Dans le cadre de leur compte rendu trimestriel, le constructeur automobile coréen Hyundai et sa filiale Kia ont confirmé avoir mis fin à leurs discussions avec Apple pour développer un véhicule électrique autonome, suite à des semaines de spéculation sur la possibilité que le fabricant d'iPhone soit intéressé par un partenariat pour construire une voiture autonome.
Faits :
Au début de janvier, le Korean Economic Daily avait été le premier à annoncer que Hyundai avait entrepris des discussions avec Apple pour développer et produire conjointement des voitures électriques autonomes. La société coréenne n'avait pas confirmé ou nié cette possibilité, déclarant seulement qu'Apple discutait avec divers constructeurs automobiles mondiaux. Plus tard, la filiale de Hyundai, Kia, se serait joint aux négociations considérant qu’elle exploite une usine à West Point, en Géorgie, qui produit 340 000 véhicules par an. Malgré la flambée des cours des actions suite à la nouvelle, Reuters a rapporté que la direction de Hyundai était toujours inconfortable à l’idée de s’associer à Apple craignant d’être perçue comme un sous-traitant d’Apple. La principale préoccupation de Hyundai était basée sur la traditionnelle réticence de la société à travailler avec des tiers, ce qui l’a déjà amené à produire son propre acier à l’interne dans le cadre d’une politique de rationalisation de sa chaîne d’approvisionnement. Apple, qui est également connue pour être farouchement indépendante, exige le secret strict sur ses projets futurs ou les produits de ses partenaires. La semaine dernière, Bloomberg a rapporté que les discussions entre les deux sociétés avaient été interrompues. Siladitya Ray Forbes
Contribution: André H. Martel
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Reuters rapporte, selon des personnes familières avec le projet, que la compagnie Apple débuterait la production d’une voiture autonome dès 2024.
Ce VÉ d’Apple serait alimenté par la technologie de batterie monocellulaire d'Apple, qui pourrait offrir plus de capacité qu'une batterie traditionnelle. On ne sait toujours pas si Apple fabriquera elle-même le véhicule ou si elle travaillera avec un tiers. Selon certaines rumeurs, Apple travaillerait depuis longtemps sur une voiture, avant même que le monde ne se tourne vers les véhicules électriques. Selon ce nouveau rapport de Reuters, ce véhicule pourrait enfin se concrétiser en 2024. Reuters a effectivement rapporté que la production de la voiture autonome d’Apple devrait débuter en 2024 et impliquerait une technologie de batterie de niveau supérieur. Le service de presse a cité un témoin de la conception de la batterie d'Apple confirmant que selon lui, ce nouveau concept pourrait radicalement réduire ses coûts de production et en augmenter l'autonomie. Le rapport ne précise cependant pas si Apple construira le véhicule elle-même ou si elle se tournera vers des partenaires pour la fabrication du VÉ, mais il confirme, citant deux personnes impliquées dans le projet, que la commercialisation se fera en fonction d’une utilisation de masse plutôt qu’un robotaxi ou un véhicule commercial tels que planifiés initialement. Ce rapport a également révélé que ce véhicule autonome, serait équipée de capteurs lidar et a mentionné que l'iPhone 12 Pro et l'iPad Pro récemment mis sur le marché sont également équipés de capteurs lidar développés par Apple. Le plan d'Apple, baptisé Project Titan, est un secret de polichinelle dans le monde de l'automobile et de la technologie depuis sa création en 2014. Apple a recruté des ingénieurs automobiles de Porsche, de Tesla et d'autres constructeurs automobiles, y compris Alexander Hitzinger , qui a récemment quitté l'entreprise et est revenu au groupe VW pour diriger son propre projet Artemis. Il semble que le véhicule soit de retour sur les rails et qu’il devrait normalement entrer en production, si les sources de Reuters sont crédibles. Il se peut cependant que la date soit repoussée à 2025 en raison de retards causés par le coronavirus. Apple aurait contacté des sociétés spécialisées dans la conception de capteurs pour l'aider à ajouter une technologie d'assistance à la conduite. En ce qui concerne la production, Apple serait en négociation avec la compagnie canadienne Magna, qui possède déjà sa propre plateforme pour VÉ disponible pour construire des véhicules électriques pour des partenaires. De plus, l'un des partenaires à long terme d'Apple, Foxconn, a récemment dévoilé son intention de créer une plateforme pour VÉ.
