En général, les voitures d'aujourd'hui sont mieux construites que jamais. Il est difficile de se retrouver avec un citron authentique, avec plus de propriétaires se plaignant de systèmes d'infodivertissement insolites que de défaillances mécaniques majeures.
Mais qu'en est-il des véhicules électriques qui délaissent les moteurs à combustion interne pour les moteurs et les batteries de très grande taille? Bien que beaucoup considèrent les véhicules électriques comme les véhicules de haute technologie du futur, la technologie sous-jacente date de l'avènement de l'ère industrielle. En fait, bon nombre des premières automobiles construites étaient des véhicules électriques. Ils étaient en fait très populaires à la fin du 19e et au début du 20e siècle jusqu'à ce que les progrès des moteurs à essence, et en particulier l’introduction des démarreurs qui remplaçaient la manivelle, entraînent leur déclin.
Quels véhicules électriques sont les plus fiables? Répondre à cette question revient à prévoir le vainqueur d’une course de chevaux, car il faut tenir compte de ses performances passées. Bien sûr, il n’y a aucune possibilité de prédire l’avenir, mais la capacité d’un modèle à résister au fil du temps sera une indication raisonnable de sa durabilité. Malheureusement, cette approche élimine les modèles plus récents qui n’ont pas encore établi de bilan mécanique, ainsi que ceux qui se vendent en nombre infime offrant un échantillonnage négligeable. Consumer Reports est la source experte à consulter ici, évidemment si vous êtes abonné. La publication classe les véhicules en fonction de leur fiabilité, sur la base d’enquêtes approfondies auprès de leurs abonnés. Ils sont classés en fonction de 17 points de troubles potentiels évalués sur cinq points, alors qu’une satisfaction moyenne représente 3 points. Les scores sont basés sur le pourcentage de répondants ayant signalé des problèmes pour des domaines mécaniques et physiques spécifiques, par rapport à la moyenne de tous les véhicules du même modèle pour une année. Sur le plan positif, les véhicules électriques ont tendance à être moins enclins à souffrir de problèmes mécaniques que les modèles à essence. Ils sont propulsés par un moteur électrique et une transmission à une seule vitesse, et éliminent plus de deux douzaines de composants mécaniques qui pourraient tomber en panne ou s'user et nécessiter un remplacement. Cela inclut des éléments tels que les bougies d’allumage, les soupapes, le silencieux / tuyau d'échappement, le distributeur, le démarreur, l’embrayage, les courroies d’entraînement, les canalisations hydrauliques et un convertisseur catalytique. Bien sûr, il reste encore un bon nombre de pièces mobiles dans chaque VÉ, y compris les systèmes de direction, de suspension et de freinage, ainsi que de nombreux composants électroniques, à la fois dans la cabine et dans ceux utilisés pour contrôler le véhicule. Un autre point positif est que les règlementations fédérales exigent que les fabricants garantissent le bloc de batterie d’un VÉ, son composant le plus coûteux, pendant au moins huit ans ou 160 000 km, selon la première éventualité. Hyundai étend cette couverture à vie sur le Kona Electric, tandis que Kia la prolonge à 10 ans ou 160 000 km sur les modèles Niro et Soul EV. Si vous envisagez d'acheter un véhicule électrique, soyez assuré que la balance de la couverture d'origine de la batterie sera automatiquement transférée au nouveau propriétaire. MYEV.com
Contribution: André H. Martel
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Les Granbyens ont pu poser leurs questions sur l’acquisition et l’utilisation d’une voiture électrique samedi dans le cadre de l’Évènement branché de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ). L’évènement organisé pour une troisième année consécutive à la demande de la Ville de Granby a notamment permis à des curieux d’effectuer près de 150 essais routiers.
L’utilisation du véhicule électrique gagne tranquillement du terrain dans la province, mais de nombreux automobilistes sont encore craintifs à l’idée d’abandonner le moteur à essence. C’est du moins la lecture que font la plupart des propriétaires de voitures électriques membres de l’AVÉQ présents samedi à l’évènement.
