Hydro-Québec sollicite actuellement des offres en vue de l’implantation d’un microréseau électrique d’avant-garde dans le nouveau centre-ville de Lac-Mégantic. Les soumissions seront reçues jusqu’au 25 avril prochain.
Le microréseau électrique de Lac-Mégantic est un projet visionnaire de développement urbanistique durable. C’est une première au Québec : un nouveau quartier à échelle humaine qui intégrera de la production d’électricité solaire, des batteries permettant le stockage d’énergie, des bâtiments intelligents dotés d’équipements de gestion de la consommation énergétique, ainsi que des bornes de recharge pour véhicules électriques.
À terme, le projet sera composé d’une trentaine de bâtiments commerciaux, institutionnels et résidentiels. Il sera relié au réseau principal d’Hydro-Québec, tout en pouvant fonctionner de manière autonome grâce à jusqu’à 1000 panneaux solaires photovoltaïques et plus de 300 kWh batteries stationnaires pour stocker l’énergie intermittente produite.
Ce projet est véritablement gagnant-gagnant. Hydro-Québec pourra y expérimenter de nouvelles pratiques écoénergétiques qui promettent de réduire, dans le futur, le coût des nouvelles infrastructures de distribution électriques et les fluctuations de la demande électrique en période de pointe. De leur côté, les clients et habitants y bénéficieront, entre autres, d’un confort accru, d’une consommation énergétique réduite et d’une alimentation électrique stable qui ne craint pas les pannes électriques. Ce projet est au coeur de la reconstruction du centre-ville de Lac-Mégantic (détruit lors d’une catastrophe ferroviaire il y a déjà 6 ans). Il est le résultat d’un partenariat noué entre Hydro-Québec et la Ville de Lac-Mégantic. Le déploiement progressif devrait commencer dès cet été. Intéressés ? Consulter l’appel d’offres sur le SEAO (payant)
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Avec les ventes de véhicules électriques en constante évolution, les services publics doivent obtenir des données issues du monde réel dans leur zone de service. Ces données sont nécessaires pour que les fournisseurs d'électricité au Canada prennent des décisions éclairées sur leur infrastructure et veillent à ce qu'ils soient prêts à fournir aux propriétaires de VÉ une bonne expérience de recharge. Le module C2 recueille:
Informations de recharge - Le montant d'énergie de recharge consommée est collecté afin de vous fournir des observations sur le comportement des charges. Informations sur la conduite - Utilisé pour calculer l'efficacité énergétique en équivalent de miles par gallon équivalent (MPGe) et de watt-heure par mille (Wh / mile). NDLR: On espère qu'une équivalence métrique sera offerte. Informations sur l'emplacement - Les coordonnées GPS de l'emplacement des bornes de recharge seront utilisées pour déterminer où les propriétaires de VÉ canadiens ont besoin de stations de recharge et où ils facturent actuellement. Les informations qui peuvent vous identifier ne seront pas rendues publiques ni offertes à des organismes extérieurs à FleetCarma et à leurs partenaires participants (Alectra Utilities, BC Hydro, Oakville Hydro, Burlington Hydro, Waterloo North Hydro, Nova Scotia Power, Hydro-Québec, Bruce Power, Toronto Hydro, University of Waterloo et AddÉnergie Technologies Inc). On demande donc à 1,000 électromobilistes canadiens d'aider à améliorer le portrait des infrastructures au pays en se procurant un module C2 gratuitement, et à l'utiliser jusqu'au 31 mars 2019.
Source: FleetCarma
Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Achat groupé de Nissan Leaf : 40% des réservations de la Tesla Model 3 et un concept exportable, 1/6 des voitures vendues en 2020 devront être électriques pour répondre aux normes sur l’économie de carburant, un nouveau concept de magasin Tesla dévoilé sous peu et une nouvelle entreprise souhaite redéfinir l'expérience d'achat des VÉ : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Nissan entend bien profiter de sa longueur d’avance dans le domaine des véhicules électriques alors qu’elle vient d’annoncer une nouvelle technologie de batterie et une nouvelle infrastructure de recharge au Salon de l’automobile de Genève.
La nouvelle technologie de batterie est en développement présentement. En augmentant sa densité et sa performance énergétique, cette batterie de 60 kWh devrait offrir une autonomie de 341 miles (550 km) sur une seule charge. Il est probable qu’elle se retrouve dans une version plus récente de la Nissan LEAF, et dans le modèle e-NV200, bien que le directeur général européen de Nissan section véhicules électriques, Gareth Dunsmore, ait laissé entendre que ces modèles n’étaient qu’une première étape. La cible est l’autonomie de 550 km, le frein est le coût Il a affirmé que Nissan devait avoir confiance en la durabilité de la batterie et que celle-ci devait être abordable : « Il serait très facile de lancer la batterie annoncée aujourd'hui, mais elle doit être offerte à un coût raisonnable. Quand cela sera possible, nous la mettrons à votre disposition très rapidement. »
Dunsmore a ajouté que bien des acheteurs pensent qu'ils ont besoin d'une plus grande autonomie que ce qu'ils nécessitent réellement, mais peu importe, selon lui : « parcourir de longues distances dans un véhicule électrique devrait être possible. Il y a deux avenues pour arriver à un développement rapide. L’une est composée de chargeurs rapides ayant une capacité de recharge d'appoint, qui devraient être offerts partout. L’autre consiste à offrir une plus grande autonomie aux consommateurs. Nous avons maintenant une batterie qui permet de rouler 550 km. Voilà où nous devons aller. Voilà le but. Cela répond à tous les besoins. »
Nissan a aussi annoncé que son nouveau bureau en France abriterait le plus grand système de véhicules électriques connectés en réseau et la plus importante unité de stockage de batteries de « seconde vie » au monde. Le système permettra aux conducteurs de brancher leurs voitures pour recevoir l'électricité du réseau à des périodes hors pointe ou « revendre » l'énergie stockée. Les batteries de « seconde vie » sont celles qui ont été retirées des voitures une fois qu'elles ont atteint la fin de leur vie utile. Même si elles ne sont plus en mesure de fournir la puissance nécessaire pour un véhicule électrique, elles sont parfaitement adaptées à d’autres applications.
Selon Dunsmore, les conducteurs seront payés pour recevoir de l'énergie. Il a précisé : « L'énergie deviendra un produit partageable. Lorsque vous partagez quelque chose dans la vie, vous êtes payé, comme avec Airbnb où vous partagez votre maison et recevez de l’argent en retour. Vous serez donc en mesure de partager l'énergie que vous avez accumulée avec des panneaux solaires, l'énergie que vous avez recueillie au travail, gratuitement peut-être, et cela sera rentable. » Un essai au Danemark a généré entre 1 000 £ et 2 000 £ (1500$ et 3000$ CAD) par an, en fonction de l’utilisation du système.
