Dans le cadre d'une série de portraits d'utilisateurs de véhicules électriques pour la compagnie FLO-AddÉnergie, on recherche des participants pour raconter comment ils utilisent leur voiture électrique, soit dans un cadre personnel, familial, ou encore dans un cadre professionnel, en lien avec un commerce ou une entreprise.
Voici quelques exemples de portraits réalisés (Youtube):
Veuillez écrire quelques lignes en décrivant votre situation et contactez par courriel Alexis de Gheldere, vidéaste au chaloupe@gmail.com Bonne chance! Contribution: Simon-Pierre Rioux
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Le Bas-Saint-Laurent, comme l'ensemble des régions du Québec, compte de plus en plus d'adeptes de voitures électriques. Toutefois, nombreux sont ceux qui ont encore des réticences à se tourner vers l'électromobilité, surtout en raison des conditions hivernales rudes vécues chaque année.
Selon le porte-parole de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ), Martin Archambault, les véhicules électriques se comportent très bien lorsque la température chute de façon spectaculaire. S'il admet que l'autonomie des véhicules est grandement diminuée, il rappelle que 95 % des déplacements se font sur des distances relativement courtes. Vous pouvez écouter le reportage radioà partir de la page suivante NDLR ( A mon souvenir, je n'ai jamais parlé de 50$ d'électricité par mois., c'est pas mal moins que ça dans mon cas ! .. ;-) Martin Archambault)
Antoine Normand a 77 ans, 1 Chevrolet Bolt et un voyage de 1,000 km derrière la cravate. Récit d’un électromobiliste qui n’a pas peur de la distance.
Antoine Normand a toujours aimé l’électricité. Étant jeune, il avait comme plusieurs un train électrique ; plus tard, il s’est procuré une tondeuse électrique, puis un coupe-bordure électrique, un taille-haie électrique, une scie sauteuse électrique, une perceuse électrique, un immense barbecue électrique… En 1974, il avait déjà une maison chauffée à l’électricité. Ne restait plus qu’une voiture électrique. Mais celle-ci devait encore être construite.
L’appel de la Bolt En 1986, Antoine Normand organise une campagne de sensibilisation publique au sujet des GES et des pluies acides avec le Ministère de l’environnement. Il devient alors beaucoup plus conscient des enjeux. Il est évident pour lui que posséder une voiture électrique est la chose à faire pour combattre les gaz à effet de serre (GES). Une seule condition cependant : monsieur Normand a un handicap qui l’oblige à opter pour un véhicule dont le siège est plus haut et qui se recule amplement. Il s’était toujours tenu aux VUS à essence ; il avait maintenant besoin d’un VUS électrique. C’est pourquoi, quand il a su en 2015 que General Motors allait lancer un mini-VUS, il est allé jusqu’au Salon de l’automobile de Détroit, dans l’État du Michigan, aux États-Unis, pour le voir. Conquis, il s’est inscrit à l’AVÉQ pour se préparer à l’arrivée de cette nouvelle bête. Il savait ce qu’il voulait. Ou plutôt, ce que sa femme voulait : une Chevrolet Bolt d’une belle couleur bleu électrique appelée « Arctic Blue ». Ça a pris plusieurs mois pour que son concessionnaire la reçoive. Enfin, c’est le 23 octobre 2017 qu’il en devient l’heureux propriétaire.
Son premier grand voyage tout-électrique
À peine familiarisé avec sa nouvelle voiture, monsieur Normand doit réfléchir aux choses sérieuses. Il avait un congrès à Québec, et il devait trouver une manière de se rendre là-bas à partir de chez lui, à Gatineau. « Absolument ignorant des téléphones cellulaires » selon ses dires, il navigue sur Internet, puis décide de commander une carte papier du Circuit électrique, le réseau de bornes de recharge canadien, au prix de 100 $. De plus, le vendeur chez qui il avait acheté sa borne de recharge lui parle de PlugShare, une carte virtuelle indiquant l’emplacement de bornes de recharge partout à travers le monde. Un représentant de l’AVÉQ lui suggère de se recharger d’abord à Montebello, puis à Montréal et à Trois-Rivières, pour enfin arriver à Québec. Une route sans encombre Monsieur Normand, muni de ses deux cartes de bornes de recharge et de bons conseils, suit son trajet sans encombre. À la hauteur de Sainte-Anne-de-la-Pérade, sur l’autoroute 40, il voit bien que c’est la tempête de neige, qu’il y a de la pluie verglaçante, et que de nombreuses voitures se sont ramassées sur le bord du chemin, mais lui avait prévu le coup avec ses pneus à crampons et passe sans problème à travers les intempéries. En somme, le voyage de monsieur Normand s’est déroulé comme un charme et il ne regrette nullement l’achat de sa Bolt. Le voyage a certes duré un peu plus de temps que s’il avait dû faire le plein d’essence, mais il choisissait des bornes près des restaurants afin de pouvoir manger pendant l’attente, ce qui rendait celle-ci beaucoup plus agréable. Monsieur Normand tient à remercier le Circuit électrique pour la précision des sommaires d’utilisation qu’il lui a fait parvenir par courriel. Ceux-ci lui ont confirmé que le système fonctionnait bien et lui ont permis de bien gérer son compte.
