Plus tôt cette année, la firme de conception et d'ingénierie Italdesign a dévoilé sa dernière création: la GTZero.
Le véhicule est conçu sur deux plates-formes différentes: tout-électrique et hybride rechargeable. Il n’y a pas nécessairement des tonnes d’amateurs de voitures électriques dans le segment des véhicules de luxe, mais tout nouvel arrivant stimule positivement l'industrie. De type Gran Turismo, la conception de la GTZero se dissocie pourtant de l’étrange apparence que certains constructeurs automobiles semblent privilégier pour leurs modèles électriques. Elle est signée par Filippo Perini, directeur design de renom qui a travaillé chez Lamborghini, Alfa Romeo et Audi, avant de se joindre à Italdesign l’an dernier. Perini fait référence à son design comme « un hommage à l'histoire d’Italdesign et à son avenir. » Le concepteur d’expérience a souligné que même si la compagnie était à la recherche d’un design futuriste lors de la conception de la GTZero, elle ne voulait pas que la voiture perde son emprise sur la réalité pour présenter une image moderne des Gran Turismo italiennes. Le cadre monocoque en carbone permet de réduire le poids de la voiture, ce qui contribue à son efficacité et à son autonomie. La plate-forme tout-électrique alimentée par batterie dispose de 3 moteurs électriques séparés pour une traction intégrale et un système de direction à 4 roues. La version tout-électrique devrait offrir une puissance globale de 360 kW, une vitesse de pointe limitée à 250 km/h et une autonomie d'environ 500 km (310 miles) sur une seule charge. Italdesign a également annoncé que 80% de la charge pourrait se faire en 30 minutes. L'intérieur propose un écran à trois niveaux doté de la technologie OLED. Bien qu'il soit peu probable de voir le véhicule sur le marché sous peu, Italdesign concède parfois sous forme de licence sa technologie et son design à d'autres constructeurs automobiles. Audi est la société mère de l'entreprise et plusieurs de ses concepts ont été fabriqués par les marques Audi/VW.
Commentaires
Peter Hochholdinger, un ancien dirigeant chez Audi, a été embauché par Tesla en tant que nouveau vice-président de la production des véhicules.
Deux directeurs de production d’expérience, le vice-président de la production, Greg Reichow, et le vice-président de la fabrication, Josh Ensign, ont quitté récemment Tesla, des plans ont donc été faits pour combler ce vide. L'expertise et l'expérience de Hochholdinger devraient se révéler précieuses pour les attentes de production de Tesla. Hochholdinger a travaillé pour Audi pendant 22 ans. Son poste le plus récent était à la tête de la production pour les modèles A4 et A5, ainsi que le SUV Q5. Tesla a fait la déclaration suivante suite à son embauche : Peter Hochholdinger a rejoint Tesla à titre de vice-président de la production de véhicules. Il sera responsable de poursuivre l’augmentation et l’amélioration de la production des Model S et X, et collaborera à la mise en place d’un programme évolutif, rentable et de qualité spécialement conçu pour la fabrication de la Model 3. Peter arrive chez Tesla après avoir passé les 22 dernières années à travailler sur l’ensemble de la chaîne de production chez Audi. Il était chargé de diriger la production des modèles A4, A5 et Q5, dont 14 dérivés de ces modèles, à l'usine phare de production, en termes de volume et de technologie. Peter était responsable de la production d'environ 400 000 véhicules par an, tout en gérant des milliers d'employés. Il a également agi comme conseiller pour assurer la mise en ligne des nouvelles installations de production au Mexique, guidant la mise en œuvre des processus de production, garant de la norme de qualité attendue chez Audi. Tesla est très heureuse que Peter se joigne à son équipe. Chez Tesla, Hochholdinger sera le principal responsable de la production des Model S et X. Il s’assurera aussi que les processus sont prêts pour la production de la Model 3. Son principal rôle sera d'augmenter la production grâce à la mise en place de systèmes rentables et éprouvés. Source : InsideEVs Contribution : Peggy Bédard Audi veut devenir plus agile, plus rapide et prendre plus de risques, à l’image de Tesla ?10/3/2016
Stefan Knirsch, membre du conseil d'administration d'Audi en charge du développement technique, s’est exprimé au Salon de l’auto de Genève sur la volonté de l'entreprise à investir massivement dans les voitures électriques et autonomes.
