Tous les derniers salons de l’auto l’ont prouvé : il y a un véritable engouement pour les véhicules électriques. L’industrie automobile évolue en présentant de plus en plus de modèles hybrides ou complétement électriques, et le CES de cette année a presque présenté l’essence comme une chose du passé. Malgré tout, on ne peut s’empêcher de se poser la question : est-ce que les États-Unis se dirigent vers une crise des véhicules électriques ?
Alors qu’ils se remettent à peine du « Dieselgate », Volkswagen et Audi misent beaucoup sur les véhicules électriques. Même chose pour Ford, Chevrolet et Mercedes, et pratiquement tous les autres gros joueurs de l’industrie. Ils le font en partie parce que l'électrification représente probablement l'avenir du transport automobile, mais davantage parce que les exigences des gouvernements en matière d’économie de carburant et d’émissions les y forcent. Mais puisque l’essence est très abordable en ce moment aux États-Unis, les ventes de VÉ stagnent. Si cette tendance se poursuit, cela pourrait entraîner des maux de tête coûteux aux constructeurs automobiles. Selon de nouvelles données provenant de Brandon Schoettle et Michael Sivak de l’Institut de recherche sur le transport de l’université du Michigan, l'économie moyenne de carburant était en baisse en 2015 par rapport à l'année précédente. Ils ont signalé que l'économie de carburant était en baisse de 0,9 mpg depuis le sommet atteint en août 2014, mais d’un angle plus positif, elle est en hausse de 4,8 mpg depuis que l'université a commencé cette étude en 2007. Pourquoi la moyenne de l'économie de carburant tend à diminuer, alors que les voitures sont de plus en plus efficaces? Puisque le prix de l’essence diminue depuis un an maintenant, et que le prix d'un gallon de sans plomb est d'environ 1,97 $US à l'heure actuelle, les Américains ne privilégient tout simplement pas l'économie de carburant lorsqu’ils optent pour un nouveau véhicule. Les plus grands vendeurs de 2015 étaient Jeep, Ram et toutes les marques qui offrent de nombreux VUS, des camions et des véhicules multisegments. S’il n’en tenait qu’à eux, les Américains choisiraient à chaque fois des voitures plus imposantes. Pas des hybrides et des véhicules électriques, mais des camions et des VUS. Certes, le marché de l'hybride est encore relativement petit, mais il croît de plus en plus rapidement et les temps de recharge des infrastructures destinées aux VÉ et la tarification ne répondent pas encore aux besoins de la plupart des Américains. De nouveaux véhicules électriques et hybrides continueront d’être lancés, alors, au prix où l’essence se trouve actuellement, qui les achètera ?
Commentaires
Le cartel pétrolier vit dans une faille temporelle, apparemment pas au courant que les politiques mondiales de l'énergie ont changé à jamais. L’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP) reste défiante. La dépendance mondiale au pétrole et le gaz restera inchangée pour un autre quart de siècle. En 2040, les combustibles fossiles combleront encore jusqu'à 78% de l'énergie mondiale, à peine moins qu'aujourd'hui. Il n'y aura aucune percée technologique significative. Les rivaux seront réduits en poussière et auront simplement gaspillé leur argent. L'ordre actuel de l’énergie est préservé. Les émissions de GES continueront d’augmenter, balayant l’effet de l’accord solennel et contraignant par 190 pays lors du sommet de Paris sur le climat. S’ils ont un peu le sens de la planification, ils vont gérer leur production pour garantir les prix du brut de 70 $ à 80 $. Ils vont étirer leurs revenus assez longtemps pour contrôler leurs dépenses, et préparer leur population à une économie post-pétrole au lieu de se cramponner aux illusions du 20e siècle. Cheikh Ahmed Zaki Yamani, ancien ministre saoudien du Pétrole, avait prédit dans une entrevue avec le Telegraph il y a quinze ans que ce moment de vérité s’en venait et il a spécifiquement cité les technologies de la pile à combustible. « Dans trente ans à partir de maintenant, il y aura une énorme quantité de pétrole… et pas d'acheteurs. Le pétrole sera laissé dans le sol. L’âge de pierre s’est terminé non pas parce que nous avons manqué de pierres.». Ils ne l'ont pas écouté alors, et ils ne sont pas à l'écoute maintenant. Goldman estime que les économies d'échelle et la technologie feront diminuer le coût des batteries de 60% au cours des cinq prochaines années. L’autonomie elle, augmentera de 70%. Cette option est passablement en contradiction avec les prévisions de l'OPEP. Même ces prévisions pourraient bientôt être dépassées par d'autres percées scientifiques. Une équipe de chimistes de Cambridge affirme qu'elle a percé la technologie pour une batterie lithium-air ayant une efficacité de 90%, capable d'alimenter une voiture de Londres à Edimbourg (NDLR: environ 667 km par la route) sur une seule charge. Les coûts devraient être réduits de 80% et on pourrait la retrouver sur la route d’ici une décennie. Il y a maintenant une compétition mondiale pour remporter la course de la batterie. Le département américain de l'Énergie (US Department of Energy) finance un projet par les universités du Michigan, de Stanford et Chicago, de concert avec les laboratoires nationaux d'Argonne et de Lawrence Berkeley. L'Agence Japonaise de la science et de la technologie (Japan Science and Technology Agency) a son propre projet à Osaka. La Corée du Sud et la Chine se mobilisent avec leurs centres de recherche. Un resserrement réglementaire est en train de changer rapidement les règles de mondiale reliées à l’énergie. L’institut Grantham de la London School of Economics compte 800 politiques et de lois visant à réduire les émissions dans le monde entier. L’OPEP dit que les coûts des batteries pourraient diminuer de 30 à 50% au cours du prochaine quart de siècle, mais doute que cela sera suffisant pour faire beaucoup de différence, en raison de "la résistance des consommateurs". Le projet pilote de Beijing pour promouvoir les voitures électriques n’a pas donné les résultats escomptés - surtout parce que il n'y a pas encore suffisamment de bornes de recharge. Mais cela va changer bientôt avec le rationnement drastique des permis pour les voitures à essence. Alors que les gouvernements locaux sont au prises avec des problèmes majeurs de qualité de l’air («airpocalypse»), fort