Commentaires
«En moyenne, 480 000 bus jaunes transportent quotidiennement plus de 25 millions d'enfants vers l'école aux États-Unis. Seulement 1% de ces bus fonctionnant actuellement sur des groupes motopropulseurs électrifiés, cela signifie que beaucoup de moteurs diésel polluent l'air.
Le plan Build Back Better du président élu Joe Biden pour créer une économie plus résiliente et durable propose de rendre tous les bus de fabrication américaine zéro émission d'ici 2030 , à commencer par le parc d'autobus scolaires, qui serait converti d'ici 5 ans ». C'est le sujet d'un nouveau rapport publié par le cabinet de conseil Interact Analysis , intitulé: « Décarboniser la flotte d'autobus scolaires jaunes aux États-Unis: une politique qui vaut la peine d'être poursuivie? ». Autobus scolaires électriques en Amérique du Nord Les opportunités d'électrification offertes par le marché nord-américain ont souvent été soulignées. Le producteur Blue Bird a révélé en septembre 2020 qu'il avait enregistré une augmentation de 250% des ventes de bus électriques en 2020, et a donc confirmé son intention d’augmenter la capacité de production jusqu'à 1 000 unités par an . Blue Bird quantifie également le potentiel du marché: «Avec plus de 600 000 autobus scolaires en circulation aujourd'hui aux États-Unis et au Canada, et considérant que 95% de ces véhicules qui roulent au diésel ont un âge moyen d'environ 11 ans, ce marché représente une opportunité substantielle de 150 milliards de dollars pour la transition vers des bus électriques au cours des 20 prochaines années », a déclaré Phil Horlock, président et chef de la direction de Blue Bird Corporation. Le marché des bus scolaires électriques aux États-Unis est la raison qui a incité Daimler à s’associer à Proterra, il y a quelques années. Au Canada, Transdev a l'ambition d'électrifier 100% de sa flotte d'autobus scolaires au Québec d'ici 2025. Cela représente près de 5 millions $ CAD qui seront investis dans un parc de 27 autobus scolaires électriques qui seront fabriqués par la compagnie québécoise Lion Electric et qui devraient être mis en service à la rentrée scolaire de septembre 2020. Marché des autobus scolaires électriques aux États-Unis, la concurrence s'intensifie Navistar a lancé une nouvelle unité commerciale nommée NEXT eMobility Solutions et a annoncé fin 2019, avant que la crise de Covid n'éclate, qu'il prévoyait mettre sur le marché des bus scolaires électriques d'ici la fin de 2020 , fabriqués par ses filiales Navistar International Truck et IC Bus. Proterra et Daimler collaborent également pour favoriser l'électrification de ce marché . Lors de l'IAA de Hanovre 2018, les deux compagnies ont annoncé avoir conclu un accord pour explorer le potentiel d'électrification de véhicules lourds Daimler. Le premier autobus scolaire électrique réalisé en partenariat entre Proterra et Thomas Built Buses, une filiale de Daimler Trucks North America, a été officiellement présentée par Proterra fin octobre dernier lors de la 44e Conférence annuelle de l'Association nationale du transport scolaire (NAPT). La santé est un soucis primordial lorsqu'il s'agit de planifier un déploiement d’autobus scolaires électriques aux États-Unis. Dan Raudebaugh, directeur exécutif de CTE, a soutenu lors d’un entretien avec Sustainable Bus que «les enfants sont beaucoup plus sensibles à la pollution que les adultes car leurs systèmes respiratoires ne sont pas complètement développés. Ils respirent également plus de gaz proportionnellement à leur taille par rapport aux adultes, respirant 50% plus d'air par kilo. Une étude réalisée par l'Université de Californie à Berkeley a révélé que les niveaux de gaz d'échappement diésel à l'intérieur d'un autobus scolaire peuvent être quatre fois plus élevés que ceux trouvés dans les voitures particulières ». Analyse d'interaction: le marché américain des bus urbains représente seulement 13% du marché des bus scolaires Selon Interact Analysis , qui se concentre sur le marché américain, «les bus scolaires sont un excellent départ pour une politique verte nationale et un moyen efficace d'aider au redémarrage de l'économie après le choc de la COVID-19. C'est également logique compte tenu de la composition inhabituelle du marché américain des bus qui est fortement orienté vers les bus scolaires: en 2020, les Etats-Unis ont enregistré sur le territoire 40 714 bus scolaires, et seulement 5 402 bus urbains ».
En 2019, le nombre d' autobus scolaires électriques immatriculés représentait environ 0,6% du marché. « En 2019, plus de 40 000 bus scolaires étaient immatriculés aux États-Unis, alors que seulement 240 étaient des véhicules électriques. De nombreux districts scolaires mènent des projets pilotes avec des autobus scolaires électriques, mais les commandes sont extrêmement faibles et de nombreux projets d'autobus électriques stagnent dans leurs phases pilotes en raison d'un manque d'aide fédérale . Si le plan de Biden se réalise, l'un des défis à l'échelle nationale sera de répondre rapidement à la demande. Selon Interact Analysis, plus de 560 000 autobus scolaires devraient être mis sur le marché au cours des 10 prochaines années, dont un peu moins de 27 000 seront électrifiés. Se rapprocher de l'objectif des autobus scolaires à 100% zéro émission nécessitera donc une augmentation exponentielle de la capacité de production des équipementiers d'autobus électriques et de leurs fournisseurs.
