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iSun Energy vous invite au lancement mondial de sa nouvelle station de recharge solaire, iSun Palm, construite chez le concessionnaire #1 de véhicules électriques au Canada, Bourgeois Chevrolet. Pour marquer ce lancement, nous sommes joint par l'AVEQ (Association des véhicules électriques du Québec) au sein de son EV Fest, l'ESQ (Énergie Solaire Québec) et Bourgeois Chevrolet, afin de vous offrir un évènement démarquant, à tous ceux intéressés par les véhicules électriques et l’énergie solaire.
«Notre investissement dans l’abri solaire iSun Palm est une autre étape de notre évolution dans le domaine de l’électrification des transports. Notre confiance en l’équipe québécoise de iSun Energy a été validé par ce magnifique résultat. Depuis le mois de Juin, et ce pour les trente prochaines années, notre abri produira de l’énergie solaire ici même sur place, protégeants non-seulement les voitures en rechargement, mais aussi nos couts énergétiques et notre environnement», dit Hugo Jeanson de Bourgeois Chevrolet.
Le festival EV Fest aura lieu de 10 h à 16 h, le 15 septembre 2018, 3502 rue Queen, Rawdon, Québec, J0K 1SO. La cérémonie de coupure de ruban se passera à 13h, cette meme journée. «Nous sommes fiers d’avoir été choisis par Bourgeois Chevrolet, le numéro 1 au Canada dans la vente de véhicules électriques, pour la conception et installation de leur abri de voiture à l'énergie solaire, iSun Palm. Bourgeois a choisi notre système afin de promouvoir clairement son engagement envers la qualité et son leadership dans le domaine des véhicules électriques. Les systèmes commerciaux iSun ont maintenant atteint une production de vie combinée de 11 mégawatts. C'est l'équivalent des émissions de carbone évitées par la reduction de consommation de 1 million de gallons d'essence, ou 9 millions de livres de charbon. iSun est le parfait complément de site commerciale, pour ceux qui se rendent compte qu’il n’y a pas de «planète B», déclare Sass Peress, PDG d'iSun Energy. L'invitée vedette sera Julie Snyder, célèbre personnalité médiatique québécoise. Avec des centaines de milliers d'abonnés aux médias sociaux, Mme Snyder apportera son enthousiasme dynamique à la cérémonie. Des spécialistes seront sur place pour expliquer le système aux gens intéressées à explorer le potentiel de la combinaison "solaire-borne de recharge", pour leurs entreprises, villes, ou même pour en savoir plus sur l'abri solaire résidentielle iSun Oasis, dont les premières livraisons sont attendues sous peu. Des activités pour les enfants, des essais de véhicules électriques et d'autres activités familiales sont prévues.
Confirmez votre présence aujourd'hui!
Assurez-vous de vous rendre à cet événement important. Voici les détails: • Date: le 15 septembre, 2018 • Heure: 13h • Lieu: 3502 rue Queen, Rawdon, Québec J0K 1S0 RSVP votre présence à l'événement iSun Energy + Bourgeois Chevrolet en cliquant sur le lien pour vous inscrire à notre événement Facebook.
Les 7 meilleurs véhicules électriques rechargeables pour étudiants au retour à l’école; Un nouveau financement pour améliorer les infrastructures des municipalités canadiennes; La compagnie Hyundai livre ses premiers modèles électriques et déclare avoir en mains 20,000 réservations; La compagnie Sono, prévoit débuter les tests de son véhicule le Sion solaire en Allemagne : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : André H. Martel
C’est un fait incontestable : la production d’électricité à l’aide de panneaux solaires connaît une croissance exceptionnelle dans le monde.
Le Québec n’échappe pas à cette tendance : le nombre d’entreprises qui en font la promotion ne cesse de progresser. Les panneaux solaires sont de plus en plus abordables, mais quelle est leur performance environnementale réelle ? Est-ce une option rentable au Québec ? Comment devriez-vous procéder si l’autoproduction d’électricité vous intéresse ? Voici de l’information importante pour vous aider à prendre une décision éclairée.
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Renewz inc, de Montréal (Canada), a annoncé aujourd'hui qu'elle s'est associée à SmartReno, une entreprise canadienne offrant aux propriétaires un réseau fiable d'entrepreneurs compétents et révisés, pour ses systèmes d'ombrage solaire iSun Oasis uniques, dont l'un est présenté au Salon national de l'habitation, au Enercare Centre de Toronto.
"Nous sommes fiers d'avoir créé ce partenariat avec SmartReno et d'exposer notre système d'énergie solaire innovateur iSun Oasis lors du plus grand salon de l’habitation au Canada", a déclaré Sass M. Peress, PDG de renewz. «Avec l'intérêt croissant de combiner l'énergie solaire et rénovation résidentielle, y compris la recharge des véhicules électriques, renewz construit ce produit directement sur son stand, en quelques heures d'assemblage simple. La sécurisation de cette relation avec SmartReno permet d'assurer la satisfaction totale des clients résidentiels de nos abris à l'énergie solaire, que ce soit pour abrités les voitures, terrasses ou les jardins a la maison. La combinaison de notre capacité de configurateur en ligne sur isunenergy.com avec des options de financement direct mettra le pouvoir entre les mains du propriétaire, ce qui, selon nous, est le moyen le plus simple de fournir des systèmes d'énergie solaire intelligents, propres et simples.”
