Les véhicules hybrides à décollage et atterrissage verticaux (VTOL) pourraient être mis en service spécifiquement comme taxis aériens.
Bien que les voitures volantes ne soient pas encore totalement électriques, Uber pourrait prendre l’air dans quelques années et devenir tout électrique. En janvier, lors du CES, Bell Helicopter a présenté le Nexus. Ses six ventilateurs inclinables fournissent à la fois la poussée et la portance, tandis que les ailes contribuent à la portance pour le vol. Son système hybride en série comprend également un moteur à combustion interne qui entraîne un générateur et agit comme un distributeur d’énergie électrique. Visant une autonomie de 240 km à une vitesse de croisière de 240 km / h, le Nexus serait en mesure de répondre aux besoins du projet Uber Air, baptisé : Uber Elevate. Uber affirme que son taxi aérien sera moins cher à produire et plus économe que l'extension des routes, des rails, des ponts et des tunnels. En outre, l’entreprise est convaincue que ses aéronefs seront plus sûrs que les transports terriens. Uber Air travaille à développer une batterie de 140 kWh pour énergiser un véhicule pouvant accueillir quatre personnes, l'objectif ultime étant de pouvoir embarquer suffisamment de batteries pour fonctionner entièrement à l'électricité, possiblement avec un moteur en réserve. Les partenaires d'Uber Air incluent Aurora, Bell, EmbraerX , Karem Aircraft et Pipestrel Vertical Solutions.
"Bell ne croit pas aux parachutes dans un véhicule comme celui-ci", a déclaré à Green Car Reports, J Scott Drennan, vice-président de l'innovation en ingénierie chez Bell, au CES 2019, contrairement à ce que d’autres entreprises proposent. Le système hybride de Bell sera apte à fonctionner entièrement en mode électrique pour de courtes périodes et sera conçu pour atterrir sous tension électrique en cas de panne du moteur à combustion, a-t-il déclaré. De plus, il a souligné les problèmes que posait le poids du groupe motopropulseur, ainsi que les rotors qui ne sont pas aussi efficaces que le serait un seul grand rotor. Entre-temps, la société poursuit les tests en soufflerie et commencera bientôt à produire des pièces pour une version opérationnelle.
Toujours selon M. Drennan, Bell espère disposer d'un véhicule pleinement opérationnel pouvant desservir ses clients d'ici le milieu de la décennie. L’objectif est de se synchroniser avec Uber Air, qui souhaite débuter les opérations commerciales en 2023, avec un projet pilote à clientèle restreinte pour tester le matériel pour ensuite mieux se structurer en 2023 et offrir des vols publics urbains en 2025. De son côté, Scott Helen, vice-président de l'innovation en ingénierie chez Bell, croit que ce véhicule pourrait être utilisé non seulement en tant que taxi aérien urbain, mais pourrait répondre à certains besoins de transports interurbains Un tel engin devra être rechargé rapidement et fréquemment. La société de recharge ChargePoint, partenaire officiel du projet, développe actuellement un connecteur de charge de 2 MW pour ce type de véhicules.
Les premiers marchés Uber Air devraient être Dallas, Los Angeles et une ville à l’extérieur des États-Unis. L’Australie, le Brésil, la France, l’Inde et le Japon demeurent sur la liste restreinte de lancement à l’étranger.
Une question demeure : Uber n'a pas encore offert une recherche convaincante qui appuierait sa position face aux véhicules traditionnels en termes d'émissions de carbone, un aspect très important par exemple pour Los Angeles. On a toutefois souligné que cette solution impliquera beaucoup moins d'émissions de carbone et de pollution atmosphérique que les avions existants, principalement parce que, comme dans le cas des voitures électriques, les véhicules volants deviendront plus propres à mesure que des sources d'énergie plus durables deviendront disponibles pour les recharger. Uber Air considère la propulsion électrique comme une prochaine étape importante dans le secteur des transports. Les VTOL voleront de plaques tournantes en plaques tournantes, où ils seront combinés avec d'autres moyens de transport. Ces véhicules sont actuellement conçus pour transporter quatre personnes plus un pilote, l'objectif à long terme étant de rajouter un cinquième passager et de le rendre autonome.
Dans son livre blanc présenté en 2016, Uber a même fixé un objectif de bruit de 67 dB au niveau du sol lorsqu'un VTOL est à 75 mètres d'altitude, soit à peu près la même chose qu'une Toyota Prius roulant à 56 km/h.