D’ici 2025, le constructeur automobile prévoit offrir une autonomie de 500 km (310 miles) avec une berline familiale qui se rechargera en 15 minutes. L'objectif est que son coût reflète celui d’un modèle classique à essence. Le PDG de Volkswagen, Matthias Müller, a déclaré que la société devrait « penser davantage comme Tesla. »
Knirsch a répliqué :
« Apprendre de Tesla est de moins en moins pertinent à certains égards : pour la Silicon Valley, ils ne sont pas réputés pour leur prise de décision rapide ou leur capacité à prendre des risques, car ils doivent investir dans des installations de fabrication et se concentrer sur les profits. Ils sont de plus en plus conventionnels dans leur façon de procéder. Il est également vrai que, dans certains domaines, nous allons très vite. Nos systèmes d'infodivertissement MMI sur écrans ouvrent la voie, et nous travaillons avec des leaders comme Nvidia et Harmann pour mettre dans nos voitures des systèmes qui peuvent être mis à jour à quelques années d’intervalle. Dans un très court laps de temps, nous avons montré que nous pouvions être agile avec l'électronique; la clé pour nous est d'être plus agile dans tous les domaines. » Knirsch a conclu : « Il y a des choses que nous pouvons apprendre de la Silicon Valley, mais aussi des choses qu'ils pourraient apprendre de nous. » Source : InsideEVs Contribution : Peggy Bédard
Les voitures électriques ont fait des progrès impressionnants au cours des cinq dernières années. Bien qu’ils représentent toujours une infime partie du marché des voitures neuves, les ventes augmentent de façon constante et l’offre de modèles et de bornes se diversifient sans cesse. Toutefois, l'électrification est encore absente de certains segments importants du marché.
Les camionnettes et les VUS sont les véhicules les plus vendues aux États-Unis : l'année dernière, les Américains ont acheté plus de VUS que de voitures. Il ne faut pas oublier que les constructeurs automobiles devront éventuellement améliorer l'efficacité de leurs camions et VUS pour répondre aux normes Corporate Average Fuel Economy (CAFE). Ces normes exigent que les modèles des constructeurs doivent avoir une consommation énergétique de 5,2 l/100km en moyenne d’ici 2025. Il est vrai que les constructeurs automobiles tentent déjà d'améliorer l'efficacité des camions et des SUV. La carrosserie du Ford F-150 est maintenant faite en aluminium et muni d’un V6 EcoBoost turbocompressé et non plus d’un V8. Ford est également prévu de lancer un F-150 hybride dans un avenir proche. De son côté, Fiat Chrysler a mis en vente son Ram 1500 Ecodiesel depuis environ deux ans. En 2018, Audi va lancer un VUS tout électrique. Le succès de Tesla a convaincu de nombreux constructeurs automobiles de luxe que les modèles « verts » peuvent transformer l’image d’une compagnie. Par ailleurs, le PDG de Tesla, Elon Musk, a mentionné l’idée d'une camionnette électrique, bien que cela reste à confirmer. Source: Ecomento Contributeur: Benoit Raymond
Grâce à Rob Stark du forum du Club de Tesla Motors, nous avons appris que la Tesla Model S était la voiture de luxe ayant les meilleures ventes aux États-Unis en 2015.
Normalement, Tesla ne donne pas d’information sur les livraisons/ventes par pays. Cependant, plusieurs points de vente estiment les ventes de Tesla en utilisant une variété de méthodes. EV Obsession estime à 26,566 le nombre de Tesla Model S vendues aux États-Unis en 2015. Rob fait remarquer que l'estimation la plus faible était de 24,200 unités. Dans les deux cas, le modèle S surpasse la Mercedes Class S, la BMW Série 7, la BMW Série 6, l'Audi A7, l'Audi A8, la Porsche Panamera et toutes les autres voitures dans cette catégorie. Voici un tableau synthèse sur les ventes de ces voitures en 2015 par rapport à 2014 :
Un élément qui peut mettre un peu de baume pour les constructeurs automobiles classiques, vous noterez, que si vous combinez les différents modèles sur cette classe, Mercedes serait un peu en avance sur Tesla mais BMW et Audi seraient encore assez loin derrière.
Bien sûr, Tesla n'a pas un réseau de concessionnaires aussi important que Mercedes, BMW et Audi. Tesla n'a pas non plus des décennies de réputation et de production de voitures. De plus, Tesla n'a pas la capacité de production de ces constructeurs géants. Ce peut-il que Mercedes, BMW, et Audi (Volkswagen) soient un peu préoccupés par Tesla à ce moment-ci ? Et qu'en sera-t-il lorsque la Tesla Model 3 arrivera sur le marché, rivalisant avec la BMW Série 3, Série 5, l'Audi A3/A4/A6 et la Mercedes Class A, Class B, Class C? Source : EV Obsession Contributeur : Normand Shaffer
Tous les derniers salons de l’auto l’ont prouvé : il y a un véritable engouement pour les véhicules électriques. L’industrie automobile évolue en présentant de plus en plus de modèles hybrides ou complétement électriques, et le CES de cette année a presque présenté l’essence comme une chose du passé. Malgré tout, on ne peut s’empêcher de se poser la question : est-ce que les États-Unis se dirigent vers une crise des véhicules électriques ?
