La Tesla Model Y arrivera plus tôt que prévu, Nissan présente la conception aérodynamique de la LEAF de deuxième génération, BP est en discussion avec des fabricants de VÉs sur des partenariats pour les stations de recharge, une nouvelle Gigafactory de batteries arrivera bientôt en Allemagne, et la Chevrolet Bolt bat la Tesla Model S pour devenir la championne en autonomie du Consumer Reports : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
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Toyota Motor Corp travaille sur une voiture électrique alimentée par un nouveau type de batterie qui augmente considérablement l'autonomie et réduit le temps de chargement, visant à débuter ses ventes en 2022, a rapporté mardi le quotidien Chunichi Shimbun.
Il y a cinq ans, Takeshi Uchiyamada n'était pas encore président de Toyota, le PDG de l'époque a participé à un événement qui annonçait le développement d'une batterie à électrolyte solide. Un petit spécimen de la batterie a été présenté et a même alimenté un petit véhicule : une planche à roulettes. Il a été mentionné que ça pourrait prendre une décennie avant que la batterie à électrolyte solide puisse propulser une voiture, car c'est le délai normal d'une percée d'une batterie pour parcourir la distance entre le laboratoire de recherche et la route. La moitié de la décennie est passée, et ce moment-là demeure. Dans cinq autres années et si l'on se fie à une source japonaise, Toyota aura la clé de cette technologie pour une large adoption des véhicules électriques : des batteries à l'état solide avec une autonomie deux fois supérieure à celle des véhicules électriques actuels, tout en chargeant en quelques minutes uniquement.
Avec cela, Toyota résoudrait les deux «enjeux» des VÉ actuels, à savoir l'autonomie et le temps de recharge, écrit le Chunichi Shimbun (japonais ).
Le porte-parole de Toyota a déclaré ce qui suit au sujet du développement de batteries à électrolyte solide :
«Parmi les batteries de nouvelle génération, à ce stade, les batteries à l'état solide sont considérées comme les plus proches du niveau d'application pratique nécessaire pour équiper les véhicules pour la production en volume. Nous travaillons sur la recherche et le développement, y compris l'ingénierie de production de batteries à électrolyte solide, pour les commercialiser au début des années 2020. Cependant, nous ne pouvons pas commenter des plans de produits spécifiques».
Les batteries à électrolyte solide ne présentent aucun risque d'incendie, elles pourront se recharger plus rapidement et conserver plus de puissance dans un volume donné et, très intéressant pour les ingénieurs automobiles, elles peuvent être moulées sous de nombreuses formes.
En 2014, deux ans après que le PDG de l'époque (Uchiyamada) a montré la planche à roulettes à batterie à électrolyte solide , les ingénieurs de Toyota ont présenté une batterie à électrolyte solide qui dépassait la densité d'énergie du lithium-ion. Le travail sur la batterie a continué, et il se poursuit. En 2016, les professeurs de l'Institut de technologie de Tokyo ont présenté un document de recherche affirmant que les cellules à électrolyte solide fournissaient une densité de puissance élevée, avec des capacités de charge ultra-rapides et une durée de vie plus longue que les types de batteries existantes. Toyota est l'un des partenaires de recherche.
Bloomberg affirme que la révolution de la voiture électrique se produira plus vite que prévu, soyez payé pour recharger votre VÉ à New York, la Mercedes-Benz Classe S 2018 se conduit toute seule hors de la ligne de production, la pièce manquante dans l'énorme casse-tête des émissions des véhicules : les camions lourds, et Tesla gagne un contrat pour construire une énorme batterie en Australie : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Est-ce que les perspectives énergétiques 2017 de la norvégienne Statoil marquent une nouvelle direction pour l'entreprise? Le rapport prédit le plafonnement de la production pétrolière 20 ans plus tôt que prévu dû aux énergies renouvelables et aux véhicules électriques. Voici les détails.
