipalité et sans accès à des points de recharge accessibles au public. Bien qu’il aurait été agréable d'avoir accès à des chargeurs publics disponibles localement comme ‘back-up’, Michelle croit fermement qu’une compagnie doit être capable de survivre par ses propres moyens et a pris les moyens pour que cela en soit ainsi. C&C Taxis a commencé avec un chargeur de 16 ampères (ce qui donne un temps de charge de 6-8 heures pour une Nissan Leaf) couplé avec une planification militaire pour s’assurer que la voiture (et les autres achetées plus tard) était de retour sur la route chargée et prête à accomplir sa tâche. Elle a ensuite ajouté d’autres chargeurs au bureau et en possède maintenant quatre. Avec l'aide de Nissan du Royaume-Uni, Michelle a réussi à obtenir un chargeur rapide (BRCC) pas trop loin du bureau. Le temps de charge pour chaque voiture a été réduit à 30 minutes (pour 80% de la batterie). Lorsque le chargeur rapide est arrivé, Michelle avait quatre Nissan LEAF et la 5ème était en commande. Les voitures fonctionnent toute la journée et font (ensembles) une moyenne de 600 miles (965 km). Ce n’est pas rare de voir une Leaf parcourir de 180-200 miles (290–320 km) en une journée. La majorité des recharges sont faites à partir du bureau de l'entreprise, en combinaison avec le chargeur rapide. Toutes les voitures ont des noms et les clients adorent téléphoner et demander une voiture par son nom. En 12 mois Michelle a réduit ses factures de carburant de £ 40,000 (environ 64 500 $ cnd) et n’a pas émis 203 tonnes de CO2. Michelle admet qu’ils doivent garder quelques voitures diesel pour les plus longs parcours, mais que la part du lion de ses courses revient à ses Nissan LEAF. Avec plus de 40 courses par jour par auto, ceux qui mettaient en doute l’utilisation d’une auto électrique comme taxi en prennent pour leur rhume! Michelle affirme que cela lui a aidé à réduire ses coûts, suffisamment pour qu’ils n’aient pas eu à augmenter les prix. Les hôtels locaux utilisent sa compagnie comme premier choix car elle correspond bien leurs valeurs environnementales. En plus, C&C Taxis obtient une publicité à l'échelle nationale (et plus!)! Félicitations Michelle, c’est une véritable inspiration. * Taxi et ‘Private Hire’ – Information complémentaire
Il arrive en coup de vent et légèrement en retard, l’allure faussement négligée, comme à son habitude, et il prend immédiatement possession du micro. Alexandre Taillefer capte l’attention du public dès les premiers mots. Le ton est énergique, et le propos aussi coloré et mordant qu’à l’émission Dans l’œil du dragon, à Radio-Canada, où il a acquis la réputation d’être un empêcheur de tourner en rond de calibre olympique. Vedette de la télévision, président du conseil d’administration du Musée d’art contemporain et membre de cinq autres conseils, conférencier recherché et avant tout patron de la société d’investissement XPND Capital, Alexandre Taillefer est de tous les réseaux, qu’ils soient d’affaires, technologiques, culturels ou créatifs. Invité par L’actualité à prononcer un discours devant quelque 200 entrepreneurs dans un grand hôtel de Montréal, il ne leur parlera pas de la petite révolution qu’il prépare pour l’industrie du taxi, mais donnera quelques conseils. Première recommandation : les entrepreneurs devraient suivre des cours de théâtre pour être en mesure de bien faire la promotion de leurs idées. Deuxième conseil : ils doivent s’habituer à recevoir des coups et à essuyer des revers, car un bon entrepreneur est un entrepreneur balafré. Troisième confidence : les secteurs de l’énergie et du transport l’excitent beaucoup. Son discours à peine terminé, le voilà déjà reparti vers de nouvelles aventures, avec l’air de quelqu’un déjà en retard pour son prochain rendez-vous. Alexandre Taillefer est un homme pressé. En décembre 1998, le magazine Commerce, aujourd’hui disparu,consacrait une section du numéro commémorant ses 100 ans à de jeunes entrepreneurs de la relève. Parmi eux, il y avait ce jeune blanc-bec de 26 ans qui en était déjà à sa sixième entreprise et se considérait comme un « vieil entrepreneur ». Seize années plus tard, Alexandre Taillefer a accéléré encore plus la cadence. Sa longue expérience et ses innombrables contacts lui seront nécessaires pour réaliser ses plus récents projets : la création d’une mutuelle et l’électrification de l’industrie du taxi à Montréal. « Les chauffeurs de taxi ont des conditions de travail misérables et proches de l’esclavage, dit-il. Ils doivent d’abord obtenir un permis, qui leur coûte 200 000 dollars, et payer leur véhicule. Pour obtenir un revenu modeste, ils doivent travailler au moins 12 heures par jour et six jours par semaine. » Alexandre Taillefer veut acheter les permis des quelque 4 400 chauffeurs de taxi de Montréal et créer