Les bus scolaires électriques aux États-Unis, une question de prix Il est clair que le principal obstacle pour les conseils scolaires qui envisagent d'acheter des autobus électriques est le coût initial. L'analyse d'interaction confirme cependant que: «l'argument du coût total de possession ne vaut pas pour les autobus scolaires, car ils ne font que deux trajets quotidiens: un au début de la journée scolaire et un à la fin. Il faut donc développer de nouveaux modèles commerciaux pour trouver une solution à ce problème. Par exemple, Dominion Energy en Virginie envisage un déploiement intéressant et très original d'autobus scolaires lorsqu'ils ne sont pas en service qui propose que les véhicules stationnés soient utilisés comme réserves d'énergie reliées au réseau national. Cela aiderait à couvrir une partie du coût initial des véhicules. Malgré les coûts initiaux, le rapport du PIRG Education Fund a révélé que chaque autobus électrique permettrait aux écoles d'économiser en frais de carburant environ 2 000 $ USD par an et 4 400 $ en entretien, une économie qui pourrait être consacrée au personnel, aux bâtiments et pour du matériel scolaire » . Concernant l’aspect financier, Dan Raudebaugh a souligné: «Les coûts de consommation de diésel des autobus scolaires qui consomment ne représentent qu'environ 25% du coût de possession d'un bus diesel de quarante pieds, donc les coûts additionnels d’acquisition des bus zéro émission sont plus difficiles à avaler. Ajoutez à cela le fait qu'il n'y a pas d'agence gouvernementale pour diminuer les coûts des autobus scolaires, comme le programme de la FTA pour les autobus de transport en commun . Les services publics d'électricité ont été des partenaires actifs pour financer les autobus scolaires électriques dans certains districts scolaires, mais l'industrie a besoin de plus. Ce qui est nécessaire pour que ce marché se mette en branle, c'est une reconnaissance nationale de l'importance de favoriser le marché des autobus scolaires à zéro émission. Des investissements d’argent public et privé sont nécessaires pour aider le processus » Sustainable Bus
Contribution: André H. Martel
Le gouvernement du Québec fait un tout premier pas vers l’électrification des petits camions de livraison, des camions utilitaires et des autobus scolaires. Un rabais pouvant aller jusqu’à 15 000 $ par véhicule électrique ou hybride rechargeable est désormais offert.
Le Gouvernement du Québec est fier d’annoncer le lancement d’un nouveau programme pour stimuler la transition énergétique du secteur des transports, notamment celui des marchandises, qui est une plaque tournante de l’économie du Québec. Le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, M. Jonatan Julien, en a fait l’annonce le 19 juillet. Le nouveau programme Transportez vert offre de l’aide financière pour accompagner, soutenir et former les entreprises, les organismes et les municipalités qui utilisent un parc de véhicules routiers dans la réduction de leur consommation de carburant et leurs émissions de GES, tout en augmentant leur efficacité énergétique. Les gestionnaires de parcs de véhicules pourront par exemple recevoir jusqu’à 100 000 $ pour de l’accompagnement en gestion de l’énergie, jusqu’à 200 000 $ pour l’acquisition de certaines technologies et jusqu’à 30 000 $ pour de la formation en écoconduite pour leurs conducteurs. De la même façon, une entreprise pourrait recevoir de l’aide pour la conversion énergétique d’un de ses véhicules, tels qu’une camionnette ou un autobus scolaire. Ce nouveau programme sera administré par Transition énergétique Québec et vient bonifier l’offre actuelle du programme Écocamionnage, administré par le ministère des Transports. Citations « Avec l’annonce d’aujourd’hui, notre gouvernement vient combler un besoin du milieu tout en poursuivant sa volonté d’électrifier l’économie. En effet, le programme Transportez vert permettra aux propriétaires de parcs de véhicules routiers de bénéficier de solutions concrètes et de faire progresser la transition énergétique dans le secteur des transports. Pour nous, il est important non seulement de mettre en place des mesures incitatives financières, mais également de soutenir ce mouvement. Au Québec, nous avons la chance de pouvoir compter sur une expertise reconnue en matière d’efficacité énergétique. » Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord « Dans un contexte où nous souhaitons que les émissions de gaz à effet de serre décroissent de manière tangible afin de faire face aux changements climatiques, une annonce comme celle d’aujourd’hui démontre la volonté du gouvernement de poser les gestes nécessaires. » Benoît Charette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques « Le programme Transportez vert améliore l’offre de service pour la clientèle d’affaires en matière de transport, qui représente un secteur où le potentiel de gains en réduction des émissions de GES et en amélioration de l’efficacité énergétique est considérable. Nous nous sommes inspirés des meilleures pratiques dans le monde pour faire en sorte que la transition énergétique de ce secteur lui soit des plus profitables. » Johanne Gélinas, présidente-directrice générale de Transition énergétique Québec Le gouvernement prévoit que Transportez vert coûtera 12,3 millions $ d’ici le 31 mars 2021. Chaque entreprise qui veut y adhérer pourra recevoir jusqu’à 100 000 $ pour évaluer la gestion de ses dépenses en carburant, jusqu’à 200 000 $ pour convertir ou acquérir des véhicules électriques ou hybrides rechargeables et jusqu’à 30 000 $ pour former ses chauffeurs à une conduite plus économique en énergie. Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Deux rapports du World Resource Institute analysent les principaux obstacles à l'électrification de la flotte mondiale d'autobus, et comment les villes peuvent les surmonter
L' année dernière, environ 425 000 autobus électriques étaient en service dans les villes du monde. Presque tous, 99% d'entre eux se trouvaient en Chine. La ville industrielle en plein essor de Shenzhen, en particulier, est l’une des rares villes à avoir complètement électrifié sa flotte . Pendant ce temps, le reste du monde court pour rattraper son retard et est de plus en plus à la traîne.
