C'est en conférence de presse qui avait lieu ce matin à Rimouski que la direction du Carrefour Rimouski a profité de cet événement pour procéder au dévoilement d'une borne de recharge public . Il s'agit d'une première borne de recharge du RéseauVer d'AddÉnergie Technologies dans l'Est-du-Québec. AddÉnergie est le partenaire qui gère le réseau des bornes de recharge d'Ivanhoé Cambridge, société propriétaire du Carrefour Rimouski et plusieurs autres centres d'achat au Québec. M. Louis Tremblay, Président d'AddÉnergie Technologies a d'ailleurs mentionné que son entreprise tentera d'accroître la présence du RéseauVer dans l'Est-du-Québec au cours de la prochaine année. La direction du Carrefour Rimouski a tenu à mentionner qu'il était important pour l'entreprise de répondre à ce besoin qu'il leur avait été adressé et qu'il n'hésiterait pas à procéder à l'ajout de bornes de recharge additionnelles dans le futur. La direction a aussi mentionné qu'elle espère que l'installation de cette première borne public incitera d'autres entreprises privés de Rimouski à faire de même. Pour accroître la portée de ce geste qui contribue au développement d'un réseau de borne de recharge dans notre région, le Carrefour Rimouski a même décidé d'offrir la gratuité de la borne de recharge jusqu'en avril 2014. Pour sa part, lors de son allocution, le maire de Rimouski, M. Éric Forest, a tenu des propos forts intéressants en prenant le temps de mentionner l'importance des bornes de recharges dans notre ville afin de pouvoir y attirer les visiteurs. Un discours qui démontre que M. Forest connait bien ce dossier. Pour le bénéfice de nos membres, nous tenons à spécifier que la région de Rimouski était déjà munie d'une borne public du réseau SunCountryHighway/ÉcoRouteQuébec depuis plus d'un an hors malheureusement, il semble que le dévoilement médiatique de cette dernière ait échappé aux journalistes de la région. C'est un membre de l'AVEQ qui leur a appris ce matin la présence de cette dernière dans le stationnement de l'hôtel L'empress. Ce qui a d'ailleurs grandement surpris un journaliste de Radio-Canada qui s'est empressé de prendre certaines notes au sujet du réseau EcoRouteQuébec puisque M. Tremblay avait seulement fait mention du circuit RéseauVer de son entreprise ainsi que de celui du Circuit Électrique d'Hydro-Québec et ses partenaires. À moins d'informations inconnues de l'AVEQ, la prochaine borne dévoilée publiquement devrait être celle du bureau touristique de Rimouski et du restaurant St-Hubert qui offriront une borne du Circuit Électrique.
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Par Marianne Papillon, Représentante régionale AVÉQ pour la Gaspésie - Îles-de-la-Madeleine Il n’y a rien de nouveau à venir aux Îles pour y recharger ses batteries. Mais recharger sa batterie de voiture électrique pendant qu’on se la coule douce aux Îles, est-ce commun? Victimes des changements climatiques, les Îles-de-la-Madeleine n’auraient-elles pas un rôle à jouer dans l’électrification des transports au Québec? Réflexion sur le déploiement de bornes de recharge en milieu insulaire en 11 questions & réponses. 1) Existe-t-il des bornes de recharge aux Îles-de-la-Madeleine? Non, nous n’avons présentement aucune infrastructure accessible au public pour accueillir les visiteurs en véhicule électrique (VÉ) ni pour supporter les citoyens qui opteraient pour l’achat d’un VÉ. 2) Alors que font les voyageurs propriétaires de VÉ aux Îles? Ils doivent utiliser une prise résidentielle (110V, temps de recharge de 12-16h), la leur ou celle d’un particulier après entente. Ceci peut décourager les utilisateurs de VÉ à choisir les Îles-de-la-Madeleine comme destination. Et les utilisateurs locaux potentiels, faute d’un réseau de recharge adéquat, se tourneront plutôt vers le véhicule à essence. 3) Quelle est l’autonomie de route des VÉ? Variant selon le modèle et l’année, les VÉ ont une autonomie de 100 à 500 km. Par contre, s’il fait froid, si le vent est contraire, si le relief est accidenté ou encore si la vitesse de conduite est élevée, la pile se déchargera plus vite. À noter qu’il en est de même pour les véhicules à combustion qui consomment alors davantage d’essence. L’archipel des Îles-de-la-Madeleine fait environ 90 km d’Est en Ouest. Les petites distances à parcourir pour couvrir l’Île en font un lieu de prédilection pour le développement du transport électrique. 4) Oui, mais l’électricité polluante des Îles-de-la-Madeleine (produite par centrale thermique au mazout) n’annule-t-elle pas les gains environnementaux du VÉ? Un véhicule doté d’un moteur électrique est efficace à 94 % en comparaison à 20 à 35 % pour un véhicule à combustion. Ainsi, l’énergie consommée par le véhicule à combustion est perdue de 65 à 80 %, celle-ci n’étant pas récupérée pour la propulsion même du véhicule. Cette énergie gaspillée s’échappe donc sous différentes formes, soit en chaleur, friction ou combustion incomplète des hydrocarbures. Ainsi, même si un VÉ est alimenté par une centrale au mazout (où les pertes énergétiques sont d’environ 60%), il n’en demeure pas moins que son utilisation est plus avantageuse au niveau des GES que la plupart des véhicules actuellement en circulation. Voici une adaptation libre du graphique de Pierre Langlois («Rouler sans pétrole») qui illustre qu’en rechargeant une voiture électrique avec une centrale au mazout on n’émet pas plus de CO2 qu’une voiture qui consommerait 5 litres/100 km. Dans ce graphique, les émissions sont calculées de la terre aux roues pour une voiture électrique rechargée dans différentes centrales. Les lignes horizontales indiquent les émissions pour différents types de véhicule à essence. 