Nissan évalue également les façons dont la recharge sans fil pourrait être utilisée. Dunsmore a suggéré que les zones où la circulation est stationnaire, comme les feux de circulation, étaient idéales parce que la recharge sans fil est plus efficace lorsque la voiture ne bouge pas. Il a également indiqué que les entreprises de services publics pourraient jouer un rôle plus important, mais en faisant d’abord une plus grande place à la technologie. Source : Auto Express Contribution : Peggy Bédard À compter d’aujourd’hui, vous pouvez utiliser une carte Circuit électrique ou RéseauVER aux bornes des deux réseaux. Le processus visant à rendre ceux-ci pleinement interopérables s’achèvera avec le franchissement de deux autres étapes au cours des prochaines semaines :
Concrètement, l’interopérabilité vous permettra d’accéder tant aux 415 bornes du Circuit électrique ainsi qu’aux 150 bornes québécoises du RéseauVER. Le RéseauVER est également présent dans d’autres provinces, notamment la Colombie-Britannique, l’Ontario et les provinces maritimes. En ce qui concerne les tarifs, chaque réseau conservera la tarification applicable à ses propres bornes, soit : Pour en savoir plus sur le Circuit électrique, visitez lecircuitelectrique.com.
Pour en savoir plus sur le RéseauVER, visitez reseauver.com. Le Circuit électrique Téléphone : 1-855-999-8378 Courriel : infocircuitelectrique@caaquebec.com Source: Le Circuit électrique Contribution: François Viau Depuis quelques années, l’électrification des transports est progressivement devenue une priorité pour le gouvernement du Québec, en particulier dans un contexte où notre province est assujettie au système de plafonnement et d’échange des émissions (SPEDE), qui a été lancé conjointement avec la Californie en janvier 2013. En effet un marché du carbone est en place depuis début 2013 au Québec, en collaboration avec la Californie dans le cadre de la WCI. Depuis début 2015, les distributeurs de combustibles et carburants d’origine fossile y sont également assujettis. Concrètement, cela signifie qu’un « prix carbone » est désormais inclus dans la quasi-totalité des hydrocarbures consommés au Québec. Ce « prix carbone » est aujourd’hui aux alentours de 3¢/L mais augmentera dans les prochaines années (au minimum de 7% par an). Étant donné que 75% des émissions de GES au Québec proviennent du secteur de l’énergie et que près de la moitié des émissions totales proviennent du secteur du transport, Québec ne pourra pas atteindre ses objectifs de réduction des GES en 2020 sans s’attaquer au secteur des transports. Dans ce contexte, Jean-Martin Proulx, étudiant à la maitrise en environnement de l’université de Sherbrooke, a rédigé un essai portant sur l’impact potentiel qu’aurait un réseau de bornes à recharge rapide sur les autoroutes du Québec. L’étude visait à démontrer dans quelle mesure un projet de déploiement de bornes de recharge rapide en bordure des autoroutes du Québec peut s’avérer rentable pour la société québécoise dans son ensemble, et ce, dans une perspective de développement durable. Voici un résumé des constats : D’abord pour mettre la table, l’étude dresse un constat en ce qui a trait au virage politique de ces dernières années pour l’électrification des transports. Il y a eu la publication du Plan d’action 2011-2020 sur les voitures électriques ainsi que la Stratégie d’électrification des transports proposée à l’automne 2013. Ainsi, depuis les dernières années, l’électrification des transports est clairement devenue une priorité de développement économique pour le Québec. Dans un contexte où les émissions de GES ont un prix, où les émissions de transport représentent près de 50% des émissions du Québec et où Hydro-Québec dispose de surplus d’énergie, une telle position était prévisible. Il est fort à parier que cette tendance se poursuivra à l’issue des prochaines consultations sur la nouvelle politique énergétique du Québec qui se dérouleront au mois de février 2015. Ensuite, l’étude démontre le rôle clé que les infrastructures de recharge sont amenées à jouer sur l’adoption de masse des véhicules électriques. En effet un réseau de bornes rapides permettrait de lever deux principales barrières actuelles :
Par une revue des expériences ailleurs dans le monde, l’étude a permis de mettre en évidence les principaux défis entourant le déploiement de réseaux de bornes à recharge rapide, notamment le manque de financement. Notant qu’il n’y a pas de « recette miracle », l’étude présente deux cas qui peuvent servir d’inspiration pour le Québec dans le cadre de l’implantation d’un réseau de bornes à recharge rapide. Le premier présente un réseau de bornes de recharge rapide public déployé à l’échelle nationale. Le second détaille la West Coast Electric Highway, un tronçon de plus de 940 km de l’autoroute Interstate 5 dans les États de Washington et de l’Oregon, où des équipements de la norme de conception CHAdeMO ont été implantés. L’étude de ces deux expériences a permis de faciliter l’élaboration d’un scénario d’implantation d’équipements de recharge rapide pour le Québec.
Un tel scénario d’implantation a été proposé dans l’optique de faire des bornes de recharge rapide un véritable incitatif à la croissance des véhicules électriques à batterie (VÉB) dans la province. À la suite d’une présélection des autoroutes intéressantes pour le projet, un nombre de bornes total à déployer a pu être fixé à 111 unités au regard des anticipations des besoins en recharge rapide basées sur l’évolution prévisionnelle du stock de véhicules électriques dans la province. En se basant sur l’expérience de nos voisins du sud, on a supposé 10 équipements de recharge rapide par tranche de 1000 véhicules électriques en circulation. Le scénario de déploiement proposé serait réalisé en deux phases successives :
Enfin, l’étude visait à démontrer la faisabilité d’un point de vue économique. L’évaluation s’est effectuée par le biais d’une analyse coûts-bénéfices et en supposant qu’un véhicule électrique se substitue à un véhicule conventionnel. Les retombées nettes d’une telle substitution ont été évaluées à une valeur actuelle de 3130,42 $ par substitution, en date de la mise en circulation du VÉB. À la lumière de ce constat, l’étude a tenté de déterminer le profil de croissance des véhicules tout électriques au Québec qui serait minimalement requis pour rentabiliser le projet de déploiement d’équipements de recharge rapide en bordure des autoroutes du Québec. Globalement, il en ressort que, sur la base de quelques modèles anticipatifs sur l’essor du marché de véhicules tout électriques au cours des prochaines années, le projet proposé présente réalistement la capacité d’être rentable avant 2020. Collaboration: Mathieu Dumas – La Coop Carbone Conseiller stratégique Nissan Canada a annoncé aujourd'hui un partenariat stratégique avec le Circuit Électrique d'Hydro-Québec, lors du Salon de l'auto de Montréal: Nissan s’engage pour 20 sites de recharge rapide à courant continu en 2015 et cinq de plus en 2016. Une annonce tout à fait explosive! Comme l'AVÉQ vous l'avait rapporté en exclusivité avant Noël, une "rumeur circulait" à l'effet qu'un investisseur financier important ferait partie des partenaires du Circuit Électrique dès 2015 [lire l'article]. Nous pouvons maintenant dévoiler cet investisseur: il s'agit de Nissan Canada. Nissan Motors est reconnu pour s'investir dans les infrastructures de recharge rapide, ayant déjà installé bon nombre de leurs bornes CHAdeMO fabriquées à l'interne. Mais lors de nos multiples conversations avec Nissan Canada, nous avons toujours mis de l'avant les problèmes de surchauffe dont souffrent les BRCC Nissan, les difficultés d'accès à ces bornes en dehors des heures d'ouverture chez les concessionnaires aux USA, et de la nécessité d'offrir un produit fiable et robuste sachant répondre aux rigueurs de l'hiver québécois. La borne rapide Nissan ne figurait pas dans notre liste... L'équipe responsable des véhicules Zéro Émission chez Nissan Canada est