Richard Lemelin, Vice-Président de l'AVÉQ était en entrevue à l'émission "Virage". Il a parlé de l'importance de l'infrastructure de recharge et des motivations derrièrela pétition pour avoir 2000 bornes de recharge rapide.
Source : Tele-Mag.TV
Commentaires
Vous avez déjà signé ? Maintenant voici une autre façon de nous aider... Trouvez-nous trois autres personnes qui signeront la pétition... Pas besoin d'avoir déjà une voiture électrique pour signer. Un futur acheteur , un ado , un ami intéressé à aider... Toutes les signatures comptent !
Questionné sur divers sujets reliés à l'électrification des transports dès l'ouverture de la période de questions à l'Assemblée nationale ce mercredi 21 février, le Premier ministre Philippe Couillard, manifestement au courant de la pétition concernant 2000 bornes rapides, a mentionné que cette cible «manque d'ambition» et ajoute «qu'on peut faire mieux que ça». Un extrait de la période de questions est présenté ci-dessous. Le passage est à 2 minutes 30 secondes. MAJ : Est-ce que le Premier ministre est au «courant» de la différence entre une borne rapide (Niveau 3 à 400 volts) et une borne dite régulière (Niveau 2 à 240 volts) ? Le tableau ci-dessous permet de différencier les 2 : Est-ce que le Premier ministre Couillard fera une annonce «ambitieuse» prochainement ? C'est à suivre. Dans l'extrait vidéo, le député Sylvain Gaudreault explique également le fonctionnement de la filière de l'hydrogène au Québec, à l'aide d'un tableau didactique. Voyez la couverture médiatique à ce sujet: Source : Assemblée nationale
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
L’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) réclame que l’on complète le réseau des bornes électriques au Québec avant de financer une station à hydrogène.
Le Bureau d’enquête révélait la semaine dernière que le gouvernement fédéral a confirmé une subvention de 1 M$ pour une première station à hydrogène à Québec, laquelle servira à un projet pilote de 50 voitures Mirai du géant Toyota.
Transition énergétique Québec pourrait financer jusqu’à 50 % du coût de cette station qui dépasserait les 4 millions $. Selon Martin Archambault, porte-parole de l’AVÉQ, il s’agit d’une «aberration». «C’est excessivement cher l’hydrogène. Une borne électrique, c’est 50 000 $. On pourrait doubler le nombre de bornes de recharge rapide avec le coût des deux stations à hydrogène», précise M. Archambault. La semaine dernière, l’AVÉQ a lancé une pétition exigeant le déploiement de 2000 bornes supplémentaires d’ici 2020, pétition qui a obtenu l’appui du PQ à l’Assemblée nationale. «Si on veut 100 000 véhicules électriques au Québec d’ici 2020, il faut un meilleur réseau de bornes électriques pour en stimuler la vente», déclare le député Marc Bourcier. Filière libérale ?Par ailleurs, aux yeux de M. Archambault de l’AVÉQ, la présence nombreuse de libéraux dans les rangs des lobbyistes de la filière hydrogène pourrait expliquer le soudain engouement de nos gouvernements pour celle-ci. La semaine dernière, notre Bureau d’enquête a en effet révélé que sept proches du PLQ et du PLC ont agi comme lobbyistes pour promouvoir la voiture à hydrogène par la construction de deux stations à hydrogène. Sources : TVA et Journal de Montréal
La nouvelle aire de service qui remplacera la halte Le Domaine dans la réserve faunique La Vérendrye sera équipée de bornes de recharge pour véhicules électriques.
Le ministère des Transports a confirmé qu'il ne s'agissait pas d'un vœu, mais d'une intention ferme comme l'a assuré le porte-parole du ministère Guillaume Paradis.
Le ministère aménagera des bornes lorsqu'il reconstruira la nouvelle aire de service Le Domaine. Quelle sera la technologie retenue? « Ça reste à déterminer », avoue M. Paradis. « Une bonne nouvelle » Le Domaine compte déjà une borne lente, mais avec 2800 véhicules circulent sur la route 117, dans le secteur où le ministère souhaite aménager la nouvelle aire de service, « une seule borne est bien peu » comme le mentionne Martin Archambault, porte-parole de l'Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ), qui milite pour que 2000 nouvelles bornes de recharge rapide viennent s'ajouter au circuit électrique de la province. Selon lui, que le ministère planifie déjà des bornes électriques, constitue déjà une bonne nouvelle. Souvent, les coûts des bornes de recharges rapides sont liés à l'installation. Il faut casser de l'asphalte, du béton, passer des fils électriques. Quand on peut tout faire ça pendant les travaux de construction ou de confection il y a des gains économiques.
On compte environ 140 bornes rapides réparties un peu partout au Québec, mais pas toujours de manière optimale selon l'AVEQ.