Contribution : Naïma Hassert
Cette semaine à Fully Charged, Jonny Smith en remplacement de Robert Llewellyn nous présente la Jaguar e-Type Zero Concept, une e-Type originale de 1968 qui a été mise à jour avec un groupe motopropulseur entièrement électrique.
Ce n'est donc pas une voiture du futur qui nous est présentée, mais bien un modèle restauré, qui n'a pas été cannibalisé pour l'expérience électrique. On a donc pris soin de s'assurer que le véhicule pourrait retourner à ses origines en y replaçant le moteur 6 cylindres et le tableau de bord afin de ne pas s'attirer les foudres des puristes de la marque. L'usine de Coventry s'est occupée de la restauration, mais c'est à la jeune compagnie croate Rimac qu'on a confié l'électrification de celle qui est encore considéré comme la plus belle voiture de son temps. L'équipe devait donc s'assurer que le nouveau système intégrant la batterie de 40 kWh offrant 270 km d'autonomie, le moteur électrique de 220 kW et toute l'électronique pourrait utiliser le système d'attache du groupe moteur original à même le châssis. Et la surprise dans tout ça, c'est qu'ils ont réussi le pari avec une voiture plus légère de 46 kg et plus rapide avec une accélération 0-100 km/h en 5.5 secondes, battant de près de 2 secondes l'originale! De plus, le moteur classique de la e-Type se retrouve dans 32 autres modèles Jaguar, ce qui signifie qu'on pourrait facilement les électrifier tous avec le même kit développé par Rimac. L'intérêt des consommateurs est exceptionnel depuis sa présentation, et ce modèle unique aurait pu être acheté maintes fois par des clients sérieux selon le porte-parole de Jaguar. On étudie donc activement la possibilité d'en faire une production grand public. Contributeur: Simon-Pierre Rioux Le constat sur le déploiement des bornes de recharge ( Côte-Nord) ... Reportage Média - Radio-Canada10/10/2017
Dans le cadre de l'émission : Boréale 138 , l'animatrice Bis Petitpas s'est entretenue avec notre porte-parole média, M. Martin Archambault. Ils ont discuté du déploiement des bornes de recharge au Québec et également sur la Côte-Nord.
Le reportage est à 13:20
Sortie publique de l'AVÉQ sur le rapport de l'IEDM : «Ça ressemble à une campagne de peur» !1/8/2017
L’industrie pétrolière et les constructeurs automobiles font une campagne de peur pour décourager les Québécois de s’acheter une voiture électrique, a déploré l’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) dans une vigoureuse sortie publique, lundi.
«Oui, l’orientation est menacée. Même si, à la base, elle est bonne, nous prônons une approche un tantinet plus agressive», a-t-il laissé tomber.
«Tout croche» Normand Mousseau, professeur et auteur d’un rapport sur les enjeux énergétiques, est même allé jusqu’à qualifier de «tout croche» la sortie de l’IEDM contre l’obligation des concessionnaires de vendre plus de voitures électriques. Mais ce qui choque le plus Martin Archambault, ce sont les vendeurs de voitures qui inventent des problèmes aux véhicules électriques pour dissuader leurs clients de s’en procurer. «Grâce à un client mystère envoyé chez un concessionnaire, nous avons pu entendre des arguments du genre : “Pas fiable en hiver”, “Pas de borne nulle part », a-t-il confié. Selon lui, les vendeurs de voitures les boudent simplement parce qu’elles leur font gagner moins d’argent.