composée de vrais passionnés qui ont à coeur l'électromobilité. Au lieu d'utiliser la borne abordable fabriquée par Nissan Motors Corp et distribuée par AeroVironment, ils ont décidé d'opter pour un produit local: la SmartDC d'AddÉnergie. Cette BRCC est adaptée au climat canadien et offre non seulement la recharge CHAdeMO utilisée par la LEAF et la future fourgonnette eNV-200, mais offre aussi la recharge CCS-Combo utilisée par leurs compétiteurs! Questionné à ce sujet, le directeur marketing LEAF au Canada, Marcel Guay, nous a répondu que Nissan tient à ce que l'électrification des transports se réalise plus vigoureusement au Canada, et que si ce partenariat peut aider à atteindre cet objectif, tous en sortiraient gagnants. Nous sommes d'avis que le choix d'une borne rapide offrant les deux standards démontre que Nissan Canada veut aider l'électrification des transports, et non seulement les ventes de leurs produits spécifiques. C'est un geste très noble et fort apprécié que nous applaudissons. Voici le communiqué officiel du Circuit électrique Nissan s’engage pour 20 sites de recharge rapide à courant continu en 2015 et cinq de plus en 2016 Aujourd’hui, à l’occasion du Salon international de l’Auto de Montréal, Nissan a annoncé qu’elle soutiendra l’expansion du réseau de recharge public, le Circuit électrique, avec un important investissement dans la création de 25 sites de recharge rapide à courant continu. L’entente de partenariat s’inscrit dans le cadre d’une nouvelle étape de déploiement du Circuit électrique qui vise à créer jusqu’à 50 sites de recharge rapide dans les zones à circulation dense, sur les principaux corridors routiers et dans les grands centres urbains. « Avec des ventes record pour la Nissan LEAF, davantage de Canadiens optent pour un véhicule électrique et cette croissance se poursuivra tant que l’infrastructure de recharge publique continue de s’accroître, facilitant ainsi les déplacements longue distance », a déclaré Christian Meunier, président de Nissan Canada Inc. « C’est la prochaine étape de l’engagement de Nissan pour soutenir la mobilité électrique au Canada et nous comprenons que l’infrastructure de recharge doit alimenter tous les véhicules électriques pour produire un impact maximum. Hydro-Québec a fait preuve d’un grand leadership dans le déploiement des bornes de recharge publiques et nous sommes heureux d’appuyer l’expansion du Circuit électrique. » C'est l'entreprise de Québec AddÉnergie qui fournira les bornes rapides, lesquelles sont produites à l'usine d'AddÉnergie de Shawinigan. Dotés de fiches convenant aux normes CHAdeMO et SAE, les chargeurs rapides à courant continu permettront de recharger la Nissan LEAF et la plupart des véhicules électriques. Moins de 30 minutes suffiront pour une recharge à 80 % de la batterie de la Nissan LEAF, permettant aux conducteurs de reprendre la route rapidement. « Nissan a été la pionnière de la promotion de la mobilité électrique à l’échelle mondiale avec le lancement de la Nissan LEAF, ce qui a changé la perception de ce que signifie vraiment la conduite électrique », a affirmé Pierre-Luc Desgagné, vice-président, Affaires publiques et gouvernementales, Hydro-Québec. « Grâce au soutien important de Nissan pour cette prochaine phase du Circuit électrique, nous fournirons à un plus grand nombre de conducteurs de voitures électriques un accès facile à des bornes de recharge rapide, tout en poursuivant le déploiement de chargeurs de niveau 2 à l’échelle provinciale. » Cette entente vise à aider au financement de la mise en service de 20 sites de recharge rapide pour le Circuit électrique en 2015, et cinq de plus prévus en 2016. Ces sites seront installés à des endroits stratégiques comme des chaînes de restaurants, des dépanneurs et seront faciles d’accès et pratiques. Le plan de déploiement prévoit l’installation de sites le long de certaines autoroutes, notamment : • Autoroute 20 • Autoroute 10 • Autoroute 15 • Autoroute 50 • Autoroute 35 en direction du Vermont Voici les premiers sites de recharge rapide déjà confirmés : Drummondville (autoroute 20) Rôtisserie St-Hubert – 2875, boulevard Saint-Joseph Lévis (autoroute 20) Carrefour Saint-Romuald, à l'intersection des routes 132 et 175 Magog (autoroute 10) Espace Santé Globale, 2381-2389, rue Principale Ouest (route 112) St-Jean-sur-Richelieu (autoroute 35) Centre commercial St-Luc/St-Jean – 170-174, boulevard Saint-Luc Lacolle (un petit extra annoncé à la surprise du maire de Lacolle qui était présent!) Emplacement à déterminer, dans le village lui-même, à 5 km de l'autoroute 15. Partenariat AVÉQ-Nissan Nous tenons à vous rappeler que le partenariat entre Nissan Canada et l'AVÉQ se termine le 31 mars 2015. Jusqu'à présent, ce fut un partenariat qui a permis à plus de 400 membres AVÉQ d'obtenir un important rabais à l'achat ou la location d'une Nissan LEAF, et qui a contribué à près de la moitié de toutes les ventes de LEAF au Canada. En calculant un rabais moyen de 1300$, c'est plus de 500,000$ qui a été accordé en escomptes exclusivement aux consommateurs québécois à travers cette promotion. Nous tenons à remercier toute l'équipe chez Nissan Canada de nous avoir fait confiance. Le Circuit électrique prend de l'expansion dans la MRC Papineau. Les municipalités de Thurso, Chénéville et Namur devraient accueillir d'ici le début de l'été leur propre borne de recharge publique afin de répondre aux besoins grandissants des automobilistes au volant d'un véhicule électrique. En Outaouais, on dénombre une dizaine de bornes alimentées par le Circuit électrique, le plus important réseau de recharge public au Québec, et elles sont toutes aménagées à Gatineau. Une seule de ces stations de ravitaillement se trouve en dehors du périmètre urbain; elle est installée au Château Montebello, sur le territoire de la MRC Papineau. Lancé dans la foulée de la création du comité de revitalisation de la route 148 afin de créer un «corridor touristique électrique» visant à diminuer les impacts de l'ouverture de l'autoroute 50, le projet chapeauté par le CLD Papineau a pris une visée régionale avec le temps, si bien qu'une enveloppe de près de 14000$ a été réservée au sein du Pacte rural de la MRC afin de faire l'achat de trois nouvelles bornes. Les municipalités de Thurso, Chénéville et Namur devront débourser les frais liés à l'installation des appareils, qui doivent être livrés par Hydro-Québec ces prochains mois. Les stations seront aménagées à l'entrée des villages de Thurso et Chénéville. L'emplacement namurois reste à déterminer. Vide à combler Jérôme Cyr, l'agent de développement rural au CLD Papineau responsable du dossier, affirme que l'élargissement du réseau public était nécessaire dans la région, particulièrement dans la Petite-Nation. Malgré la présence de bornes privées mises à la disposition des automobilistes par des particuliers, il y a un vide à combler, dit-il. «C'est stratégique, étant donné que nous sommes situés entre Montréal, Mont-Tremblant et Gatineau. Nous sommes vraiment un lieu de passage avec l'autoroute 50. [...] On le voit vraiment comme un outil de revitalisation. Comme nous sommes une MRC touristique, il y a là un bon marché.» Avec l'ajout de ces bornes, l'autonomie des conducteurs de véhicules électriques dans la région devrait être assurée. Une deuxième phase est prévue pour plus tard. «Duhamel et Plaisance, par exemple, ont un très grand potentiel touristique. Premièrement, on veut assurer l'autonomie sur l'ensemble du territoire. Mais si, d'ici cinq ou 10 ans, il y a boom dans l'achat de véhicules électriques, les bornes que nous aurons ne seront pas suffisantes et il faudra en ajouter», précise M. Cyr. Selon les plus récents chiffres de la Société de l'assurance-automobile du Québec, la Belle Province compte actuellement plus de 5000 propriétaires de véhicules électriques. Source: Le Droit L'AVÉQ est fière de vous présenter la plus récente carte des accès possibles grâce aux bornes rapides BRCC disponibles sur le territoire en date du 7 novembre 2014.