Si le corridor Montréal-Québec est assez bien garni en la matière, pour M. Archambault, la réserve faunique La Vérendrye représente un lieu stratégique pour le déploiement du circuit électrique. « Il faut penser à l'objectif du gouvernement de 100 000 véhicules électriques sur les routes d'ici 2020. Ça va prendre au minimum 2000 bornes de recharge rapides si on ne veut pas avoir d'attente », insiste le porte-parole de l'AVEQ. Une pétition de l'AVEQ figure sur le site de l'Assemblée nationale réclamant une bonification du réseau électrique. L'objectif est d'obtenir 2000 nouvelles bornes de recharge rapide d'ici 2020. Source : Radio-Canada
NDLR : Voici les commentaires d'Alexandre Mercier, Directeur régional AVÉQ pour l'Abitibi-Témiscamingue :
A) Le projet prendra aux bas mots 3 ou 4 ans pour se réaliser. Ceci n'aidera donc pas à court terme pour atteindre l'objectif de 100 000 VÉ d'ici 2020. A moins d'installer la BRCC "avant" la rénovation de l'halte routière. B) Le domaine est situé à 54 km de l'entrée sud du Parc, là ou l'alimentation 600 volts / triphasée arrête. Le domaine est seulement alimenté en 240 V actuellement. Il y a donc aussi un défi d'alimentation électrique à prévoir ! Le Fonds Vert a atteint plus de $2 MILLIARDS en revenus pour le financement du PACC 2013-2020 [MAJ]19/2/2018
Notre dernier article sur le sujet, paru le 31 mai 2017, rapportait que le Fonds Vert cumulait plus de $1,6 MILLIARDS en recettes, majoritairement obtenus du marché du carbone.
Après la vente aux enchères du mois de novembre 2017, nous apprenons via le MDDELCC que les revenus totaux du marché du carbone, versés au Fonds Vert dépassent le cap de $2 MILLIARDS.
Le Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques (PACC 2013-2020) est le principal outil du Québec en matière de lutte contre les changements climatiques. C’est grâce au Fonds vert, dont les revenus sont principalement issus du marché du carbone, que le gouvernement soutient les entreprises, les municipalités et les citoyens dans leur transition vers un monde plus sobre en carbone.
Jusqu’à présent, plus d’une quinzaine de programmes et plusieurs initiatives ont été lancés dans le cadre du PACC 2013-2020, dont les suivants :
Investissements dans les infrastructures de bornes rapides Selon les informations disponibles publiquement, l'AVÉQ a pu retracer uniquement 2 mesures financées par le PACC 2013-2020 impliquant le financement de bornes rapides : En effet, les actions # 14.2.2 "Déploiement des véhicules électriques - Projet-pilote d'installations d'infrastructures de recharge le long de l'autoroute 40" et # 14.10 "Support à l'implantation de bornes de recharge le longs des principaux axes routiers " sont les seules inscrites au plan, selon le registre public (http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/cgfv/documents/fiches-suivi/index.htm) publié par le Conseil de Gestion du Fonds Vert (CGFV) du Québec. Parmi ces 2 actions, uniquement la première (#14.2.2) a été complétée à ce jour, permettant le déploiement de 7 bornes rapides sur l'autoroute 40, entre Montréal et Québec. Un montant de $500 000 dollars provient du Fonds Vert. Le déploiement des bornes de ce projet pilote a été complété en 2015. (http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/cgfv/documents/fiches-suivi/teq/14-2-2-projpilotes-infras-recharge.pdf) La seconde action (#14.10) est en cours, et a contribué au déploiement de bornes de recharge rapide sur quelques sites ( Melbourne, Rigaud et Rivière Beaudette. Plusieurs sites dans des aires de service sont prévus ou en réalisation à Magog, Saint-Jérôme, Saint-Nicolas et Saint-Michel-de-Bellechasse). En date d'octobre 2017, selon la fiche financière (http://www.mddelcc.gouv.qc.ca/cgfv/documents/fiches-suivi/mtmdet/14-10-implantation-bornes-recharges.xlsm) de cette mesure, moins de $350 000 ont été investis sur un budget de $2,5M, soit moins de 14% du budget total.
Selon les informations obtenues et colligées par l'AVÉQ, moins de $1 million aurait été investi dans les infrastructures de recharge rapides au Québec par le PACC 2013-2020, sur un budget totalisant 3,3 MILLIARDS, soit 3 centièmes de 1% du budget (0,03%).
Mise-à-jour : La quatorzième vente aux enchères conjointe d’unités d’émission de GES dans le cadre du programme de plafonnement et d’échange de droits d’émission de la Californie, du Québec et pour la première fois, de l’Ontario aura lieu le 21 février 2018.
