Avec le lancement de sa toute nouvelle application mobile complétement redessinée, le Circuit électrique met à la disposition des électromobilistes une série de nouvelles fonctionnalités, dont son outil phare : le planificateur de trajet.
Fonctionnement du planificateur de trajet
L’algorithme développé permet d’obtenir rapidement une liste d’arrêts recharge potentiels permettant à un modèle de véhicule électrique spécifique de se rendre à un point donné le plus rapidement possible
Commentaires
Il n'y a sans doute pas de plus grand nom dans le domaine de la technologie et de la recherche sur les batteries que Jeff Dahn, professeur à l'Université Dalhousie à Halifax, en Nouvelle-Écosse.
Jeff Dahn fait partie intégrante de l'espace des batteries au lithium-ion depuis de nombreuses années (depuis 1978 !). Son travail consiste à améliorer la technologie et la chimie des batteries pour augmenter la densité énergétique et la longévité tout en réduisant les coûts. Il y a quelques années, Jeff Dahn s'est associé à Tesla. Essentiellement, son groupe de recherche travaille de concert avec le constructeur automobile de la Silicon Valley dans un laboratoire à Halifax, en Nouvelle-Écosse. INSIDEEVs
Pendant que le nombre de véhicules électriques sur les routes du Québec augmente tranquillement, les recherches réalisées dans la province pour favoriser leur développement avancent à grande vitesse. Entre les murs de l’Université Concordia, une équipe de chercheurs menée par le professeur Pragasen Pillay met à l’épreuve un faux moteur électrique qui pourrait avoir un impact bien réel sur la conception des futurs véhicules électriques.
Dans un laboratoire du troisième sous-sol de Concordia, des fils jaune, rouge, bleu et noir s’entremêlent à gauche et à droite, sur des étagères remplies d’ordinateur et de cartes électroniques. À première vue, impossible de comprendre à quoi sert ce labyrinthe multicolore, et encore moins de deviner que tout ceci pourrait contribuer à créer la voiture électrique de demain. « Dans le développement des systèmes de conduite électrique, il faut un moteur et un contrôleur pour actionner le moteur, explique le professeur Pillay. Le problème, c’est que la fabrication du moteur est très longue, alors que celle du contrôleur est beaucoup plus rapide. Il faut donc attendre longtemps avant de pouvoir effectuer des tests avec le contrôleur. » Source (texte complet) : Le Devoir Contribution : Martin Archambault
Mon École Branchée fait appel à l'AVEQ; 90 millions de tonnes de CO₂ de moins d’ici 2022; Efficacité énergétique des véhicules : 17 états unis contre Trump; Après la recharge rapide, la recharge ultrarapide : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture !
Des étudiants en design industriel proposent des solutions innovantes pour recharger les véhicules électriques.
Avec la multiplication des véhicules électriques, les bornes de recharge se sont installées dans la province et soulèvent des questions relativement à leur intégration en ville et aux solutions de charge qu’elles proposent. Des étudiants en design industriel de l’Université de Montréal se sont penchés sur des solutions innovantes.
