Le rabais AVÉQ sur l'acquisition d'une Nissan LEAF 2020 est de retour... mais pour un temps limité!3/7/2020
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
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General Motors a produit 7 400 Spark EV entre 2013 et 2016 vendues principalement en Californie et en Oregon. La Spark EV a été ensuite remplacée par la Bolt. Au Québec, elle fut initialement offerte uniquement aux flottes mais le bras canadien de GM a promptement réagit aux pressions de différents influents acteurs en électromobilité (incluant l'AVÉQ) afin d'offrir le véhicule directement aux consommateurs.
Au 31 mars 2019, il y avait 560 Spark EV sur les routes du Québec. La subvention pour voitures électriques d’occasion de 4000$ a permis de faire entrer tous ces véhicules. Et contrairement aux voitures neuves, il n’y a pas de limite à l’offre. Au 31 mars 2020, il y a maintenant 943 Spark EV sur les routes du Québec. Une augmentation de 68% !!! Les 943 Spark EV représentent 13% de toutes les 7 400 Spark EV produites. Il y a 1.5 millions de véhicules électriques aux États-Unis; si on pouvait importer 13% de toutes les marques et de tous les modèles électriques, il y aurait 195 000 de ces VÉs sur les routes du Québec. L’objectif de 100 000 vé en 2020 serait facilement atteint. Tout ceci avec une minuscule subvention de seulement 4 000$, contrairement au 13 000$ pour les électriques neuves. Voici la courbe de progression exponentielle de la Spark EV importée au Québec.
La Spark EV vendue exclusivement en modèle d’occasion importé fait partie du Top 15 des vés sur les routes du Québec en 2020. [lien]
L’aventure de la Spark EV prendra fin bientôt, il n’y a presque plus de Spark EV 2016 dans les encans américains. Il en reste une trentaine en inventaire dans ces 4 points de vente spécialisés dans l’occasion électrique :
eRacine – St-Jean-Sur-Richelieu Montréal Auto Prix Division Électrique – St-Léonard JN Auto – Richmond VÉ Simon André – Trois-Rivières On va finir ça en beauté et franchir le cap des 1 000 Spark ev ☺ !!!
Rédaction: Bruno Marcoux
Ont été réelus
Ont été élus et se joindront à l'équipe : Félicitation aux quatre candidats élus. Ils apporteront tous, une solide expertise à l'AVÉQ Un merci à tous les autres candidats qui, nous l'espérons, pourront tout de même continuer à nous supporter et à chapeauter des dossiers spéciaux. Et un merci tout particulier à Jean Gariépy et Daniel Breton, administrateurs sortants, à qui nous souhaitons la meilleure des chances dans leurs nouveaux projets. Finalement, GROS merci à Léo Viger-Bernard pour l'animation de l'AGA en mode virtuel ! L'équipe de l'AVÉQ.
(Ceci est un communiqué d'Hydro-Québec) Nous souhaitons corriger certaines informations avancées dans le cahier de recherche L’énergie au Québec – Quel rôle pour le gaz naturel dans un contexte d’électrification? publié par l’Institut économique de Montréal (IEDM) le 13 mai. Que ce soit au sujet des surplus d’Hydro-Québec, de l’électrification des transports ou de la production d’électricité au Québec, l’auteur n’utilise pas les bonnes données et ne tient pas compte de toutes les évolutions technologiques que connaîtra le secteur de l’électricité dans les prochaines années. Nos précisions à ce sujet ont été transmises avant la publication à l’IEDM, qui a choisi de ne pas en tenir compte.
Le volume d’électricité disponible d’Hydro-Québec est largement supérieur à ce qui est avancé par l’IEDM Premièrement, dans sa publication, l’IEDM a choisi de se référer à un article du Journal de Montréal publié en octobre 2019 afin d’évaluer la nature des surplus d’Hydro-Québec – qui y sont estimés à 18 TWh. Pourtant, en novembre dernier, nous avons publié des données officielles à ce sujet dans notre Portrait des ressources énergétiques. Nous y expliquions que « la capacité de production des centrales d’Hydro-Québec et de ses autres sources d’approvisionnement dépasse les besoins de l’entreprise de plus de 40 TWh d’énergie disponible par année ». Avec cette énergie, l’entreprise pourra alimenter le développement économique du Québec et contribuer davantage à la décarbonation des marchés voisins en signant de nouveaux contrats d’exportation à long terme. Nous avons suffisamment de puissance pour électrifier les transports Deuxièmement, l’IEDM se base sur de mauvaises hypothèses pour remettre en question la capacité de notre réseau d’assurer la recharge d’un nombre important de véhicules électriques pendant la pointe hivernale. En effet, nous avons évalué les données de plus de 500 bornes de recharges installées chez nos clients au cours des jours de grand froid. Nous sommes arrivés au constat que l’augmentation de la consommation d’électricité de ces clients pendant les quelques heures les plus critiques de la pointe est d’au maximum 1 kW par véhicule – et non de 7 kW, comme l’évalue l’auteur. De plus, il n’est pas prévu que tous les véhicules lourds en service au Québec soient convertis à l’électricité. Pour ce type de véhicule, plusieurs autres pistes sont explorées, par exemple l’hydrogène propre, qui pourrait être produit au Québec à partir de l’eau et de notre hydroélectricité. À court terme, les biocarburants sont très prometteurs, et de nouvelles entreprises s’intéressent déjà au Québec en vue d’y établir une production soutenue. L’efficacité énergétique et les avancées technologiques soutiendront l’électrification Troisièmement, dans le chapitre où est abordée la capacité de production d’Hydro-Québec, l’auteur ne tient pas compte des efforts en efficacité énergétique en cours ni des avancées technologiques qui se déploient déjà et qui permettront à Hydro-Québec de gérer la pointe de demande associée au chauffage électrique. L’électrification de l’économie sera évidemment accompagnée de nouvelles mesures en efficacité énergétique qui se déploieront dans les prochaines années. Comme le rapporte l’État de l’énergieCe lien ouvrira une nouvelle fenêtre Ce lien mène à l'extérieur du site d'Hydro-Québec. au Québec de HEC Montréal, une publication pourtant largement citée par l’auteur, ce potentiel pourrait être de plus de 20 %, selon une évaluation technico-économique de Transition énergétique Québec. À Hydro-Québec, plusieurs exemples de ces efforts sont déjà en marche, comme la filiale Hilo, le programme Gestion de la demande de puissance ainsi que différentes solutions pour nos clients d’affaires. Des nouvelles technologies joueront également un rôle croissant dans la gestion de la pointe, comme le stockage d’énergie, la production solaire distribuée et la domotique. La production éolienne du Québec bénéficie de la complémentarité avec l’hydroélectricité Enfin, s’il est vrai que la production éolienne est caractérisée par son intermittence, il importe de préciser qu’un service d’équilibrage nous permet d’assurer la livraison de 40 % de la capacité des éoliennes installées au Québec en hiver et de 30 % en été. Contrairement à ce qu’affirme l’auteur, cet équilibrage permet des livraisons stables d’électricité, ce qui nous permet d’en tenir compte dans nos prévisions de puissance disponible lors des pointes. Au Québec, le potentiel de production d’électricité à partir de sources renouvelables est élevé Bien que les efforts en efficacité énergétique constitueront la première nouvelle source d’approvisionnement en électricité d’Hydro-Québec au cours des prochaines années, la production à partir de sources renouvelables pourrait être augmentée si les besoins le justifiaient. L’auteur se contente de citer le potentiel hydroélectrique, mais d’autres filières pourraient être exploitées, comme l’éolien ou le solaire photovoltaïque, dont le potentiel est élevé sur notre territoire. De nouvelles technologies de plus en plus accessibles pourraient même permettre à nos clients de fournir de l’électricité à Hydro-Québec, que ce soit grâce à la batterie de leur véhicule électrique ou à leurs panneaux solaires. En conclusion, nous tenons à souligner qu’il est dans l’intérêt collectif que les réflexions sur l’électrification du Québec et de notre économie soient basées sur des informations factuelles et impartiales. Source: Hydro-Québec
C’est avec regret que nous vous informons du départ de Daniel Breton au sein du conseil d’administration de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ). Ce dernier rejoindra Mobilité Électrique Canada (MÉC) en tant que directeur général de l’organisme.
