GM confirme l'autonomie de la Chevrolet Bolt, Apple remet en question la conduite autonome pour son projet Titan, BMW dévoile le nouveau scooter électrique C evolution, l’administration Obama propose un imposant programme éolien et selon Satoshi Ogiso, les véhicules électriques coûtent déjà moins cher à construire que les hybrides : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus.
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Contribution : Peggy Bédard
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De nouvelles stations multi-services pour VÉ au Royaume-Uni, rumeurs d’association entre Jaguar Land Rover, Ford et BMW pour la construction d'une usine de batteries, magasiner un VÉ est encore trop difficile, le projet Titan d’Apple perd un important collaborateur au profit de Faraday Future et Mercedes fait allusion à des caractéristiques aérodynamiques sur ses prochains VÉ : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture
Contribution : Peggy Bédard
Tesla et SolarCity finalisent leur entente, rumeurs chez Apple, aperçu de la technologie à la Gigafactory, des tunnels sous-marins en Norvège et Proterra rend disponible sa technologie de recharge rapide pour autobus : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
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Samsung a fait allusion à son orientation future, où le développement d’une voiture électrique semble tout à fait possible. La compagnie a annoncé qu'elle venait d'acheter des parts du fabricant chinois BYD, ce qui permettra de renforcer le secteur des pièces de véhicule électrique et des pièces de téléphones intelligent des deux entreprises.
Cependant, Samsung a également précisé : « Nous avons l'intention de coopérer dans diverses entreprises à venir » - et c’est là que les choses deviennent plus intéressantes. L'industrie automobile semble une étape logique pour de nombreuses entreprises de haute technologie, et il n'est donc pas surprenant que Samsung soit intéressée à consolider plus que ses composantes existantes avec cette affaire. Apple est en train de travailler sur sa propre voiture électrique (qui pourrait même inclure certains éléments autonomes), et Samsung pourrait songer à s’impliquer davantage elle aussi. Samsung n'a pas encore révélé ses intentions avec le constructeur automobile, mais le géant coréen de l'électronique est connu pour son désir d’être à l’avant-garde, alors investir dans la production d’une voiture électrique semble quelque chose de tout à fait plausible. Source : Tech Radar Contribution : Peggy Bédard Samsung investit dans la société chinoise BYD, rumeurs d’association entre Volkswagen, Panasonic et LG Chem, Morgan lance la production de son EV3, pas de VÉ pour Apple avant 2021 et un nouveau modèle de 400 km d’autonomie pour Hyundai : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
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Peugeot teste un prolongateur d’autonomie, nouvelle embauche chez Tesla, un roadster électrique et un nouveau système de stockage d’énergie pour la maison : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture
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Nissan et BMW dans la Formule E, un important VP quitte Tesla, Faraday Future se fait mettre des bâtons dans les roues, différents VÉ chinois à venir et une Pininfarina électrique : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Selon des informations tirées de personnes familières avec les plans d'Apple et le réseau LinkedIn, Apple rencontrerait des entreprises spécialisées dans la conception et la construction de stations de recharge, et aurait embauché plusieurs ingénieurs ayant une expertise dans le domaine.