Alors qu’ils se remettent à peine du « Dieselgate », Volkswagen et Audi misent beaucoup sur les véhicules électriques. Même chose pour Ford, Chevrolet et Mercedes, et pratiquement tous les autres gros joueurs de l’industrie. Ils le font en partie parce que l'électrification représente probablement l'avenir du transport automobile, mais davantage parce que les exigences des gouvernements en matière d’économie de carburant et d’émissions les y forcent. Mais puisque l’essence est très abordable en ce moment aux États-Unis, les ventes de VÉ stagnent. Si cette tendance se poursuit, cela pourrait entraîner des maux de tête coûteux aux constructeurs automobiles. Selon de nouvelles données provenant de Brandon Schoettle et Michael Sivak de l’Institut de recherche sur le transport de l’université du Michigan, l'économie moyenne de carburant était en baisse en 2015 par rapport à l'année précédente. Ils ont signalé que l'économie de carburant était en baisse de 0,9 mpg depuis le sommet atteint en août 2014, mais d’un angle plus positif, elle est en hausse de 4,8 mpg depuis que l'université a commencé cette étude en 2007. Pourquoi la moyenne de l'économie de carburant tend à diminuer, alors que les voitures sont de plus en plus efficaces? Puisque le prix de l’essence diminue depuis un an maintenant, et que le prix d'un gallon de sans plomb est d'environ 1,97 $US à l'heure actuelle, les Américains ne privilégient tout simplement pas l'économie de carburant lorsqu’ils optent pour un nouveau véhicule. Les plus grands vendeurs de 2015 étaient Jeep, Ram et toutes les marques qui offrent de nombreux VUS, des camions et des véhicules multisegments. S’il n’en tenait qu’à eux, les Américains choisiraient à chaque fois des voitures plus imposantes. Pas des hybrides et des véhicules électriques, mais des camions et des VUS. Certes, le marché de l'hybride est encore relativement petit, mais il croît de plus en plus rapidement et les temps de recharge des infrastructures destinées aux VÉ et la tarification ne répondent pas encore aux besoins de la plupart des Américains. De nouveaux véhicules électriques et hybrides continueront d’être lancés, alors, au prix où l’essence se trouve actuellement, qui les achètera ? Dans les 60 prochains mois, plus de changements surviendront dans l'industrie automobile que dans les 60 dernières années. Les constructeurs automobiles européens devraient se tourner vers les voitures électriques maintenant sinon l’Europe pourrait bien se trouver en difficulté économique. Il arrive parfois qu’une nouvelle technologie puisse modifier profondément la façon dont les humains se rapportent à l'énergie et au transport. La roue, la machine à vapeur et l’avion sont tous des changements radicaux qui ont placé l'humanité sur une nouvelle trajectoire. En conduisant pour la toute première fois la Nissan Leaf électrique en 2011, j’ai réalisé que j’étais assis dans une réelle percée technologique. Les moteurs à combustion interne atteignent 30% de rendement. Ceci est le résultat d'un siècle de progrès et de milliards de dollars de recherche et de développement continu. La marge de progression restante est minime. Pourtant, me voilà qui conduit la première génération d'une voiture qui atteint confortablement 85-90% de rendement ! J’ai compris immédiatement l'énorme potentiel de la voiture électrique: une accélération rapide, pas d'émissions nocives, trois fois plus économe en énergie. Depuis l'introduction de la Nissan Leaf, plus de voitures électriques sont apparues sur le marché. Mais ceci n’est que le début d'un déplacement massif des combustibles fossiles et des moteurs à combustion vers les voitures électriques alimentées par des énergies renouvelables. Chez Fastned, nous appelons ça un véritable révolution de l’automobile ! Voici pourquoi je pense que l'industrie automobile européenne doit tourner le dos au moteur à combustion interne et mettre tous les efforts et investissements nécessaires pour supporter cette révolution électrique. Les moteurs à combustion ne peuvent rivaliser avec les moteurs électriques Comme le prix des batteries continue de baisser, plus de gens commencent à apprécier les voitures électriques et le moteur à combustion interne et les constructeurs automobiles européens traditionnels font face à une véritable tempête. Ils doivent se conformer aux réglementations sur les émissions plus strictes et faire face à l’attitude changeante du public envers les émissions polluantes. Il y a trois raisons pour lesquelles je crois que les moteurs électriques représentent l’avenir de l’automobile : 1. Pour le plaisir de conduire, le 100% électrique est la nouvelle norme « Nous sommes une compagnie de moteur V12. Projetons-nous dans l'avenir. Devrais-je suivre le reste de l’industrie et réduire la taille du moteur? Est-ce que j’imagine Aston Martin avec un moteur trois cylindres? Dieu me pardonne. Vous devez faire quelque chose de radical. La puissance électrique vous donne ce pouvoir. » -Andy Palmer, PDG d'Aston Martin Le plaisir de conduire - « Freude am fahren » comme l’appelle BMW - n’est plus possible avec le moteur à combustion interne. Il a atteint les limites de la physique. Il respecte peut-être les réglementations antipollution plus strictes pour le moment, mais il en résulte une expérience de conduite ennuyante. Au cours de la prochaine décennie, la réglementation des émissions sera encore plus sévère, ce qui rendra les voitures aux combustibles fossiles plus dispendieuses. Dans l'UE, par exemple, les constructeurs automobiles devront conformer leur flotte à une émission moyenne de CO2 de 95 grammes par km d’ici 2021. Cela signifie que d’ici les 6 prochaines années, la totalité de la flotte vendue par Daimler devrait avoir des émissions polluantes semblable à une Fiat Panda. En d'autres termes, pour se conformer à la réglementation des émissions, les fabricants de voitures n’ont pas beaucoup d’options que de vendre de grandes quantités de voitures entièrement électriques. 