Image Car and Driver
Toujours selon Reuters, l'alimentation du véhicule d’Apple serait un concept de batteries «monocellulaire». Cette technologie élimine les cellules et les modules et les combine dans chaque batterie. Cette approche permettrait de générer plus de capacité dans le même espace qu'une batterie traditionnelle. L'entreprise pourrait également envisager différents composants chimiques pour ses batteries. Sa capacité à démontrer sa capacité dans le monde de la fabrication grâce à l'iPhone, pourrait potentiellement permettre à Apple de réaliser ce que d'autres startups automobiles ne seraient pas en mesure d’accomplir. Pourtant, construire de nouvelles voitures n’est pas à la portée de tous, et ce serait une première pour Apple, si évidemment l'entreprise s'en tient à ce plan. Sinon, ce rêve pourrait subsister encore de nombreuses années sans qu’une voiture électrique autonome d’Apple ne roule sur nos routes. Roberto Baldwin Car and Driver
Contribution: André H. Martel
"Tesla et Apple sont déjà deux des sociétés les plus performantes du marché boursier américain et toutes les données suggèrent que leurs prochains fractionnements d'actions pourraient pousser à la hausse la valeur de leurs actions", a déclaré Adam Vettese, analyste chez eToro.
eToro a analysé 60 années de données de 10 méga entreprises ayant fractionné leurs actions et a constaté qu'en moyenne, le cours de leurs actions avait grimpé de 33% l'année suivant le fractionnement. Apple et Tesla devraient procéder à des fractionnements d'actions lundi prochain. Apple et Tesla prévoient des fractionnements d'actions lundi prochain: Tesla est sur le point de procéder à une division de 5 actions pour 1, tandis qu'Apple est sur le point de procéder à une division de 4 pour 1. Vettese a ajouté: "Les petits investisseurs s'engagent de plus en plus avec les marchés financiers, et beaucoup voient l'intérêt d'investir dans des entreprises qui produisent des produits qu'ils aiment et utilisent quotidiennement. Tesla et Apple sont deux de ces entreprises." eToro a analysé les mouvements de prix de 10 des plus grandes marques mondiales qui ont procédé à un partage d'actions ces dernières années: Apple, Alphabet (Google), Microsoft, Amazon, Coca-Cola, Disney, Samsung, McDonald's, Toyota et Intel. Apple a divisé ses actions quatre fois dans son histoire, ces actions augmentant en moyenne de 10,4% l'année suivant la scission, a déclaré eToro. eToro a également confirmé que les actions d'Apple ont fait face à des fluctuations de prix dramatiques dans les 12 mois qui ont suivi la fracturation de ses actions en juin 2014, lorsque les actions ont augmenté de 36,4%. Et l'action a grimpé en flèche de 58,2% après la fracturation de février 2005. Elle a cependant perdu 61% de sa valeur après sa fracturation d'actions de juin 2000, bien que ce soit au plus fort de l’éclatement de la bulle internet, a déclaré eToro. Apple et Tesla ont été deux des actions les plus actives de 2020. L'action de Tesla a connu un rallye monstre, connaissant une croissance explosive de plus de 850% l'année dernière. Ella a franchi le cap de 2 000 USD pour la première fois la semaine dernière et vaut environ 2 056 USD aujourd’hui. La valeur boursière de Apple a augmenté de plus de 70% depuis le début de 2020. La semaine dernière, elle est devenue la première société cotée aux États-Unis à franchir le cap des 2 000 milliards de dollars de capitalisation. Business Insider
Contribution: André H. Martel
Espace Polestar
La nouvelle entité de Volvo Polestar ouvrira ses premières boutiques de détail aux États-Unis plus tard cette année à New York, Los Angeles et San Francisco, a déclaré le constructeur automobile dans un communiqué de presse lundi dernier.
Ces salles d'exposition, dont l'ouverture est prévue pour le second semestre de 2020, seront exploitées en partenariat avec des revendeurs locaux. New York et Los Angeles auront chacun une salle d'exposition, tandis que San Francisco en aura deux.
Au cours du premier semestre 2021, Polestar prévoit s'étendre à Boston, à Denver, au Texas, en Floride et à Washington DC. On pourra cependant acheter ces voitures dans les 50 États, a déclaré Polestar. Le constructeur automobile s'appuiera sur les ventes en ligne pour atteindre les clients dans les États où il n'y aura pas de salles de montre. Dans ces salles de montre, surnommées Polestar Spaces, des spécialistes répondront aux questions des clients et superviseront des essais, mais ne seront pas commissionnés, contrairement au personnel des boutiques Tesla. Polestar offrira également la livraison à domicile, avec la possibilité de ramasser une voiture pour assurer l'entretien, bien que cette option ne soit disponible que pour les clients vivant à moins de 250 km d'un espace Polestar. Le constructeur automobile a cependant déclaré qu'il était à la recherche de solutions pour les clients vivant à des distances supérieures. Dès le départ, Polestar avait prévu combiner l'expérience de vente au détail de type Tesla, à une expérience de conciergerie et de service qui tire parti du réseau de concessionnaires Volvo existant. Cependant, les Polestar ne seront pas vendus chez les concessionnaires Volvo.