Le 8 juin, Statoil a publié l'édition 2017 de son document Energy Perspectives; elle examine les perspectives à long terme sur le marché international de l'énergie. Nous constatons que Statoil évalue le futur énergétique reflétant la transition d'énergie que d'autres groupes d'experts prédisent déjà, ce qui l'entraîne dans une plus grande différenciation par rapport aux autres majors pétroliers et gaziers dans le processus. Il est important de souligner d'abord qu'aucun scénario dans Energy Perspectives n'est le scénario commercial de Statoil, comme celui présenté par ExxonMobil dans sa série Energy Outlook. En tant que tel, nous ne sommes pas en mesure de juger de façon définitive que ce qui est inclus dans Energy Perspectives est similaire aux attentes de Statoil à l'avenir. Le document est cependant produit par les analystes de Statoil, en utilisant un modèle et un cadre que «l'entreprise utilise dans le cadre d'analyses à long terme des marchés de l'énergie», ce qui n'est pas un exercice arbitraire inconditionnel pour l'entreprise. Le rapport est structuré autour de trois scénarios principaux: la réforme, le renouveau et la rivalité. Notre billet se concentre sur les résultats dans le scénario Réforme étant donné que cela semble être au cœur des trois scénarios, «à partir des tendances actuelles du marché macroéconomique et de l'énergie». Dans l'analyse de scénarios récente de groupes d'experts, dont celle produite par l'Imperial College of London, on conclut que la demande de charbon et de pétrole plafonnerait dans les années 2020 en raison de la pénétration de solutions de rechange à faible teneur en carbone dans le secteur de l'énergie et du transport routier. Ce «double pic» se produit également dans le dernier cycle de Statoil du scénario Réforme: les pics de la demande de charbon en 2020, alors que la demande de pétrole suit rapidement dans les années 2020. Bien que cette conclusion sur la demande de charbon ait été un élément essentiel dans Energy Perspectives pendant un certain temps, le scénario marque un changement radical de la demande de pétrole par rapport au scénario Réforme de 2016. Les documents de l'année dernière ne prévoyaient pas le pic du pétrole avant 2040, et non aussi rapidement que 2020! Le scénario Réforme continue de voir des gains modestes pour la demande de gaz naturel pendant la période de prévision.
Les batteries des BMW i3 alimentent maintenant les bateaux électriques Torqeedo, la Tesla Model S manque la meilleure note de l'IIHS après un autre test de collision, l’action de Tesla prend un coup, et BMW dévoile son concept de scooter électrique : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Lors de la réunion annuelle des actionnaires de Tesla de 2017, le 6 juin dernier, le chef de la direction, Elon Musk, a déclaré que le constructeur automobile construira au moins 10 et jusqu'à 20 Gigafactories dans le monde au cours des prochaines années.
Musk avait précédemment expliqué qu'il faudrait environ 100 Gigafactories pour que le monde entier puisse passer aux énergies renouvelables. Cela représente suffisamment de stockage d'énergie et de VÉs pour éliminer complètement les voitures à essence et les sources d'énergie traditionnelles. Tesla fait déjà des plans pour couvrir à elle-même 20% de cette transition.
Le PDG novateur a également déclaré que ces usines seraient responsables de la construction de véhicules, en plus de son principal objectif, qui est de fournir des batteries au lithium-ion. Musk a partagé :
Si d'autres fabricants commençaient à suivre, Tesla pourrait être en mesure d'investir sur des projets pour seulement 10 nouvelles usines de batterie. SInon, le constructeur automobile de Silicon Valley a l'intention de continuer à progresser. L'espoir de Tesla est que d'autres se sentiront obligés de faire le changement. Si Tesla réussit à vendre ses véhicules, et qu’elle a 10 à 20 Gigafactories, nous parlons de 12 à 24 millions de véhicules tout-électriques qui empièteront sur la part de marché des constructeurs automobiles traditionnels. C'est la façon de Tesla de rendre la transition inévitable.
La Gigafactory actuelle seule, une fois qu'elle fonctionnera à pleine capacité, produira plus de batteries au lithium-ion que tous les autres fabricants combinés. Si un autre constructeur de VÉs voulait faire face à Tesla, il pourrait exploiter chaque source de batterie au lithium-ion sur la planète, et être encore à court. Non seulement cela, mais il n'y aurait aucun moyen pour une autre entreprise de compétitionner en termes de coût et de prix, surtout une fois que Tesla commencera à construire des Gigafactories supplémentaires dans le monde entier. Pour le moment, le constructeur d’automobiles électriques fait déjà de sérieux plans pour trois nouvelles Gigafactories. Musk a déclaré plus tôt qu'une fois que la production de la Model 3 sera en cours et en progression, il divulguerait plus d'informations sur les emplacements des 2 à 4 Gigafactories suivantes. Tesla continue de préciser qu'il n’a pas l’intention de ralentir l’allure.
Source : Inside EVs
Contribution : Naïma Hassert
Tesla a récemment tenu sa réunion des actionnaires et son PDG Elon Musk y a donné beaucoup de nouvelles.
Nous en savons notamment un peu plus sur la Tesla Model Y, le VUS ou véhicule utilitaire multisegment électrique à prix de masse qui devrait entrer dans le marché en 2019. De plus, Musk a offert des extraits d'informations sur les prochaines Gigafactories de batteries, sur la production imminente de la berline Model 3, et bien plus encore. Les partisans et les amateurs de Tesla voudront peut-être lire la transcription complète des remarques de Musk lors de la réunion. Sinon, nous avons résumé les nouvelles aussi brièvement que possible ci-dessous.