À partir d'une borne rapide, l'autonomie à 80% pour ces véhicules devrait être de 120 km en été à 95 km/h. Donc pour chaque borne, on peut créer une couverture en toutes directions de cette distance. À noter qu'en périphérie de cette zone, l'option de se recharger pour revenir dans la zone comptera uniquement sur des bornes L2 à 240V, donc un temps de recharge beaucoup plus long: le même qu'à la maison. Il en est de même lorsqu'on sort d'une zone pour entrer dans une autre: la jonction entre les deux devra être faite avec une borne publique à 240V. Dans nos estimés, nous avons été très conservateurs, et affichons les zones avec une couverture de 110 km sur la carte. Il est certain que si la borne rapide n'est pas occupée, vous êtes libres de charger un peu plus jusqu'à la limite déterminée par votre voiture et sa température de batterie - une batterie trop chaude risque d'être endommagée par de multiples recharges rapides dans une même journée, le VÉ sait donc quand arrêter la recharge. Aussi, chaque conducteur est différent, et avec un véhicule électrique cette différence peut parfois atteindre 40% d'autonomie, alors qu'avec un véhicule à l'essence, le hypermiler peut réussir en moyenne 20% de plus qu'un autre conducteur avec la même voiture à combustion. Donc la couverture de 110 km peut atteindre 120-130 km avec un conducteur de VÉ qui est plus conservateur dans ses accélérations et sa vitesse moyenne, toujours avec 80% de charge. Le projet-pilote de BRCC sur l'autoroute 40 entre Montréal et Québec d'une durée de 26 mois n'est pas pour seulement vérifier si les bornes fonctionnent correctement dans notre climat, mais surtout pour déterminer si les électromobilistes vont les utiliser. Le Ministère des Transports veut voir l'impact de ces bornes sur les ventes de VÉ avant d'investir d'autre argent sur ces infrastructures. N'ayez donc pas peur de les utiliser!! De bonnes statistiques aux BRCC aideront à leur déploiement. N'oubliez pas de bien mentionner à votre concessionnaire favori qui vend des VÉ possédant un port de recharge rapide que ce corridor rapide existe, et montrez-leur la carte ci-haut pour qu'ils comprennent l'impact de ces bornes sur les voitures électriques. NOUS COMPTONS SUR VOUS, CHERS LECTEURS!! Contribution: Simon-Pierre Rioux Un nouveau moyen, un peu astucieux de gérer et d'améliorer l'efficacité du réseau électrique a été récemment dévoilé par une coalition de certains des plus grands constructeurs automobiles du monde. Pour être précis, ce nouveau «moyen» est en fait tout simplement une technologie qui permet la communication directe des compagnies d’électricité et les véhicules électriques, via le « nuage » (cloud). Au premier abord, cela ne ressemble pas à quelque chose d’important, mais quand on y pense, cela ouvre d'importantes possibilités d'améliorer efficacement et économiquement le réseau électrique. «Notre intention est d'ajouter plus de capacité à cette technologie afin qu'elle puisse être largement utilisée dans l'avenir," déclare Mike Tinskey, directeur mondial, électrification des véhiculres et de l'Infrastructure pour Ford. Plusieurs constructeurs automobiles (Ford, BMW, Honda, GM, Chrysler, Mercedes-Benz, Mitsubishi Motors et Toyota), Sumitomo Electric et quelques une des principales compagnies d’électricité, sont en partenariat avec Electric Power Research Institute (EPRI). Le système de communication bidirectionnelle permet aux compagnies d’électricité de faire parvenir un message aux véhicules électriques en recharge en leur demandant d'arrêter temporairement la charge. Toutefois, les clients peuvent refuser s'ils le souhaitent, et l'ensemble du programme exige l’acceptation (opting in). L'objectif est d'aider à éviter de surcharger le réseau. Selon un communiqué de presse de Ford : "Dans une situation typique, un propriétaire de véhicule électrique brancherait sa voiture pour la charger et fixerait un délai pour le départ de la charge comme tel. Si le système détecte que faire une pause dans la recharge nuit aux besoins du propriétaire, il ne la ferait pas et continuerait la recharge, sinon, la charge serait mise en pause pour réduire temporairement la demande d'énergie pour le réseau." Surtout, les propriétaires de véhicules électriques en retirent quelque chose aussi. Il existe des incitatifs financiers pour les inciter à participer au programme. En fait, un tel système existe déjà pour certaines unités de climatisation à domicile.
Source: Clean Technica
Collaboration: Dany Labrecque, membre AVÉQ TRANSPORT. Si la Mauricie compte de plus en plus d'adeptes de la voiture électrique, il reste toutefois du progrès à faire en ce qui concerne le nombre de bornes de recharge disponibles. "En ce qui a trait au nombre de voitures électriques en circulation, la région fait bonne figure, affirme Éric Gagnon, délégué régional de la Mauricie pour l'Association des Véhicules Électriques du Québec (AVÉQ). La Mauricie est parmi les endroits où il y en a le plus." Par contre, notre région tire un peu de l'arrière en ce qui concerne les bornes de recharge. "C'est dommage parce que c'est le nerf de la guerre, soutient Louis Tremblay, président d'AddÉnergie Technologies Inc. Il y en a de plus en plus qui s'installent, mais ça se fait tranquillement." Qui dit manque de bornes de recharge dit aussi peur de tomber en panne. "Quand on se déplace, il ne faut pas avoir peur de tomber en panne et il faut savoir qu'on a plusieurs endroits il il faut être chanceux pour avoir la seule borne de recharge disponible. On n'est pas encore rendu au nombre optimal de bornes, mais on y arrive tranquillement", renchérit M.Gagnon. Ce dernier a d'ailleurs fait la tournée des municipalités afin d'identifier les endroits à prioriser pour l'installation de bornes. St-Tite se retrouve en tête de liste. Une unité mobile était offerte pendant le Festival Western, mais M. Gagnon indique qu'il faudrait au moins une borne fixe. "Ça fait partie des projets à court terme", conclut-il. Source: L'Hebdo Journal page 5 NDLR: En entrevue, il est toujours possible qu'un journaliste se concentre sur une phrase qui pourrait sembler anodine plutôt que sur le message lui-même. Il semblerait que ce fut le cas ici. L'AVÉQ ne craint pas un monopole électrique, la Régie de l'énergie étant présente pour moduler la tarification, ce qui n'existe pas pour l'industrie pétrolière. De plus, la saine compétition entre les différents réseaux devrait permettre de garder une tarification abordable aux bornes publiques. TRANSPORT. La hausse des tarifs d'Hydro-Québec a suscité bien des réactions et fait naître des mécontentements chez les Québécois. En Mauricie, alors que l'industrie du transport électrique est en pleine effervescence, des automobilistes appréhendent un monopole électrique. Et si Hydro-Québec en profitait pour augmenter considérablement ses tarifs? En troquant le pétrole pour l'électricité, sommes-nous en train de passer d'un monopole pétrolier à un monopole électrique?