« Ce sont souvent les mêmes questions qui reviennent. Les gens craignent pour l’autonomie de leur voiture l’hiver et ils ont peur de manquer de batterie. Ce sont des questions pertinentes, mais les craintes ne sont pas fondées. C’est aussi possible de tomber en panne avec une voiture à essence et ce n’est pas une préoccupation pour les utilisateurs », souligne Mario van Rossum fier propriétaire d’un véhicule électrique et membre de l’AVÉQ. Pour répondre aux diverses interrogations du public et permettre aux intéressés de vivre une expérience de conduite électrique en grimpant derrière le volant, l’AVÉQ a invité ses membres bénévoles à prendre part à l’évènement tenu à Granby dans le stationnement de la gare près du lac Boivin. Selon la déléguée régionale de l’organisme en Montérégie, Nathalie Daigle, 24 d’entre eux ont répondu à l’appel. « Pour ma part, c’est très important de faire la promotion de l’utilisation de la voiture électrique. Les gens disent que c’est l’avenir, mais c’est faux ! L’électrique, c’est le présent et ce sont les voitures à essence qui sont les dinosaures sur la route », s’exclame André Robert, un citoyen de Granby membre de l’AVÉQ. Les membres de l’association ont accompagné les intéressés dans de courts essais routiers d’une quinzaine de minutes. « Nous avons prévu un circuit de 4 km. C’est assez pour permettre aux gens de se familiariser avec la voiture tout en permettant à un maximum de personnes de pouvoir faire des essais. Il suffit de prouver qu’on possède un permis de conduire et une assurance automobile et on peut réserver un essai », précise Mme Daigle. La déléguée de l’organisme soulignait que le début de la journée a été particulièrement achalandé. Au passage de La Voix de l’Est, plus de 75 essais avaient déjà été réalisés et les organisateurs prévoyaient doubler ce nombre d’ici la fin de l’évènement. L’AVÉQ fait la promotion de l’utilisation de la voiture électrique depuis six ans. Elle encourage les propriétaires de véhicules branchables à se joindre à l’organisation pour transmettre leur expérience de conduite. « Pour quelqu’un qui pense à acquérir un véhicule électrique, la pire chose à faire, c’est de commencer ses démarches chez le concessionnaire, avertit Martin Archambault, porte-parole de l’organisme. D’une part parce que les voitures électriques ne sont presque jamais en stock, mais aussi parce que les vendeurs sont encore très peu intéressés et connaissent mal leurs véhicules. » Si l’AVÉQ connaît bien les qualités et défauts des véhicules électriques sur le marché, l’organisme se tient loin de la promotion des marques. « On essaie d’offrir le plus large éventail possible de marques et modèles lors de nos évènements. Nous tentons d’avoir les modèles les plus en demande sur le marché, mais ça dépend toujours de la disponibilité de nos bénévoles. Selon les besoins des gens, on les dirige vers un modèle ou un autre. On donne l’heure juste aux gens, pas que les avantages », assure Martin Archambault. Une façon de faire qui a séduit Serge Longpré et Josée Bourgault, deux résidents de Shefford qui souhaitent faire la transition vers la voiture électrique. « Les gens n’essaient pas de vendre une voiture plutôt qu’une autre ils ne font pas de commission. Notre premier essai routier a permis d’effacer certaines craintes. Pour nous et nos besoins, c’est clair que notre prochaine voiture sera électrique », affirme M. Longpré. L’AVÉQ participe à plusieurs dizaines d’évènements un peu partout au Québec. Il est également possible de demander un essai routier à la carte via le site web de l’organisme. Les intéressés peuvent alors choisir le type de véhicule qu’ils aimeraient essayer et l’association se charge de les mettre en contact avec un propriétaire de leur région. Reportage intégral de : Mickael Lambert La Voix de l'Est
Contribution: André H. Martel
Le volume des ventes mondiales de voitures électriques représente à peine un point de pourcentage ou deux du total des ventes annuelles de toutes les voitures, mais elles retiennent toute l'attention de nos jours. Une partie de cette flambée d’attention est liée au flamboyant Elon Musk de Tesla, responsable du développement d’étonnantes voitures.
Cela fait une décennie maintenant que Musk et son groupe d’ingénieurs ont transformé avec peu d’outils et quelques rubans adhésifs une Lotus en un premier Model Tesla. On doit reconnaitre que dix ans plus tard, Musk et sa compagnie dont la valeur est estimée à 200 milliards $, l’une des quatre ou cinq entreprises qu’il gère simultanément est toujours le leader du marché, le meilleur concepteur et le plus gros vendeur de véhicules électriques dans le monde.
Quelqu'un peut-il construire un meilleur véhicule électrique (VÉ) que Tesla? Le concepteur des meilleurs aspirateurs disponibles sur le marché pense qu'il le peut!
Le milliardaire britannique James Dyson, est à peu près aussi éloigné que possible de l’image que représente Elon Musk. En 2017, Dyson a choqué l’industrie automobile en annonçant qu'il allait investir plus de 3 milliards de dollars dans la création d'une voiture électrique et a récemment publié des demandes de brevet qui pourraient nous permettre de comprendre ce que sera le futur véhicule de Dyson.