Ces solutions, issues de l’atelier de codesign augmenté, seront présentées :
Au total, 13 projets seront présentés allant de solutions portables pour résidants d’immeubles à logements en passant par la charge durant la conduite et la charge d’appoint. C’est en collaboration avec l’Université Lorraine-Metz (France), la Victoria University of Wellington (Nouvelle Zélande) et la University of South Australia à Adelaide, que les étudiants ont développé ces concepts en s’appuyant sur le système de réalité virtuelle sociale Hyve-3D interconnecté. Alors que le milieu du design dénonce l’absence de créativité dans la conception des solutions de stations de charge actuelles et leur pollution visuelle dans le paysage urbain, les concepteurs des bornes installées au Québec répondent d’abord aux impératifs d’efficacité, de robustesse et de sécurité. Le dilemme entre les considérations fonctionnelles et utilitaires et les considérations innovantes s’est installé. Le débat suscite la volonté de démocratiser les solutions de charge afin d’encourager l’électrification des transports, particulièrement en milieu urbain, tant au centre-ville que dans les quartiers résidentiels. L’atelier de design augmenté et le Laboratoire de recherche en design, Hybridlab ont lancé un projet visant à repenser la charge des véhicules électriques en ville, du point de vue du constructeur automobile, en passant par le design d’interaction et de service, jusqu’à la conception de l’infrastructure urbaine. Selon Tomás Dorta, directeur du Laboratoire de recherche en design Hybridlab et professeur dans le cadre de l’atelier de design, « l’objectif du cours est de mieux intégrer différentes solutions de charge avec de nouveaux services et de nouvelles interactions, le tout dans un paysage urbain repensé. » Source : Université de Montréal
Hydro-Québec investit dans la recherche sur les batteries; Nemaska Lithium profite d’un nouveau partenariat; Formation sur la mécanique des VÉs et des hybrides au CIMIC; Nissan donne une nouvelle vie à ses batteries… et à Fukushima; Communauto grandit encore : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Daniel Rochefort
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
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>> S'abonner et recevoir les épisodes automatiquement sur son téléphone ou tablette (C'est la meilleure méthode !) >> Écouter l'épisode ici, sur le site de l'AVÉQ >> Page archive des baladodifusions Inauguration du Centre d’excellence en électrification des transports et en stockage d’énergie26/3/2018
Le Québec, un chef de file mondial des matériaux de batteries
Hydro-Québec et le gouvernement du Québec annoncent la création du Centre d’excellence en électrification des transports et en stockage d’énergie, dont la mission est de maintenir et d’accentuer la position de chef de file mondial du Québec dans le domaine des matériaux de batteries. Le Centre d’excellence commercialisera des technologies d’Hydro-Québec protégées par 800 brevets. Il créera également de nouveaux partenariats de recherche et développera de nouvelles technologies. Regroupant 70 employés, dont 27 chercheurs, il dispose en 2018 d’un budget de fonctionnement de l’ordre de 20 M$ provenant entièrement de revenus externes, générés notamment par la vente de licences d’utilisation de ses technologies. Le Centre d’excellence est dirigé par Karim Zaghib, un expert reconnu à l’échelle internationale. M. Zaghib a d’ailleurs récemment été nommé, pour une troisième année de suite, parmi les scientifiques les plus influents du monde. Depuis 40 ans, l’Institut de recherche d’Hydro-Québec (IREQ) est reconnu mondialement pour son expertise technologique et pour son portefeuille de propriété intellectuelle, notamment en matière de batteries lithium-ion, lithium-soufre et lithium-air. C’est ce portefeuille que le Centre d’excellence commercialisera et bonifiera par ses activités. Citations « Pour accomplir la transition énergétique du Québec, il faut miser sur la force de notre expertise pour favoriser l’innovation, particulièrement en matière de stockage d’énergie. En lançant le Centre d’excellence, le Québec pourra s’imposer comme un chef de file dans le stockage de l’énergie et l’électrification des transports. Il s’agit là d’une illustration concrète de notre volonté d’offrir un soutien accru à la recherche et au développement, telle que nous l’avons inscrite dans la Politique énergétique 2030 », a souligné le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, Pierre Moreau. « Ce centre d’excellence en électrification des transports va permettre au Québec de consolider sa position de chef de file mondial en recherche sur les matériaux de batteries. Il contribuera à favoriser un rapprochement entre le milieu des affaires et de la recherche pour instaurer une culture d’innovation ouverte et dynamique, poursuivre le transfert technologique et participer à la création d’emplois. Il confirme également la volonté gouvernementale de miser sur l’électrification des transports pour l’atteinte de ses objectifs environnementaux et économiques », a souligné le ministre des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports, André Fortin. « La création de ce centre est une nouvelle étape qui nous permettra de développer davantage notre expertise en matière de matériaux de batteries et de mettre en valeur nos brevets », a affirmé Éric Martel, président-directeur général d’Hydro-Québec.
Une nouvelle circule depuis le mois de janvier concernant une nouvelle méthode spectaculaire qui promet de prolonger les batteries lithium-ions et de révolutionner l’industrie… simplement par l’ajout d’une troisième électrode qui permet de réaliser une opération auquel personne n’avait pensé avant!
Voilà qui semble un peu trop beau pour être vrai, n’est-ce pas? Si on creuse un peu, on s’aperçoit que toute la couverture média fait référence à une mauvaise vulgarisation de l’article scientifique de ce chercheur indien. En effet, le concept de «drainage des ions lithium résiduels» ne fait absolument aucun sens!