Ce n'est pas le manque d'ambition qui les en empêche: dans le but de réduire les émissions de carbone, les dirigeants municipaux du monde entier se sont engagés à remplacer partiellement, sinon totalement, la flotte de leur ville par des autobus électriques au cours des prochaines décennies. Un certain nombre de villes, des grandes métropoles comme Mexico City et des villes plus modestes comme Philadelphie, ont entrepris des projets pilotes. Ce qui empêche les villes d’adopter massivement des bus électriques, c’est un mélange de défis technologiques, financiers et institutionnels, selon deux rapports du World Resource Institute qui analysent les efforts déployés dans 16 villes à différentes étapes d’adoption d'autobus électriques . Ce premier rapport se concentre sur trois principaux d’obstacles, tandis que le second souligne la manière de les surmonter. Les villes étudiées vont d'Addis-Abeba en Éthiopie , où il n'y a pas eu de planification substantielle concernant des bus électriques, à des villes comme Philadelphie et Campinas au Brésil, qui réalisent respectivement un projet pilote et projettent une augmentation de leur nombre d'autobus électriques, incluant le dossier de Shenzhen et de Zhengzhou. Les projets sont répartis sur la planète, certains dans les pays développés comme le Chili et l’Espagne, d’autres dans les pays émergents comme l’Inde. Les villes qui souhaitent monter à bord de la révolution des bus électriques doivent absolument restructurer leur mode de réflexion sur l'électricité et les véhicules. «Comprendre que la venue de véhicules électriques ne se limite uniquement pas à l’acquisition du véhicule est l’un des obstacles les plus difficiles à franchir, tant dans le secteur énergétique que dans celui des transports», déclare Camron Gorguinpour, l’un des auteurs principaux des deux rapports. «Il est difficile pour les personnes qui ont passé toute leur carrière à croire que les véhicules et les systèmes électriques n’avaient aucun lien pour maintenant se rendre compte que ces éléments peuvent être intégrés.» Cela signifie que lorsque les villes envisagent d'adopter des bus électriques, elles doivent réaliser quelles devront effectuer des mises à niveau du réseau électrique et développer une infrastructure de recharge, ainsi que plusieurs autres défis associés à ce changement. C’est généralement l’erreur la plus courante, selon Gorguinpour. De nombreuses villes ont simplement installé des stations de recharge en pensant que tout se déroulerait sans problèmes. C'est pourquoi, explique-t-il, l'une des aspects le plus difficile à Shenzhen fut la longueur du processus de mise en place d'une infrastructure de recharge pour supporter plus de 16 000 bus électriques. Chaque autobus a une autonomie d'environ 200 km sur une seule charge de 252 kilowattheures (KWh). Au total, la flotte peut consommer plus de 4 000 mégawattheures (MWh). À titre de comparaison, 1 MWh suffit pour alimenter environ 300 foyers pendant une heure. «C’est une quantité d’énergie insensée, sans parler de l’immobilisation requise», dit-il. «Et le processus d'identification des terrains disponibles, la collaboration avec les services publics, ne serait-ce que pour déterminer l'emplacement optimal, est une tâche extrêmement importante et incroyablement dcomplexe.» C'est ce que Philadelphie a découvert en voulant étendre sa flotte d'autobus électriques avec de nouveaux modèles dotés de batteries plus puissantes. Au début du processus de planification, la ville n'avait pas compris qu'il serait extrêmement coûteux d'acquérir des terrains dans le centre-ville pour des stations de recharge le long de ses lignes de bus. Ils ont donc décidé d'installer toute l'infrastructure de recharge dans les dépôts de bus. «Ils ont pris cette décision sans se rendre compte qu'il coûterait 1,5 million de dollars pour moderniser le système électrique de ce seul emplacement et installer une sous-station capable d'alimenter 20 véhicules», explique Gorguinpour. "Ces détails peuvent rapidement devenir incontrôlables." Les villes à travers le monde ont souvent cité l’augmentation des dépenses comme le principal défi pour se procurer un parc électrique. Alors que les villes qui utilisent des autobus électriques finissent par économiser à long terme sur le carburant, la maintenance (sans parler de la purification de l’air et de la diminution des gaz à effet de serre), les coûts initiaux représentent cependant des défis de taille. Selon les données disponibles, le prix d'un nouvel autobus électronique se situe entre 300 000 et 900 000 dollars l’unité, le rapport souligne aussi que les prix varient considérablement en fonction du fabricant, des spécifications et de l'emplacement de l'agence de transport en commun. Aux États-Unis, un bus électrique coûte en moyenne 750 000 dollars US , contre 435 000 dollars pour un bus diesel classique. Lorsque les villes décident d’intégrer des bus électriques, Gorguinpour