Selon la demande de brevet de Dyson, sa voiture électrique aurait une forme élancée qui n'est pas sans rappeler le Model Y Tesla et comporterait trois rangées de sièges. IMAGE: BREVETSCOPE
Comme Elon Musk, Dyson est un ingénieur accompli. Si vous utilisez toujours un aspirateur traditionnel, il est temps d’acheter une Dyson. C’est cher, mais les bonnes choses dans la vie le sont généralement. Mais un produit Dyson présente un superbe design, un look différent et fonctionne mieux que la concurrence. Pourquoi est-ce si bon? Parce que Sir James Dyson est particulier, pointilleux et précis. Dyson est une société privée, donc personne ne peut lui dire quoi faire pour calmer les grincements des investisseurs. Au lieu de cela, Dyson et son équipe d'ingénieurs font ce que les sociétés, privées ou publiques, devraient toujours faire: Raffiner, améliorer, innover. C’est la constante amélioration que Dyson apporte à ses produits, le je-ne-sais-quoi qui incite les clients à acheter les produits Dyson. Ce soucis de l’amélioration augure bien pour la conception des futures voitures. Mais contrairement à Elon Musk, James Dyson n’est pas un chef de projet impulsif. Dyson âgé de 71 ans, a fait le tour du pâté de maisons à plusieurs reprises. Il a construit Dyson Ltd. à la dure, avec beaucoup de travail acharné (selon Wikipedia il aurait réalisé plus de 5 000 prototypes avant d’être satisfait du produit) et tout cela sans aucune aide gouvernementale ou de quiconque à l'exception de son épouse qui est enseignante. Comparé à Elon Musk, il symbolise plutôt la tortue qui court contre un lièvre. Mais il devra s’activer s’il veut créer un impact dans ce nouvel environnement et il semble prêt à bouger. Dyson est obsédé par les moteurs et les batteries. Les aspirateurs à piles de Dyson fonctionnent parce qu’il a perfectionné il y a plusieurs années la séparation cyclonique, mais récemment, il s’est concentré à améliorer le fonctionnement de sa technologie, plus spécialement ce qui concerne les moteurs électriques. Les moteurs des aspirateurs Dyson tournent à 125 000 tour / min et ils fonctionnent avec des piles logées dans un petit boîtier que vous utilisez comme un sabre laser. C'est impressionnant. Est-ce que cela pourrait fonctionner dans une voiture électrique? Maintenant, imaginons le tout à plus grande échelle. La technologie, le savoir-faire, les méthodes et les moyens sont déjà là. Dyson a acheté une ancienne base de la RAF en Grande-Bretagne et l'a reconvertie en une installation de R & D pour son projet de voitures électriques. Une usine pour manufacturer les voitures est en construction à Singapour. Dyson a déclaré que les voitures devraient entrer en production en 2020, dans sept mois seulement. Est-ce possible? Tesla est réputé pour ne pas avoir toujours tenu ses promesses. Même si construire des voitures n’est pas la même chose que de construire des aspirateurs, il ne serait pas étonnant que les premiers échantillons sortent des lignes à Singapour au cours des 19 prochains mois, Le plus gros obstacle pour Dyson sera peut-être les batteries. Alors que la société continue d’améliorer les performances et les durées d’exploitation des batteries de ses produits et en tant que fabricant de batteries de premier plan, Dyson s’intéresse également au graal de la technologie des batteries: la batterie à semi-conducteurs. Dyson a investi des millions de dollars dans la startup de batteries Sakti3, dirigée par Ann Marie Sastry . De toute évidence, il n'est pas seul dans cette quête. Mais si Dyson pouvait y arriver en premier, cela serait peut-être ce qui catapulterait Dyson au-dessus de Tesla et de tous les autres. Le fait de breveter une technologie de batterie solide et évolutive, puis de la vendre pour des milliards à des concurrents modifie le jeu non seulement pour les voitures, mais également pour les batteries que le monde utilisera de plus en plus à mesure qu’il se détache du pétrole. Et une entreprise d'ingénieurs qui fabrique des aspirateurs et d'autres produits toujours plus performants alimentés par des batteries pourrait très bien devenir le meilleur incubateur possible pour cette technologie en pleine mutation. Dyson a l'argent. Avec une valeur nette comprise entre 6 et 12 milliards de dollars selon la méthode de comptabilisation, Dyson a les moyens pour financer la R & D, les usines, les aspects juridiques, la robotisation et peut, si nécessaire, faire appel au crédit. Tout le monde aime suivre les états d'âme d'Elon Musk sauf peut-être ses actionnaires, alors que la société oscille entre profit et perte, et que le fondateur oscille entre épisodes de grande lucidité et de folie apparente. Idéal pour les médias, pas si bon pour le moral, le cours des actions ou les calendriers de production. Mais les ambitions de Dyson sont clairement un peu plus compactes et ennuyeuses. Axé sur le produit, orienté ingénierie, éprouvé et rentable, Dyson apporte l’avantage commercial à l’activité de démarrage d’une voiture électrique. Bien sûr, jusqu'à présent, il ne fabriquait que des aspirateurs, des sèche-mains, des sèche-cheveux et des appareils qui chauffent, refroidissent et purifient l'air de votre appartement. Ce qu'il ne produit pas encore, ce sont des voitures, et les voitures sont difficiles à produire, assujettis à la règlementation, la bureaucratie, la politique et la fidélité à la marque. Des erreurs seront commises. Des problèmes vont surgir. Les retards sont prévisibles. Mais avec un bon timonier et quelques avancées majeures en termes de technologie et peut-être un heureux timing ces éléments pourraient faire la différence entre demeurer dans l'ombre de Tesla ou prendre le leadership dans l'une des plus importantes courses technologiques actuelle. La passion est-elle la clé du progrès ou la discipline est-elle le vrai chemin vers l’avenir de la voiture électrique? Dans la fable de Lafontaine, le lièvre n’a pas remporté la course contre la tortue. Mais dans notre univers, qqui sera le gagnant? Forbes
Contribution: André H. Martel
L'analyse d’IRENA (Agence internationale de Renouvèlement Énergétique)) explore le potentiel et l'impact de la recharge intelligente de véhicules électriques sur la transition énergétique.
Aujourd'hui, la voiture utilise encore des carburants fossiles, mais la pression croissante pour l’action climatique, la baisse des coûts des batteries et les préoccupations liées à la pollution de l'air dans les villes ont donné vie à ce véhicule électrique, jadis considéré comme trop cher et négligé par les consommateurs.