5) Et qu’adviendrait-il si la centrale au mazout était convertie? Dans le cas où la centrale actuelle serait bonifiée ou convertie, la production d’électricité émettrait moins de CO2 et le gain environnemental du VÉ augmenterait d’autant. Ex: avec le couplage éolien, la biométhanisation ou la biomasse ou encore en la convertissant au gaz naturel, les émissions de la centrale pourraient diminuer du quart. Avec un câble électrique sous-marin permettant aux Îles d’être alimentées par hydro-électricité, les émissions seraient pratiquement nulles et, conséquemment, celles du VÉ aussi. Ce faisant, le développement du réseau électrique de transport agirait comme un incitatif sur les instances, comme le Ministère des ressources naturelles ou Hydro-Québec, pour rendre la centrale moins polluante. C’est une façon d’induire l’offre et la demande vers une réduction de notre dépendance au pétrole et vers la réduction de nos émissions de GES. 6) Mais les piles, ne sont-elles pas source de pollution? Lorsqu’elles est changée après 8 à 14 ans, la batterie peut être réutilisée à d’autres fins (ex: raccordée à un panneau solaire) ou encore ses composantes peuvent être recyclées. En vérité, le cycle de vie du VÉ est avantageux pour un milieu insulaire comme le nôtre. En effet, elle contient beaucoup moins de composantes, donc moins de pièces à changer et à faire venir, moins de transport, moins de fluides (ex: aucun changement d’huile, pas de ligne à frein, etc.) et ainsi moins de déchet à exporter et moins de contamination possible. 7) Y aurait-il d’autres avantages locaux à développer un réseau de bornes de recharge? Oui! Il y a certainement des avantages au niveau de l’image des commerces et institutions offrant ce service. Économiquement, il peut être intéressant pour certaines entreprises ou organismes d’attirer une clientèle de cette façon. En effet, cette clientèle plutôt aisée dispose habituellement d’un plus grand budget pour les achats locaux étant donné que moins d’argent est investi au carburant. Elle dispose aussi de plus de temps sur les lieux de la recharge, ce qui la prédispose à consommer localement pendant cette période. La visite de cette clientèle éco-responsable serait profitable à notre industrie touristique et à notre communauté. Les utilisateurs de voiture électrique voyagent autrement, la notion de "tourisme électrique" commence d’ailleurs à se développer. L’expérience de recharge est une nouvelle niche à exploiter. Cette clientèle pourrait apprécier de faire la croisière à partir de Mtl; elle éviterait la longue route fragmentée par les multiples périodes de recharge et profiterait d’un temps de qualité aux Îles où une infrastructure électrique pourrait l’accommoder. Le VÉ ne fait pas de bruit, le saviez-vous? La pollution sonore en serait donc diminuée. Aux Îles-de-la-Madeleine, nous avons beaucoup à gagner à développer une infrastructure supportant l’écotourisme. 8) N’existe-t-il pas déjà un projet de réseau public de bornes de recharge?Un programme d‘électrification des transports au Québec est en plein développement mais l’installation de bornes dans les régions éloignées ou isolées ne fait pas partie des priorités annoncées. Le Circuit électrique est le circuit officiel d’Hydro-Québec, il est établi en partenariat avec des organismes et entreprises privées (PJC, Rona, CAA, municipalités, etc.). Le Circuit électrique offre la recharge à 240 V, mais il ne dessert pas l’Est du Québec actuellement. Leurs bornes proviennent de l’entreprise québécoise ADDénergie au coût d’environ 6000$ et nécessitent des frais de branchement annuels. L’électricité est facturée au propriétaire du VÉ au coût de 2,50$/recharge, payable par carte prépayée de 10$. Leur site web permet de trouver la borne disponible la plus proche. Les municipalités ont été interpellées par le gouvernement pour participer au développement de ce réseau de bornes, elles sont d’ailleurs obligées de commander leurs bornes auprès de ce fournisseur si elles décident d’offrir un service de recharge. Écoroute Québec est une entreprise privée de borne de recharge. Elle développe un réseau transcanadien et est présentement en période de recherche pour se déployer dans l’Est du Canada (Déjà 5 bornes en Gaspésie et 40 au N.-B., 18 à l’I.P.É., 17 en N.-É. et 8 à T.-N.-L.). Elle projette actuellement d’installer des bornes aux Îles-de-la-Madeleine. Leur approche est de vendre des bornes de 40A (240V) à plus faible prix (1500$) mais sans frais d’accès annuel. Les propriétaires de ce type de borne offrent alors gratuitement l’électricité à leurs clients, ce qui permet d’attirer une nouvelle clientèle et de la fidéliser. Écoroute se charge de publiciser les lieux de recharge sur son site. 9) Quelle serait la meilleure stratégie de déploiement de bornes de recharge aux Îles-de-la-Madeleine? Nous devons identifier des solutions locales qui sont adaptées à notre réalité géographique, démographique et énergétique. À ce stade-ci, nul besoin de déployer un réseau coûteux et abondant pour une clientèle pratiquement encore inexistante, mais l’autonomie de route avec un VÉ devrait être garantie dès maintenant sur tout l’archipel pour assurer la sécurité des usagers et pour soutenir les efforts d’électrification des transports du Québec et des Maritimes. Il faudrait probablement environ 5 bornes accessibles au public pour une infrastructure fonctionnelle aux Îles. Elles devraient être d’au moins 240V pour permettre une recharge suffisamment rapide (2-4h). L’expérience de recharge devrait être positive, donc dans des lieux accessibles à l’année, avec possibilité de restauration et de divertissement (visites culturelles, plein air, commerces, etc.). C’est dans l’Est de l’archipel que l’autonomie est la plus importante à assurer étant donné la distance de 60 km à partir du centre, mais l’île centrale et l’Ouest devraient aussi être desservis. Si elles répondent à nos besoins, les opportunités actuelles (voir ci-bas) doivent être rapidement saisies. Cette démarche sera plus profitable si elle est faite en concertation avec le milieu, mais toute initiative personnelle ou privée devrait être soutenue dès maintenant. D’éventuels candidats aux élections municipales ou provinciales pourraient proposer de supporter un tel projet, c’est à souhaiter. Cependant, nous aurions tort de les attendre pour avancer. La borne de recharge électrique aux Îles-de-la-Madeleine est un projet à portée de main pour tous ceux qui désirent soutenir le virage vert. À nous de saisir cette occasion. 