Source : TVA Nouvelles
Contribution : Richard Lemelin - Vice-Président - AVÉQ
Le 5 juin dernier, Martin Archambault, administrateur et webmestre de l'AVÉQ, était invité à l'émission de radio "Réflexions avec Pierre Lacombe" sur les ondes de CKVL 100.1 FM Verdun. Deux heures à parler de voitures électriques dans une ambiance ouverte et décontractée.
Vous pouvez écouter l'intégrale de l'émission ci-dessous ...
Le 30 avril dernier, dans le cadre de l'émission Tv Laval nouvelle, notre porte-parole Robert Dupuy ainsi qu'Annick Gionet de l'équipe régionale de Laval étaient en studio pour parler de VÉ des événements à venir dans cette région du Québec !
Source : France Cloutier, directrice régionale AVÉQ - Laval Contribution : Martin Archambault
Cet après-midi, notre porte-parole, M. Robert Dupuy était en entrevue au 98,5 FM avec Benoit Dutrizac. Il a entre-autre parlé du développement des nouveaux modèles de voitures, des politiques gouvernementales, de la progression du nombre d'électromobilstes, etc.
Le 10 septembre dernier, l'AVÉQ organisait les essais routiers lors de l'événement Rendez-vous Branché de Portneuf. A cette occasion, Maxime Roussel - délégué régional pour la Capitale Nationale s'est prêté à une entrevue télé avec Portneuf.TV. Visionnez cette entrevue ici : Source : Richard Lemelin , Vice-Président - AVÉQ
Contribution : Martin Archambault
1. Quels sont les avantages de posséder un véhicule électrique?
Ça permet de réduire son empreinte carbonique en plus d’économiser sur les coûts d’entretien du véhicule, car il y en a peu. On économise également sur les coûts d’utilisation, puisque faire un plein électrique coûte moins cher qu’un plein d’essence. On parle de 1,50 $ par plein pour une voiture qui est 100 % électrique. Et nous ne sommes pas obligés de la charger chaque jour. Certaines atteignent les 160 km d’autonomie. Aussi, les conducteurs ont découvert qu’ils étaient moins agressifs derrière le volant. Le véhicule est complètement silencieux. Il a une puissance qui est disponible à l’instant et l’accélération est très performante. Également, le véhicule se réchauffe très rapidement l’hiver grâce à l’électricité. Pas besoin d’attendre que le moteur à essence se réchauffe, puis réchauffe le véhicule. Finalement, le centre de gravité du véhicule est très bas. Il est stable et tient bien la route. Il est bien ancré sur ses pneus, car la batterie est située dans le plancher. 2. Quelles sont les contraintes? Le coût à l’achat est plus important. Si on prend un véhicule à essence qui coûte 20 000 $, le même modèle 100 % électrique coûtera 32 000 $. On enlève toutefois 8 000 $ du gouvernement [rabais offert par Québec à l’achat ou à la location]. Par contre, on rentre rapidement dans notre argent, car le coût d’utilisation est d’environ 25 $ pour recharger le véhicule par mois, contre 200 $ d’essence par mois pour parcourir la même distance. Aussi, l’autonomie est parfois restreinte. Il faut être capable de recharger le véhicule de façon régulière. Le réseau électrique est très étendu. Il y a des bornes à haute vitesse qui permettent de recharger le véhicule à 80% en 15 minutes. 3. À qui s’adressent particulièrement les véhicules électriques? Les gens qui habitent la banlieue et qui ont deux voitures pourraient avoir une voiture électrique sur deux. Si ces gens trouvent qu’il y a trop de restrictions pour une longue distance, ils peuvent utiliser leur véhicule électrique pour aller travailler ou se promener en ville. Ça permet de diminuer les coûts. 4. Croyez-vous que le futur est prometteur pour l’industrie du véhicule électrique? Oui, car une des choses qui est très encourageante est que les gouvernements à travers la planète se dotent de lois restrictives sur la pollution que peut émettre un véhicule à essence. À un moment donné, les technologies vont faire en sorte que les manufacturiers ne pourront plus créer de véhicules à essence, car les normes seront à zéro émission carbonique. La question n’est plus de savoir si je vais acheter un véhicule électrique, mais quand je vais l’acheter. Portrait de la situation D’après l'AVEQ, les ventes de voitures qui ne consomment pas d’essence doublent chaque année. «Le Québec est le champion au Canada, alors que 50 % des ventes au pays sont au Québec», affirme le président Simon Rioux En date du 30 avril, 9,763 véhicules électriques avaient été vendus dans la province. Près de 980 bornes de recharge sont disponibles au Québec. Selon l’AVÉQ, le propriétaire moyen au Québec est un homme âgé d’environ 45 ans dont le salaire annuel médian est de 65 000 $. Source : Audrey Leduc-Brodeur - Granby Express Contribution : Martin Archambault Écoutez, au segment de 15h38, notre porte-parole Robert Dupuy qui discute du corridor pour véhicule électrique à l'émission de Catherine Lachaussée de la SRC. Contribution : Martin Archambault
Heureux propriétaire d'une Nissan Leaf 2016 avec sa conjointe Caroline Dupré, Yanick Lacroix ne voit pas comment il pourrait changer celle-ci pour une voiture à essence.