2. Les voitures électriques sont plus abordables « Je serais déçu si le prix par kWh ne tournait pas autour de 100 $ d'ici 2020. » -J.B. Straubel, Chef de direction technique (CDT) Tesla Motors Les appareils photo numériques et les panneaux solaires étaient autrefois dispendieux. Plus maintenant. Un sort semblable attend la voiture électrique. En 2010 - lorsque la première Nissan Leaf est arrivée sur le marché - le prix des batteries lithium-ion tournait autour de 1000 $ par kWh. En 2013, au moment où Tesla présentait sa Model S, les analystes ont conclu que les prix de la batterie avaient chuté à environ 400 $ par kWh. GM a annoncé un prix de 145 $ par kWh pour sa Bolt tout-électrique qui sera sur le marché en 2016. Tesla Motors prévoit de produire des batteries dans la gamme des 100 $ en 2020. La tendance est claire: le prix des batteries diminue à un rythme annuel d'environ 20%, tandis que le moteur à combustion interne est toujours plus cher pour se conformer à la réglementation antipollution. Cela peut être difficile à imaginer aujourd'hui, mais nous verrons très bientôt des voitures électriques moins coûteuses que des voitures à essence comparables. 3. Le « moment cigarette » du moteur à combustion interne « D’ici 20 ans, l'odeur des gaz d'échappement sera aussi rare (dans les villes) que l'odeur de la fumée de cigarette l’est dans un restaurant aujourd'hui. » -Sir Richard Branson La grande majorité des conducteurs de véhicules électriques vous diront qu'ils ne reviendront jamais à l'essence. Ce n’est seulement qu’une question de temps avant que la société ne voit les voitures à essence comme une technologie irresponsable, tout simplement parce qu'elles sont dangereuses pour la santé des autres et mettent en péril notre climat. Pensez à ce qui est arrivé au tabagisme. Il y a tout juste trente ans, les gens fumaient pratiquement partout - dans les avions, les écoles, les hôpitaux. Les gens fumaient en présence de bébés et de personnes âgées. Les femmes enceintes fumaient, les médecins fumaient, les personnes malades fumaient. Avec le recul, ça semble complétement fou ! La situation a changée lorsque les dangers du tabagisme sont devenus indéniables. Les gouvernements partout sur la planète ont introduit des restrictions d'âge, des messages d'avertissement obligatoires sur les paquets, et l'interdiction de fumer dans les hôpitaux, les bâtiments administratifs, les écoles, les bars et les restaurants. Fumer ne semblait soudainement plus normal, mais dangereux. Je prédis que c’est exactement ce qui va arriver aux moteurs à combustion. Les gaz d'échappement ont prouvé qu’ils pouvaient causer le cancer, l'accouchement prématuré, augmenter le risque de maladie cardiaque et significativement abréger la vie des citadins. Tout comme le tabagisme, le public se sensibilise au sujet et les gouvernements mettent en place des lois pour restreindre les voitures polluantes. Dans ce contexte, que croyez-vous que les constructeurs automobiles feront ? Il y a un parallèle intéressant entre la révolution automobile actuelle et celle de l’énergie. Cela a commencé tout doucement quand le gouvernement allemand a adopté une loi en 2000 qui garantissait un prix stable pour l'énergie solaire et éolienne. Les premières années, personne n'y a prêté attention. Les panneaux solaires étaient chers et les éoliennes pas très puissantes. L'énergie renouvelable était comme de la science-fiction: cela arriverait un jour, peut-être, mais pas dans les dix prochaines années, et certainement pas en Allemagne. Par conséquent, les grands services publics tels que RWE et E.on n’ont pas réagi en 2000. Ni en 2002 ou en 2005. Ils ont continué la construction de centrales électriques à combustibles fossiles avec une durée de vie d'un demi-siècle. Ils ont ignoré la tempête de l'énergie renouvelable qui était en train de se lever. Avec le recul, nous pouvons constater l’erreur de ces dirigeants. Grâce aux prestations temporaires pour l'énergie solaire et éolienne en Allemagne, la demande a augmenté. Des usines ont augmenté leur production et le prix des panneaux solaires a chuté de façon spectaculaire. Les éoliennes sont devenues plus imposantes, moins coûteuses et plus efficaces. L’énergie solaire et éolienne a connu un boom inattendu. Mais l’Allemagne a peu profité de cette révolution énergétique. La fabrication de ces technologies de prochaine génération est allée majoritairement vers l’Asie. Sommes-nous sur le point de faire la même erreur? Au cours d'une conférence publique tenue en septembre entre Elon Musk (PDG de Tesla Motors) et le vice-chancelier allemand Sigmar Gabriel, quelque chose d'intéressant s’est produit. Après que Musk eut lancé