«Nous voulons créer un réseau avec ces véhicules, afin que les utilisateurs puissent prendre ces taxis aériens sur de plus longues distances, quand ils veulent éviter le trafic à des prix abordables», a résumé Dara Khosrowshahi, directrice générale d'Uber, à CBS. Pour y arriver, il faut régler une longue liste d'obstacles, dont certains font l'objet d'une procédure accélérée. Ils comprennent entres autres : une certification opérationnelle spécifique, un protocole de formation de pilote et une gestion du trafic aérien. Bien que le moment où le Nexus ou d'autres VTOL de ce type puissent voler soit encore incertain, il devient de plus en plus évident que l'avenir du transport aérien local et même régional sera électrique. Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
Commentaires
Rivian serait en pourparlers avec GM et Amazon; Un dirigeant de Ford soulève des doutes sur l’accord avec VW sur les véhicules électriques; Posséder un véhicule électrique est maintenant moins dispendieux que de posséder un véhicule à émissions en Europe; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Airbus des batteries : La France et l’Allemagne mènent le jeu; Le ministre fédéral de l’environnement affirme que le Canada atteindra son objectif d’émissions de Paris même après le recul imposé par l’Ontario; Comment aidons-nous les villes à mieux respirer? Un projet de bus propre; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
DNV GL (une société mondiale de services dans la gestion de la qualité et des risques) prévoit une croissance rapides des véhicules électriques; VW confirme développer sa dernière génération de moteurs à essence et diesel; Byton débutera la production de son SUV électrique en avril 2019; Une entreprise chinoise dit qu’elle franchira bientôt le seuil de 100$ USD pour ses batteries, mettant fin à la voiture à essence; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
La compagnie de transport publique Hamilton Street Railway teste des autobus électriques; Le RTL va rouler de plus en plus électrique; Voiture électrique : Macron veut une stratégie européenne dans les batteries; Les réflexions du PDG de ChargePoint sur le futur de la recharge des VÉs et sur les « Superchargers » de Tesla; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Europe : la voiture électrique en hausse de 35% au troisième trimestre; Green Car Reports annonce que la meilleure voiture à acheter en 2019 : Tesla Model 3; La compagnie Energy Web Foundation lance un logiciel basé sur le concept du « Blockchain » pour permettre la recharge des véhicules électriques avec une énergie propre; Elon Musk confirme que la camionnette Tesla suivra le Model Y; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
Charge ultra-rapide : Ionity compte ouvrir 80 stations en France; Un « Guide de l’auto » à saveur électrique; Le réseau de recharge électrique de Volkswagen s’installe au Canada; Plan mobilité propre : quelles mesures pour le véhicule électrique ?
Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture !
Contribution : André H. Martel
Aujourd’hui, le 28 avril, aura lieu le très attendu Grand-Prix de Formule E de Paris en France. Cette course est diffusée au Québec sur RDS2 à 15h (https://www.rds.ca/tele)
C’est une troisième édition dans la Ville Lumière, en pleine ville autour des Invalides sur un trajet de 1,93 km comportant 14 virages.
Cette année, la capacité d’accueil en tribune a été augmentée pour passer de 7 000 à 8 000 places. Les organisateurs espèrent attirer 50 000 spectateurs au total cette année, soit 4 000 de plus que l’an dernier. On compte toujours, pour ce faire, sur le succès du e-village, espace gratuit d’une capacité de 15 000 personnes. L’événement à, certes, un prix : 10 millions d’euros. La construction de la piste est le principal investissement (10% du budget). Mais le financement du ePrix de Paris est totalement issu d’organismes privés.
Pierre Moreau se peinture-t-il dans le coin avec l’hydrogène ?; Bloomberg prédit la parité pour les VÉs en 2024; Le silence des poulets… électriques : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture !
Contribution : Daniel Rochefort
(Merci Serge Bolduc pour les suggestions)
Le championnat Electric GT, la première série GT 100% zéro émission au monde, annonce que sa série de 10 courses débutera avec un programme double au circuit Paul Ricard, en France, du 25 au 26 novembre 2017.