Tesla Model 3
Musk a déclaré que la première version de production de la Tesla Model 3 devrait être livrée le mois prochain. À ce moment-là, un configurateur limité pour la Model 3 sera en ligne, ce qui, selon lui, ne permettra essentiellement que de choisir les roues et la couleur de la peinture. Il affichera des configurations supplémentaires, avec les dates de disponibilité estimées. La raison derrière cela, a expliqué Musk, c’est que trop de variantes de production du multisegment Tesla Model X étaient disponibles au lancement, ce qui a ralenti la production. Il est essentiel de maintenir le lancement de la Model 3 le plus simple possible, a-t-il dit, afin de permettre à la production de progresser rapidement. Pour la même raison, la transmission intégrale ne sera pas disponible initialement, car cela doublerait la complexité des variations. (Nous suggérerions également que cela doublerait les exigences pour les certifications gouvernementales.) L'option à double moteur pourrait arriver à la fin de cette année, a déclaré Musk, mais elle sera plus probablement offerte au début de 2018.
Tesla Model Y
Bien qu’il y ait beaucoup de rumeurs et que bien des choses aient été écrites sur la Tesla Model Y, Musk a confirmé que le véhicule sera construit sur une plate-forme dédiée et ne sera pas basé sur la Model 3. Il a suggéré qu’avoir adapté la Model X à partir du premier véhicule de masse de Tesla, la Model S, avait été une erreur. « Il aurait été préférable de concevoir un VUS de la façon dont un VUS devrait être conçu », a déclaré Musk, et c'est ce que l'entreprise envisage de faire avec la Model Y. Des rapports antérieurs ont indiqué que la Model Y utilisera également les « portes de faucon » controversées lancées sur la Model X, malgré ce que certains critiques ont suggéré sur leur complexité et leur coût. Musk a également déclaré que Tesla recherche une usine dédiée à la Model Y qu'il veut produire dès 2019, essentiellement parce que la production totale de la Model 3, ainsi que des Model S et X existants, prendra en compte la capacité disponible de l’usine actuelle à Fremont, en Californie. Le stationnement de Fremont est déjà complet, a-t-il noté, puisque la société n'avait pas escompté les 500 véhicules supplémentaires des entrepreneurs et des fournisseurs installant des équipements dans l'usine d'assemblage pour la Model 3.
Utiliser une plate-forme et une usine dédiées à la Model Y, a-t-il suggéré, pourrait permettre à l'entreprise de réduire ses dépenses pour le développement de la nouvelle usine de moitié par rapport à celles de la Model 3.
Nouvelles Gigafactories En fin de compte, a déclaré Musk, la société pourrait avoir besoin de 10 à 20 Gigafactories de batteries dans le monde. Il a toutefois déclaré qu'il n’avait pas encore décidé du nombre final. Elles fabriqueraient les batteries au lithium-ion à la fois pour la production prévue de VÉs et pour les entreprises de stockage d'énergie de la compagnie. La société, dit-il, sera dans une position très forte pour aller de l'avant dans tous ses secteurs d'activité au cours des prochaines années, et d'autres Gigafactories seront nécessaires pour combler les besoins de ses entreprises en pleine croissance. Pendant ce temps, le monde surveillera de près ses premières Model 3 avant de prendre la route.
Source : Green Car Reports
Contribution : Naïma Hassert
Le financement appuiera le développement de voitures plus légères et plus éconergétiques qui émettent moins de gaz à effet de serre.
Un investissement du gouvernement fédéral de 11,5 millions de dollars dans la technologie de l'automobile créera jusqu'à 80 emplois en Colombie-Britannique, en Ontario et au Québec.
Le financement de six nouveaux projets dans le cadre du Programme d'innovation pour les fournisseurs du secteur automobile appuiera le développement de voitures plus légères et plus éconergétiques qui émettent moins de gaz à effet de serre. Datec Coating Corporation, à Mississauga, en Ontario, recevra jusqu'à 1,3 million de dollars pour développer des technologies qui amélioreront les systèmes de gestion thermique pour les habitacles d'automobiles électriques et hybrides et pour mettre au point une batterie lithium-ion et du liquide pour moteur. Tyromer Inc. à Windsor, en Ontario recevra 3,4 millions de dollars pour utiliser du caoutchouc recyclé pour sceller les fenêtres et les portes des voitures. Jusqu'à 1,7 million de dollars seront versés à Eurospec Manufacturing Inc. à Newmarket, en Ontario, pour développer un meilleur mécanisme d’ajustement du siège automobile. Loop Energy Inc. à Burnaby, en Colombie-Britannique, obtiendra 787 000 $ pour développer une pile à combustible qui générera plus de puissance. TM4 Inc., la filiale d’Hydro-Québec basée à Boucherville, au Québec, recevra jusqu'à 4 millions de dollars pour développer un moteur électrique à faible coût et performant pour les camions légers. Enfin, jusqu'à 272 000 $ seront versés à Advanced Technology Emission Solutions Inc., à Hamilton, pour développer un convertisseur catalytique qui réduit les émissions de gaz à effet de serre des tuyaux d'échappement.