En réalité la recherche expérimentale promue par le chercheur Rachid Yazami semble tirée de l’article suivant : <http://bit.ly/2GhBUvu>. Ça fait référence à une méthode de renversement du processus de dégradation des accumulateurs par surcharge, ce qui s’apparente au désulfatage par surtension des accumulateurs au plomb, qu’on appelle communément «déstratification». L’article des étudiants du docteur Yazami s'intéresse un champ de recherche peu exploré… en raison particulièrement du danger extrême lié à la surcharge d’une batterie lithium-ions… donc avant que les constructeurs de batteries installent un dispositif de surtension sur leurs accumulateurs, les poules risquent d’avoir des dents. La recherche scientifique reste fondamentale dans le développement d’innovations technologiques et on doit se garder de balayer du revers de la main les travaux des chercheurs. Mais il faut aussi se méfier des trop belles promesses. Dans le monde universitaire, les chercheurs compétitionnent dur partout autour du globe pour obtenir des fonds pour leurs recherches… ce qui mène souvent à des annonces prématurées où on privilégie le spectaculaire ! Quand ça a l’air trop beau, c’est souvent que ça l’est…
Roxane doit entrer en contact avec des gens qui sont intéressés par les VÉs afin qu'ils complètent un questionnaire. Ceci lui permettra d'analyser des données sur les comportements entourant les voitures électriques.
Le sujet de la recherche est en lien avec l'authenticité des fabricants. Elle cherche aussi à voir si leurs intentions de vente de VE sont perçues comme "vraies" sur le marché. Roxane aimerait avoir environ 200 questionnaires remplis. Choisissez le bouton du sondage en fonction de "votre mois de naissance" Merci de votre aide.
Scania investira 10 millions d'euros dans la fabrication de cellules de batterie, l’Union européenne pressée de créer sa propre Gigafactory, augmentation de coût sur le Circuit électrique et important investissement dans la recherche sur les batteries au Royaume-Uni : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
De nouvelles bornes de recharge à Lasalle, des détails sur le VÉ de BYTON, un trois-roues de plus de 320 km d’autonomie et 2017 a été une année exceptionnelle pour les VÉs : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
Une Tesla Model S familiale en développement, Energica Ego est la moto électrique de l'année, la start-up chinoise Nio amasse 1 milliard de dollars et le gouvernement britannique investit 109$ millions CAD dans un institut de recherche sur les batteries : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
VÉ Passion retrace l'évolution des VÉ au fil des ans Bien que l’avènement des VÉ puisse sembler nouveau pour plusieurs, l’origine des VÉ ne date pas d’hier. Difficile à croire, mais le parc automobile des États-Unis a déjà été constitué à 38% de voitures électriques. Voici donc une première tranche d'histoire qui relate les débuts de la voiture électrique.
Hydro-Québec et le Laboratoire national Lawrence Berkeley (Berkeley Lab) du département de l’Énergie des États-Unis ont convenu de travailler en partenariat pour étudier et développer des technologies de fabrication à l’échelle industrielle en électrification des transports et en stockage d’énergie.
Le laboratoire et la société d’État ont signé un protocole d’entente sur la création d’un centre de recherche conjoint – Québec Berkeley (QUBE) – situé dans la région de San Francisco. Le centre de recherche QUBE aura pour mission d’accélérer le développement des matériaux, des procédés et des technologies pour les batteries de prochaine génération ; il en fera également la production, de l’étape du prototype à celle de la préproduction. Les technologies mises au point seront ensuite transférées à des fabricants de batteries, ce qui créera des emplois au Québec et en Californie.