avec eux une mutuelle, qui regroupera toute l’industrie montréalaise. Il veut aussi munir ceux-ci, d’ici 2020, de voitures 100 % électriques, qui feront diminuer de 85 % leur facture énergétique et leur coûteront annuellement de 6 000 à 10 000 dollars de moins que des taxis à essence. Cinquante taxis électriques pourraient circuler dans les rues de Montréal à partir de 2016, et 500 en 2017, année de la commémoration du 375e anniversaire de Montréal. La nouvelle société mettrait aussi à la disposition des chauffeurs de taxi une plateforme de contacts et de paiement par cartes de crédit aussi efficace que celle de l’intrus américain — le service UberX. Coût total de l’opération pour acheter les permis, les voitures, et mettre au point la plateforme informatique et de télémétrie : 280 millions de dollars. En échange, les chauffeurs devront verser 35 % de leurs revenus à la nouvelle mutuelle du taxi de Montréal, pour le moment baptisée Taxelco. « Des revenus solides et récurrents », dit-il, qui justifient pleinement l’investissement. L’entrepreneur, qui adore les effets théâtraux, reste fidèle à son message et à son personnage. « Depuis un an, je ne “mange” que du taxi », dit-il. Et s’il est tant pressé, c’est qu’il veut promouvoir son idée auprès des financiers, propriétaires de parcs de taxis, chauffeurs et spécialistes de l’électrification des transports, pour les convaincre d’embarquer avec lui. Quels taxis électriques? Selon certaines informations, il semblerait que la compagnie DUBUC MOTORS de Québec, à l'origine du coupé 2 places Tomahawk présenté dans nos actualités, serait impliqué dans la conception de ce taxi vert. Source: L'Actualité, AVÉQ Contribution: Simon-Pierre Rioux Engagé dans un vaste programme de réduction des émissions de CO2, l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol va transporter ses clients en voitures électriques. Les navettes seront assurées en Tesla Model S par 3 compagnies de taxis et ce dès juin prochain. Progressivement, les taxis électriques pointent le bout de leur calandre dans les grandes agglomérations. Le 9 avril dernier, Schiphol Group a publié les résultats d’attribution des concessions de taxis électriques assurant le transport de passagers depuis ou à destination de ses aéroports aux Pays-Bas. 3 sociétés de taxis ont été retenues dans le cadre d’une concession de 4 ans : Zorgvervoer Central Netherlands BV (ZCN), Willemsen de Koning BV et Bergisch, Book & Hoff Frissen BV (BBF). A partir du 1er juin 2014, une centaine de Tesla Model S 100 % électriques assureront désormais les navettes depuis les aéroports néerlandais d’Amsterdam-Schiphol, Rotterdam-La Hague, Lelystad et Eindhoven. Engagé depuis de nombreuses années dans la réduction des émissions de CO2 de sa flotte de transport de passagers, le groupe Schiphol dispose déjà de 36 bus électriques BYD acquis en juillet 2013, de 5 bornes de recharge rapide – 80 % du « plein » réalisé en 30 minutes – dont 2 installées sur la station-service Total à proximité de l’aéroport d’Amsterdam et de 4 limousines hybrides Audi A8 Hybrid pour le convoyage de clients VIP. Détenu à près de 70 % par le Ministère des Finances néerlandais – le reste du capital étant réparti entre les municipalités d’Amsterdam, de Rotterdam et Aéroports de Paris (ADP) –, le groupe fait des taxis électriques une réalité. Dans un pays où, en 2013, seuls 404 véhicules électriques et hybrides rechargeables ont été vendus, cette initiative met en lumière un écosystème électromobile très riche : plus de 4 000 bornes de recharge publique déployées par de nombreux opérateurs et collectivités – dont Fastened et E-Laad –, un dispositif d’autopartage 100 % électrique à Amsterdam mis en place par car2go, droit à la prise facilitée et très efficace pour tout propriétaire de voiture électrique, … Le constructeur Tesla Motors ne s’y est pas trompé : en août 2013, le californien a fait des Pays-Bas – via son usine installée à Tilburg – sa base arrière pour l’assemblage final des Model S, le SAV et les pièces de rechange pour le marché européen. Un pays aussi où on a décidé que les infrastructures seraient installées avant qu'un nombre suffisant de voitures électriques soient en circulation sur les routes. À l'inverse, la province du Québec attend d'avoir un nombre de VÉ assez important avant d'investir dans les infrastructures de recharge à haute vitesse (BRCC), ce qui a été démontré par nombre de pays comme étant une erreur à éviter, puisque c'est la disponibilité des infrastructures de BRCC qui dicte l'adoption des voitures 100% électriques. Les leaders en électromobilité de par le monde ont choisi la voie des infrastructures avec grand succès pour assurer le succès de ce mode de transport. par Marie-Pier Duplessis (Le Soleil) - Le tout premier taxi électrique en