Le Ministère des Transports de l'Ontario (MTO) a mis en ligne une carte interactive où on peut vérifier l'avancement des travaux d'installation de bornes de recharge pour VÉ du programme EVCO.
Cette carte interactive montre les sites à venir, et les sites en fonction. Ce programme qui possède une enveloppe de 20M$ fut octroyé par le MTO pour l'installation de 280 chargeurs 240V et 213 bornes rapides. Jusqu'à présent, peu de bornes sont en fonction. Il est important de rappeler que les soumissionnaires gagnants à l'appel d'offre ont jusqu'au 31 mars 2017 pour remplir les conditions du contrat.
" The plot thickens... "
KSI Koben Systems, le gagnant du contrat majeur de 11M$ d'EVCO, semblerait être une compagnie peu fiable. La soeur du PDG Vic Burconak ne fait pas d'éloges pour son frangin sur les réseaux sociaux, l'accusant de complot financier, et mentionnant qu'il ne possède pas de véhicule électrique mais bien un Dodge RAM! Nous avons donc contacté cette dame, Kristyn Kelly, pour plus de détails; elle nous a répondu avec franchise sur les histoires familiales qui ont terni sa relation . L'information sur les espoirs d'acteur de M. Burconak est vérifiable. «Koben Systems are a group of amateurs, as a matter of fact, Koben Systems is a sole entity–I know this because Vic Burconak, the owner, is my brother with whom I’ve ceased all contact with following my/our mothers death from pancreatic cancer. Vic, together with his wife, took advantage of my mothers ill health and naivete and convinced her to sign all assets over to Vic stating that, if she didn’t and the will went through probate, that the gov’t would take 90% of everything. For God’s sake he doesn’t even own an electric vehicle, his current method of transportation is giant gas-guzzling Dodge Ram pickup. Google the owners name–Vic Burconak–and you will see that his name links more to Internet Movie Data Base and other acting related sites than his current business of installing EV charging systems. He spent almost nine years trying to become an actor while his wife brought home the pay cheque. This also contradicts his LinkedIn work history.» Une autre source a récemment fait état de la situation concernant la soumission de KSI qui fut considérée anormalement basse par différentes entreprises, alors que depuis la fin de l'été KSI serait à la recherche de capital supplémentaire afin de compléter le projet. « As we speak they are trying to gather up more funds to try and meet the amount needed to actually put them in. [...]they were out 6-8 million. » Un journaliste du Toronto Star s'est intéressé à la situation, mais il n'y a pas eu de suite. C'est donc une saga à suivre de près! Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Commentaires
Ces dernières semaines se sont succédé les actes d’allégeance à l’électrique, en particulier de la part des constructeurs allemands qui, jusqu’alors, apparaissaient plutôt réticents. Il faut croire que, désormais, tout le monde y croit dur comme fer. Le plus vibrant des plaidoyers est venu de Volkswagen, touché par la grâce de la fée électricité après avoir été atteint de plein fouet par le scandale des moteurs diesel truqués. Selon Matthias Müller, le nouveau patron du groupe, le « dieselgate » constitue « un catalyseur ». La stratégie Volkswagen à l’horizon 2025, présentée mi-juin, fera donc la part belle aux véhicules électriques, avec pas moins de trente modèles destinés à représenter jusqu’à 25 % des ventes.
Le groupe Daimler (Mercedes, Smart) n’est pas en reste. Il prépare un plan stratégique basé sur « l’électromobilité », qui pourrait prévoir la création d’une marque consacrée aux modèles « zéro émission ». Mercedes dévoilera au Mondial de l’automobile de Paris (du 1er au 16 octobre) une voiture tout-électrique dont l’autonomie atteindra 500 km. Une réponse à Tesla mais aussi à Porsche, qui s’est fraîchement converti, et à BMW, alors que l’Allemagne a institué, le 2 juillet, un système de primes (4 000 euros) en faveur des modèles électriques.
Electromania
De son côté, PSA Peugeot-Citroën vient de signer deux accords avec son actionnaire chinois Dongfeng, prévoyant la fabrication, d’ici trois ans, de modèles conçus en commun. Ford, soucieux de ne pas laisser le champ libre à la Chevrolet Bolt, que General Motors s’apprête à lancer, vient de faire savoir qu’un modèle électrique de grande diffusion est en approche, sans doute pour 2019. Quant aux marques qui se sont positionnées de longue date sur ce marché, elles continuent de peaufiner leur gamme. Renault améliore régulièrement l’autonomie de la Zoé, qui, de 200 km aujourd’hui, devrait être portée à 300 km d’ici à 2020. Nouveau système de recharge pour WiTricity, des Juke et Qashqai électriques, association entre Tesla et un groupe de restaurants, partenariat à venir entre BMW, Intel et Mobileye et test d’une autoroute électrique en Suède : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Vous voulez sensibiliser vos collègues, vos amis et votre famille à l'électromobilité? Aidez-nous à rendre cette vidéo virale, pour les intéresser à en apprendre plus sur les véhicules électriques. Partagez-la sur vos réseaux sociaux, et aidez-nous à propager la bonne nouvelle!