«Ça fait quatre mois que je l'utilise pour aller au travail, et ce matin, j'ai franchi mon 9000e kilomètre. J'adore ça, je ne retournerai jamais en arrière. Je regarde déjà d'autres types de véhicules électriques», confie celui qui a tout de même conservé un véhicule à essence comme véhicule principal, notamment pour les longues distances.
Résidant à La Motte, M. Lacroix travaille tous les jours à Val-d'Or, où son employeur, la SOPFEU, a fait installer deux bornes L2 à 240 volts, qui lui permettent de recharger sa Leaf en moins de trois heures. Il doit franchir une distance de 55 kilomètres, matin et soir. «J'ai acheté le modèle S (de base), qui possède une batterie de 24 kWh avec une autonomie estimée à 135 km. Actuellement, avec les températures printanières, je fais environ 145 à 150 km avec une charge. Plus il fait chaud, plus elle est performante. C'est le modèle qui correspondait le mieux à mes besoins», fait-il valoir. La présence de ces bornes au travail a effectivement pesé dans le choix du véhicule. «S'ils avaient installé une borne à 120 volts (10-12 heures pour charger), j'aurais plutôt privilégié une voiture hybride rechargeable comme la Chevrolet Volt», affirme Yanick Lacroix. Dur hiver Toutefois, quand il en a fait l'acquisition, le 20 janvier, la situation était assez différente. «Dans les grands froids de cet hiver, ma batterie a perdu 60 % de son autonomie. Mais quand on le sait, on fait avec. On roule moins vite pour économiser de l'énergie. Dès qu'il fait -10, on peut recommencer à rouler à 100 km/h», précise Yanick Lacroix. L'autre avantage qu'il a aussi trouvé avec sa Nissan Leaf, c'est le préchauffage. «Je programme l'heure de mon départ la veille et le matin, le véhicule se déglace complètement et se réchauffe tout en demeurant branché. Ça me permet de ménager ma batterie. C'est le premier hiver que je conduis pour aller au travail sans gants ni tuque. C'est très confortable», souligne Yanick Lacroix. Économies substantielles Si à l'achat la Nissan Leaf coûte plus cher, Yanick Lacroix a tout de même pu bénéficier de différents rabais, dont ceux du gouvernement (remboursement de 8000 $) et de l'Association des véhicules électriques du Québec dont il était membre. Il a aussi reçu une aide financière pour faire installer une borne L2 (240 volts) à la maison. Mais la plus grande économie, c'est sur la route qu'il va la réaliser. «J'avais un véhicule utilitaire sport avec un moteur six cylindres de 3,3 litres. L'aller-retour au travail me coûtait 17 $ d'essence. Là, ça me coûte environ 3 $ d'électricité. Selon mes calculs, ça pouvait me coûter entre 3000 et 3500 $ par année d'essence. Là, ça va m'en coûter 500 $ en électricité et tout cet argent va demeurer au Québec», se réjouit-il. Source : Martin Guindon - L'Écho Abitibien Le Citoyen Contribution : Martin Archambault
Invité-vedette de la prochaine conférence Momentum, Will Nicholas, responsable des communications chez Tesla Motors, nous présente la stratégie d’affaires de l’entreprise et son déploiement au Québec.