"Les tarifs sont appelés à augmenter dans les années à venir. La différence avec les pétrolières, c'est que l'augmentation ne devrait pas dépasser l'inflation annuelle. Et si jamais c'est le cas, Hydro-Québec, même si elle a le monopole, demeure une société d'État. Ce qui veut dire que les Québécois auront leur mot à dire, contrairement à ce qu'on voit avec les pétrolières", soutient Éric Gagnon, délégué régional de la Mauricie pour l'Association des Véhicules Électriques du Québec (AVÉQ). Dans le cadre de son travail, ce dernier affirme avoir rencontré des citoyens qui, en raison de la hausse des tarifs d'Hydro-Québec, ont fait marche arrière dans leur processus d'achat d'une voiture électrique. "J'ai vu des gens qui étaient frustrés de ces augmentations et qui ont choisi de donner leur argent aux pétrolières, raconte M.Gagnon. Il faut garder en tête que même s'il y a une augmentation, ça reste moins cher qu'une voiture à essence." Le président d'AddÉnergie Technologies Inc., Louis Tremblay, abonde dans le même sens. "Je pense que le prix de l'électricité peut faire une différence chez certaines personnes, mais ce sera toujours le cas pour ces gens-là, hausse ou pas. Le fait est que même avec cette hausse, c'est encore de loin moins cher d'avoir un véhicule électrique. Ça peut être un premier réflexe, mais ça ne tient plus la route quand on fait le calcul." Quant à un éventuel monopole, M. Tremblay doute très fortement de cette possibilité. "Les bornes de recharge sont la possession des partenaires et les revenus vont à ces partenaires. En considérant qu'il y a de multiples propriétaires différents, ni Hydro-Québec ni les propriétaires n'auraient intérêt à gonfler les prix. Ils se nuiraient." Au moment de mettre sous presse, Hydro-Québec n'avait pas encore commenté la situation. Source: L'Hebdo Journal page 3 En Irlande, le fournisseur d’énergie ESB vient d’annoncer avoir terminé le déploiement de son réseau national de bornes de recharge rapide installé dans le cadre du projet pilote TEN-T (Trans-European Transport Network) cofinancé par la Commission européenne. Au total, 46 points de charge rapide (41 en République d’Irlande et 5 en Irlande du Nord) ont été installés à travers l’Irlande grâce à ce programme européen. Ceux-ci viennent s’ajouter aux bornes rapides déjà installées à l’initiative du gouvernement Irlandais et portent à 1200 le nombre total de points de charge disponibles sur l’île, toutes puissances confondues. Déployés le long des principaux axes routiers, ces chargeurs rapides permettent de relier les principales villes du pays. D’autres bornes sont également situées à proximité de différents centres commerciaux et stations-service comme Tesco, Topaz ou AppleGreen. Une dizaine de chargeurs AC a également été installé dans les gares ferroviaires gérées par Iarnród Éireann. UNE BORNE RAPIDE TOUS LES 60 KM Grâce à l’extension du réseau, les utilisateurs peuvent désormais compter sur une borne rapide tous les 60 km. Multistandards, ces nouveaux chargeurs répondent aux normes Combo, CHAdeMo et AC et permettent de récupérer 80 % d’énergie en un peu plus de 25 minutes. « La réalisation de ce projet est une grande réussite. Un énorme travail a été réalisé pour fournir des points de charge rapide dans toute l’Irlande et ce réseau national va encourager les gens à passer à l’électrique »explique John McSweeney, Directeur de l’innovation d’ESB, chef d’orchestre du déploiement irlandais. Afin de faciliter leur transition vers l’électrique, les irlandais peuvent compter sur une aide à l’acquisition de 5.000 €. Et l’objectif de la République d’Irlande est ambitieux puisque le gouvernement souhaite que le véhicule électrique représente 10 % des véhicules en circulation (soit 230.000 VE) d’ici à 2020… Source: AVEM Collaboration: Dany Labrecque, membre AVÉQ Une récente enquête en ligne menée auprès d’utilisateurs de voitures électriques en France met en lumière les habitudes de recharge de ces derniers. Il en ressort que la recharge à domicile constitue le mode de charge privilégié et que plus de 40 % des conducteurs ont déjà fait le « plein » de leurs batteries sur une borne de recharge publique. Fait important : ils sont prêts à payer pour une prestation de ce type. 48 % des sondés disposent d’une Renault ZOE Le Club Alsace Voitures Electrique (CAVE) vient de rendre public une excellente enquête menée entre le 24 mars 2014 et le 14 mai 2014 auprès de 504 utilisateurs de véhicules électriques. Première du genre en France, cette enquête fournit de précieux détails sur les habitudes de charge des propriétaires de modèles électriques. Même si cette enquête en ligne a été lancée sous l’égide du CAVE, en partenariat avec l’application ChargeMapspécialisée dans la localisation des bornes de recharge publique, 83 % des répondants résident hors de la Région Alsace, un territoire qui dispose de l’une des flottes de véhicules électriques particuliers les plus importantes en France. Grâce à un doublement du bonus « écologique » – une opération qui s’est terminée au printemps 2013 – et à une volonté forte dans le déploiement d’une infrastructure de recharge publique – Communauté Urbaine de Strasbourg, expérimentation avec Toyota, projet CROME en partenariat avec le Bade Wurtemberg voisin, stations de charge rapide dans les hypermarchés CORA via un partenariat avec le constructeur Nissan, … –, la Région Alsace est l’une des régions françaises les plus dynamiques en matière de mobilité électrique. La voiture électrique : véhicule principal pour 58 % des sondés Parmi les 504 répondants, 84 % d’entre eux habitent une maison individuelle contre seulement 10 % dans un appartement disposant d’un garage. Preuve que l’évangélisation et la sensibilisation en matière d’installation de borne de recharge en immeuble collectif doit se poursuivre. Sans surprise, c’est la citadine Renault ZOE qui arrive en tête des véhicules électriques détenus par les sondés (48 %). Arrivent ensuite la berline compacte Nissan LEAF (16 %), les citadines jumelles Citroën C-Zero et Peugeot iOn (6 % chacune), le quadricycle Renault Twizy et la défunte berline Renault Fluence Z.E. (3 % chacune). L’enquête révèle que, pour 58 % des utilisateurs interrogés, la voiture électrique constitue le véhicule principal du foyer. Plus de la moitié, un chiffre qui donne clairement à réfléchir aux détracteurs des modèles électriques … Autres données intéressantes : le domicile représente le lieu de charge principal pour 88 % des sondés et seuls 45 % des 504 répondants rechargent quotidiennement la batterie de leur véhicule. De quoi confirmer l’argumentaire des constructeurs selon lequel un Français parcourt en moyenne moins de 70 km par jour. L’autonomie réelle d’un modèle électrique oscillant entre 110 et 170 km – fonction du style de conduite, du type de trajet (ville, route, autoroute) et de l’utilisation des auxiliaires (chauffage et climatisation principalement) –, la charge se fait tous les 2 à 3 jours. Des utilisateurs sondés prêts à payer pour une meilleure prestation