Nous espérons pouvoir faire d'autres capsules de ce genre dans le futur avec des sujets plus précis si on remarque un intérêt marqué pour ce type de communication. Nous espérons beaucoup que vous allez l'aimer, c'est un gros travail d'accomplir ce type de production - il y a plusieurs heures de boulot qui ont été investies dans cette capsule de 60 secondes... Une autre réalisation électrisante de l'AVÉQ! Les États-Unis peuvent maintenant demander le record du nombre de voitures électriques réunies en un seul endroit. Un juge du Livre des Records Guinness du Monde a certifié samedi que 507 voitures électriques ont été réunies lors d'un événement à Cupertino, en Californie, en battant le précédent record lors d'un événement en Allemagne plus tôt cette année. Seulement les voitures entièrement électriques ont été comptées dans le total. Alors qu'il y avait de nombreuses voitures hybrides branchables à portée de main, l'enregistrement ne s'applique qu'aux véhicules qui utilisent l'électricité comme seule source d'énergie. Même les vélos électriques ont été omis du décompte, parce qu'ils ont une source d'énergie secondaire sous la forme de pédales. Il y avait encore une grande variété de véhicules présents, notamment la Nissan Leaf, Tesla Model S, Toyota RAV4 EV, et Kia Soul EV. ![]() Aussi présente au rassemblement, Stella, une "voiture à énergie positive" à l'énergie solaire fabriqué par des étudiants de l'Université de technologie d'Eindhoven aux Pays-Bas. Selon ses créateurs, ce véhicule expérimental peut absorber deux fois plus d'énergie grâce à ses panneaux solaires que l'énergie requise pour rouler par jour. L'événement faisait partie de la "National Drive Electric Week" où une série d'événements à l'échelle nationale faisait la promotion des voitures électriques. Organisée par le groupe de défense des droits "Plug In America" de concert avec d'autres organisations nationales comme le "Sierra Club" et "Electric Auto Association", la semaine nationale Drive Electric Week comprenait 152 événements dans 35 États, ainsi qu'au Canada, l'Italie et les Pays-Bas. Le total de 507 voitures atteint surpasse les 481 voitures rassemblées à un rallye à Stuttgartt, Allemagne , plus tôt cette année. Source : greencarreports.com
Contribution : Richard Lemelin, membre AVÉQ ![]() En Irlande, le fournisseur d’énergie ESB vient d’annoncer avoir terminé le déploiement de son réseau national de bornes de recharge rapide installé dans le cadre du projet pilote TEN-T (Trans-European Transport Network) cofinancé par la Commission européenne. Au total, 46 points de charge rapide (41 en République d’Irlande et 5 en Irlande du Nord) ont été installés à travers l’Irlande grâce à ce programme européen. Ceux-ci viennent s’ajouter aux bornes rapides déjà installées à l’initiative du gouvernement Irlandais et portent à 1200 le nombre total de points de charge disponibles sur l’île, toutes puissances confondues. Déployés le long des principaux axes routiers, ces chargeurs rapides permettent de relier les principales villes du pays. D’autres bornes sont également situées à proximité de différents centres commerciaux et stations-service comme Tesco, Topaz ou AppleGreen. Une dizaine de chargeurs AC a également été installé dans les gares ferroviaires gérées par Iarnród Éireann. ![]() UNE BORNE RAPIDE TOUS LES 60 KM Grâce à l’extension du réseau, les utilisateurs peuvent désormais compter sur une borne rapide tous les 60 km. Multistandards, ces nouveaux chargeurs répondent aux normes Combo, CHAdeMo et AC et permettent de récupérer 80 % d’énergie en un peu plus de 25 minutes. « La réalisation de ce projet est une grande réussite. Un énorme travail a été réalisé pour fournir des points de charge rapide dans toute l’Irlande et ce réseau national va encourager les gens à passer à l’électrique »explique John McSweeney, Directeur de l’innovation d’ESB, chef d’orchestre du déploiement irlandais. Afin de faciliter leur transition vers l’électrique, les irlandais peuvent compter sur une aide à l’acquisition de 5.000 €. Et l’objectif de la République d’Irlande est ambitieux puisque le gouvernement souhaite que le véhicule électrique représente 10 % des véhicules en circulation (soit 230.000 VE) d’ici à 2020… Source: AVEM Collaboration: Dany Labrecque, membre AVÉQ ![]() La Chine envisage de fournir jusqu'à 100 milliards de yuans (16 milliards de dollars US) en aide gouvernementale pour construire des installations de recharge des véhicules électriques et pour stimuler la demande des voitures propres, selon deux personnes familières avec le sujet. La politique sera annoncée prochainement, a déclaré les personnes, qui ont demandé à ne pas être nommées parce que les discussions sont privées. Les gens ont refusé de fournir des précisions sur le plan, tels que la durée du programme ou si les chargeurs seraient compatibles avec les voitures fabriquées par Tesla Motors Inc. (TSLA). L'augmentation du financement de l'Etat serait un fort incitatif pour les constructeurs automobiles qui doivent répondre aux préoccupations des consommateurs sur le prix, la fiabilité et la commodité des véhicules électriques. Il permettrait aussi d'appuyer les efforts déployés par la Chine, le plus grand émetteur de carbone au monde, à la lutte contre la pollution ainsi que de développer une industrie locale de VE, qui comprend BYD Co. (1211) et Kandi Technologies Group Inc. (KNDI). ... ![]() Plus de compétition Parmi les initiatives récentes du gouvernement, la Chine va exempter les véhicules aux ‘énergies nouvelles’ – définies comme les voitures électriques, hybrides rechargeables et les véhicules à pile à combustible - d'une taxe à l'achat à partir du mois prochain, et a ordonné aux ministères d’acheter ces véhicules pour leur flottes officielles. Soutenir une industrie stratégique et émergentes comme les véhicules à énergies nouvelles est une situation "gagnant-gagnant" pour le développement industriel et la protection de l'environnement, a déclaré le mois dernier le gouvernement central dans le communiqué annonçant la levée de la taxe à l'achat. Développer des voitures à ‘énergies nouvelles’ est important pour stimuler l'innovation, la promotion des économies d'énergie et la réduction des émissions, et aidera à stimuler la demande intérieure et de ouvrira des nouvelles avenues de croissance, selon le communiqué. Augmenter les avantages Le mois dernier, le gouvernement central de Chine a fixé un objectif pour les voitures électriques de composer au moins 30 pour cent des achats de véhicules du gouvernement d'ici 2016. Le pourcentage sera augmenté après 2016, lorsque les provinces