La société d’état BC Hydro a complété la deuxième phase de son réseau de recharge rapide pour véhicules électriques. 28 nouvelles stations BRCC permettent maintenant de relier l’Alberta à la côte ouest (Tofino). Le réseau britannico-colombien compte maintenant 58 stations de recharge BRCC.
Cette deuxième phase à permis de densifier l'offre de recharge rapide dans la région métropolitaine de Vancouver et de mieux couvrir les régions de l'île de Vancouver et de East Kootenay.
BC Hydro passera maintenant à la troisième phase de développement de son réseau de recharge rapide, pour assurer une couverture du nord au sud, de Kamloops à Prince George (plus de 500 km)… et éventuellement jusqu'à Prince Rupert (700 km de plus).
Commentaires
La Colombie britannique pourrait bien être la prochaine province à adopter une loi sur les véhicules à zéro émissions comme l'a fait le Québec.
Le gouvernement de la Colombie britannique ne s'est pas encore engagé formellement à le faire, mais le projet est déjà appuyé par le Comité aviseur sur les changements climatiques (climate advisory council) qui participe à la préparation pour cette automne de la stratégie de lutte aux changements climatiques de la province.
En fait, le projet est sur la table depuis une décennie en Colombie britannique, mais il a toujours été tabletté par le gouvernement libéral provincial. Reste à voir si les élus du gouvernement néo-démocrate actuel auront le courage d'affronter l'Association des concessionnaires automobile de Colombie Britannique qui s'oppose farouchement à une telle loi.
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La Colombie-Britannique annonce qu'elle doublera le nombre de stations de recharge pour les véhicules électriques dans la province. La ministre de l'Énergie espère ainsi encourager les conducteurs à se tourner vers les énergies propres.
L'accès à une borne de recharge demeure un obstacle majeur qui empêche les consommateurs à faire l'acquisition d'une voiture électrique.
Si tout va comme prévu, les utilisateurs de voitures électriques auront bientôt accès à 64 stations de recharge réparties dans toute la province. La Colombie-Britannique offre une gamme d'incitatifs pour encourager les consommateurs à faire l'acquisition d'une voiture à énergie propre. Par exemple, un rabais de 5000 $ pour l'achat d'une voiture électrique ou une réduction de 6000 $ pour une voiture à hydrogène. Il existe aussi un programme d'aides pour l'installation d'une borne de recharge à la maison. Il existe environ 9500 véhicules électriques, hybrides et hydrogènes en Colombie-Britannique. La province se classe deuxième au Canada -- après le Québec -- pour le nombre de voitures dites propres, selon l'organisme à but non lucratif Plug In BC. Source : Ici Radio-Canada Contribution : Martin Archambault
Concours FLO; La pression du VÉ s’intensifie sur le gouvernement fédéral; Un recours collectif historique contre Volkswagen-Audi; Normalisation du réseau de bornes de recharge en Colombie-Britannique : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Daniel Rochefort
Un peu partout au pays, la révolution de la voiture électrique est encore un rêve sur le long terme - mais pas sur Salt Spring Island, une destination touristique au top des palmarès en Colombie-Britannique.
Ici, les résidents ont résolument pris le virage électrique, de manière si importante que certains d'entre eux croient que l'île peut maintenant revendiquer le titre de «Capitale électromobile du Canada». "Nous prenons beaucoup de café ici et un jour nous étions assis en train de compter les VÉ qui passaient. Plus tard, le jeu s'est transformé à compter les [Nissan] Leafs rouges!", a déclaré Jim Standen, le registraire auto-proclamé des voitures électriques de Salt Spring. "J'ai donc créé une base de données ... et une chose a mené à une autre et maintenant nous sommes rendu à 111 voitures électriques, alors que statistiquement au Canada, nous devrions en avoir cinq". La Colombie-Britannique prévoit investir 50M$ sur 5 ans pour les infrastructures de recharge21/6/2017
Les Libéraux de la Colombie-Britannique promettent un investissement de 50 millions de dollars pour recharger plus de véhicules électriques dans toute la province.