Polestar a probablement tiré des leçons de la stratégie Tesla, qui avait initialement été empruntée à Apple. En travaillant avec les concessionnaires existants, Polestar sera en mesure d'éviter la répétition des batailles qu’a dû affronter Tesla avec les groupes de pression qui représentent les concessionnaires.
La première voiture à être vendue dans les Polestar Spaces sera la Polestar 2 tout électrique, qui devrait être disponible dès cet été. Avec un prix de base de 59 900 USD et son format de berline, la Polestar 2 sera potentiellement le plus gros rival du Model 3 de Tesla. Aux États-Unis, la Polestar 2 fournira 408 chevaux et 487 livres-pied de couple, avec une transmission intégrale à deux moteurs et une batterie de 78 kilowattheures. Polestar n'a pas encore confirmé de détails concernant l'autonomie, mais a cependant dévoilé que la voiture pourra remorquer jusqu'à 3300 livres, lorsqu'elle sera correctement équipée. Le développement de la Polestar 2 est étroitement lié au prochain multi segment électrique Volvo XC40 Recharge, qui pourrait être produit en plus grande quantité que la Polestar. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
La chaîne d'approvisionnement de l'ensemble du groupe motopropulseur sera transformée par les types de composants nécessaires et les processus logistiques utilisés pour leur circulation.
Alors que le moteur à combustion interne est progressivement abandonné au profit de systèmes de propulsion alternatifs, les chaînes d'approvisionnement automobiles subiront une transformation radicale, selon de nouvelles recherches du groupe Transport Intelligence (Ti).
La chaîne d'approvisionnement de l'ensemble du groupe motopropulseur sera transformée et les types de composants, les processus logistiques utilisés pour les déplacer, les marchés d'origine et de destination ainsi que le caractère hiérarchisé des chaînes d'approvisionnement automobile devront être repensés. "Fondamentalement, il y a un changement dans la nature des composants utilisés, passant de l'ingénierie mécanique à l'ingénierie électrique et électronique", a déclaré le co-auteur du rapport, Thomas Cullen, analyste principal chez Ti. «La conception et la production de ces composants sont très différentes. Cela a d'énormes implications sur la façon dont la chaîne d'approvisionnement automobile sera restructurée. » Les principales conclusions du nouveau rapport, "Future Mobility: Electric Vehicle Supply Chain Architecture" comprennent:
Bien que les batteries soient des pièces d'ingénierie complexes, elles sont beaucoup plus simples à insérer dans un véhicule qu'un moteur à combustion interne. Le branchement des moteurs électriques à la batterie est un processus relativement simple. Sans atelier de soudage, sans avoir à monter des moteurs à combustion et avec un réseau plus élevé de fournisseurs de composants, l'installation d'assemblage automobile diminuera d'échelle en même temps que ses exigences logistiques. "Les constructeurs de véhicules conventionnels définissent l'assemblage comme une compétence de base, mais avec la nature changeante des opérations, cela peut ne plus être le cas", a déclaré Nick Bailey, directeur de la recherche de Ti et co-auteur du rapport. «Il se peut qu'avec le temps, les constructeurs automobiles se concentrent sur la conception et la commercialisation de leur produit, comme Apple le fait actuellement en sous-traitant les activités manufacturières. L'impact de la réduction des pièces et de l'élimination du nombre de fournisseurs dans la chaîne d'approvisionnement d’un groupe motopropulseur est fréquemment mentionné comme étant traumatisant pour la chaîne d'approvisionnement automobile. De plus, le processus de fabrication de batteries en termes de matériaux, de compétences et de structures de production existantes s'est développé hors des principaux groupes automobiles. Le Japon, la Corée du Sud et la Chine dominent le secteur, s'approvisionnant en matières premières en Asie, en Afrique et en Amérique latine. L'Europe et l'Amérique du Nord ont, à quelques exceptions près, été mises à l'écart dans le développement de nouvelles technologies de batteries ainsi que dans le savoir-faire de fabrication. Un aspect négligé, quoique important de toute chaîne d'approvisionnement de VÉ qui le différenciera des chaînes d'approvisionnement de circuits intégrés est la différente de l'interconnexion des composants. Alors que la relation entre les composants des véhicules à circuit intégré est principalement cinétique, la relation entre les composants électriques et électroniques dépend du mouvement des électrons. Cela signifie que la nature des interfaces des divers composants est très différente. Cela créé évidemment des implications majeures sur la chaîne d'approvisionnement. MH&L (Material Handling and Logistic)
Contribution: André H. Martel
Amnistie Internationale lance un cri du coeur à l’industrie de la voiture électrique pour qu’elle rende ses véhicules plus éthiques. Selon Amnistie, la décarbonisation des transports ne doit pas se faire au détriment des droits humains. L’industrie a le devoir d’éliminer l’exploitation humaine de sa chaîne d’approvisionnement, notamment le recours au travail des enfants, lors de l'extraction de minéraux, tels que le cobalt. Il est urgent d'instaurer un système de traçabilité des matériaux à l’heure où la demande mondiale se fait de plus en plus forte…
Le nombre de véhicules électriques sur les routes du monde augmente rapidement. Les dernières données confirment qu'il y en a plus de trois millions sur les routes et que les ventes augmentent de près de 75% annuellement. Mais maintenant, des doutes ont été soulevés quant à l’éthique d’en acheter un.