locales sont tenues de respecter cette cible. Plus tôt ce mois-ci, alors que les ventes de véhicules électriques en Chine sont sous les objectifs gouvernementaux, BYD, le constructeur automobile électrique partiellement détenu par Berkshire Hathaway Inc. de Warren Buffett (BRK / B), a cité les politiques gouvernementales favorables comme raison pour aider à multiplier par 6 aux ventes de VE au cours du premier semestre de l’année. ![]() Le gouvernement a récemment adopté des politiques avantageuses "sans précédent" pour les VE, poussées par des préoccupations diverses, incluant la sécurité énergétique et la pollution, à dit le président de BYD Wang Chuanfu. Il ya aussi beaucoup d'obstacles, parmi lesquels l'infrastructure de recharge, a-t-il dit lors d'un briefing à Shenzhen pour dévoiler les plans pour Denza, la marque de voiture électrique commun entre BYD et Daimler AG, dont les ventes commenceront le mois prochain à Beijing, Shanghai et Shenzhen. Bayerische Motoren Werke AG (BMW), qui prévoit de vendre sa voiture de ville, la i3 électrique en Chine cette année, a prédit que le pays deviendra le plus grand marché du monde pour les véhicules électriques d’ici les cinq prochaines années, au fur et à mesure que l’infrastructure de recharge se construit et que le gouvernement favorise les voitures propres, selon Karsten Engel, la tête dirigeante de BMW en Chine. Source: Bloomberg Collaboration: Dany Labrecque, membre AVEQ ![]() En Allemagne, une nouvelle série de mesures viennent d’être annoncées pour donner un coup de pouce aux ventes de voitures électriques. Une façon pour le gouvernement allemand de maintenir l’objectif fixé en 2009 d’obtenir un million de voitures électriques sur les routes en 2020. Si les constructeurs nationaux sont désormais bien présents sur le marché, les ventes de VE demeurent encore faibles. Au cours du premier semestre 2014, 4188 voitures électriques et 1575 véhicules hybrides rechargeables ont été immatriculés en Allemagne, soit un total de 5763 véhicules électriques. En taux de pénétration, l’Allemagne reste en retard par rapport aux autres pays européens puisque les VE n’ont représentés que 0.37 % des immatriculations de voitures particulières au premier semestre. DES AVANTAGES À L’USAGE PLUTÔT QUE DES AIDES À L’ACHAT Hormis l’exonération de la vignette annuelle, le gouvernement reste opposé à toute aide financière. A la place, le gouvernement souhaite développer les avantages à l’usage et veut s’appuyer sur les collectivités en leur permettant d’ouvrir les voies de bus aux conducteurs de voitures électriques, de leur réserver des places de stationnement près des bornes de rechargement, ou de profiter d’un stationnement gratuit. Des propositions accueillies de façon mitigées par les collectivités. «De nombreuses villes sont sceptiques» sur le droit au stationnement gratuit et l’utilisation des voies de bus, explique à l’AFP Stephan Articus, président de l’Association des villes allemandes. Lancée en 2010 par le gouvernement, la Plateforme Nationale pour l’Électro-mobilité semble également sceptique quant aux propositions annoncés et préconise, entre autre, la mise en place d’exonérations fiscales pour les entreprises ajoutant une voiture électrique à leur flotte. Pour la députée Valerie Wilms, interrogée par l’AFP, l’absence d’aides financières proviendrait du retard des constructeurs allemands dans l’électrique. Selon elle, le gouvernement « ne veut pas favoriser les Renault et les Tesla au détriment des grosses Mercedes »… Source : AFP, AVEM Contribution : Dany Labrecque, membre AVEQ
Ce n'est pas le premier directeur régional qui quitte Sun Country Highway au Québec, alors qu'il y aurait eu un autre auparavant. Un position est donc vacante pour un d'entre-vous qui cherchez un emploi à fort défi dans cette industrie très compétitive. Puisqu'il n'y a plus d'employé au Québec, il n'y a donc plus aucune activité, ni aucun service local; le tout est repris par les autres employés de SCH pour le moment.
Cela met aussi en péril un possible déploiement de bornes de recharge rapide à courant continu (BRCC) par SCH au Québec. Lors de récentes conversations avec le PDG de Sun Country Highway, Kent Rathwell, l'emphase fut placée sur l'expansion prochaine de la compagnie dans d'autres pays. Il semblerait que beaucoup de temps et d'énergie y est consacré, ce qui pourrait compromettre le futur de cette compagnie dans la province pour son réseau de borne, alors qu'on préférerait se concentrer sur la distribution des camionnettes à prolongateur d'autonomie VIA MOTORS. Bien que des entreprises comme ELMEC et DOC BORNÉ semblent avoir repris le flambeau, elles n'offrent tout simplement pas de bornes à haut ampérage qui sont si appréciées par les propriétaires de Tesla. Avec l'augmentation de la capacité des batteries de voitures électriques dans les prochaines années, les bornes de recharge publiques à 30 ampères n'auront plus le même attrait sauf pour celles qui peuvent offrir un ampérage plus élevé comme les SCH. Pour le moment, l'offre d'un rabais de 10% sur l'achat d'une borne de recharge domiciliaire pour nos membres titulaires d'une carte est encore valable. ![]() Une bonne nouvelle qui se doit d'être partagée: le fameux corridor entre Lévis et Rivière-du-Loup de 176 km qui ne possédait aucune borne publique, ce trou béant, cette plaie horrible dans notre réseau de recharge pour VÉ (!!), le Docteur l'a colmaté. Oui, seul un vrai Docteur aurait pû diagnostiquer et procurer ce traitement miraculeux pour soigner cet ulcère... Le Docteur Électrique de La Pocatière est notre sauveur à tous: grâce à lui, il est maintenant possible aux propriétaires de véhicules 100% électriques de parcourir cette section de notre province sans difficulté. Auparavant, grâce à l'amabilité de notre membre et distingué électromobiliste Serge T qui partage sa borne domiciliaire depuis le tout début, il était possible de faire le parcours moyennant un petit arrêt à St-Jean-Port-Joli pour lui rendre visite. Nous sommes plusieurs à s'être rendu à la résidence du sympathique Serge pour lui piquer une petite jasette pendant que notre voiture ou notre moto 100% électrique se chargeait. Il y a maintenant d'autres options si la borne de Serge est occupée (il aime ça d'la visite, on passera le saluer!):
