Pendant que le nombre de véhicules électriques sur les routes du Québec augmente tranquillement, les recherches réalisées dans la province pour favoriser leur développement avancent à grande vitesse. Entre les murs de l’Université Concordia, une équipe de chercheurs menée par le professeur Pragasen Pillay met à l’épreuve un faux moteur électrique qui pourrait avoir un impact bien réel sur la conception des futurs véhicules électriques.
Dans un laboratoire du troisième sous-sol de Concordia, des fils jaune, rouge, bleu et noir s’entremêlent à gauche et à droite, sur des étagères remplies d’ordinateur et de cartes électroniques. À première vue, impossible de comprendre à quoi sert ce labyrinthe multicolore, et encore moins de deviner que tout ceci pourrait contribuer à créer la voiture électrique de demain. « Dans le développement des systèmes de conduite électrique, il faut un moteur et un contrôleur pour actionner le moteur, explique le professeur Pillay. Le problème, c’est que la fabrication du moteur est très longue, alors que celle du contrôleur est beaucoup plus rapide. Il faut donc attendre longtemps avant de pouvoir effectuer des tests avec le contrôleur. » Source (texte complet) : Le Devoir Contribution : Martin Archambault
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