croit qu'elles se concentrent trop sur ces coûts initiaux et pas assez sur les impacts à long terme. L’organisation de projets mal ficelés pourrait retarder le processus d'adoption ou de financement des projets pilotes, lorsque l'on inclut seulement quelques bus, s’ils n’ont pas été conçus en fonction d’une vision globale. «Nous encourageons les villes à développer le plus de projets pilotes possibles » a-t-il déclaré. «Mais si votre projet pilote se fait avec seulement quelques autobus électriques vous devriez le réaliser en collaboration avec un groupe d’intervenants, élaborer une stratégie et vous poser collectivement la question:« Comment apprendre suffisamment de ces quelques autobus pour élaborer un plan qui pourrait nous permettre éventuellement d’intégrer 500 ou des milliers d'autobus? Ou encore comme dans le cas de Belo Horizonte au Brésil, essayer de convaincre les opérateurs d’adhérer pleinement à leur projet. Actuellement, la ville et ses fournisseurs d'autobus sont liés par un contrat à long terme qui ne prévoit ni l’obligation ni d’incitatif pour remplacer le stock d'autobus diesel. Après que la ville ait lancé un projet pilote sans avoir impliqué ses opérateurs, le rapport indique qu’à ce jour, aucun opérateur n’a manifesté l’intérêt d’investir dans une entreprise considérée comme coûteuse et risquée ». Ceci illustre bien l'importance de rassembler toutes les parties concernées avant de prendre une décision, c’est sur quoi met l’emphase le deuxième rapport de l'IRG, qui propose une feuille de route pour l'adoption des bus électriques. Cela inclut non seulement les fonctionnaires du service de transport en commun, mais également les entreprises de services publics, les opérateurs de bus et les organisations pouvant aider la ville à financer une entreprise aussi coûteuse. Cela inclut évidemment les banques de développement multinationales et nationales, qui sont les sources initiales de financement. Dans certains cas, comme à Santiago, la capitale du Chili, qui possède la plus grande flotte d'autobus électroniques en dehors de la Chine, ce sont des entreprises de services publics, et non des agences de transport, qui se sont mobilisés pour financer les projets. CITY LAB
Contribution: André H. Martel
BYD ouvre sa première usine d'assemblage d'autobus électriques au Canada. L’usine d’une surface d’environ 14 000 mètres carrés située à Newmarket, près de Toronto, assemblera d’abord des autobus pour la Toronto Transit Commission, qui a commandé dix autobus électriques avec une option pour 30 autres
Le groupe chinois veut fabriquer des autobus électriques au Canada pour son marché de l'Amérique du Nord dès que la commande de Toronto aura été traitée. En plus de Toronto, des autobus électriques BYD sont en commande ou déjà en service dans les villes canadiennes de Victoria, Longueuil, St. Albert et Grand Prairie.
Grâce à la nouvelle usine en Ontario, la présidente de BYD, Stella Li, a déclaré qu'elle «se consacrait à développer des partenariats avec les villes canadiennes». L'usine de Californie qui comptait environ 100 travailleurs en 2013 emploie actuellement plus de 750 personnes. Avec leurs partenaires de la région de York et de la ville de Newmarket, BYD souhaite faire du Canada un chef de file nord-américain de l’assemblage de bus électriques », a déclaré Dowling. Un projet d’usine BYD au Canada ne date pas d’hier, la construction d’une usine avait déjà été annoncée puis, BYD avait confirmé en novembre dernier qu’ils mettaient leur projet d’usine de camions électriques sur la voie de service. On avait à ce moment invoqué le fait que le commerce des autobus électriques était nettement plus intéressant que celui des camions électriques au Canada et que l’on voulait se repositionner en fonction de ce marché potentiel. BYD étend, ce faisant, son énorme réseau de production de bus électriques. BYD est le plus grand producteur d'autobus électriques au monde et a remporté les plus importants contrats d'autobus électriques en Amérique du Sud, en Amérique du Nord, en Europe, en Asie du Sud, en Asie du Nord-Est et, bien sûr, en Chine . Le premier bus électrique BYD fabriqué en France a quitté la chaîne de montage en décembre 2018. La société chinoise exploite également une usine de bus électriques en Hongrie, qui dessert la plupart des marchés européens. À une époque où les gouvernements s'efforcent de diminuer et surtout d’éliminer les émissions de CO2 du secteur des transports publics, BYD s'est placé dans une position idéale pour approvisionner les services de transports publics à travers le monde, un marché en croissance rapide pour lequel, jusqu'à présent, les manufacturiers de véhicules classiques semblent avoir raté le bus. Electrive.com
Contribution: André H. Martel
Une demande «exponentielle» pour les bornes de recharge
Quand il entend des réticences concernant le futur de la voiture électrique, Gaétan Fauteux présente un sourire en coin.