des avertissements concernant les changements climatiques et exposé sa vision d'un avenir électrique complet, Gabriel a plaidé pour des mesures prudentes. Gabriel ressemblait à un capitaine de navire qui reçoit tous les signaux d'une tempête, mais qui continue d’attendre et d’espérer que la mer va se calmer. Bien sûr, la tempête ne va pas se calmer. Au cours des derniers mois, nous avons eu droit au scandale de Volkswagen et l'image de la marque a été ternie. Au même moment, Tesla Motors surpasse des modèles haut de gamme de marques historiques comme Mercedes et Porsche. Le temps est venu pour l'Europe d'agir. Elle a besoin de réinventer trois industries: 1. Les constructeurs automobiles qui construisent les véhicules électriques; 2. Les fabricants de batteries qui produisent des batteries; 3. Les compagnies qui fourniront de l'énergie propre et renouvelable à bon prix pour ces voitures. Si l’Europe n’entre pas dans la danse, elle en paiera le prix. D'autres pays prendront sa place, ce qui est déjà en train de se produire. Les Chinois investissent dans les géants électriques comme Build Your Dreams (BYD). Les Japonais sont bien préparés avec le plus grand fabricant de véhicules électriques, Nissan, et le géant de la batterie Panasonic. La Corée du Sud a KIA, Samsung a SDI et LG a Chem, qui parient tous agressivement sur les batteries et les voitures électriques. Tesla Motors construira la plus grande usine de batteries sur la planète dans le Nevada, et une usine en Californie qui produira 500 000 Tesla par an. Ces entreprises emploient des personnes hautement qualifiées et développent un savoir-faire considérable sur les batteries, les trains à propulsion électrique et les cellules solaires. Rien de tel ne se passe en Europe. Il y a quelques initiatives, mais peu de conviction et d'ambition à entrer dans le tourbillon. Si cela ne change pas, cette industrie de billion de dollars, et les centaines de milliers d'emplois et la prospérité qu'ils apportent, se déplaceront vers d'autres continents. Alors que le quart du PIB de l'Europe dépend des industries de l'automobile, du pétrole et du gaz, nous ne pouvons pas nous permettre de les perdre et de les remplacer par rien d'autre. Ce qu'il faut faire Le scandale du diesel semble avoir réveillé au moins un géant. Volkswagen semble avoir trouvé un nouveau directeur général qui prend des actions concrètes. En quelques semaines, après avoir assumé les fonctions de directeur, Matthias Müller a accéléré le programme d'électrification Volkswagen. La Volkswagen Phaeton sera tout-électrique et l’entreprise développera une nouvelle plateforme complètement électrique. Audi et Porsche présenteront toutes les deux des voitures de luxe capables de la recharge rapide en 2018-2019. Dans les 60 prochains mois, l'industrie automobile européenne doit dire au revoir au moteur à combustion interne et mettre tous ses efforts et l’investissement nécessaires derrière la révolution électrique.
Si l'Europe veut maintenir ses prouesses dans le domaine de l'automobile, elle doit commencer à construire plusieurs usines de batteries, développer des plateformes de véhicules électriques, rééquiper les usines et déployer un réseau de recharge rapide européen fiable et imposant - tout cela en même temps. Et elle doit commencer dès aujourd'hui. Michiel Langezaal est le PDG et co-fondateur de Fastned. Source : Clean Technica et Medium Contribution : Peggy Bédard Le Groupe Volkswagen réduira ses investissements prévus dans sa division automobile pour l'année prochaine, puisqu'il se prépare en vue des impacts financiers liés au récent scandale des émissions de ses véhicules. Le Groupe va plafonner les investissements prévus en immobilisations, immeubles de placement et actifs incorporels, à l'exclusion des coûts de développement capitalisés (capex) à environ 12 milliards € pour la prochaine année, soit une coupe d'environ 1 milliard € relativement aux plans antérieurs. Dans la prochaine année, toutefois, le Groupe entend augmenter ses dépenses sur les technologies de propulsion alternatives d'environ 100 millions €, avec l'objectif de base de développer rapidement des systèmes de propulsion électrique pour les véhicules de type passagers des marques Volkswagen, Audi et Porsche, selon Matthias Müller, Président de la direction de Volkswagen AG. Nous évoluons dans des temps incertains et volatiles et nous agissons en conséquence. Nous allons donner la priorité strictement aux investissements et dépenses prévues. Comme annoncé, tout ce qui n'est pas absolument nécessaire sera annulé ou reporté. Nous ne feront pas l'erreur d'économiser sur notre avenir. Pour cette raison, nous prévoyons d'augmenter d'avantage les dépenses sur le développement de la mobilité électrique et la numérisation." - Matthias Müller Ces mesures ne sont pas étrangères aux déclarations effectuée par le président de Audi, M Scott Keogh, au salon de l'auto de Los Angeles : Nous nous joignons pleinement à la révolution électrique." - Matthias Müller M. Keogh a même rajouté que Audi prévoit que 25% de ses ventes dans 10 ans seront des véhicules électriques. Source : GreenCarCongress.com , insideevs.com , greencarreports.com_
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale Nationale D’ici 2025, Audi souhaite offrir des versions électriques de l'ensemble de sa flotte.