Plus de 100 millions d'unités d'émission disponibles pour les enchères, le Québec devrait obtenir un résultat similaire à la dernière vente de novembre dernier, rapportant plus de 232 millions, versés intégralement au Fonds Vert. Les résultats seront publiés le 28 février 2018. Les revenus du marché du carbone, versés au Fonds Vert dépasseront vraisemblablement les $2,2 MILLIARDS après la vente aux enchères du 21 février 2018.
Sources : MDDELCC, CGFV, AVÉQ
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Selon l'Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ), le gouvernement doit prendre les moyens pour atteindre son objectif de 100 000 voitures électriques d'ici 2020, et cela passe en priorité par l'ajout de 2000 bornes de recharge rapide dans l'ensemble de la province.
On en compte environ 140 actuellement, disséminée un peu partout à la faveur du programme Circuit électrique, financé en collaboration avec l’entreprise privée. Un programme qui a atteint ses limites selon l’AVEQ.
« C’est un modèle qui a aidé qui a aidé à démarrer, à mettre la roue en mouvement », estime Martin Archambault, porte-parole de l’organisme de promotion du transport électrique, « mais qui n’est pas du tout adapté au flot grandissant de véhicules électriques qu’on a sur nos routes et qui double chaque année. » D’où le lancement d’une pétition sur le site de l’Assemblée nationale et qui vise à convaincre le gouvernement de prendre le dossier en main et de financer l’installation de nouvelles bornes de recharge rapide. « C’est impossible ou à peu près de rentabiliser une borne de recharge rapide sur un horizon plus rapide que 30 ou 40 ans » estime Martin Archambault, qui rappelle que chaque borne coûte autour de 50 000 $. « Les entreprises qui en installent, comme St-Hubert, Métro, et quelques Villes, le font pour faire un statement vert, pour rendre service aux citoyens. » Utiliser le Fonds Vert Pour financer les installations, l’AVEQ propose d’utiliser l’argent du Fonds Vert du gouvernement du Québec, qui a amassé plus de trois milliards de dollars avec les taxes sur les carburants et les crédits carbone. « Le coût d’installation des 2000 bornes s’élève à 100 000 000 $. Ce n’est pas ça qui va affecter les réserves du Fonds Vert », ironise Martin Archambault. Appui de Sylvain Gaudreault Lui-même conducteur, depuis trois mois, d’une voiture électrique rechargeable, le député péquiste de Jonquière, Sylvain Gaudreault, appuie la requête de l’Association. Il croit aussi que le gouvernement du Québec doit démontrer que l’objectif fixé en matière de véhicules électriques n’est pas qu’un slogan vide. Il ajoute que tout est une question de volonté politique, soulignant certaines décisions récentes prises dans le vaste dossier des transports, dont celle de financer l’installation de deux stations de recharge à hydrogène. « Il y a à peine quelques dizaines d’autos à hydrogène au Québec et [le gouvernement] a annoncé trois millions de dollars pour une borne multirecharge hydrogène », soutient le député de Jonquière, qui se demande si ce choix tient au nombre élevé d’anciens attachés politiques libéraux qui travaillent comme lobbyistes auprès du groupe qui fait la promotion des véhicules à hydrogène auprès du gouvernement Couillard. Source : Radio-Canada
Ho ! surprise... L'une des recommandations phares du dernier rapport du CCEI est l'ajout de 2000 bornes de recharge rapide sur les routes québécoises EN PLUS du réseau déjà projeté pour un total de 4000 bornes de recharge publiques.
Le Conseil consultatif sur l'économie et l'innovation (CCEI) a remis au gouvernement du Québec son document final intitulé «Agir ensemble pour une mise en œuvre réussie». Le CCEI en profite pour presser le gouvernement de mettre en œuvre ses propositions en vue du prochain budget et des élections à venir.
Le Conseil boucle ainsi la boucle avec un plan transformant en projets concrets les 12 recommandations principales du document «Agir ensemble - Pour un Québec innovant, inclusif et prospère» déposé en septembre dernier. 2000 BRCC requises L'une des recommandations phares de ce premier rapport est - ho ! surprise... - l'ajout de 2000 bornes de recharge rapide sur les routes québécoises EN PLUS du réseau déjà projeté pour un total de 4000 bornes de recharge publiques.
Dans son nouveau rapport, le CCEI propose au gouvernement d'investir 140 millions de dollars dans ce nouveau réseau de bornes rapides. Le comité reste cependant conservateur sur l'échéancier, qu'il fixe à 2030.
15 millions de dollars supplémentaires devraient être investis dans une campagne d'information d'une durée de trois ans. Incitatifs à l'achat Bien qu'il proposait originalement d’élever temporairement la subvention maximale pour l’achat d’un véhicule électrique ou hybride rechargeable, jusqu’à l’atteinte de 100000 véhicules électriques, le Conseil ne se prononce pas sur le montant à accorder ni sur la somme à investir dans cette proposition. Par contre, le Conseil suggère au gouvernement de se pencher sur la question et de déterminer le niveau optimal des incitatifs monétaires d' ici la fin de l'été . De la même façon, le Conseil recommanderait une période maximale de quatre mois pour bonifier, en collaboration avec les municipalités, les mesures incitatives non monétaires.