« On n’achète pas une borne seulement pour deux ans, mais pour 20 ans. Les gens prévoient qu’il faudra plus de puissance. Avec l’arrivée des pick-up, les chargeurs seront encore plus gros. » Un reportage de : Claude Plante : La Tribune À lire dans: le Soleil
Enfin des minibus scolaires électriques en ville
ÉLECTRIFICATION. Grande nouvelle dans le domaine du transport scolaire : Autobus Girardin a livré au cours des dernières heures deux minibus scolaires électriques Micro Bird G5e. Autobus Voltigeurs a pris possession des véhicules, mardi après-midi, aux bureaux de la rue Girardin, à Drummondville.
Un reportage de : Ghislain Bergeron À lire dans : Le Journal Express
Une québécoise développe un nouvel autobus électrique en aluminium
Une jeune entreprise de Longueuil, du nom de Letenda, travaille avec Rio Tinto au développement d’une nouvelle génération d’autobus urbains, en aluminium et à propulsion électrique.
Un reportage de : Martin Jolicoeur À lire dans : Le journal Les Affaires
Ça roulait électrique au Groupe Grenier Automobile
À l’occasion de la Semaine nationale du véhicule électrique, le Groupe Grenier Automobile tenait, chez Grenier Occasion, son premier Évènement Véhicules Électriques, le 1er juin.
Les consommateurs étaient invités à faire l’essai des différents modèles électriques ou hybrides neufs ou usagés offerts par Grenier, comme la BMW i3, la Chrysler Pacifica PHEV, la Volkswagen E-Golf et, bien sûr, les Chevrolet Volt et Bolt. À lire dans : Journal la Revue
Le Circuit électrique hausse ses tarifs
Disant vouloir assurer le rythme soutenu du déploiement de nouvelles bornes rapides, Hydro-Québec annonce que son Circuit électrique appliquera un nouveau tarif horaire de recharge rapide à compter du 12 juin.
Ainsi, les propriétaires qui branchent leur voiture électrique dans une borne de recharge à 400 volts devront payer 11,50 $ l’heure – taxes incluses et facturé à la minute – au lieu de 10 $. Par exemple, une recharge rapide de 20 minutes coûtera 3,83 $ et une recharge de 30 minutes, 5,75 $. Par la suite, à compter du 1er janvier 2020, ce tarif sera indexé annuellement selon le taux de l’inflation, explique la société d’État. Pour la recharge sur les bornes à 240 volts, le tarif demeurera inchangé, soit un montant forfaitaire de 2,50 $ par recharge ou encore un tarif de 1 $ l’heure (ici aussi facturé à la minute). Afin de prendre connaissance du tarif à chaque borne, les utilisateurs sont invités à consulter l’application mobile pour iOS ou Android ou encore le site web du Circuit électrique. Le tarif sera également indiqué à l’écran sur la borne. Extraits du reportage de : Guillaume Rivard À lire dans : Journal de Québec
Contribution: André H. Martel
Comme la plupart des nouveaux produits, les véhicules électriques se vendent dans une courbe en S, avec un démarrage lent, une offre excédentaire, une croissance plus rapide, une offre parfois incapable de suivre la demande, puis une saturation.
Prenons l'exemple des bus électriques. La Chine a déployé rapidement 400,000 bus électriques, soit 99% du total dans le monde, puis les subventions ont été retirées, ce qui a entrainé un effondrement des livraisons ce qui a évidemment nuit à la croissance du marché à l’avantage des bus à combustion.