Alors que de plus en plus de véhicules électriques (VÉ) surpassent désormais les capacités de leurs homologues fonctionnant à l'énergie fossile, les planificateurs énergétiques cherchent à utiliser judicieusement cette innovation au garage: une voiture est en général 95% du temps stationnée. Le résultat est qu’en mettant en place une infrastructure minutieusement planifiée, les VÉ branchés en stationnement pourraient devenir les banques de réserve d’énergie du futur, stabilisant les réseaux électriques alimentés par l’énergie éolienne et solaire ou hydro électrique.
Une station de recharge de voiture électrique alimentée par le PV solaire
«Un regroupement de véhicules électriques peut créer une vaste capacité de stockage d'électricité, alors que si tout le monde charge simultanément sa voiture le matin ou le soir, les réseaux électriques peuvent devenir stressés. Le moment de la recharge est donc critique. La tarification intelligente qui contrôle la recharge des véhicules et facilite l’alimentation du réseau, fait en sorte que les énergies renouvelables rendent les transports plus propres et que les véhicules électriques supportent une plus grande part des énergies renouvelables », a déclaré Dolf Gielen, directeur du centre de technologie et d'innovation d'IRENA.
À partir d'exemples concrets, un nouveau rapport de l'IRENA, appelé Innovation Outlook propose une tarification intelligente des véhicules électriques, il guide les pays sur la manière d'exploiter le potentiel de complémentarité entre l'électricité renouvelable et les véhicules électriques. Il fournit aux décideurs des lignes directrices pour la mise en œuvre d'une stratégie de transition énergétique tirant le meilleur parti des véhicules électriques. Mise en œuvre intelligente: Une charge intelligente consiste à adapter le cycle de charge des véhicules électriques aux conditions du système d'alimentation et aux besoins des utilisateurs du véhicule. «La tarification intelligente est l' une des innovations suivies de près par IRENA et qui présente de nombreux avantages. En réduisant les contraintes de recharge des véhicules électriques sur le réseau, la tarification intelligente peut rendre les systèmes électriques plus flexibles pour l'intégration des énergies renouvelables, et offre une option d'énergie électrique à émission zéro pour le secteur des transports, tout en répondant aux besoins de mobilité », a déclaré M. Gielen. L'absorption rapide des véhicules électriques dans le monde signifie qu'une recharge intelligente pourrait permettre d'économiser des milliards de dollars en investissements dans les réseaux nécessaires pour faire face aux demandes de recharge de véhicules électriques de manière contrôlée. Par exemple, le gestionnaire de réseau de distribution à Hambourg, Stromnetz Hamburg, teste un système de charge intelligent qui utilise des technologies numériques qui contrôlent la charge des véhicules en fonction des systèmes et des exigences des clients. Une fois pleinement mis en œuvre, cela réduirait de 90% la nécessité d'investir dans le réseau dans la ville causée par les recharges des VÉ. L'analyse d'IRENA indique que si la plupart des véhicules de tourisme vendus à partir de 2040 étaient électriques, plus d'un milliard de véhicules électriques pourraient être sur les routes d'ici 2050, contre 6 millions aujourd'hui, ce qui représente une capacité de batteries stationnaires hors norme. Les projections suggèrent qu'en 2050, environ 14 térawattheures (TWh) de batteries de véhicules électriques pourraient être disponibles pour fournir des services au réseau, contre seulement 9 TWh de batteries fixes. Selon Francisco Boshell, analyste chez IRENA, qui surveille l’élaboration et la mise en œuvre de stratégies relatives aux véhicules électriques dans le monde entier, la mise en œuvre de systèmes de recharge intelligents va du plus simple au plus avancé. «Les approches les plus simples encouragent les consommateurs à différer leur tarification des heures de pointe aux heures creuses. Des approches plus avancées utilisant la technologie numérique, telles que les mécanismes de contrôle direct, qui pourront dans un proche avenir servir le système électrique en fournissant un équilibrage énergétique et des services auxiliaires en temps quasi réel », explique M. Boshell.
Formes avancées de recharge intelligente
Une approche de recharge intelligente avancée, appelée Vehicle-to-Grid (V2G), permet aux véhicules électriques de ne pas simplement retirer de l'électricité du réseau, mais également de réinjecter de l'électricité dans le réseau. La technologie V2G peut créer une analyse de rentabilisation pour les propriétaires de voitures, via des agrégateurs, afin de fournir des services auxiliaires au réseau. Cependant, pour que les propriétaires de voitures soient intéressés, la tarification intelligente doit répondre aux besoins de mobilité, ce qui signifie que les voitures doivent être facturées au besoin, au moindre coût, et que les propriétaires doivent éventuellement être rémunérés pour la fourniture de services au réseau. Des politiques, tels que des rabais pour l’installation de points de charge intelligents ainsi que des tarifs à l’heure d’utilisation, peuvent encourager le déploiement de la facturation intelligente.