Et l'hydrogène dans tout ça ?
Dans ce qu'il qualifie [de façon un peu erronée !] de «décarbonisation» des transports, le CCEI recommande un investissement massif dans la conversion des véhicules lourds québécois au gaz naturel liquéfié (GNL), au gaz naturel comprimé (GNC) et aux biocarburants. La filière hydrogène n'est pas mentionnée dans le texte, mais elle n'y est pas explicitement exclue non plus. Selon le Conseil, 335 millions de dollars devraient être investis comme participation à la construction d’une vingtaine de stations-service pour carburants alternatifs, et 315 millions de dollars pour bonifier et prolonger les incitatifs à la conversion de camions du programme Écocamionnage.
N’oublions cependant pas que, si on fait une place à la filière hydrogène en tant que «carburant alternatif», cette filière accaparera une part disproportionnée de l’enveloppe en raison de son immaturité et des coûts très élevés de tout ce qui y est lié. Par exemple, on estime à plus de 4 millions de dollars le coût d’une station de recharge d’hydrogène électrolytique «propre». De même, le véhicule à hydrogène coûtera beaucoup plus cher que son équivalent au GNL ou au GNC. Pour un résultat optimal, il serait donc logique d’exclure la filière hydrogène de l’équation… mais le CCEI n’a pas voulu prendre position sur ce sujet glissant.
Des membres du CCEI qui ont du poids
Il est permis d'espérer que les recommandations du CCEI ne seront pas tablettées par le gouvernement. En effet, les membres du CCEI qui ont élaboré la partie sur le transport sont des interlocuteurs importants en la matière, tels :
De mesures concrètes à appliquer sans plus tarder
« Notre Conseil avait pour mandat d'élaborer des propositions concrètes, et c'est ce que nous livrons», affirme la présidente du comité, Monique F. Leroux, au cours d’une entrevue accordée au Soleil. Le CCEI presse donc les gouvernements d'appliquer ses recommandations pour renforcer la compétitivité du Québec sans plus tarder. «Pour le début du mois d’avril», suggère même Mme Leroux. «Nous espérons que certaines propositions seront retenues dans le prochain cadre budgétaire du gouvernement.»
Sources :
Rapports du CCEI
Newswire Les affaires
Sources photographiques :
Borne BRCC Circuit Électrique Station de GNC Station d’hydrogène Mme Monique F. Leroux
Avec l'aimable collaboration du Secrétariat du Conseil consultatif sur l’économie et l’innovation
Contribution : Daniel Rochefort
Dans un esprit de courtoisie, nous vous demandons de rester à proximité de votre véhicule lors de la recharge et libérer la borne dès que possible afin qu’un autre électromobiliste puisse en profiter. Cliquez-ici et lisez l'encadré orangé afin de prendre connaissances des bonnes règles de conduite avec une borne de recharge rapide.
Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information! => D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique
La pétition lancée publiquement le 5 février dernier, figure maintenant en tête parmi la vingtaine de pétitions présentement actives sur le site de l'Assemblée nationale, avec plus de 4700 signatures!
C'est avec un départ fulgurant que notre pétition a pu s'inscrire en tête. En effet, les supporteurs ont été rapides sur leur claviers avec 2000 signatures cumulées en moins de 24 heures suivant l'annonce publique. Puis, 1000 signatures supplémentaires dans les 24 heures suivantes. Bien que l'Assemblée nationale ne publicise pas de statistiques partielles en fonction des jours, il ne serait pas surprenant que notre pétition se soit inscrit au record du plus haut taux de signatures dans les premières heures. Dans la rapidité de la mobilisation, nous y voyons un message : Pour ces électromobilistes, il y a urgence d'agir. En signant avec une telle rapidité, ils n'ont pas eu à réfléchir bien longtemps. Selon eux, la situation doit changer, et rapidement.
Dépôt de la pétition
L'AVÉQ a été convoquée pour le dépôt de la pétition à l'Assemblée nationale. La date du dépôt aura lieu le mardi 13 mars prochain, en après-midi. Les signataires et supporteurs qui désirent assister à la lecture de la pétition à l'Assemblée nationale, à Québec, sont priés de remplir le formulaire d'inscription ci-bas. Vu le nombre de places limitées dans l'estrade du Salon bleu, nous ne pouvons pas garantir des places dès l'inscription. L'ordre d'inscription sera respecté s'il y a plus d'inscriptions que de places disponibles.
Sources : AVÉQ, Assemblée nationale
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
L'Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) lance une pétition pour le déploiement de 2000 bornes de recharge rapide au Québec.