Amérique du Nord - selon Tesla Motors - roulera bientôt à Québec, au grand bonheur de son propriétaire, Christian Roy. Celui qui gagne sa vie au volant de sa voiture depuis plus de 13 ans espère ainsi encourager les autres chauffeurs de taxi à lui emboîter le pas. «Je ne veux pas être unique, je veux montrer l'exemple», lance M. Roy, qui s'est lui-même inspiré de ce qui se faisait déjà en Norvège. Celui-ci admet toutefois avoir d'abord été davantage interpellé par les avantages économiques qu'environnementaux pour laisser tomber le moteur à essence. «N'empêche que les taxis, on compte parmi les plus pollueurs parce que notre véhicule est toujours en marche. L'hiver, on a besoin de chauffage, alors que l'été, on a besoin de climatisation. Donc, je suis d'avis qu'on doit faire notre effort pour minimiser notre empreinte écologique.» Jusqu'à maintenant, M. Roy dépensait près de 8000 $ en essence chaque année, en plus d'investir quelque 10 000 $ en entretien et en réparation pour son ancienne voiture, une Subaru Legacy 2005. Il dit avoir été convaincu par la Tesla Model S lorsqu'il a appris que le chroniqueur automobile Jacques Duval, pour qui il a beaucoup d'admiration, en possédait une. «Un peu comme tout le monde, Jacques Duval avait peur de la voiture électrique au début. Mais quand il a fait le switch, je me suis dit que c'est sûrement parce que ça valait la peine.» Pour lire l'article au complet, rendez-vous sur le site du journal Le Soleil [lien]. La compagnie 4degres.com appartient à l'homme d'affaire Martin Bouchard [lien] qui a déjà défrayé les manchettes avec ses Tesla Roadster et Model S. Le contrat de sponsorship sera d'un an, et il espère pouvoir renouveler suite à cette expérience. Communiqué de presse: 4Degrés, la société derrière le plus grand centre de colocation Internet écoresponsable jamais vu à Québec, actuellement en construction dans la Parc technologique du Québec métropolitain, commandite le tout premier taxi entièrement électrique de marque Tesla en Amérique du Nord, selon Tesla Motors. « Nous sommes très fiers de contribuer à offrir aux gens de Québec un système de transport écoresponsable, une première en Amérique du Nord. Pour 4Degrés, il s'agit d'un partenariat naturel, car l'efficience énergétique est au cœur de nos opérations. Nous sommes aussi de fervents partisans du réseau de transport électrique. Nous prévoyons notamment mettre des bornes de chargement gratuit pour véhicules électriques à la disposition des clients et des employés de notre futur centre de données », indique l'homme d'affaires Martin Bouchard, instigateur de 4Degrés, fondateur de Copernic et cofondateur de Coveo. Le véhicule, un Tesla Model S aux couleurs de 4Degrés, sera en opération dans les rues de Québec au plus tard le 8 mars prochain. Derrière le volant, un chauffeur de taxi fort de plusieurs années d'expérience, M. Christian Roy. Ce dernier testera intensivement les capacités du taxi électrique au cours des prochaines années, puisqu'il prévoit parcourir plus de 320 000 km en 5 ans. M. Roy estime que le véhicule lui permettra d'effectuer des économies en carburant d'un peu moins de 8 000 $ par an. Il a également l'intention de rédiger des rapports sur ses progrès afin de partager son expérience avec d'autres propriétaires de taxi qui auraient envie de se lancer dans cette aventure. À PROPOS DE 4DEGRÉS La société 4Degrés est à l'origine du plus grand centre de colocation Internet jamais vu à Québec. Le projet d'envergure a été conçu pour fournir aux entreprises et aux institutions une infrastructure de colocation sophistiquée et à haute disponibilité (Tier III), au cœur de la Capitale-Nationale. Avec une combinaison idéale d'énergie hydroélectrique propre et de températures très froides, cette région de l'est du Canada constitue l'un des meilleurs endroits au monde où implanter un centre de données. Soulignons que 4Degrés tient son nom de la température annuelle moyenne à Québec, 4,6° C. En utilisant l'air froid extérieur, 4Degrés facilite ainsi le maintien d'un climat optimal des équipements informatiques et génère des économies d'énergie considérables. Christian Roy peut être fier. Ce chauffeur de taxi s'apprête à devenir le premier au Canada, voire même en Amérique, à offrir ses services avec la superbe Tesla Model S 2014. Quel bon choix! En effet, M. Roy offrira ses services de taxi ultra-luxueux, ultra-rapide (il rêve d'être pilote de rallye - ça promet!), et ultra-écolo d'ici quelques mois dans la ville de Québec, plus précisément à Ste-Foy. Il a déjà son site web en ligne. Nous lui souhaitons bonne route! Mise-à-jour: M. Roy le cabbie a participé aux commentaires, discutant de son projet et répondant aux questions des membres. Venez y jeter un coup d'oeil! |
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