Ce sera la première course compétitive pour la Tesla Model S P100D de EGT, en attente de l'approbation de la FIA. Le championnat se poursuivra ensuite en janvier dans un circuit à déterminer, puis au Portugal (mars), en Italie (avril), en Allemagne (mai) en Belgique (juin), aux Pays-Bas (juillet) et au Royaume-Uni (septembre), avant de finir en Espagne (octobre). Chaque tournoi de ce « Grand prix électrique » sera un événement d'une journée composé de deux courses, où la grille de départ de la première course sera décidée lors d'une séance de qualification de 60 minutes. Alors qu’on promet beaucoup d'action à la fois sur et à l’extérieur de la piste, l'événement d'ouverture s’étendra sur un long week-end qui célébrera la technologie, la durabilité et l'innovation et marquera le début de « The Age of Light », un terme utilisé par l'organisation pour décrire la nouvelle ère de l'énergie dans laquelle nous entrons. Les dates du reste du championnat doivent être confirmées au cours des prochains mois, car la P100D est toujours en développement et les préparatifs de la campagne inaugurale entrent en phase finale. Le PDG du championnat, Mark Gemmell, a déclaré: « Nous sommes très heureux que le circuit Paul Ricard accueille les deux premiers événements de notre Grand Prix électrique en novembre. Ils ont démontré un énorme enthousiasme pour le championnat et ce sera un festival fantastique pour encourager la durabilité, ce que les amateurs apprécieront certainement. Nous travaillons sur le calendrier officiel pour le reste des courses et nous sommes confiants de le finaliser au cours des prochains mois. » Première saison 2017 Du 25 au 26 novembre - France - Circuit Paul Ricard (Rondes 1 et 2) 2018 Janvier - à confirmer Mars - Portugal Avril - Italie Mai - Allemagne Juin - Belgique Juillet - Pays-Bas Septembre - Royaume-Uni Octobre - Espagne Source : Motorsport.com et InsideEVs Contribution : Peggy Bédard
NDLR : Nous avons fait un entrevue avec Lionel Suissa dans notre baladodiffusion "Silence, on roule". à l'épisode # 5. L'entrevue se situe 11 min. 40 sec. De plus, Lionel alimentera un blog dédié au projet sur notre site web ! à suivre.
Le canadien Lionel Suissa fait partie d’un groupe d'artistes de la ville française de Perpignan qui mélange l'art, l'Internet et le développement durable. Passionné par les VÉs et très préoccupé par les problèmes de changement climatique, il a imaginé ce grand voyage afin de promouvoir l'électromobilité en Europe.
« La jeune génération, celle qui lance les tendances, n'a pas encore embrassé la révolution de la mobilité électrique comme elle l’a fait avec Internet ou les téléphones intelligents. Même si la protection de l'environnement est l'une de leurs principales préoccupations, les milléniaux sont indécis et mal informés en ce qui concerne les véhicules électriques », explique Lionel, « c'est de là qu’est venue l’idée de l’Electrip. » Sa première mission: convertir sa camionnette Nissan e-NV200 100% électrique en campeur. Lionel a installé un lit superposé dans le compartiment à bagages à l'arrière avec des boîtes en bois en dessous pour le stockage et une table de cuisine improvisée. Après avoir collé une couverture de laine de mouton partout pour un isolement maximal lors du temps froid anticipé au nord, et installé différents câbles de courant alternatif local pour la nuit, la camionnette était prête.
Sa deuxième mission: trouver des commanditaires. Le dynamique jeune homme a commencé à contacter différents intervenants à la recherche de sympathisants partageant la même philosophie et a trouvé des solutions pour la recharge dans chacun des huit pays que l'équipe traversera : l’Espagne (Nissan Espagne), la France (Sodetrel, Freshmile), la Belgique, les Pays-Bas, l’Allemagne (PlugSurfing), le Danemark, la Suède et la Norvège (Fortum et CLEVER). Ces opérateurs de points de charge et gestionnaires de réseau de charge ont accepté de soutenir le grand projet de Lionel et accordé la recharge gratuite en cours de route. Se sont aussi engagé Colas, fournisseur français de la surface routière photovoltaïque WattWay, Leaf France Café, une association de fans du VÉ de Nissan à Lyon, et ChargeMap, un important fournisseur français d'informations sur l’emplacement des chargeurs.
Encouragés par le nombre croissant de sympathisants, Lionel et son copilote, l'artiste catalan Sainte.e, ont l'intention de conduire environ 250 km par jour, effectuant une recharge rapide deux fois par jour et un chargement standard pendant la nuit. Ils rapporteront leur voyage dans leur blogue tout au long de leur aventure et organiseront de petits événements dans les endroits qu'ils visiteront. Le 2 mai, l'équipe se dirigera vers le cap Nord, en passant par la route solaire de Tourouvre, en France, à partir de l'usine de Nissan à Barcelone, lieu de naissance de sa camionnette e-NV200. Elle reviendra ensuite à Barcelone à la mi-juin, en se chargeant dans les différents points de recharge rapide sur la route, y compris ceux financés par les projets RTE-T et CEF de l'Union européenne. Lionel estime que la jeune génération serait davantage intéressée par le mouvement de l'électromobilité si elle avait accès à une communication plus innovante. « Durant tout le voyage, nous rassemblerons des témoignages de propriétaires heureux de la technologie liée à la mobilité électrique. Ces témoignages seront présentés sous forme de photos ou de portraits vidéo et partagés sur les réseaux sociaux. Nous espérons que ce type de « facteur plaisir » permettra d'influencer les jeunes esprits. » Les détails du voyage restent à finaliser et l'équipe recherche toujours d’autres partenaires. Source : CHAdeMO Contribution : Peggy Bédard
Après la Silicon Valley et Tel Aviv, Renault ouvre un troisième Open Innovation Lab appelé « Le Square » à Paris. Ce nouveau laboratoire a pour objectif de définir de nouvelles façons de travailler et d'explorer l'avenir de la mobilité en ouvrant les frontières de l'entreprise et en encourageant la coopération autour de nouveaux types d'organisation d'affaires et d'acteurs de l'écosystème français.