probable que si vous voulez une voiture dans le futur en Chine, elle devra être électrique. La compagnie «Geely Automobile» de la Chine vise à ce que ses ventes de voitures soient constituées à 90% de véhicule électrique d'ici à 2020. Bill Russo de la boîte «Gao Feng Advisory» à Shanghai, indique que la Chine est sur le point de « dépasser » le reste du monde et devenir l'épicentre de l'électrification. L'OPEP ne nie pas que les accords de Paris vont changer le paysage de l'énergie, mais elle considère que cela représente un problème strictement pour l'industrie du charbon. Il y aura un passage partiel du charbon au gaz naturel, un peu d’ajout de nucléaire et une contribution dérisoire de l’énergie éolienne et solaire. Leurs propres tableaux semblent montrer que le charbon, le gaz et le pétrole vont émettre ensemble 1200 gigatonnes de carbone d'ici 2040. Cela dépasse totalement le budget maximum de carbone jugé admissible par les scientifiques dans l’hypothèse où nous voulons arrêter la hausse des températures de plus de 2 degrés au-dessus des niveaux pré-industriels d'ici à 2100. Il va s’en dire qu’un tel niveau d’émission ne permettra pas d'atteindre l’objectif ambitieux de 1,5 degré convenu par les dirigeants du monde à Paris. Avec la stratégie actuelle de l'OPEP d'inonder le marché du brut pour éliminer ses rivaux, l'Arabie Saoudite croit qu'elle peut poursuivre comme si de rien n’était jusqu’au milieu du 21e siècle. Le rapport admet que ce pari se révèle être une aventure coûteuse. La production de pétrole plus difficile d’accès («tight oil») et le pétrole de schiste de l’Amérique du Nord n'a pas flanché - comme présumé dans les prévisions de l'an dernier - et l'OPEP s’attend maintenant à une légère augmentation de la production en 2016 pour 4,5 millions b/j, et encore à 4,7 millions en 2017. Ford vient d'annoncer qu'elle va investir 4,5 milliards $ (US) dans les voitures électriques et hybrides, avec 13 modèles qui seront en vente d’ici 2020. Volkswagen dévoilera le mois prochain une nouvelle voiture concept, qui promet une nouvelle ère en matière «d’électromobilité longue distance abordable». Le rapport de l'OPEP est tout aussi négatif sur la décision de Toyota de miser son avenir sur les voitures à hydrogène, en commençant par la Mirai qui sera vendue à perte pour développer le marché. On aurait pensé que la décision de la plus grande compagnie de voitures au monde, de mettre fin à toute production de voitures à essence ou diesel d'ici 2050, aurait un certain effet sur leur opinion, il semble que non. Goldman Sachs prévoit que les «véhicules connectés au réseau» atteindront 22% du marché mondial d'ici une décennie, avec des ventes de 25 millions de véhicules par an, et d'ici là, dit-il, les géants de l'automobile vont réfléchir à deux fois avant d'investir plus d'argent dans le moteur à combustion interne. Une fois que la masse critique est atteinte, il est facile d'imaginer un changement massif vers l'électrification au cours des années 2030. Entre-temps, les revenus de l'OPEP se sont écrasés, partant de 1,2 billion $ (10^12) en 2012 pour passer à environ 400 milliards $ à la fin 2015 au prix du Brent d'aujourd'hui (environ 36,75$). On peut imaginer les ajustements et douleurs fiscales de ces réductions de revenus. Cette politique a érodé la capacité de réserve mondiale à un très mince 1,5 M b/j, laissant le monde vulnérable en cas de choc futur. Elle implique un marché beaucoup plus volatile dans lequel les prix pourraient varier grandement, minant ainsi la confiance dans le pétrole comme une source fiable d'énergie. Plus cette politique de l’Arabie réussit, plus le monde adopteront des politiques visant à rompre la dépendance sur son seul produit. Des critiques internes à Riyad pestent contre cette stratégie, la qualifiant de suicide. L’Arabie saoudite et les États du Golfe sont chanceux. Ils ont été avertis à l'avance que l'OPEP fait face a un lent déclin. Le cartel a 25 ans pour se préparer à un nouvel ordre mondial qui nécessitera beaucoup moins de pétrole. «Les perspectives pétrolières mondiales» (OPEC’s World Oil Outlook) de l'OPEP publié il y a quelques jours est un document remarquable. Le message sous-jacent est que l'accord de COP21 est sans pertinence pour l'industrie pétrolière. Les engagements pris par les dirigeants mondiaux à modifier radicalement la trajectoire des émissions de gaz à effet de serre avant 2040 - encore moins d'atteindre la "décarbonisation" totale d'ici 2070 - sont tout simplement ignorés. Goldman Sachs dit que le modèle à surveiller est la Norvège, où les véhicules électriques atteignent déjà 16,3% du marché. Le changement étant aidé par de nombreux incitatifs: exonération fiscale, l'utilisation de voies réservées, nombreuses stations de recharge, etc. La Californie suit. Elle a pour objectif d’avoir 22% de véhicules «connectés au réseau» en dedans de 10 ans. Les nouvelles voitures en Chine devront répondre à des normes d'émission de 5 litres aux 100 km d'ici 2020, encore plus strictes qu'en Europe. La demande mondiale de pétrole brut augmentera de 18 millions de barils par jour (b/j) pour passer à 110 millions d'ici 2040. Le cartel a diminué légèrement ses prévisions à long terme d’un million b/j, mais cela est dû en partie à la croissance économique plus faible. On est tenté de comparer cette myopie au proverbe «il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir». Le rapport de 407 pages balaie du revers de la main les véhicules électriques. La flotte mondiale de véhicules passera de 1 milliard à 2,1 milliards au cours des 25 prochaines années, atteignant 400 millions en Chine, et 94% fonctionnera toujours à l'essence ou diesel. "Sans une percée technologique, on ne s’attend pas à ce que les véhicules électriques à batterie (VÉB) gagnent des parts de marché dans un avenir prévisible," dit-il. Les voitures électriques coûtent trop cher. Leur autonomie est trop faible. Les batteries sont défectueuses dans le froid ou la chaleur. Une Tesla Model S P85D et une BMW I3 noires et blanches viennent de prendre place dans les rangs de la police de Los Angeles. Elles étaient d’ailleurs les vedettes d’une exposition-conférence récente, alors que maire de Los Angeles, Eric Garcetti, annonçait les plans de la Ville de louer 160 véhicules électriques et 128 véhicules hybrides rechargeables. Rien de moins !