De plus, quatre nouveaux modèles électriques portant la désignation e-tron sont prévus - deux hybrides rechargeables (VEHR) et deux véhicules électriques à batterie (VEB). Le constructeur automobile a également déclaré qu’au cours de la prochaine décennie, l'ensemble de ses autres modèles seront offerts sous forme d’hybrides légers de 48 volts. « Audi va systématiquement de l’avant dans l'électrification de ses voitures », a annoncé la compagnie la semaine dernière. « Les nouveaux hybrides légers font une importante percée dans cette gamme, d’ici dix ans, Audi entend offrir tous les nouveaux modèles avec cette technologie, à l'exception de la gamme e-tron. » La voiture qui mène la charge est la A3 e-tron Sportback, le premier hybride rechargeable d'Audi (photo ci-dessus). Les livraisons de 2016 ont déjà été prévues pour la quasi-totalité des quelques 280 concessionnaires d'Audi, qui installeront chacun quatre stations de recharge dans le cadre de l'accord de vente de la gamme e-tron. Scott Keogh, président d’Audi Amérique, a déclaré que la A3 e-tron Sportback est un modèle important qui aidera l'entreprise à hausser ses ventes de véhicules électriques. Il permet aux concessionnaires de former des représentants aux ventes sur la façon de vendre une voiture VEHR ou VEB, tout en laissant le temps au département de service de bâtir une équipe expérimentée dans les groupes motopropulseurs électrifiés. « Comme nous passons à un volume de production beaucoup plus imposant, tout doit être transparent et parfait », a déclaré Keogh à propos de la A3 e-tron Sportback. « Je crois que c’est la bonne voiture d'essai pour obtenir l'infrastructure tout à fait juste. » « À l'heure actuelle, l’estimation des ventes pour ce modèle rechargeable se situe à 5 000 par an », a déclaré Keogh. Mais en 2025, Audi prévoit que 25% de ses ventes de véhicules seront constitué de véhicules hybrides rechargeables et de véhicules électriques à batterie. Les autres modèles électriques à venir comprennent la Q7 e-tron quattro 3.0 TDI, un hybride rechargeable avec moteur diesel prévu au milieu de l’année 2016, et une e-tron quattro entièrement électrique pour 2018. Source : Hybrid Cars Contribution : Peggy Bédard Audi a présenté une nouvelle locomotive hybride rechargeable permettant la livraison de voitures, à son usine d’Ingolstadt, en Allemagne. La locomotive d’une puissance de 1000 chevaux a été fabriquée par Alstom et elle est peut se déplacer durant deux heures en mode purement électrique. Fait à noter : elle peut aussi fonctionner en mode zéro émission lorsqu’elle se trouve à l’intérieur de l’usine. « L’usine automobile d’Ingolstadt comprend 18 kilomètres de voies ferrées. Chaque jour, 15 trains de marchandises arrivent à la gare du Nord chargés de pièces compressées, de moteurs, de boîtes de vitesse, et de voitures provenant d’autres sites d’Audi qui sont prêtes à être livrées aux consommateurs. Les voitures produites à Ingolstadt se retrouvent aussi sur les rails. Dix-sept conducteurs de locomotives Audi travaillent au chemin de fer de l’usine. Une de leurs tâches est d’allouer les wagons aux différents bâtiments de l’usine. Une locomotive effectue jusqu’à 75 manœuvres d’aiguillage chaque jour et fonctionne pour une moyenne de 3800 heures par an. La nouvelle locomotive roule à l’intérieur de l’usine sans produire d’émissions et peut se déplacer pendant deux heures consécutives en mode purement électrique. Sa batterie se recharge d’électricité libre de CO2 pendant les pauses ou elle est prise en charge par un moteur diesel lorsqu’elle est en déplacement. Les locomotives hybrides sont beaucoup plus silencieuses et leurs émissions de CO2 sont réduites de moitié par rapport aux locomotives conventionnelles de l’usine. Cela signifie que la locomotive hybride rechargeable émet jusqu’à 60 tonnes de CO2 en moins chaque année. Pour l’usine d’Ingolstadt, c’est une autre étape de franchie vers une usine neutre au point des vue des émissions de CO2. » Johann Schmid, chef du chemin de fer de l’usine d'Audi, à Ingolstadt, a déclaré : « Notre objectif est une logistique durable globale. La nouvelle technologie sur rail permet des transports plus économiques, améliore le rendement énergétique et a un faible taux d’émission. De pair avec la plus récente technologie au niveau des châssis, la locomotive hybride rechargeable établit de nouvelles normes de manœuvre et de transport ferroviaire. » Source : InsideEVs
Contribution : Peggy Bédard Une étude effectuée auprès des propriétaires de Chevy Volt équipées de batteries fournies par LG Chem a établi qu'il n’y a eu pratiquement aucune perte d’autonomie ou de performance, même après 3 ans, selon Larry Nitz, vice-président Transmission et électrification de GM.