«Ce concept a déjà été testé au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et au Danemark», a déclaré Boshell. «Par exemple, depuis 2016, Nissan, Enel et Nuvve collaborent et travaillent sur une solution de gestion de l'énergie permettant aux propriétaires de véhicules et aux utilisateurs d'énergie de fonctionner en tant que pôles énergétiques individuels. Leurs deux projets pilotes au Danemark et au Royaume-Uni ont permis aux propriétaires de véhicules électriques Nissan de gagner de l'argent en envoyant de l'électricité au réseau via des chargeurs bidirectionnels d'Enel. ” Solution parfaite? Les véhicules électriques ont beaucoup à offrir pour accélérer le déploiement d'énergies renouvelables variables, mais leur adoption pose également des problèmes techniques qui doivent être surmontés. L'analyse IRENA suggère que la recharge non contrôlée et simultanée de véhicules électriques pourrait considérablement augmenter la congestion des systèmes d'alimentation. Il en résulterait des limitations pour augmenter la part de l'énergie solaire photovoltaïque et éolienne dans les systèmes électriques, et la nécessité d'investissement supplémentaires dans l'infrastructure électrique sous la forme de câbles de remplacement, de transformateurs, de commutateurs, etc. Cependant, le développement de l’autopartage, le développement de la conduite autonome à savoir des innovations en matière de covoiturage ou la mise en place de programmes permettant aux propriétaires de mettre leurs véhicules à la disposition de locateurs lorsqu’ils ne les utilisent pas, pourraient perturber la disponibilité potentielle d’un réseau de stabilisation d’énergie, car les batteries seraient moins longtemps connectées et deviendraient moins disponibles sur le réseau. IRENA.org
Contribution: André H. Martel
Hydro-Québec sollicite actuellement des offres en vue de l’implantation d’un microréseau électrique d’avant-garde dans le nouveau centre-ville de Lac-Mégantic. Les soumissions seront reçues jusqu’au 25 avril prochain.
Le microréseau électrique de Lac-Mégantic est un projet visionnaire de développement urbanistique durable. C’est une première au Québec : un nouveau quartier à échelle humaine qui intégrera de la production d’électricité solaire, des batteries permettant le stockage d’énergie, des bâtiments intelligents dotés d’équipements de gestion de la consommation énergétique, ainsi que des bornes de recharge pour véhicules électriques.
À terme, le projet sera composé d’une trentaine de bâtiments commerciaux, institutionnels et résidentiels. Il sera relié au réseau principal d’Hydro-Québec, tout en pouvant fonctionner de manière autonome grâce à jusqu’à 1000 panneaux solaires photovoltaïques et plus de 300 kWh batteries stationnaires pour stocker l’énergie intermittente produite.
Ce projet est véritablement gagnant-gagnant. Hydro-Québec pourra y expérimenter de nouvelles pratiques écoénergétiques qui promettent de réduire, dans le futur, le coût des nouvelles infrastructures de distribution électriques et les fluctuations de la demande électrique en période de pointe. De leur côté, les clients et habitants y bénéficieront, entre autres, d’un confort accru, d’une consommation énergétique réduite et d’une alimentation électrique stable qui ne craint pas les pannes électriques. Ce projet est au coeur de la reconstruction du centre-ville de Lac-Mégantic (détruit lors d’une catastrophe ferroviaire il y a déjà 6 ans). Il est le résultat d’un partenariat noué entre Hydro-Québec et la Ville de Lac-Mégantic. Le déploiement progressif devrait commencer dès cet été. Intéressés ? Consulter l’appel d’offres sur le SEAO (payant)
Selon l’étude annuelle de CAA-Québec, les garanties offertes par les constructeurs de véhicules électriques sont imprécises et variables. Un certain flou est entretenu chez beaucoup de constructeurs. CAA-Québec en appelle à une clarification des détails de garanties de véhicules électriques.
Dans une entrevue à TVA nouvelles, Annie Gauthier, porte-parole de CAA Québec dévoile les résultats d’une étude comparative qui fera sourciller beaucoup d’acheteurs de véhicules électriques : la plupart des fabricants de VÉ offrent une garantie de base de 8 ans ou 160 000 km, mais on ne vous garantit pas qu’on va la remplacer par une neuve.
Là où le bât blesse, c’est que certains constructeurs semblent même maintenir un flou artistique autour de cette question. Tesla se démarque avec de l’information claire et honnête, et en garantissant que la batterie de remplacement sera de même capacité résiduelle ou plus. Mais c’est loin d’être le cas des autres marques de véhicules électriques, où l’information se révèle décevante et imprécise… lorsqu’elle existe ! Chez Nissan, Hyundai, Kia ou Volkswagen, on s’engage à remplacer la batterie défectueuse par une batterie de remplacement qui aura au moins 70% de sa capacité d'origine, peu importe la capacité résiduelle de la batterie défectueuse (c’est à la discrétion du manufacturier, avec la mention «selon l'âge et le kilométrage»). Chez Chevrolet, on pourrait même vous mettre une batterie dont l’autonomie est réduite à 60 %… Qu'en est t'il de la durée de vie garantie ? Pour la plupart des marques, on ne précise même pas de détails sur l’état minimal de la batterie de remplacement. Même chose pour la garantie de capacité minimale en fin de garantie, qui est inexistante chez la plupart des fabricants. Seuls BMW, Chevrolet, Hyundai, Kia, Mini, Nissan, Tesla, Volkswagen et Volvo offrent une telle garantie qui varie entre 55% et 73%. CAA en appelle aux constructeurs pour qu’ils s’assurent que les acheteurs de véhicules électriques peuvent faire leur choix en toute connaissance de cause. Les défectuosités de batteries sont très rares, mais l’acheteur qui rencontrerait un tel problème pourrait se sentir extrêmement lésé. Un étude à découvrir sur le site de CAA-Québec et un bon reportage à écouter sur TVA Nouvelles
La nouvelle LEAF e+ apportera des améliorations notable en lien avec la capacité de sa batterie qui sera de 62 kWh , ce qui donne une autonomie théorique de 364 selon le cycle EPA
Il est maintenant confirmé que NIssan utilise encore des cellules lithiu-ion de AESC (même chose que dans les LEAF 2018-2019 actuelles) . Ces batteries sont assemblées à l'usine du Tennessee. Il y aurait 288 cellules, alors que les LEAF actuelles de 40 kWh en ont 192. Par contre, une meilleure densité énergétique permet d'avoir une batterie qui physiquement n'est que légèrement plus grosse que la batterie de 40 kWh.