« Renault fabrique des voitures depuis plus de 100 ans », explique Pierrick Cornet, directeur mondial de l’ingénierie avancée. « Mais comme notre industrie évolue très rapidement, nous devons rester à l'avant-garde et innover continuellement en travaillant sur les nouvelles technologies, les voitures connectées et les véhicules électriques, pour définir l'avenir de la mobilité afin de pouvoir offrir à nos clients le meilleur service possible. » Le Square a été conçu comme un véritable laboratoire expérimental, ouvert à son environnement d'affaires et proche des équipes Renault et de l’alliance Renault-Nissan afin de faciliter la prolifération des idées. Géré conjointement par les équipes internes de Renault et des partenaires extérieurs en vue d'atteindre un objectif commun, il contribuera à renforcer la stratégie d'innovation de Renault et de l'alliance. Après la Silicon Valley et Tel Aviv, Renault a choisi la France pour son troisième laboratoire, car le pays compte déjà 228 incubateurs d'entreprises et 49 accélérateurs. La seule région Ile-de-France compte plus de 3 000 start-ups. Par ailleurs, Paris est classée quatrième parmi les capitales mondiales les plus attrayantes pour les investisseurs, qui considèrent Paris propice à la technologie de pointe. Deux autres laboratoires d'innovation Le laboratoire de Tel-Aviv, en Israël, ouvert en juin 2016, a pour but de promouvoir les véhicules électriques et d'encourager la créativité en mettant l'accent sur la mobilité de l'avenir. Il est situé sur le site de la Porter School of Environmental Studies, célèbre université technologique de Tel Aviv, et travaille en particulier sur les thèmes du véhicule électrique, de l’après-vente et de la sécurité Internet. Ce laboratoire d'innovation est le fruit d'une coopération entre Renault, dans le cadre de l'Alliance Renault-Nissan, et de l'Institut d'innovation du transport de Tel-Aviv. Celui situé dans la Silicon Valley aux États-Unis, ouvert en 2011, a été la première initiative d'innovation. Il collabore avec l'écosystème de startups du monde entier et les universités californiennes de Stanford et de Berkeley. Ce laboratoire contribue aux efforts de recherche de l'alliance en conduite autonome, et en particulier au développement de l'intelligence artificielle. Il développe des services connectés innovants en coopération avec les start-ups de la Silicon Valley et explore de nouvelles approches de la mobilité. Open Innovation chez Renault La création de ces Open Innovation Labs s'inscrit dans la stratégie de culture et d'innovation de l'alliance Renault-Nissan : elle permet de cultiver des opportunités d'innovation à partir d'un écosystème ouvert (start-ups, universités, investisseurs) et de l'économie locale (les autorités locales, les consommateurs, le marché). Ces laboratoires regroupent sous un même toit les trois piliers de l'innovation ouverte: mise en commun des connaissances (événements, conférences, groupes de réflexion, rencontres); créativité et méthodes de conception innovantes (Design Thinking, Fablab); ainsi que les leviers de la nouvelle économie (accélérateurs de start-up, méthodes coopératives et ouvertes, et plates-formes). Source : Electric Cars Report Contribution : Peggy Bédard 3 $ le gallon : un chiffre magique, BMW et Nissan s'associent pour construire 174 stations de recharge rapide, de nouveaux camions électriques pour moins qu’un véhicule diesel, et Paris lance un nouveau service de navette autonome et électrique : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Le ministre allemand de l'Environnement choisit une Model S, la première navette électrique autonome des États-Unis, émissions des moteurs diesel : la France cible Renault, l’Angleterre Fiat, et Audi redoublera d’effort en Chine avec 5 nouveaux modèles électriques : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Reconnaissant l'importance de la réduction des émissions de carbone dans le secteur des transports, huit grandes nations - le Canada, la Chine, la France, le Japon, la Norvège, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis - ont signé une déclaration la semaine dernière pour s’engager à augmenter la part des véhicules électriques dans leur flottes gouvernementales respectives et ont appelé d'autres gouvernements à se joindre à eux.