Daniel oeuvre en environnement depuis 30 ans dans le domaine des affaires publiques, au gouvernement, en communications et dans les médias, et fut un administrateur chevronné qui a apporté son lot d’expérience et de sagesse au sein de notre organisme. Puisque l’AVÉQ est membre de MÉC, M. Breton a occupé avec brio un poste sur le conseil d’administration de MÉC pour représenter l’intérêt de nos membres. Nous n’avons aucun doute que la présence de Daniel Breton en tant que PDG de MÉC permettra à cet organisme de reprendre son envol et d’atteindre de nouveaux sommets. Daniel a la motivation, les compétences, les contacts et la vision pour faire de Mobilité Électrique Canada un organisme respecté au sein de l’industrie électromobile canadienne. Nous espérons que son arrivée chez MÉC pourra également augmenter les opportunités de collaboration avec notre association. Nous souhaitons la meilleure des chances à Daniel dans cette nouvelle aventure. Les administrateurs de l’AVÉQ.
Le dimanche 23 février 2020, deux Canadiens espèrent entrer dans l'histoire en effectuant le premier voyage en continu, traversant le Canada d’un bout à l’autre à bord d’un véhicule électrique.
En partant du bord de l'eau de la réserve de Tsawwassen à Delta, en Colombie-Britannique, l'équipe de pilotes (Ian Pavelko de Vaudreuil-Dorion, QC et Trevor Page d'Aurora, ON) prévoit de conduire la Tesla Performance Model 3 de Ian Pavelko en se relayant jour et nuit, jusqu'aux rives de l'Atlantique du parc Point Pleasant à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Si tout se déroule comme prévu, l'équipe pense pouvoir terminer le voyage en 3 jours environ. Un temps qui était jusqu'à présent presque impensable pour un véhicule électrique. La percée qui rend tout cela possible est l’achèvement des Superchargeurs exclusifs du réseau Tesla qui s’étendent sur toute la longueur de la route Transcanadienne, avec l’ajout, fin décembre, de 23 nouvelles bornes de recharge ultra-rapides de 250 kW entre Calgary et Sudbury. La vitesse de ces nouvelles bornes de recharge est telle que 50% de la capacité de la batterie de 75 kW heures du Long Range Model 3 peut être ajoutée en seulement 15 minutes, (soit environ 250 km de l'autonomie totale de 500 km du véhicule) ce qui rend les arrêts requis à peine plus longs que l'ajout de carburant à un véhicule à essence conventionnel. Bien qu'ils espèrent être les premiers à compléter le voyage, ils ne peuvent prétendre être les premiers à l'essayer. Cet honneur revient à Kevin Belanger et Don Goodeve de Victoria, en Colombie-Britannique. Ils sont partis le 28 décembre pour faire le voyage, mais ont malheureusement dû faire demi-tour en raison de retards météorologiques qui auraient prolongé le voyage au-delà du temps très limité dont ils disposaient. Pavelko et Page précisent que la principale raison pour laquelle ils veulent faire ce voyage est la même que pour Belanger et Goodeve : dissiper l'idée fausse répandue au Canada selon laquelle les véhicules électriques ne conviennent pas aux longues distances et aux intempéries. « Tant de gens ici pensent que les véhicules électriques sont limités à des rôles secondaires en tant que voitures de banlieue. Bien que cela ait pu être vrai au tout début, les progrès des dernières années ont radicalement changé le segment », explique l'équipe. « En tant que propriétaires et fans de Tesla et promoteurs de l'ensemble du mouvement pour les véhicules électriques, nous sommes ravis de faire ce voyage et de montrer aux gens de manière spectaculaire de quoi sont capables ces voitures ainsi que les réseaux de recharge. » Pavelko et Page recevront également l'aide de leur principal promoteur, Fast EV, une division de Fast Wheels, l’entreprise pour laquelle travaille Pavelko en tant que directeur des services techniques. Fast Wheels est la première entreprise en Amérique du Nord à offrir une gamme de jantes en alliage de remplacement spécialement conçues pour maintenir l'efficacité des véhicules électriques grâce à une construction légère et une conception aérodynamique à faible traînée : la gamme Fast EV actuelle comprend trois modèles de jantes spécifiques aux véhicules électriques. Pavelko mentionne que les propriétaires de véhicules électriques ignorent souvent que le remplacement des jantes originales spécialement conçues pour leurs véhicules électriques et hybrides par des versions génériques peut avoir un effet significatif sur les performances du véhicule, leur faisant perdre jusqu'à 5% ou plus de leur plage nominale. Cependant, les jantes Fast EV01 + présentées sur la voiture « Performance Model 3 » de Pavelko - nommées «Magneto» d'après le célèbre personnage X-men aux super pouvoirs électromagnétiques - offrent la même amélioration aérodynamique que la propre jante de Tesla «Aero» qui n'est disponible que sur la version « non-Performance » du véhicule. Cela garantit que l'équipe sera en mesure d’optimiser la batterie jusqu’au dernier kilomètre, même dans les températures glaciales auxquelles ils s'attendent dans le centre du pays. L'équipe prévoit de vous tenir à jour via leurs comptes Twitter, et Fast Wheels publiera également des mises à jour sur ses pages Facebook et Instagram. Pour suivre le Fast EV Lightning Run sur les réseaux sociaux, veuillez aimer et suivre ces comptes : Fast Wheels IG : @FastWheelsAlloy Fast Wheels sur Facebook https://www.facebook.com/Fastwheelscanada/ Ian Pavelko @ianpavelko Trevor Page @Model3Owners Essais routiers de Spark EV lors de l'Hivernal de Montgolfières de St-Jean-sur-Richelieu ce weekend13/2/2020
Venez rencontrer Manuel Dussault de eRacine et venez vous asseoir dans la Bolt EV, la Tesla Model 3 et la Spark EV.
Manuel sera présent de 13:00 à 16:00 samedi le 15 février et dimanche le 16 février. Des essais routiers en Spark ev seront offerts. La Spark EV 2016, le VÉ le moins cher sur le marché à partir de 10 990$. On pourrait presque dire: "Moins cher par semaine, qu'un plein d'essence". Cet événement est présenté par www.eracine.ca qui possède 42 Spark EV et 16 Tesla Model 3 en inventaire.
Un reportage de Jean Balthazard du Journal de Montréal.