Source : Plant.ca
Contribution : Naïma Hassert
La production de la Hyundai Ioniq est ralentie à cause d'une pénurie de batterie, le nombre de véhicules électriques sur les routes a atteint le 2 millions, le camion électrique de Tesla atteindra un niveau de production industrielle d’ici 2 ans, un guide de base sur les véhicules alimentés par énergie solaire, et le démantèlement d’une Chevrolet Bolt indique qu’une perturbation massive est à venir : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Le fabricant de batterie lithium-ion LG Chem a officiellement lancé sa gamme résidentielle de systèmes de batterie sur le marché nord-américain. Cette nouvelle suit son obtention de la certification UL.
Les batteries qui seront disponibles en Amérique du Nord comprennent une variété de solutions couplées en courant alternatif et continu, avec des capacités système allant jusqu'à 9,8 kWh. Deux options de tension seront offertes (associées à des onduleurs compatibles). Une option basse tension à 48V et une option haute tension de 400V. L'option basse tension est disponible en capacités système de 3,3 kWh, 6,5 kWh et 9,8 kWh. L'option à haute tension est offerte en capacités système de 7 kWh et 9,8 kWh. Le communiqué de presse apporte un peu plus de détails : « Le produit 400V RESU10H (9.8 kWh) est compatible avec le StorEdge de SolarEdge, une solution de stockage couplée en CC basée sur un seul onduleur pour le PV et le stockage. Des options supplémentaires de compatibilité des onduleurs seront disponibles plus tard en 2017 pour offrir aux propriétaires une gamme de solutions pré-testées auprès des principaux fournisseurs de l'industrie. » La gamme de produits résidentiels de stockage d’énergie LG Chem sera, toujours selon ce communiqué, « disponible via un certain nombre de principaux fournisseurs en Amérique du Nord. Suite à l'annonce d'un partenariat avec LG Chem faite l'année dernière, Sunrun, l'un des principaux fournisseurs de systèmes d'énergie résidentiels aux États-Unis, offrira les systèmes RESU. Sunrun a déjà installé les premiers systèmes à Hawaï et en Californie. » LG Chem aurait aussi entrepris des négociations sérieuses pour ouvrir d'autres canaux de distribution. La société affirme qu'elle offrira les systèmes dans tous les États américains et les provinces canadiennes. Pour rappeler la vaste expertise de l'entreprise dans le domaine de la batterie automobile et stationnaire, LG Chem note « qu’elle a à son actif 82 projets de 28 équipementiers automobiles depuis septembre 2016 et déployé des Gigawatt-heures de projets de batteries stationnaires. » Sans surprise, aucun prix n’a encore été dévoilé pour le moment sur cette nouvelle offre de stockage d'énergie résidentielle. Source : Clean Technica Contribution : Peggy Bédard
Nous vous en parlions récemment dans nos Brèves du jour, mais voici maintenant un article plus détaillé sur cette nouvelle prometteuse.