En quoi le Québec constitue un marché important pour le développement de Tesla? Nous avons pour mission d’accélérer la transition mondiale vers une mobilité durable. Notre produit stimule une consommation responsable par la conduite de véhicules électriques. Si notre marché le plus important est présentement en Californie, nous nous déployons dans les régions où l’on perçoit dans la population une sensibilité et une ouverture aux problématiques environnementales comme les changements climatiques : c’est le cas au Québec. On sent que cette conscience est bien présente dans la province où il y a une volonté forte d’avoir un style de vie plus durable. Or l’avantage environnemental des voitures Tesla est généralement l’aspect qui attire les consommateurs. Tesla a ouvert cet hiver une première boutique à Montréal. Quels sont les prochains développements pour le Québec? Nous souhaitons faire de nos points de vente de véritables « hubs » éducatifs: chaque nouveau magasin est une occasion de sensibiliser la population aux avantages économiques et environnementaux de la voiture électrique, d’expliquer le fonctionnement, le chargement, etc. Le développement commercial de Tesla crée donc une conscience chez le consommateur des bénéfices de la voiture électrique. En ce sens, nous planifions organiser des événements locaux au Québec dès l’automne, pour exposer nos produits, expliquer les bénéfices de l’électrification des transports et permettre aux gens d’essayer les voitures Tesla. D’ici à 2016, nous prévoyons également ouvrir une boutique à Québec: avec l’implantation de ce deuxième magasin, nous anticipons une augmentation des ventes dans la province. Parallèlement à la commercialisation, qu’en est-il de votre stratégie concernant les sites de recharge? Nous sommes heureux d’avoir débuté cet hiver notre programme de recharge à destination au Québec avec le Groupe Germain (lire l’article). Depuis, plusieurs autres entreprises ont embarqué dans le programme, dont le Château Mont-Ste-Anne, le magasin Métro à Saint-Tite, l’Hôtel Sepia à Québec, le Brookstreet Hotel à Ottawa. Au Canada, ce sont ainsi 55 sites qui font maintenant partie du réseau de recharge de destination auxquels s’ajoutent 25 sites attendant de recevoir les installations. Parallèlement, le développement de notre réseau de superchargeurs demeure au coeur de nos préoccupations. Nous évaluons présentement de nouveaux emplacements, qui s’ajouteront au superchargeur inauguré au printemps à Drumondville et qui permettront l’expansion du réseau au Québec et au Canada. Nous regardons entre autres des sites dans la région de Québec, ainsi qu’au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse, pour faciliter les déplacements entre les provinces. Tesla souhaite rendre les infrastructures de recharge aussi universelles et omniprésentes que le wifi! Will Nicholas sera conférencier lors de Momentum, conférence sur l’innovation d’affaires et la responsabilité sociétale, organisée par Novae le 24 septembre à Montréal. Source : Novae Contribution : Martin Archambault
Une journaliste de Radio-Canada Outaouais a utilisé notre légendaire programme de jumelage afin d'essayer une BMW i3 et une Nissan Leaf.
Vous pouvez aller écouter le reportage ici, la chronique en question se trouve à 8h50.
Merci à Michel Savard, un bénévole AVÉQ de Gatineau pour son essai routier !
Source : Ici Radio-Canada Contribution : Martin Archambault Notre directeur-adjoint de Laval, M. Emmanuel Huybrechts (Manu), a donné une courte entrevue à la télévision de Laval avec Érick Rémy. Cette entrevue a permis aux téléspectateurs de Laval de connaître un peu mieux l'AVÉQ et sa mission. L'AVÉQ multiplie ce genre d'intervention dans le but de démocratiser l'information sur les véhicules électriques. Un des rôles de nos directeurs et délégués régionaux est justement d'assurer une présence , non seulement aux événements de leur région, mais également auprès des instances et des médias.