Après les voitures de luxe et à traction intégrale, voilà que les remorqueurs font face à nouvelle nuisance en période de déneigement: les voitures électriques. Pourtant, la Ville de Montréal semble peu s’en faire avec cette situation. • À lire aussi: Déneigement: impossible de remorquer des autos électriques • Écouter l'entrevue de l'AVÉQ avec Mario Dumont à QUB Radio C'est de plus en plus fréquent de se buter à des véhicules électriques branchés qu’on ne peut pas déplacer, constate Martin Ménard, remorqueur depuis 22 ans. «Je travaille sur les contrats de la Ville pour le déneigement et on nous a donné l’ordre de ne toucher à aucun véhicule électrique», ajoute-t-il. Certaines voitures électriques, lorsqu’elles sont branchées, se verrouillent automatiquement et il est impossible de retirer le fil d’alimentation. Les remorqueurs ne courent donc aucun risque et les laissent sur place. Ces situations pourraient toutefois être évitées, croit le porte-parole de l’Association des véhicules électriques du Québec, Simon-Pierre Rioux. Il propose par exemple que les bornes soient bloquées électroniquement ou à l’aide de rubans orange en période de déneigement. Une solution qu’Hydro-Québec pourrait envisager dans le futur. «C’est nouveau comme phénomène, mais oui, ça va commencer à s’accentuer, il faudra peut-être voir comment on peut mettre des solutions en place», confirme Louis-Olivier Batty, porte-parole d’Hydro-Québec. C’est toutefois la Ville «qui déploie et installe les bornes», précise-t-il. La métropole et Hydro-Québec devront donc collaborer pour en arriver à une solution. Des «boulets» au déneigement Pourtant, même lorsque les véhicules électroniques sont débranchés, certains remorqueurs sont réticents à les déplacer, de peur d’endommager le système électrique et d’être poursuivis. Plusieurs remorqueurs et employés municipaux avaient d’ailleurs confié, l’an dernier, au Bureau d’enquête qu’ils s’abstenaient souvent de remorquer des voitures de luxe et à traction intégrale pour sensiblement les mêmes raisons. Le problème, c’est que lorsqu’une voiture est laissée de la sorte sur la rue l’hiver, les déneigeurs doivent la contourner, ce qui affecte grandement leur travail et les empêche de bien déneiger les rues. Il faut donc que les propriétaires de véhicules électriques s’organisent mieux afin d’éviter d’être «des boulets» pour les déneigeurs, mentionne Simon-Pierre Rioux. Des «exceptions» possibles La Ville a répondu, de son côté, qu’elle n’exige pas aux remorqueurs de laisser les voitures électriques sur place, mais a reconnu qu’«il pourrait y avoir des exceptions quand le véhicule électrique est branché». Pourtant, à aucun moment, la Ville ne m’a faire part de pistes de solutions pour régler cette problématique, autre que de rappeler aux citoyens de respecter les périodes de déneigement. Comme quoi ce nouveau problème ne semble vraiment pas inquiéter la Ville.
78$ | Amende de stationnement sans remorquage
165$ | Amende de stationnement avec remorquage
Source: Journal de Montréal/Québec
Plus de 150 personnes ont participé au dévoilement en direct du Cybertrk Tesla diffusé sur grand écran le 21 novembre à 23:00 au Cosmodôme de Laval. Un grand merci aux organisateurs et commanditaires de la soirée, l’AVÉQ, le Club Tesla Québec, le Salon du Véhicule Électrique de Montréal et eRacine.
Un vidéo commémoratif de l’événement a été fait par eRacine, que vous pouvez visionner ci-dessous. Simon-Pierre Rioux, président de l’AVÉQ, Stéphane Pascalon, président du Club Tesla Québec, Louis Bernard promoteur du SVÉM et Manuel Dussault fondateur de eRacine étaient présents pour cette soirée.
Ian Pavelko, premier détenteur d’une réservation de Model 3 au Québec, nous a parlé en direct et offert des images puisqu’il était sur place à Los Angeles. La soirée a été bien appréciée.
Voici des commentaires sur la soirée: " Félicitations à tous, ce fut une belle synergie de nos réseaux respectifs. Faut le faire: sortir 157 personnes un jeudi, passé minuit. Un gros merci aux présidents de leurs associations, Simon-Pierre et Stéphane, pour l’animation ainsi qu’à Bruno pour la réception. Merci encore " Louis Bernard, promoteur du Salon du véhicule électrique de Montréal et de Québec " Finalement, nous avons eu 157 inscriptions. Bravo à tout le monde impliqué dans l’organisation de cette merveilleuse soirée. À part les vitres brisées sur le Cybertruck ?, ce fut un succès sur toute la ligne. J’ai réservé le mien. " Mario Langlois, vice-président Club Tesla Québec Vous avez manqué cet événement ? Vous aurez la chance de vous reprendre lors du dévoilement du Roadster 2.0 Contributeur: Bruno Marcoux
Nos membres OR bénéficient déjà d'une panoplie d'avantages liés à leur membership. Voilà que s'ajoute aujourd'hui un partenariat avec Quality Inn Matane.
En effet, nos membres OR pourront maintenant bénéficier d'un rabais de 15% disponible en tout temps à ce magnifique hôtel de Matane. Les tarifs incluent le petit déjeuner chaud de style buffet. L'hôtel offre à sa clientèle électromobiliste des bornes de recharge Tesla ainsi que pour véhicule électrique standard. À même le complexe, on y retrouve un resto-bar avec terrasse ainsi qu'un restaurant et une piscine extérieure chauffée (en saison estivale). Bien entendu vous devrez montrer une preuve de membership (votre carte plastifiée) afin de pouvoir bénéficier du rabais. Si vous avez besoin du code promo afin de faire votre réservation, n'hésitez pas à nous rejoindre au carte@aveq.ca pour l'obtenir. N'oubliez pas d'inclure votre # de membre OR dans votre courriel.
Selon l'organisme Mobilité Électrique Canada, c’est en Colombie-Britannique qui s'est vendu la plus grande proportion de véhicules zéro émission au pays, depuis l’entrée en vigueur de l’incitatif fédéral pour l’achat de voitures électriques.
Depuis le 1er mai donc, 10 % des nouveaux véhicules achetés par les Britanno-Colombiens sont zéro émission, alors que ce taux est de 3,5 % en moyenne au Canada. Le Québec arrive en deuxième position, à 7 %. Selon Al Cormier, président de Mobilité électrique, les incitatifs provinciaux, qui s’ajoutent à l’incitatif fédéral, sont efficaces. La Colombie-Britannique offre un rabais de 3000 $ à l’achat d’une voiture électrique, qui s’ajoute aux 5000 $ offerts par le gouvernement fédéral. La province va même plus loin : les automobilistes qui possèdent une vieille voiture peuvent profiter d’un rabais supplémentaire pouvant aller jusqu’à 6000 $ s’ils décident de la remplacer par un véhicule zéro émission. Pour sa part, Matthew Klippenstein, un analyste du marché du véhicule électrique qui a participé à la production du rapport, affirme que le prix élevé de l’essence en Colombie-Britannique a probablement aussi joué un rôle important dans la hausse des ventes de véhicules électriques. "Si l’essence était à la moitié du prix actuel, il y aurait beaucoup moins de gens qui achèteraient ce type de voiture", dit-il. VÉ en Colombie-Britannique: 31 000 VÉ au Québec: 61 000 Source: Radio-Canada Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Récemment, l'émission "La Facture" a rencontré un propriétaire de voiture électrique qui leur a fait part de ses frustrations au sujet du réseau de bornes de recharge rapide installé au Québec.
Selon lui, ces bornes sont parfois situées dans des endroits inappropriés où aucun autre service n’est disponible à proximité. Et il se demande surtout pourquoi il doit payer pour du temps de recharge plutôt que pour des kilowattheures. Entrevue avec France Lampron (Circuit Électrique), Simon-Pierre Rioux (AVÉQ) et Benoit Charette (chroniqueur automobile). Journaliste : Yvan Lamontagne Réalisatrice : France Larocque
Nos membres OR bénéficient déjà d'une panoplie d'avantages liés à leur membership. Voilà que s'ajoute aujourd'hui un partenariat avec la boutique en ligne MaCapuche.ca
En effet, nos membres OR pourront maintenant bénéficier d'un rabais de 10% sur tous les produits disponible dans la boutique Ma Capuche. Leur produit-phare, la housse, permet de protéger votre port de recharge ⚡ des intempéries.