L’un des enseignements majeurs de cette enquête porte également sur les habitudes de charge à l’extérieur du domicile. 66 % des sondés admettent ainsi qu’ils se sont déjà rechargés sur une borne de charge publique, au supermarché, dans un parking ou encore sur la voirie. 43 % des personnes interrogées ont même utilisé une station de charge rapidepermettant de recouvrer 80 % des capacités d’une batterie en moins de 30 minutes. Ces stations, encore relativement rares dans le paysage français, essaiment de manière importante depuis le début de l’année 2014. Un essaimage lié essentiellement à l’ambition du constructeur automobile Nissan – l’industriel dispose de deux modèles 100 % électriques à son catalogue, la berline compacte LEAF et l’utilitaire/ludospace e-NV200 – et des partenariats noués avec des collectivités territoriales (Bretagne, Vendée, …) et des chaînes de distribution (IKEA, Auchan, CORA, …). Même si le déploiement de bornes de recharge publique s’intensifie depuis une petite année, les utilisateurs de véhicules électriques ne semblent pas être satisfaits du service rendu : des stations de charge rapide trop souvent en panne – notamment pour la charge de Renault ZOE en courant alternatif AC sur des stations rapides conçues à l’origine pour la charge en courant continu DC –, la nécessité de disposer de plusieurs cartes ou badges d’accès, l’impossibilité d’y accéder 24/24h, des places « squattées » par des véhicules thermiques, … Pour disposer d’un service de charge publique optimal, 87 % des sondés sont prêts à payer la recharge : 1 à 2 euros pour une charge normale (100 % du « plein » réalisé entre 6 et 8 heures), 2 à 3 euros pour une charge accélérée (100 % du « plein » réalisé en 1h30 sur Renault ZOE) et 2 à 5 euros pour une charge rapide (80 % du « plein » réalisé en 30 minutes). >>>> retrouvez l’intégralité des résultats de l’enquête mené par le CAVE sur son site Le 26 août 2014, à l'annonce du futur Réseau AZRA de bornes de recharge rapide, le site de l'AVÉQ a encaissé 11,499 hits en 24 heures. C'est très certainement notre record à date, qui démontre aussi l'intérêt que suscite les bornes rapides BRCC auprès de la communauté électrique. Si vous prévoyez prochainement acheter un véhicule électrique, nous vous conseillons fortement de choisir le modèle avec le port de recharge rapide pour profiter pleinement de votre VÉ sans restriction. Restez bien branché sur le site de l'AVÉQ pour les plus récentes annonces concernant les BRCC, nous vous réservons des surprises et des exclusivités à ne pas manquer!! L'AVÉQ tient aussi à féliciter les dirigeants de l'entreprise privée Réseau AZRA pour leur engagement, leur persévérance, leur passion, et leur conviction à vouloir électrifier nos routes afin de faire avancer l'électromobilité au Québec. Ces chiffres prouvent que nos membres vous soutiennent dans vos démarches, et ont très hâte de devenir membre de votre réseau.
Pour la première fois au Québec, nous sommes fiers de vous présenter les possibles premières bornes rapides qui devraient être en opération d'ici la fin de l'année 2014
Le Circuit Électrique (7 carrés rouge) Nous savons tous depuis un certain temps que le Ministère des Transports du Québec met en oeuvre un projet-pilote sur l'autoroute 40 entre Montréal et Québec avec des bornes rapides BRCC, en plus d'une BRCC à Drummondville à proximité du SuperCharger de Tesla sur l'autoroute 20. De plus, n'oublions pas la seule BRCC au Québec présentement en fonction, celle de Boucherville. Bornes ELMEC (2 icônes verts) Il y a quelques semaines, le manufacturier ELMEC de Shawinigan a laissé savoir qu'il testerait deux bornes rapides au début octobre à Shawinigan et Trois-Rivières. AZRA Réseau (10 bornes jaunes) Bien qu'elles n'ont pas encore été divulguées officiellement, notre membre MbJ a publié sur nos forums les emplacements de dix futures haltes routières AZRA. On peut facilement déduire que des BRCC s'y trouveront. Outre la borne rapide de Boucherville qui est au standard CHAdeMO, les 18 autres bornes des différents réseaux offriront le double standard CCS-Combo ainsi que le CHAdeMO. Nous ne comptons pas les deux bornes privées du RéseauVER qui sont présentement en tests dans la ville de Québec ainsi que dans la ville de Montréal, car elles resteront fort probablement privées. Ce portrait incomplet reste tout de même une belle représentation de ce que notre autoroute électrique aura l'air dans quelques mois. L'électromobilité au Québec ne sera plus jamais pareille suite à l'installation de ces bornes, et devrait permettre une accélération des ventes de véhicules 100% électriques possédant le port de recharge rapide. Le futur semble de plus en plus vert! Et ça nous plait. BEAUCOUP! Note: Les emplacements identifiés sont au niveau des villes, la précision des icônes n'est pas présente. C'est un survol préliminaire de ce qui est appelé à devenir notre futur. Rien ne sert de zoomer pour voir l'adresse exacte! Les points de services se multiplient à la vitesse de l’éclair, tout comme le développement de l’entreprise Doc Borné qui se spécialise dans la fabrication et l’installation de bornes de recharge pour véhicules électriques grâce à un concept innovateur de stationnement payant et exclusif aux véhicules électriques. Ainsi, dans les dernières semaines, plusieurs entreprises ont joint le réseau. Simplement dans la journée du 17 juillet, trois inaugurations ont eu lieu dans l’est du Kamouraska; à la microbrasserie Tête d’Allumette située à Saint-André de Kamouraska, à Saint-Pascal, au Restaurant de la Montagne et au Motel Amitié. Toujours dans la même région, la Poissonnerie Lauzier de Kamouraska et le restaurant-motel Cap Martin de La Pocatière ont emboité le pas en offrant maintenant le service à leur clientèle. Plus à l’ouest, l’Auberge-motel Blanche d’Haberville à Saint-Jean-Port Joli est maintenant branchée. Des négociations sont en cours avec d’autres commerces situés à Montmagny, Lévis et ailleurs au Québec. Un représentant des ventes a été embauché à la fin août afin de répondre aux demandes. Les avantageuses subventions gouvernementales disponibles actuellement incitent les gens d’affaires à cheminer rapidement dans leur décision d’ajouter ce service comme commodité. Depuis le 31 juillet, le Doc Borné s’est doté d’une remorque pour offrir une recharge et présenter partout l’offre que développe l’entreprise. Celle-ci sera à mise à la disposition du public dans différents festivals cet été et cet automne, à travers le Québec. Cette nouvelle borne mobile de 80 Ampères a d’ailleurs servi à la Fête des chants de marins de Saint-Jean-Port Joli et sera en service pendant les deux semaines du Festival Western de Saint-Tite. Depuis le 19 août, les bornes de Doc Borné sont maintenant visibles sur la carte interactive du CAA. Quelques jours plus tard, le 22 août des membres de l’équipe étaient sur la rue Sparks à Ottawa avec le kiosque de recharge et une borne démo avant de participer à la conférence sur l’électrification des transports à l’Université d’Ottawa et a offert par la suite, des essais de véhicule électrique au public. Lors de la dernière semaine du mois d’août, Doc Borné a reçu ses accréditations de