Kumi Naidoo, secrétaire général d'Amnesty, a déclaré lors du récent sommet sur les véhicules électriques à Oslo que le changement climatique ne devrait pas être combattu au détriment des droits de l'homme. «Sans changements radicaux, les batteries qui alimentent les véhicules écologiques continueront d'être entachées de violations des droits de l'homme», a-t-il déclaré.
Amnesty souligne que de graves risques pour la santé des enfants et des travailleurs adultes dans les mines de cobalt en République démocratique du Congo ont été documentés dans un rapport qu'il a publié. Plus de la moitié du cobalt mondial provient du sud de la RDC, principalement de mines artisanales qui fournissent 20% de la production du pays.
Les chercheurs ont visité 9 de ces mines artisanales, y compris des mines profondes, creusées à la main avec des outils de base. Les mineurs, dont les plus jeunes gagnaient aussi peu que 1 dollar par jour, déclaraient souffrir de maladies pulmonaires chroniques dues à l’exposition à la poussière de cobalt. Ce cobalt est vendu aux manufacturiers. Actuellement aucun pays n’exige que les producteurs assurent la traçabilité de leurs chaînes d'approvisionnement, ce qui, selon Amnesty, signifie que les batteries de véhicules électriques sont potentiellement contaminées par le travail des enfants. Pour Amnesty International, cette situation est inacceptable. La fabrication de batteries représente désormais 60% des 125,000 tonnes de cobalt extraites chaque année dans le monde.
L'an dernier, un consortium de 14 ONG, dont Amnesty, s'opposait à la décision de l’organisme « London Metal Exchange » d'interdire la vente de cobalt contaminé, considérant que cela pourrait inciter la création d’ un marché clandestin. Ils ont appelé à une plus grande traçabilité des sources du minerai.
Le Global Battery Alliance du Forum économique mondial relève deux défis majeurs: "Premièrement, les matières premières nécessaires aux batteries sont extraites au prix d’un lourd tribut humain et environnemental. Ceci inclut, par exemple, le travail des enfants, les risques pour la santé et la sécurité liés au travail clandestin, la pauvreté et la pollution. Deuxièmement, un défi de recyclage menace les onze millions de tonnes des piles au lithium-ion usagées qui devraient être en fin de vie d’ici 2030, avec encore peu de débouchés pour permettre leur réutilisation et le recyclage. " Le Forum de l'OCDE sur les chaînes d'approvisionnement responsables en minéraux se réunira à Paris le mois prochain . Les membres devraient demander aux entreprises d'identifier leurs sources de cobalt. Apple, BMW, Daimler, Renault et le fabricant de batteries Samsung SDI ont déjà accepté de publier les données de leur chaîne d'approvisionnement. Selon Amnesty, la plupart des batteries lithium-ion sont fabriquées en Chine, en Corée du Sud et au Japon, où la production d'électricité reste dépendante du charbon et d'autres combustibles fossiles. Ils ont également suggéré aux fabricants de divulguer l'empreinte carbone de leurs produits.
Le nombre de voitures électriques augmente rapidement. L'Agence internationale de l'énergie prévoit que 125 millions de VÉ rouleront sur la planète d'ici 2030, voire le double si les gouvernements accélèrent les législations.