10) Quels sont les incitatifs financiers si je désire installer une borne ou m’acheter un VÉ? Les habitants des Îles-de-la-Madeleine, entreprises, organismes et municipalités peuvent bénéficier des mêmes incitatifs qu’ailleurs au Québec en souscrivant au Programme "Roulez électrique". Jusqu’au 31 décembre 2013, le rabais accordé à l’achat d’un VÉ est de 8 000 $ (diminuant à 4000$ en 2014) (guide d’achat disponible ici). Le programme inclut également une aide financière pour l’achat et l’installation de bornes de recharge de 240 volts (1000$ ou 50% de rabais). Le projet "400 VE pour le Québec" propose aux entreprises, aux municipalités, aux ministères et aux organismes de se regrouper afin de procéder à l’acquisition par appel d’offre de 400 véhicules électriques ou hybrides rechargeables à usage professionnel. La participation à ce projet rend aussi admissibles au programme "Roulez électrique". 11) Je suis intéressé à acquérir et/ou installer une borne de recharge aux Îles-de-la-Madeleine, que dois-je faire? Contactez-moi au marianne@aveq.ca ! De l’information supplémentaire pourra vous être acheminée (l’essentiel est ici). Des rencontres de concertation pourraient aussi s’organiser sous peu. Enfin, la visite d’un représentant de borne s’organise pour effectuer des rencontres individuelles et un achat de groupe. Laissez-moi un commentaire ci-bas. À bientôt! D’autres questions? Ou des réponses différentes des miennes? Merci de m’en faire part dans les commentaires. La discussion est lancée! Source: http://mpapillon.wordpress.com/2013/10/07/recharger-sa-batterie-aux-iles-de-la-madeleine/ ADDENDUM: Pour ceux qui peuvent venir faire un tour, Kent Rathwell sera à l'Hotel Mortagne dès 8h30 lundi matin pour ensuite partir vers 9h30-10h en direction de Toronto tel qu'indiqué dans le PDF. Venez vous joindre à nous! On y sera pour le rencontrer, et le remercier de sa généreuse contribution pour son autoroute électrique canadien! Sun Country Highway et Éco Route Québec mettent en service des nouvelles bornes de recharge publiques le long du corridor de l’autoroute 401, un segment routier parmi les plus achalandés en Amérique du nord et des plus parcourus mondialement. Cette nouvelle infrastructure de recharge de Niveau 2, la plus puissante sur le marché, compte plus de 20 stations avec des distances variant entre 50 et 98 kilomètres entre chacune d’elles. Dans le cadre de l’initiative d’électrifier les routes du pays, 17 partenaires municipaux, d’affaires et d’entreprises de services publics participeront au lancement de ce nouveau corridor. Dès lundi, des représentants de l’entreprise vont parcourir le trajet entre Montréal et Détroit au volant de la Tesla Roadster, la Tesla Model S, la Chevrolet Volt et la van Vtrux, la première fourgonnette électrique disponible au Canada. 17 arrêts sont prévus afin de célébrer cet accomplissement tout en faisant la promotion de l’écotourisme et du développement économique, social et environnemental soutenu. « Il s'agit d'une réalisation remarquable pour le Canada. La 401 est l'autoroute la plus achalandée en Amérique du Nord et dorénavant les voyageurs d'affaires et les écotouristes auront la possibilité de voyager sans émission de CO2 - un grand pas vers un avenir plus durable » – Kent Rathwell, président. Les bornes de recharge de SCH et d’Éco Route Québec offrent la recharge gratuite, l’électricité étant offerte par les partenaires du réseau. Du type « Branchez & Chargez », aucune carte d’accès n’est requise pour utiliser les équipements. « L’installation de ces bornes marque un tournant dans la façon dont les gens vont se déplacer à l'avenir, tout en faisant la promotion du transport durable à travers le centre économique du Canada et des États-Unis. Le développement de ce réseau de Niveau 2 le plus rapide fait partie de notre objectif d’électrifier 90 % des routes du Canada cette année, facilitant les déplacements en véhicule électrique. » – Christopher Misch, vice-président. Quand: lundi 7 octobre au jeudi 10 octobre 2013 Quoi: Événements de presse et inauguration du réseau de Niveau 2 les plus rapides avec les véhicules: Tesla Roadster, Tesla Model S, Volt et VTRUX Qui: Les partenaires d’affaires, les élus municipaux et les représentants de Sun Country Highway / Éco Route Québec seront disponibles pour des entrevues et des sessions de photo. Les détails du trajet sont indiqués dans le document PDF Renseignement corporatif Sun Country Highway est une compagnie 100 % canadienne, fournissant des produits et des services pour soutenir l'industrie des véhicules électriques. Notre mission est de développer l'infrastructure nécessaire pour permettre aux Canadiens de conduire leurs VÉ, d'un océan à l'autre en fournissant la technologie de recharge la plus puissante sur le marché. Opérant depuis 1993, notre partenaire technologique américain est le plus grand fournisseur de produits EVSE au monde. Ensemble, nous avons vendu et installé plus de bornes de recharge que tous les concurrents réunis. D’ailleurs, sous les marques de Sun Country Highway et Éco Route Québec, nos produits nous permettent d’être la seule entreprise sur le marché à offrir les bornes Niveau 2 les plus puissantes allant jusqu’à 100 ampères. Leader Canadien de la recharge de véhicules électriques, AddÉnergie est heureuse d’annoncer qu’elle vient de franchir la barre symbolique des 500 bornes de recharge sous gestion. L’entreprise de Québec dépasse ainsi les objectifs qu’elle s’était fixé, il y a tout juste 2 ans, alors qu’elle venait d’obtenir la certification officielle de sa borne de recharge SmartTWO™, une étape majeure dans son processus de développement et un passage obligé pour déclencher le lancement commercial de son produit phare sur le marché Canadien. Le seuil des 1 000 bornes dès juin 2014… En ayant réussi à déployer un réseau de 500 bornes de recharge dans ses deux premières années de commercialisation alors que le marché est encore émergent, le