Le ministre de l'Environnement, Jordan Sturdy, déclare que les Libéraux ne laisseront pas leur statut de gouvernement minoritaire servir de frein aux plans en cours pour construire des infrastructures pour soutenir les véhicules électriques. Il indique que le discours du Trône de jeudi comprend un plan visant à dépenser 50 millions de dollars sur cinq ans pour ajouter plus de 4 300 stations de recharge pour les véhicules électriques. Il dit qu'il sait que les Libéraux sont confrontés à un vote de confiance dans la législature qui pourrait voir leur défaite, mais l'initiative des véhicules électriques fait partie du plan du gouvernement de mettre plus de véhicules à émission nulle sur la route. Don Chandler de l'Association des véhicules électriques de Vancouver (VEVA) a accueilli la nouvelle avec optimisme, même si c'est un peu dernière minute. "À l'heure actuelle, vous pouvez conduire de Victoria à Revelstoke, mais vous ne pouvez aller plus loin, car il n'y a pas de bornes de recharge. Vous ne pouvez pas vous rendre au nord de la Transcanadienne. " "Cet exercice pour les véhicules électriques annoncé à la onzième heure par les Libéraux est quelque chose qu'ils auraient pu faire il y a quelques années, mais ils ont traîné les pieds sur ce point", dit-il. Chandler espère que le NPD et les Verts appuieront les véhicules électriques si les Libéraux sont vaincus dans un vote de confiance la semaine prochaine comme prévu. "Cela accélèrerait grandement l'adoption des véhicules électriques si cela devait se concrétiser. Je soupçonne que les autres parties vont également s'y rallier ". Avec peu de détails sur la promesse à ce stade, Chandler est désireux de connaitre le type de station de recharge qui est promis (240V ou BRCC) "Nous aurons toujours besoin de bornes rapides sur autoroute et de bornes commerciales chez les détaillants". Source: VEVA Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Le financement appuiera le développement de voitures plus légères et plus éconergétiques qui émettent moins de gaz à effet de serre.
Un investissement du gouvernement fédéral de 11,5 millions de dollars dans la technologie de l'automobile créera jusqu'à 80 emplois en Colombie-Britannique, en Ontario et au Québec.
Le financement de six nouveaux projets dans le cadre du Programme d'innovation pour les fournisseurs du secteur automobile appuiera le développement de voitures plus légères et plus éconergétiques qui émettent moins de gaz à effet de serre. Datec Coating Corporation, à Mississauga, en Ontario, recevra jusqu'à 1,3 million de dollars pour développer des technologies qui amélioreront les systèmes de gestion thermique pour les habitacles d'automobiles électriques et hybrides et pour mettre au point une batterie lithium-ion et du liquide pour moteur. Tyromer Inc. à Windsor, en Ontario recevra 3,4 millions de dollars pour utiliser du caoutchouc recyclé pour sceller les fenêtres et les portes des voitures. Jusqu'à 1,7 million de dollars seront versés à Eurospec Manufacturing Inc. à Newmarket, en Ontario, pour développer un meilleur mécanisme d’ajustement du siège automobile. Loop Energy Inc. à Burnaby, en Colombie-Britannique, obtiendra 787 000 $ pour développer une pile à combustible qui générera plus de puissance. TM4 Inc., la filiale d’Hydro-Québec basée à Boucherville, au Québec, recevra jusqu'à 4 millions de dollars pour développer un moteur électrique à faible coût et performant pour les camions légers. Enfin, jusqu'à 272 000 $ seront versés à Advanced Technology Emission Solutions Inc., à Hamilton, pour développer un convertisseur catalytique qui réduit les émissions de gaz à effet de serre des tuyaux d'échappement.
Source : Plant.ca
Contribution : Naïma Hassert
Relativement peu connue au Québec, la compagnie de Colombie-Britannique Electra Meccanica a bien l'intention de nous en mettre plein la vue dans les prochains mois avec sa voiture électrique à 3 roues baptisée SOLO.
Fabriquée au Canada, cette voiture électrique comportant un seul siège n'a pas l'intention de remplacer la voiture familiale, mais bien d'être complémentaire aux différents véhicules que peuvent composer un foyer. Les automobilistes en sont bien conscient car en plein trafic, on remarque que la majorité des voitures et VUS sur la route transportent un seul occupant lors des déplacements entre la maison et le travail, et c'est là que l'équipe marketing de la compagnie devra vendre ce concept d'auto-solo écolo. Avec ses roues en alliage de 15" et un poids de 626 kg, la Solo offre une accélération fort sympathique 0-100 km/h en 8 secondes grâce à son moteur électrique offrant 82 chevaux et un couple de 120 Nm, pour une vitesse maximale limitée électroniquement à 130 km/h (mais elle peut monter jusqu'à 220!). Sa batterie de 16.1 kWh offre une autonomie de 160 km, et se recharge via un port J1772 caché derrière la plaque d'immatriculation en 3 heures. Pour ceux qui désirent plus de performance, une version sportive devrait être dévoilée le 28 mars.
Heureusement, la Solo possède un intérieur offrant quelques accessoires pour rendre le trajet moins ennuyeux et plus confortable, avec un écran LCD couleur donnant différentes informations sur les systèmes en fonction; des fenêtres électriques, un radio AM/FM stéréo avec Bluetooth/CD/USB, chauffage et dégivrage des fenêtres, ainsi qu'une caméra de recul et 285 litres de rangement. L'impressionnante vidéo ci-dessous montre l'espace cargo disponible en permettant au conducteur d'y ranger un panier plein de produits achetés chez Costco!!