La déclaration a été annoncée lors de la Conférence sur les changements climatiques de Marrakech (COP22) et a été élaborée sous l'égide de l'Initiative ministérielle pour les véhicules électriques et l’énergie propre (CEM-EVI). La déclaration met l'accent sur le renouvellement des flottes gouvernementales et sur des engagements spécifiques et volontaires de ces pays pour accélérer l'introduction de véhicules à faibles émissions. Grâce à cette déclaration, les huit gouvernements signataires jouent un rôle de premier plan dans ce mouvement et soulignent la nécessité d'accélérer la transition vers un transport à faible intensité de carbone. Les émissions de gaz à effet de serre du secteur des transports représentent aujourd'hui près d'un quart des émissions totales. Cette part augmentera considérablement dans les décennies à venir, à moins que d’importantes mesures ne soient adoptées. Pour y arriver, un changement global vers des véhicules à faibles émissions est nécessaire, ainsi que l'adoption de principes plus larges pour favoriser le transport durable. Les engagements volontaires pris par ces pays réduiront les émissions de gaz à effet de serre des flottes et aideront à accélérer la transition vers des véhicules à faibles émissions, conformément aux objectifs de l'Accord de Paris. Les membres de l'Initiative collaboreront pour faciliter le déploiement à l'échelle mondiale de 20 millions de véhicules électriques, incluant des hybrides rechargeables et des modèles à piles à combustible, d'ici 2020. Cette déclaration est également conforme à la Déclaration de Paris sur l'électromobilité, le changement climatique et l’appel à l'action publiée à la COP21 lors de l'Agenda d’actions de Lima - Paris (LPAA), qui précise qu'au moins 20% de tous les véhicules de transport routier (les voitures, les véhicules à 2 et 3 roues, les camions, les autobus et autres) devraient être alimentés électriquement d'ici 2030 pour respecter une voie de moins de 2 degrés. Cette déclaration vise également à encourager les acteurs non étatiques, tels que les villes, les gouvernements régionaux et nationaux, les entreprises, les fédérations sectorielles et autres organisations à accélérer la transition énergétique avec l'introduction de véhicules propres dans leurs flottes, y compris des autobus de transport en commun, des taxis et des flottes municipales et d'entreprises. Source : International Energy Agency Contribution : Peggy Bédard La chef des activités de l’Environnement chez Daimler parle du futur des VÉ, un nouveau prototype de Volkswagen au Mondial de l’automobile de Paris, la série Ford Model E pourrait inclure un multisegment et la nouvelle boutique Tesla est maintenant ouverte à San Francisco : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Renault entend rivaliser avec Autolib en lançant son propre service d’autopartage disponible 24/7 au « Mondial de l'Automobile », en octobre prochain à Paris. Nommé Renault MOBILITY, il est en phase d'essai depuis juin 2016
dans le quartier des affaires de La Défense (banlieue de Paris) et à La Queue-en-Brie (Val-de-Marne). Initié par le biais d'un partenariat avec Renault Bellini (groupe Schumacher), Renault MOBILITY est d'abord et avant tout un moyen de transport sur mesure destiné au grand public et aux entreprises. Deux modèles de véhicules équipés de moteurs thermiques et un modèle électrique (ZOE) seront offerts. Le fonctionnement Selon le porte-parole de l'entreprise, « Renault MOBILITY proposera un véhicule Renault ou d’une autre marque, facilement accessible et disponible à tout moment. L'objectif est de répondre à tous les besoins de mobilité avec des solutions flexibles, adaptées et au meilleur coût. » Les utilisateurs doivent d’abord s’enregistrer gratuitement sur le site de Renault MOBILITY. Ils doivent ensuite télécharger une application gratuite compatible avec les téléphones intelligents Apple et Android. L'application gratuite permet aux utilisateurs de déverrouiller les portes du véhicule choisi, et de le rapporter à son emplacement initial. Pour le moment, le service sera déployé dans les zones urbaines, mais il devrait aussi être mis en place rapidement dans les zones rurales. L’autopartage : une stratégie pour diversifier ses activités Renault est bien positionné sur le segment des véhicules électriques avec sa ZOE, qui est l'un des modèles les plus vendus en France en 2015. Avec Renault MOBILITY, la compagnie fait un choix logique pour donner aux utilisateurs et aux entreprises la possibilité de mobilité écologique. Elle en profite pour étendre l'utilisation de la voiture Renault. L’autopartage