L'année dernière, 2,1 millions de nouveaux véhicules électriques ont été vendus dans le monde. La Chine est le plus grand marché mondial de voitures électriques avec 1,2 million, soit 56% du total des véhicules électriques vendus en 2018. La Chine représente également 99% des ventes de camions, autobus, motos et scooters électriques. Les États-Unis se sont classés loin derrière en deuxième position avec 361,000 voitures électriques neuves vendues en 2018, dont près de la moitié étaient le nouveau Model 3 de Tesla. En ce qui concerne la part de marché, la Norvège est en tête du classement alors que 49% des voitures neuves vendues étaient des véhicules électriques ou hybrides. La pression en faveur d’un avenir plus écologique augmente alors que des interdictions de vendre de nouvelles voitures alimentées aux combustibles fossiles s’accroissent en Europe. L'Allemagne arrêtera la vente de toutes les nouvelles voitures à essence et diesel à partir de 2030, l'Écosse à partir de 2032 et la France et le Royaume-Uni à partir de 2040. Mais l'objectif de la conduite à zéro émission prendra encore un certain temps. Les voitures électriques ne représentent que 2,4% des nouvelles ventes mondiales et, malgré le taux impressionnant de vente de la Norvège, les voitures électriques ne représentent à ce jour qu'un véhicule sur huit à Oslo. Les ventes dans les autres pays européens sont beaucoup plus faibles. En Italie, l'an dernier, 0,26% seulement des nouvelles ventes étaient des voitures électriques, les acheteurs préférant toujours le diesel à l'essence. Même en Espagne, qui est un important constructeur automobile, seulement 0,5% des nouvelles ventes étaient électriques. World Economic Forum
Contribution: André H. Martel
Elon Musk a des problèmes avec la Securities and Exchange Commission des États-Unis. Cela pourrait-il tourner à son avantage?
Le chef de la direction de Tesla se bat contre la US Securities and Exchange Commission encore une fois à cause d’un tweet. Au pire, la SEC pourrait le forcer à quitter son poste au sein de l'entreprise.
Quelles pourraient en être les conséquences? Les actions de Tesla pourraient s’effondrer, permettant potentiellement à M. Musk d’activer son projet de rachat qui l'avait mis en difficulté l’an dernier. Elon Musk a jusqu'au 11 mars pour expliquer au juge du district américain Alison Nathan pourquoi une publication dans les médias sociaux, dans laquelle il suggérait à tort que Tesla produirait 500,000 voitures cette année, ne constituait pas une violation de sa promesse exigeant de valider ses tweets par les avocats de la société. Si elle se prononce contre lui, la SEC pourrait lui infliger une lourde amende. Mais encore pire, il pourrait être forcé de quitter ses fonctions. Deux situations potentielles: • Premièrement, le stock s'effondrerait presque certainement. Quelles seraient les pertes? Difficile de les évaluer, mais puisque M. Musk est étroitement associé à la marque, il serait possible d’imaginer que la valeur de Tesla diminue de moitié, pour atteindre 26 milliards de dollars. • Deuxièmement, la société pourrait devenir une cible pour des acquéreurs potentiels. Dévalorisée, l’entreprise deviendrait un produit séduisant pour les constructeurs automobiles tels que Toyota ou Daimler et pour des entreprises comme Apple, Waymo et même Lyft ou Uber, peut-être même pour Elon Musk lui-même. Expulsé de Tesla M. Musk aurait le champ libre de raviver son plan de l'été dernier qui était de privatiser la société. Ce tristement célèbre tweet dans lequel il disait envisager la privatisation de Tesla au coût de 420 dollars l’action. Son tweet qui confirmait le financement assuré de ce projet avait poussé la SEC à l'accuser de fraude. Cette accusation avait conduit à l'accord approuvé par le tribunal en octobre dernier, que la commission l’accuse maintenant d'avoir violé. Il dispose de nombreux avantages par rapport aux acheteurs potentiels, notamment sa participation de 20% au niveau de l’entreprise. Il semble toujours avoir le support de son conseil d'administration composé de ses amis, ses partenaires commerciaux et de sa famille. De plus, si ses présumés financiers étaient vraiment disposés à acheter Tesla l'an dernier à 72 milliards de dollars tel que mentionné sur son tweet, ils devraient certainement être encore plus intéressés à 26 milliards de dollars. Dans ce cas, M. Musk pourrait envoyer une note de remerciement à la SEC. Via Twitter, évidemment. New York times
Contribution: André H. Martel
Si vous les recharger efficacement, ils en achèteront : Le Maryland prévoit installer 5,000 bornes de recharge pour VÉ; Apple s’associerait à VW pour créer ses fourgonnettes électriques T6; Face à une demande supérieure aux attentes, Porsche envisage de doubler la production du Taycan; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
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Contribution: André H. Martel
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Contribution: André H. Martel
L'accord DriveNow ouvre la voie à l'alliance BMW- Daimler, Apple étend sa flotte d'essais de conduite autonome, des détails sur le premier VÉ de Volvo, des barges à conteneurs électriques partiront d’Europe cet été, les ventes d'autobus électriques ont pratiquement doublé en un an et plus de 100 000 Mitsubishi Outlander PHEV vendus en Europe : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
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Contribution : Peggy Bédard
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Contribution : Peggy Bédard
Envision Solar veut changer la donne côté recharge de VÉs, Renault Samsung Motors et DS Virgin Racing dévoilent de nouveaux VÉs et Apple révèle quelques informations sur ses recherches en conduite autonome : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
Après des années de silence, Apple a finalement divulgué quelques détails sur son projet automobile très médiatisé.