président de l’entreprise, Louis Tremblay, s’appuie sur les prévisions d’augmentation des ventes de voitures électriques prévues par les constructeurs et les principaux analystes du secteur et annonce avec confiance : « Si on se fie à notre carnet de commandes et aux prévisions de nos partenaires commerciaux, nous prévoyons maintenant, de manière réaliste, doubler ce nombre en moins de 9 mois et visons avoir plus de 1000 bornes sous gestion partout au Canada à l’horizon juin 2014« . Un seuil symbolique certes, mais pas uniquement. Un tel déploiement permet surtout de garantir une plus grande autonomie pour les propriétaires ou futurs acquéreurs de voitures électriques en assurant une couverture territoriale de plus en plus maillée. Quand on sait que l’infrastructure de bornes de recharge est le point critique dans leur décision d’achat, la vitesse de déploiement du réseau est devenu un enjeu majeur pour l’industrie du véhicule électrique au Canada et AddÉnergie s’emploie au quotidien pour rencontrer les exigences de sa clientèle. …puis l’exportation comme relais de croissance La croissance du réseau de bornes d’AddÉnergie, le RéseauVER, sur les marchés de l’Ontario et du Nouveau-Brunswick laisse croire que rien n’est impossible pour la jeune entreprise de Québec. La PME qui connait une croissance fulgurante depuis ses débuts n’entend pas en rester là. Et son président, appuyé par une équipe dynamique et engagée, compte bien poursuivre sur cette lancée et envisage, dans un délai pas si lointain, de traverser les frontières du Canada ! La belle ville de Surrey en Colombie-Britannique prend le taureau par les cornes, en ayant instauré un règlement municipal forçant les pétrolières voulant de nouvelles stations service sur son territoire d'offrir aussi au moins un des carburants alternatifs suivants:
Cette dernière peut être installée à une location différente de la station-service, puisqu'on reconnait l'importance stratégique des points de recharge à haute vitesse, qui doivent être placés le long d'autoroutes afin de permettre le transport inter-cité sans bousculer les habitudes des automobilistes ayant opté pour un véhicule électrique. La ville de Richmond BC a aussi l'intention de promouvoir les énergies alternatives dans les stations-service en calquant le règlement de Surrey. Des propositions de politiciens pleines de bon sens, que l'on espère voir suggérées par le gouvernement lors de son point de presse sur l'électrification des transports cet automne, à la fin octobre selon nos sources. Kent Rathwell, personnage énigmatique de l'Ouest Canadien, propriétaire d'une compagnie très profitable de graines pour oiseaux "Sun Country Farms", et d'une compagnie de distribution de bornes de recharge électrique "Sun Country Highway". Il voulait électrifier le Canada d'un océan à l'autre en un an, il l'a accompli en 8 mois. Il est l'importateur officiel des camionnettes électriques Via Motors pour notre pays, et espère leur gain en popularité dès leur mise en vente cet automne. Un interview très intéressant pour en apprendre plus sur l'homme qui a créé le plus long autoroute électrique au monde! Le guide d'achat pour les bornes de recharge pour votre domicile, votre commerce ou votre municipalité est enfin en ligne. On y aborde les coûts liés à la recharge, et une section sur les différences des bornes en réseau comparé aux bornes simples.
On y explique aussi pourquoi les bornes à haut ampérage ne sont pas toujours la meilleure solution pour les commerces, même si elles sont préférées par les propriétaires de Tesla. Comme toujours, nous vous invitons à lire le guide et nous faire part de vos commentaires afin que l'on puisse livrer un guide qui sera une référence au Québec. Mise-à-jour: Le guide d'installation pour villes et municipalités est en ligne. Il est plutôt court dû aux nouveaux règlements qui met de l'avant le fait que les municipalités ne possèdent pas les compétences nécessaires pour choisir eux-même les bornes qu'ils jugent suffisantes à leurs besoins. On annonçait aujourd'hui que le Circuit Électrique a dépassé le cap du 1000 membres. C'est une belle réussite, surtout du fait que ces membres ont commencé à plus utiliser les 200 bornes en opération. À pareille date l'an dernier, M. Desgagné mentionnait que le réseau connaissait un départ très lent, et reconnaissait avec un certain malaise que chaque borne était utilisée en moyenne 2 fois par mois. Chaque borne est vendue 5000$ à un commerçant ou une ville, en plus de l'installation et des frais de réseau. La facture peut devenir salée très rapidement: la ville de Trois-Rivières, propriétaire d'une borne du circuit de AddÉnergie, nous a mentionné qu'elle leur aura coûté près de 30000$ avec l'installation et autres frais. C'est le prix d'une borne L3! Un an plus tard, on est fier d'annoncer près de 650 recharges pendant le seul mois d'août sur le réseau d'Hydro-Québec.
Nous continuons à croire que les bornes de recharge, peu importe leur réseau, doivent être utilisées beaucoup plus souvent afin de débuter une conversation entre propriétaire de VÉ et le public en général. Les gens sont curieux, et il faut pouvoir leur démontrer que de posséder un véhicule électrique n'est pas compliqué. Les propriétaires de VÉ sont des ambassadeurs de l'électrification des transports, sans même le vouloir. Autant utiliser cette force pour atteindre les objectifs gouvernementaux, que nous devrions voir comme un projet de société unificateur. Une tarification gratuite pour les premières minutes d'utilisation, suivi d'un coût horaire au lieu du coût fixe présentement, permettrait une utilisation plus fréquente des bornes du réseau provincial. Si les gens communiquent VÉ entre eux, il se créera un engouement plus important que maintenant. Si on veut des bornes plus utilisées, afin de démontrer aux Québécois le sérieux du choix d'un véhicule électrique dans notre province, on doit:
Nous avons l'énergie électrique la plus propre et efficace au monde. Par contre, en ce qui concerne les VÉ, nous sommes bons derniers.