Les entreprises qu’elle a rencontrées disent cependant se méfier de l'intérêt d'Apple envers leur technologie. Elles croient que la compagnie pourrait facilement opter pour intégrer sa propre solution de station de charge en utilisant la technologie propriétaire d'Apple, pour se retrouver potentiellement en concurrence avec eux. Mais un véhicule électrique qui ne serait compatible qu’avec la technologie d’Apple pourrait rebuter certains consommateurs. C’est sans doute pourquoi Apple serait à la recherche d'une solution qui pourrait l'aider à atteindre une masse critique et stimulerait du même coup les taux d'adoption de véhicules électriques. La société a récemment embauché Kurt Adelberger, un ancien de Google qui est nommé sur plusieurs brevets relatifs à la façon dont les véhicules électriques emmagasinent de l'énergie, ainsi qu'à la manière dont ils peuvent être chargés plus efficacement. L’agence de presse Reuters note également qu’Apple a embauché l’ancien employé de BMW Rónán Ó Braonáin, qui a travaillé sur l'intégration des stations de recharge dans les foyers, et Nan Liu, un ingénieur qui a étudié la recharge sans fil pour les véhicules électriques Apple n'a pas nié qu'elle travaillait sur un projet de véhicule électrique, mais elle ne l’a toujours pas confirmé officiellement, pour au moins deux raisons : elle est probablement réticente à parler publiquement de ses projets, car cela pourrait donner aux concurrents potentiels un aperçu de sa stratégie, elle évite également d'en discuter publiquement car certains, sinon plusieurs, de ceux-ci ne sont pas nécessairement des produits concrets. On peut cependant affirmer que des preuves circonstancielles s’accumulent concernant le projet Titan, le nom de code interne pour le projet de voiture électrique, qui semble devenir de plus en plus réel à mesure que les semaines passent. Source : World News Report Contribution : Peggy Bédard Le PDG de Tesla Elon Musk surnomme affectueusement Apple : Le « cimetière de Tesla ». Selon lui, la compagnie a embauché plusieurs personnes renvoyées de chez Tesla. « Si ça ne fonctionne pas chez nous, vous pouvez travailler chez Apple », a-t-il déclaré. Il a émis ce commentaire après avoir été interrogé au sujet de la soi-disant guerre de débauchage entre le constructeur automobile et le géant de l'électronique suite au lancement du projet Titan, le programme de voiture électrique d'Apple. Le personnel de la haute direction et de l’ingénierie chez Tesla est composé de plusieurs anciens vice-présidents et directeurs d'Apple, tandis que la société de Cupertino a embauché un bon nombre d'anciens ingénieurs de Tesla, mais rarement pour sa haute direction ... jusqu'à maintenant. Le site 9to5Mac, en collaboration avec le site parent Electrek, a confirmé en exclusivité qu’Apple avait engagé l'ancien vice-président de l'ingénierie véhicule chez Tesla et ancien ingénieur en chef chez Aston Martin, Chris Porritt, pour travailler sur des projets spéciaux, dont fort probablement le projet Titan. Plus récemment, un article avait d’ailleurs rapporté que Steve Zadesky, le dirigeant d'Apple qu’on suspectait être responsable du projet Titan, avait quitté l'entreprise plus tôt cette année. Si Zadesky a en effet quitté l'entreprise, cela laisserait toute la place pour Porritt, un candidat susceptible de reprendre la direction du projet de voiture électrique. Son expertise pourrait être utile dans beaucoup de rôles d'ingénierie du matériel, et il a aussi développé une spécialité au niveau de la dynamique, de l’architecture et du conditionnement du véhicule tout au long de sa longue carrière. Avant d’arriver à la Silicon Valley, Porritt était un ingénieur-clé dans l'industrie automobile au Royaume-Uni. Il a commencé comme stagiaire à Land Rover en 1987 et évolué jusqu’au rôle d'ingénieur principal dans la dynamique du véhicule en 1997. Il a ensuite travaillé pour Aston Martin où il a occupé le poste d’ingénieur en chef jusqu'en 2013, quand il a rejoint Tesla en tant que vice-président de l'ingénierie des véhicules. Chez Aston Martin, Porritt a été crédité de la fabrication des véhicules les plus emblématiques de l'entreprise au cours des dernières années, dont la V12 Zagato, la One-77 supercar, et la DB9. Lors de l'embauche de l'ingénieur en 2013, Tesla avait publié un communiqué de presse et Musk avait déclaré :
« Tesla est une société de technologie pure et dure, ce qui signifie que toute personne dirigeant une équipe d'ingénieurs doit être un ingénieur remarquable lui-même, de même qu’un excellent leader. Chris a démontré ce type de caractéristiques dans son rôle chez Aston Martin, créant la One-77, qui était sans aucun doute leur meilleure voiture jamais créée. » Il est entré chez Apple beaucoup plus discrètement Selon les informations recueillies, il aurait rejoint la société à titre « d’administrateur du groupe de projets spéciaux PD » un titre volontairement vague. L'année dernière, Apple a embauché un ingénieur chevronné qui travaillait sur le programme Autopilot de Tesla, Jamie Carlson. Ce dernier a également été répertorié comme un membre du groupe de projets spéciaux. Nous pouvons confirmer que certains hauts ingénieurs d'Apple se rapporteront directement à Porritt, dont le directeur de l’ingénierie du développement de produit, Albert Golko, qui jusqu'à l'an dernier travaillait pour le groupe iPhone et maintenant sur des produits non spécifiés. Emery Sanford se rapporterait aussi directement à Porritt. Sanford est un ingénieur prolifique nommé dans des dizaines de brevets d’Apple et qui a souvent travaillé directement avec Zadesky, le dirigeant qu’on croyait avoir été en charge du projet Titan jusqu'au début de cette année. Même si Apple n'a pas encore reconnu officiellement travailler sur une voiture, son projet de véhicule électrique (et probablement autonome) est un secret de polichinelle dans les industries de l'automobile et de la technologie. Source : 9to5Mac Contribution : Peggy Bédard
Selon une source interne, des voisins se seraient plaints à la police locale en raison de forts bruits provenant de l’usine de fabrication de voitures d’Apple.