Il semblerait même que si l'achalandage le permet, on pourrait se retrouver avec une borne CHAdeMO à La Poc'! Un gros MERCI DOCTEUR ÉLECTRIQUE, de la part des membres de l'AVÉQ!![]() Faisant suite à notre article discutant de la fin de l'appel d'offre du MTQ pour les entreprises concernant l'installation des bornes rapides à courant continu (BRCC) sur l'autoroute 40, nous vous présentons maintenant un aperçu des plans et devis des stations qui seront aménagées sur les sites indiqués. Ces BRCC permettront aux véhicules électriques dotés d'un port de recharge rapide de se prévaloir d'une recharge de leur batterie jusqu'à 80% en moins de 30 minutes (45-60 minutes en conditions hivernales extrêmes) Quel type de bornes? Des bornes rapides avec le protocole CHAdeMO & Combo CCS, afin d'être utiles pour les voitures présentement sur le marché, et les futurs modèles. Les bornes niveau 2 seront les SmartTWO de 30A. Quand? Fin août 2014 Quel tarif pour les BRCC? Pas encore déterminé, le tarif de la BRCC Boucherville était un prix de lancement. Quels seront les zones possibles de déplacement? Consultez cet article pour de nombreux détails [lien] À noter: tous les emplacements avec des bornes rapides auront aussi des bornes de niveau 2 de 30 ampères. À l'aire de service Baie-Maskinongé, direction est, le positionnement de la BRCC est idéale, parmi les premières places rencontrées sans être trop près de la bâtisse principale. Cliquer sur les photos pour les agrandir
Cliquer sur "Read more" pour la suite de l'article ![]() L’électrification des routes a fait l’objet, au cours des dernières années, de plusieurs initiatives un peu partout dans le monde. Ici, dans la Belle Province, cet objectif est poursuivi par l’entremise de la stratégie d’électrification des transports 2013-2017 mise en place par le gouvernement du Québec. Charles Bombardier, designer industriel et petit-fils d’Armand Bombardier, croit que ce plan d’un peu plus de 515 millions de dollars est un pas dans la bonne direction, mais qu’il nous faut voir encore plus grand pour l’avenir de nos routes. Selon lui, en plus de prévoir l’installation de bornes électriques à l’ensemble du réseau routier de la province, il faudrait aussi délimiter certaines zones en milieu urbain densément peuplé pour que celles-ci soient entièrement réservées à l’utilisation de véhicules électriques. «Cette délimitation aurait pour but de réduire la pollution atmosphérique et sonore dans le centre-ville de la métropole et éventuellement d’autres grandes villes du Québec, au fur et à mesure que le bassin de population augmentera au cours des prochaines années», souligne le principal intéressé. Dépendre de l’électricité La vision de Charles Bombardier inclut des autobus rechargeables par induction, les taxis sans conducteur de Google, un système d’autopartage électrique ainsi qu’une multitude d’autres véhicules dont il a lui-même conçu et publié une liste sur son site web. En ajout aux transports en commun, des véhicules électriques pour le transport de marchandises seraient aussi déployés pour les livraisons effectuées dans le centre-ville. Le développement de cette sphère urbaine électrique devrait se faire de telle sorte que tout soit interrelié grâce, entre autres, à la mise en place de systèmes de paiement de type «paypass» ou encore par l’entremise d’applications mobiles. «Bien entendu, une zone comme celle-ci permettrait non seulement de réduire la pollution en général, mais aussi de consommer l’électricité que nous produisons plutôt que de dépendre des combustibles fossiles qui sont de plus en plus dispendieux.» Utilisateur-payeur Le financement de l’électrification de cet espace urbain devrait surtout provenir du secteur privé, selon M. Bombardier. «Je ne crois pas que l’on soit obligé de mettre toute la responsabilité financière sur les épaules de l’ensemble des contribuables. Il serait préférable selon moi de créer des partenariats avec des entreprises privées, ce qui permettra de mettre en place un système “utilisateur-payeur”.» Dans un avenir rapproché L’implantation d’un tel projet pourrait prendre une quinzaine d’années, le temps de légiférer, de mettre en place un système de financement et de développer le réseau et les véhicules électriques qui y seraient déployés. Cette période donnerait ainsi la chance aux citoyens de se préparer en vue des changements à venir, comme prévoir l’achat d’un véhicule électrique pour ceux et celles qui travaillent dans le centre-ville de Montréal. «Ce projet peut paraître surréaliste, mais nous avons la technologie, les ressources et l’expertise nécessaires pour le mettre au monde, allègue Charles Bombardier. Bien entendu, ça signifie plusieurs changements à faire au sein même de nos comportements et de nos habitudes en tant que citoyens. C’est une transition que nous devrons toutefois réaliser un jour ou l’autre si nous souhaitons trouver une solution de rechange au pétrole et du même coup donner un répit bien mérité à l’environnement.» Source: Autonet ![]() Finalement, l'appel d'offre pour la mise en chantier de l'autoroute électrique A-40 termine ce vendredi saint, ce qui officialisera finalement le début du choix de l'entrepreneur et du fournisseur de bornes 400V. On note que la durée du contrat est de "moins d'un an", ce qui nous rassure un peu! En fait, les informations les plus récentes à cet effet sont que les travaux s'échelonneront une partie de l'été, et s'achèveront à la fin du mois d'août -- bien que nous espérons fort que le tout sera achevé bien avant cette date tardive de la période estivale... Restez branché sur le site de l'AVÉQ pour toutes les informations concernant le déploiement des bornes rapides à courant continu (BRCC) à travers le Québec, l'Ontario, et le Vermont dans les prochains mois. Ce sont ces BRCC qui permettront aux véhicules électriques dotés d'un port de recharge rapide de se prévaloir d'une recharge de leur batterie jusqu'à 80% en moins de 30 minutes. Un des freins à l'adoption des VÉ est leur temps de recharge qui peut varier entre 4 et 8 heures, ce qui signifie que leur autonomie freine beaucoup leur capacité à effectuer de longs trajets. Avec une BRCC, un court arrêt permettant de se dégourdir les jambes offrira au propriétaires de ces voitures du futur de se rendre à destination avec un trajet légèrement plus long, mais à un dixième (1/10) du coût comparativement à un véhicule à l'essence. Tannés de payer $1,50 le litre, et de voir votre plein d'essence frôler les 100$? Joignez-vous à des milliers d'automobilistes Québécois qui ont fait ce choix intelligent, économique et écologique. Avec le déploiement des bornes rapides à travers les autoroutes du Québec, les raisons pour résister à cet achat se dissiperont! ![]() Les véhicules hybrides rechargeables s'avèrent les grands favoris dans la course aux véhicules électriques les plus écologiques et les plus performants, selon la 15e édition de l'enquête annuelle de KPMG sur l'industrie mondiale de l'automobile. Cette enquête de KPMG International dresse un portrait actuel de l'industrie mondiale de l'automobile, et offre un aperçu de ses perspectives d'avenir. L'industrie de l'automobile est en pleine mutation, et plusieurs courants influencent son évolution cette année. L'enquête révèle que l'industrie s'est engagée sur la voie rapide du développement des technologies relatives au groupe motopropulseur, l'une des principales influences façonnant l'industrie à l'heure actuelle. Les changements sont nombreux chez les constructeurs automobiles aussi. La croissance interne gagne de la vitesse, au détriment de la coentreprise et du partenariat. Les constructeurs mettent également l'accent sur le développement des technologies et des solutions de mobilité, et le perfectionnement des moteurs à combustion interne. L'enquête a permis de dégager les tendances suivantes :