En novembre 2015, le gouvernement provincial a adopté une cible de réduction de 37,5% de ses émissions de GES sous le niveau de 1990, à l’horizon de 2030. Le secteur qui émet le plus de GES au Québec est celui des transports, avec 41% des émissions. Afin de parvenir à ces cibles, Québec a mis en place le Plan d’Action en Électrification des Transports, ayant comme objectif l’atteinte de 100 000 véhicules électriques au Québec. De plus, la Politique Énergétique 2030 cible pas moins de 1 million de véhicules électriques, en 2030.
Selon Simon-Pierre Rioux, président de l’AVÉQ, l'entrée en vigueur de la norme Véhicules Zéro Émission (VZE) visant l’amélioration de la disponibilité des nouveaux véhicules électriques chez les concessionnaires et conséquemment leur nombre sur nos routes ajoutera une forte pression sur l’offre de recharge rapide actuelle. « Si on considère que leur rythme de déploiement a ralenti dans les 12 derniers mois, faute de partenaires financiers, leur nombre déjà insuffisant aura des conséquences importantes sur les déplacements des futurs électromobilistes ». Déjà, on remarque des files d’attente à plusieurs sites ce qui entraîne de la frustration chez les conducteurs, et des délais imprévus lors de déplacements interurbains. En septembre dernier, le Conseil Consultatif sur l’Économie et l’Innovation (CCÉI), présidé par Mme Monique Leroux, a suggéré au gouvernement provincial d’accentuer ses efforts en vue de favoriser l’utilisation du transport électrique en ajoutant rapidement plus de 2000 bornes de recharge rapide, en plus de rehausser les incitatifs pour atteindre les objectifs d’électrification des transports. L’AVÉQ a inscrit sa pétition à l’Assemblée nationale, par l’entremise du député Sylvain Gaudreault, ce dernier faisant preuve d’exemplarité par sa conversion récente au transport électrique avec un véhicule 100% électrique. La pétition progresse à un rythme soutenu, cumulant plus de 3000 signatures en moins de 48 heures suivant la publication sur le site web de l’Association, www.aveq.ca. L’association a recommandé à tous ses membres de signer cette pétition, accessible directement via l’adresse www.bornerapide.ca. www.aveq.ca Renseignements : Relations de presse: Martin Archambault, martin@aveq.ca Communiqué officiel Cision/CNW/Telbec
L’installation d’une borne de recharge rapide pour véhicule électrique est plus que jamais dans l’air à la Ville de Baie-Comeau. La recherche de financement se poursuit et le maire Yves Montigny garde espoir que le projet devienne réalité à temps pour la saison estivale.
En octobre dernier, la municipalité de Ragueneau a été la première sur la Côte-Nord à offrir une borne de recharge rapide aux propriétaires de véhicule électrique. Sur la photo, on aperçoit le maire de Ragueneau, Joseph Imbeault, et la représentante d’Hydro-Québec, France Lampron. Photo archives Le Manic
Le 9 octobre 2015, le gouvernement du Québec a dévoilé le Plan d’action en électrification des transports 2015-2020. Doté d’un budget de plus de 420 millions de dollars, ce plan d’action a pour objectifs :
Saviez-vous qu'uniquement 2 actions sur les 37 inscrites dans le programme du Plan d'Action en Électrification des Transports concernent les bornes publiques de recharge rapide ?
En effet, les actions # 14.2.2 "Déploiement des véhicules électriques - Projet-pilote d'installations d'infrastructures de recharge le long de l'autoroute 40" et # 14.10 "Support à l'implantation de bornes de recharge le longs des principaux axes routiers " sont les seules inscrites au plan, selon le registre public publié par le Conseil de Gestion du Fonds Vert (CGFV) du Québec.
Parmi ces 2 actions, uniquement la première (#14.2.2) a été complétée à ce jour, permettant le déploiement de 7 bornes rapides sur l'autoroute 40, entre Montréal et Québec. Un montant de $500 000 dollars provient du Fonds Vert. Le déploiement des bornes de ce projet pilote a été complété en 2015.
La seconde action (#14.10) est en cours, et a contribué au déploiement de bornes de recharge rapide sur quelques sites ( Melbourne, Rigaud et Rivière Beaudette). Plusieurs sites dans des aires de service sont prévus ou en réalisation à Magog, Saint-Jérôme, Saint-Nicolas et Saint-Michel-de-Bellechasse).
En date d'octobre 2017, selon la fiche financière publique de cette mesure, moins de $350 000 ont été investis sur un budget de $2,5M, soit moins de 14% du budget total.
Rappelons que le Plan d'Action en électrification fait partie d’un ensemble d’actions dont les effets combinés permettront d’atteindre l’objectif que le Québec s’est fixé en cette matière dans son Plan d’action 2013-2020 sur les changements climatiques (PACC 2013-2020). Le PACC 2013-2020 dispose d'un budget global de $3,3 MILLIARDS de dollars, financé par le Fonds Vert, qui lui obtient une majorité de ses recettes du système de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre (SPEDE), mieux connu sous le nom du marché du Carbone.