Une équipe d'ingénieurs dirigée par John Goodenough, 94 ans, professeur à l'école de génie Cockrell de l'Université du Texas à Austin et co-inventeur de la batterie au lithium-ion, a présenté des résultats de recherche prometteurs sur une nouvelle technologie qui pourrait révolutionner le secteur des batteries à état solide. Cette découverte, réalisée en partenariat avec Maria Helena Braga, chargée de recherche principale à l'école Cockrell, pourrait permettre le développement de batteries rechargeables plus sûres, à chargement plus rapide et à plus longue durée pour les appareils mobiles portatifs, les voitures électriques et le stockage d'énergie stationnaire. Les ingénieurs décrivent leur nouvelle technologie dans un récent article publié dans la revue Energy & Environmental Science. « Le coût, la sécurité, la densité énergétique, les vitesses de recharge et de décharge et la durée de vie du cycle sont essentiels pour que les véhicules à batterie puissent être adoptés plus largement. Nous croyons que notre découverte résout bon nombre des problèmes inhérents aux batteries d'aujourd'hui », a déclaré Goodenough. Les chercheurs ont démontré que leurs nouvelles cellules de batterie ont au moins trois fois plus de densité d'énergie que les batteries au lithium-ion actuellement sur le marché. La densité d'énergie d'une cellule de batterie donne au véhicule électrique son autonomie de conduite, donc une plus haute densité d'énergie signifie qu'une voiture pourra parcourir plus de km sur une même charge. La batterie de l’UT Austin permet également un plus grand nombre de cycles de charge et de décharge, ce qui équivaut à des batteries plus durables, ainsi qu'un rythme de recharge plus rapide (en quelques minutes, plutôt que des heures). Les batteries lithium-ion d'aujourd'hui utilisent des électrolytes liquides pour transporter les ions lithium entre l'anode (côté négatif de la batterie) et la cathode (côté positif de la batterie). Si une batterie est chargée trop rapidement, cela peut entraîner la formation de dendrites ou de trichites métalliques et traverser les électrolytes liquides, pouvant provoquer un court-circuit et causer des explosions et des incendies. Au lieu d'électrolytes liquides, les chercheurs s'appuient sur des électrolytes de verre solides qui permettent l'utilisation d'une anode de métal alcalin sans formation de dendrites. L'utilisation d'une anode alcaline (lithium, sodium ou potassium) - ce qui n'est pas possible avec les batteries classiques - augmente la densité d'énergie de la cathode et offre une plus longue durée de vie au cycle. Lors de leurs expériences, les cellules des chercheurs ont démontré plus de 1200 cycles ayant une faible résistance cellulaire. En outre, parce que les électrolytes solides peuvent fonctionner, ou ont une conductivité élevée, à -20 degrés Celsius, ce type de batterie pourrait très bien fonctionner dans des conditions météorologiques sous zéro. C'est aussi la première cellule de batterie à état solide qui peut fonctionner sous 60 degrés Celsius. Braga a commencé à développer des électrolytes solides avec des collègues alors qu'elle était à l'Université de Porto au Portugal. Il y a environ deux ans, elle a commencé à collaborer avec Goodenough et le chercheur Andrew J. Murchison à UT Austin. Braga a déclaré que Goodenough a apporté une compréhension de la composition et des propriétés des électrolytes solides qui a abouti à une nouvelle version, qui est maintenant brevetée par le bureau de commercialisation des technologies de UT Austin. Grâce aux électrolytes solides, les ingénieurs peuvent plaquer et extraire des métaux alcalins à la fois sur la cathode et le côté anode sans dendrites, ce qui simplifie la fabrication des cellules de la batterie. Un autre avantage est que les cellules de la batterie peuvent être fabriquées à partir de matériaux écologiques. « Les électrolytes solides permettent la substitution du lithium par du sodium à faible coût. Le sodium est extrait de l'eau de mer qui est largement disponible », a précisé Braga. Goodenough et Braga poursuivent leurs recherches sur les batteries et travaillent sur plusieurs brevets. À court terme, ils espèrent collaborer avec des fabricants de batteries pour développer et tester leurs nouveaux matériaux dans les véhicules électriques et les dispositifs de stockage d'énergie. Cette recherche est soutenue par UT Austin, mais il n'y a pas de subventions associées à ce travail. Le bureau de commercialisation des technologies de l'UT Austin négocie activement des accords de licence avec plusieurs sociétés engagées dans différents secteurs de l'industrie liés aux batteries. Source : UT News Contribution : Peggy Bédard
Un excellent documentaire diffusé début février à l'émission télévisée NOVA de la chaîne américaine PBS discutant des plus récentes avancées technologiques à venir sur les batteries de 2e génération.
Présenté par David Pogue (CBS, NY Times, PBS, Yahoo), l'émission débute avec une petite mise en scène amusante alors que Pogue se retrouve naufragé sur une "ile déserte" avec un canif, du fil, et un téléphone cellulaire dont la batterie est à plat. Il réussit à créer une batterie avec des éléments simples retrouvés sur la plage (grosse mise en scène) afin de recharger le téléphone. Quand même impressionnant... Puis on adresse le fonctionnement d'une batterie, l'évolution de la lithium-métal en lithium-ion, les nouvelles batteries Tesla 2170, la recherche sur les batteries à électrolyte solide (solid state battery), le stockage d'énergie par volant-moteur (flywheel) et par batterie de type flux d'oxydoréduction au vanadium, et même les barrages hydro-électrique pompés -- où l'eau est repompée dans le réservoir pendant la nuit. Un reportage très complet qui fera de vous une sommité en la matière! Contributeur: Simon-Pierre Rioux La supervoiture rechargeable de Techrules GT96 se fait tester en Italie, Bentley construit un petit SUV qui pourrait être entièrement électrique, découverte importante du co-inventeur de la batterie lithium-ion et la batterie 2170 de Tesla possède une plus grande puissance à un coût comparable : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
L'un des avantages des voitures électriques est que leur ralentissement devient une activité utile. En effet, le freinage par récupération récupère l'énergie normalement perdue sous forme de chaleur de frottement, comme c'est le cas lorsqu’on n’appuie pas sur la pédale d'accélération et que la voiture roule.