Devant les cycles de développement plutôt longs, ces tendances ne s'imposent que progressivement; c'est pourquoi les constructeurs automobiles mettent au point en parallèle un petit moteur à combustion interne, en plus d'investir dans un moteur électrique. Dans ce secteur concurrentiel, l'innovation est un facteur clé de la survie des entreprises. Aussi, ces dernières doivent se démarquer sur le plan technologique, et mettre en place des solutions de mobilité avant-gardistes. CITATIONS « Quand vient le temps de choisir un véhicule, les consommateurs recherchent économie de carburant, sécurité, confort et ergonomie. Il appartient aux constructeurs de créer un véhicule qui répond à ces exigences, en plus de proposer des technologies novatrices et les dernières et meilleures solutions de mobilité. » - Peter Hatges, associé, KPMG, et chef du groupe Automobile canadien, Financement corporatif KPMG inc. « En Amérique du Nord, la fidélité à la marque s'estompe, la majorité des consommateurs optant pour la location ou le financement. Au Canada, un nombre croissant de détaillants offrent plusieurs marques. Cette tendance élargit considérablement la gamme de véhicules disponibles en un même endroit, et favorise la fidélisation des consommateurs. » - Peter Hatges, associé, KPMG, et chef du groupe Automobile canadien, Financement corporatif KPMG inc. L'enquête Mettant en lumière les stratégies gagnantes dans un marché en pleine évolution, l'enquête a été menée en juillet et août 2013 dans 28 pays. Plus de 200 dirigeants du secteur automobile ont été sondés, y compris des constructeurs, des fournisseurs, des concessionnaires, des sociétés de services financiers, des sociétés de location et des fournisseurs de services de communications. Quelque 40 % des répondants viennent d'Europe, du Moyen-Orient et d'Afrique. Près du tiers (35 %) viennent de la région de l'Asie-Pacifique, et le quart (25 %), des Amériques. Tous les participants représentent des sociétés dont le chiffre d'affaires dépasse les 100 millions de dollars américains, et 39 % proviennent d'entreprises dont les produits dépassent dix milliards de dollars américains. ![]() L'AVÉQ a eu plusieurs discussions avec des entreprises privées depuis l'an dernier, ainsi que des multinationales, et un des points majeurs qui revenait régulièrement était: « Comment peut-on se différencier des autres offres de recharge publique pour attirer la clientèle? » Notre réponse fut toujours: une borne rapide à courant continu (BRCC) accompagnée de quelques bornes 240V. Vous deviendrez une référence de la recharge pour de multiples utilisateurs, un incontournable sur leur trajet. On nous a confirmé aujourd'hui qu'un projet était amorcé, et que ce serait phénoménal. On s'attend à ce que l'impact soit si important que le concept développé deviendra un incontournable qui sera repris par tous ceux qui ont l'intention d'attirer la clientèle désirable que représente les électromobilistes (=automobilistes électriques) [lien: loyauté des proprios de VÉ] On commencera avec un projet intégrant du CHAdeMO ainsi que quelques bornes 240V, dans un environnement tape-à-l'oeil qui saura attirer l'attention! Nous ne vous donnerons pas d'autres détails avant quelques mois, soyez donc patients, et faites signer d'autres gens sur la pétition en attendant! ![]() Ah! Les autoroutes électriques! On en rêve ici dans le nord-est de l'Amérique, les bornes rapides à courant continu (BRCC) y sont absentes à part une à Toronto au quartier général de Mitsubishi Canada, et une autre à Boucherville. On sait que l'autoroute électrique devient un facteur-clé dans les ventes de voitures 100% électriques, qui leur donne la capacité de se débarrasser du "cordon ombilical" à la maison, et permet au propriétaire de voyager sans arrêts interminables pour se rendre à destination. Tant qu'il y a des bornes rapides, le trajet continue! Sinon on remarque que le temps de recharge à une borne publique de 240V entre 3-6 heures rebute plusieurs propriétaires de partir en voyage avec leur VÉ. Les dernières nouvelles concernant le premier corridor Montréal-Québec visent la fin du printemps/début été pour sa mise en service. Pour les autres grands axes (A20, A55, A10) des études sont en cours, et le calendrier de déploiement sera connu d'ici à la fin de l'année. Pour plus de détails sur le trajet historique de M. Llewellyn, vous pouvez lire l'article que nous avions publié la semaine dernière [lien] ![]() L’Institut du Transport avancé du Québec (ITAQ) et le Consortium Inno-VÉ vous invitent à participer au Forum ENJEUX ET SOLUTIONS VÉ édition 2014. Cette première édition a pour objectif de stimuler la filière de l’électrification des transports par des ateliers structurés favorisant la coopération entre les industriels, les chercheurs et les donneurs d’ordre. Grâce à un programme varié et une animation dynamique, vous aurez l’occasion de vivre une journée riche en découvertes, en rencontres et en échanges. Date : Jeudi le 13 mars 2014 de 8h30 à 17h Lieu : Cégep de Saint-Jérôme 455, rue Fournier – Saint-Jérôme, (Québec) J7Z 4V2 Programmation préliminaire
Afin de réunir une plus grande diversité d’acteurs du secteur, il est recommandé d’inscrire un maximum de 2 personnes par organisation participante. Les places étant limitées à 150, nous vous invitons à vous inscrire rapidement. Source: Inno-VÉ Avec l'avènement des bornes rapides à courant continu (BRCC) qui supportent les standard CHAdeMO et CCS Combo qui vont apparaître dès ce printemps pour les chanceux propriétaires de Leaf, iMiev, BMW i3 2014, et Spark EV 2015 qui ont pris l'option du port rapide sur leur voiture, il est important de comprendre la couverture d'autonomie que nous permettra ce type de borne.