"Nous sommes très heureux de nous associer à renewz inc. qui offre ce produit innovateur aux Canadiens. Parce que nous avons le plus grand réseau d'entrepreneurs vérifiés, nous serons en mesure de fournir l'installation du système d'énergie solaire iSun Oasis partout au Canada de la manière la plus efficace possible pour les clients de renewz. SmartReno fournit constamment des solutions nouvelles et innovantes à ses clients et sous-traitants et ce partenariat est une proposition gagnante pour tous ceux qui sont impliqués », a déclaré Andrei Uglar, PDG de SmartReno. L'opportunité d'achat direct fournie par le site isunenergy.com inclura la possibilité de participer au rabais de lancement de 25% de renewz, tandis que les participants au National Home Show bénéficieront d'un cadeau bonus lors de la visite d'iSun Energy au stand 2616. À propos d'iSun Energy par Renewz iSun Energy est une marque de solutions technologiques pour l'énergie solaire et les véhicules électriques de Renewz. L'entreprise canadienne a pour mission de créer de l'énergie gratuite et propre pour les gens, là où ils se trouvent, en leur offrant une expérience énergétique intelligente et partagée. Grâce à la technologie solaire de pointe américaine, combinée à la structure canadienne et au logiciel européen, iSun Energy a créé une gamme de systèmes d'ombrage solaire pour tous les types d'utilisations, résidentielles et commerciales, disponibles et configurables pour satisfaire les utilisateurs sur isunenergy. com. À propos de SmartReno Une entreprise canadienne basée à Montréal, fondée en 2012, SmartReno change la façon dont nous trouvons des entrepreneurs pour réaliser des projets de rénovation. Le service permet aux personnes de décrire leur projet en un seul endroit et d'être référé en moins de 24 heures à des entrepreneurs sélectionnés en fonction de leurs qualifications, de leur disponibilité et de leur localisation. SmartReno reçoit environ 40 000 demandes de projets par année, d'une valeur de plus de 200 millions de dollars, grâce à son réseau de près de 10 000 entrepreneurs partout au Canada. Renewz a recu l’apppui financière du C3E et PME-MTL, deux organismes dédiés au startup innovantes.
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MONTREAL – renewz Inc., siégé à Montréal, Québec, annonce aujourd’hui qu’un abri solaire pour véhicule électrique iSunⓇ sera construit dès décembre 2017. L’installation aura lieu au concessionnaire #1 au Canada de véhicules hybrides rechargeables, soit chez Bourgeois Chevrolet, situé Rawdon, Québec.
« Nous sommes fiers d’avoir été sélectionnés par Hugo Jeanson et son équipe pour notre première installation de notre système iSunⓇ, le système ayant été développé au sein de notre entreprise. Après quatre ans de projets pilotes, nous avons établi la propre balance entre l’intégration de l’équipement et son logiciel, en utilisant des composantes supérieures et connectées,» explique Sass M. Peress, PDG de renewz. L’innovation énergétique de Bourgeois Chevrolet, permettra de se recharger grâce à l’énergie solaire, tout en réduisant le coût d’énergie au concessionnaire, avec une experience d’utilisateur supérieur à toute autre tel système sur le marché.
« Bourgeois Chevrolet est fier de s’associer à renewz, une entreprise Montréalaise qui se distingue tant avec leur expérience dans le développement d’une énergie propre qu’avec leur dévouement pour les véhicules électriques, d’un haut niveau de qualité. Nous sommes heureux de faire ce grand pas vers l’énergie propre, cela continu de positionner Bourgeois Chevrolet comme leader visionnaire au Canada dans le marché du VE», explique Hugo Jeanson, Copropriétaire et directeur général des ventes Chez Bourgeois Chevrolet.
À propos de Renewz Renewz développe des solutions d’abri à l’énergie solaire intelligent ainsi que des technologies de recharge pour véhicules électriques. Localisée au Québec, l’équipe renewz offre des solutions renouvelables d’énergie propre, de mobilité électrique facile à implanter et à rendement supérieur. Le tout dans le but d’accroître l’engagement environnemental de sa communauté. Source : Renewz Contribution : Martin Archambault
Le co-fondateur de Tesla partage l'histoire de l'entreprise, Fisker dévoile le prototype de sa nouvelle voiture électrique, les créateurs d’une startup de voiture solaire commenceront à vendre leur version homologuée, la BMW Série 3 électrique sera lancée en septembre pour concurrencer la Tesla Model 3, et ChargePoint obtient un financement de 43 millions de dollars : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Le Cégep Limoilou a installé cet hiver sa première borne de recharge électrique, mais pas n’importe quel type de borne. Celle-ci a la particularité d’être alimentée par nul autre que les panneaux solaires installés sur le toit vert du cégep depuis 2010! Une exclusivité qui fait du Cégep Limoilou le premier établissement postsecondaire à avoir développé et installé une telle borne.
Entièrement élaborée par Bruno Ménard, enseignant en Technologie de l’électronique industrielle, la borne est alimentée par les 8 panneaux solaires installés sur le toit du campus de Québec. L’énergie solaire est emmagasinée dans de grosses batteries installées dans les laboratoires du programme, puis convertie en électricité pour alimenter la borne de recharge de véhicules électriques. Deux prises de différentes puissances sont disponibles afin de recharger les véhicules.
« Il est prévu que la borne puisse fournir 2 à 3 véhicules par jour, peu importe la température. Si le soleil est au rendez-vous, cette donnée peut alors augmenter. Et sinon, une alimentation électrique complémentaire assure la fiabilité du système en cas de besoin. La borne est actuellement en test auprès de trois utilisateurs. À la fin de la période de test, l’objectif est d’ouvrir la borne au public, moyennant un montant très peu élevé, de l’ordre de quelques dollars par recharge », explique M. Ménard, initiateur du projet. En plus d’être un projet innovant en lien avec la politique de développement durable du Cégep Limoilou, cette borne a également une vocation pédagogique puisqu’elle est étudiée et utilisée par les étudiants de Technologie de l’électronique industrielle. Gestion de l’énergie et de la charge, analyse de l’usure de la batterie, interface de suivi permettant de connaître le temps de recharge nécessaire, l’intensité et la tension ne sont que quelques-uns des aspects que les étudiants peuvent maîtriser et mieux comprendre grâce à cet outil pédagogique. Déjà précurseurs en 2010 avec l’installation des panneaux solaires, le Cégep Limoilou continue d’innover grâce à l’expertise et à la passion d’enseignants dévoués! Source : Stéphane Brousseau – Directeur de recherche B.Sc. Géologie IRASD - Institut de recherche en architecture de société durable https://irasd.wordpress.com/ IRASD.SSARI@gmail.com Contribution : Martin Archambault
Le record du monde du plus grand défilé de VÉs réalisé aux Pays Bas, leçons tirées de la première Nissan Leaf, Toyota développera la prochaine génération de batteries grâce à l'intelligence artificielle, et forte croissance des stations de recharge en Allemagne l'année dernière : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Panasonic veut travailler sur la conduite autonome avec Tesla, d’autres nouvelles de la Gigafactory, une entreprise de Singapour présentera une supervoiture électrique et VW envisage une Beetle tout-électrique : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Fruit de cinq ans de recherche, l’innovation proposée par la filiale du groupe Bouygues a été baptisée Wattway et se présente sous la forme de dalles dotées de cellules photovoltaïques et recouvertes de résines assez résistantes pour supporter la circulation de poids lourds de 13 tonnes par essieu.