Cependant le reste de la planète s’intéresse de plus en plus à ce mode de transport écologique. Par exemple, récemment aux Pays-Bas, Qbuzz a commandé 159 bus 100% électriques, Helsingborg Sweden 76, Brussels Airport 30 et pour Londres, 68 bus à impériale entièrement électriques. Les villes du Royaume-Uni ont récemment passé un total de 263 commandes d'autobus à zéro émission. Varsovie commandera 130 autobus purement électriques avant 2021. Le Kazakhstan attend 700 autobus électriques et l’Azerbaïdjan 500 autres au cours des trois prochaines années. Toutefois, l’Inde a le potentiel le plus important, avec un plan gouvernemental prévoyant l'acquisition de 10,000 autobus 100% électriques pour entreprendre le remplacement d’une partie des 1,6 million bus enregistrés, qui devraient tous disparaitre, a déclaré le gouvernement qui est sensible aux décès qu’ils provoquent. L’État indien d’Uttarakhand a commandé 500 bus électriques. Maintenant, l’Inde est responsable d’environ 25% des commandes d’autobus tout électriques en dehors de la Chine. Quoique les Chinois, principalement BYD, en soient les principaux fournisseurs, en Inde, Tata Motors a accepté des commandes auprès de six villes pour un total de 255 bus électriques. Les fortes subventions sont toujours un élément essentiel pour le développement de cette industrie partout dans le monde. Les coûts de la batterie ont été un obstacle majeur. Toutefois, on semble vivre un développement intéressant concernant ces batteries. Huit pays disposent maintenant de gros autobus dotés de super condensateurs de recharge de seulement 10 secondes alors que l’on peut procéder grâce à des nouveaux procédés à une recharge sans faire d’arrêt allant de la carrosserie solaire aux caténaires, aux rails et aux bobines intermittents sur la route. Les nouveaux modes de recharge ainsi que les améliorations apportées aux véhicules qui réduiront la demande devraient entrainer une économie de batterie de 80%, ce qui, associé à la réduction du prix des batteries, permettrait d’estimer que le prix d’ une batterie représenterait à peine 6% du coût des bus d’ici une dizaine d’années. Toutes ces améliorations devraient accélérer le jour où le prix des bus 100% électriques sera à parité avec le diesel. Le coût croissant des groupes motopropulseurs diesel aide également l’électromobilité. Il faudra de plus en plus que les manufacturiers de bus à combustion assument un coût supplémentaire pour développer des mesures de réduction des émanations de diesel ce qui permet d’estimer que la parité des prix entre les deux modes devrait être atteinte autour de 2030, mais une évolution accélérée pourrait nous causer des surprises.
À l'instar des autobus situés en dehors de la Chine, les voitures tout électriques sont maintenant proches de la phase de croissance la plus rapide, avec une augmentation d'environ 70% du nombre de ventes annuelles, avec des subventions déjà moins importantes, car la parité semble être atteinte plus tôt que prévu avec les petits véhicules. Beaucoup sont maintenant d’accord sur le fait que les voitures électriques plus petites, auront des prix initiaux inférieurs aux équivalents de la combustion interne vers 2023, ce qui pourrait donner un coup fatal aux moteurs à combustion. Cette fois, la Chine est en phase avec le reste du monde: elle réalise les plus grosses ventes de voitures électriques mais, ce n’est encore rien d’exceptionnel en comparaison avec le nombre de voitures de combustions vendues sur son marché. La Chine devrait dominer la fabrication mondiale de voitures électriques, tout comme elle est devenue le plus grand fabricant mondial de véhicules classiques.
Les preuves fournies par la Norvège, avec le plus grand pourcentage de voitures neuves électriques, suggèrent que le plus grand obstacle à l'accélération de l'électrification du transport routier pourrait maintenant être une pénurie de véhicules électriques. Kia eNiro exige un délai de livraison de 12 mois, et Tesla fait encore attendre ses clients. Volkswagen a même annoncé que les commandes de la Passat GTE et de la Golf GTE n’étaient plus acceptées en raison des délais d'attente exceptionnellement longs. Le fait que des voitures électriques à courte autonomie soient disponibles a peu d’impact sur la croissance car les acheteurs aspirent de plus en plus à un véhicule à grande autonomie pour satisfaire leurs appréhensions et pour assurer une valeur de revente optimale. Market Watch
Contribution: André H. Martel
BYD a présenté le K12A, un bus biarticulé de 27 mètres de long, baptisé «le plus long bus électrique au monde».
La société a présenté le K12A à son siège social à Shenzhen, en Chine. Le K12A de BYD a une capacité de 250 passagers et peut atteindre une vitesse maximale de 70 km / h. Il a une autonomie de 300 km sur une pleine charge.