« Lorsque nous avons présenté notre plan de la ville durable, nous avons promis que 50 % des nouveaux véhicules du parc de la ville à acquérir chaque année serait électrifié en 2017 », a déclaré M. Garcetti. « Maintenant, nous voulons remplir cette promesse d’avance. » Les nouveaux enfichables seront utilisés par le service de police, d’incendie et du traitement des eaux de la ville, ainsi que les services de l’énergie et d’autres services généraux des ministères, et devraient permettre d’économiser environ 41 % sur les coûts d’exploitation. Une centaine de véhicules électriques à batterie seront ainsi utilisées par les détectives et les administrateurs du département de police de Los Angeles (LAPD). Les deux voitures électriques de patrouille ne se rendront pas en service actif pour l’instant, mais seront testés et évalués par des experts techniques du LAPD. « Vous pouvez apercevoir, ici, l’avenir de notre parc », a déclaré M. Garcetti, pointant à la Tesla et la BMW. « Notre objectif est bien réaliste : nous voulons éventuellement faire migrer tout notre parc de véhicules vers les voitures-patrouille électriques. Et si nous réalisons cela, l’impact pourrait être d’envergure nationale. Los Angeles pourrait ouvrir la voie à la transformation non seulement de notre département, mais d’autres ministères et villes à travers le pays ». Pour les néophytes, M. Garcetti a souligné que les véhicules électriques sont « rapides, et ce, même en mode de poursuite, et répondent aux besoins de maintien de l’ordre. Le LAPD a déjà 23 scooters électriques et trois motos électriques utilisés par les agents de patrouille. « Je pense que cette annonce pourrait lancer le défi à d’autres villes, d’autres services de police, d’autres services d’incendie, de regarder ce que nous faisons et franchir une étape importante vers le changement positif », a déclaré le chef de police Charlie Beck. Source: CamAuto / Stéphane Quesnel Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Ensuite, le groupe continue le même manège dans toutes les SAAQ de la région, pour ainsi récupérer un grand nombre de plaques tout cela dans la même journée! Ces plaques sont ensuite revendues à profit. L'AVÉQ a donc contacté la Société d'assurance automobile du Québec (SAAQ) pour connaitre leur politique face à ce type de fraude. La réponse fut désolante: ils n'y peuvent rien. Ce n'est pas contre la loi pour un seul propriétaire de demander 15-20 plaques de remplacement en une seule journée! On nous a bêtement référé à la Sûreté du Québec pour clore la conversation. Il en revient donc AUX ÉLECTROMOBILISTES de dénoncer les fraudeurs lorsqu'ils se font approcher, et de refuser d'y participer. [MÀJ]: Voici une photo prise par un propriétaire de véhicule électrique à Vaudreuil ce matin lorsqu'il a aperçu une Nissan Sentra avec une plaque verte, très certainement volée et utilisée de façon illégale. Le propriétaire ayant pris la photo a ensuite contacté la police afin de rapporter ce qu'il avait vu ainsi que le numéro de plaque et le modèle de véhicule. Malheureusement, la police ne pouvait rien faire puisqu'elle ne peut évidemment pas retracer un véhicule équipé d'une plaque volée. Si vous êtes témoin d'un véhicule équipé d'une plaque verte et que vous constatez de toute évidence qu'il ne s'agit pas d'un véhicule branchable, n'hésitez pas à le rapporter immédiatement à la police alors que vous avez le véhicule en vue, dans la mesure du possible. Effet du Dieselgate ? Volkswagen s'engage fortement dans les véhicules électriques branchables13/10/2015 Le constructeur de Wolfsburg compte remanier la stratégie modèles de sa principale marque, accordant plus d'importance aux véhicules électriques et hybrides, tout en dotant ses voitures et camionnettes diesel des technologies environnementales de pointe. Selon un porte-parole, ce sont des investissements dans les modèles, la technologie et les sites de production de la marque VW qui seront amputés d'un milliard par an jusqu'en 2019. Ces investissements avaient été prévus dans le cadre de plans datant d'avant le scandale, a-t-il ajouté sans donner plus de précisions. Les autres divisions du groupe, dont Audi, Porsche, Seat et Skoda, sont en train de passer en revue leurs engagements, a précisé le porte-parole sans donner davantage de détails. "La marque Volkswagen se reconfigure pour l'avenir; nous devenons plus efficaces et donnons à notre gamme de produits et à nos technologies de nouvelles priorités", a déclaré Herbert Diess, le patron de VW, dans un communiqué. Le Dr.Herbert Diess entend accélérer le développement des modèles hybrides et électriques de Volkswagen. D'ailleurs, la prochaine génération de la berline Phaeton sera 100% électrique et le patron de Volkswagen veut en faire "la figure de proue de la marque pour la prochaine décennie." Tout particulièrement, Volkswagen a annoncé qu'elle pousserait l'électrification de la MBQ (la base technologique des Golfs et Audi A3). La réorientation vers des modèles "propres" a été bien accueillie par certains analystes, qui jugent qu'elle pourrait permettre à VW de tirer quelque chose de positif de ce scandale. "Le fait de consacrer davantage de fonds à la mobilité électrique leur offre une perspective crédible pour surmonter cette crise", estime Stefan Bratzel, qui dirige l'institut de recherche Center of Automotive Management, basé près de Cologne. Pour autant, le constructeur allemand a encore du chemin à parcourir pour faire oublier cet épisode. Des sources avaient dit la semaine dernière à Reuters que la marque VW serait sans doute déficitaire cette année car elle devrait supporter l'essentiel des retombées néfastes du scandale. Certains analystes évaluent à 35 milliards d'euros l'ardoise du scandale, que ce soit pour rééquiper les véhicules dotés du logiciel incriminé ou régler les frais de justice et autres pénalités. Source: Reuters Contributeur: Simon-Pierre Rioux Les bus électriques pourraient faire économiser aux villes des millions par an, selon Volvo13/10/2015 Il ne fait aucun doute que les autobus électriques peuvent faire économiser substantiellement aux autorités de transport locales sur les coûts de carburant et d'entretien. Cependant, une nouvelle analyse menée par le Groupe Volvo et le cabinet d'audit et de conseil KPMG constate que, en tenant compte des facteurs tels que le bruit, le temps de voyage et les émissions, les économies totales peuvent être encore plus élevées.
« L'évaluation standard des investissements ne prend pas en compte tous les coûts qui ont un impact sur la société et l'environnement», explique Niklas Gustafsson, responsable de la durabilité au sein du Groupe Volvo. « Par conséquent, pour quantifier tous les aspects, nous avons calculé la valeur monétaire d'une ligne de bus électrique. » Selon l'étude, une ville avec un demi-million d'habitants et 400 autobus pourrait économiser environ 100 millions de couronnes suédoises (12 millions $) par année si elle remplace ses autobus diesel existants par des bus électriques. Entre autres choses, les économies proviennent de réduction du bruit et de la pollution de l'air, ce qui réduirait les coûts des soins de santé jusqu'à 24 millions de couronnes. «Les autobus électriques sont un excellent exemple d'une innovation qui peut avoir un impact important sur la société», explique Daniel Dellham de KPMG. «En complétant l'analyse financière standard avec des facteurs socioéconomiques et environnementaux, on arrive à une image plus complète de l'impact de l'investissement sur les entreprises et la société. » Volvo a été l’une des premières à s’intéresser à l’électrification des transports. En juin, une nouvelle ligne de bus utilisant les bus électriques Volvo est entrée en service dans la ville mère de la société, Göteborg en Suède. « Cette ligne de bus est l'une des plus modernes au monde et l'intérêt qu’elle génère est incroyablement élevé, notamment en raison du fait qu’elle est totalement silencieuse et sans émission, et aussi qu’elle fonctionne à l'électricité à partir de l'énergie éolienne et hydroélectrique », dit Gustafsson. Source: Charged EVs Collaboration: Lisanne