Ce que nous savons présentement:
À partir d'une borne rapide, l'autonomie à 80% pour ces véhicules devrait être de 120 km en été. Donc pour chaque borne, on peut créer une couverture en toutes directions de cette distance. À noter qu'en périphérie de cette zone, l'option de se recharger pour revenir dans la zone comptera uniquement sur des bornes L2 à 240V, donc un temps de recharge beaucoup plus long: le même qu'à la maison. Il en est de même lorsqu'on sort d'une zone pour entrer dans une autre: la jonction entre les deux devra être faite avec une borne publique à 240V. Dans nos estimés, nous avons été très conservateurs, et affichons les zones avec une couverture de 90 km sur la carte ci-bas. Il est certain que si la borne rapide n'est pas occupée, vous êtes libres de charger un peu plus jusqu'à la limite déterminée par votre voiture et sa température de batterie - une batterie trop chaude risque d'être endommagée par de multiples recharges rapides dans une même journée, le VÉ sait donc quand arrêter la recharge. Aussi, chaque conducteur est différent, et avec un véhicule électrique cette différence peut parfois atteindre 40% d'autonomie, alors qu'avec un véhicule à l'essence, le hypermiler peut réussir en moyenne 20% de plus qu'un autre conducteur avec la même voiture à combustion. Donc la couverture de 90 km peut atteindre 120-130 km avec un conducteur de VÉ qui est plus conservateur dans ses accélérations et sa vitesse moyenne, toujours avec 80% de charge. Ce sont les zones étendues jaunes.
À noter qu'il y a aussi une couverture dans les zones blanches, mais uniquement avec les bornes 240V. Consulter www.plugshare.com pour la couverture complète des bornes publiques. Nous sommes très heureux de ces développements, et avons très hâte de voir les voitures électriques se promener sur les routes du Québec. D'autres zones feront partie du paysage québécois dans les deux prochaines années, elles ont déjà été annoncées dans la Stratégie d'électrification des transports, soit:
![]() "Anxiété d'autonomie", expression utilisée par le père de la Chevrolet Volt, Bob Lutz il y a plusieurs années pour décrire le sentiment d'urgence qu'un conducteur de voiture 100% électrique pouvait ressentir lorsque sa batterie approche d'un état de charge bas. Cette expression a souvent été décriée par les propriétaires de véhicules électriques à batterie (VÉB) comme une tactique marketing visant à vendre plus de Chevrolet Volt, voiture qui possède une génératrice à essence en plus de batteries. D'ailleurs, M. Lutz qui est maintenant sur le conseil d'administration de VIA Motors, a récemment exprimé son regret d'avoir électrifié les voitures, alors que selon lui les camionnettes auraient dû l'être en premier. Heureusement, il a maintenant un nouveau produit à nous vendre pour se faire pardonner [sarcasme]! Ce genre d'affirmations a été très néfaste pour toute l'industrie d'électromobilité, alors qu'elle dénigre les types de motorisation autres que celles que M. Lutz veut bien nous vendre (Volt, et maintenant camions VIA), et crée une incertitude chez les consommateurs face aux technologies actuellement sur le marché. La réalité Il est normal qu'un nouveau propriétaire de VÉB ait à apprivoiser la façon de conduire sa nouvelle voiture. La prise en main d'un VÉB est très facile: on démarre, on accélère, on freine, on se rend à destination. C'est tellement simple, que la plupart des nouveaux propriétaires ne voient pas l'intérêt de lire l'énorme manuel d'instruction de leur nouvelle monture. ERREUR! Bien qu'il est simple de conduire une voiture électrique, plein de petites particularités font en sorte qu'il est important de bien comprendre son fonctionnement afin d'optimiser sa conduite, et réussir à obtenir à coup sûr l'autonomie annoncée par le manufacturier. Sans cela, vous n'atteindrez jamais l'autonomie promise. Souvent après quelques semaines, l'expérience de conduite du véhicule permet d'en connaître ses avantages et ses limites, et cette anxiété d'autonomie se transforme en conscience d'autonomie. Plusieurs outils sont disponibles pour mieux évaluer la distance que l'on peut parcourir selon l'élévation du trajet, le vent, le nombre de passager, et les accessoires en fonction. Green Race est un outil qui a été mis au point en Suisse pour des rallyes de voitures électriques dans les Alpes, et qui fonctionne magnifiquement bien pour notre contrée. Voir la vidéo ci-bas pour un exemple d'utilisation. À noter que c'est un outil très conservateur dans ses estimations. ![]() Dans l'exemple vidéo, on parle de se rendre de St-George-de-Beauce jusqu'à Rimouski, un trajet de 356 km avec plusieurs changements d'élévation. Parfait pour une Tesla. Pour une voiture comme la Leaf ou la iMiev possédant une batterie plus petite, il faut donc prévoir 2 arrêts pour recharger la voiture. On peut voir les différentes bornes disponibles au Québec sur le site de PlugShare, et ainsi décider des arrêts nécessaires pour recharger la voiture avec des bornes publiques et ainsi continuer notre route. Le trajet Green Race doit donc être divisé en plusieurs segments pour mieux estimer la distance possible pour le véhicule utilisé. Les autoroutes électriques s'en viennent au Québec dès le printemps 2014, avec des bornes rapides à courant continu (BRCC) de 400 volts, capables de charger une voiture telle que la Nissan Leaf ou la BMW i3 à 80% en moins de 30 minutes en condition optimale. Il y a plusieurs années, on pouvait parler d'anxiété d'autonomie car il y avait peu de bornes sur notre territoire, et partir en randonnée à l'extérieur de notre trajet quotidien pouvait devenir hasardeux, et nécessitait une poche de hockey pleine d'adaptateurs avec une borne de recharge portative, pour se brancher n'importe où: garages, prises de sécheuse, soudeuse, cuisinière. Avec un long fil d'extension! Ce n'est plus le cas. Les bornes sont de plus en plus nombreuses, plus de 400 au Québec en date de janvier 2014. On peut donc parler de conscience d'autonomie, où on conduit de façon plus conservatrice, on prévoit notre trajet ainsi que les arrêts nécessaires pour la recharge, et on profite d'économies en carburant tout en faisant bénéficier l'environnement d'un mode de transport sans émissions de dioxide de carbone et d'autres gaz à effet de serre. Bien entendu, pour les trajets quotidiens en ville, prévoir son trajet n'est pas vraiment