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Les prochaines élections européennes pourraient forcer un virage brutal de la politique des voitures électriques

6/5/2024

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​Paris (AFP) – Un changement à la tête des institutions européennes pourrait annoncer un changement dans l’objectif de 2035 d’éliminer progressivement les ventes de voitures à moteur à combustion interne, même si l’industrie automobile est déjà bien avancée vers la transition vers les véhicules électriques.
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​Après de longues négociations, les États membres de l’UE sont parvenus à un accord historique en 2022 : à partir du 1er janvier 2035, les seules voitures neuves qui pourront être vendues dans l’UE seront celles qui n’émettent pas de gaz d’échappement (CO2).
 
Ainsi, dans un peu plus d’une décennie, il n’y aura plus de voitures à essence et diesel dans les salles d’exposition, les ventes se limitant aux véhicules électriques ou à hydrogène.
 
Les réticences de la droite
L’annulation de l’échéance de 2035 est devenue un cri de ralliement pour les partis de droite européens.
 
L’industrie automobile européenne est un employeur majeur et un leader dans le domaine des voitures traditionnelles, mais elle est loin derrière les jeunes pousses chinoises dans le développement de véhicules électriques, en particulier à bas prix.
 
Le groupe parlementaire ECR, qui comprend les représentants de l’Italie et le groupe espagnol VOX, nie toujours la nécessité de passer aux véhicules électriques.
 
« Nous restons fermement convaincus que le moteur à combustion interne, qui témoigne de la puissance de la créativité et de l’ingéniosité européennes, peut rester commercialement viable pour les années à venir en adoptant une technologie de pointe et en investissant dans la recherche révolutionnaire sur les carburants alternatifs à faibles émissions », peut-on lire dans son manifeste électoral.
 
L’autre groupe de droite au Parlement européen, Identité et Démocratie, qui comprend le RN en France et l’AfD en Allemagne, s’en est pris aux véhicules électriques coûteux qui nuisent aux consommateurs, qualifiant l’interdiction imminente de mesure discriminatoire et d’exclusion sociale.
 
Le parti majoritaire sortant, le Parti populaire européen de centre-droit, est divisé.
 
Les deux partis allemands du groupe, la CDU et la CSU, veulent supprimer l’échéance de 2035 pour continuer à bénéficier de la « technologie allemande de pointe des moteurs à combustion interne ».
 
Cela n’a pas été inclus dans le manifeste du PPE parce que c’est la tête de liste, la présidente sortante de la Commission, Ursula von der Leyen, qui a négocié l’échéance dans le cadre du « Green Deal » de l’UE.
 
« Il serait surprenant que la Commission qui a mis en place le Green Deal fasse marche arrière, mais il y a des risques sur sa mise en œuvre », a déclaré Diane Strauss, de l’ONG Transport & Environment.
 
Populistes ou progressistes ?
L’industrie automobile, qui emploie 12 millions de personnes en Europe, est en bonne voie de passer aux véhicules électriques.
 
Le nombre de modèles entièrement électriques disponibles a augmenté et leur part de marché a grimpé à environ 13 % à la fin de l’année dernière, même si la croissance a légèrement ralenti.
 
Mais le chef du lobby automobile européen ACEA, le PDG de Renault, Luca de Meo, a récemment indiqué qu’un report serait le bienvenu.
 
« J’espère que l’interdiction entrera en vigueur un peu plus tard parce que je pense que nous ne pourrons pas atteindre cet objectif sans nuire à l’ensemble de l’industrie automobile européenne et à la chaîne de valeur », a-t-il déclaré à l’AFP en février dernier.
 
Carlos Tavares, le patron de Stellantis, a reconnu au début de l’année que le deuxième constructeur automobile européen suivait de près les élections européennes et américaines.
 
Il a déclaré que le passage aux véhicules électriques s’accélérerait si les « progressistes dogmatiques » remportaient le pouvoir, mais ralentirait si les « populistes » remportaient les élections.
 
M. Strauss, de Transport & Environment, a déclaré que le succès de l’échéance de 2035 dépendait de plusieurs facteurs, tels qu’un déploiement suffisant de bornes de recharge ainsi qu’une réduction des prix, par exemple via des programmes de location subventionnés.
 
« Un parlement très opposé à l’électromobilité pourrait ralentir la mise en œuvre de tous les facteurs nécessaires à la réussite de l’effort », a-t-elle déclaré, en réduisant les subventions par exemple.
 
Des alternatives en 2026 ?
Un bilan des progrès vers l’électrification est d’ores et déjà prévu pour 2026. Bien que cela ne signifie pas qu’il y aura un autre vote sur l’échéance de 2035, l’examen pourrait déterminer que les progrès sont en retard sur l'objectif et renforcer la position de ceux qui plaident pour des alternatives, comme le ministre allemand des Transports, Volker Wissing, qui a appelé à autoriser les carburants synthétiques.
 
Les carburants synthétiques, ou e-carburants comme on les appelle aussi, sont actuellement énergivores et coûteux à produire, mais sont recherchés comme un moyen de réduire l’empreinte carbone de l’industrie aéronautique.
 
Pourtant, des constructeurs automobiles comme Porsche, Stellantis et Renault les ont envisagés pour les voitures, car ils pourraient être utilisés dans les moteurs existants.
 
Les sceptiques soulignent les difficultés à rendre les e-carburants totalement neutres en carbone et qu’ils sont moins efficaces que les véhicules électriques.
 
France 24
Contribution: André H. Martel
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