L'installation est située à Sunnyvale en Californie et occupe 300 000 pieds carrés répartis dans sept immeubles à bureaux. L'un des bâtiments situé au numéro 175 est effectivement enregistré au nom d’une société écran d'Apple appelée SixtyEight Research. Un bâtiment en particulier appelé SG5 est considéré comme le quartier général du projet Titan, le nom interne qu’Apple donne à son projet de voiture. Dès mars 2015, il était connu qu’Apple utiliserait ces installations pour son projet d'automobile, mais elle a fait de gros efforts pour maintenir les activités secrètes, installant même une clôture de 10 pieds de haut qui a nécessité l'approbation spéciale du gouvernement local. Dans le rapport de plainte, un résident de Sunnyvale déclarait : « Est-ce qu’ils doivent vraiment émettre des bruits de moteur jusqu’à 23h00, comme la nuit dernière? Même avec les fenêtres fermées, je pouvais toujours les entendre. » Il semble donc qu’Apple travaille d’arrache-pied pour construire sa première voiture. La plupart des constructeurs automobiles commencent par ce qui est connu dans l'industrie comme les « voitures-mulets ». Il s’agit de véhicules hors production construits à partir de pièces de ferraille afin de tester les diverses fonctions des futures voitures. Il est probable qu'Apple soit au début du processus de construction de ce mulet, et même s’il était possible d’apercevoir ces véhicules par-delà le mur de dix pieds de clôture, cela ne donnerait aucune indication spécifique sur la conception finale, qui devrait se faire d’ici 2 à 3 ans seulement. Source : InsideEVs Contribution : Peggy Bédard
Selon un nouveau rapport du Wall Street Journal, l'employé chevronné d'Apple qui a supervisé l’initiative de la voiture électrique, « Projet Titan », quitte l'entreprise. Le rapport, citant des « personnes familières avec la question, » affirme que Steve Zadesky, qui travaille avec Apple depuis 16 ans, quitte l'entreprise pour des « raisons personnelles ».
La date de départ de Zadesky est inconnue à ce moment-ci, tout comme les motifs spécifiques de ce départ. Le rapport indique clairement qu'il quitte pour des raisons personnelles et que ce n'est pas lié à sa performance. En 2014, il a reçu l'autorisation d'analyser une possible incursion dans le marché de la voiture électrique. De le passe, il a déjà travaillé sur l'iPhone et l'iPod. Avant sa carrière chez Apple, Zadesky était un ingénieur chez Ford. Chez Apple, on lui demanda de tripler la taille de l'équipe automobile, qui s'élevait déjà à environ 600 employés en septembre dernier. Il devait aussi clarifier la vision du produit. Le rapport affirme que l'équipe voiture chez Apple a eu des problèmes à définir des objectifs clairs pour le produit. L'équipe aurait estimé que les objectifs fixés par Apple ne sont pas réalisables, mais la compagnie a exhorté l'équipe de poursuivre. Apple aurait fixé à 2019 la date de livraison pour projet Titan. L'entreprise n'a pas encore annoncé publiquement qu'elle développe une voiture, même si elle a fait beaucoup d'embauches et d’acquisitions centrées autour des technologies automobiles. Plusieurs employés sont d’anciens employés de Tesla, créant un maraudage important entre les deux sociétés. Plus tôt ce mois-ci, il a été révélé qu’Apple a enregistré trois noms de domaine liés aux voitures, ce qui alimente les rumeurs de son projet de voiture électrique. L'entreprise teste secrètement le projet Titan sur une piste d'essai de voitures. Source : 9TO5Mac Contributeur : Normand Shaffer
Pendant le plus récent Salon international de l’automobile d’Amérique du Nord (NAIAS) qui se tient présentement à Détroit (11 au 24 janvier), le PDG du groupe Nissan/Renault s’est entretenu avec les médias pendant une quarantaine de minutes. Encore une fois, les propos de Carlos Ghosn n’ont laissé personne indifférent.