Rarement une innovation en matière de BTP a suscité un tel intérêt dans l’Hexagone, mais après tout, c’est une première mondiale et elle est française… La route solaire arrive, promet Colas, la filiale de travaux routiers du groupe Bouygues. Ou plutôt la route (ou le parking) photovoltaïque. «A Chambéry et Grenoble, nous avons testé Wattway avec succès sur un cycle d’un million de véhicules et la surface ne bouge pas», assurait le dirigeant de Colas, Hervé Le Bouc, en présentant l’invention en octobre 2015. Tout le savoir-faire de Colas, protégé par deux brevets, réside dans la nature de ce revêtement transparent qui protège les cellules photovoltaiques, très fragiles en elles-mêmes». Autre atout, les dalles peuvent recouvrir les routes existantes, pas besoin de refaire les infrastructures. Des connecteurs transfèrent l’électricité produite par Wattway directement à des points de consommation (réverbère, feux de signalisation, etc.) ou à un système de transport ou de stockage d’énergie. D’après les estimations de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), quatre mètres de route Wattway (soit 20 m²) suffisent aux besoins d’un foyer en électricité (hors chauffage), 15 m² alimentent les feux d’un carrefour et un kilomètre de route peut éclairer une ville de 5.000 habitants
Les usages possibles sont multiples, reste à voir quels sont les plus intéressants. Et à convaincre les sceptiques. Du côté des énergéticiens, on doute que le coût de production électrique de Wattway puisse rivaliser un jour avec celui des fermes solaires classiques. Du côté des professionnels de la route, on doute de la résistance des dalles. «De toute façon, Wattway n’est visiblement pas destiné à une circulation intensive car Colas a testé sa dalle pour un million de passages de poids lourds. Or, sur une autoroute à fort trafic, à raison de 80.000 véhicules par jour dont 15.000 poids lourds, ce chiffre est atteint en moins de trois mois », remarque un expert. Cela ferait en effet court comme durée de vie...
«D’ici 2018, nous allons tester les divers usages de Wattway avec des clients partenaires, publics et privés, via une centaine de chantiers d’application en France et à l’international, dont une trentaine cette année, déclare Pascal Tebibel, directeur de la prospective chez Colas. Ils se feront en conditions réelles, sur des superficies allant de 20 à 100 m2 (maximum)». Annoncé en juin, le premier de ces tests se fait actuellement avec le département de la Vendée, pour 50 m² de parking dans un complexe sportif, qui alimentera une borne de recharge de véhicules électriques. Le deuxième chantier test n’est pas encore dévoilé. Sans attendre, la ministre de l’Environnement française, Ségolène Royal, a enchaîné les annonces, déclarant dès janvier vouloir 1.000 km de routes solaires d’ici cinq ans, puis, en mars, vouloir débloquer cinq millions d’euros de crédit (on les attend encore) avant d’aller le 26 juillet à l’usine SNA de Tourouvre (Orne), chargée de produire les 5.000 m² de dalles destinées aux chantiers d’application. Et si, au terme des tests, Wattway tient la route, «SNA a une ligne de production d’une capacité de 150.000 m². En 2018, on pourra passer à la commercialisation», souligne Pascal Tebibel. Source: L'Économiste Contributeur: Simon-Pierre Rioux renewz® de Montréal et Driivz de Tel-Aviv signent un accord de collaboration sur les plates-formes de gestion de l'alimentation liés à la recharge des véhicules électriques • En appui aux nouvelles initiatives pour promouvoir la mobilité durable et l'énergie solaire canadiennes et israéliennes • Permet la mise en place d’un écosystème d'alimentation unique pour la gestion de la production, le stockage et le transport. • Les outils de configurations seront intégrés au site web de renewz unique basé afin de personnaliser et acheter des solutions énergiques solaire selon des besoins précis des consommateurs. Renewz inc., de Montréal, au Canada, a annoncé aujourd'hui, que dans le cadre de la mission commerciale du maire Coderre de Montréal en Israël et dans les territoires palestiniens, a signé un accord de développement collaboratif avec Driivz Ltd , de Tel-Aviv, Israël.