est considéré comme un moyen d'optimiser les déplacements et ce service attire les utilisateurs, car ils peuvent voyager en partageant les coûts de transport. Un service d’autopartage déployé au Danemark L'automne prochain, le service sera lancé à Copenhague en partenariat avec l'opérateur danois Green Mobility. La marque française lancera une offre 100% électrique et offrira 450 véhicules ZOE dans la capitale du Danemark. Il pourrait ensuite s’étendre à d'autres pays comme la Norvège et la Suède, puisque la demande pour les services d'autopartage demeure élevée. Source : Technologic Vehicles Contribution : Peggy Bédard Des nouvelles du coffre de la Tesla Model 3, une force de police surprenante ajoute des VÉ à sa flotte, aperçu de la mise à jour 8.0 de Tesla, Bluecar sera offert à Singapour et UberGREEN s’associe à BMW et Nissan en Afrique du Sud : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Nissan proposera le stockage d'énergie avec des batteries recyclées de véhicules électriques10/7/2016 Nissan recyclera des batteries pour stocker de l’énergie renouvelable dans un centre de données français. La compagnie a fait un gros effort environnemental récemment, elle s’est tournée vers les énergies renouvelables dans son usine de Sunderland et étudie des moyens pour récupérer les batteries usagées de véhicules électriques. Dans ce cas-ci, le géant de l'automobile a fait équipe avec la société de gestion d'énergie Eaton pour proposer un système de stockage d'énergie au centre de données de Webaxys, offrant une seconde vie aux batteries de LEAF qui l'alimenteront.
Selon Nissan, entre 1,5% et 2% de l'électricité mondiale est consommé par les centres de données. C'est aussi un pourcentage qui augmente chaque année. Malheureusement, il n’est pas facile de faire rouler des centres de données de manière stable au moyen des énergies renouvelables, car ils sont incroyablement sensibles aux pannes. Le nouveau système Nissan va agir comme un système de stockage d'énergie pour les énergies renouvelables, ouvrant la porte à son adoption plus large, à la fois dans le nouveau centre de données de Webaxys, un éco-parc situé à Saint-Romain de Colbosc, en Normandie, et bien au-delà. Selon Gareth Dunsmore, directeur des véhicules électriques chez Nissan, « ce projet marque un moment historique important pour les centres de données dans leur quête pour devenir autonome en énergie dans un avenir rapproché. » En combinant leurs expertises respectives, Nissan et Eaton espèrent donc démontrer que la gestion de l'énergie d’un centre de données peut être stable, durable et rentable dans un avenir proche. Source : Gizmag Contribution : Peggy Bédard
L'alliance Renault-Nissan a partagé sa vision pour la croissance du marché des véhicules électriques en France. Plus de 22 000 voitures tout-électriques et plusieurs milliers d’hybrides rechargeables ont été immatriculés en 2015 (voir le rapport détaillé).
La France étendra son réseau de recharge avec plus de 10 000 stations prêtes à être installées. Pour tirer parti des ventes de voitures électriques, le gouvernement français a mis en place de généreuses incitations à l’achat de véhicules rechargeables, en particulier les modèles purement électriques fabriqués par des sociétés locales (Renault, PSA et Bolloré). Une incitation de 6300 € (9 600$ CAD) pour acheter un VEB, combinée à une incitation de 3700 € (5 600$ CAD) pour la ferraille de vieux modèles diesel rendra l'achat à près de 10 000 € (près de 15 000 $ CAD) moins cher. « Les ventes de véhicules électriques en France accélèrent grâce à diverses initiatives prises par les secteurs publics et privés. Par exemple, le projet Corri-Door, qui est cofinancé par la Commission européenne, vise à installer 200 stations de recharge rapide sur les principales autoroutes françaises, ou une station tous les 80 km. Cela fera de la France l'un des pays les plus branché dans le monde. Regardez la vidéo pour en savoir plus sur la façon dont les autorités et les entreprises françaises sont sensibilisées à la nécessité de formes plus durables de mobilité. » Plus de 10 000 points de recharge publics de véhicules électriques disponibles en France.25/11/2015 La France continue d'étendre le maillage de son réseau national d'infrastructures de recharge. Le seuil symbolique du 10000ème point de recharge public installé a été franchi. Dans les prochaines années, si l'on fait la somme de tous les projets publics et privés aujourd'hui en cours de déploiement, ce sont pas moins de 38 000 nouveaux emplacements dédiés à la recharge des véhicules électriques qui devraient faire