À partir de 19,988$, les premières livraisons auront lieu dès le mois prochain auprès de quelques dizaines de chanceux propriétaires et le calendrier de fabrication prévoit la construction de 400 unités en 2017 - qui sont déjà toutes réservées. Les nouveaux clients qui font un dépôt de 250$ peuvent espérer obtenir leur Solo dès 2018. À noter qu'en Colombie-Britannique, la Solo aura droit à l'incitatif gouvernemental de 5,000$, et les dirigeants sont en discussions avec l'Ontario et le Québec pour que leur véhicule ait aussi droit à un incitatif pour VÉ. Le marché américain est également visé.
Similaire en concept à la Twizy, mais avec un prix intéressant, une capacité de cargo incroyable, et une vitesse lui permettant de se déplacer sur autoroute, ce véhicule semble avoir des qualités indéniables. On espère que cette compagnie canadienne saura se démarquer de l'abordable et séduisante Sondors (déjà 1M$ en financement privé) qui doit présenter son prototype cet automne. Et vous? Est-ce que ce type de véhicule hors-normes vous intéresserait s'il était disponible ici? Source: Electra Meccanica Contributeur: Simon-Pierre Rioux Lors d’une balade effectuée dans la région de Kelowna, en Colombie-Britannique, le journaliste d’AutoGuide Dan Ilika a pu donner ses premières impressions de conduite sur la nouvelle Hyundai Ionique électrique 2017. Voici le détail de sa journée et ses nombreuses observations.
Il est peu probable que Hyundai avait à l'esprit ce genre d'événement médiatique pour sa toute nouvelle Ioniq électrique, la première tentative de la marque pour percer le difficile marché des ventes de VÉs. Ma critique implique un épisode inattendu de mauvais temps à Kelowna, C.-B. Il n'est pas surprenant de voir des températures dans les environs de 8 ° C durant cette période de l'année dans la belle vallée de l'Okanogan, mais on parle plutôt ici d'environ -5 ° C, accompagné d’un mélange de neige et de pluie verglaçante. Cela pose des problèmes évidents. Le froid est l'ennemi des véhicules électriques. De ses effets sur la batterie elle-même à l'énergie supplémentaire requise pour faire fonctionner le système de contrôle du climat de la voiture, l’autonomie est réduite de façon importante lorsque le mercure plonge. Malgré tout, nous étions prêts à partir pour un voyage d'environ 113 km, soit un peu plus de la moitié de l’autonomie estimée du véhicule. Seul hic, notre testeur n’est jamais arrivé à atteindre les 200 km d’autonomie dont la voiture est capable, malgré nos efforts pour la recharger à son maximum. Un sentiment d'anxiété s’est alors fait sentir, même si nous ne voulions l'admettre. Une autonomie raisonnable Une partie de cette anxiété est aussi liée aux caractéristiques de base du véhicule. Dotée d'une batterie de 28 kWh, la Hyundai Ioniq électrique a une autonomie estimée de 200 km. C'est à peine mieux que l’ancienne Nissan Leaf (172 kilomètres), qui a été lancée en 2010, et presque la moitié de l’autonomie de la toute nouvelle Chevrolet Bolt (383 kilomètres), bien que sa batterie ait deux fois sa capacité. Équiper la voiture d’une plus grande batterie offrirait sans doute plus de tranquillité d'esprit, mais cela se ferait au péril de l'espace de chargement. Puisque la batterie de la Ioniq est placée sous le coffre, il y a déjà beaucoup moins d'espace que la version hybride. Avec ses 23 pi3 (651 litres) d'espace derrière les sièges arrière, elle offre beaucoup moins de volume que les 26,5 pi³ (750 litres) de son acolyte hybride. Mais peu importe où elle se situe dans la hiérarchie de l’autonomie estimée des VÉs, soyez assuré que la Ioniq peut facilement couvrir les déplacements quotidiens de la plupart des conducteurs, surtout s'ils utilisent des stations de recharge au travail. La pompe à chaleur peut aussi aider à réduire les préoccupations au sujet de l’autonomie, car elle travaille à réduire la quantité d’énergie brulée par la batterie en raison du système de climatisation. Quant à la recharge, elle peut être faite de trois manières, chacune plus efficace que la précédente. Une prise murale standard de 120 volts fera le travail en 24 heures, tandis qu'un chargeur de niveau II fonctionnant à 240 volts prendra environ quatre heures et demie. Brancher la voiture dans un chargeur rapide de niveau III réduit ce temps à environ 30 minutes. Sensation de conduite familiale Pour se préparer à une conduite sur chaussée enneigée, l’autonomie du véhicule a été estimée à environ 169 km, ce qui semblait