L'AVÉQ demande au gouvernement du Québec d'activer des mesures pour accélérer les déploiements d'infrastructures de recharge rapide pour véhicules électrique au Québec, vu l'inéquation entre les ventes de véhicules électriques, en accélération et les déploiements de bornes rapides, en décélération en 2017.
Sources : CGFV, Transportsélectriques, AVÉQ, MDDELCC
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
Dans un esprit de courtoisie, nous vous demandons de rester à proximité de votre véhicule lors de la recharge et libérer la borne dès que possible afin qu’un autre électromobiliste puisse en profiter. Cliquez-ici et lisez l'encadré orangé afin de prendre connaissances des bonnes règles de conduite avec une borne de recharge rapide.
Visitez lecircuitelectrique.com pour obtenir plus d’information! => D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique
Dans les faits, il aura fallu attendre plus de 18 mois pour qu'une borne puisse être déployée à Montmagny. Cette borne a été mise en service que le 15 décembre 2017. Selon le Circuit électrique, la recherche d'un partenaire commercial a été un élément important dans le délai déraisonnable de cette mise en service.
Ce corridor n'est TOUJOURS PAS COMPLÉTÉ, faute de partenaire à Trois-Pistoles. Cette situation illustre parfaitement que le modèle d'affaires du Circuit électrique, impliquant des partenaires commerciaux ou municipaux, est à bout de souffle. L'état Québécois doit prendre le relais et investir dans les infrastructures de recharge rapide pour véhicules électriques. Il faut une orientation et un plan directeur sur un réseau structurant de recharge rapide de la part de l'état Québécois.
Dans sa pétition en cours, l'AVÉQ demande au gouvernement du Québec de déployer 2000 bornes de recharge rapide d’ici 2020 et que ces bornes soient considérées à titre d'infrastructures routières pour être financées par les paliers de gouvernements.
Signez notre pétition en cliquant sur la bannière ci-dessous.
Sources : premier-ministre.gouv.qc.ca , AVÉQ
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
L’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ) lance une pétition pour l’implantation de 2000 bornes rapides de recharge électrique à travers la province d’ici 2020. L’Objectif s’élève à 15 000 signatures.
Selon le regroupement, l’offre de stations d’alimentation demeure « nettement insuffisante », en comparaison avec le nombre de véhicules électriques (VÉ) en circulation qui augmente d’année en année. En 2018, d’après ses calculs, 35 000 VÉ sont répertoriés sur le territoire (NDLR : prévus en 2018), ainsi que 155 bornes de recharge, pour un ratio de seulement 0,44 %. Avec un objectif de 100 000 voitures en circulation d’ici 2020, le gouvernement devrait songer à augmenter le nombre de stations énergétiques à 2000 afin de faire grimper le ratio à 2 %, estime l’AVÉQ.
Outre un projet-pilote déployé en 2014-2015 visant à électrifier l’autoroute 40, entre Montréal et Québec, et ayant conduit à l’installation de sept bornes rapides, l’AVÉQ estime qu’aucun plan ne semble envisagé de la part du gouvernement afin d’étendre le réseau. Le regroupement évoque par ailleurs l’entrée en vigueur imminente de la norme sur les véhicules zéro émission (VZE) (NDLR : loi déjà en vigueur) qui aura pour effet, estime-t-il, d’augmenter la disponibilité des nouveaux véhicules électriques dans les prochaines années. La pétition est accessible sur le site du gouvernement du Québec. Source : Autosphère PÉTITION Implanter 2000 bornes de recharge rapide au Québec d’ici 2020
Depuis plusieurs années, les membres de l'Association des Véhicules Électriques du Québec demandent d'avoir accès à un réseau de bornes rapides au Québec afin de maximiser le potentiel des véhicules électriques. En effet, les véhicules électriques ne sont pas confinés à une utilisation urbaine, à condition de pouvoir compter sur un réseau structurant de bornes de recharge, étendu sur l'ensemble du territoire de la province, pas uniquement sur quelques tronçons d'autoroutes, comme c'est le cas depuis 2014 au Québec.