normes de sécurité des gouvernements canadien et américain, de même que les attestations de brevets de protection sur la propriété intellectuelle des inventions. Le 20 septembre, Dany St-Pierre, copropriétaire de l’entreprise avec Brigitte St-Pierre, et un assistant feront le trajet jusqu’en Floride à Fort-Lauderdale, secteur Hollywood, réputée pour accueillir les québécois en grand nombre en saison hivernale, afin d’installer des bornes de recharges sur des stationnements aux abords de la plage, de l’aéroport et sur Hallandale boulevard. Un site Internet en trois langues est aussi sur le point de voir le jour et des plans de financement seront bientôt disponibles. Source: CMATV Un important réseau de recharge américain lorgne le marché des bornes de recharge haute vitesse au Canada, des pourparlers sont présentement en cours dans différentes provinces. Tel que révélé ce matin par Benoit Charrette, chroniqueur automobile au 98,5FM, un important groupe américain aurait déjà signifié son intention d'électrifier l'autoroute Transcanadienne avec des bornes de recharge haute vitesse. Selon certains spécialistes contactés par l'AVÉQ, il s'agirait du Car Charging Group ou de ChargePoint, le premier étant le candidat le plus probable. On parlerait ici des provinces de la Colombie-Britannique, de l'Alberta (où les Tesla sont fort populaires), et de l'Ontario dont nous avons déjà discuté précédemment. Et le Québec? L'intérêt de ces compagnies pour le marché québécois était à son apogée l'année dernière, alors que de nombreux réseaux et fabricants ont approché l'AVÉQ pour sonder le terrain afin de déterminer leurs chances d'intégrer le réseau public. Notre réponse fut toujours la même: le triangle Hydro-Québec - AddÉnergie - décret 839-2013 est difficilement accessible. Il semblerait maintenant que le Québec soit à nouveau dans leur mire. Puisque les discussions n'en sont qu'à une phase exploratoire, il est difficile d'obtenir plus d'information à ce sujet. Le Réseau AZRA a aussi été dévoilé ce matin afin d'électriser le futur de l'électromobilité au Québec. Un aperçu plus complet de leur stratégie sera offert par la compagnie dans les prochaines semaines. Depuis sa création en avril 2013, l'AVÉQ a toujours soutenu l'idée du déploiement de bornes de recharge rapide (BRCC) pour accélérer la pénétration des véhicules purement électriques dans la province. Diminuer notre dépendance aux importations de pétrole, améliorer notre économie, soutenir les acteurs en électromobilité dans la province, et surtout répondre à l'appel des propriétaires de voitures électriques sont autant de facteurs qui nous stimulent à faire avancer ce projet de société dont nous pourrons tous être fiers. Déjà, nos actions auprès du gouvernement et des compagnies privées ont porté fruit. Nous avons tissé des liens solides avec de nombreux entrepreneurs pour permettre au Québec d'atteindre cet objectif d'électrification. Nous aurons plusieurs annonces pour vous dans les prochaines semaines. Aujourd'hui, nous voulons vous proposer le premier volet de notre projet: « 100 BRCC pour un Québec électrifié »Depuis plusieurs semaines déjà, de nombreux collaborateurs ont offert de leur temps pour nous aider à tisser un futur réseau de BRCC à travers la province, en trouvant des sites d'installation potentiels qui seraient intéressants pendant l'attente, et situés près des routes principales. De nombreux sites dans les grandes villes et en périphérie ont aussi été recommandés. Ces bornes doivent offrir une recharge CHAdeMO et CCS-Combo à 50 kW. Les couloirs de recharge aux stations doivent être à sens unique. Placées près de pompes à essence, pour stimuler la conversation et les échanges. Nous vous présentons un aperçu de ce que pourrait avoir l'air un futur réseau de bornes rapides. C'est beau n'est-ce pas? Ça fait rêver, même! Est-ce réalisable par le gouvernement? Le corridor Montréal-Québec du Circuit Électrique Déjà, nous savons que le réseau public du Circuit Électrique accueillera 5 bornes de recharge rapide sur l'autoroute 40 entre Montréal et Québec. Cette borne conçue par AddÉnergie fait ce qu'une BRCC doit faire: charger rapidement. Nous pouvons vous annoncer que c'est la borne la plus rapide que nous ayons eu la chance de tester, et que le système de ventilation est très efficace pour éviter la surchauffe. Déjà, plus de 1000 recharges-tests ont été effectués avec différentes voitures électriques pour s'assurer d'une excellente compatibilité. Cette borne SmartDC est prête et fonctionnelle. Des retards Dès novembre 2013, on anticipait un déploiement de ce corridor par le MTQ pour la première moitié de l'été 2014, mais quelques problèmes que nous ne sommes pas en mesure de vous partager ont freiné les travaux. Officiellement, on parle maintenant d'une mise-en-service pour la fin de l'automne. Nous aurons donc manqué la très importante période estivale, et sachez que tous les responsables du projet en sont extrêmement déçus et navrés. Un projet-pilote de 2 ans Tel que rapporté dans nos forums par Gilles Lavoie du Ministère de l'Environnement et des Ressources Naturelles (MÉRN), ce corridor est un projet-pilote d'une durée de 2 ans!!! Vous avez bien lu: deux ans. On veut y évaluer l'utilisation de ces bornes par les électromobilistes, les temps et nombres de recharges selon les saisons, bref déterminer si l'investissement pour d'autres corridors est légitime pour le gouvernement en ces temps de coupures budgétaires. Le projet-pilote prendra fin le 31 décembre 2016, en même temps que les incitatifs financiers de 8000$ à l'achat d'un VÉ. Pourtant, il a été démontré à maintes reprises lors de déploiement similaires d'autoroutes électriques que leur impact sur les ventes de VÉ était significatif, en plus de stimuler l'économie locale et soutenir les emplois. Nous avons partagé au Ministère des Transports (MTQ) notre désarroi et notre désaccord face à cette période d'évaluation inutile et interminable; on nous a répondu qu'il était trop tôt pour conclure que cela ralentirait les autres corridors prévus, donc qu'il n'est pas impossible que des travaux sur de nouveaux sites soient approuvés pendant le projet-pilote. Et une solution Vous êtes plusieurs à nous avoir proposé des solutions utilisant le micro-financement, un projet de coopérative, l'appel aux plus fortunés, ou des dons de toutes sortes. Soyez assurés que tous vos commentaires dans nos articles et dans nos forums ont été lus et considérés. Selon nous, le gouvernement peut y aller à son rythme, car les entreprises privées ont intérêt à profiter de ce laps de temps pour envahir et stimuler le marché. Rêve ou réalité? La réponse dans quelques semaines... EXCLUSIF: Un nouveau réseau de bornes de recharge rapide verra le jour au Québec d'ici l'automne22/7/2014 Depuis l'an dernier, l'AVÉQ travaille avec différents intervenants pour qu'un réseau de bornes de recharge rapide privé voit le jour au Québec. Nous avons contacté de grandes entreprises, des multinationales, des entrepreneurs, et des promoteurs immobiliers afin de les éduquer sur l'importance des infrastructures de recharge au Québec.