Dans une entrevue accordée à Bloomberg, le PDG d'Apple, Tim Cook, a confirmé que la société est en train de développer un système de conduite autonome pour automobiles, compétitionnant ainsi avec des géants technologiques tels qu’Alphabet et Intel ainsi qu’avec les géants du covoiturage Uber et Lyft et beaucoup de grands constructeurs automobiles.
Cook a déclaré que la compagnie se concentrait sur les systèmes autonomes, puisque, selon elle, c’est une technologie de base très importante. Il a ensuite décrit le système de conduite autonome comme un projet d'intelligence artificielle (AI) qui a un potentiel de « perturbation majeure ». Par exemple, dans le cas de l'industrie automobile, les voitures autonomes pourraient faire en sorte que plus de personnes dans les villes choisissent de ne pas posséder de voiture et que les constructeurs automobiles fassent plus de revenus en offrant des trajets plutôt que des véhicules.
Le California Department of Motor Vehicles (DMV) a accordé à Apple un permis pour tester des véhicules autonomes dans cet État. Ce permis donne l'autorisation à Apple d'effectuer des essais dans 3 véhicules différents, avec 6 conducteurs distincts.
Il est à noter que les véhicules concernés sont tous des modèles Lexus RX450h 2015, et non pas ces petits « Apple Cars » que nous avions aperçu auparavant. Cela semble suggérer que les informations précédentes, selon lesquelles Apple s'affranchit du développement de voiture et se recentre plutôt sur la technologie des véhicules autonomes, étaient exactes. Cette nouvelle signifie qu’Apple se joint à Google/Waymo, Ford, GM, Tesla, Uber, Daimler, Baidu et peut-être d'autres entités en possession d'un permis de test de véhicules autonomes du DMV californien. Le président du groupe consultatif chez Theodore & Associates, et ancien vice-président de Ford Motor Company et Chrysler, Chris Theodore, a commenté la question via Reuters: « Cela confirme la rumeur qui circulait depuis fort longtemps : Apple cherche à entrer dans le jeu autonome en quelque sorte. ... Pas nécessairement avec les véhicules attendus, mais plutôt des logiciels, ou éventuellement de l’équipement informatique, associés à une technologie autonome. » Apple pourrait donc développer une technologie complète pour véhicules autonomes et des systèmes d'exploitation complets pour véhicules, et qu'on pourrait donc voir sous peu le développement de systèmes d'exploitation et d’équipement informatique autonome de marque Apple. On pourrait facilement imaginer la popularité d'une telle chose sur le marché, compte tenu du nombre de personnes qui achètent des téléphones intelligents, des tablettes et ordinateurs portables Apple. Selon Reuters, « un porte-parole d’Apple a refusé de commenter directement la nouvelle, rappelant plutôt une déclaration faite par la société en novembre lorsqu'elle a écrit à l'US National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) sur la réglementation des véhicules autonomes. » Cette déclaration du directeur de l'intégrité du produit d'Apple (précédemment de Ford), Steve Kenner, laissait entendre qu’Apple « investit énormément dans l'étude de l'apprentissage et de l'automatisation des machines et est enthousiaste au sujet du potentiel des systèmes automatisés dans de nombreux domaines, y compris le transport. » Reste maintenant à déterminer si les consommateurs seront davantage charmés par une technologie et un système d’exploitation/infodivertissement pour véhicules autonomes développés par Apple, plutôt que directement chez le constructeur automobile. Source : Clean Technica Contribution : Peggy Bédard Tesla s’installera aux Émirats Arabes Unis, le nouveau VP du logiciel Autopilot explique pourquoi il a quitté Apple, des annonces de Tesla et selon une nouvelle étude, le coût des batteries diminue de façon spectaculaire : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Apple perd un autre employé important au profit de Tesla, Faraday Future explique le nom de son VÉ FF 91, la Chrysler Pacifica hybride est bien meilleure pour l’environnement que le modèle conventionnel et un nouveau comité d’automatisation au ministère des Transports américain : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
BlackBerry Canada Ltd a annoncé l’ouverture d’un centre de recherche sur la conduite autonome le 19 décembre dernier, avec l’objectif de devenir un joueur incontournable de l'industrie automobile dans la course à l’automatisation des véhicules.