leur apparition. Aujourd'hui 10 161 emplacements de stationnement permettant de brancher un véhicule électrique sont disponibles, soit 1 561 possibilités de plus par rapport au recensement effectué il y a un an en septembre 2014. C'est la preuve que les collectivités et les acteurs privés se mobilisent pour répondre à cet enjeu capital et encourager ainsi les Français à s'équiper d'un véhicule électrique. De nombreux projets de déploiement sur toute la France Les bornes de recharge aujourd'hui disponibles sont principalement situées dans les départements où l'autopartage en véhicule électrique est implanté de longue date. C'est le cas de Paris (2537 points de recharge) et de la petite couronne (2 172 au cumul), du Rhône (501) et de la Gironde (383). Ces collectivités sont néanmoins rejointes par d'autres territoires qui se sont engagés dans une démarche de déploiement d'infrastructures de recharge avec le soutien de l'ADEME. Majoritairement portés par les syndicats d'énergie, les premiers projets financés ont abouti à des installations aujourd'hui accessibles aux usagers. Le nombre d'infrastructures de recharge disponibles pour 100 000 habitants a ainsi fortement progressé en Vendée (178 points de recharge), en Indre-et-Loire (147), en Seine-et-Marne (217) , en Eure-et-Loir (82) ou encore dans les Deux-Sèvres (65). Cela montre bien que le véhicule électrique ne se développe pas seulement dans les grandes agglomérations. Demain plus de 38 000 points de recharge supplémentaires L'investissement dans la constitution d'un réseau national de bornes de recharge ne se limite pas au seul secteur public : les acteurs privés participent eux aussi efficacement à ce maillage. 27% des points de recharge publics sont ainsi situés dans les commerces, particulièrement dans le réseau des concessions Renault et Nissan et les supermarchés Leclerc et Auchan. Ces initiatives seront complétées par des projets d'envergure qui contribueront à renforcer les solutions de recharge pour les véhicules électriques. Le projet Bluelib' du groupe Bolloré prévoit l'installation de 16 000 points de recharge, dont la moitié avant le 31 décembre fin 2016. Ils seront majoritairement implantés dans les centres urbains à raison d'une station tous les 40 km.
Deuxième opérateur de dimension nationale de bornes publiques de recharge, la Compagnie nationale du Rhône aménage un corridor électrique le long de la vallée du Rhône qui comportera un total de 52 points de recharge d'ici fin mars 2017. Enfin le Groupe EDF, à travers sa filiale Sodetrel, a déjà installé 70 des 200 points de recharge rapide du projet Corri-Door, sur les axes principaux des réseaux autoroutiers du groupe SANEF APRR et Vinci Autoroutes. Grâce aux investissements de l'Etat, des collectivités territoriales et du secteur privé, ce sont plus de 38 000 points de recharge publics qui devraient être installés en France d'ici 2017. L'ensemble de ces initiatives permettra à la fois d'assurer la recharge du quotidien et de répondre aux besoins de déplacement des utilisateurs de véhicules électriques. Source : AVERE - France Contribution : Martin Archambault Nouvelle poussée de la voiture électrique sur le marché automobile français en octobre 201524/11/2015 Le marché de la voiture électrique signe en octobre son meilleur mois de cette année 2015 en termes de pénétration sur le marché de l’automobile. En progression de 63% par rapport à 2014, les 1 757 immatriculations de voitures électriques particulières enregistrées représentent en effet 1,09% du segment. Le marché du véhicule électrique poursuit sa montée en charge depuis l'entrée en vigueur du superbonus en avril dernier, en totalisant en octobre 2015 2 177 immatriculations, soit une progression de 45% par rapport à octobre 2014 (1 502 immatriculations). Avec 17 060 véhicules électriques immatriculés depuis le début de l'année contre 11 551 en 2014 entre janvier et octobre, le marché reste sur un rythme de croissance élevé de 48%. Des résultats qui devraient encore augmenter au fil des mois. Le Gouvernement prévoit en effet d'élargir le dispositif de prime à la conversion en y intégrant les automobilistes qui abandonnent un vieux véhicule diesel de plus de 10 ans - contre 15 aujourd'hui. Selon le CCFA, cette extension permettrait d'englober 3,5 millions de véhicules particuliers supplémentaires. La mesure s'annonce ainsi très positive en rendant l'électromobilité plus accessible à de nombreux ménages. Plus de 60 000 véhicules électriques en circulation en France Le segment de la voiture électrique particulière compte 1 757 immatriculations en octobre 2015 et