En résumé, si on compare la nouvelle LEAF e+ avec la LEAF 2018-2019 actuellement de 40 kWh
Vidéo de la production de la batterie de cette nouvelle LEAF e+ Contribution : Martin Archambault Source : InsideEvs
Centrica soutient le plus gros projet commercial de véhicules électriques au monde; Réduire l’empreinte carbone du père Noel avec des camions électriques; La compagnie Autobus Volvo donne une seconde vie aux batteries; L’Illinois reconnu comme un leader américain de la modernisation du réseau électrique; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Les premiers bus construits par BYD France sont livrés; Les ventes de novembre ne dépassent pas le meilleur mois de vente des VÉ aux États-Unis; Waymo One lance son service d’autopartage automatisé à Phoenix; Le marché mondial des camions électriques (2019-2023) : la baisse des prix des batteries stimulerait la demande de camions électriques; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Bentley n’est toujours pas satisfait du niveau de technologie des batteries; La Maison Blanche souhaite plus de production automobiles allemandes aux États-Unis; 250 Renault Zoé en autopartage à Oslo; Le Québec adhère à une déclaration sur la mobilité électrique présentée par la Pologne à la 24e Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
La compagnie de transport publique Hamilton Street Railway teste des autobus électriques; Le RTL va rouler de plus en plus électrique; Voiture électrique : Macron veut une stratégie européenne dans les batteries; Les réflexions du PDG de ChargePoint sur le futur de la recharge des VÉs et sur les « Superchargers » de Tesla; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Vous avez peut-être entendu parler de l'investissement majeur de la Caisse de dépôt dans une entreprise américaine fabricante de batteries ? Sûrement une belle acquisition… mais attention, ça n'a rien à voir avec les véhicules électriques.
Eh non ! La Caisse de dépôt n'a pas investit dans une compagnie de batteries qui propulse l'électrification des transports, contrairement à ce que l'article du Soleil semble laisser croire lorsqu'on y parle de «ces batteries, utilisées dans la plupart des véhicules automobiles hybrides et électriques».
En fait, Power Solutions fabrique principalement des batteries au plomb, présentes dans tous les véhicules (y compris les voitures hybrides et électriques), mais aussi utilisées pour des applications de stockage d'énergie. Leur catalogue comprend aussi, entre autre, des batteries NiCd et même une gamme d'unités d'alimentation de secours (UPS) composées de batteries au lithium, mais aucune batterie au lithium-ion pour voitures électriques Soit-dit en passant, Power Solutions est probablement un très bon investissement, très solide de surcroit, pour notre bas de laine collectif. Mais il ne faut cependant pas y voir un autre preuve de l'intérêt de la CDPQ pour la transition vers des transports décarbonisés… à moins qu'on y ambitionne en haut lieu de faire prendre un virage dans cette direction à Power Solutions ? Souhaitons que nous verrons un jour notre CDPQ investir dans une usine de batteries au lithium-ion pour véhicules électriques, purement québécoise. Nous ne sommes pas les seuls à le souhaiter ardemment !
Voitures électriques : le jour où le prix des batteries baissera...; GM croit qu’elle va dominer le marché de l’électrique … d’ici une dizaine d’années; La Caisse de dépôt achète la division de batteries pour véhicules de Johnson Controls; Un milliard d’Euros dans la production locale de batteries pour soutenir la croissance de l’industrie des véhicules électriques; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
L’auto électrique du peuple; Un autre Salon du véhicule électrique à Saint-Hyacinthe; Recyclage des batteries : Audi et Umicore vers un processus à l’infini; Le vol en avion électrique devient réalité - le marché des avions régionaux de Bombardier ciblé; En Autriche, les voitures électriques pourront circuler plus rapidement que les autres; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Apple travaillerait sur des batteries pour voitures de course; Service incendie : Saint-Léon et Saint-Nazaire bien équipés; Cummins et Purolator testent un camion électrique à Ottawa; Taxis : les taxis noirs électriques londoniens arrivent à Paris; Deux autobus électriques Nova Bus à Vancouver dans le cadre du projet CRITUC; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Guerre commerciale avec les États-Unis: BMW investit 5,4 G$ en Chine; Voiture électrique Dyson: d’abord l’aérodynamisme et la batterie; La nouvelle norme que veut établir la Hyundai Kona électrique; Le Danemark veut éliminer les moteurs à combustion interne dès 2030; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Mondial 2018 : Renault EZ-Ultimo, la navette électrique premium; Car2Go va lancer 400 Smart électriques en autopartage à Paris; Batteries pour véhicules électriques: à la recherche d'une révolution technologique; La Californie rejette les directives sur les émissions de CO2 de l’agence de protection de l’environnement concernant la vente des automobiles; Une première mondiale: Un avion électrique à pile à hydrogène pour passager : L’ »Element One »;Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Voitures électriques : le jour où le prix des batteries baissera; Le Hyundai Kona électrique en vente sur Amazon; Petits et grands pas vers la carboneutralité; Un site web vient en aide aux conducteurs de véhicules électriques qui fuient l’ouragan Florence et Tesla augmente l’autonomie de ses véhicules; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Volvo Trucks présente une nouvelle solution de transport constituée de véhicules autonomes et électriques; Mobilité durable et urbanisme: Plus de place pour les stationnements dans les nouveaux édifices à Montréal; Une première mondiale: Bombardier Transports présente son nouveau train électrique alimenté par batterie et devient un standard de référence pour la mobilité durable; New York propose un programme de lutte contre les changements climatiques en 5 points; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : André H. Martel