Rheault-Leblanc David Corbeil, étudiant au baccalauréat en administration des affaires de l'ESG UQAM et diplômé du certificat en administration, et sa sœur Marie-Pier (B.A. design graphique, 2014) ont remporté la Bourse Pierre-Péladeau d'une valeur de 50 000 dollars pour démarrer leur entreprise Recharge véhicule électrique, le 7 mai dernier. Remises par Québecor, les bourses Pierre-Péladeau visent à promouvoir la création d'entreprises auprès des étudiants universitaires québécois. Les deux entrepreneurs ont décidé de s'attaquer aux problèmes relatifs à l'utilisation à domicile d'une borne de recharge pour véhicules électriques. «Les panneaux électriques de 100 ou 200 ampères que l'on retrouve dans presque toutes les maisons du Québec peuvent devenir saturés en période de pointe, par exemple lorsque l'on fait la cuisine ou que l'on chauffe la maison, explique David Corbeil, qui possède une formation d'électricien. Consacrer 40 ampères à la recharge d'un véhicule électrique devient alors impossible, à cause des risques de surcharge.» Les conséquences d'une surcharge électrique peuvent aller de la perte de courant jusqu'à l'incendie. «Puisque 77 % des ménages chauffent à l'électricité, les risques de surcharge sont bien réels», explique l'étudiant. Actuellement, l'unique solution pour éviter cette situation est d'augmenter la capacité du panneau électrique à 400 ampères. «Cette solution coûte entre 5000 et 6000 dollars, ce qui constitue une barrière à l'achat d'une voiture électrique.» L'invention de David et de Marie-Pier est un lecteur énergétique – posé entre la borne de recharge et le panneau électrique – qui s'assure que la capacité du panneau soit suffisante pour permettre la recharge de la voiture. Dans l'éventualité d'une surcharge potentielle – par exemple lorsque plusieurs appareils électriques fonctionnent simultanément –, la recharge de la voiture est temporairement arrêtée. En gros, le lecteur énergétique agit en tant que dispositif de protection pour assurer la sécurité des utilisateurs. Cela fait près de quatre ans que David, Marie-Pier et leur père – qui est lui aussi électricien – travaillent sur la conception d'un prototype. «Les questions d'énergie durable et de protection de l'environnement ont toujours été importantes chez nous», mentionnent le frère et la sœur. Les tests pour élaborer le prototype ont été effectués sur la voiture électrique familiale. L'entreprise a des visées plus larges que la commercialisation du lecteur énergétique. «Notre site Web vise à informer les gens sur l'installation d'une borne électrique, expliquent les deux entrepreneurs. Ultimement, nous souhaitons favoriser l'achat de voitures électriques par le grand public. » Les gens intéressés par le lecteur énergétique de Recharge véhicule électrique devront être patients, puisque cette invention en est encore à sa phase de développement. Questionnés sur une possible date de commercialisation du produit, les entrepreneurs se montrent prudents. «On compte 5600 véhicules électriques actuellement au Québec, et ce nombre double toutes les années. Nous voulons être prêts pour 2018, lorsque les grands constructeurs devraient lancer la première voiture abordable à grande autonomie. Il nous reste donc trois ans d'essais et d'erreurs.» Pour ficeler leur dossier auprès des Bourses Pierre-Péladeau, David et Marie-Pier Corbeil ont profité de l'expertise de Ronald Filion-Mallette, professeur à l'École de design, de Wafa Berny, chargée de cours au Département de management et technologie, et de Michel Grenier, directeur général du Centre d'entrepreneuriat ESG UQAM. «Michel et Wafa nous ont grandement aidés à orienter la direction de notre plan d'affaires, alors que Ronald nous a donné de judicieux conseils pour le design. » Le Centre d'entrepreneuriat vient en aide aux étudiants et aux diplômés de l'UQAM qui souhaitent développer un projet d'entreprise. Source: UQAM Anecdote: Afin de remettre le prix à la Famille Corbeil de manière originale, l'équipe de production chez TVA a fait appel à l'AVÉQ afin de créer une "fausse entrevue" lors de l'événement "Branchez-vous 2015" au Circuit Gilles-Villeneuve pour surprendre les boursiers. Alors que le président de l'AVÉQ s'entretenait avec Messieurs Corbeil père et fils, le présentateur des Bourses Pierre-Péladeau s'est immiscé dans la conversation avec une deuxième équipe de tournage pour leur annoncer la bonne nouvelle. Ce fut un moment très fort et émotionnel pour la famille Corbeil, un moment émouvant auquel nous avons eu la chance de participer. À voir absolument dans le vidéo ci-bas à 3 min 23 sec: Toute l'équipe de l'AVÉQ tient à féliciter David et Marie-Pier Corbeil pour l'obtention de cette bourse, nous leur souhaitons beaucoup de succès dans cette nouvelle entreprise «Recharge véhicule électrique - RVÉ». Vous faites honneur à toute la communauté VÉ!
Le milliardaire américain Elon Musk a envisagé début 2013 de vendre sa société de voitures électriques Tesla au groupe internet Google, selon des extraits d'un livre à paraître le mois prochain. Dans Elon Musk: Tesla, SpaceX, et la quête d'un avenir fantastique, qui sortira le 19 mai, le journaliste de Bloomberg Ashlee Vance raconte comment début 2013, Tesla est confrontée à des problèmes techniques avec sa Model S, sa future berline phare. Faute d'arriver à livrer autant de véhicules que convenu, la société est «au bord de la faillite», selon des extraits du livre publiés lundi par l'agence Bloomberg. Dans la première semaine de 2013, Elon Musk contacte le co-fondateur de Google Larry Page, écrit-il en citant deux sources proches du dossier. Il lui propose de racheter Tesla pour 6 milliards de dollars, avec la promesse de 5 milliards de dollars d'investissements supplémentaires pour agrandir ses usines. Elon Musk veut aussi, entre autres, la garantie de conserver la direction pendant huit ans. Interrogé par l'auteur, Larry Page a répondu ne voulait «pas spéculer sur des rumeurs», et qu'«un fabricant de voitures est plutôt éloigné de ce que Google sait faire». Mais d'après les sources du livre, il aurait accepté les grandes lignes de l'accord, et les négociations se poursuivent dans les semaines qui suivent. Début mai, à la surprise générale, Tesla annonce le premier bénéfice net de son histoire: la société arrive enfin à vendre assez de Model S. L'action Tesla s'envole, et Elon Musk rompt les négociations avec Google. «Il n'avait plus besoin d'un sauveur», écrit Ashlee Vance. L'année dernière, des rumeurs avaient déjà circulé sur un possible rachat de Tesla par un autre poids lourd de la Silicon Valley, Apple. À l'époque, Elon Musk, avait indiqué qu'il y avait eu «des conversations» entre son groupe et la marque à la pomme, sans préciser leur nature Google, qui compte les voitures sans chauffeurs parmi ses projets futuristes, a pour sa part investi il y a quelques mois dans une autre société d'Elon Musk: avec le fonds d'investissement Fidelity, il a pris une participation d'un peu moins de 10% dans la société de transport spatial SpaceX pour un milliard de dollars. Source: Agence France-Presse, Jalopnik La semaine a débuté sur une bonne note à Shawinigan alors que le ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles Pierre Arcand a annoncé une somme de 4M$ alloué au Centre en efficacité énergétique de Shawinigan pour soutenir des projets de commercialisation en électrification des transports. Cette aide financière est attribuée dans le cadre du Plan d'action 2013-2020 sur les changements climatiques et permettra d'appuyer le financement de petites et moyennes entreprises innovantes pour des projets d'électrification des transports aux étapes de précommercialisation et de commercialisation jusqu'en 2020. «Il s'agit d'une excellente nouvelle qui permettra au C3E de resserrer sa mission et d'assurer sa pérenniser», a commenté Hugues Lajoie, président du conseil d'administration du Centre en efficacité énergétique de Shawinigan (C3E), organisme sans but lucratif fondé en 2008. «Le C3E est un acteur important dans les domaines de l'innovation et de l'efficacité énergétique, notamment en ce qui concerne l'électrification