Les entreprises ont l'intention de débuter le développement conjoint des interfaces web et les applications mobiles qui permettront de livrer une expérience consommateur unique tout en appuyant les 3 principes énoncés par Elon Musk de Tesla, lors de sa récente présentation de la Tesla solaire City: Valoriser une intégration optimale de la production d'énergie, le stockage et la mobilité. "La signature de cet accord avec Driivz aujourd'hui permet à renewz de collaborer avec un leader de classe mondiale afin de créer une expérience utilisateur unique via une plateforme logicielle unique pour nos futurs projets d’abris solaire", a déclaré Sass M. Peress, PDG de renewz. "Driivz possède une vaste expérience traitant les systèmes sur réseau et hors réseaux incluant la gestion de puissance, en particulier liés à l'électrification des transports. Ils contribueront à soutenir nos initiatives pour agrandir le déploiement de nos stations de recharge solaire iSun à travers le monde.», poursuit Peress. «Nous croyons que Driivz est l'une des plateformes les plus complètes et évoluées pour la gestion des infrastructures d'énergie des véhicules électriques dans le monde. Notre objectif est de travailler avec renewz pour créer une autre étape importante de ce marché, en particulier liés à la gestion de l'énergie, afin de maximiser un couplage optimal entre l'énergie solaire et de la mobilité électrique. Notre équipe a accumulé de plusieurs années d’expériences dans cette catégorie au cours des dernières années de service pour des dizaines de milliers d'utilisateurs uniques et des milliers de points de charge à travers le monde », a déclaré Doron Frenkel, PDG de Driivz." Nous sommes heureux d'avoir signé cette collaboration avec renewz et attendons avec impatience le lancement de notre plate-forme à la mi à fin 2017 ensemble ", a poursuivi Frenkel. « La stratégie d’électrification des transports adoptée par notre administration en juin dernier vise à ce que les initiatives développées chez nous servent de leviers porteurs de retombées économiques pour les entreprises et les institutions locales. Ainsi, le cas de Renewz illustre parfaitement ce que nous recherchons.» comme l’a indiqué le maire de Montréal, Denis Coderre. A propos de renewz Avec plus de 60 ans d’expertise combinés dans les secteurs des énergies renouvelables et de l’automobile, nous aidons nos clients à réduire leur empreinte carbone tout en élargissant l'offre de produits d'énergie renouvelable et de plates-formes d'énergie et d’électromobilité propres, enrichissantes et innovantes. Basée à Montréal, au Canada, l'équipe renewz offre à ses clients la mise en œuvre de solutions énergiques renouvelables et des solutions de mobilité électrique. Plus d'informations peuvent être trouvées à www.renewz.com A propos de Driivz Inc. Driivz opère en Amérique du Nord et en Europe, la gestion de certains des plus grands réseaux de charge avec des milliers de points de recharge, utilisés par des dizaines de pilotes de milliers, de connexion à plus de 50 différents types de chargeurs de véhicules électriques public. Sélectionné en tant que fournisseur de technologie haut de gamme par les plus grandes entreprises mondiales de services publics et l'énergie, Driivz gère la conduite de projets d'innovation dans le domaine de la gestion de l'alimentation et sert de plate-forme technologique dans les domaines de la tarification intelligente, la gestion du réseau, le véhicule à la grille (V2G) et la gestion de flotte. Plus d'informations peuvent être trouvées à www.driivz.com. Source : Renewz Contribution : Martin Archambault La communauté agricole Demeter de Heggelbach, installée près de Sigmaringen, au nord du lac de Constance en Allemagne, inaugure le 18 septembre prochain, dans le cadre d’une « journée portes ouvertes », une ferme solaire agrophotovoltaïque de 194,4 kWc, un projet pilote conçu pour démontrer la faisabilité du concept. Les panneaux solaires sont en effet montés sur des structures hautes de près de 6 mètres, ancrées dans le sol sans béton, avec une inclinaison optimisée établie par simulation pour permettre simultanément une production agricole. Cette expérimentation d’agrophotovoltaïque (APV), qui signifie donc l’utilisation combinée des sols pour la production agricole et la génération d’énergie solaire, est le résultat d’un projet intitulé APV-Resola, dont le lancement concret remonte à mars 2015. Les panneaux solaires utilisés sont des modèles SolarWorld en technologie bifaciale pour exploiter au maximum le rayonnement solaire. Le terrain consacré à l’expérimentation s’étend sur 2,5 ha dont l’installation APV n’occupe que 0,5 ha. L’exploitation de l’ensemble de la parcelle permettra d’effectuer des tests comparatifs en terme de production agricole. Subventionné par le ministère allemand de la recherche, le projet ouvre la voie à l’étude de tous les aspects de la technologie APV (sociopolitique, économique, écologique,…). Parmi les partenaires du projet figurent l’institut Fraunhofer ISE de Fribourg en Allemagne (coordinateur du projet), la communauté agricole Demeter de Heggelbach, l’université de Hohenheim (faculté des sciences agricoles), l’institut KIT-ITAS (évaluation technologique et analyse système) de Karlsruhe, le développeur-installateur PV BayWa r.e., l’énergéticien EWS (ElektrizitätsWerke Schönau) ainsi que des collectivités locales. La construction de l’installation PV a démarré au début de l’été 2016 après le test d’un prototype en mars, la mise en service vient d’être effectuée. Des tests seront maintenant menés jusqu’en mars 2019 afin d’étudier la rentabilité du concept. Le compte-rendu d’expérimentation devrait être disponible en juin 2019 et permettre de fournir un guide susceptible de servir de modèle d’innovation pour des agriculteurs et des énergéticiens, pour la construction de futurs systèmes agrophotovoltaïques. Pour en savoir plus, cliquer ici (en allemand) Source : l'écho du solaire Contribution : Martin Archambault
Les solutions soutenablesrenewz inc. de Montréal, Québec et Boca Raton en Floride annoncent aujourd’hui le lancement de sa nouvelle plateforme abris d’autos “iSun” à énergie solaire. De plus, la compagnie propose désormais aux entrepreneurs et propriétaires de terrains une solution innovatrice à la conception d’abris d’autos à énergie solaire via le web. Dans cette optique, le site web de la compagnie, renewz.com, a été complètement revampé.