Merci à l'équipe de Laval pour l'excellent travail. Source : Télévision de Laval Contribution : Martin Archambault Suite à un appel d’Alex Maltais (Conseiller indépendant en électromobilité) auprès de Sébastien Grenier lui faisant part qu'un journaliste automobile du site « Question Auto » voulait avoir ses impressions sur sa Spark EV 2014, ce dernier s'est empressé de dire oui. Que voulez-vous, deux esprits passionnés qui se rencontrent, c'est toujours stimulant et enrichissant ! N’étant aucunement déçu de sa voiture après 1 an et 4 mois d’utilisation, Sébastien ne pouvait pas refuser cette offre. Faire la critique d’une voiture et l’essayer pendant une semaine n’a pas le même poids que de donner le micro à une personne qui est propriétaire depuis plus d’un an et « Question Auto » le savait très bien. Le journaliste automobile Mathieu Thomassin a fait un essai d’une semaine lui-même de la Spark EV afin de pouvoir donner ses propres impressions du véhicule. On peut y voir les points forts et les faiblesses de cette dernière. Dans les deux vidéos suivants, vous pourrez découvrir toutes les caractéristiques de la Spark EV En extra, entrevue avec Alex Maltais (Conseiller indépendant en Électromobilité) au sujet des véhicules électriques et de sa Nissan Leaf Chaîne YouTube Question Auto: https://www.youtube.com/channel/UCf84YiT5ffoaEsfkZvkXB1Q
Facebook Question Auto: https://www.facebook.com/QuestionAuto Source : Sébastien Grenier - délégué régional AVÉQ Capitale-Nationale Contribution : Martin Archambault Caroline Lachance, directrice régionale des Laurentides, était en entrevue à la radio de CIME FM ce matin. Elle nous entretien du Rendez-vous Branché ! Contribution : Martin Archambault
Notre directeur régional, M. Neil Mathieu, a donné une entrevue à la télé communautaire. Cette entrevue s'en voulait une qui expliquait la base des véhicules électriques. S'adressant à un échantillon précis de notre clientèle , Neil à su vulgariser en termes simples les avantages de l'électromobilité. Source : Neil Mathieu - Directeur régional AVÉQ - Chaudière-Appalaches
Contribution : Martin Archambault Briser sa dépendance à l'or noir pour se déplacer, voilà le motif qui guide le plus souvent les acheteurs de voitures électriques. La Montérégie en serait la capitale, regroupant près du quart des électromobilistes québécois, indiquent des données compilées par l'Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ). Les voitures qui font le plein à l'électricité, cette ressource presque inépuisable en sol québécois, se multiplient sur le bitume de nos routes. Pour ces propriétaires, exit les milliers de litres d'essence engloutis sur une base annuelle. Selon le véhicule choisi, les milliers de dollars sauvés permettent de rentabiliser son choix, selon les fabricants, et ce, même si le véhicule électrique demeure plus coûteux à acquérir que son semblable roulant à l'essence. Cette décision, nous rappelle-t-on, contribue aussi à réduire les émissions polluantes, tels les gaz à effet de serre. À la grandeur du Québec, le nombre de véhicules électriques enregistrés dépasse les 6100 unités. Accaparant 45% des ventes canadiennes, la Belle Province fait bonne figure. Les trois modèles qui se retrouvent le plus dans les entrées de cour des Québécois demeurent la Chevrolet Volt, une hybride rechargeable (45%), la Nissan Leaf (19%) et la Tesla Modèle S (8%), indique l'étude de l'AVEQ. La Haute-Yamaska compte entre 6 et 9 véhicules électriques pour 10 000 habitants. Dans Brome-Missisquoi, on en dénombrait entre 9 et 12 par tranche de 10 000 habitants, en date de mai 2015. La moyenne montérégienne s'établit à 10. L'étude révèle aussi que 24% des propriétaires de voitures électriques habitent en Montérégie. Le fait de voir la région au sommet repose sur un ensemble de facteurs, selon Ghislain Poisson, directeur régional pour la Montérégie au sein de l'AVEQ. «Il y a le fait que les gens ont des distances peu excessives à parcourir, mais trop grandes pour être desservies par le transport en commun. Nous avons une bonne concentration d'infrastructures de recharge et comptons sur la présence de concessionnaires à l'avant-garde», note-t-il. Les véhicules à zéro émission, telles la Nissan Leaf, la Tesla Modèle S et la Kia Soul EV côtoient les hybrides rechargeables comme la Chevrolet Volt. Ces engins et toute leur technologie demeurent relativement récents lorsque mis en contexte dans l'histoire de l'automobile. Certaines caractéristiques, l'autonomie des piles et le comportement face à nos hivers rigoureux, entre autres, en freinent plusieurs. Le prix aussi. «Les gens pensent souvent à tort que les