Ça ne devrait pas être un secret que de mentionner au public que les bornes deviendront une réalité bientôt. Il n'y a aucun avantage commercial, aucune nécessité à protéger des secrets d'état contre les concurrents. Ça ne brisera pas la "surprise". Le fait d'informer le public lui permettra de mieux choisir les options sur la voiture électrique qui l'intéresse. Point. Nous aimerions la participation des représentants du Circuit Électrique d'Hydro-Québec à cette conversation. Depuis quelques semaines, plusieurs de nos membres ont remarqué que de multiples bornes du Circuit Électrique (CÉ) s'affichaient comme étant occupées sur le réseau social de partage de bornes PlugShare.com, alors qu'en réalité elles étaient libres. Ce phénomène ne touche pas seulement le CÉ, mais plusieurs autres réseaux à travers l'Amérique. Xatori, la compagnie responsable de PlugShare, nous a confirmé qu'elle travaille présentement à résoudre le problème. Une autre problématique que nous tentons d'enrayer est l'ajout de bornes publiques par nos membres qui ne permet pas l'affichage correct des bornes en réseau. Par exemple, aussitôt une borne du Circuit Électrique annoncée ou installée, plusieurs membres s'affairent à les afficher sur PlugShare en utilisant l'adresse civique, et en y ajoutant des photos. Ceci ne permet pas au système géré par PlugShare de déterminer la position exacte de la borne, et n'indique donc pas le statut de la borne. C'est ce qui explique que certaines bornes sur PlugShare indiquent le statut "libre" ou "occupé" de la borne, et d'autres qui n'ont que l'adresse de la borne sans l'information réseau. Selon Daniel Bédard, directeur adjoint du service à la clientèle du Circuit Électrique, la meilleure façon de procéder lors de l'ajout d'une nouvelle borne est d'utiliser la longitude et la latitude au lieu du code postal lorsque vous voulez indiquer à PlugShare la position d'une récente borne du réseau d'Hydro-Québec. Vous pouvez obtenir ces coordonnées grâce à Google Maps. Donc, l'effort mis par tous à ajouter l'adresse de nouvelles bornes publiques est crucial pour le bon fonctionnement du site PlugShare.com, et nous saluons tous ceux qui travaillent fort à mettre à jour les nouvelles bornes, toutefois il faut mieux préciser l'emplacement avec les coordonnées géographiques afin de s'assurer que le statut de la borne soit normalement indiqué. Nous gardons contact avec PlugShare et le CAA-Québec (sous-traitant au service clientèle du CÉ) afin de vous tenir informé des développements à ce sujet. Mise-à-jour: Mme Nathalie Vachon, la responsable des communications chez Hydro-Québec, a tenu à nous préciser que le fournisseur de bornes du Circuit Électrique, AddÉnergie, est responsable d'ajouter les bornes sur le site PlugShare au fur et à mesure du déploiement et des mises en service. Le tout devrait être en vigueur sous peu. Il ne sera donc plus requis aux membres de les ajouter manuellement, situation qui ne permettait pas de profiter pleinement des avantages de ce système de bornes en réseau. Mise-à-jour 2: Tous les systèmes de repérage de bornes verront les bornes du CÉ rajoutées par les responsables du réseau (Chargemap, Chargelocator, Navteq, Nissan CarWings, etc....) si possible. Nous remercions sincèrement Hydro-Québec et les responsables du Circuit Électrique pour avoir réagit à cette problématique. En attendant, pour vous assurer d'avoir la bonne information concernant l'utilisation d'un borne du CÉ, nous vous recommandons d'utiliser le site lecircuitelectrique.com afin d'avoir l'heure juste, en attendant que Xatori règle le problème de leur côté, autant pour le CÉ que pour le RéseauVER et Chargepoint. La ville de New Richmond située dans la Baie des Chaleurs comptera deux bornes bientôt, une région inexploitée par le Circuit Électrique jusqu'à maintenant, la Gaspésie étant jonchée de bornes gratuites Éco-Route Québec.
« L’adhésion de la Ville au Circuit électrique était pour nous une continuité naturelle suite à l’adoption par le Conseil municipal de la Politique de développement durable en septembre 2011. Depuis plusieurs années, nous nous sommes efforcés d’être à l’avant-garde dans plusieurs dossiers car notre avenir en dépend, et c’est ce que nous faisons encore aujourd’hui. Je tiens à souligner la contribution importante de nos partenaires dans ce projet, qui sont Mauger Ford, Subaru New Richmond et le Carrefour de l’auto Volkswagen Kia, sans oublier évidemment Hydro-Québec », a déclaré la mairesse de New Richmond, Nicole Appleby. « L’hôtel Le Francis est fier d’être le premier hôtel en Gaspésie à se joindre au Circuit électrique. Nous avons toujours été soucieux de l’environnement, d’ailleurs nous avons été la première cuisine électrique en Gaspésie et ce en partenariat avec Hydro-Québec. Depuis ce temps, nous avons reçu la certification du programme RéserVert », a souligné Daniel Duchesneau, directeur général de l'Hôtel Le Francis. La borne de la Ville de New Richmond a été installée dans le stationnement du parc municipal situé à l’intersection du chemin Cyr et du boulevard Perron Ouest. Celle de l’Hôtel Le Francis sera installée dans le stationnement de l’hôtel, au 210, chemin Pardiac, cet automne. À partir de 2025, la STM s'est engagée à acquérir uniquement des véhicules électriques si la technologie le permet. En attendant, voici les étapes franchies et à venir présenté dans un vidéo mis en ligne par la Société des Transports de Montréal. Récemment, le département du Circuit Électrique d'Hydro-Québec a mis en ligne un communiqué de presse sur le plaisir de rouler électrique à peu de frais pendant l'été, alors que les vacanciers fulminaient au sujet des prix de l'essence qui ont fait un bond juste avant leur départ. Typique de l'industrie pétrolière, les prix flambent quand la demande augmente. On met de l'avant les multiples points de recharge où les chanceux propriétaires de voitures électriques pourront s'approvisionner pour se rendre à destination. "Faites le tour du Québec pour aussi peu que 2.50$ la recharge! Roulez électrique!" Si on ne connait pas les voitures électriques, on ne sait pas que le trajet peut s'avérer laborieux et de longue haleine lorsque le Circuit Électrique ne propose que des bornes 240V qui rechargeront un VÉ en 3-6 heures. Il serait important pour