nécessaire! ![]() Dans le cadre du Salon de l'auto, M. Pierre-Luc Desgagné a annoncé aujourd'hui que des bornes publiques du Circuit Électrique seront disponibles dès le printemps sur les rues et artères commerciales de Montréal. Ce projet-pilote permettra d'en apprendre plus sur le comportement des propriétaires de voitures électriques, ainsi que celui des automobilistes qui verront l'accès à certaines places de stationnement réservé aux VÉistes en recharge. Ce n'est pas un stationnement VIP, la voiture électrique doit utiliser la borne pour se recharger, sinon l'étiquette entre propriétaires de VÉ recommande de laisser la place aux autres, et de bien indiquer l'heure du retour grâce au protocole de courtoisie de l'AVÉQ, que nous vous suggérons d'utiliser aux bornes publiques. Les bornes publiques ne sont pas un stationnement, mais bien une station de ravitaillement. On a aussi confirmé qu'un nombre de bornes supérieur à 80 a été acheté par la ville de Montréal, qui sont présentement dans un entrepôt, prêtes à être redistribuées aux arrondissements qui en ont fait la demande, et à être installées par les cols bleus de ces arrondissements dès que la température le permettra. La demande fut assez forte pour qu'on revoit à la hausse le nombre de bornes commandées au Circuit Électrique. Une excellente nouvelle! Il est important de comprendre dans ce dossier que les arrondissements sont les seuls responsables pour déterminer l'emplacement de ces bornes par la suite. Certains d'entre-vous vont très certainement vouloir communiquer avec les responsables de leur quartier afin de sensibiliser sur les sites cruciaux d'installation, et de les conseiller à mettre en vigueur un règlement municipal pour que les stationnements soient réservés aux voiture électriques en recharge seulement, afin que puissent être émises des amendes aux contrevenants (voitures conventionnelles, et voitures électriques non-branchées). ![]() Pour ceux qui n'ont pas eu la chance de voir la petite dernière de Chevrolet, la Spark EV 2014 qui est disponible exclusivement pour les flottes commerciales au Canada, réjouissez-vous! Nos amis du Circuit Électrique auront à leur kiosque du Salon de l'Auto de Montréal et Québec la petite citadine électrique de Chevrolet, qui rappelons-le, devrait être disponible au Canada pour sa version 2015. Ce sera une belle opportunité de la voir de plus près, en attendant une annonce officielle de son arrivée par GM Canada. ![]() Si vous êtes un abonné du réseau de bornes publiques Circuit Électrique, vous aurez remarqué qu'on vous a aujourd'hui envoyé le lien à un sondage effectué auprès de leur clientèle. Le dernier sondage remonte au mois de mai 2013. Au cours des six derniers mois, plusieurs des suggestions ont été mises en place :
Le Circuit Électrique a toujours été à l'écoute de ses usagers, et leurs commentaires ont été partagés avec les partenaires du réseau, qui sont les acteurs majeurs dans les décisions à prendre en ce qui concerne le déploiement ou la tarification. Avec plusieurs nouveaux propriétaires de VÉ depuis le dernier sondage, une petite mise à jour était bienvenue. On vous pose des questions sur votre satisfaction de la tarification, votre fréquence d'utilisation des bornes, votre intérêt pour les BRCC, leur site web, la répartition géographique des bornes, et le service offert par CAA-Québec. Puis on demande vos commentaires. C'est à vous de prendre la parole. Selon l'expérience de nos membres, le sujet de la tarification revient souvent, des bornes manquantes dans certains corridors, et du manque d'une application pour téléphone intelligent.
Si vous avez d'autres suggestions ou commentaires, laissez-les dans les commentaires ci-dessous, mais surtout, dans le sondage!!! ![]() Afin d’appuyer l’introduction des véhicules électriques auprès des particuliers, des incitatifs de différentes natures doivent être proposés. C'est ce que l'AVÉQ a soutenu dans ses deux mémoires présentés. On table présentement à accorder un privilège aux conducteurs de VÉ en leur autorisant l’accès aux voies réservées permettant le covoiturage, sur les routes relevant du ministère des Transports (réseau supérieur). Cette mesure incitative est temporaire et sera réévaluée annuellement. Quelques axes ont été identifiés, principalement dans la grande région de Montréal et de Québec, soit :
Dans une perspective d’élargissement volontaire de la mesure, d’autres tronçons de voies réservées placées sous la juridiction des municipalités pourraient aussi être inclus. Ces mesures devraient être dévoilées dans les prochains mois. ![]() MONTRÉAL, le 5 novembre 2013 - Suite au dévoilement de la Stratégie d'électrification des transports de la semaine dernière, l'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) aimerait maintenant faire le point sur les avantages de ce projet. L'AVÉQ a travaillé sur la stratégie d’électrification des transports depuis près de 5 mois lors des consultations publiques du MTQ et du MRN, et nous sommes heureux de constater que la grande majorité des recommandations que nous avions mis de l’avant ont été retenues. Notre vision depuis le début était de s’assurer que l’électrification des transports au Québec soit un projet de société grandiose, dont les Québécois pourront être fiers. Ce qui a été présenté est un programme complet qui fera du Québec un leader mondial en électrification des transports, en supportant non seulement les Québécois qui veulent faire le choix d’une voiture électrique, mais offrira aussi un support à la recherche et au développement qui fera briller le génie québécois à l’étranger, en exportant des solutions de motorisation électrique extrêmement efficaces, à un coût très concurrentiel. On supporte aussi l’entreprise qui veut électrifier ses transports afin d’assurer les livraisons en émettant moins de GES. Et c'est là l'essentiel qui doit être retenu de cette stratégie: le gouvernement n'investit pas uniquement de l'argent public afin d'offrir un avantage à ceux qui décident d'acheter une voiture électrique. Comme l'ont expérimenté les pays qui ont procédé ainsi, il n'y a aucun retour sur l'investissement. On donne de l'argent pour électrifier l'auto-solo, mais on oublie les transports en commun, on ne réduit pas la congestion routière, et le plus gros émetteur de GES, le transport de marchandise, n'est pas touché par ces mesures. On se retrouve alors