Un Danois invente une batterie solaire qui se recharge en 1 minute; Le Parti québécois souhaite créer une plateforme pour favoriser l’autopartage; Dyson construit un circuit d’essai pour ses véhicules électriques; Peugeot 208 électrique : un design conforme aux versions classiques; Les services de transport sur demande de Daimler sont utilisés par 24.4 millions de clients; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : André H. Martel
Les équipes de Faraday Future (FF) franchissent une étape importante à l'usine de production de Hanford; L’entreprise de transport Grab confirme vouloir ajouter 200 véhicules électriques à recharges rapides à Singapour; Aux États-Unis l’utilisation des énergies renouvelables a surpassé l’énergie nucléaire dans la première moitié de 2018; Des chercheurs auraient développé une batterie dite liquide pouvant se recharger en quelques secondes; Un fabricant allemand de véhicules récréatifs a construit une roulotte de camping électrique; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : André H. Martel
La compagnie chinoise Envision prend le contrôle de la division des batteries de Nissan; Des navettes automatisées à l’essai à Montréal; L’Électrification accélèrerait l’adoption des véhicules à traction intégrale; La société néerlandaise Mister Green EV a jusqu’à présent loué 1000 Tesla; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : André H. Martel
Tesla développe constamment des outils pour mieux protéger ses batteries en cas d’incendie; Tests d’homologation : les constructeurs soupçonnés de nouvelles manipulations; Acheteurs de véhicules électriques ontariens, protégez-vous! ; Le premier modèle de la Volt de GM était aussi un véhicule hybride rechargeable, mais il fut construit en 1980. : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture !
Contribution : André H. Martel
Le géant chinois de la batterie s'installe en sauveur en Allemagne; Toutes les voitures électriques en vente au Québec; BMW iX3 : le futur SUV électrique fabriqué en Chine avec Brilliance; Tesla a dominé les ventes de véhicules électriques au Canada en juin. Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : André H. Martel
Nemaska Lithium Inc. (" Nemaska Lithium " ou la " Société ") (TSX:NMX) (OTC:NMKEF) et LG Chem, Ltd. (" LG ") sont heureuses d’annoncer la signature d’une entente visant l’approvisionnement par la Société d’hydroxyde de lithium de qualité batterie à LG.
" Nous sommes heureux de ce premier pas vers l’établissement d’une relation commerciale à long terme entre LG et Nemaska Lithium. La signature de cette entente s’avère un vote de confiance clair par LG en notre plan d’affaires et notre capacité comme fournisseur à long terme d’hydroxyde de lithium ", a declaré Guy Bourassa, président & chef de la direction de Nemaska Lithium.
D’après cette entente, Nemaska Lithium a convenu de fournir à LG, sur une base d’achat ferme (take-or-pay) et par l’entremise de sa filiale à part entière Nemaska Lithium Shawinigan Transformation Inc., 7 000 tonnes par année d’hydroxyde de lithium produit à l’usine commerciale de la Société à Shawinigan, pour une période initiale de livraison de 5 ans dont le commencement est prévu en octobre 2020. Nemaska Lithium peut, si cela s’avère nécessaire, reporter le commencement de la période de livraison, à l’intérieur de certain paramètres stipulés dans l’entente et d’après le début anticipé pour la mise en service, la montée en puissance et la production à l’usine de Shawinigan. Avec cette entente supplémentaire de vente et en tenant compte du droit de première offre octroyé à SoftBank Group d’acheter jusqu’à 20% de la production, Nemaska Lithium a désormais engagé, y compris par entente de principe, plus de 90% de sa capacité anticipée de 33 000 tonnes par année d’équivalent carbonate de lithium (LCE). À propos de Nemaska Lithium Nemaska Lithium est une entreprise chimique en développement dont les activités seront intégrées verticalement, de l’extraction minière de spodumène jusqu’à la commercialisation d’hydroxyde et de carbonate de lithium de haute pureté. Ces sels de lithium sont destinés principalement au marché en forte croissance des batteries au lithium-ion, propulsé de plus en plus par la demande en matière d’électrification des transports et de stockage d’énergie à l’échelle mondiale. Grâce à ses produits et procédés, Nemaska Lithium compte faciliter l’accessibilité aux énergies vertes, au bénéfice de l’humanité. La Société exploitera la mine Whabouchi au Québec, au Canada, l’un des plus importants gisements de spodumène au monde, tant en termes de volume que de teneur. L’entreprise transformera, à l’usine de Shawinigan, le concentré de spodumène produit à la mine Whabouchi grâce à un procédé unique d’électrolyse membranaire pour lequel la Société détient plusieurs brevets. Nemaska Lithium est un membre de l’indice des titres à petite capitalisation S&P/TSX, de l’indice minier mondial S&P/TSX, de l’indice des métaux de base mondial S&P/TSX, de l’indice