En 2013, un groupe d'étudiants d'Eindhoven University of Technology a construit une voiture à énergie solaire pour la course World Solar Challenge, tenue en Australie. Appelé Stella, le véhicule néerlandais a été construit pour ressembler quelque peu à une voiture familiale classique. Aujourd’hui, le groupe - connu sous le nom de l'équipe solaire d’Eindhoven - est de retour avec une voiture améliorée. Tout comme la version précédente, les étudiants affirment que celle-ci produit plus d'énergie qu'elle n’en consomme. Nommé Stella Lux, le nouveau véhicule peut accueillir quatre personnes et offre une autonomie allant jusqu'à 1000 km sur une batterie complètement chargée, selon ElectricAutosport. La voiture tire sa puissance de 381 batteries solaires, qui alimentent une batterie de 15 kilowatts/heure. Stella Lux peut atteindre une vitesse maximale de 125 km/h et décharger l'excès d'énergie dans le réseau – ce qui la rend véritablement une source d'énergie renouvelable sur roues. L’équipe solaire d’Eindhoven participera à nouveau au World Solar Challenge dans la catégorie « Cruiser ». Cette catégorie a été créée pour encourager les équipes à construire des voitures qui ressemblent davantage à celles que conduisent les gens normaux. Contrairement aux minuscules monoplaces généralement vus dans les courses de voitures à énergie solaire, les véhicules de la catégorie Cruiser doivent posséder quatre places ...et même avoir un coffre. Le World Solar Challenge, qui se tient en Australie à partir du 18 octobre, couvre 3000 km entre Darwin et Adélaïde. L’équipe solaire d’Eindhoven a été championne de sa catégorie en 2013 avec la Stella originale. Elle espère cette fois aller plus vite avec le modèle de deuxième génération. Par la suite, l'équipe prévoit partir en tournée avec la voiture aux Pays-Bas, en Chine, et peut-être même aux États-Unis. Source: Green car reports Collaboration: Lisanne Rheault-Leblanc Un tour du monde sous haute surveillance L'installation d'un centre de contrôle qui sera actif 24h/24 a été rendue indispensable par les très longues étapes transocéaniques, au dessus du Pacifique et de l'Atlantique. «Ca ne serait pas indispensable avec les étapes continentales de moins de 24 heures, explique André Borschberg. Car quand on décolle le matin, les prévisions météorologiques sont suffisamment fiables pour ne pas avoir de mauvaise surprise en arrivant le soir. En revanche, avec des vols qui vont durer pendant 5 jours et 5 nuits, la météo étudiée lors du départ ne sera plus du tout assez fiable 5 jours après. Il devient indispensable d'avoir un suivi permanent du vol, et d'adapter le routage avec les météorologistes de l'équipes», qui seront installés en permanence au centre de contrôle. Car avec un fragile avion électrique, uniquement propulsé par l'énergie du soleil, la météo est un paramètre crucial. Quand l'avion décolle le jour, au soleil, il prend de l'altitude et recharge ses batteries pour se préparer à tenir pendant toute la durée de la nuit. «L'avion atteint 9000 mètres d'altitude avant le coucher du soleil, et on passe les premières heures de la nuit en vol plané, jusqu'à redescendre à une altitude de 1500 m, explique Raymond Clerc, directeur du centre de vol de Solar Impulse. Le pilote vole ensuite à cette altitude avec les batteries, jusqu'au lever du soleil, où le temps doit être suffisamment dégagé pour permettre à l'avion de poursuivre son vol avec les panneaux solaires.» Il est possible pour les internautes de suivre en direct le vol de l’avion. Il suffit d’aller voir le site super site de SolarImpulse pour y trouver la page de suivi. Il ne pèse que 2 tonnes Le groupe chimique belge a aussi contribué à la composition des éléments des batteries lithium-ion, afin d'augmenter la quantité d'énergie stockée tout en réduisant la masse. Malgré son envergure géante, l'avion ne pèse qu'un peu plus de 2 tonnes, l'équivalent d'un gros 4×4, dont 600 kg de batteries. Cette masse réduite n'a été possible que grâce à l'utilisation de composites de carbone assemblés à Lausanne par le chantier naval Décision, l'un des meilleurs spécialistes dans le monde des voiliers de course ultralégers. Les bandes de carbones utilisées pour construire la structure de l'avion pèsent seulement 25 g/m2, trois fois moins qu'une feuille de papier d'imprimante, grâce à une technologie utilisée au départ sur les catamarans de course de l'équipe suisse Hydros. Le premier Solar Impulse pouvait déjà en théorie voler indéfiniment, puisqu'il était capable de rester en l'air une nuit entière après avoir rechargé ses batteries au soleil pendant la journée. Mais en pratique, l'engin était limité par l'endurance de son pilote et sa capacité à maintenir la fragile structure en l'air en l'absence de tout système de pilotage automatique. Le plus long vol de Solar Impulse 1 avait ainsi duré 26 heures en juillet 2012, et sa plus longue distance parcourue d'une traite dépassait 1 000 km, à 50 km/h de moyenne. «Avec le premier avion nous avions l'équivalent d'un siège de classe économique, et avec le deuxième, nous avons un bon siège de classe affaires, dans lequel on peut être assis pour piloter, s'allonger pour dormir et même bouger pour faire de l'exercice », raconte André Borschberg. Le Solar Impulse 2 Le premier appareil lancé en 2010 avait prouvé la faisabilité d'un avion propulsé par la seule énergie solaire. L'équipe suisse Solar Impulse a dévoilé son nouvel avion destiné cette fois à boucler le premier tour du monde sans combustible fossile. Mais il est bien difficile de cacher un engin dont l'aile fait 72 mètres d'envergure (soit plus longue que celle d'un Boeing 747). Avec son immense envergure, ses ailes toutes droites et sa structure ultralégère, le Solar Impulse 2 n'est pas bâti pour battre des records de vitesse, mais bien pour voler des heures d'affilée à très haute altitude. Sa seule source d'énergie provient des panneaux solaires qui recouvrent chaque centimètre carré de ses ailes et du haut du fuselage. Ils alimentent en courant quatre petits moteurs électriques, qui font tourner lentement de grandes hélices. La puissance de chaque moteur ne fait que 17,5 ch, l'équivalent de celle d'un scooter, mais l'avion est tellement léger que cela suffit à le faire décoller et grimper jusqu'à 9 000 mètres d'altitude. La