des transports», a déclaré le ministre Arcand. En soutenant ainsi les PME québécoises dans leurs projets, le gouvernement du Québec estime que le centre contribue de façon marquée au développement d'un secteur de pointe de l'économie. «Notre gouvernement est fier de contribuer au succès du C3E de Shawinigan». Concrètement, il n'a pas été possible de chiffrer le nombre d'entreprises ou d'emplois créés à la suite de cette annonce. Cependant, on établit à 14 les PME appuyées par le C3E depuis sa création comme AddÉnergie, Digihub Shawinigan ou encore EPlus Green Inc. Le président affirme aussi déjà avoir des entreprises dans sa ligne de mire. «Le C3E joue un rôle de catalyseur qui permet aux entreprises d'effectuer leurs premières ventes, d'acquérir de la valeur et de créer des emplois hautement qualifiés», a souligné le ministre régional Jean-Denis Girard. D'ailleurs, les investissements du C3E ont réussi, en moyenne, à faire doubler le nombre d'emplois dès la première année dans les entreprises en démarrage, a poursuivi le ministre. Enfin, les élus municipaux se sont réjouis de cette annonce puisqu'ils ont insisté sur le caractère historique de l'électricité au sein de la ville de Shawinigan. «Je prendrais des bonnes nouvelles comme cela toutes les semaines! Le ministre Arcand sait être à l'écoute de la population», a soutenu le maire Michel Angers. Du même coup, il a rappelé le dénouement heureux entourant l'usine d'eau potable de Shawinigan. Le ministre Pierre Arcand avait alors joué un rôle de facilitateur, permettant d'économiser 50M$ et de conserver la source d'approvisionnement dans les deux lacs. Source: Hebdo du St-Maurice Le Circuit électrique et le RéseauVER, deux importants réseaux de bornes de recharge pour véhicules électriques, annoncent qu’ils seront sous peu complètement interopérables. Ainsi, les utilisateurs possédant une carte d’accès à l’un de ces deux réseaux pourront bientôt l’utiliser aux bornes des deux réseaux. Pour les utilisateurs du Circuit électrique, ce sont donc plus de 150 bornes québécoises du RéseauVER qui s’ajouteront aux 400 bornes du réseau actuel. L'AVÉQ qui avait fait cette recommandation d'interopérabilité l'an dernier accueille avec enthousiasme cette annonce alors que la promesse d'AddÉnergie à cet effet est maintenant devenue réalité. Déclaration de AddÉnergie « Voilà une excellente nouvelle pour les conducteurs de véhicules électriques : les deux plus importants réseaux de recharge canadiens, totalisant plus de 1 000 bornes, leur seront dorénavant accessibles avec l’une ou l’autre des cartes d’accès de ces derniers. Le RéseauVER offre la recharge dans tous les types de stationnement, que ce soit à la maison, au travail ou dans les lieux publics, et ce de la Colombie-Britannique jusqu’aux provinces maritimes ! Il était primordial pour nous et nos clients d’en venir à une entente avec le plus important réseau de recharge public du Québec, le Circuit électrique », a déclaré Louis Tremblay, président et chef de la direction d’AddÉnergie. Déclaration du Circuit Électrique « Nous sommes extrêmement heureux d’élargir l’offre de recharge à nos membres. Avec l’ajout des 150 bornes publiques du RéseauVER, les 4 000 membres du Circuit électrique auront maintenant accès à 550 bornes dans l’ensemble des régions du Québec, en plus des bornes des provinces voisines, a souligné France Lampron, directrice – Électrification des transports d’Hydro-Québec, au nom des partenaires du Circuit électrique. Depuis son inauguration en mars 2012, la popularité croissante du réseau de bornes de recharge publiques auprès de la communauté des propriétaires de véhicules électriques nous encourage à poursuivre le déploiement du réseau afin de continuer de répondre à leurs besoins. Et en offrant l’accès aux bornes du RéseauVER et du Circuit électrique à l’ensemble des conducteurs membres de ces deux réseaux, nous réalisons un autre pas dans la bonne direction. » L’interopérabilité des deux réseaux de bornes se concrétisera en 2015 par trois grandes étapes : 1. Dès juin, les membres des deux réseaux seront en mesure d’utiliser leur carte pour recharger leur véhicule tant aux bornes du Circuit électrique qu’à celles du RéseauVER. 2. En juillet, les applications mobiles du Circuit électrique et du RéseauVER seront en mesure d’afficher les bornes des deux réseaux et disposeront de toutes les fonctionnalités actuellement disponibles sur chacune de ces applications (connexion, démarrage, suivi en temps réel de la recharge, etc.). 3. Au cours de l’automne, l’affichage de toutes les bornes et de leur statut sera proposé aussi bien sur le site Web du Circuit électrique que sur celui du RéseauVER. En ce qui concerne les tarifs, chaque réseau conservera la tarification applicable à son réseau de bornes, soit : De grands projets en 2015 et 2016
Au cours des prochains mois, le Circuit électrique compte poursuivre son expansion, notamment en accélérant le déploiement de bornes rapides. À ce titre, Nissan Canada a annoncé en début d’année qu’elle soutiendrait l’expansion du réseau de recharge public en participant à la création de 25 sites de recharge rapide disposant de bornes à 400 volts à courant continu. L’entente de partenariat avec Nissan s’inscrit dans le cadre d’une nouvelle étape de déploiement du Circuit électrique qui vise la création, d’ici la fin de 2016, de cinquante nouveaux sites de recharge rapide au Québec sur les principaux corridors routiers et dans les grands centres urbains. Le Circuit électrique poursuivra par ailleurs le développement du réseau de bornes à 240 volts et compte offrir 725 bornes d’ici la fin de 2016. À cet effet, Les Rôtisseries St-Hubert ont annoncé le 16 janvier dernier que tous leurs restaurants seront dotés de bornes de recharge publiques avant la fin de 2015. Ce sont donc plus de 50 bornes qui devraient s’ajouter aux 28 déjà en service dans des rôtisseries St-Hubert. À propos du Circuit électrique Le Circuit électrique est le plus important réseau de recharge public du Québec. Il demeure une initiative majeure dans le déploiement de l’infrastructure de recharge nécessaire pour soutenir l’arrivée des véhicules électriques rechargeables au Québec. Le réseau compte près de 400 bornes de recharge publiques, dont 8 bornes rapides, en service notamment dans les stationnements de l’AMT et de plusieurs magasins RONA, épiceries Metro et rôtisseries St-Hubert sur le territoire québécois. Depuis son inauguration en mars 2012, plus de 100 partenaires privés et institutionnels se sont joints au Circuit électrique. Source: Hydro-Québec Le constructeur américain d'automobiles électriques Tesla compte établir une chaîne de production en Chine, dans un délai possible de trois ans, a annoncé vendredi son PDG Elon Musk.
«Nous avons vis-à-vis de la Chine un engagement ferme et à long terme, qui doit nous conduire à y construire localement», a déclaré M. Musk dans une interview à l'agence de presse Chine nouvelle. Installer une chaîne de production de Tesla en Chine, aussi bien qu'en Europe, «fait sens», a ajouté le patron du fabricant californien de voitures de luxe. Le modèle Tesla S rencontre un succès important aux États-Unis où il s'en est vendu environ 37 000 depuis son lancement en juin 2012 (environ 59 000 dans le monde). La Tesla S a été désignée en février comme le véhicule le plus fiable aux États-Unis en 2015 par la revue de consommateurs Consumer Reports, répétant son succès de 2014. Pour son développement international, Tesla table beaucoup sur la Chine, le premier marché automobile du monde mais où les ventes de véhicules électriques sont encore balbutiantes. Le constructeur américain a toutefois admis que la première année de vente de Tesla S en Chine avait généré des résultats décevants par rapport à ses objectifs. Source: Journal Auto / AFP GRANDE NOUVELLE: Le partenariat entre Nissan Canada et l'AVÉQ est renouvelé jusqu'en mars 201627/3/2015
Nissan Canada ne supporte pas l'AVÉQ financièrement de quelque façon que ce soit, ce qui nous permet de rester neutre et indépendant face au contenu rédactionnel du site ou de toute décision de notre association.