« Hydro-Québec a une expertise de premier plan dans l’adaptation à l’échelle industrielle des technologies de stockage de l’énergie, et ce protocole d’entente ouvre la voie à une collaboration exceptionnelle », explique Mike Witherell, directeur du Berkeley Lab. « Les recherches de pointe menées dans ce domaine par notre laboratoire sont également reconnues, et ce partenariat est une excellente occasion de créer des retombées importantes au Canada et aux États-Unis. Nous sommes particulièrement enthousiasmés par les perspectives de création d’emploi dans les deux pays. » Les ambitieuses cibles de réduction des gaz à effet de serre du Québec et de la Californie touchent aussi bien la distribution d’électricité que le secteur des transports. La loi sur les solutions au réchauffement climatique adoptée par la Californie en 2006 (Global Warming Solutions Act) prévoit le retour aux émissions de GES de 1990 d’ici 2020. Au Québec, la norme sur les véhicules zéro émission oblige tous les constructeurs automobiles à produire des crédits pour une partie de leurs ventes (de 3,5 % en 2018 à 15,5 % en 2020). « Hydro-Québec a acquis une vaste expertise de l’adaptation à la production industrielle et de la commercialisation des matériaux destinés aux batteries des véhicules électriques et au stockage d’énergie sur le réseau », affirme Karim Zaghib, directeur général du Centre d’excellence en électrification des transports et stockage d’énergie d’Hydro-Québec. « Au cours des dernières années, nos recherches sur les matériaux de pointe, notamment pour les batteries lithium-ion et les batteries solides au lithium métallique, ont donné lieu à 30 licences actives, à 845 brevets et à 370 publications scientifiques. » Source : Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault
Les entreprises du secteur agricole font face à plusieurs enjeux découlant, notamment, de la pénurie de main-d’œuvre et de la résistance des cultures aux pesticides. Ces problématiques viennent compromettre la capacité de l’industrie à exercer pleinement son rôle et c'est pourquoi des solutions technologiques doivent être développées. Pour répondre à ces défis, l’entreprise ELMEC s’est lancée dans la conception et la fabrication de véhicules agricoles électriques et autonomes, en partenariat avec l’IVI.
Conscients du fait que cette nouvelle technologie constituera un changement de paradigme important pour les travailleurs du secteur agricole, les deux partenaires ont voulu mieux comprendre la relation qu’entretiennent les agriculteurs avec la venue de la robotisation dans leur environnement de travail.
C’est dans ce contexte que l’IVI et ELMEC se sont alliés au Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA) afin de mettre en place un projet de recherche novateur qui, grâce à sa formule participative, positionne les agriculteurs au centre des démarches de recherche et développement. « Nous sommes d’avis que la collaboration entre deux CCTT spécialisés dans leur domaine respectif permettra une synergie très intéressante et une approche innovante pour notre compagnie qui souhaite que sa technologie concorde avec les besoins des utilisateurs. » souligne M. Jean-Marc Pittet, président d’ELMEC Contribution de l’innovation sociale à la conception d’un tracteur autonome en agriculture: travailler ensemble pour accueillir le changement Jumelant innovation sociale et technologique, le projet visait à définir les caractéristiques du véhicule agricole autonome idéal, au point de vue des agriculteurs. Le CISA a donc créé une structure "immersive" afin que les rencontres entre les parties prenantes aboutissent à la co-construction d'un cahier de charges préliminaire. Plus d’une vingtaine de travailleurs et d’intervenants de différents milieux du secteur agricole ont été rencontrés au cours d’entrevues individuelles, de visites sur le terrain et lors de deux focus group. « C’est un projet très innovant comportant plusieurs possibilités, c’est donc important de concentrer les efforts sur ce qui compte vraiment pour les agriculteurs. En restant très près des besoins des utilisateurs et en tentant de mieux comprendre leur réalité, on a une perception plus réelle de ce qui est à prioriser et on évite de tomber dans ce qu’on peut appeler un ‘’trip d’ingénierie’’. » souligne Vincent Bordeleau, ing. jr, chargé de projet à l’IVI. Un prototype à l'image de l'utilisateur Appuyé par le programme d’aide à la recherche et au transfert (PART) - volet innovation sociale - du MEES, les différentes activités sur le terrain et en groupe ont permis d’identifier six fonctionnalités souhaitées pour le véhicule et de les intégrer au cahier des charges. Deux semblaient faire particulièrement l’unanimité, soit le désherbage et l’obtention d’informations sur la santé des sols. « La contribution des agriculteurs à ce projet a permis d’approfondir notre compréhension des tâches et des opérations effectuées sur les entreprises agricoles au cours d’une année. Des informations techniques sur les outils et la machinerie utilisée sur les fermes ont aussi été dégagées des rencontres. Plus globalement, on a pu se faire une idée précise des besoins des producteurs et des fonctionnalités qu’ils désirent retrouver sur le véhicule. » ajoute Sandrine Ducruc, M. Env, chercheure, chargée de projet au CISA. Un dossier de conception participatif La compréhension des besoins des agriculteurs désormais bien établie, l'équipe de projet pourra finaliser la documentation d'ingénierie notamment avec de l'acquisition de données sur un tracteur, puis poursuivre avec la conception préliminaire, jusqu'à atteindre la démonstration sur les capacités de navigation du véhicule. Source : Institut de Véhicule Innovant Contribution : Martin Archambault
Il reste 3 jours pour commander votre système EVA sur la Ruche et faire parti du projet. Après le 22 septembre la campagne sera terminée et la boutique en ligne sera fermée afin de se consacrer aux clients-testeurs pour le reste de l'année 2017 et le début 2018.