Avant de profiter de cette offre, vous devez obtenir votre code-promotionnel via carte@aveq.ca en nous mentionnant votre numéro de membre.
Avantages de devenir membre OR de l'AVÉQ
Carte de membre à 49$ par année Tous les avantages des membres AMI, auxquels on ajoute...
Statistiques SAAQ-AVÉQ sur l'électromobilité au Québec en date du 30 septembre 2019 [Infographie]27/10/2019
L'AVEQ est fière de vous présenter le plus récent portrait trimestriel de l'électromobilité au Québec. Il s’agit du deuxième meilleur trimestre de l’histoire dans l’absolu. Les enregistrements de véhicules électriques (VÉ) dépassent le cap des 60 000, avec précisément 60 784 VÉ selon les données de la SAAQ en date du 30 septembre 2019.
Les données d’immatriculation au 30 septembre 2019 :
Avec ce trimestre (qui se classe second de l’histoire en termes de progression absolue), le nombre total de VÉ enregistrés au Québec a progressé de 15.7%, ce qui correspond à un ajout net de 8228 VÉ en trois mois. Le rabais fédéral continue donc à générer beaucoup d’enthousiasme. À pareil date en 2018, il y avait un peu plus de 35000 VÉ sur nos routes. C’est donc dire qu’il s’est ajouté plus de 25000 VÉ en un an, près de 22000 en 2019 uniquement. Rappelons-nous, 22000 VÉ, c’est plus que le nombre total qu’on retrouvait au 31 décembre 2017 sur les routes du Québec. À titre de comparaison, il s’est vendu 346000 véhicules neufs au Québec depuis le début de l’année 2019, toutes catégories confondues. La progression sur les neuf premiers mois de l’année équivaut donc aux sept premières années de l’histoire des VÉ au Québec! Malgré que la progression ralentisse un peu, la croissance annualisée demeure tout de même à 73%. Plusieurs indications laissent cependant croire que l’offre demeure le facteur limitant. En effet, les inventaires demeurent fortement réduits pour plusieurs des modèles les plus en demande sur le marché. Il est donc difficile d’établir la demande véritable et à quel point les ventes pourraient être encore plus élevées.
Cette impressionnante progression du nombre de VÉ se traduit par une moyenne de 2742 VÉ supplémentaires par mois durant le trimestre, soit environ 91 par jour! Ce rythme de croissance nous permet d’envisager atteindre l’objectif de 100 000 VÉ un peu avant la fin de 2020.
Le tableau suivant présente en détails le nombre de véhicules enregistrés par modèle, le pourcentage que cela représente dans la flotte québécoise ainsi que leur progression au classement pour les 15 modèles les plus populaires :
La Chevrolet Volt, désormais discontinuée, demeure en première position, mais comme à tous les derniers trimestres, son poids relatif dans la flotte québécoise poursuit sa lente descente, étant maintenant passé sous le seuil des 20%. Il y a un an encore, la Volt représentait 28% des VÉ enregistrés au Québec. Comme toujours, les paris sont désormais ouverts, est-ce que la Nissan LEAF saura rattraper la Volt grâce à sa version Plus? Est-ce que ce sera plutôt la Prius Prime de Toyota ou bien la Tesla Model 3 qui y parviendra? En parlant de la Nissan LEAF, on constate que sa croissance demeure régulière, mais en deçà du marché. Elle se maintient évidemment au 2e rang des enregistrements, constituant désormais 13.5% de la flotte.
Après nos deux leaders historiques, il continue à y avoir une chaude lutte. Le chassé-croisé entre la Chevrolet Bolt et la Toyota Prius Prime est terminé toutefois. On retrouve une nouvelle lutte à deux pour la 3e marche du podium entre la Prime et la Tesla Model 3. La Toyota Prius Prime maintient sa 3e position par un cheveu (7 voitures de plus) face au Model 3, mais les deux modèles devancent désormais confortablement la Chevrolet Bolt. La Prime a connu une croissance de 1493 enregistrements sur le trimestre, soit environ 500 par mois, ou près de 40% de croissance, ce qui est très impressionnant. Le Model 3 fait toutefois encore mieux, avec une progression de 1620 enregistrements, soit 44% de croissance! La Chevrolet Bolt, conforte sa 5e position face au Mitsubishi Outlander PHEV grâce à une croissance de 25% durant le trimestre, supérieure au marché dans son ensemble. Le Outlander PHEV a ralenti sa progression, qui est maintenant celle du marché. Avec ces 6 modèles, nous parlons donc de 64% des VÉ enregistrés au Québec. À signaler également: la Hyundai IONIQ Électrique qui s’était hissée au 7e rang avec un fort deuxième trimestre se fait dépasser par la Ford Fusion Energi. En effet, celle-ci, sans faire de vagues, a connu une progression de 32% sur le trimestre, ce qui lui permet de dépasser les 2000 enregistrements et de passer de la 10 à la 7e place. En voilà une qui bénéficie fortement du rabais fédéral. À noter derrière la Kia Soul EV qui vient à une voiture près d’égaler la Tesla Model S! Puis juste derrière se pointe le Hyundai Kona Électrique, dépassant la e-Golf de Volkswagen. Une 11e place après 9 mois sur le marché, même si l’offre limitée demeure. La croissance ralentit toutefois avec un peu moins de 30% de progression sur le troisième trimestre. Ceci permet au Mitsubishi Outlander PHEV de conserver le titre de meilleur vendeur sur les 9 premiers mois sur le marché, mais permet au Kona de mieux performer que la Tesla Model 3 sur cette même période. Pour conclure sur notre top 15, pas de nouveaux joueurs, on retrouve seulement des modèles qui s’échangent de position par rapport au trimestre précédent, et donc la même répartition entre les tout électriques et les hybrides rechargeables (9 versus 6). Seul le Ford Focus EV parvient à faire partie du top 15 sans avoir au moins 1000 enregistrements dans la province. Parions que ce ne sera pas le cas à la fin de l’année, où on pourrait possiblement voir apparaître la Honda Clarity. Pour aller au-delà du top 15, les graphiques interactifs suivants illustrent la progression de l’ensemble des VÉ sur nos routes. Amusez-vous à faire vos propres comparaisons et analyses sur vos modèles préférés! Progression des différents modèles de Véhicule ÉlectriqueDepuis août 2014 Depuis leur arrivée sur le marché québécois
Quelques éléments à souligner dans ces graphiques:
En combinant tous les chiffres, on constate que la part des véhicules 100% électriques creuse son petit avantage sur les hybrides rechargeables, la part de marché atteint désormais 50.75% des enregistrements.
En plus de connaître le nombre de VÉ au Québec, il est intéressant de savoir où ils se trouvent. Voici, sans plus tarder, la compétition amicale de la progression de l'électrification dans les différentes régions et villes du Québec, où tout le monde peut gagner selon la façon de regarder les données :
Distribution géographique des Véhicules Électriques au Québec: Pourcentage de la flotte* Nombre par 10 000 habitants Nombre
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VE Passion nous présente la suite du premier article sur le centre de découverte des véhicules électriques. Dans cet article, c'est surtout l'offre de services qui y est abordé. Comment l'organisme Plug 'n Drive s'y prend-t-il pour rejoindre ceux qui n’ont pas été encore sensibilisés aux VÉ ou qui méconnaissent les VÉ? |
VE Passion nous présente le premier centre d'apprentissage expérientiel au monde dédié aux véhicules électriques.