Dans certaines voitures, la régénération est assez efficace pour permettre l'utilisation d'une seule pédale de conduite, où les freins à friction ne sont nécessaires que pour une décélération radicale ou pour arrêter complètement le véhicule. Mais quelle quantité d'énergie ces systèmes récupèrent-ils vraiment? Serait-il possible de recharger une voiture électrique qui roulerait simplement sur une haute et longue colline? C'est ce qu’Engineering Explained a cherché à découvrir dans la vidéo ci-dessus, en utilisant une Tesla Model S 60 comme base de calcul. Pour répondre à cette question, on a dû convertir la capacité de stockage de la batterie au lithium-ion de 60 kWh de la Tesla en joules, tout en tenant compte du poids de la voiture. À ce sujet, le site de Tesla est étonnamment précis en indiquant 4647,3 livres (2108 kg). Certains calculs devaient être faits pour déterminer l'énergie potentielle requise qui correspondait à la capacité de la batterie en joules. Sachant le poids du véhicule, la variable de l’équation était la hauteur de la colline. Il s’est avéré que pour récupérer l'énergie requise, le conducteur hypothétique de la Model S aurait besoin d'une pente descendante de 10,4 kilomètres (6,4 miles) de haut. Cependant, cela suppose que la Model S peut convertir 100% de l'énergie récupérée en électricité qui fait son chemin dans la batterie, ce qui n'est pas le cas. En réalité, le système est soumis à des pertes d'efficacité qui limitent la quantité d'électricité utilisable. Engineering Explained cite un chiffre d'efficacité de 60% pour la récupération d'énergie de la Model S. Sachant cela, le conducteur aurait donc besoin d'une colline de 17,4 kilomètres (10,8 miles) de haut, soit un peu moins de deux fois la hauteur de l'Everest, pour recharger son véhicule. Si le freinage à récupération lors de descentes peut aider à augmenter l’autonomie restante d'une voiture électrique, cette démonstration a certes prouvé qu'il ne peut faire le travail tout seul. Source : Green Car Reports Contribution : Peggy Bédard Tesla s’installera aux Émirats Arabes Unis, le nouveau VP du logiciel Autopilot explique pourquoi il a quitté Apple, des annonces de Tesla et selon une nouvelle étude, le coût des batteries diminue de façon spectaculaire : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Les limites des batteries restent le plus grand obstacle au succès commercial des voitures électriques. De nouvelles recherches ont cependant révélé le potentiel des supercondensateurs, ce qui pourrait entraîner la venue de batteries de prochaine génération pouvant bientôt surmonter ces limites.
Si cette découverte décisive de nouvelle technologie de recharge ultra-rapide remplit sa promesse, l'industrie de l'automobile électrique est de plus en plus près de déclencher une révolution, Des recherches de l'Université de Surrey, de l'Augmented Optics et de l'Université de Bristol ont permis la découverte de matériaux d'une capacité potentielle entre 1 000 et 10 000 fois supérieure aux supercondensateurs existants, qui sont l'alternative habituelle aux piles conventionnelles. Le résultat de leur découverte est très prometteur. La technologie pourrait alimenter les VÉ pour des distances similaires à celles des véhicules à essence, et se recharger dans le même temps qu'il faut pour faire le plein. Les VÉ sur le marché se rechargent présentement entre six à huit heures. Le projet a été lancé par le Dr Donald Highgate, dont les recherches précédentes sur les matériaux de lentilles de contact souples ont fourni une plate-forme pour le développement. Le Dr Highgate a fait équipe avec les chercheurs Dr Ian Hamerton et Dr Brendan Howlin pour rendre ces matériaux électriquement actifs. Le test de conduction des matériaux de l'Université de Surrey a rapidement surpris: leur performance s'est améliorée avec le temps. Des rapports indépendants ont permis de vérifier les propriétés électriques et ont recommandé le développement de supercondensateurs à haute densité d'énergie. « Nous ne parlons pas de quelque chose qui prendra 5, 10, 15 ou 20 ans à réaliser », a déclaré le PDG d'Augmented Optics, Jim Heathcote. « Nous pourrions potentiellement entrer dans les prototypes de périphériques d’ici quelques mois. » Puissance du passé Les batteries lithium-ion, commercialisées par Sony dès 1991, conduisent encore l'industrie des VÉ d'aujourd'hui, des constructeurs établis tels que Toyota à des joueurs émergents comme Tesla, qui a l'intention de commencer la production de batterie à sa nouvelle Gigafactory du Nevada en 2017. Aucun d'entre eux ne peut contrôler leur dégradation dans le temps et leur résistance limitée à la chaleur. Les supercondensateurs offrent une solution. Alors que les batteries traditionnelles stockent de l'énergie grâce