Le Ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des Transports (MTMET) a réalisé en 2014-2015 un projet-pilote visant à électrifier l'autoroute 40 entre Montréal et Québec. 7 bornes rapides ont été déployées, mettant à contribution le Fonds Vert. La période d'essais du projet pilote est terminée depuis belle lurette. Exception faite d'une poignée de bornes rapides dans des Villages-Relais, financées par le Plan d'Action contre les Changements Climatiques (PACC 2013-2020), il ne semble pas y avoir de plan directeur ou d'orientation sur un réseau structurant de recharge rapide de la part de l'état Québécois. Avec l'entrée en vigueur de la norme Véhicules Zéro Émission (VZE) qui aura pour effet d'augmenter la disponibilité des nouveaux véhicules électriques et le ralentissement du rythme de déploiement de bornes rapides de la part du Circuit électrique en 2017, il est clair que l'offre de recharge rapide est et sera nettement insuffisante, considérant qu'il y a déjà des files d'attentes dans plusieurs sites et ce, depuis plus d'une année. L'AVÉQ a dressé un portrait de la situation du ratio de bornes rapides en fonction du nombre de véhicules électriques au Québec, de 2014 à 2018 (suivant les projections pour 2018) : même avec un déploiement projeté (optimiste) de 60 bornes rapides au Québec avec le modèle d'affaires actuel du Circuit électrique, le ratio du nombre de bornes rapides versus le nombre de véhicules électriques demeurera inchangé par rapport à 2017, soit 0,44% (voir Tableau 1).
Afin de rétablir un équilibre entre l'augmentation des véhicules électriques sur les routes du Québec dans les années à venir et l'offre de recharge rapide en nette perte de vitesse, il faut envoyer un message clair au gouvernement du Québec : il faut investir massivement dans les infrastructures de recharge, afin de créer un réseau structurant de recharge, lui permettant ainsi d'atteindre ses propres objectifs en électrification des transports : 100 000 véhicules en 2020 et 1 million en 2030.
Pour ce faire, l'AVÉQ a choisi d'utiliser un droit inscrit à la Charte des droits et libertés de la personne, article 21 : la pétition. L'inscription de la pétition a été effectuée par l'entremise du député de Jonquière, M. Sylvain Gaudreault, lequel fait preuve d'exemplarité par sa conversion récente aux transports électriques avec un véhicule 100% électrique. Une cible de 2000 bornes rapides au Québec en 2020, tel que le recommande le Comité Consultatif sur l'Économie et l'Innovation (CCÉI), permettrait de redresser le ratio à une valeur de 2.00% , tel que présenté dans le tableau 1 ci-dessous. L'AVÉQ encourage tous ses membres et à leur entourage de signer la pétition pour demander au gouvernement du Québec de déployer 2000 bornes de recharge rapide d’ici 2020. Ces bornes doivent être considérées à titre d'infrastructures routières pour être financées par les paliers de gouvernements.
Le dépôt de la pétition aura lieu à l'Assemblée nationale, au mois de mars 2018.
Depuis la réforme parlementaire de 2009, toutes les pétitions déposées doivent recevoir une réponse écrite du gouvernement. À défaut pour celui-ci de le faire dans le délai imparti, un ministre devra donner la réponse de vive voix à l’Assemblée. Qui plus est, la commission compétente dans le domaine touché par une pétition peut décider de s’en saisir et entendre les pétitionnaires en auditions publiques.
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ
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=> D'autres articles sur les bornes de recharge rapide => D'autres articles sur le Circuit Électrique Source: Hydro-Québec Contribution : Martin Archambault Devant la pression populaire, et le nombre grandissant de mécontentement, le Circuit Électrique décide d'annuler pour l'instant la hausse de tarif (de 10$/hr à 12$/hr quiavait été annoncée il y a plusieurs jours.
Le 1er février 2018, le Circuit Electrique augmentera sa tarification aux bornes de recharge rapide, passant de 10$ l’heure à 12$, une augmentation de 20%. Voici la position officielle de l’AVEQ sur le sujet.
>> Voir l’article à ce sujet:http://www.aveq.ca/actualiteacutes/annonce-importante-du-circuit-electrique-majoration-des-prix-aux-bornes-rapides-des-le-1er-fevrier-2018
Comme plusieurs d’entre-vous, l’AVEQ fut surprise par cette augmentation importante de 20% pour laquelle nous n’avons pas été consulté. Cette décision unilatérale du réseau de recharge d’Hydro-Quebec déçoit l’AVEQ, qui est la plus importante association de propriétaires de véhicules électriques au Canada. Certains des arguments mis de l’avant pour expliquer cette hausse sont discutables et n’arrivent pas à justifier leur décision. Par exemple, le coût des bornes n’a cessé de diminuer ces dernières années, passant de 70,000$ à moins de 30,000$ (avant l’installation). Ayant déjà été impliqué dans des négociations pour l’achat d’une vingtaine de BRCC il y a 2 ans, nous sommes bien au fait que le coût de ces bornes a diminué avec les années. La première borne rapide Aerovironment du Circuit Électrique (qui offrait uniquement le port CHAdeMO) avait un coût avoisinant 70,000$ (plus installation). Depuis, on peut acquérir ce type de borne de 400V offrant le SAE CCS et le CHAdeMO pour moins de 30,000$. La comparaison à d’autres réseaux hors-province laisse aussi à désirer, alors que le coût de l’électricité dans les autres provinces est sensiblement plus élevé qu’au Québec. Un récent sondage effectué sur RoulezElectrique.com a démontré que 55% des propriétaires de VÉ s’opposent à cette augmentation. Plusieurs de nos membres ont partagé avec nous leur inquiétude par rapport à celle-ci. Nous retrouvons deux cas de figure auprès des propriétaires de VÉs: ceux qui utilisent rarement les BRCC, et pour qui cette hausse n’a aucun impact financier. Mais pour ceux qui possèdent un VÉ 100% électrique de première génération, l’utilisation des BRCC est vitale pour leurs déplacements, et cette augmentation significative aura un sérieux impact sur leur budget. Ce que plusieurs observateurs ignorent, c’est que de nombreux consommateurs qui ont fait le choix d’un VÉ l’ont fait en calculant le coût à l’utilisation lorsque la recharge est faite à la maison. Dans cette situation, le coût d’acquisition plus élevé d’un VÉ est compensé par son coût d’utilisation faible. Mais si on doit effectuer entre 10 et 40 recharges rapides par mois, 20% d’augmentation aura un impact sur les finances de nos membres, et l’utilisation du VÉ pour leurs déplacements ne sera peut-être plus le premier choix quand l’électromobiliste est confronté aux désavantages d’effectuer un trajet interurbain avec les files d’attente à ces bornes, qu’elles soient hors-service ou simplement inexistantes sur le trajet à effectuer.