Situé à North York dans la région de Toronto ON, il s’agit du « Electric Vehicle Discovery Centre » né de l'organisme « Plug 'n Drive »
Si l'organisme offre plusieurs services comparables à ceux de l'AVÉQ, son impressionnant centre d’information sur les véhicules électriques est unique en son genre au Canada et mérite d'être visité.
Situé à North York dans la région de Toronto ON, il s’agit du « Electric Vehicle Discovery Centre » né de l'organisme « Plug 'n Drive »
Si l'organisme offre plusieurs services comparables à ceux de l'AVÉQ, son impressionnant centre d’information sur les véhicules électriques est unique en son genre au Canada et mérite d'être visité.
Bon bon bon! Est-ce qu'on se gonfle la tête un peu ici à l'AVÉQ avec un titre pareil? Est-ce que le nouveau jouet de Simon-Pierre est vraiment la plus belle Tesla Model 3 de la planète?
Si elle n'est pas la plus belle, elle est certainement celle qui le restera le plus longtemps. L'installation d'une pellicule de couleur n'a rien de nouveau, plusieurs propriétaires l'ont déjà fait aux États-Unis. Cependant, cette mince pellicule ne résiste pas très bien à nos hivers canadiens avec le sel, le sable et les autres débris sur les routes. Dans le meilleur des cas, on pouvait espérer une durée de vie établie à 2-3 ans avant qu'il ne soit temps de la retirer ou de la réparer. Ce qui a donc été fait ici, et de là l'originalité, ce fut de rajouter une deuxième pellicule de protection transparente XPEL Ultimate Plus pour protéger la couleur.
Si elle n'est pas la plus belle, elle est certainement celle qui le restera le plus longtemps. L'installation d'une pellicule de couleur n'a rien de nouveau, plusieurs propriétaires l'ont déjà fait aux États-Unis. Cependant, cette mince pellicule ne résiste pas très bien à nos hivers canadiens avec le sel, le sable et les autres débris sur les routes. Dans le meilleur des cas, on pouvait espérer une durée de vie établie à 2-3 ans avant qu'il ne soit temps de la retirer ou de la réparer. Ce qui a donc été fait ici, et de là l'originalité, ce fut de rajouter une deuxième pellicule de protection transparente XPEL Ultimate Plus pour protéger la couleur.
Maintenant, faire adhérer une pellicule pare-pierre épaisse qu'on étire et qu'on chauffe par-dessus une pellicule couleur qui elle-même a été étirée et collée sur la peinture originale, ce n'était pas une mince affaire (petit jeu de mots ici!). Tout pouvait décoller avec toute la pression exercée. Il fallait donc des installateurs experts pour effectuer le travail, surtout la pellicule grise qui devait être installée parfaitement et sans défauts... et ceux qui possèdent la meilleure réputation pour l'installation, ce sont les experts chez AutoKosmetX qui font un travail hallucinant sur des voitures hyper luxueuses, ils sont minutieux et consciencieux. Les installateurs de pellicule pare-pierre chez PROTEX ne voulaient pas appliquer leur produit si la pellicule de fondation était mal installée, et ils ont insisté pour que ce soit AutoKosmetX qui en soit responsable.
Le look final est beaucoup plus près d'une peinture originale, alors que le produit XPEL possède une couche de clear coat flexible ce qui lui donne un lustre exceptionnel, et qui peut être lavée et cirée comme une peinture originale. La pellicule de couleur Avery Dennison n'avait pas ce lustre.
Et pourquoi ne pas faire peinturer la voiture alors? Nous avons fait évaluer le tout à deux centres d'esthétiques, et on nous a estimé entre 6,000$ et 10,000$ pour refaire la peinture. Pourquoi aussi cher? Parce que la Tesla Model 3 possède des pièces de carrosserie en acier (facile à peinturer) et en aluminium (technique de peinture différente). Il aurait donc fallu 2 types de peintures avec des teintes similaires pour réaliser ce que l'installation d'une pellicule nous offrait pour un coût variant entre 2,000$ et 3,000$ selon la couleur choisie et la couleur originale de fond (ce que nous expliquons dans la vidéo).
De plus, la nouvelle peinture aurait été exposée aux éléments et on aurait tout de même installé une pellicule pare-pierre par-dessus pour la protéger. Et si un jour on décidait de revenir à la couleur originale noire, il serait assez simple d'enlever l'amalgame de pellicules pour la retrouver.
Le look final est beaucoup plus près d'une peinture originale, alors que le produit XPEL possède une couche de clear coat flexible ce qui lui donne un lustre exceptionnel, et qui peut être lavée et cirée comme une peinture originale. La pellicule de couleur Avery Dennison n'avait pas ce lustre.
Et pourquoi ne pas faire peinturer la voiture alors? Nous avons fait évaluer le tout à deux centres d'esthétiques, et on nous a estimé entre 6,000$ et 10,000$ pour refaire la peinture. Pourquoi aussi cher? Parce que la Tesla Model 3 possède des pièces de carrosserie en acier (facile à peinturer) et en aluminium (technique de peinture différente). Il aurait donc fallu 2 types de peintures avec des teintes similaires pour réaliser ce que l'installation d'une pellicule nous offrait pour un coût variant entre 2,000$ et 3,000$ selon la couleur choisie et la couleur originale de fond (ce que nous expliquons dans la vidéo).
De plus, la nouvelle peinture aurait été exposée aux éléments et on aurait tout de même installé une pellicule pare-pierre par-dessus pour la protéger. Et si un jour on décidait de revenir à la couleur originale noire, il serait assez simple d'enlever l'amalgame de pellicules pour la retrouver.
Est-ce que ça fonctionne bien? Est-ce que nous sommes satisfaits? OH OUI! Deux incidents majeurs nous démontrent que la pellicule XPEL fait bien son travail.
Donc pour ceux d'entre-vous qui avez l'intention de garder votre VÉ longtemps, ou qui désirent personnaliser leur véhicule, l'AVÉQ offre à ses membres OR une foule de rabais chez des partenaires qui prendront bien soin de votre véhicule.
- Quatre jours après la prise de possession du véhicule, on suivait sur autoroute un camion 18 roues avec une grue dessus. Le camion a roulé sur des nids de poules et un amas de roche 3/4 s'est détaché de l'engin et ont frappé notre véhicule qui s'apprêtait à le dépasser. Une pelletée de roches à haute vitesse a fracassé le devant de la Model 3, le capot, le pare-brise. Une centaine d'éclats de roches pouvaient être vue sur ces surfaces. La pellicule XPEL semblait déchirée, étirée ou surélevée à plusieurs endroits du capot... Panique totale!! Quelques jours plus tard, il était difficile de cerner les points d'impact les plus importants. La nanotechnologie de ce produit a vraiment fait des miracles.
- Petite gaffe récemment en trébuchant sur le câble de recharge avec un pot de fleur dans les mains, ce dernier a éclaté contre le coffre arrière de la Tesla et a laissé de vilaines égratignures et une décoloration verte car des motifs étaient peints sur le pot. Encore une fois, la pellicule s'est remis de l'impact, et les abrasions vertes ont pu être nettoyées avec un peu de graisse de bras et de SANSZO Dissolvant à insecte (produit miracle pour enlever les taches les plus tenaces, et pas seulement sur les voitures!!).
Donc pour ceux d'entre-vous qui avez l'intention de garder votre VÉ longtemps, ou qui désirent personnaliser leur véhicule, l'AVÉQ offre à ses membres OR une foule de rabais chez des partenaires qui prendront bien soin de votre véhicule.