le Circuit Électrique de mieux communiquer avec ses membres sur la mise en fonction prochaine des bornes 400V L3 avant de faire la promotion de voitures électriques comme moyen de transport pour se rendre à une destination touristique lorsque cette dernière est à une distance plus importante que l'autonomie du véhicule. Les bornes L3 permettent la recharge d'une voiture électrique munie d'un port 400V en 30 minutes. Récemment un nouveau propriétaire de Nissan Leaf relatait son expérience de route, ayant parcouru 1200 km aller-retour en un weekend. Un beau voyage, avec de multiples arrêts dans des campings ou à des garages pour se recharger lorsque l'infrastructure était déficiente. Il se sentait l'âme d'aVEnturier... Sa conclusion: plaisant, mais la prochaine fois, il prend son auto au lieu d'être pris au milieu de nulle part à attendre la recharge de son VÉ, à moins que l'offre de bornes haute vitesse ne devienne réalité. Aussi, les multiples pannes de courant cet été au Québec n'auront certainement pas aidé à véhiculer le message positif d'un mode de transport sans pétrole. On ne peut pointer du doigt notre société d'État pour ces pannes, certaines dues aux feux de forêt rageant au nord de la province, mais il est bon à noter que plusieurs de nos membres se sont alors mis à la recherche d'électrons afin de pouvoir continuer à rouler. L'AVÉQ a récemment contribué à un article paru dans le journal "24 Heures" concernant les possibilités de recharge dans la grande région de Montréal, où on a discuté des demandes de membres habitant sur l'ile et la nécessité d'offrir des bornes L3. La réponse du porte-parole d'Hydro-Québec était déjà toute prête, la même que l'on nous sert depuis le début de l'année. «Il est certain qu'il y aura une offre de bornes de recharge rapide au sein du circuit électrique, soutient M. Desgagné. Il reste à compléter l'année de tests avec le projet-pilote de Boucherville et à compléter l'évaluation qu'on va faire des besoins réels du marché." Il sera important pour Hydro-Québec et son Circuit Électrique de bien considérer ce qui suit:
On apprécie l'effort mis de l'avant par l'équipe du Circuit Électrique, qui travaille afin d'étoffer le réseau de bornes de recharge au Québec. On apprécierait plus si le Ministère du Tourisme (avec ses centres d'information touristiques régionaux), et le Ministère du Transport participaient en tant que partenaires du Circuit Électrique pour délier les bourses et permettre au Circuit Électrique d'offrir ces bornes 400V sans avoir à quêter Rona ou St-Hubert. On peut continuer à attendre et espérer la batterie magique qui permettra à tous les Québécois de parcourir des distances importantes en VÉ, mais pour le moment, nous avons besoin de gens qui ont le courage politique d'aller de l'avant avec les solutions abordables qui sont disponibles maintenant. Un tronçon de route à 10 million$, ou une borne haute vitesse à 25 000$. C'est le comparatif que l'on devrait faire avant d'argumenter sur le coût prohibitif d'une borne de recharge L3. Nous suggérons que le vrai défi à surmonter n'en est pas un technologique, mais bien de gouvernance. Si on veut se départir du modèle de transport basé sur le pétrole qui a causé de multiples récessions, détruit notre planète, et étouffé nos villes et nos poumons, comment pouvons-nous propulser la solution sans fournir le minimum d'infrastructure pour l'électrification des transports? (Par Lydia Labbé-Roy) Hydro-Québec désire collaborer avec les grands employeurs de Montréal afin d'élargir son réseau de bornes de recharge publiques pour les véhicules électriques. L'entreprise prévoit que la demande augmentera dans les prochaines années. «On sait qu'il y aura, à un moment donné, une demande pour se recharger dans un stationnement lié au milieu de travail, indique Pierre-Luc Desgagné, Vice-président, Affaires publiques et gouvernementales à Hydro-Québec. Et ça, on va y travailler au cours des prochains mois avec plusieurs grands employeurs du Québec.» Ce dernier soutient que la recharge au travail pourrait être une solution aux problèmes d'alimentation des Montréalais. «À Montréal, les gens ont plus de difficulté à se recharger parce qu'ils ne peuvent pas s'installer des bornes, faute d'espace, ou parce qu'ils se stationnent dans la rue et ne peuvent pas y rendre un fil pour la recharge», explique le président de l'Association des véhicules électriques du Québec, Simon-Pierre Rioux. Un circuit électrique Présentement, 183 bornes de recharge publiques de 240 volts sont en service à travers la province. L'objectif d'Hydro-Québec est «d'avoir au-delà de 250 bornes installées au Québec d'ici à la fin de 2013», selon M. Desgagné. Les bornes publiques sont, pour la plupart, mises en place grâce au Circuit électrique, un partenariat entre Hydro-Québec et plusieurs entreprises et municipalités. Les différents partenaires paient eux-mêmes pour les bornes qu'ils installent où bon leur semble. Recharge rapide Un projet-pilote de bornes de recharge rapide est présentement en cours à Boucherville. Celles-ci permettraient de recharger un véhicule dans un délai de 20 à 30 minutes plutôt que les 3 à 6 heures requises avec une borne ordinaire. Ces bornes sont d'ailleurs très attendues par les propriétaires de véhicules électriques, selon M. Rioux. «Montréal a vraiment besoin d'installer des bornes haute vitesse, affirme-t-il. Les gens qui vont dans les centres d'achat peuvent attendre 3 heures que leur voiture se recharge. Mais ceux qui vont au restaurant ont besoin de se recharger plus rapidement.» M. Desgagné assure que l'installation de bornes haute vitesse est à l'étude. «Il est certain qu'il y aura une offre de bornes de recharge rapide au sein du circuit électrique, soutient M. Desgagné. Il reste à compléter l'année de tests avec le projet-pilote de Boucherville et à compléter l'évaluation qu'on va faire des besoins réels du marché.» Source: http://www.24hmontreal.canoe.ca/archives/24hmontreal/actualites/2013/08/20130809-112908.html Une entente de partenariat avec la municipalité de McMasterville a été signée pour le déploiement d’une première borne de recharge publique pour véhicules électriques (VE), qui sera installée d’ici cet automne dans le nouveau stationnement adjacent à la patinoire couverte du parc Ensoleillé.