mondial des métaux de base à pondération égale S&P/TSX et de l’indice MSCI Canada des titres à petite capitalisation. Pour obtenir de plus amples renseignements, visitez le site nemaskalithium.com ou twitter.com/Nemaska_Lithium. À propos de LG Chem LG Chem, Ltd. est la plus importante entreprise chimique diversifiée de Corée qui exploite trois principales unités d’affaires: pétrochimie, TI et matériel électronique, et solutions énergétiques. Fondée en 1947, la société compte maintenant plus de 29 000 employés globalement. Le groupe chimique fabrique une large gamme de produits, allant de la pétrochimie aux plastiques à haute valeur ajoutée. Il étend également son expertise chimique dans des domaines de haute technologie tels que le matériel électronique et les batteries lithium-ion. Avec plus de 20 ans d’expérience dans le développement et la production de ces batteries, LG Chem s’impose comme l’un des chefs de file mondiaux de la fabrication de batteries lithium-ion. La société est un des principaux fournisseurs de batteries au lithium dans le monde pour les industries du téléphone mobile, des véhicules hybrides / électriques et du système de stockage d’énergie (ESS). Pour obtenir de plus amples renseignements, visitez le site http://www.lgchem.com/global/main. Mise en garde relative aux énoncés prospectifs Tous les énoncés, autres que les faits historiques, contenus dans le présent communiqué de presse, y compris, sans s’y restreindre, ceux relatifs à la fourniture par la Société à LG de 7 000 tonnes métriques par année d’hydroxyde de lithium de qualité batterie, constituent de " l’information prospective " ou des " énoncés prospectifs " selon le sens attribué par certaines lois sur les valeurs mobilières et sont fondés sur des attentes, des estimations et des prévisions faites en date du présent communiqué de presse. Certaines hypothèses importantes faites par la Société dans ses énoncés prospectifs comprennent, sans s’y limiter, la mise en service, la montée en puissance et la production à l’usine de Shawinigan. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse comprennent, sans s’y limiter, ceux liés (i) au commencement de la livraison, en octobre 2020, de 7 000 tonnes par année d’hydroxyde de lithium par la Société à LG, (ii) au report possible du commencement de la période de livraison, (iii) à l’établissement d’une relation commerciale à long terme entre LG et la Société, (iv) à la capacité anticipée de 33 000 tonnes par année d’équivalent carbonate de lithium, et (v) de manière générale, au paragraphe " À propos de Nemaska Lithium " ci-dessus qui décrit essentiellement les perspectives de la Société. Les énoncés prospectifs sont nécessairement fondés sur un certain nombre d’estimations et d’hypothèses qui, bien que considérées comme raisonnables par la Société au moment où ces énoncés ont été formulés, sont assujetties à des incertitudes et à des imprévus importants sur les plans opérationnel, économique et concurrentiel. Ces estimations et ces hypothèses peuvent s’avérer inexactes. Beaucoup de ces incertitudes et de ces imprévus peuvent affecter directement ou indirectement ou pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux avancés ou sous-entendus dans les énoncés prospectifs. Rien ne garantit la mise en production commerciale de l’usine de Shawinigan, puisque les résultats des efforts de financement de la Société ainsi que les événements futurs, pourraient sensiblement différer de ce qui est présentement anticipé par la Société. De par leur nature même, les énoncés prospectifs comportent un nombre d’incertitudes et de risques intrinsèques, tant généraux que particuliers, et il est possible que les estimations, prévisions, projections et autres énoncés prospectifs ne se matérialisent pas ou que les hypothèses ne reflètent pas les résultats futurs. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but de fournir de l’information sur les attentes et les plans de la direction relatifs à l’avenir. Le lecteur est mis en garde contre le risque d’accorder une crédibilité excessive à ces énoncés prospectifs puisqu’un certain nombre de facteurs de risque importants et d’événements futurs pourraient entraîner des différences sensibles entre les résultats réels et les croyances, plans, objectifs, attentes, prévisions, estimations, hypothèses, et intentions exprimés dans ces énoncés prospectifs. Tous les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont concernés par ces mises en garde et ceux faits dans nos autres dépôts auprès des organismes canadiens de réglementation des valeurs mobilières comprenant, mais sans s’y limiter, les mises en garde figurant dans la rubrique " Facteurs de risque " dans la notice annuelle de la Société datée du 5 octobre 2017 et la rubrique " Exposition et gestion des risques " dans le rapport de gestion trimestriel de la Société. La Société prévient que la liste de facteurs ci-dessus qui pourraient influencer les résultats futurs n’est pas exhaustive et que de nouveaux risques imprévisibles pourraient se matérialiser à l’occasion. La Société décline toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser des énoncés prospectifs ou d’expliquer une différence considérable entre les événements réels subséquents et ces énoncés prospectifs, sauf dans la mesure requise par la loi applicable. D’autres renseignements sur Nemaska Lithium se trouvent dans la base de données de SEDAR (www.sedar.com) et sur le site Web de la Société à l’adresse : www.nemaskalithium.com. Source : Nemeska Lithium |
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