prix n'ont pas bougé depuis 2011. L'offre est beaucoup plus abordable maintenant, surtout avec les modèles de fin d'année, affirme M. Poisson. On ne parle plus de véhicules qui coûtent 45 000$, mais plus autour de 30 000$. C'est souvent moins cher d'opter pour une voiture électrique, compte tenu des économies d'essence et d'entretien.» Selon certaines évaluations, les économies s'élèvent à près de 2000$ par année. Québec a mis en place une série de mesures incitatives à travers son programme Roulez électrique. La subvention du gouvernement provincial peut atteindre 8000$ à l'achat ou à la location d'un véhicule électrique. Ceux qui optent pour l'installation d'une borne de recharge à la maison peuvent obtenir jusqu'à 1000$ de remboursement. Malgré le nombre de modèles qui s'ajoutent sur le marché au fil des mois, ce ne sont pas tous les concessionnaires qui en tiennent dans leur inventaire. «Nous en vendons une douzaine par année, une trentaine depuis les débuts en 2012, et on sent que ça ira en augmentant au fil des ans», explique Jean-Pierre Rocheleau, propriétaire du concessionnaire Chevrolet, Buick et GMC à Cowansville, l'un des seuls endroits à Cowansville où il est possible d'acquérir un véhicule électrique neuf (Chevrolet Volt). Le constructeur américain lèvera bientôt le voile sur son modèle de deuxième génération. Le «carburant» Les bornes de recharge poussent à vue d'oeil un peu partout et leur nombre dépasse les 750 au Québec. Le prochain défi? L'apparition plus fréquente de bornes de recharge à haute vitesse (400 volts), qui régénèrent les batteries en une trentaine de minutes, selon les conditions. Le Québec n'en compte que 20. Une telle infrastructure est d'ailleurs dans les cartons à Granby. Tesla Motors installait récemment à Drummondville un de ses «superchargeurs», un parc de bornes qui doivent permettre de recharger gratuitement les véhicules de la marque en quelques minutes, au lieu de quelques heures. Un autre est aménagé dans la salle de montre du groupe à Montréal. Le Québec bien positionné? Les retombées du marché des voitures électriques pour le Québec sont loin d'être négligeables. «C'est un avantage sur le plan économique et sur le plan environnemental, puisque nous produisons notre électricité à partir de l'eau. La voiture électrique permet également d'utiliser les surplus d'électricité. Le problème, c'est que le prix du baril de pétrole a baissé. Tant que le prix à la pompe est bas, les consommateurs vont attendre. Je pense que c'est inévitable, la voiture électrique va percer le marché, mais ça va prendre plus de temps», observe Robert Benoit, membre du conseil d'administration d'AddÉnergie, une importante entreprise de bornes de recharge. Celle-ci remportait fin 2014 un appel d'offres d'Hydro-Québec pour l'implantation d'une cinquantaine de bornes de recharge rapide. «À cause des changements climatiques et de la pollution atmosphérique, il y a d'importants investissements qui seront faits au niveau institutionnel. Il faut travailler sur les modes de transport et trouver des solutions pour diminuer la consommation de pétrole.» Emboiter le pas Des bornes de recharge sont implantées un peu partout sur le territoire. L'Auberge Knowlton annonçait récemment s'en être munie d'une dégageant 240 volts. Les propriétaires affirmaient par voie de communiqué vouloir ainsi soutenir le tourisme durable. Et nul besoin d'être client pour l'utiliser, moyennant des frais de 5$. «Nos recherches nous indiquaient qu'il n'y a pas de borne dans les environs.» Le Zoo de Granby vient d'implanter quatre bornes dans son stationnement, dans le cadre d'un programme visant à encourager les employeurs à soutenir leurs travailleurs électromobilistes. Le Musée des communications et d'histoire de Sutton y allait également de sa propre initiative récemment, en offrant à ses visiteurs de se brancher sur le 110 volts en explorant l'une de ses expositions. Diversité de l'offre Plusieurs pas restent à faire avant de voir nos autoroutes remplies de convois de voitures fonctionnant à l'électricité. L'AVEQ fait pression auprès du gouvernement du Québec pour que celui-ci prenne le virage de l'initiative Zéro émission. L'adoption d'une telle loi, proposée par le Parti québécois, imposerait aux concessionnaires la vente d'un quota minimal de véhicule à zéro émission, dans l'intention de diversifier l'offre. Dix États américains, dont la Californie, en font déjà autant. Selon les estimations, cela représenterait 2% des véhicules vendus en 2016, pour grimper à 11% en 2019. «On souhaite que le Québec s'inspire de ce qui se fait aux États-Unis. Ce serait une façon d'accélérer le mouvement, parce qu'on ne sent pas toujours une volonté très forte des manufacturiers automobiles», juge M. Poisson. Le Québec pourrait ainsi devenir la première province canadienne à emprunter cette voie. Le Québec ratifiait récemment une entente avec la Californie et les Pays-Bas pour que tous s'échangent leurs bons coups en lien avec l'arrivée sur le marché des véhicules électriques. «On trouve intéressant qu'il y ait une telle volonté gouvernementale.» La voiture électrique en chiffres Une moyenne de 200 voitures électriques s'ajoutent mensuellement sur les routes du Québec. 