Plusieurs ont démontré de l'intérêt, mais une compagnie privée s'est démarquée du lot, et veut relever le défi de devenir le réseau de BRCC le plus important dans la province avec un déploiement important de bornes de recharges rapides, tout comme l'entrepreneur néerlandais Bart Lubbers, fondateur du quotidien international "Métro" l'a fait en créant le réseau de BRCC FastNED. Il reste encore beaucoup de travail à faire avant que le réseau soit opérationnel, et que les premières BRCC à double standard CHAdeMO et CCS Combo soient installées. Beaucoup de gens travaillent sur ce projet présentement, la compagnie aimerait faire un gros lancement médiatique qui aura un impact majeur sur l'électromobilité au Québec. Pour se faire, on demande la coopération de la communauté afin de respecter le déroulement des étapes, et de ne rien dévoiler à travers les forums, les blogues, ou les sites comme Plugshare, ce qui pourrait compromettre le lancement. L'AVÉQ travaille en étroite collaboration avec les dirigeants du réseau afin de s'assurer du succès de ce projet; aussitôt que l'information sur son déploiement sera disponible, vous en serez les premiers informés, promis! On vise un déploiement avant l'automne. D'ici là, merci de respecter la non-divulgation d'informations privilégiées. Nous vous avions présenté en avril un article détaillant l'évolution de l'utilisation du réseau Circuit Électrique, avec une augmentation de 220% de son usage, passant de 350 recharges par mois à 1130. Depuis le mois d'avril, une augmentation fulgurante a été observée, avec 1486 recharges effectuées en mai 2014, une augmentation de 275% en un an. Pourtant, depuis la parution de l'article, le nombre de nouvelles mises en service de bornes a peu augmenté (moins de 10). Le Circuit Électrique s'attend à voir entrer en fonction une centaine de bornes cette année, incluant une combinaison de 240 volts et de 400 volts, ces dernières étant installées non seulement sur l'autoroute 40 entre Montréal et Québec ainsi que sur l'autoroute 20, mais aussi chez des partenaires du Circuit Électrique cet automne. Lors de son allocution à la Tour de la Bourse cet après-midi, M. Pierre Arcand, ministre de l'Énergie et de l'Environnement a mentionné très clairement que des bornes de recharge haute vitesse (BRCC) seraient installées cette année non seulement sur l'autoroute 40 tel que l'AVÉQ vous a déjà présenté de manière détaillée en grande primeur, mais aussi sur l'autoroute 20. Donc, outre la borne privée SuperCharger de Tesla Motors qui sera installée à Drummondville sur la QC-20, d'autres bornes rapides 480V du MTQ seront disponibles sur cette autoroute, une information qui nous a été confirmée par un cadre du Circuit Électrique. Une borne sera installée justement près du SuperCharger Tesla. Analyse de la situation Puisque le corridor Montréal-Québec sera déjà complété sur la QC-40, il serait étonnant qu'on ajoute d'autres bornes entre ces deux villes sur la rive-sud du St-Laurent et redoubler le même parcours. On pourrait ainsi imaginer que des bornes pourraient être installées sur un 2e corridor tel que Québec-Rimouski, ce qui est peu probable à cette étape-ci dû au nombre limité de VÉ empruntant cette route versus le potentiel plus important que possèderait des autoroutes comme la QC-15 Laurentides ou QC-10 Estrie. Autres corridors Il est aussi possible qu'on complète le corridor entre Montréal et la 401 pour relier le Québec aux futures BRCC des haltes routières ONroute de la 401 en direction de Toronto. Selon nos plus récentes informations, le discours du trône du gouvernement Libéral de Kathleen Wynne aura lieu demain après-midi, suivra plus tard un vote sur le budget qui possédera une enveloppe spécifiquement pour ce projet - rien n'aboutira avant la fin juillet. Tel que présenté en primeur à notre AGA, l'AVÉQ collabore présentement avec les directeurs de ce projet, tout comme nous travaillons avec l'État de New York pour sa 2e phase de financement des bornes de recharge pour ouvrir des corridors avec le Québec, ainsi qu'avec l'État du Vermont pour parachever le corridor Montréal-Burlington avec des BRCC. Toutefois, on prévoit que ce sera entre MTL et QC à nouveau que de nouvelles BRCC seront installées sur la 20... C'est une excellente nouvelle, très inattendue, qu'on nous a présenté aujourd'hui, que nous saluons!!! Les autoroutes électriques s'en viennent, c'est merveilleux! C'est un gros facteur à l'adoption des VÉ qui se pointe à l'horizon au Québec...... Si vous aimez notre implication, aimez notre page FaceBook, et partagez nos liens d'articles avec vos amis! Permettez-nous de rejoindre le plus grand nombre de Québécois afin qu'on puisse les sensibiliser aux avantages des véhicules électriques!!
Et oui, une bonne nouvelle électrisante... Nous pouvons enfin annoncer officiellement une première borne de recharge pour véhicules électrique dans la ville d'Amqui. Les propriétaires de voitures électrique qui envisageaient venir visiter la Gaspésie cet été seront heureux d'apprendre que l'Auberge l'Ambassadeur vient de procéder à l'inauguration d'une borne de recharge. Il s'agit d'un endroit par excellence pour s'y arrêter puisque l'établissement offre outre le service d'hébergement, divers services tel le restaurant l'Ambassadeur, le bar l'Ambass et un site de détente Aurore boréale SPA. Tout pour occuper votre temps pendant une période de recharge de votre véhicule électrique. Dès que nous aurons plus de détails (tarification ou conditions utilisation, ampérage, ...) au sujet de cette borne de recharge, nous viendrons les inscrire dans cette chronique. Rémi St-Amant Délégué régional Bas-St-Laurent DDDepuis la première installation réalisée en Colombie-Britannique pour le compte de la ville de Victoria en mars 2013, AddÉnergie poursuit son expansion sur la côte ouest du Canada. L’entreprise de Québec vient en effet d’installer de nouvelles bornes de recharge qui permettront aux utilisateurs de voitures électriques de bénéficier de nouveaux points de recharge et d’augmenter leur autonomie. Après avoir récemment équipé le West Vancouver Municipal Hall, la dernière installation à date a été complétée pour le District of Highlands (Victoria, BC). Les autorités municipales ont fait l’acquisition de 2 bornes de recharge SmartTWO. Celles-ci seront publiques et donc accessibles à tous les usagers de véhicules électriques. Elles sont situées sur le stationnement du Highlands Community Hall (voir photo ci-dessus). Les nouvelles bornes de recharge sont connectées au RéseauVER et complètent ainsi un parc de bornes déjà bien maillé dans les régions de Vancouver et de Victoria. Si vous circulez dans la région, vous pouvez découvrir leur emplacement précis et la répartition de toutes les bornes accessibles en cliquant sur le localisateur de bornes proposé sous forme d’une carte interactive. |
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