nuit, des batteries au lithium prennent le relais en attendant le prochain lever de soleil. «La réduction du poids est l'obsession permanente du programme, et nous a obligés à développer des solutions nouvelles pour réussir à faire voler cet avion », explique avec enthousiasme Claude Michel, responsable du programme Solar Impulse chez Solvay, l'un des principaux partenaires technologiques du projet suisse. «Nous avons notamment développé un polymère qui remplace l'aluminium du vérin du train d'atterrissage et qui permet de faire un gain de masse de 80 % sur cet élément.» Repousser les limites de l'endurance humaine Les deux pilotes de Solar Impulse s'attendent à ce que les vols transocéaniques, au-dessus du Pacifique et de l'Atlantique, puissent durer jusqu'à cinq jours. Sachant que l'avion n'a de place que pour un seul pilote et ne dispose pas d'un véritable pilote automatique, ces vols non-stop pousseront André Borschberg et Bertrand Piccard aux limites de leur endurance. «L'exploit n'aurait aucun sens s'il n'y avait personne aux commandes, c'est avant tout une aventure humaine », explique Bertrand Piccard pour justifier l'absence de pilote automatique. Pour se reposer, les deux hommes prévoient des courtes phases de sommeil de seulement 20 minutes, pendant lesquelles l'avion continuera de voler tout seul sur un cap déterminé. Un rythme qui se rapproche de celui des marins lors des courses à la voile en solitaire, et que Bertrand Piccard a déjà vécu lors de ses tentatives de tour du monde en ballon. Pour des raisons de confort, dans leur cockpit étroit et non pressurisé, ils ne porteront pas en permanence de capteurs corporels, mais seront régulièrement en liaison avec un médecin au centre de contrôle à Monaco. Pour rester vigilants malgré l'immense fatigue, les deux hommes ont chacun leur technique. Bertrand Piccard pratique l'autohypnose, qu'il a développée dans le cadre de son métier de psychiatre. André Borschberg fera de son côté des exercices de yoga, discipline qu'il pratique depuis des années. Un voyage de quelque 35.000 kilomètres autour du monde, en douze étapes, sans aucune goutte de carburant. Un pari insensé que les Suisses Bertrand Piccard et André Borschberg vont enfin relever après quinze années d'efforts et de travail pour mettre au point Solar Impulse 2, leur avion solaire révolutionnaire. Un record symbolique servant de démonstration à la conviction des deux hommes: seul le recours aux énergies renouvelables permettrait de réduire la consommation de combustibles fossiles qui émettent du CO2 et réchauffent l'atmosphère de la planète. Après plusieurs reports successifs à cause de vents contrariants, le décollage de la première étape entre Abu Dhabi et Mascate, à Oman, est désormais prévue pour lundi matin. Une date encore susceptible d'être repoussée si la météo n'est pas favorable. Comme l'avion ne peut emporter qu'un homme à la fois, les deux pilotes se succéderont aux commandes au fil des étapes. Le coût de l'énergie solaire se dirige vers quatre cents par kilowatt-heure Le soleil pourrait être la principale source d'électricité dans le monde au milieu du siècle avec la quantité de nouvelles installations de panneaux photovoltaïques (PV) qui a grimpé à 100 MW par jour, selon deux nouveaux rapports. À la fin de 2013, on retrouvait une capacité de génération de 137 milliards de watts (gigawatts) de panneaux photovoltaïques installés dans le monde. Le rapport prévoit 4 600 GW de capacité photovoltaïque installée d'ici 2050, ce qui permettrait d'éviter l'émission de jusqu'à 4 gigatonnes (Gt) de dioxyde de carbone (CO2) par an. Les nouvelles technologies solaires sont prometteuses Plusieurs technologies sont prêtes à améliorer le rendement des cellules photovoltaïques (PV), la technologie qui transforme les rayons du soleil en électricité. Actuellement, les cellules PV à base de silicium ont un taux d'efficacité d'environ 20%, ce qui signifie que 80% du rayonnement solaire qui frappe un panneau de toit est perdu. Le MIT, quant à lui, a publié un rapport sur un nouveau matériau qui pourrait être idéal pour convertir l'énergie solaire en chaleur en réglant le spectre du matériau d'absorption juste au bon niveau. Le nouveau matériau convertit d'abord l'énergie du soleil en chaleur, ce qui le fait briller. Par la suite, la lumière peut, à son tour, être convertie en un courant électrique. Le MIT n'est pas le seul à développer de nouveaux matériaux photovoltaïques, plus efficaces. Ohio State University a annoncé ce qu’ils appellent la première batterie solaire du monde. Yiying Wu, professeur de chimie et de biochimie à l'Ohio State, a déclaré que la combinaison batterie / cellules photovoltaïque permettrait de réduire le coût des systèmes d'énergie solaires de 25% au fil du temps. On utilise un panneau solaire pour capter la lumière, et ensuite une batterie pas cher pour stocker l'énergie", a déclaré Wu dans le rapport. «Nous avons intégré les deux fonctions en un seul appareil. Chaque fois que vous pouvez faire cela, vous réduisez les coûts." Source: Computerworld
Contribution: Dany Labrecque, membre AVÉQ NOTE : Cet article est une version résumée de l’original. Esteban VII est arrivé en quatrième position à l’American Solar Challenge. C’est la première fois depuis 2003 qu’une équipe canadienne obtient un tel résultat, ont souligné jeudi les membres de l’équipe, tout juste revenus des États-Unis. Si l’équipe québécoise a obtenu un tel résultat, c’est qu’elle est enfin arrivée à résoudre la principale faiblesse du prototype: son poids. «En 2012, on avait les meilleurs panneaux solaires, mais la voiture était trop lourde. Notre vitesse de croisière était alors limitée à 35-40km/h», a expliqué Gabriel Brassard, directeur du projet. En utilisant de nouveaux matériaux composites, le poids d’Esteban VII est passé de 424kg à 290kg, pilote compris. Ce poids réduit, couplé à une géométrie plus agressive a permis d’atteindre une vitesse de croisière de 75km/h. La compétition de 2700km qui consiste à relier Austin à Minneapolis regroupait 21 universités en provenance de quatre pays. La moitié seulement ont passé le cap des qualifications et huit équipes ont rejoint la ligne d’arrivée au terme de huit jours sur la route, riches en rebondissements. «Lors de la période de qualifications, qui dure