Dans le cadre de ses initiatives environnementales, la municipalité de McMasterville poursuit sa démarche en se portant acquéreur d’une borne de recharge publique pour véhicules électriques. Elle devient ainsi l’une des premières municipalités de la région à posséder et à offrir une borne publique sur son territoire. « Puisque le stationnement à proximité de la patinoire a été refait l’été dernier, on en a profité pour installer quatre bases prêtes à recevoir une borne de recharge et si la demande le justifie, nous pourrons procéder à leur installation plus facilement. Nous espérons que cette initiative environnementale influencera les consommateurs dans l’acquisition d’un véhicule électrique », a expliqué le maire de la Municipalité de McMasterville, Gilles Plante. « Nous sommes très heureux de notre partenariat avec la municipalité de McMasterville, qui participe ainsi au déploiement du Circuit électrique dans la MRC de La Vallée-du-Richelieu, a indiqué Pierre-Luc Desgagné, vice-président – Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec, au nom des partenaires du Circuit électrique. Grâce à cet engagement de la municipalité, les conducteurs de VE qui empruntent la route 116 pourront bientôt compter sur un point de recharge additionnel. »
Stéphane Daoust ÉRQ et Michel Angers, maire
Tout un coup pour Éco-Route Québec, qui signe une entente avec Shawinigan pour avoir en tout 10 bornes, mais pas n'importe lesquelles: les 90 ampères. La plupart des VÉ présentement sur la route ne peuvent qu'utiliser que de 15 à 30 ampères pour la recharge (exception faite des Tesla), mais il faut penser au futur aussi. Est-ce que le Circuit Électrique devra faire la mise à jour de toutes ses bornes d'ici quelques années pour satisfaire à la demande, alors que leurs bornes auront mal vieilli? Nous sommes certain qu'ils se feront un plaisir de retourner visiter leurs partenaires pour leur offrir le nec plus ultra à ce moment. On est en droit de se demander si c'est un mandat du gouvernement qu'ils remplissent, ou si c'est une nouvelle source de revenus qu'ils cherchent... (ce qui n'est pas le cas présentement bien sûr!) Nous encourageons les municipalités et entreprises à acheter des bornes qui offrent la meilleure technologie possible pour éviter d'avoir à débourser plus tard. On apprécie beaucoup le système en réseau qu'offre le Circuit Électrique afin de déterminer sa disponibilité, mais son prix décourage de plus petits joueurs à s'électrifier. À ceux-ci, nous leur disons: il y a une solution de rechange avec l'offre d'Éco-Route Québec. Que le mot se passe! En attendant, allons faire un tour à Shawi' pour leur montrer notre appréciation! Un partenariat profitable pour la communauté – la Ville de Shawinigan installera 7 bornes de recharge Shawinigan, le mercredi 17 juillet 2013 – La Ville de Shawinigan et l’entreprise Éco Route Québec ont procédé aujourd’hui à la signature d’un protocole d’entente relatif à la mise en place de bornes de recharge pour véhicules électriques. Portant le nombre total à dix sur le territoire, les sept nouvelles bornes de recharge seront installées à l’automne. Les emplacements ont été stratégiquement choisis en fonction de l’accessibilité et de la proximité, soit le Centre municipal de curling, le Centre des arts, le Centre d’entrepreneuriat, la bibliothèque Bruno-Sigmen, le stationnement public Sainte-Flore, le centre communautaire du secteur Saint-Jean-des-Piles et celui du secteur Saint-Gérard-des-Laurentides. Shawinigan sera la ville où le taux de bornes de recharge par habitant est le plus élevé au pays. Matane, 15 juillet 2013 — Éco Route Québec participe à la stratégie d’électrification des transports du gouvernement du Québec en annonçant une première phase d’implantation de 5 bornes de recharge en Gaspésie. En association avec des partenaires dont le Groupe Riôtel, l’Auberge La Seigneurie des Monts et l’Hôtel des Commandants, cette nouvelle infrastructure de type Niveau 2 offre une performance de 90 ampères/240 volts. Une puissance de chargement des plus rapides sur le marché et adaptée aux besoins des prochaines années. De type « Branchez & Chargez », aucune carte d’accès n’est requise pour utiliser les bornes. L’électricité est offerte gratuitement aux utilisateurs qui fréquentent les établissements. « Le Groupe Riôtel est fier d’être associé à Éco Route Québec afin d’accroître la présence de véhicules électriques dans notre région. Ces bornes répondent à une demande de notre clientèle qui est avant-gardiste et sensible à l’environnement. Ce partenariat cadre parfaitement avec les valeurs de l’entreprise qui travaille à la mise en place d’une stratégie « Hôtel Bleu » dans ses hôtels de Matane, Percé et Bonaventure. L’installation de bornes de recharge ajoute aux engagements que nous avons pris lors du lancement de la politique-cadre du tourisme durable initié par la Conférence régionale des élus Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine. En plus de pouvoir utiliser les bornes gratuitement, les clients de Éco Route Québec pourront d’ailleurs bénéficier de tarifs préférentiels et promotions dans notre réseau confirme, Nathalie Blouin, vice-présidente, directrice générale du Groupe Riôtel. « Nous sommes fiers de participer au développement d’un circuit vert en Gaspésie. Se voulant innovatrice et à l’écoute des besoins de notre clientèle, la question ne se posait même pas! Ayant à cœur la recherche de nouvelles énergies, ce programme s’adaptait en tout point avec notre vision de l’avenir. Nous espérons ainsi combler un besoin qui sera de plus en plus évident pour la nouvelle génération de voyageurs » selon Andrée Poisson de l’Auberge la Seigneurie des Monts. Électrifier la 132 Éco Route Québec désire créer un réseau d’une vingtaine de stations de recharge en Gaspésie. Une telle infrastructure pourra réduire les distances à environ 60 kilomètres entre les bornes, une sécurité énergétique suffisante pour les véhicules actuellement sur le marché. D'ailleurs, le déploiement de ce réseau aidera à la vente de véhicules électriques localement. Les programmes incitatifs combinés avec les avancements technologiques de l’industrie créent de nouvelles possibilités pour les régions du Québec. Avec la collaboration de partenaires municipaux et d’affaires, nous développons un réseau au Nouveau-Brunswick, ces bornes permettront de créer un circuit touristique entre Gaspé et l’Acadie pour découvrir les attraits de la Baie-des-Chaleurs. Suite à notre article sur le nouveau réseau de bornes 400V en Hollande, nouvelle qui fut applaudie à travers le monde, on apprend que les pétrolières elles ne sont pas heureuses de cette tournure d'événements. Tellement pas contentes, que 26 stations-service poursuivent le gouvernement en justice pour des motifs anti-concurrentiels. En effet, le gouvernement avait désigné Fastned comme compagnie sous-traitante de la direction d'un réseau de chargeurs L3 constitué de 250 bornes (dont ABB a gagné le contrat pour 200 unités combo), et ces chargeurs devaient être installés le long des autoroutes. Il semblerait que si l'électricité est considéré comme un carburant, ces stations de recharge devront suivre les mêmes règles et payer les mêmes frais que les stations d'essence - car elles auraient présentement accès à des terrains gratuitement, gracieuseté du gouvernement qui pousse fort pour l'électrification des transports. Sinon, on veut s'assurer que ces stations de recharge ne bâtiront pas d'autres installations concurrentes comme des restos, dépanneurs, etc... puisque ceux-ci sont une source de profits importante pour les pétrolières. Ça fait pitié à voir; pourtant, comme leur consoeur Total en Belgique, ils auraient pu être prévoyants et faire l'installation eux-même de bornes haute vitesse au lieu de lever le nez. La compétition s'en vient, et elle est électrique. Pétrolières canadiennes, embrassez le mouvement, ou soyez prêtes à subir une nouvelle rivalité sur le marché des transports.