Bien que cette remarque en dise déjà long, Nitz a fait plusieurs autres commentaires très intéressants, y compris celui-ci: «Nous avons vu ce que j’aimerais appeler des « niveaux pharmaceutiques » de qualité dans la production de piles. Sur plus de 20 millions de piles produites pour la première génération de Chevrolet Volt, nous avons fait face à moins de 2 problèmes par million de piles.» Voilà un chiffre tout à fait étonnant ! Cette donnée arrive dans le cadre de la récente couverture d'un rapport de Lux Research qui prédit que le marché du véhicule électrique à batterie (VÉB) atteindra le 30 milliards de dollars par an d'ici 2020, comparé aux 5 milliards de dollars qu’il vaut à l'heure actuelle. Selon Ecomento, "LG Chem fournit des batteries à General Motors, Renault, Volvo, Daimler et Volkswagen. Il dispose actuellement de 11% seulement du marché mondial, mais devrait augmenter sa part de marché à l'avenir. Il a remporté plusieurs nouveaux contrats récemment, dont Audi, qui ne cache pas son intention de rivaliser avec la berline Tesla Model S, le VUS Model X et la petite berline Model 3. Panasonic est le leader dans la fabrication de batterie, fournissant Tesla Motors Inc, Volkswagen et Ford Motor Company. Il a produit 38% des batteries de véhicules électriques au cours des 12 derniers mois, selon Lux, et cela continuera à croître si les ventes de Tesla augmentent." Mais ces chiffres pourraient changer assez rapidement au cours de la prochaine année, lorsque la Gigafactory sera en fonction. En supposant que les ventes de Tesla augmentent aussi vite que le prédit son PDG Elon Musk, la capacité de la Gigafactory ne sera cependant pas suffisante pour répondre à la demande, et le recours à Panasonic pourrait bien augmenter. L'objectif déclaré de Musk, cependant, est qu'il y ait des centaines ou des milliers de « gigafactories » - alors qui sait ce que l'avenir nous réserve? Source: Clean Technica Collaboration: Lisanne Rheault-Leblanc Selon le site Autospies, les États-Unis ne recevront pas le plug-in A3 e-tron d'Audi avant octobre 2015.
Audi avait prévu de lancer l'hybride rechargeable A3 aux États-Unis cet été, mais il semble que nous ne verrons pas cette A3 sur nos rivages avant l'automne. De son côté, Autoblog signale que le retard aux États-Unis est dû à des tests d'autonomie décevants en hiver; la compagnie rectifie donc ce problème avant le lancement. Des rapports ont indiqué que, dans certaines conditions climatiques, le moteur à combustion interne est toujours actif, et que le véhicule fonctionne un peu trop en mode hybride pour les Américains. Brad Stertz, le directeur des communications d'entreprise d'Audi of America, a déclaré à AutoblogGreen qu' «Audi choisit une position assez conservatrice pour s'assurer de la crédibilité à long terme de la technologie e-tron, tout en continuant à viser une expérience optimale pour les conducteurs d'Audi dans chaque région. Il faut savoir que les basses températures affectent la performance de tous les véhicules, à un certain degré, mais notre hybride rechargeable fait face à des défis particuliers sur lesquels nous allons continuer de plancher, en améliorant le A3 e-tron et les autres plug-in qui viendront ensuite. » Source: Inside EVs Collaboration: Lisanne Rheault-Leblanc Audi a une fois de plus mentionné son VUS tout électrique à la présentation de ses objectifs lors de son assemblée générale annuelle. La compagnie entend investir 24 milliards d’euros d’ici 2019 (un record pour l’entreprise), en faisant passer le nombre de ses modèles de 52 à 60 en 2020, en augmentant sa capacité de production et en introduisant de nouvelles technologies.
Dans un avenir rapproché, Audi débutera les ventes de l’hybride rechargeable Q7 e-tron, alors que le lancement du VUS tout électrique est prévu pour 2018. Son autonomie devrait être de 500 km. Selon Automotive News, le VUS e-tron d’Audi sera base sur le Q5. Ce SUV tout électrique constituera la première porte d’entrée dans le marché de masse des véhicules électriques pour Audi. Il fera compétition au Model X de Tesla. Il fera partie de la série e-tron qu’Audi a instauré pour ses véhicules électriques et hybrides rechargeables. Source: Inside EVs Collaboration : Benoit Raymond Selon Ulrich Hackengerg, chef du département de Recherche et développement chez Audi, l’arrivée d’un VUS électrique, offrant 500 km d’autonomie, est prévue pour le début de 2018.