Intelligence artificielle
Fonctions évoluées installées gratuitement via Internet Notre équipe développe sans cesse des nouvelles fonctions évoluées comme la reconnaissance de la signature électrique des appareils et l'apprentissage de normalité afin de vous avertir si par exemple votre moteur de sécheuse sort de son cylcle habituel de consommation indiquant un problème qui peut etre lié à un tuyau bouché réduisant son efficacité énergétique.
pour discuter du projet et me poser vos questions
-Hans Tremblay, président et co-fondateur Courriel: hans@evsens.ca cell.: 418-262-4267 evsens.ca
Il y a tout ce qui faut dans le sol pour répondre aux besoins d'un avenir électrique. Ce sont les mines qui manquent.
À partir d'il y environ deux ans, les craintes d'une pénurie de lithium ont presque triplé les prix du métal, à plus de 20 000 $ la tonne, en seulement 10 mois en raison d'un pic dans le marché des VÉs, qui compétitionnaient soudainement avec les ordinateurs portables et les téléphones intelligents pour les batteries au lithium-ion. La demande pour le métal ne se ralentira pas de sitôt; au contraire, la production de voitures électriques devrait augmenter de plus de trente fois en 2030, selon Bloomberg New Energy Finance.
Rassurez-vous, il y a amplement de lithium sur la Terre. Les douze prochaines années utiliseront moins de 1 pour cent des réserves dans le sol, selon BNEF. Mais les fabricants de batteries auront besoin de plus de mines pour soutenir leur production, et ils devront les construire beaucoup plus rapidement que quiconque ne le pensait.
Les composantes d'une batterie au lithium-ion
À l'instar d'autres manufacturiers, Nissan introduira le mode de conduite à une seule pédale sur sa nouvelle mouture de Nissan Leaf, qui sera présentée en septembre prochain
Le mode e-pedal devrait transformer la façon de conduire, selon les ingénieurs de Nissan.
Il suffira de mettre la fonction à "ON" via un interrupteur du tableau de bord. Dès lors, la pédale d'accélération servira aussi à ralentir et freiner en fonction de la pression appliquée à cette dernière. Selon Nissan, le mode e-Pedal sera le premier mode du genre qui permettra non seulement de ralentir mais également immobiliser la voiture sans utiliser la pédale de frein. Les utilisateurs pourront combler 90% de leurs besoin en utilisant la pédale principale et le mode e-Pedal. Ceci simplifiera la conduite et contribuera au plaisir de la conduite du véhicule. Source : Nissan Contribution : Martin Archambault
La Ville de Saint-Jérôme appuie le projet de l’Institut du véhicule innovant (IVI) pour se doter d'un nouveau bâtiment, afin de regrouper le personnel et les équipements actuels et pour répondre aux besoins technologiques du transport avancé et durable.
Le projet, qui est estimé à 10 M$, permettra la création d’emplois de haute technologie à Saint-Jérôme, ce qui pourrait attirer des entreprises du secteur et d’autres acteurs de l’écosystème de l’innovation et de la formation.