largement suffisant. Notre itinéraire nous a conduit au-delà de West Kelowna, où les routes sinueuses sculptent leur chemin à travers la région viticole. Les détours sont déconseillés, de peur de manquer d’énergie, et nous acceptons donc de suivre ce qui a été planifié pour nous - avec l’ajout mineur d’un arrêt à une pharmacie pour de très nécessaires médicaments contre le rhume. Pour faire circuler la puissance de la batterie aux roues avant, on propose un moteur électrique et une boîte de vitesses à réduction de vitesse unique, tandis qu'un ensemble de freins de récupération peut retourner de l'énergie à la batterie. Le moteur électrique offre un bon 120 chevaux et un solide couple de 215 livres-pieds, qui s’activent dès que la pédale d'accélération est actionnée. Même si la Ioniq est quelque peu entravée par le poids supplémentaire de sa batterie résistante, le couple instantané du moteur électrique permet de surmonter cet aspect, sans pour autant affecter l’agilité du véhicule. Bien qu’elle puisse certainement être décrite comme docile, sa conduite est étonnamment semblable à une voiture classique à essence. Malgré une sensation de flottement sur la route, comme une vieille Lincoln sur une surface inégale, en raison de son centre de gravité bas créé par la batterie, la voiture dispose d’une direction tendue et sensible qui est supérieure à sa semblable gaz-électrique, l'Ioniq hybride. Elle n'est cependant pas aussi solide que cette dernière sur les surfaces glissantes, et manque de traction à certains moments. Pour ralentir l'étonnamment svelte Ioniq électrique - elle pèse seulement 1164 lb (1 435 kg) en version de base, et 3285 lb (1 490 kg) lorsqu'elle est entièrement équipée - on propose un système de freinage avec quatre niveaux de régénération, chacun plus agressif que le dernier. Le niveau de régénération peut être arrêté complètement ou mis en marche pour maximiser la quantité d'énergie qui est retourner vers la batterie. Les freins détonnent certainement, et ils ne bénéficient pas de la fonction « regen-on-demand » trouvée dans le duo électrifié de la Chevrolet, la Volt et la Bolt, mais une pédale de conduite est possible avec le niveau de régénération maximisé. Un VÉ abordable La Ioniq ne peut se comparer à des modèles comme la Chevrolet Bolt - ou la Tesla Model 3 à venir - côté autonomie, mais elle les bat au niveau du prix. Les modèles de base commencent à seulement 29 500 $ (les voitures canadiennes sont estimées à 35 000 $) et sont équipées de fonctionnalités comme le démarrage par bouton-poussoir et d'un système d'info-divertissement tactile de 7 pouces avec Android Auto et Apple CarPlay. Par contre, attendez-vous à ce qu’une version entièrement équipée coûte environ 35 000$ (estimé à 42 000$ au Canada). C’est une offre particulièrement intéressante par rapport à tous les autres VÉs sur le marché, et qui devient encore plus intéressante lorsque des incitatifs gouvernementaux sont ajoutés. Ces rabais amènent le prix assez bas pour rivaliser avec des compactes à essence comme la Hyundai Elantra de même taille. Même sans tout le luxe inclus dans la version limitée, la Ioniq offre un look intérieur haut de gamme. La disposition est rangée et moderne, alors que la console centrale simplifiée comporte une manette de vitesse à fil dotée de boutons à la place d'un levier. La cabine est beaucoup plus grande à l’avant que les dimensions compactes de la voiture ne le suggèrent. L'espace pour les sièges arrière, quant à lui, est loin d'être généreux, mais il y en a suffisamment pour la tête et les jambes afin de transporter une paire de passagers. Le verdict En terminant notre parcours à courte distance de l'endroit où nous l’avions commencé, notre testeur affichait encore près de 80 km d’autonomie - un exploit impressionnant compte tenu de la distance que nous avons parcourue et les conditions dans lesquelles nous avons dû nous déplacer. La dynamique de conduite de la première offre tout-électrique de Hyundai est impressionnante, même avec le temps d'hiver froid qui nous a d’abord semblé menaçant pour son autonomie. NDLR AVÉQ : Pour avoir testé la Ioniq, elle semble faire mieux avec ses 28 kWh que les autres voitures avec des batteries de même taille. La gestion de l'énergie semble donc mieux faite ce qui lui donne une longueur d'avance sur l'autonomie réelle vs la capacité de batterie. Source: AutoGuide Contribution: Peggy Bédard |
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