à une réaction chimique, les supercondensateurs le font à la surface d'un matériau, en soutenant des charges plus rapides et des cycles de vie plus longs. Les supercondensateurs alimentent des autobus en Chine depuis qu’on en a ajouté un au moteur de la ligne numéro 11 de Shanghai en 2006. Ils pourraient rejoindre un marché de stockage d'énergie de haute puissance d'une valeur de 800 millions à 1 milliard de dollars qui, selon la société d'études de marché IDTechEx, devrait croître d'environ 240 millions à 2 milliards de dollars par an d'ici 2026. Mais jusqu’à maintenant, ils n'étaient pas adaptés aux véhicules de passagers en raison des limites de la technologie. Ils peuvent stocker seulement 5% de l'énergie que les batteries au lithium-ion emmagasinent, ce qui signifie qu'ils ont besoin d'une recharge tous les deux à trois arrêts d'autobus. Les supercondensateurs ne pouvaient rivaliser avec les piles chimiques traditionnelles en raison de leur faible densité énergétique par kilogramme. La nouvelle technologie pourrait surmonter cette limitation. Les supercondensateurs n'auraient alors besoin que d'une recharge toutes les 20-30 arrêts, durant des pauses de quelques secondes seulement. Un autre avantage des supercondensateurs est leur performance sous de basses températures, une caractéristique particulièrement pertinente, car les fonctions changeantes des téléphones intelligents et des systèmes énergétiques créent des demandes de puissance tout aussi variables. L'application initiale utilisera probablement les deux méthodes de l'énergie électrique en simultané. « Leur première utilisation se fera certainement en addition à une batterie au lithium-ion pour qu'une demie recharge se fasse rapidement », a déclaré le Dr Highgate. « Avec le temps, ils pourraient les prendre en charge complétement. » Concurrence pour l'énergie La découverte arrive à point, alors que la concurrence pour les énergies alternatives s’intensifie. Un étudiant en génie mécanique de l'Université du Sussex a remporté le prix Autocar-Courland Next Generation en novembre pour son design d'une batterie de graphène empilée, qui pourrait mener au développement de plus petites batteries dotées de capacités plus grandes et de temps de charge réduits. Le même mois, une équipe de scientifiques de l'Université de la Floride centrale a conçu un prototype pour un supercondensateur qui peut charger un téléphone mobile en quelques secondes et le garder en vie pendant plus d'une semaine. Mais ces innovations demeurent modestes si on les compare à cette découverte, qui pourrait générer des applications qui iront bien au-delà des voitures électriques. La technologie aura le pouvoir de recharger les téléphones et les ordinateurs portables en quelques secondes, si elle peut se traduire par des supercondensateurs à très haute densité d'énergie. Le matériel n'a pas tendance à s'enflammer, une bonne nouvelle en ces temps ou certains téléphones explosent! L'aérospatiale, la production d'énergie, les dispositifs électroniques d'écran et les biocapteurs sont des exemples d'autres voies possibles d'adoption. « C'est ce que tout le monde vise pour le moment », a déclaré Heathcote. « Nous ne savons pas ce que le résultat de notre travail va démontrer, mais nous savons que nous avons fait une avancée scientifique très importante. » En faire une réalité Les chercheurs espèrent maintenant transférer le résultat de leur décourte dans un produit réel. Une fois que cela aura été testé de façon indépendante, Heathcote espère réunir l'argent pour construire une usine qui construira le premier supercondensateur au Royaume-Uni. « Nous allons maintenant commencer à construire un prototype à grande échelle, que nous espérons dès le printemps », a t-il déclaré. « Nous recherchons activement des partenaires commerciaux pour offrir nos polymères et l'aide nécessaire pour construire ces dispositifs de stockage à très haute densité d'énergie. » Le moteur à combustion interne continuera probablement à devancer la voiture électrique dans la première bataille de la densité énergétique. Mais cette nouvelle percée suggère que la guerre n'a pas encore été perdue. Source : Techworld Contribution : Peggy Bedard
Première livraison UPS en vélo électrique, la Chine domine le marché du lithium, près de 1850 travailleurs à la Gigafactory Tesla et Daimler investira jusqu’à 10 milliards d'euros dans le développement de VÉ : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
L’équipe de Toyota travaille présentement à développer un véhicule électrique à batterie qui pourrait être mis en vente dès 2020. Après une décennie à proclamer que l’électricité était uniquement destinée aux petits véhicules urbains, le plus grand constructeur automobile du monde change maintenant de discours.