BYD affirme que le K12A est également le premier bus électrique au monde doté d'un système à quatre roues motrices pouvant passer en douceur de deux roues motrices à quatre roues motrices pour répondre aux exigences de différents terrains, tout en réduisant la consommation d'énergie globale du véhicule. BYD a annoncé ce lancement sur sa page Facebook, soulevant des questions au sujet de l’introduction d’un bus aussi gigantesque le jour du poisson d’avril. Mais ce n'est pas comme si les bus biarticulés non électriques de taille similaire n'existaient pas déjà. La société a indiqué que le bus avait été développé pour le système de transport en commun rapide par bus TransMilenio en Colombie, ainsi que pour d’autres systèmes mondiaux de transport par bus BRT. Le K12A de BYD envisage de franchir une étape décisive en ce qui concerne la longueur des autobus électriques lorsqu’il roulera sur les routes colombiennes, mais les autobus électriques font déjà d’énormes progrès dans le monde entier. En 2017, 12 grandes villes se sont engagées à n'acheter que des bus 100% électriques d’ici 2025 , dont Los Angeles, qui a commandé 60 bus BYD entièrement électriques la même année. De plus en plus de villes, grandes et plus petites se procurent des bus électriques. Mais la Chine est le reine incontestée des bus électriques: on estime que 99% de tous les bus électriques du monde se trouvent en Chine. Les bus électriques ont même un impact supérieur aux véhicules électriques sur la demande globale de pétrole dans le monde. Shenzhen, la ville où BYD a lancé le K12A, a déjà électrifié l’ ensemble de sa flotte de 16,000 autobus urbains à la fin de 2017. electrek
Contribution: André H. Martel
Alors que les voitures électriques influencent la demande mondiale de pétrole à un rythme de plus en plus rapide, de nouvelles recherches démontrent que les bus électriques ont jusqu’à présent un plus grand impact sur la consommation d’énergie fossile.
Les véhicules électriques ont réduit d’environ 3% la croissance de la consommation du pétrole depuis 2011, une part plus importante que jamais. Et jusqu'à présent, plus des trois quarts de la réduction de la consommation de l'énergie fossile provient des bus électriques, rapporte Bloomberg .
Le rapport estime que 1,000 bus électriques sur la route réduisent la consommation de 500 barils d'énergie fossile chaque jour. En comparaison, le même nombre de véhicules électriques ne réduit que de 15 barils par jour.
Ces données viennent essentiellement de la Chine, note Bloomberg. Un rapport de l'année dernière a révélé que sur les 385,000 autobus électriques dans le monde en 2017, environ 99% se trouvaient en Chine. Leur croissance a été très rapide. La ville de Shenzhen a annoncé en 2017 qu'elle avait complètement électrifié sa flotte de 16,000 bus . Bloomberg estime que la consommation de gaz et de diesel diminuera de 96,000 barils par jour cette année en raison de l’augmentation des véhicules électriques, ce qui porterait la diminution de la consommation accumulée à 352,000 barils par jour depuis 2011. Mais, malheureusement, la demande mondiale de pétrole a augmenté également de 12 millions de barils par jour au cours de la même période. Les estimations futures prévoient un impact beaucoup plus important, car les véhicules électriques pourraient réduire la demande de 6,4 millions de barils par jour d'ici 2040. La Chine est de loin le leader des bus électriques, mais d'autres pays font de plus en plus d’efforts pour électrifier leurs transports en commun. Delhi, en Inde, a récemment approuvé une commande de 1,000 bus électriques, selon un rapport de Mercom India. Le gouvernement de Delhi a déclaré: «C’est le plus grand engagement jusqu’à présent pour une ville indienne et parmi toutes les villes hors de la Chine.» De plus, un certain nombre de villes et d’universités américaines ont fait l’acquisition de flottes de bus électriques ces dernières années. Et en 2017, 12 grandes villes sur la planète ont décidé de n'acheter que des bus 100 % électriques à partir de 2025 . Selon Electrek: Il semble logique de croire que les autobus électriques aient plus d’effet sur la demande de pétrole que les véhicules électriques selon les normes actuelles. Les bus circulent presque toute la journée et les bus à combustion interne ne sont pas les véhicules les moins énergivores Le passage aux autobus électriques a un énorme impact avant même de considérer les avantages environnementaux connexes. En effet, la plupart de ces autobus circulent dans les zones urbaines et contribuent donc à réduire la pollution atmosphérique et sonore dans les villes. Souhaitons que davantage de villes et de gouvernements de la planète prennent note de l'implication de la Chine et décident de suivre cet exemple. Electrek
Contribution: André H. Martel
En Chine, Tesla entreprend la construction de son usine qui devrait produire les Model 3 et Y; BYD fournira la plus grande flotte d’autobus 100% électriques de Colombie; Harley Davidson fait le point sur ses projets de motos électriques; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Le passage aux bus électriques pourrait coûter des centaines de millions de dollars au San Diego MTS; Daimler livre son premier camion Freightliner entièrement électrique; Vauxhall ajoute plus de véhicules électriques à sa gamme; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Centrica soutient le plus gros projet commercial de véhicules électriques au monde; Réduire l’empreinte carbone du père Noel avec des camions électriques; La compagnie Autobus Volvo donne une seconde vie aux batteries; L’Illinois reconnu comme un leader américain de la modernisation du réseau électrique; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