Il s’est exprimé sur les dernières critiques de Fiat formulées à l’endroit de l’industrie des véhicules rechargeables, il a abordé les défis qu’Apple rencontrera dans la suite de son projet de VÉ, l’état des infrastructures de recharge et a même commenté la sortie de la Chevrolet Bolt. Voici le résumé de son échange : Au sujet des récentes déclarations du patron de Fiat/Chrysler, Sergio Marchionne, qui a affirmé que l'électrification de l'automobile causerait la désintermédiation parmi les constructeurs, qui perdront progressivement le contrôle de leurs entreprises en ne fabriquant plus les composants essentiels comme les moteurs électriques et les batteries : « Chaque constructeur automobile a une opinion différente ... Mais je pense que l'électrification n’est pas une question de « j’y crois ou je n’y crois pas », l'électrification est en cours. Nous l’aidons à progresser, parce que nous croyons en elle. Nous ne pouvons pas simplement dire « il y a un risque derrière l'électrification » ... le risque est de ne pas y participer, y contribuer ou la comprendre, et cette tendance se maintiendra. » «Nous serons les derniers à vous dire que l'électrification est risquée, parce que nous avons pris l'initiative de présenter des voitures électriques et de continuer dans cette direction en construisant des moteurs et des batteries. D'une certaine façon nous rendons les batteries disponibles à d'autres fournisseurs. Nous avons notre propre batterie, mais en même temps, nous achetons des batteries faites par LG Chemical. » Sur le risque que présente les voitures connectées, la conduite autonome et le projet de voiture électrique d'Apple : « Est-ce qu’Apple est un risque ou une opportunité? Eh bien cela dépend de votre position. Si vous êtes passif et regardez le tout de loin, en ayant peur de perdre le contrôle de X, Y, Z, alors cela représente un risque. Si vous vous dites que c’est intéressant pour le consommateur, que vous souhaitez saisir cette occasion pour construire le système qui pourra l'offrir, alors cela devient une opportunité d'affaires. » Sur la Chevrolet Bolt électrique de GM et comment entend réagir Nissan avec sa LEAF : « De toute évidence, la LEAF subira beaucoup de transformations. Nous avons d'abord annoncé plus d'autonomie, plus de portée. Ce sera véritablement une toute nouvelle LEAF. Nous n’occupons pas le devant de la scène des véhicules électriques pour l'abandonner. Nous allons nous battre, nous allons continuer à développer des voitures. Mais nous tenons à faire nos annonces juste avant la sortie des véhicules, pas trop longtemps d’avance. Nous vous présenterons donc plus de produits, des technologies, des améliorations, une réduction des coûts et plus de portée. » Le patron de Nissan a renchéri en parlant de la nécessité d'une infrastructure de recharge beaucoup plus solide, peu importe la portée des véhicules : « On ne va pas éliminer le stress lié à la portée seulement en proposant de meilleures batteries ... les inquiétudes disparaîtront lorsque nous aurons une infrastructure de recharge vaste et tangible. J’ai acheté beaucoup de voitures dans ma vie, et jamais je ne me suis demandé quelle était la portée de mon véhicule. Pourquoi? Parce qu’il y a des stations d'essence partout. Je ne me souci donc pas si je peux rouler sur 200, 300 ou 400 km, je sais que je pourrai m’arrêter à tout moment pour faire le plein. Pourquoi les gens sont-ils inquiets ? Parce que la portée est trop restreinte et qu’il n’y a pas suffisamment de stations de recharge. » Vous pouvez visionner la vidéo complète de cet échange entre Carlos Ghosn et les journalistes pour découvrir l’ensemble de ses réflexions sur le monde et l’avenir des véhicules électriques. Elon Musk : C'est un « secret » que Apple travaille à la conception d'une voiture électrique15/1/2016
Le PDG de Tesla Motors, Elon Musk pense qu'il est assez évident qu'Apple travaille sur sa propre voiture électrique, et que le fabricant de l'iPhone serait un constructeur automobile vraiment bon. C'est ce qu'il a déclaré lors d'un interview par la BBC.