Maires des municipalités, et P-L bien sûr!
Une bonne nouvelle aujourd'hui: de nouvelles bornes de recharge seront installées dans le Bas-St-Laurent! L’offre de recharge publique du Circuit électrique dans le Bas-Saint-Laurent est appelée à croître progressivement selon le rythme d’arrivée des VE dans la région, et selon l’intérêt des partenaires privés et institutionnels potentiels. Les partenaires initiaux sont les suivants : • Les Rôtisseries St-Hubert : une borne à la rôtisserie de Rimouski, 395 boul. Arthur-Buies Est, Rimouski, et une borne à la rôtisserie de Rivière-du-Loup, 80 boul. Cartier, Rivière-du-Loup • Ville de Rivière-du-Loup : une borne à l’hôtel de ville, 65, rue de l’Hôtel-de-Ville, Rivière-du-Loup • Ville de Rimouski : une borne au Bureau d’information touristique, 50, rue Saint-Germain Ouest, Rimouski • Ville de Trois-Pistoles : une borne à l’Aréna Bertrand-Lepage, 104, rue Roy, Trois-Pistoles • Jardins de Métis : une borne, 200, route 132, Grand-Métis • Sépaq : deux bornes au parc national du Lac-Témiscouata, 400, Vieille Route, Squatec • Auberge Internationale du Témiscouata : une borne, 788, rue Commerciale Nord, Témiscouata-sur-le-Lac Rappelons que la borne de l’Auberge Internationale du Témiscouata, le tout premier partenaire dans l’est du Québec, est en service depuis décembre dernier alors que celle de la Ville de Rivière-du-Loup sera inaugurée cet après-midi. La mise en service graduelle des autres bornes sera terminée d’ici l’automne. Maintenant, pour accéder au Bas-St-Laurent à partir de Québec, il faudrait des bornes à Montmagny et La Pocatière! On s'attend à une annonce d'ici septembre de la part de nos amis du Circuit Électrique. Les partenaires fondateurs du Circuit électrique – Les Rôtisseries St-Hubert, RONA, METRO, l’Agence métropolitaine de transport (AMT) et Hydro-Québec – sont heureux d’annoncer l’inauguration de la borne de recharge publique pour véhicules électriques (VE) de la Ville de Rivière-Rouge, première municipalité des Hautes-Laurentides à faire partie du Circuit électrique.
La borne est installée dans le stationnement de la Caisse Desjardins de la Rouge, partenaire de la Ville dans ce projet, sur la rue L’Annonciation Nord, à Rivière-Rouge. Cette borne est accessible dès aujourd’hui à tous les conducteurs de véhicules électriques rechargeables. Le Circuit Électrique doit installer d'ici l'automne 2 bornes au Centre Bell à Montréal, ainsi que 2 bornes au Casino de Montréal, sur l'île Notre-Dame.
La ville de Montréal doit aussi bientôt faire l'annonce de 80 bornes de recharge, ce qui permettra d'alimenter les voitures électriques en libre-service de "Auto-Mobile". Avec l'annonce du corridor entre la province du Québec et l'État du Vermont, un petit détail important a été révélé.
St-Jean-sur-Richelieu devient partenaire du Circuit Électrique, deux bornes seront en opération dès cet été:
Les autres bornes de ce corridor sont déjà en opération, tant au Québec qu'au Vermont à l'exception de la ville de Colchester qui verra sa première borne ChargePoint arriver bientôt. Tel qu'annoncé dans nos forums il y a déjà 2 mois grâce à nos amis de Drive Electric Vermont, le corridor est déjà actif depuis que la borne de St.Albans est entré en fonction. Il est possible de partir de Montréal et de se rendre à Burlington. On peut se recharger gratuitement à Burlington à plusieurs endroits, mais auparavant une petite recharge d'appoint est nécessaire à St.Albans car la plupart des voitures électriques ne peuvent se permettre de relier ces 2 métropoles même avec une batterie pleinement chargée. Donc un petit arrêt d'une heure suffit pour récupérer les kilomètres nécessaires pour arriver à destination. La véritable nouvelle serait l'installation d'un chargeur niveau 3 à St.Albans ou Swanton. Nous avons annoncé dernièrement que le prix de la recharge à St.Albans fut réduit à un prix fixe de 2$ au lieu de 3$ par heure. Sinon, les 30 autres bornes mentionnées dans l'article de la Presse Canadienne ci-dessous sont celles déjà actives à Burlington et à Montréal. Il n'y a pas d'autres investissement de prévu à cet effet. Une fête aura lieu à Burlington à la fin de l'été pour célébrer le "Green Highway Initiative", et les propriétaires de VÉ sont invités. Nous vous tiendrons au courant des développements. Le véritable corridor à créer est celui entre Montréal et Ottawa, ainsi que la 401 entre Montréal et Toronto, avec des chargeurs haute vitesse de niveau 3. Pour les gens de l'Estrie, un autre corridor Sherbrooke-Magog-St.Johnsbury sera créé prochainement. Une première borne a été dévoilée aujourd’hui au centre-ville de Drummondville dans le stationnement de la gare, situé sur la rue Lindsay, et sera mise en service au cours du mois de juillet. Une deuxième borne du Circuit électrique a été installée dans le stationnement de la rue Heriot et une troisième le sera prochainement au complexe sportif. D’autres sites font l‘objet de discussions puisque la Ville souhaite déployer davantage de bornes en 2014.
Nous félicitions la ville de Drummondville d'être devenue le 38e partenaire du Circuit Électrique et d'encourager l'électrification des transports dans la région. Dans les couloirs de la consultation publique sur les véhicules en libre-service à Montréal, ça chuchotait un peu trop fort, et il semblerait qu'officieusement, Montréal deviendra le 38e partenaire du Circuit Électrique, avec 80 bornes de recharge qui seront déployées dans les prochains mois. Ces bornes seront celles du partenariat avec AddÉnergie.
Hydro-Québec doit en faire l'annonce dans les prochaines semaines en grande pompe. Si un système de véhicules électriques en libre-service désir s'installer à Montréal, il sera nécessaire pour la ville de posséder des bornes pour mieux desservir son territoire. C'est une bonne nouvelle, et on peut très bien entrevoir un communiqué annonçant de prochains partenaires municipaux tels Gatineau et Québec qui se doivent d'emboîter le pas afin d'étoffer l'offre de bornes dans leur région respective. |
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