La nouvelle est venue de Hisao Yamashige, l'un des nombreux chercheurs chez Toyota qui s'affaire à développer une nouvelle technologie de batterie et qui a pris la parole devant les médias de Tokyo la semaine dernière. Selon lui, « les batteries lithium-ion sont une technologie clé et leurs performances doivent s'améliorer davantage pour aller de l'avant. Toyota sera en mesure de construire des voitures dotées de batteries à durée de vie prolongée et qui offriront jusqu'à 15% plus d’autonomie que celles d’aujourd’hui, d’ici quelques années. » Un VÉ conçu pour des leçons de conduite aux enfants, le Buick Velite hybride rechargeable fera ses débuts au Salon de l'auto de Guangzhou, un toit solaire pour la Tesla Model 3 et Rimac entend produire des batteries et des moteurs électriques pour les équipementiers : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
La recharge sans fil parfaite pour le stationnement automatisé, les VÉ de Sono Sion seront dotés de panneaux solaires permettant l'auto-recharge, Toyota prétend avoir apprivoisé la batterie au lithium-ion et la Voltia Maxi, une fourgonnette électrique de livraison urbaine : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Partenariat confirmé entre LG Chem et Faraday Future, la Toyota FCV Plus fait ses débuts européens à Paris, Mercedes n ° 1 des VÉ d’ici 2025 et la Tesla Model X est maintenant la deuxième voiture la plus vendue en Norvège : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
Faraday Future emploie maintenant plus de 1000 personnes aux États-Unis, un nouveau matériau d’anode pour les batteries Lithium-Ion, de récents croquis du nouveau VÉ de Volkswagen, de nouvelles prises de vues aériennes montrent une Gigafactory deux fois plus grande et une sous-compacte électrique à venir chez Nissan avant la LEAF : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
Orange EV lance un camion électrique de classe 8, Jaguar dévoile sa voiture de course tout-électrique I-TYPE, Samsung veut être un acteur majeur sur le marché des batteries et Opel Ampera-e met l’accent sur l’aspect amusant de la conduite d’un VÉ dans une publicité : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
Retour en 2007, Nissan et NEC, un géant japonais des technologies, ont fondé une entreprise de fabrication de batteries, Automotive Energy Supply Corporation (AESC), pour alimenter les programmes de véhicules électriques du constructeur. Les deux entreprises ont depuis investi chacune des centaines de millions dans l'entreprise, qui a commencé à produire les batteries pour la Nissan Leaf en 2010.
Dès 2014, elle est devenue l’un des plus grands fabricants de batteries de véhicules électriques, tout juste derrière Panasonic, fournisseur pour Tesla. La coentreprise a depuis perdu des parts de marché et Nissan s’est montrée très ouverte à s’associer à un nouveau partenaire pour ses futurs programmes pour VÉ, comme pour son nouveau bloc-batterie de 60 kWh. Nous apprenons maintenant que le constructeur automobile cherche à vendre ses parts dans AESC et Panasonic pourrait être intéressée. La nouvelle est venue de Nikkei (via Reuters) : « Nissan Motor Co envisage de vendre sa participation majoritaire dans ses activités de fabrication de batteries de voiture, et discute d'une vente possible avec Panasonic Corp et d'autres sociétés à l'étranger, y compris les chinois », a rapporté le quotidien Nikkei vendredi. « Le constructeur automobile japonais envisage de se départir de sa participation dans Automotive Energy Supply Corporation, une coentreprise fondée avec NEC Corp, après avoir déterminé que l'acquisition des batteries pour ses véhicules électriques, dont son modèle Leaf, serait plus rentable que la production », a rapporté le journal. Des rumeurs laissent croire que Nissan travaillerait avec LG Chem pour sa batterie de nouvelle génération. L'an dernier, le PDG Carlos Ghosn a déclaré qu'il croyait avoir la meilleure option de batterie pour les véhicules électriques. Navigant Research est d'accord avec Ghosn. L'année dernière, ils ont placé LG Chem à la toute première place de son classement des batteries li-ion destinées au transport. Source : Electrek Contribution : Peggy Bédard Une proposition de corridors réservés aux VÉ sur les routes nationales, Tesla et Mobilieye mettent fin à leur collaboration, deux autres Audi électriques d'ici 2020 et des VÉ qui se chargeront plus vite et qui auront plus d’autonomie : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
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