trois jours sur le circuit de Formule 1 d’Austin, on a cassé un de nos deux moteurs-roue. Heureusement, l’université de Berkley, qui n’a pu se qualifier à cause de problèmes électriques, nous a prêté les leurs», a raconté Manuel Ponce-Julien, responsable de l’équipe mécanique. La suite de la course consistait à traverser les États-Unis du Sud au Nord. Cela représente neuf fois le trajet Montréal-Québec. Pour la cinquième compétition consécutive, c’est l’université du Michigan qui a remporté les honneurs, devançant de quatre heures la deuxième équipe et de 12 heures l’école Polytechnique. «Eux disposent d’un budget de 2M$ à 3M$, soit dix fois plus que nous. Et ils se font fabriquer leurs pièces, alors que de notre côté, on a la fierté de tout fabriquer nous-mêmes», a souligné Vincent Gariépy, directeur de la logistique. L’École de technologie supérieure (ETS), qui faisait elle aussi partie des dix équipes qualifiées, a finalement décidé de ne pas participer aux épreuves sur route à cause de pépins techniques. Toutes nos félicitations aux équipes québécoises!! Questions des jeunes L’équipe d’Esteban VII avait invité près de 200 jeunes issus de camps de jour à venir assister à sa présentation. Voici certaines de leurs questions: Q: Ça consomme beaucoup d’énergie? R: À peu près autant qu’un sèche-cheveux Q: Y a-t-il eu des accidents? R: Non, mais une auto a pris feu pendant la recharge. Il n’y a pas eu de blessés. Q: Vous arrêtiez-vous au McDo pour manger? R: (sourire) Non, mais nos sandwichs ont été élus les meilleurs de la compétition! Source: Métro Selon les dernières données du US Energy Information Administration (EIA), l'énergie renouvelable connait un essor sans précédent aux États-Unis présentement, alors que l'augmentation de l'approvisionnement en éolien et en solaire ainsi que de la géothermie et biomasse dépasse l'apport en l'énergie de source hydro. On estime que d'ici 2040, l'énergie renouvelable offrira le double de production des sources hydro.
On remarque un changement important par les États s'approvisionnant en électricité principalement de sources polluantes tel le charbon prendre le virage vert, ce qui permettra de diminuer les émissions de gaz à effet de serre dans ce pays de 314 millions de population. L'impact sera bénéfique aussi pour les transports écologiques, alors qu'on s'attend à un changement de mentalité des opposants aux VÉ s'approvisionnant en électricité de sources polluantes. Source: EV News Report Ecosphere Technologies, un fabriquant américain de produits technologiques, a annoncé la réalisation du premier Ecos PowerCube. Ce dernier est essentiellement un conteneur qui se transforme en centrale électrique portative alimentée par de l’énergie hybride solaire-éolienne emmagasinée dans des batteries. Le Ecos PowerCube fonctionne avec des panneaux photovoltaïques haute performance qui se déploient tout autour du conteneur. Le tout accompagné d’une turbine éolienne facile à installer. L’énergie produite est emmagasinée dans des batteries situées à l’intérieur du conteneur. Selon les informations contenues dans le site web de la compagnie, le Ecos PowerCube a été fabriqué pour produire de l’énergie et de l’eau potable pour les gens habitant en régions éloignées ou en régions sauvages. Ce conteneur est disponible en 3 grandeurs de standard ISO allant de 3, 6 et 12 mètres. Afin de rendre leur installation simple et facile, les panneaux solaires brevetés sont montés sur des rouleaux cylindriques et supportés par des vérins hydrauliques qui facilitent leur positionnement. Selon le Directeur et Stratège en produits chez Ecosphere Technologies, Monsieur Dean Becker : « Cette nouvelle technologie d’énergie solaire brevetée a le potentiel de devenir l’innovation la plus importante de notre génération. La compagnie est prête à faire des démonstrations de sa nouvelle technologie et souhaite s’associer à des partenaires dans toutes les sphères de l’industrie afin de rentabiliser cet atout unique. » Une fois à destination. Le PowerCube peut être déployé sur-le-champ et génèrera immédiatement jusqu’à 15KW d’électricité. Cette électricité peut être utilisée pour alimenter différents systèmes comme des systèmes de communication, de traitement des eaux usées et également un réseau de distribution d’eau. Ce système peut également alimenter un réseau Internet, satellite, eau potable et fournir tous les besoins fondamentaux de la vie courante. L’électricité produite peut également être utilisée pour alimenter des hôpitaux et des écoles. Selon le Président du conseil et Chef de la direction de Ecosphere Technologies et inventeur du Ecos Powercube, Monsieur Dennis McGuire : « Notre compagnie a travaillé d’arrachepied afin de concevoir, réaliser et breveter nos Ecos PowerCube. Au plan technologique, nous croyons que d’annoncer que nous avons complété un système d’alimentation électrique renouvelable et très mobile sera une étape importante pour notre compagnie. » Source : The Daily Fusion
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Depuis sa création en mars 2012, la montréalaise Renewz passe à la vitesse supérieure. Cette entreprise de quatre salariés développe pour les voitures électriques (VE) des abris intégrant des panneaux solaires sur le toit. Le fondateur, Sass Peress, n'en est pas à son coup d'essai : il avait fondé la première usine de panneaux solaires au Québec dans les années 2000, avant de construire des abris solaires pour GM. «Je suis allé chercher en Europe les technologies de pointe dans l'électrification des transports et les énergies renouvelables, et j'ai acquis les droits de représentation exclusifs d'un fabricant pour l'Amérique du Nord», explique-t-il. Il travaille surtout avec les bornes électriques Eaton, mais son système est adaptable pour les autres fabricants produisant des bornes intelligentes.
Pour l'instant, Renewz a installé sept abris solaires au Canada et aux États-Unis, et espère percer le marché québécois. «La difficulté, c'est qu'il n'y a pas encore assez de voitures électriques. Mais avec les nouveaux modèles de VE qui arrivent cet automne au Québec, chez des constructeurs comme GM ou Kia, ainsi que le prix de l'essence qui devrait encore monter, ça devient plus rentable ! Sans oublier qu'en 2015, le prix des VE devrait baisser», dit-il.