L'AVÉQ continue donc de survivre grâce à l'achat de cartes par ses membres. Pensez-y la prochaine fois que vous profiterez du site, de notre implication politique ou de nos événements. Et soyez fiers d'être membre AVÉQ, car nous réussissons de grands coups... Au Royaume-Uni, une compagnie de taxi a intégré dans sa flotte 7 véhicules électriques de marque Nissan. Résultat : des centaines de milliers de kilomètres parcourus à leurs volants et près de 80 000 euros d’économies (110,000$CAD) réalisées chaque année. La société de taxis C&C installée à St-Austell dans le Sud-ouest de l'Angleterre a fait l’acquisition de son premier modèle électrique en mai 2014. Face aux exigences liées à un kilométrage élevé, C&C Taxis a opté pour la berline compacte Nissan LEAF. Produite sur le site britannique de Sunderland, la LEAF est actuellement la voiture électrique la plus vendue au monde (plus de 190 000 unités écoulées depuis 2010). En une année seulement, la compacte a parcouru 123 000 km. Un kilométrage qui a convaincu la compagnie de faire l’acquisition de 5 autres Nissan LEAF et d’un minivan Nissan e-NV200, lui aussi 100 % électrique. Avec l'aide de Nissan du Royaume-Uni, la compagnie a réussi à obtenir un chargeur rapide (BRCC) pas trop loin du bureau. Le temps de charge pour chaque voiture a été réduit à 30 minutes (pour 80% de la batterie). Lorsque le chargeur rapide est arrivé, C&C avait quatre Nissan LEAF et la 5ème était en commande. Les voitures fonctionnent toute la journée et font (ensembles) une moyenne de 1000 kilomètres. Ce n’est pas rare de voir une Leaf parcourir plus de 300 km en une journée. La majorité des recharges sont faites à partir du bureau de l'entreprise, en combinaison avec le chargeur rapide. Selon Mark Richards, le responsable de la flotte, les 7 modèles électriques font économiser à sa société près de 110,000$CAD par an en carburant et en entretien (par rapport aux modèles diesel équivalents). Et grâce au programme Nissan e4Business (non disponible au Canada) destiné à accompagner les petites et moyennes entreprises vers la mobilité électrique, les chauffeurs bénéficient de deux bornes de recharge rapide permettant de recouvrer 80 % de l’autonomie en moins de 30 minutes. La première borne est installée au siège tandis que la seconde l’est sur une zone industrielle. Si les véhicules électriques font réaliser de belles économies à la compagnie, ils ont également facilité le travail des chauffeurs. Selon ces derniers, leur travail est devenu moins fatiguant au volant d’un modèle 100 % électrique, notamment en raison du silence et de la douceur de fonctionnement.
»»» Lire Après un an et 64,000 km, le "Tesla Taxi" de Québec toujours satisfait EN FRANCE, les sociétés de taxis ainsi que les VTC auront l’obligation d’ici 2020 d’intégrer dans leurs flottes au moins 10 % de véhicules électriques et hybrides rechargeables. Si les initiatives sont encore rares dans notre pays, la ville de Paris a reconduit son aide à destination des taxis souhaitant faire l’acquisition de ce type de modèles. En plus du bonus « écologique », les chauffeurs parisiens peuvent bénéficier jusqu’à 5 000 euros d’aide supplémentaire. Source: BreezCar Doc Borne USA, le concept québécois de bornes publiques à parcomètre maintenant aux États-Unis3/3/2015 «Doc Borne USA», une nouvelle filiale du concept de bornes publiques à base de parcomètre de Dany St-Pierre est maintenant en fonction aux États-Unis. L'an dernier, Doc Borné a fait fureur avec son nouveau concept de bornes de recharge utilisant un cabinet pour protéger la borne des intempéries, tout en offrant aux partenaires une superbe visibilité en personnalisant la cabine aux couleurs et logos du commerce. Par la suite, M. St-Pierre est revenu à la charge avec son concept de bornes de recharge mobile, idéal pour des événements publics tels les festivals d'été. Les bornes étaient placées directement dans une remorque, avec un système d'installation temporaire extrêmement simple à brancher. Les actionnaires principaux de la filiale américaine sont Martin "Think Big" Pednaud, Dany St-Pierre et Andrew Toth, qui seront présents en force au Championnat de Formule-E à Miami du 13-15 mars 2015 avec les cabines de recharge «Doc Borne USA». Le premier contrat du groupe est avec la Desjardins Bank pour l'installation de 5 bornes de recharge. La mise en fonction aura lieu d'ici le mois de juillet. D'autres nouvelles du dynamique trio vous seront présentées dans les prochaines semaines. Nous tenons à féliciter Dany St-Pierre et son équipe pour son dynamisme et sa vision pour l'électromobilité, au Québec et ailleurs sur la planète!! Think big! C'est aujourd'hui à Laval que la 2e phase du projet d'autobus scolaire électrique était dévoilé par le Gouvernement du Québec, représenté par M. David Heurtel du ministère du Développement durable et par Mme Francine Charbonneau au nom du ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles.
Ils ont confirmé l'attribution d'une subvention de 2 000 000 $ à l'entreprise Autobus Lion inc. pour la mise en service de six véhicules « E-Lion ». Le projet d'Autobus Lion consiste à mettre en service, pour une période de neuf mois, six véhicules qui circuleront sur différents circuits scolaires réguliers et dans les mêmes conditions d'exploitation que les véhicules habituels. Cette phase de démonstration permettra à Autobus Lion de récolter une multitude de données sur les paramètres de fonctionnement (autonomie, puissance, comportement routier), étape nécessaire et préliminaire à une production commerciale. « L'électrification des transports constitue une révolution technologique importante, plus que bienvenue pour le Québec. Grâce aux revenus du Fonds vert issus principalement du marché du carbone, le gouvernement est en mesure de soutenir les entreprises d'ici dans leur transition vers un monde plus sobre en carbone. En plus de favoriser la relance et le développement durable de notre économie, des projets porteurs comme celui d'Autobus Lion nous permettent de lutter, ensemble, contre les changements climatiques afin d'assurer une bonne qualité de vie à nos enfants », a déclaré le ministre Heurtel. « Le projet « E-Lion » devrait avoir des retombées économiques importantes pour la région de Laval et pour le Québec, puisqu'une importante proportion des composantes du véhicule seront fabriquées ici, et que son potentiel d'exportation est très important. Plusieurs États américains ont d'ailleurs déjà signifié de l'intérêt pour cet autobus », a précisé la ministreFrancine Charbonneau. Avec l'aide de trois partenaires québécois, soit TM4, B3CG Interconnect et le Centre national du transport avancé (CNTA), Autobus Lion inc. a développé un système de motorisation électrique lui permettant d'atteindre une autonomie de plus de 100 km. Une recharge à mi-journée porte cette autonomie à plus de 200 km quotidiennement. Quant à l'aspect énergétique, l'autobus évitera la consommation de 8 250 l de diesel par an, soit la consommation moyenne d'un autobus traditionnel. Enfin, Autobus Lion inc. estime que le potentiel de marché devrait augmenter progressivement pour atteindre plusieurs centaines de véhicules électriques par année. « L'électrification des transports présente des avantages incontestables sur les plans de l'efficacité énergétique et du développement économique, et ce, en sus des bénéfices en termes de qualité de l'air et de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Rappelons que chaque dollar qui sera dépensé en hydroélectricité pour faire le plein est un dollar qui restera au Québec, plutôt que d'être versé à des producteurs de pétrole étrangers. C'est pourquoi notre gouvernement est heureux de soutenir Autobus Lion et ses partenaires. Investir dans l'électrification des transports, c'est investir dans l'avenir, notre avenir, celui de nos enfants et de nos entreprises », a mentionné le ministre Arcand. Ce projet s'inscrit dans le cadre du Plan d'action 2013-2020 sur les changements climatiques et est financé par le Fonds vert du Gouvernement du Québec Source: Gouvernement du Québec La première borne de recharge pour voitures électriques vient d’être inaugurée à Dubaï, la plus importante ville des Emirats arabes unis. D’ici avril 2015, 100 stations de charge essentiellement installées sur les parkings des centres commerciaux et des restaurants seront opérationnelles. Au printemps 2014, nous vous annoncions le lancement d’un vaste projet de déploiement de bornes de recharge pour véhicules électriques à Dubaï. Dans le cadre du projet Smart City visant notamment à réduire la pollution atmosphérique et sonore des transports, le petit Emirat appartenant aux EAU vient d’inaugurer sa première station de charge au siège de l’opérateur Dubaï Electricity & Water Authority (DEWA). Avec 8 mois d’avance sur le calendrier initial, les 100 stations seront opérationnelles à fin avril 2015. Ces bornes de recharge sont destinées à rassurer les acheteurs de voitures électriques et hybrides rechargeables quant à la possibilité de faire le plein dans l’espace public.