Cette annonce a été faite par le maire Stéphane Maher, en présence du directeur général de l’IVI, François Adam et de Nadine Le Gal, directrice générale du Cégep de Saint-Jérôme. Cession de terrain «La Ville de Saint-Jérôme désire appuyer et contribuer à la réalisation du futur bâtiment de l’IVI, en s’engageant à céder une partie d’un terrain d’une superficie de 140 000 pieds carrés appartenant à la Ville et situé dans le quartier industriel, a dévoilé le maire. Reconnue comme ville pionnière et pilote du véhicule électrique au Canada, Saint-Jérôme entend continuer à promouvoir l’électrification des transports. Fort de cette orientation, le choix d’assurer la croissance de l’IVI sur son territoire et d’améliorer ses opérations afin de répondre à la demande était logique», a conclu M. Maher. Centre de recherche «Les projets de l’IVI occupent une équipe de plus de vingt personnes composée d’ingénieurs ainsi que d’employés techniques et de soutien. La nouvelle construction engendrera la création de 25 emplois supplémentaires en haute technologie à Saint-Jérôme. De plus, elle nous permettra de créer un centre de recherche de haut calibre et de positionner les Laurentides comme un incontournable dans le domaine, a souligné François Adam. Je tiens à remercier la Ville de Saint-Jérôme pour son appui. Ce partenariat confirme sa position de leader en matière de véhicule innovant», a signalé François Adam de l’IVI. Affiliation avec le Cégep «L’IVI est un centre collégial de transfert technologique (CCTT) affilié au Cégep de Saint-Jérôme. Les projets soutenus par l’IVI consolident le tissu industriel de la région des Laurentides et de l’ensemble du Québec. Nous saluons l’appui de la Ville de Saint-Jérôme pour ce nouveau projet de construction, qui permettra à l’IVI de croître et de propulser les industriels québécois sur l’échiquier mondial des véhicules électriques et intelligents», a déclaré Nadine Le Gal. Source: Journal Le Nord Contribution : Martin Archambault Cette personne pourrait faire l'une et/ou l'autre des tâches suivantes :
Le tout sans pression, à votre rythme. Voilà une belle façon de contribuer à la vie de notre site WEB et à la promotion de l'élecromobilité. Des intéressé(e)s ??? Si oui, écrivez-moi : martin@aveq.ca Contribution : Martin Archambault
FPInnovations, en collaboration avec Motrec International Inc., Technoparc Montréal, ABB Inc. et Ericsson Canada Inc., est heureuse d’annoncer une entente de collaboration dont l’objectif principal sera de développer et créer une navette électrique autonome adaptée aux conditions hivernales canadiennes. Ce projet permettra d’aborder les divers enjeux et besoins en matière de mobilité électrique et intelligente et contribuera au développement de la filière industrielle ainsi qu’au soutien de la Grappe industrielle des véhicules électriques et intelligents.
Forte de son expérience en projets collaboratifs innovateurs et grâce à son expertise en mobilité électrique, FPInnovations a su rassembler des chefs de file mondiaux de la technologie et des manufacturiers québécois afin d’obtenir un savoir-faire global et local nécessaires pour concevoir, développer, produire et commercialiser cette navette. On y intégrera des systèmes de vision, de reconnaissance des objets, d’intelligence artificielle et de navigation, de télécommunications véhicule à véhicule, véhicule à usagers et véhicule à infrastructures, de même que la gestion et la recharge automatique des batteries.
L’implantation de la première série de navettes sera faite au Technoparc Montréal et ensuite intégrée au réseau de transport en commun. Technoparc Montréal servira de premier site de démonstration. Cette collaboration s’inscrit avec la Stratégie québécoise de la recherche et de l'innovation présentée en mai 2017 par la ministre de l'Économie, de la Science et de l'Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique, Mme Dominique Anglade, qui appuie l’écosystème d’innovation afin de contribuer significativement à l’économie du Québec.
Grâce aux efforts de l’équipe de Montréal c’est électrique (MCE), les facultés de génie de l’Université de Sherbrooke, l’Université Concordia et l’Université McGill, ainsi que les étudiants de l’École de technologie supérieure (ETS) et de Polytechnique Montréal, auront l’occasion de montrer les plus récentes innovations issues du savoir-faire étudiant lors de l’événement Hydro-Québec Montréal ePrix, les 29 et 30 juillet prochains.
« MCE accorde une vitrine d’envergure aux différentes équipes en les accueillant à l’événement. Les étudiants pourront non seulement présenter leur projet, mais aussi faire valoir la technologie et l’ingéniosité derrière ces bolides, dont certains participent aussi à des compétitions internationales. Je crois que nous pouvons être fiers du calibre de la relève en électrification des transports au Québec », a déclaré Simon Pillarella, directeur général de MCE.