Alors que le logiciel industriel de QNX a été utilisé pour réinventer le système d'exploitation des téléphones BlackBerry, la compagnie souhaite maintenant travailler sur la façon dont son logiciel intégré pourrait interagir avec les capteurs, caméras et autres composants nécessaires à la conduite autonome. Mais si de nombreuses compagnies de la Silicon Valley sont capables d’investir d’importantes sommes dans l'intelligence artificielle et l'apprentissage des machines nécessaires à l'autonomie, BlackBerry a plus de contraintes financières et optera pour un rôle de partenaire avec le fabricant de puces japonais Renesas Electronics, l’université de Waterloo et la plate-forme technologique Polysinc. « QNX offrira l’infrastructure permettant de créer des algorithmes de haute qualité et de recueillir les données des capteurs de manière fiable », a déclaré Sebastian Fischmeister, professeur agrégé de l’Université de Waterloo qui travaille avec QNX depuis 2009. « Notre but est de fournir la base logicielle pour ces plates-formes de calcul haute performance », a pour sa part déclaré John Wall, dirigeant de QNX lors d’une entrevue vendredi. BlackBerry et les équipes de recherche de l’université ont obtenu le mois dernier le feu vert des autorités canadiennes pour tester des véhicules Lincoln de Ford équipés de logiciel de conduite autonome sur la route. La compagnie a également signé un accord pour travailler directement avec le constructeur automobile de Detroit, qui prévoit lancer une flotte de véhicules autonomes d’ici 2021. Wall a aussi déclaré que la société était en discussions avancées avec « plus d’un ou deux » grands constructeurs mondiaux sur des partenariats similaires, mais a précisé que cela prendrait tout de même un certain temps avant que les véhicules autonomes ne deviennent réalité. QNX gère déjà les systèmes d'infodivertissement et de télématique dans des millions de voitures, offrant ainsi aux constructeurs automobiles et aux acteurs du secteur tels que Tesla, Uber Technologies et Alphabet, maison mère de Google, des éléments sur l’évolution de cette technologie. « S'ils peuvent prouver qu'ils ont une solution d’ensemble et la sécurité qui vient avec, ils pourraient absolument dominer le marché des systèmes autonomes d'exploitation de véhicules », a déclaré Sam Fiorani, analyste chez Auto Forecast Solutions. Des risques subsistent, dont le défi lancé par des fabricants de puces comme Intel Corp (INTC.O) qui pourraient être tentés d’offrir gratuitement aux constructeurs automobiles des logiciels et des outils de sécurité dans l’espoir de se rattraper sur la vente de matériels. « Certaines de ces entreprises peuvent se permettre de perdre beaucoup d'argent dans leur quête de part de marché », a déclaré Chris Rommel, directeur de la recherche sur les technologies embarquées chez VDC Research. Source : Reuters Contribution : Peggy Bedard Le cofondateur d’Apple achète une deuxième Tesla plutôt qu’une Bolt, Lucid Motors annonce un autre partenariat avec un fournisseur de batteries, Chrysler et Waymo dévoilent le design de la première Chrysler Pacifica électrique et autonome et les propriétaires de Nissan LEAF passent le cap des trois milliards de km : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Mise à jour: Elon Musk, le patron de Tesla, et Travis Kalanick, DG chez Uber, rejoignent la nouvelle équipe consultative économique de Donald Trump. Leurs nominations ont été annoncées ce mercredi 14 décembre 2016, avec celle de la PDG de PepsiCo, Indra Nooyi. Le conseil économique est dirigé par le DG de Blackstone, Steve Schwarzman. Lancé début décembre, ce groupe fournira des conseils économiques à Donald Trump. Ses membres seront "appelés à rencontrer le président régulièrement pour partager leurs expériences et leurs connaissances dans leur domaine d'expertise spécifique. Et pour cause: le président met en place son projet pour ramener des emplois aux Etats-Unis et rendre l'Amérique grande à nouveau", d'après le communiqué. Le PDG de Tesla, Elon Musk, fait partie d'un groupe de chefs d'entreprises de la Silicon Valley qui se réunira ce mercredi avec le président élu Donald Trump. Musk a déjà affirmé que le changement climatique est l'un des défis les plus urgents auxquels doit fait face l'humanité, l’une des raison pour laquelle son entreprise ne fabrique que des voitures électriques à zéro émission. Le président élu, de son côté, ne semble pas toujours partager cette vision. Il a déjà fait usage d’un langage