Pour l'instant, Renewz a installé sept abris solaires au Canada et aux États-Unis, et espère percer le marché québécois. «La difficulté, c'est qu'il n'y a pas encore assez de voitures électriques. Mais avec les nouveaux modèles de VE qui arrivent cet automne au Québec, chez des constructeurs comme GM ou Kia, ainsi que le prix de l'essence qui devrait encore monter, ça devient plus rentable ! Sans oublier qu'en 2015, le prix des VE devrait baisser», dit-il.
Parcourir 20 000 km par an
Sa cible ? Les entreprises, les organismes gouvernementaux, les universités et les concessionnaires de VE. «L'installation complète du dispositif pour deux voitures, comprenant les bornes, la prise solaire, les panneaux, les permis, l'ingénierie, coûte près de 70 000 $», explique l'entrepreneur. En Ontario, les consommateurs peuvent même revendre l'énergie produite en surplus par les panneaux solaires aux fournisseurs d'énergie. Au Québec, cependant, cela n'est pas possible. «Cela demeure tout de même rentable pour les entreprises qui souhaitent réduire leurs coûts, puisqu'en améliorant leur efficacité énergétique, elles réduisent leur demande d'énergie sur les réseaux.»
D'après ses calculs, un abri solaire de deux bornes fournirait l'énergie nécessaire pour faire rouler deux voitures sur 20 000 km chaque année. «Nous discutons avec des fabricants automobiles qui se montrent intéressés par nos produits», dit M. Peress, sans pour autant vouloir les nommer. Des discussions seraient également en cours avec deux universités canadiennes.
Vers le partage d'énergie
Depuis quelques mois, Renewz a acquis les droits exclusifs pour tout le Canada d'une technologie prometteuse, Vehicle to Grid (V2G), ou véhicule électrique au service du réseau, développée par l'université du Delaware (États-Unis). «Grâce à cette technologie, un propriétaire de VE pourrait décider de revendre non pas l'électricité au kWh, mais la capacité de fournir de l'énergie au réseau», souligne Sass Peress. Avec ce système, finies les pointes de consommation aux heures les plus achalandées. Le partage d'énergie permettrait à la fois de réduire la consommation énergétique d'un parc et de protéger les réseaux en limitant les pics de consommation.
«En fonction de ce que le propriétaire du VE programme sur le système intelligent, le réseau peut tirer de l'énergie selon un algorithme très précis qui protège à la fois votre capacité à réaliser le prochain voyage, ainsi que la batterie de la voiture», fait valoir M. Peress.
Ce retour de l'énergie au réseau ouvrirait aussi tout un champ de nouvelles possibilités : «Des tests sont en cours au Danemark, aux États-Unis et à Hong Kong, où le réseau paie chaque mois le propriétaire de la VE pour la durée d'accès qu'il donne à son stockage d'énergie. Au Danemark, les utilisateurs de VE peuvent même se faire payer leur voiture en sept ans grâce à cette technologie», ajoute-t-il. Cette nouveauté pourrait être intégrée prochainement sur les bornes de recharge standard proposées par un partenaire de Renewz, dont le nom demeure pour l'instant confidentiel. Sa commercialisation pourrait intervenir d'ici 2015.
Source: Les Affaires
Sa cible ? Les entreprises, les organismes gouvernementaux, les universités et les concessionnaires de VE. «L'installation complète du dispositif pour deux voitures, comprenant les bornes, la prise solaire, les panneaux, les permis, l'ingénierie, coûte près de 70 000 $», explique l'entrepreneur. En Ontario, les consommateurs peuvent même revendre l'énergie produite en surplus par les panneaux solaires aux fournisseurs d'énergie. Au Québec, cependant, cela n'est pas possible. «Cela demeure tout de même rentable pour les entreprises qui souhaitent réduire leurs coûts, puisqu'en améliorant leur efficacité énergétique, elles réduisent leur demande d'énergie sur les réseaux.»
D'après ses calculs, un abri solaire de deux bornes fournirait l'énergie nécessaire pour faire rouler deux voitures sur 20 000 km chaque année. «Nous discutons avec des fabricants automobiles qui se montrent intéressés par nos produits», dit M. Peress, sans pour autant vouloir les nommer. Des discussions seraient également en cours avec deux universités canadiennes.
Vers le partage d'énergie
Depuis quelques mois, Renewz a acquis les droits exclusifs pour tout le Canada d'une technologie prometteuse, Vehicle to Grid (V2G), ou véhicule électrique au service du réseau, développée par l'université du Delaware (États-Unis). «Grâce à cette technologie, un propriétaire de VE pourrait décider de revendre non pas l'électricité au kWh, mais la capacité de fournir de l'énergie au réseau», souligne Sass Peress. Avec ce système, finies les pointes de consommation aux heures les plus achalandées. Le partage d'énergie permettrait à la fois de réduire la consommation énergétique d'un parc et de protéger les réseaux en limitant les pics de consommation.
«En fonction de ce que le propriétaire du VE programme sur le système intelligent, le réseau peut tirer de l'énergie selon un algorithme très précis qui protège à la fois votre capacité à réaliser le prochain voyage, ainsi que la batterie de la voiture», fait valoir M. Peress.
Ce retour de l'énergie au réseau ouvrirait aussi tout un champ de nouvelles possibilités : «Des tests sont en cours au Danemark, aux États-Unis et à Hong Kong, où le réseau paie chaque mois le propriétaire de la VE pour la durée d'accès qu'il donne à son stockage d'énergie. Au Danemark, les utilisateurs de VE peuvent même se faire payer leur voiture en sept ans grâce à cette technologie», ajoute-t-il. Cette nouveauté pourrait être intégrée prochainement sur les bornes de recharge standard proposées par un partenaire de Renewz, dont le nom demeure pour l'instant confidentiel. Sa commercialisation pourrait intervenir d'ici 2015.
Source: Les Affaires
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