Bien sûr, ce VUS à grande autonomie viendra directement concurrencer la Tesla modèle X, mais le modèle X aura déjà une longueur d’avance, puisque son arrivée sur le marché est prévue autour de septembre 2015. Audi a publié une esquisse du VUS électrique (ci-dessus) à sa conférence de presse annuelle, en Allemagne. Outre l’esquisse et l’autonomie promise de 500 kilomètres, tout ce qu’on sait du VUS électrique d’Audi pour l’instant, c’est qu’il est censé s’inspirer de la prochaine génération de Q5. Ce n’est peut-être pas une surprise, mais les cellules des piles de ce véhicule à grande autonomie proviendront de LG Chem, qui vantait plus tôt ce mois-ci ses nouvelles « piles de 500 km d’autonomie et d’une capacité de 80 kWh à 120 kWh ». Automotive News ajoute que : « Ce véhicule électrique sera le premier qu’Audi introduit dans le grand marché. Le seul VE du fabricant présentement en vente est son bolide R8 e-tron. Pour la deuxième génération de R8 e-tron, dévoilée au Salon de Genève, Audi a augmenté l'autonomie à 450 km, grâce à ses nouvelles cellules de piles.” « Audi affirme que ce nouveau VUS à pile aura une plus grande autonomie que la Tesla modèle X multisegment, qui est sur le point d’être lancée. Le Modèle X a une portée maximale de 430 km.” Source: Automotive News Audi travaille actuellement à créer un VUS 100% électrique qui devrait compétitionner directement avec la future Tesla X en terme d'autonomie. Ulrich Hackenberg, ingénieur en chef d'Audi a affirmé que la batterie aurait 90 Kwh . Bien sûr, la modèle X de Tesla devrait sortir en 2015 alors que la nouvelle Audi est encore sur la planche à dessin. Source : Cleantechnica Contributeur : Martin Archambault Lors de sa conférence de presse annuelle plus tôt aujourd’hui, l’ingénieur en chef, Ulrich Hackenberg, a révélé que le constructeur automobile allemand tirera des leçons du R8 e-tron et les appliquera à « un VUS à zéro émission en 2018 ». Ce VUS, qui s’appellera la Audi Q8 e-tron, aura une autonomie de plus de 500 km. Voici ce que l’ingénieur en chef d’Audi a affirmé en conférence de presse au sujet du véhicule : « Au début de l’année 2018, nous ferons le lancement d’un véhicule utilitaire sport avec une autonomie de plus de 500 km. Son design sera nouveau et attirant. Il s’agit d’un véhicule passager, pour plus de deux personnes. La capacité de sa batterie sera importante ainsi que son autonomie. Une présentation sera faite sous peu. » Source : InsideEVs Audi vient tout juste de révéler plusieurs détails à propos de la R8 qui sera lancée la semaine prochaine lors du Motor Show de Genève. La R8 e-tron est un véhicule à haute performance. Audi a elle-même développé la batterie haute tension équipée d’une nouvelle technologie au lithium-ion conçue spécifiquement pour un véhicule 100% électrique. Si on la compare à la première technologie avancée, la capacité de la batterie est passée de 49 kWh à environ 92 kWh. Ce progrès a été possible sans apporter de changement à l’aspect de la batterie. La R8 e-tron affiche une autonomie de 450 km, contrairement aux 215 km initialement annoncés. La densité énergétique est également passée de 84 Wh/kg à 154 Wh/kg. Une charge complète peut être effectuée en moins de deux heures. Source : InsideEVs Le système de transmission intégrale Audi Quattro aura une version électrique: le e-Quattro30/1/2015 Dans les années 80, Audi a été un des premiers constructeurs automobiles à promouvoir agressivement la transmission intégrale. La transmission intégrale Quattro a aidé Audi à se démarquer et a été une part importante de l’identité de la compagnie depuis. Aujourd’hui, Audi amène le Quattro dans une nouvelle direction plus “écologique”. La prochaine Audi A4 proposera une transmission intégrale tout électrique appelée e-Quattro, selon le magazine anglais CAR. Il semblerait que le système s’allie à un moteur à combustion interne muni de deux moteurs électriques : un intégré à la transmission et l’autre attaché à l’essieu arrière pour alimenter directement les roues arrière. À part Audi, les transmissions intégrales électriques ne sont pas un concept commun. Il semble que General Motors ferait des recherches pour une transmission intégrale pour les modèles de performance de Cadillac et Chevrolet, bien qu’elle pourrait être aussi utilisée dans les véhicules plus accessibles. Source : GreenCarReports |
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