grossier pour décrire la science du climat et même suggéré qu’il s’agissait d’une invention de la Chine pour nuire aux affaires des États-Unis. Pas de doute que cette rencontre sera des plus intéressante ! La nouvelle de cette réunion a été rapportée par The Wall Street Journal, qui a nommé les cadres de nombreuses entreprises de technologie et de logiciels de premier plan comme participants. En plus de Musk, ils ont mentionné les PDG d'Alphabet (anciennement Google), d'Amazon, d'Apple, de Cisco, d'IBM, d'Intel, de Microsoft et d'Oracle, ainsi que le chef de l'exploitation de Facebook. Les politiques du président élu sur l'énergie et l'environnement semblent pour le moment très éloignées de celles de son prédécesseur. Trump a promis de débloquer et de déréglementer l'exploration des combustibles fossiles, d'aider à la construction de nouvelles raffineries de pétrole et de raviver l’industrie du charbon, entre autres promesses. Il a nommé le procureur général de l'Oklahoma, Scott Pruitt, à la tête de l’Agence américaine pour la protection de l’environnement (EPA), que ce dernier a poursuivi à plusieurs reprises pour l'empêcher d'appliquer certains règlements. Le gouverneur du Texas Rick Perry, un autre partisan des combustibles fossiles, a été nommé pour diriger le ministère de l'Énergie et Rex Tillerson, le PDG d'ExxonMobil, sera vraisemblablement le nouveau secrétaire d'État, s’ils sont tous les deux approuvés par le Congrès.
À l'exception de l’investisseur de capital-risque libertaire Peter Thiel, la plupart des dirigeants du secteur des nouvelles technologies n'ont pas soutenu Trump dans sa course pour la présidence. Et la majorité d’entre eux acceptent le consensus scientifique selon lequel l'activité humaine a contribué aux changements climatiques. Selon le journal, aucun ordre du jour n'a été révélé, mais l’un des objectifs devrait être de savoir comment maintenir les emplois aux États-Unis. Alors que Tesla fabrique toutes ses voitures en Californie, Apple construit la majeure partie de ses appareils électroniques grand public en Chine. Trump a d’ailleurs suggéré dans le passé qu’Apple devrait ouvrir une usine américaine. L’article rappelle également que les cadres sont préoccupés par les restrictions à l'immigration, l'application des lois antitrust et les demandes du gouvernement pour les données sur les utilisateurs de produits et services. On sait relativement peu de choses sur les positions spécifiques de Trump au sujet des véhicules électriques. Il a déclaré être contre « toutes ces choses qui ne fonctionnent pas » en réponse à une question de Fox News sur les prêts gouvernementaux consentis à Fisker Automobile. Cette société ayant déclaré faillite, le Département américain de l'énergie a perdu environ 100 millions de dollars du prêt à faible intérêt accordé à Fisker. Les restes de la compagnie ont été plus tard achetés hors cour par le fournisseur de pièces chinois Wanxiang, qui tente maintenant de ressusciter des modèles comme la Karma Revero. La rencontre étant prévue ce mercredi, nous en saurons un peu plus par la suite. Source : Green Car Reports Contribution : Peggy Bédard
Apple ajoute les stations ChargePoint à sa couverture cartographique, le choix de Trump pour le nouveau chef de l'EPA, Rinspeed Oasis, le véhicule autonome destiné à l’autopartage, des images de l’intérieur de la Tesla Model 3 et le VÉ EnLight dévoilé au salon de l’auto de Guangzhou : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Apple confirme son intérêt pour la conduite autonome, Volkswagen lance une nouvelle division pour rivaliser avec Uber, le e-tron d’Audi, le I-Pace de Jaguar et le EQ de Mercedes comparés et les avions électriques bientôt réalité : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
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Une nouvelle génération de Mini Countryman hybride rechargeable, le projet Titan d’Apple est interrompu, Tesla repousse sa mystérieuse annonce à mercredi et PEUGEOT dévoile le vélo électrique pliant EF01 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
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Six voitures sport qui se font dépasser par la Tesla Model S P100D, la finale 2017 de la Formule E se tiendra à New York, Lit Motors serait en pourparlers avec Apple, BMW et Audi, et VW offrira une fourgonnette commerciale tout-électrique dotée de 200 km d’autonomie : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
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