RÉFÉRENCES:
Le superbe wrap et le chrome-delete furent exécuté par AutoKosmetX (Brossard, Québec)
https://www.autokosmetx.ca/
Le pare-pierre et les fenêtres teintées furent réalisées par PROTEX à leur concession de Laval (succursales à travers le Québec)
https://protexcanada.com/fr/
En tant que titulaire d’une carte de membre Or de l’AVÉQ, profitez d’une foule de rabais dont 10% chez tous les PROTEX du Québec ainsi que de 15% sur tout projet de wrap chez AutoKosmetX à Brossard. Également, jusqu'à 20% de rabais sur les produits SANSZO achetés en ligne.
https://www.aveq.ca/offres.html
Le superbe wrap et le chrome-delete furent exécuté par AutoKosmetX (Brossard, Québec)
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https://protexcanada.com/fr/
En tant que titulaire d’une carte de membre Or de l’AVÉQ, profitez d’une foule de rabais dont 10% chez tous les PROTEX du Québec ainsi que de 15% sur tout projet de wrap chez AutoKosmetX à Brossard. Également, jusqu'à 20% de rabais sur les produits SANSZO achetés en ligne.
https://www.aveq.ca/offres.html
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Le gouvernement du Québec fait un tout premier pas vers l’électrification des petits camions de livraison, des camions utilitaires et des autobus scolaires. Un rabais pouvant aller jusqu’à 15 000 $ par véhicule électrique ou hybride rechargeable est désormais offert.
Le Gouvernement du Québec est fier d’annoncer le lancement d’un nouveau programme pour stimuler la transition énergétique du secteur des transports, notamment celui des marchandises, qui est une plaque tournante de l’économie du Québec. Le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, M. Jonatan Julien, en a fait l’annonce le 19 juillet.
Le nouveau programme Transportez vert offre de l’aide financière pour accompagner, soutenir et former les entreprises, les organismes et les municipalités qui utilisent un parc de véhicules routiers dans la réduction de leur consommation de carburant et leurs émissions de GES, tout en augmentant leur efficacité énergétique. Les gestionnaires de parcs de véhicules pourront par exemple recevoir jusqu’à 100 000 $ pour de l’accompagnement en gestion de l’énergie, jusqu’à 200 000 $ pour l’acquisition de certaines technologies et jusqu’à 30 000 $ pour de la formation en écoconduite pour leurs conducteurs. De la même façon, une entreprise pourrait recevoir de l’aide pour la conversion énergétique d’un de ses véhicules, tels qu’une camionnette ou un autobus scolaire.
Ce nouveau programme sera administré par Transition énergétique Québec et vient bonifier l’offre actuelle du programme Écocamionnage, administré par le ministère des Transports.
Citations
« Avec l’annonce d’aujourd’hui, notre gouvernement vient combler un besoin du milieu tout en poursuivant sa volonté d’électrifier l’économie. En effet, le programme Transportez vert permettra aux propriétaires de parcs de véhicules routiers de bénéficier de solutions concrètes et de faire progresser la transition énergétique dans le secteur des transports. Pour nous, il est important non seulement de mettre en place des mesures incitatives financières, mais également de soutenir ce mouvement. Au Québec, nous avons la chance de pouvoir compter sur une expertise reconnue en matière d’efficacité énergétique. »
Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord
« Dans un contexte où nous souhaitons que les émissions de gaz à effet de serre décroissent de manière tangible afin de faire face aux changements climatiques, une annonce comme celle d’aujourd’hui démontre la volonté du gouvernement de poser les gestes nécessaires. »
Benoît Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques
« Le programme Transportez vert améliore l’offre de service pour la clientèle d’affaires en matière de transport, qui représente un secteur où le potentiel de gains en réduction des émissions de GES et en amélioration de l’efficacité énergétique est considérable. Nous nous sommes inspirés des meilleures pratiques dans le monde pour faire en sorte que la transition énergétique de ce secteur lui soit des plus profitables. »
Johanne Gélinas, présidente-directrice générale de Transition énergétique Québec
Le gouvernement prévoit que Transportez vert coûtera 12,3 millions $ d’ici le 31 mars 2021. Chaque entreprise qui veut y adhérer pourra recevoir jusqu’à 100 000 $ pour évaluer la gestion de ses dépenses en carburant, jusqu’à 200 000 $ pour convertir ou acquérir des véhicules électriques ou hybrides rechargeables et jusqu’à 30 000 $ pour former ses chauffeurs à une conduite plus économique en énergie.
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Le Gouvernement du Québec est fier d’annoncer le lancement d’un nouveau programme pour stimuler la transition énergétique du secteur des transports, notamment celui des marchandises, qui est une plaque tournante de l’économie du Québec. Le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, M. Jonatan Julien, en a fait l’annonce le 19 juillet.
Le nouveau programme Transportez vert offre de l’aide financière pour accompagner, soutenir et former les entreprises, les organismes et les municipalités qui utilisent un parc de véhicules routiers dans la réduction de leur consommation de carburant et leurs émissions de GES, tout en augmentant leur efficacité énergétique. Les gestionnaires de parcs de véhicules pourront par exemple recevoir jusqu’à 100 000 $ pour de l’accompagnement en gestion de l’énergie, jusqu’à 200 000 $ pour l’acquisition de certaines technologies et jusqu’à 30 000 $ pour de la formation en écoconduite pour leurs conducteurs. De la même façon, une entreprise pourrait recevoir de l’aide pour la conversion énergétique d’un de ses véhicules, tels qu’une camionnette ou un autobus scolaire.
Ce nouveau programme sera administré par Transition énergétique Québec et vient bonifier l’offre actuelle du programme Écocamionnage, administré par le ministère des Transports.
Citations
« Avec l’annonce d’aujourd’hui, notre gouvernement vient combler un besoin du milieu tout en poursuivant sa volonté d’électrifier l’économie. En effet, le programme Transportez vert permettra aux propriétaires de parcs de véhicules routiers de bénéficier de solutions concrètes et de faire progresser la transition énergétique dans le secteur des transports. Pour nous, il est important non seulement de mettre en place des mesures incitatives financières, mais également de soutenir ce mouvement. Au Québec, nous avons la chance de pouvoir compter sur une expertise reconnue en matière d’efficacité énergétique. »
Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord
« Dans un contexte où nous souhaitons que les émissions de gaz à effet de serre décroissent de manière tangible afin de faire face aux changements climatiques, une annonce comme celle d’aujourd’hui démontre la volonté du gouvernement de poser les gestes nécessaires. »
Benoît Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques
« Le programme Transportez vert améliore l’offre de service pour la clientèle d’affaires en matière de transport, qui représente un secteur où le potentiel de gains en réduction des émissions de GES et en amélioration de l’efficacité énergétique est considérable. Nous nous sommes inspirés des meilleures pratiques dans le monde pour faire en sorte que la transition énergétique de ce secteur lui soit des plus profitables. »
Johanne Gélinas, présidente-directrice générale de Transition énergétique Québec
Le gouvernement prévoit que Transportez vert coûtera 12,3 millions $ d’ici le 31 mars 2021. Chaque entreprise qui veut y adhérer pourra recevoir jusqu’à 100 000 $ pour évaluer la gestion de ses dépenses en carburant, jusqu’à 200 000 $ pour convertir ou acquérir des véhicules électriques ou hybrides rechargeables et jusqu’à 30 000 $ pour former ses chauffeurs à une conduite plus économique en énergie.
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Selon la Presse Canadienne, Hyundai Canada a annoncé son intention de participer à l’enquête en cours sur l’explosion, vendredi dernier, d’une automobile électrique de modèle Hyundai Kona EV dans le garage d’une résidence du nord-ouest de Montréal. Si l’événement a de quoi marquer les esprits, des experts automobiles n’y voient qu’un incident isolé.