Dans le petit Emirat, il a ainsi déjà commercialisé 65 Renault Twizy et la Renault ZOE y sera lancée dans les toutes prochaines semaines. Concernant les bornes de recharge, Emirates 24/7 évoque une charge « accélérée » délivrant une puissance de 22 kW combinée à une charge « normale » (3 kW). Une configuration équivalente à celle déployée par les collectivités françaises. Au Québec, les charges "normales" disponibles au public sont de 7.2 kW et les charges rapides sont à 50 kW (Circuit Électrique, Réseau VER, Réseau AZRA).
Source: Breezcar Dans ce reportage provenant de Californie, une généreuse femme a acheté à sa mère la voiture de ses rêves: une voiture entièrement électrique. Cependant, la mère habite un condo et depuis qu'elle a pris possession de sa Nissan LEAF, cette dernière fut stationnée sans pouvoir être utilisée car le conseil d'administration de la copropriété refuse qu'elle recharge sa voiture.
Bien entendu, on pourrait argumenter qu'elle pourrait tout de même faire la recharge à une borne publique, mais pour une dame plus âgée, ce n'est pas une solution pratique. Le conseil d'administration met plusieurs bâtons dans les roues à ces gens qui ne demandent que de payer des frais justes et équitables à la consommation en électricité sans effectuer des travaux dispendieux. »» Lire notre guide sur l'installation d'une borne de recharge en copropriété »» Lire l'expérience condo d'un membre et ses recommendations Comme plusieurs l'ont expérimenté dans le passé, les propriétaires de VÉ font face à de la résistance par les membres d'un conseil d'administration qui bien souvent sont bénévoles, et qui ne veulent pas se casser la tête. Leur parler d'une voiture électrique et de recharge semble très compliqué, et ils n'osent pas prendre de décision par simple peur et manque d'information. Ils ne voient pas l'avantage ni l'impact sur la valeur de leur copropriété en devenant "électrophile" (EV-Friendly). Dans l'histoire qui nous concerne ci-haut, l'appel à une équipe de reporters télé (semblable à l'émission J.E.) a permis d'ébranler quelque peu le conseil d'administration qui ont décidé de démettre de ses fonctions le président, et qui nous l'espérons aura permis à la propriétaire de Nissan LEAF d'aller de l'avant avec une solution sensée pour qu'elle puisse recharger sa voiture. Dans moins d'un mois, nous allons vous présenter en primeur une solution innovatrice pour la recharge en condo qui risque de faire beaucoup jaser. Restez à l'affut de nos Actualités pour les détails! Le ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, M. David Heurtel, a rendu publics aujourd’hui les résultats de la vente aux enchères d’unités d’émission de gaz à effet de serre (GES) du 18 février dernier, tenue conjointement avec la Californie. Il s’agissait de la deuxième vente aux enchères conjointe à se tenir depuis la liaison des marchés du Québec et de la Californie, en vigueur depuis le 1er janvier 2014.
Les participants à la vente aux enchères de février ont soumis des offres dont la somme est de 16 % supérieure au nombre d’unités de millésime 2015 mises en vente et de 5 % supérieure à l’ensemble des unités de 2018. Ainsi, 73 610 528 unités de 2015 se sont écoulées à un prix de 15,14 $ CA (12,21 $ US) et 10 431 500 unités de 2018 se sont écoulées à un prix de 15,01 $ CA (12,10 $ US). La vente a généré des revenus bruts de l’ordre de 190 millions de dollars canadiens pour le Québec, pour un total cumulatif de plus de 330 millions de dollars, depuis la première vente aux enchères tenue par le Québec en décembre 2013. «Le marché du carbone fait appel aux solutions d’innovation et ouvre la voie au développement de l’expertise québécoise dans de nouveaux créneaux de pointe. Grâce aux revenus du Fonds vert issus principalement du marché du carbone, le gouvernement soutient les entreprises d’ici dans leur transition vers un monde plus sobre en carbone. En plus de favoriser la relance et le développement durable de notre économie, cet outil de fiscalité verte nous permet de lutter, ensemble, contre les changements climatiques afin d’assurer une qualité de vie à nos enfants », a déclaré le ministre Heurtel. Rappelons que le marché du carbone est l’élément central de la stratégie québécoise de lutte contre les changements climatiques. La totalité des revenus qu’il génère est versée au Fonds vert et réinvestie dans la mise en œuvre du Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques (PACC 2013-2020), qui vise à réduire les émissions de GES et à favoriser l’adaptation de la société québécoise aux conséquences des changements climatiques, tout en contribuant à la relance économique du Québec. Le sommaire des résultats de la vente aux enchères du 18 février est disponible sur le site Web du Ministère : www.mddelcc.gouv.qc.ca/changements/carbone. Source: Gouvernement du Québec Le 17 février dernier, le gouvernement de la C.-B. a présenté son budget 2015 qui comprend la réintroduction du programme Clean Energy Vehicle (CEV). Le nouveau programme inclut des incitatifs pour les véhicules, l'infrastructure, l'éducation et les activités de sensibilisation.
