Récemment, le blogueur François Boucher du site Roulez Électrique faisait état d'une surprenante déclaration du gestionnaire national des technologies avancées de Toyota, Craig Scott: «We would like to be still selling cars when there’s no more gas. And no one is coming to our door asking us to build a new electric car.» Vous pouvez lire l'article de M. Boucher ici [lien] à ce sujet. Sur Twitter, le gazouillis de Chelsea Sexton a eu l'effet d'une bombe dans la blogosphère, alors que de nombreux ambassadeurs électriques ont uni leur voix à celle de Mme Sexton pour dénoncer ce mensonge comme nous a habitué le duo Toyota/Lexus [lire notre article sur les publicités mensongères de Lexus à propos des VÉ] Peut-être que l'appel des consommateurs n'était pas assez important pour que le constructeur nippon comprenne? Le gouvernment du Québec a lui aussi fait la demande à Toyota d'offrir aux Québécois leur petit VUS RAV4 électrique produit en série limitée en Ontario pour le marché Californien. Le RAV4 est vendu à un prix très élevé malheureusement, d'où des ventes décevantes, ce que Toyota présente régulièrement pour expliquer la fin de production du RAV4 EV. Uri Bassilian, un ambassadeur VÉ de Los Angeles, a mis sur pied une pétition pour démontrer à Toyota qu'il y a plus d'intérêt pour des véhicules électriques à prix compétitif que pour leurs "futurs véhicules à hydrogène" promis depuis près de 10 ans maintenant, qui ne fera que continuer notre dépendance à la pompe à carburant des stations-service, à un prix plus élevé que l'essence. [MàJ] La pétition n'est pas pour demander "SVP Toyota faites des VÉ" mais plutôt pour prouver qu'ils mentent. Pour le moment, avec toute leur publicité négative des VÉ, je ne crois pas qu'ils méritent notre argent.
J'ai signé parce que je veux que ce soit bien connu que leur stratégie avec les véhicules à hydrogène est défaillante, et qu'un VÉ ferait plus de sens. Pas besoin d'acheter leur produit par la suite même si vous signez la pétition. Votre participation serait donc apprécié !! Contribution: Simon-Pierre Rioux
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