progresse de 63% par rapport à octobre 2014 (1 077 immatriculations). Renault garde sa position de leader avec l'enregistrement de 1 022 nouvelles ZOE ce mois-ci. La citadine électrique continue de dominer les ventes avec 58% de parts de marché. La Bolloré Bluecar, avec ses déclinaisons Bluesummer et Blueutility, conserve sa deuxième position acquise en septembre, en cumulant 202 unités sur le mois. Elle reste ainsi devant la Nissan LEAF (184 immatriculations) et la Peugeot Ion (100) dont l'offre à prix réduits a su attirer de nombreux clients depuis juin 2015. La Tesla Model S (56), la Citroën C-Zéro (54) et le Kia Soul EV (50) marquent également une augmentation significative de leurs immatriculations par rapport à octobre 2014, ce qui démontre que la vigueur du marché profite à presque tous les constructeurs automobile. A noter par ailleurs les deux premières immatriculations des véhicules électriques chinois BYD E6 sur le sol français. Entre janvier et octobre 2015, la France enregistre 13 536 voitures électriques particulières, contre 8 006 en 2014, soit une progression de 69%. On estime actuellement le nombre de véhicules électriques en circulation en France à plus de 60 000, auquel on peut ajouter environ 8 000 autres de la génération antérieure à 2010. Le segment de l'utilitaire électrique se maintient Le segment de l'utilitaire électrique se maintient au même niveau que l'an passé avec 420 véhicules immatriculés en octobre 2015 contre 425 en octobre 2014. En légère baisse ce mois-ci, le Renault Kangoo ZE reste en tête avec 237 unités enregistrées. Arrivent ensuite les modèles Goupil G3 et G7 (47 immatriculations), les Citroën Berlingo et C-Zéro (45) et les versions utilitaires de la Renault ZOE (31). Au total, 3 524 véhicules utilitaires électriques ont été immatriculés depuis le début de l'année, un peu moins que les 3 545 unités écoulées en 2014 sur la même période. Source : AVERE - France Contribution : Martin Archambault Source: Mobilité durable Contribution: Dany Labrecque Le président de la République, François Hollande, a également annoncé que, d'ici à 2017, le territoire français serait maillé d'une borne de recharge tous les 50 kilomètres. Les autoroutes ne sont pas en reste, le consortium Corri-Door (EDF, Renault, Nissan, BMW et Volkswagen) prévoit d'y installer 200 bornes de charge rapide. Et d'ici fin 2015, 115 bornes devraient être en service sur les aires de repos du réseau autoroutier. Les opérateurs privés apportent leur pierre à l'édifice et notamment Bolloré qui promet 16 000 bornes semi-rapides d'ici 4 ans. Du côté des constructeurs, Renault et Nissan mettent à disposition leurs installations dans leurs concessions, Tesla et Nissan installent des chargeurs rapides dans les lieux publics. L’État français semble bien décidé à mettre en place un réseau de recharge national pour les véhicules électriques. En 2014, sur les 10 000 points de recharge publics, plus de 70% appartenaient à des services d'autopartage et n'étaient pas n'était pas accessibles à tous les véhicules électriques. Pour accélérer la couverture territoriale et l'ouverture des bornes à tous les automobilistes, le projet de loi transition énergétique pour la croissance verte prévoit d'équiper en bornes tous les nouveaux espaces de stationnement (parkings et centres commerciaux). Le but étant d'atteindre les 7 millions de points de recharge en 2030. La municipalité octroie aux petites entreprises une subvention qui va de 3 000 à 9 000 € en contrepartie du remplacement d'un vieux véhicule diesel ou essence. Dans le cadre du plan pour la qualité de l'air, la Mairie de Paris aide les professionnels à convertir leur vieil utilitaire thermique en un modèle 100% électrique. Annoncée au cours du mois de mars, la mesure vient d'être validée en conseil de région. Elle s'adresse aux petites entreprises de la capitale et de la petite couronne. Une manière de les encourager à se doter de véhicules plus vertueux avant l'entrée en vigueur des mesures de restriction de circulation. Les personnes ciblées doivent être responsables d'une très petite entreprise, et possesseusr d'un véhicule utilitaire léger, d'un fourgon ou d'un poids lourd :
A combien s'élève l'aide ? Pour l'achat d'un véhicule électriqu une subvention de 15% du montant du véhicule, hors options. Cette est limitée à :
Voilà un programme qui pourrait faire l'envie de bien des petites PME au Québec, n'est-ce pas ? Source : AVERE France
Contributeur : Martin Archambault |
Abonnez-vous à notre infolettre hebdomadaire
Use a valid e-mail address Votre inscription est confirmée.
xhr
100
NOS PARTENAIRES |