Le chapitre de la Colombie-Britannique de Mobilité Électrique Canada (MÉC) s'était mis au travail l'automne dernier et avait proposé ses recommandations pour la continuation du programme CEV. Il semble que leurs efforts ont contribué au retour du programme. MÉC aimerait féliciter les membres qui ont aidé à rédiger cet important document: Aparc Systems, BC Hydro, BCIT, la ville de Surrey, la ville de Vancouver, EJTC, Fraser Basin Council, Metro Vancouver, le Conseil national de recherche, Powertech Labs, Toxco Waste Management, Sun Country Highway, University of Victoria, VEVA, VRD et Clean Energy Canada. À l'origine, le programme CEV offrait des incitatifs à l'achat pouvant aller jusqu'à 5000 $ par véhicule et a financé l'infrastructure de VÉ (plus de 1000 bornes publiques et résidentielles), l'infrastructure à hydrogène, 10 projets de recherche et de formation avec des collèges et des universités ainsi que le programme de sensibilisation Emotive. Grâce au programme CEV, aux efforts de ses partenaires et au leadership des premiers conducteurs de VÉ, la C.-B. a le plus grand réseau de bornes de recharge publiques au Canada (703 bornes) et un des plus haut taux de VÉ per capita au Canada. Les détails sur le nouveau programme CEV seront annoncés au cours des prochains mois. Source: Mobilité Électrique Canada IRVING, TX- Vantée comme source de carburant rapidement renouvelable et facilement accessible, ExxonMobil a révélé une nouvelle méthode d'extraction du pétrole lucrative vendredi qui implique le forage directement dans les stations d'essence.
«Nous avons trouvé des réserves quasi-illimitées de pétrole hautement raffiné sous quelques mètres à des milliers de stations-service à travers le pays», a déclaré le PDG d'ExxonMobil Rex Tillerson, notant que la compagnie avait déjà érigé des plates-formes d'extraction de pétrole à côté des ilots de pompes dans les 50 États. «Au moment où je vous parle, nous extrayons 3 millions de barils par jour simplement en perçant quelques couches minces d'asphalte, de béton et de métal. Et, assez étonnamment, l'offre semble se renouveler en quelque sorte chaque semaine.» Tillerson a poursuivi en disant que l'entreprise étudiait la possibilité de retrouver des sources massives de pétrole inexploité dans les voitures des Américains, ainsi que dans leurs maisons. Source: The Onion BONNE NOUVELLE!
Au Salon de l'auto de Toronto, le président de GM Canada Steve Carlisle reprenait à la virgule près les propos que Mary Barra, PDG du groupe américain, a tenus à Detroit un mois plus tôt: «L'objectif est de produire une voiture électrique proposant 300 kilomètres d'autonomie par charge, et dont le prix de détail sera d'environ 30 000 dollars», ont dit l'un l'autre, presqu'en canon, tellement ils disaient la même chose. Les snowbirds qui font la navette Québec-Floride vous le diront, il existe pourtant une différence grandissante entre 30 000 dollars américains et 30 000 dollars canadiens. L'affaire d'à peu près 26 %, au moment d'écrire ces lignes. D'ailleurs, on soupçonnait en janvier que la Bolt coûterait plutôt quelque 35 000 dollars chez nous, taux de change aidant… Or, GM Canada insiste: l'objectif ici aussi est d'arriver le plus près possible de 30 000 dollars tout rond. Évidemment, ça inclut tous les rabais et incitatifs gouvernementaux possibles, et ça risque de varier d'une province à l'autre, mais le Québec (et l'Ontario) étant parmi les plus généreux sur le continent, ça se pourrait bien que la prochaine génération de voiture électrique signée Chevrolet (la première étant la Spark EV) soit non seulement étonnamment efficace en terme d'autonomie, mais qu'elle demeure tout de même assez abordable pour ne pas faire fuir la clientèle. Source: Autonet Augmentation prévue de 10 fois pour les ventes de camions et d'autobus électriques d'ici 20237/2/2015 Selon un nouveau rapport de Navigant recherche, les ventes de camions et d'autobus électriques devraient progresser d'un facteur de 10 entre maintenant et 2023. Le rapport en question prédit que les ventes mondiales de véhicules commerciaux à batteries et véhicules utiilitaires assistée à l'électricité augmenteront de moins de 16 000 unités en 2014 à plus de 160 000 par année en 2023. Cependant, les taux de pénétration globale pour cette technologie dans l'ensemble du marché devraient rester relativement faibles. Sans surprises, la croissance la plus grande sera dans les technologies qui implique le 'start-stop' des moteurs thermiques dans les environnements urbains. Dans l'ensemble, on prévoit que les hybrides diesel vont rester les plus populaires dans les camions de grosseur moyenne et lourds pour la période étudiée. Les véhicules commerciaux totalement à batterie verront une augmentation de leur demande dans les environnement urbains, où les flottes ont une moyenne plus basse de kilométrage quotidien. Malgré la prédiction précitée que les taux de pénétration globaux pour les camions à propulsion électrique et autobus resteront relativement faible (passant de 0,4% en 2014 à 2,9% en 2023). Certaines régions spécifiques verront réellement une forte croissance. En particulier, le Japon devrait voir la ses taux atteindre 21,2% en 2023. Les autres régions qui verront un taux de pénétration relativement élevés seront celles qui partagent des qualités communes avec le Japon - des environnements urbains denses et un gouvernement qui cherche à réduire les émissions de polluants et de carbone. Source: CleanTechnica
Collaboration: Dany Labrecque Selon des sources proches de l'agence Reuters, General Motors débuterait à l'automne 2016 la production de son prototype Chevrolet Bolt présenté au NAIAS le mois dernier. Les deux fournisseurs de pièces qui n'ont pas été identifiés ont mentionné que l'usine de Orion serait celle utilisée pour sa fabrication, aux côtés de la Sonic 2016 et d'une déclinaison européenne sous le badge Opel. L'introduction de ce modèle entièrement électrique d'une autonomie proche de 300 kilomètres aurait lieu au début de l'année 2017 aux États-Unis. Étant toujours un prototype, GM Canada n'a pas commenté sa possible disponibilité au Québec. Le prix annoncé de 30,000$ est en devise américaine, et inclus le rabais fédéral de 7,500$. Au Canada on peut s'attendre à un prix de 42,000$ avant l'incitatif provincial de 8,000$ qui viendra à échéance le 31 décembre 2016. Si cet incitatif n'est pas renouvelé, le prix serait donc de 42,000$. Rappelons que ces derniers n'ont toujours pas rendu la Spark EV disponible aux consommateurs malgré des appels répétés par les instances gouvernementales, para-gouvernementales et les groupes d'électromobilistes de la province. Source: Reuters Obama propose un nouveau plan de rabais à l'achat de 10,000$ pour les véhicules électriques6/2/2015 L'administration Obama a proposé d'augmenter le crédit d'impôt fédéral actuel de 7 500$ à 10 000$. Le plan inclurait aussi les véhicules propulsés au gaz naturel pour la première fois, mais étrangement, les véhicules à hydrogène ne sont pas mentionnés.
La proposition irait même jusqu'à convertir le crédit d'impôt en rabais à l'achat, ce qui se traduirait en économie immédiate pour le consommateur. De plus, le rabais déjà existant prévoyait une échelle de rabais proportionnelle au salaire alors que le nouveau serait accessible à tous. Cette initiative serait bénéfique à l'industrie de l'automobile verte, mais il est probable qu'elle se heurte au Congrès américain, maintenant majoritairement républicain. Fortement opposé à toutes les propositions d'Obama, le Congrès pourrait considérer de bloquer cette proposition. Obama avait comme objectif d'introduire 1 000 000 véhicules électriques et hybrides rechargeables en 2014, cependant on pourrait devoir attendre jusqu'en 2018 avant que ce chiffre soit atteint. À noter que cet incitatif financier est le même proposé par l'AVÉQ lors de la Commission des transports et de l'environnement, sur un total de 50,000 véhicules électriques (et non une date précise de clôture des incitatifs) Source: Ecomento |
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