Ce que l’on sait à propos de l’événement est qu’une explosion a détruit la voiture et a provoqué l’incendie du garage à l’intérieur duquel elle se trouvait, en plus d’endommager la maison attenante. Le souffle de la déflagration a été si puissant que la porte du garage a été projetée sur le terrain de la maison située en face, de l’autre côté de la rue Montigny, à L’Île-Bizard. Heureusement, personne n’a été blessé.
Dans un courriel transmis au magazine spécialisé Automotive News Canada, un porte-parole de Hyundai Canada, Jean-François Taylor, explique que des représentants du constructeur ont déjà eu des entretiens avec le propriétaire de l’automobile et des responsables de Transports Canada. La compagnie collabore aussi à l’enquête sur l’incident dont la cause exacte n’a pas encore précisément été déterminée par le Service de sécurité incendie de Montréal (SSIM).
Le modèle 2019 du véhicule utilitaire sport (VUS) Hyundai Kona EV est muni d’un moteur électrique de 150 kilowatts (kW) qui comprend une batterie au lithium-ion de 64 kWh d’une tension de 356 volts.
Pour le chroniqueur automobile Philippe Laguë, il est important de demeurer prudent puisque l’on se trouve à un stade très préliminaire de l’enquête et qu’on ne connaît pas la cause de l’incident. Toutefois, ce qui est préoccupant, c’est que l’on parle d’une explosion et pas d’un incendie.
La cause pourrait très bien être extérieure au véhicule, prévient M. Laguë, mais on connaît encore bien peu de choses sur ce nouveau modèle lancé il y a à peine quelques mois. « Il y a peut-être un vice de fabrication dans la batterie, mais c’est trop tôt pour statuer », évoque-t-il.
Éric Lesage est propriétaire et mécanicien chez Service Automobile ML, un garage spécialisé dans les véhicules électriques et hybrides à Gatineau. Lui aussi ne s’explique pas ce qui a pu se produire à L’Île-Bizard surtout compte tenu de toutes les mesures de protection présentes sur ce modèle en particulier.
« Les véhicules ont des capteurs de température dans les batteries et s’il y en a un seul qui devient trop chaud, il va désactiver la batterie ou la débrancher complètement. D’habitude, il y a des capteurs partout pour s’assurer de débrancher le connecteur dès qu’il y a un problème même quand on roule », explique le mécanicien en ajoutant que le Hyundai Kona est très apprécié de ses clients qui en possèdent.
À son avis, l’hypothèse la plus plausible serait celle d’un problème de raccord au système d’alimentation électrique, soit l’utilisation d’une rallonge non adaptée à la puissance d’ampérage par exemple.
« J’ai vraiment hâte de voir les résultats de l’enquête parce que je ne peux pas croire qu’un véhicule simple de même parte en feu tout simplement », admet M. Lesage.
Du côté de l’Association des propriétaires de véhicules électriques du Québec (AVEQ), le président et fondateur Simon-Pierre Rioux s’étonne d’autant plus que d’après son observation des photos de la carcasse du véhicule en cause, il semblerait que celui-ci n’était pas branché au moment de la déflagration. Le port de recharge paraît intact sur l’une des photos diffusées dans les médias.
« On se pose des questions à savoir ce qui a pu arriver et on a vraiment hâte de comprendre », a commenté M. Rioux en notant que le nouveau Hyundai Kona électrique fait partie des bons vendeurs sur le marché québécois.
Aucune inquiétude à avoir
Philippe Laguë, qui administre le site spécialisé philippelague.com, rassure les futurs acheteurs qu’ils n’ont rien à craindre en se procurant une voiture 100 pour cent électrique.
« C’est un incident isolé. Ça fait quand même quelques années qu’on a des véhicules électriques qui circulent régulièrement sur les routes et il n’y a aucun de ces véhicules-là qui a explosé, assure-t-il. Évidemment, les adversaires de la voiture électrique vont se servir de cet incident comme épouvantail, mais il y a beaucoup de gens là-dedans qui ne savent pas de quoi ils parlent. »
Évidemment, un incident spectaculaire comme celui de L’Île-Bizard marque les esprits, reconnaît Simon-Pierre Rioux de l’AVEQ, mais il a bon espoir que les Québécois vont continuer de se tourner en grand nombre vers les voitures électriques.
C’est aussi l’opinion de Mathieu Sirois, un automobiliste qui a opté pour un véhicule électrique Tesla, modèle S, il y a trois ans déjà et qui ne regrette pas son choix.
« Je pense que c’est le présent et le futur, les prix vont continuer de baisser, l’autonomie des batteries va continuer de s’améliorer, plus il va y avoir d’utilisateurs, plus l’infrastructure de recharge va se développer », soutient-il.
À son avis, cette histoire ne sera bientôt plus qu’« un petit incident dans l’histoire des voitures électriques ».
Ce que l’on sait à propos de l’événement est qu’une explosion a détruit la voiture et a provoqué l’incendie du garage à l’intérieur duquel elle se trouvait, en plus d’endommager la maison attenante. Le souffle de la déflagration a été si puissant que la porte du garage a été projetée sur le terrain de la maison située en face, de l’autre côté de la rue Montigny, à L’Île-Bizard. Heureusement, personne n’a été blessé.
Dans un courriel transmis au magazine spécialisé Automotive News Canada, un porte-parole de Hyundai Canada, Jean-François Taylor, explique que des représentants du constructeur ont déjà eu des entretiens avec le propriétaire de l’automobile et des responsables de Transports Canada. La compagnie collabore aussi à l’enquête sur l’incident dont la cause exacte n’a pas encore précisément été déterminée par le Service de sécurité incendie de Montréal (SSIM).
Le modèle 2019 du véhicule utilitaire sport (VUS) Hyundai Kona EV est muni d’un moteur électrique de 150 kilowatts (kW) qui comprend une batterie au lithium-ion de 64 kWh d’une tension de 356 volts.
Pour le chroniqueur automobile Philippe Laguë, il est important de demeurer prudent puisque l’on se trouve à un stade très préliminaire de l’enquête et qu’on ne connaît pas la cause de l’incident. Toutefois, ce qui est préoccupant, c’est que l’on parle d’une explosion et pas d’un incendie.
La cause pourrait très bien être extérieure au véhicule, prévient M. Laguë, mais on connaît encore bien peu de choses sur ce nouveau modèle lancé il y a à peine quelques mois. « Il y a peut-être un vice de fabrication dans la batterie, mais c’est trop tôt pour statuer », évoque-t-il.
Éric Lesage est propriétaire et mécanicien chez Service Automobile ML, un garage spécialisé dans les véhicules électriques et hybrides à Gatineau. Lui aussi ne s’explique pas ce qui a pu se produire à L’Île-Bizard surtout compte tenu de toutes les mesures de protection présentes sur ce modèle en particulier.
« Les véhicules ont des capteurs de température dans les batteries et s’il y en a un seul qui devient trop chaud, il va désactiver la batterie ou la débrancher complètement. D’habitude, il y a des capteurs partout pour s’assurer de débrancher le connecteur dès qu’il y a un problème même quand on roule », explique le mécanicien en ajoutant que le Hyundai Kona est très apprécié de ses clients qui en possèdent.
À son avis, l’hypothèse la plus plausible serait celle d’un problème de raccord au système d’alimentation électrique, soit l’utilisation d’une rallonge non adaptée à la puissance d’ampérage par exemple.
« J’ai vraiment hâte de voir les résultats de l’enquête parce que je ne peux pas croire qu’un véhicule simple de même parte en feu tout simplement », admet M. Lesage.