Suite à l’annonce de cette augmentation, notre association s’est entretenue avec un haut dirigeant de la Régie de l’énergie, l’organisme responsable entre autres de réguler les prix de l’énergie, ainsi qu’avec le porte-parole du Circuit Électrique. Nous avons aussi une rencontre prévue sous peu avec Transition Energétique Québec. La tarification au kWh, l’interopérabilité des réseaux et l’hydrogène sont des thèmes qui seront abordés lors de différentes rencontres prévues en 2018. L’AVEQ comprend parfaitement le défi d’opérer un réseau de recharge, alors que les coûts d’exploitation et d’expansion sont plus élevés que les revenus. Être un pionnier dans cette industrie demande énormément de capital pour survivre jusqu’à ce que le parc VÉ augmente et les économies d’échelle puissent diminuer la pression sur les manufacturiers, fabricants et opérateurs en électromobilité. On ne s’oppose pas à l’augmentation, mais bien à sa façon d’avoir été présentée. Selon nous, il aurait été préférable pour le Circuit Électrique de proposer une hausse plus graduelle annuellement au lieu de le faire d’un coup, ou même d’essayer de faire un chiffre arrondi. De plus, nous aimerions savoir comment les sommes additionnelles seront investies afin d’améliorer le service aux utilisateurs. Cette augmentation doit se traduire par une meilleure accessibilité aux bornes. Depuis plusieurs années, l’AVEQ défend en commission parlementaire le besoin d’un nombre élevé de bornes rapides à travers la province afin d’assurer la sécurité énergétique des électromobilistes et rassurer les consommateurs qui prévoient faire l’acquisition d’un VÉ. Nous avons toujours recommandé que les BRCC soient reconnues comme infrastructure routière au même titre qu’un pont ou un lampadaire, et que des sommes soient prévues dans les budgets du MTQ pour leur installation à travers le Québec. Malgré tous nos efforts et les rencontres que nous avons effectuées ces dernières années, il semble que le message ne passe pas. En septembre dernier, le comité consultatif sur l'économie CCÉI présidé par Monique Leroux suggérait au gouvernement d'accentuer ses efforts en vue de favoriser l'utilisation du transport électrique en ajoutant rapidement plus de 2,000 bornes de recharge rapide et en haussant les avantages incitatifs pour atteindre le plus rapidement possible un parc d'un demi-million de véhicules électriques. L’AVEQ proposera donc sous peu une pétition pour s’assurer que les recommandations du CCEI et de notre association soient appliquées, afin que le gouvernement débloque les fonds nécessaires pour atteindre l’installation de 2,000 BRCC d’ici la fin de 2020. Source : Association des Véhicules Électriques du Québec
Pourquoi ajuster le tarif des BRCC selon le Circuit Électrique ?
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Bien que la borne rapide (BRCC) située au 345, boul. de la jeunesse à Roberval soit disponible sur l'application et le site web du Circuit électrique, plusieurs de nos membres ont rapporté que cette borne, bien qu'opérationnelle, est inaccessible pour la recharge.
Selon les informations rapportées par un de nos membres, il y aurait eu quelques recharges qui ont été effectuées par des électromobilistes depuis sa mise en disponibilité, cependant il semble qu'un entrepreneur aurait récemment déplacé toute la neige disponible devant cette borne.
Nous recommandons à nos membres de considérer cette borne comme inaccessible, malgré le fait qu'elle soit afichée comme disponible sur l'application et la carte du site web du Circuit électrique.
Source : AVÉQ
Contribution : Richard Lemelin, vice-président AVÉQ |
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