avec des critiques très négatives sur ces programmes d'incitatifs. Il fallait donc aller au-delà d'un simple programme d'incitatif qui ne fait que dépenser les deniers publics. Et c'est là le génie de cette stratégie: obtenir un retour sur l'investissement gouvernemental, en créant un pôle d'excellence en électrification des transports, à l'image de l'industrie du multimédia, des pharmaceutiques et de l'aéronautique qui font bonne figure au Québec. On veut non seulement garder l'argent gaspillée par les Québécois sur le pétrole dans notre économie (16 milliard $ par année) - donc de l'argent qui sera dépensé localement au lieu de sortir de la province - mais on veut promouvoir l'exportation de produits spécialisés en motorisation électrique vers les marchés extérieurs. Le transport collectif et le transport des marchandises sont donc deux volets qui feront l'objet d'un financement plus important que le transport individuel, car les deux sont de grands producteurs de GES. Des exemples de projets d'électrification: autobus urbain, interurbain et scolaire électriques, trains et monorail, taxis, remorque de 18 roues électrifiée (pour les départs et accélérations), camion-tracteurs hybridés, moteur-roue SUMO pour transport lourd, camions-vidange... Mais le but n'est pas de simplement électrifier tous les modes de transport actuels, puisque la technologie ne permet pas présentement de le faire, mais bien de redéfinir comment et pourquoi on se déplace afin d'atteindre nos objectifs de réduction de GES. Si on examine entre autres le transport de marchandise, 37% des déplacements se font sans cargaison avec des camions qui consomment près de 50 litres de diesel par 100 km. Il faut produire des solutions plus intelligentes et les exporter à l'étranger. Il faut donc être capable de voir bien au-delà des incitatifs sur l'auto-solo électrique pour une mince tranche de la population, pour apprécier l'étendue du projet de société qui se pointe à l'horizon, qui fera travailler toutes les sphères de notre économie, pour une planète qui a besoin qu'on limite nos GES et qui devient une priorité pour les pays industrialisés et en voie de développement. Les solutions présentées existent déjà au Québec, mais peu de PME ont les capacités d'exécuter les solutions développées. Les investissements du gouvernements permettront d'aller de l'avant avec des projets qui créeront les transports du futur, en s'assurant de la participation de partenaires industriels qui seront attirés par notre dynamisme en électrification des transports. Pour l'auto solo, la vision de l'AVÉQ pour le Québec correspond à une voiture électrique par foyer possédant deux voitures ou plus. Selon nos données, les familles qui achètent une voiture électrique (VÉ) comme deuxième véhicule changent leurs habitudes de transport, ce qui rend cette voiture de déplacement urbain le véhicule le plus utilisé par la maisonnée, et renforce l'importance de mieux planifier les déplacements des membres de la famille. Résultat, on remarque une augmentation de l'utilisation des transports en commun et du vélo pour compléter l'offre de mobilité. Et c'est cette prise de conscience qui permet de redéfinir comment et pourquoi on se déplace. Diminuer notre dépendance au pétrole, et utiliser nos ressources renouvelables hydro-électriques comme source principale d'énergie pour effectuer nos déplacements et ainsi diminuer notre empreinte carbone. Tels sont les objectifs que nous nous devons d'atteindre. Nous sommes disponibles pour les demandes d’entrevues. Simon-Pierre Rioux, Président AVÉQ Par courriel: relation-medias@aveq.ca Notre site web: www.aveq.ca À propos de l’AVÉQ: L’Association des Véhicule Électrique du Québec (AVÉQ) est un organisme sans but lucratif, qui opère sans budget ni support corporatif ou gouvernemental. Membre de Mobilité Électrique Canada, l’AVÉQ repose sur la conscience sociale de ses membres et leur volonté de promouvoir l'utilisation du VÉ (véhicule électrique) en améliorant l'infrastructure de recharge du Québec par leur implication politique, en promouvant le tourisme électrique des propriétaires de véhicules électriques québécois et étrangers grâce à ses contacts avec les associations de VÉ dans les provinces voisines du Québec, et en éduquant la population sur les bénéfices de l'utilisation d'une voiture électrique. ![]() Lors de notre présentation en avant-première des mesures qui seraient annoncées par le gouvernement du Québec le 1er novembre, nous avions mentionné que les bornes DC d'AddÉnergie ne seraient disponibles qu'au printemps 2015, mais que certaines seraient utilisées sur un projet-pilote entre Montréal et Québec. Qu'est-il arrivé depuis? Il y a 2 semaines, c'est ce qui était prévu. Aucune commande ferme n'avait été faite à AddÉnergie, donc ce n'était pas un retard dû à la certification qui aurait repoussé l'introduction des bornes de 480V sur le marché, mais bien le manque d'intérêt par les clients québécois. Depuis la présentation "Stratégie d'électrification des transports", un plan concret a été présenté à la compagnie, ce qui leur permettra d'ajouter les ressources additionnelles nécessaires pour la fabrication des bornes. On parle de 500 nouvelles bornes L2 et L3 qui feront partie du Circuit Électrique d'ici 2017, livrées par AddÉnergie. De plus, il est possible que les différents corridors entrent en fonction bien avant les dates présentées dans un article précédent. Donc l'information suggérant que leurs bornes DC ne seront pas disponibles avant 18 mois n'est plus d'actualité depuis... ce matin! Et le tarif d'une recharge? Sur le marché mondial, on retrouve une brochette de prix comprise entre 5$ et 15$. Aucune décision n'a été prise à ce sujet, mais l'AVÉQ s'impliquera pour que ce tarif soit juste et compétitif avec un trajet utilisant du pétrole; nous avions initialement recommandé un tarif fixe de 5$, mais ce montant semblerait être jugé trop bas pour les investissements requis présentement au Québec. À noter, nous utiliserons maintenant la terminologie "Borne DC" pour parler des bornes L3 - 400V - 480V - haute vitesse. C'est ce qui semble maintenant être l'utilisation commune chez nos voisins du Sud qui nous ont fait la remarque il y a quelques semaines. |
Abonnez-vous à notre infolettre hebdomadaire
Use a valid e-mail address Votre inscription est confirmée.
xhr
100
NOS PARTENAIRES
![]() Catégories
|