Le public aura la chance de voir en action le véhicule solaire de l’ETS, la moto électrique de l’Université de Sherbrooke et les formules électriques de Concordia, de McGill et de Polytechnique Montréal. Tous les renseignements sur les projets présentés lors de l’événement se retrouvent sur le site web de l’organisme. MCE a pour mission de sensibiliser les citoyens de la région métropolitaine aux transports électriques. La participation des différentes écoles et facultés de génie, qui ont acquis une expertise en électrification et en transport durable, cadre parfaitement avec la vocation éducative de l’organisme. Afin de récompenser les universités impliquées, MCE organise un concours sur les réseaux sociaux visant à mettre en valeur leurs réalisations et à faire connaître les équipes ainsi que leurs véhicules. Les gagnants seront annoncés par Alexandre Taillefer, président d’honneur du Hydro-Québec Montréal ePrix, lors de l’événement. Pour les récompenser, evenko leur remettra un prix d’une valeur de 1 500$! Source : Montréal c'est électrique Contribution : Martin Archambault Une camionnette électrique développée par un gradué de l'Université de Toronto est exposée à Markham6/6/2017
C'est une catastrophe naturelle qui a poussé Tony Han à créer ce qu’il appelle la première camionnette électrique au monde.
Han a été témoin de la tragédie et de la destruction engendrées par le tremblement de terre et le tsunami de 2011 alors qu'il vivait au Japon, et le diplômé en génie de l'Université de Toronto, maintenant âgé de 28 ans, affirme que la catastrophe a joué un rôle important dans le développement de sa carrière.
Lors d’une entrevue récente à CBC, il a affirmé que le drame l’a amené à réfléchir sur ce qu’il voulait faire dans la vie. Quoi de mieux, a-t-il pensé, que de travailler à améliorer notre environnement ? Il est maintenant président de Havelaar Canada, qui a lancé un prototype d’une camionnette électrique. Le camion bleu brillant (le terme approprié est "bleu électrique") est exposé cette semaine dans le stationnement du Hilton Toronto / Markham Suites Conference Center and Spa à Markham, site d'une conférence et d’une foire commerciale sur les véhicules électriques. Han dit que le véhicule, appelé Bison, peut parcourir 300 kilomètres sur une seule charge. Il prévoit commencer un projet pilote avec 100 véhicules à utiliser par les municipalités et les entreprises de services publics en 2018. Il espère que le projet va lui permettre de s'assurer que ses camions sont adaptés aux conditions météorologiques et routières du Canada. Han s'attend à ce que le public puisse acheter les camions en 2019. Han cherche à facturer 58 000 $ par véhicule pour qu'un modèle de travail soit utilisé par les entreprises, mais le prix que le public paiera lorsque le camion sera sur le marché reste encore à déterminer. Les possibilités sont infinies Han voit un avenir brillant dans la technologie des véhicules électriques. Mais jusqu'à présent, les véhicules électriques ne représentent qu'une petite partie des ventes globales de véhicules en Ontario. Toutefois, le nombre continue de croître. Selon les chiffres de FleetCarma, une entreprise de haute technologie qui aide les entreprises à surveiller leurs flottes de véhicules, 3 450 véhicules électriques ont été vendus en Ontario en 2016, soit seulement 0,5% de l'ensemble des ventes de véhicules dans la province, mais presque le double qu’il y a deux ans.
Le chef de la direction de FleetCarma, Matthew Stevens, affirme que l'anxiété quant à la disponibilité des stations de recharge est ce qui retient les conducteurs d’acheter un véhicule électrique.
"Ils doivent être en mesure d'entrer dans leur voiture à Waterloo et de conduire jusqu’à Montréal sans y penser à deux fois", a-t-il déclaré. "Nous sommes sur le point d'être en mesure de le faire assez facilement". Stevens dit que l’ajout du gouvernement de l'Ontario de près de 200 stations de recharge rapide au cours de la dernière année a aidé, tout comme les incitations financières pour acheter électrique.
La vérité derrière les émissions des VÉs, les ventes de VÉs au Canada ont augmenté de 68%, Subaru offrira une voiture hybride rechargeable en 2018 et une tout-électrique d'ici 2021, SmartCar connecte Facebook Messenger à votre Tesla, et les VÉs deviendront moins chers que les voitures à essence d’ici dix ans : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
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