.Tout savoir pour conduire une voiture électrique en hiver; GM se bat pour conserver ses crédits d’impôts pour ses véhicules électriques; Inspiré par la Chine, le Chili aspire à devenir le moteur de la révolution électrique an Amérique latine; Uber est confiant de pouvoir rapidement entrer en bourse; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Stations d’essence OK, cependant les chargeurs de voitures électriques sont trop laids; La compagnie de transport public King County Metro teste des bus EV ayant une autonomie supérieure à 225 km; Le modèle CCS devient le standard de charge dominant en Europe. Nissan abandonnera-t-il le CHAdeMO? Les bateaux Tesla arrivent, les premiers cargos 100% verts qui révolutionneront le transport maritime; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
.La compagnie munichoise Lilium promet la création d’un taxi volant de 5 places à décollage et atterrissage vertical pour se déplacer en ville et un peu plus loin; Tesla sera bientôt compatible avec toutes les bornes de recharge rapides en Europe; Une municipalité équatorienne convertit sa flotte d’autobus en véhicules électriques; Covoiturage et voitures électriques dans les voies réservées de Longueuil? Envision Solar obtient le brevet européen pour sa station portable de recharge solaire EV ARC; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
La Chine passe outre les objectifs de 2018 pour les véhicules électriques mais laisse le seuil de 10% en place pour 2019; Le premier bus électrique Mercedes eCitaro de série est livré à Hambourg; Toyota proposera la Corolla Hybrid 2020 aux États-Unis : la nouvelle berline rejoint la famille Corolla dans le monde entier, y compris le modèle hybride; Le constructeur chinois Zotye crée la société de vente et de distribution américaine; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
BYD augmente sa présence sur le marché européen avec une commande danoise de 27 eBus; Waymo, filiale de Google nourrit l’ambition de lancer un premier service de taxis autonomes dès le mois prochain; Renault-Nissan-Mitsubishi investit dans les batteries lithium silicium; On nous dévoile le nouveau Subaru Crosstrek électrique hybride rechargeable; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Le prix de base des voitures électriques de VW pourrait être aussi bas que 21,000$ USD; Les ventes de Jaguar I-Pace ont dépassé 1,000 véhicules en octobre; T & E: les commandes de bus électriques en Europe ont plus que doublé pour atteindre 1 031 unités en 2017; environ 9% de nouvelles inscriptions; Le Microbus électrique de Volkswagen sera-t-il fabriqué aux États-Unis? La start-up Lilium, a annoncé qu’elle allait recruter d’anciens dirigeants d’Audi et d’Airbus; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Apple travaillerait sur des batteries pour voitures de course; Service incendie : Saint-Léon et Saint-Nazaire bien équipés; Cummins et Purolator testent un camion électrique à Ottawa; Taxis : les taxis noirs électriques londoniens arrivent à Paris; Deux autobus électriques Nova Bus à Vancouver dans le cadre du projet CRITUC; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Tesla fait l’acquisition du terrain pour bâtir sa première usine hors des USA à Shangaï; Le Canada et le Royaume-Uni lancent un défi transatlantique de 20 millions de dollars visant la conception des systèmes énergétiques intelligents de demain; L’électricité pour une future Audi R8… ou rien d’autre; Ou souhaiteriez-vous que les bornes de recharge soient installées? Les résultats d’une recherche twitter; La compagnie BYD fournira la plus grosse flotte d’autobus électriques pour l’aéroport international de Los Angeles; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Pour Tesla, les plus grandes contraintes à la croissance sont l’infrastructure et le gite; La compagnie WESTCOAST Sightseeing est la première compagnie d’autobus touristiques à commander des autobus électriques; L’Europe s’engage à réduire le taux d’émanation de CO2 de 35% supplémentaire d’ici 2030; La STM songe à devancer l’achat de bus électriques; Volvo annonce l'arrivée de ses camions électriques en Amérique dès 2020; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
Si vous ne l'avez pas déjà dans votre appareil, c'est que vous n'êtes pas abonnés !
>> S'abonner et recevoir les épisodes automatiquement sur son téléphone ou tablette (C'est la meilleure méthode !) >> Écouter l'épisode ici, sur le site de l'AVÉQ >> Page archive des baladodifusions
Tesla va-t-il survivre à l’offensive massive des grands constructeurs? L’Organisme SMUD s’est joint aux chefs de file américains pour lutter contre l’émission des gaz et coordonner l’évolution des solutions de transports éco énergétiques; Panasonic en avance sur l’installation de sa ligne de production de batteries à l’usine « Gigafactory 1» de Tesla; La compagnie chinoise BYD investit 5 millions USD pour ajouter un nouvel entrepôt aux États-Unis afin d’accroitre sa capacité de production d’autobus électriques; La compagnie Bollinger Motors, un start-up de véhicules électriques basée à New York introduit sur le marché un véhicule utilitaire 100% électrique: le Bollinger B1; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
La justice américaine enquête sur les tweets d'Elon Musk qui évoquaient un projet de retrait de Tesla de la bourse; Volkswagen dévoile sa plateforme électrique MEB; STM: Un investissement de $5,6M CAD pour quatre nouveaux bus 100% électriques; Le fonds souverain Saoudien investi $ 1Milliard USD dans un constructeur de véhicules électriques américain; Audi e-tron : un concurrent sérieux pour le Model X; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
|
Abonnez-vous à notre infolettre hebdomadaire
Use a valid e-mail address Votre inscription est confirmée.
xhr
100
NOS PARTENAIRES |