Du côté de l’Association des propriétaires de véhicules électriques du Québec (AVEQ), le président et fondateur Simon-Pierre Rioux s’étonne d’autant plus que d’après son observation des photos de la carcasse du véhicule en cause, il semblerait que celui-ci n’était pas branché au moment de la déflagration. Le port de recharge paraît intact sur l’une des photos diffusées dans les médias.
« On se pose des questions à savoir ce qui a pu arriver et on a vraiment hâte de comprendre », a commenté M. Rioux en notant que le nouveau Hyundai Kona électrique fait partie des bons vendeurs sur le marché québécois.
Aucune inquiétude à avoir
Philippe Laguë, qui administre le site spécialisé philippelague.com, rassure les futurs acheteurs qu’ils n’ont rien à craindre en se procurant une voiture 100 pour cent électrique.
« C’est un incident isolé. Ça fait quand même quelques années qu’on a des véhicules électriques qui circulent régulièrement sur les routes et il n’y a aucun de ces véhicules-là qui a explosé, assure-t-il. Évidemment, les adversaires de la voiture électrique vont se servir de cet incident comme épouvantail, mais il y a beaucoup de gens là-dedans qui ne savent pas de quoi ils parlent. »
Évidemment, un incident spectaculaire comme celui de L’Île-Bizard marque les esprits, reconnaît Simon-Pierre Rioux de l’AVEQ, mais il a bon espoir que les Québécois vont continuer de se tourner en grand nombre vers les voitures électriques.
C’est aussi l’opinion de Mathieu Sirois, un automobiliste qui a opté pour un véhicule électrique Tesla, modèle S, il y a trois ans déjà et qui ne regrette pas son choix.
« Je pense que c’est le présent et le futur, les prix vont continuer de baisser, l’autonomie des batteries va continuer de s’améliorer, plus il va y avoir d’utilisateurs, plus l’infrastructure de recharge va se développer », soutient-il.
À son avis, cette histoire ne sera bientôt plus qu’« un petit incident dans l’histoire des voitures électriques ».
Source: Ugo Giguère - La Presse canadienne
Finalement, un test comparatif créé par des électromobilistes qui offre l'heure juste sur les grandes vedettes de l'électromobilité de 2e génération, des véhicules 100% électrique offrant plus de 360 kilomètres d'autonomie. Quels sont les critères importants lorsqu'on choisit un VÉ? Ils sont bien différents que lorsqu'on choisit un véhicule à essence, et de nombreux chroniqueurs automobiles traditionnels n'y comprennent absolument rien.
Le chroniqueur automobile spécialisé en électromobilité, Daniel Breton, s'entoure de vrais experts pour ce match comparatif entre les meilleurs véhicules du moment:
Nous aurons également la chance d'entendre Sylvain Juteau de Roulez Électrique, Jean Gariépy de l'AVÉQ et Bectrol, Sébastien Pothier de Connecta, Yannic Asselin de Bourgeois Chevrolet, et Eve-Mary Thai Thi Lac.
Les critères? L'espace intérieur, l'esthétique du véhicule, le temps de recharge, l'autonomie à 90 km/h et à 115 km/h, l'efficacité du freinage régénératif, l'accélération, l'estimation projetée de l'autonomie, et plusieurs autres facteurs déterminants.
On remercie les entreprises suivantes sans qui ce comparatif n'aurait pas eu lieu: Bourgeois Chevrolet, Station Roulez Électrique, Montréal Auto Prix Division Électrique, Nissan Canada, Kia Canada, Hyundai Canada, et Simon-Pierre Rioux pour le prêt de sa Tesla Model 3 SR+.
Le chroniqueur automobile spécialisé en électromobilité, Daniel Breton, s'entoure de vrais experts pour ce match comparatif entre les meilleurs véhicules du moment:
- Chevrolet Bolt
- Nissan LEAF Plus
- Hyundai Kona Electric
- Tesla Model 3 SR+
- Kia Niro EV
Nous aurons également la chance d'entendre Sylvain Juteau de Roulez Électrique, Jean Gariépy de l'AVÉQ et Bectrol, Sébastien Pothier de Connecta, Yannic Asselin de Bourgeois Chevrolet, et Eve-Mary Thai Thi Lac.
Les critères? L'espace intérieur, l'esthétique du véhicule, le temps de recharge, l'autonomie à 90 km/h et à 115 km/h, l'efficacité du freinage régénératif, l'accélération, l'estimation projetée de l'autonomie, et plusieurs autres facteurs déterminants.
On remercie les entreprises suivantes sans qui ce comparatif n'aurait pas eu lieu: Bourgeois Chevrolet, Station Roulez Électrique, Montréal Auto Prix Division Électrique, Nissan Canada, Kia Canada, Hyundai Canada, et Simon-Pierre Rioux pour le prêt de sa Tesla Model 3 SR+.
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Bonne nouvelle ! La Ville de Mirabel vient d’adopter un programme d’aide financière pour l’achat et l’installation de bornes de recharge résidentielles pour véhicules électriques pour ses citoyens.
Selon le règlement récemment adopté, une subvention peut être accordée par la Ville de Mirabel au propriétaire d’un immeuble résidentiel selon les montants suivants :
Voici un résumé des principaux critères d’admissibilité au programme :
* Le raccordement visant à accueillir une borne électrique doit être fait dans un bâtiment à vocation majoritairement résidentielle, situé sur le territoire de Mirabel et dont le permis de construction a été émis avant le 31 décembre 2018;
* La borne de recharge admissible doit être :
Un seul raccordement et une seule borne de recharge par unité d’habitation peut faire l’objet d’une demande d’aide financière. Toutefois, pour un immeuble à logements locatifs, il est possible de demander un maximum de trois raccordements et/ou bornes.
Pour effectuer une demande, remplissez le formulaire prévu à cet effet, que vous trouverez sur le site Web de la Ville de Mirabel, et retournez- le avec les pièces justificatives exigées.
Selon le règlement récemment adopté, une subvention peut être accordée par la Ville de Mirabel au propriétaire d’un immeuble résidentiel selon les montants suivants :
- 250 $ pour les travaux de raccordements électriques admissibles;
- 100 $ pour l’acquisition d’une borne de recharge admissible.
Voici un résumé des principaux critères d’admissibilité au programme :
* Le raccordement visant à accueillir une borne électrique doit être fait dans un bâtiment à vocation majoritairement résidentielle, situé sur le territoire de Mirabel et dont le permis de construction a été émis avant le 31 décembre 2018;
* La borne de recharge admissible doit être :
- neuve;
- alimentée par une tension électrique de 240 volts;
- approuvée par un organisme de normalisation reconnu;
- installée dans un bâtiment admissible situé sur le territoire de Mirabel;
- installée par un entrepreneur électricien détenant une licence de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ).
Un seul raccordement et une seule borne de recharge par unité d’habitation peut faire l’objet d’une demande d’aide financière. Toutefois, pour un immeuble à logements locatifs, il est possible de demander un maximum de trois raccordements et/ou bornes.
Pour effectuer une demande, remplissez le formulaire prévu à cet effet, que vous trouverez sur le site Web de la Ville de Mirabel, et retournez- le avec les pièces justificatives exigées.
Saviez-vous que le gouvernement provincial propose également une aide financière (programme Roulez vert) pour l’achat et l’installation de bornes de recharge ? Le montant de cette aide peut atteindre 600 $. Combiné aux montants offerts par la Ville, le total de l’aide financière peut s’élever à 950 $ ! Une borne de recharge de 240 volts coûte entre 1000 $ et 1500 $, c’est donc une importante portion des dépenses qui peuvent être récupérées !
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
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