86 % des électromobilistes sont des hommes et 14 % des femmes; ils sont en moyenne âgés de 45 ans. Le Québec compte environ 10 bornes de recharge publique par tranche de 100 000 habitants. Il se classe derrière la Colombie-Britannique avec ses 15 unités per capita ou le Vermont, à 20 unités. En date de juin 2015, la Montérégie demeure la région avec le plus grand nombre de bornes de recharge publique avec 146, devant Montréal (138) et la Capitale nationale (129). Merci à Ghislain Poisson, notre directeur régional pour la Montérégie. Ce dernier à donné l'entrevue au journaliste afin de réaliser cet article. Source : Ghyslain Forcier - Granby Express Contribution : Martin Archambault GranTuned Automobile, une entreprise de conversion électrique de véhicule affiliée à l’École de technologie supérieure (ÉTS), vise haut. Son président Andy Ta souhaite répondre à la demande grandissante du gouvernement et des municipalités d’électrifier leur flotte de camionnettes utilitaires. »»» Lire GranTuned Automobile (ÉTS) fera la conversion de deux camionnettes F-150 pour le MTQ L’an dernier, GranTuned estimait que les deux camionnettes F-150 du CGER (Centre de gestion de l'équipement roulant du gouvernement provincial) converties à l’électrique sillonneraient les routes du Québec dès octobre ’14. Cependant, bien que les camionnettes soient fonctionnelles, les deux véhicules sont toujours en évolution. L’équipe de jeunes entrepreneurs travaille actuellement sur l’intégration d'une nouvelle transmission servocontrôlée développée par Bert Transmission, une entreprise issue de la course automobile située à St-Constant. Cette transmission viendra compléter le système motopropulseur composé d’un contrôleur TM4, d’un moteur Remy de 160 kW, d’un chargeur Brusa de 6,6 kW et de 48 kWh de batteries Renault/Nissan. Les pièces ainsi que l’autonomie du véhicule qui est estimée à 150 km pourront évoluer selon l’offre sur le marché. On vise donc des chargeurs plus puissants ainsi que des batteries HD lorsqu’elles seront disponibles. L’un des plus grands défis du projet fut la conception d’un système d’attache capable d’être facilement installé et réutilisé sur divers modèles de camionnettes sans pour autant atténuer la sécurité du véhicule, tel que les zones déformables. Aussi, le contrôle électronique de la stabilité du véhicule (ESC) d’origine doit rester fonctionnel. Ce dernier contrôle l’intensité des freins et du moteur lors d’une perte de contrôle du véhicule pour corriger sa trajectoire. GranTuned a déposé des brevets provisoires afin de protéger l’entièreté des inventions. À terme, l’entreprise vise l’installation de son kit de conversion par des garages et des mécaniciens accrédités. Par rapport aux conversions électriques artisanales peu nombreuses que l’on retrouve au Québec, l’équipe possède le soutien depuis le début du CGER, de l’ÉTS et de la SAAQ qui veulent s’assurer que ces véhicules transformés continueront de respecter les règles de sécurité pour les occupants et les voitures environnantes.
Leur prototype est toujours en phase alpha, mais devrait évoluer en bêta dès cet été. À ce moment, des tests de certification seront effectués pour finalement amorcer la fabrication des véhicules précommandés pour l’hiver 2016. Nous suivrons de près l'évolution des produits de cette jeune entreprise québécoise dans les prochains mois. Entrevue: Simon-Pierre Rioux On parle de voitures électriques
L'électromobiliste Robert Dupuy est l'invité à l'émission de télé régionale «Point de Vue» pour discuter des voitures électriques, de son historique et des modèles disponibles au Québec.
Une belle sensibilisation qui est faite auprès du panel et des auditeurs, présentant la réalité de rouler avec des électrons, prenant le temps d'expliquer la différence entre "entièrement électrique" et "hybride rechargeable", avec des photos qui ont causé la surprise dans le studio. Bref, à écouter et à partager avec les néophytes! On félicite M. Dupuy pour son intervention à l'émission. |
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