"C'est assez difficile à faire, mais je pense qu'une entreprise comme Apple va probablement faire une voiture électrique convaincante." dit Musk pendant l'entrevue. « Il est assez difficile de cacher quelque chose, si vous embauchez plus 1 000 ingénieurs pour le faire. »
En fait, la semaine dernière, il s'est avéré qu'Apple a acheté plusieurs adresses web liées aux voitures, y compris apple.car et apple.auto.
Ce n'est pas la première fois que Musk fait allusion à une éventuelle concurrence d'Apple pour une voiture électrique. En octobre, il a dit en plaisantant qu'Apple embauche uniquement des personnes congédiées par Tesla, reconnaissant que le géant de l'iPhone se dirige tranquillement vers la conception de voitures. « Nous avons toujours, en plaisantant, appelé Apple le « cimetière de Tesla. » Si vous ne faites pas l'affaire chez Tesla, vous allez travailler chez Apple. Je ne plaisante pas !" dit-il. Source : Business Insider Contributeur : Normand Shaffer Apple continue de nous donner des indices que les voitures prennent une place importante dans le développement de l'entreprise
Ceci pourrait être tout simplement relié au système carplay, mais il faut avouer que c'est intriguant !
Histoire à suivre... Source : MacRumors Contribution : Martin Archambault Paris s’apprête à accueillir 80 chefs d’Etat en décembre pour l’événement qui nous donne des sueurs froides : la COP 21. Sauront-ils se mettre d’accord pour que le monde ne sombre dans le désastre sous brève échéance ? Le mot à la mode ces jours-ci est « le verre à moitié plein ou à moitié vide ». Ce qui laisse augurer des débats interminables sur le succès ou l’échec de cette Conférence pour le climat. Mais peut-être que les décisions les plus décisives pour l’avenir du monde ne viendront pas des politiques mais des stars de l’économie mondiale. En effet, en marge de la COP21 se tiendra à Paris, le 5 décembre, une journée baptisée en parfait français : « International Action Day ». Plusieurs centaines de « people » sont attendues ; elles seront accueillies par François Hollande et le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon. Parmi ces stars, on attend Leonardo di Caprio, acteur très engagé dans la lutte contre le réchauffement climatique, Al Gore l’ancien vice-président américain, ardent combattant de la planète, plusieurs dizaines de grands chefs d’entreprises. Certain de ces derniers ne viendront pas les mains vides et profiteront de la chambre d’écho de la COP21 pour des annonces retentissantes. Une grande banque indienne viendrait ainsi, selon Europe 1, annoncer un investissement de plusieurs milliards de dollars dans le photovoltaïque tandis que le président de Bank of America devrait promettre un chèque de 10 milliards de dollars en investissements verts. Mais celui que l’on attend le plus, c’est Tim Cook, le PDG d’Apple, successeur du mythique Steve Jobs. Il annonce, mystérieusement, vouloir présenter à l’occasion d la COP21 « le tournant écologique que veut prendre son entreprise ». De quoi pourrait-il donc s’agir ? On peut s’attendre à tout avec Apple dont la fortune accumulée dépasse les 200 milliards de dollars en attente de projets sur lesquels investir.
Alors supputons, et prenons-nous à rêver. Projet Titan La firme à la pomme aime le secret, c’est bien connu. En grand secret donc, elle héberge à Cupertino à quelques pas de son siège dans la Silicon Valley, une place-forte inaccessible au commun des mortels. Seuls y entrent, dûment badgés et biométrisés, un millier d’ingénieurs triés sur le volet, faisant partie des meilleurs spécimens de la planète. Leur mission ? Inventer la voiture électrique de demain, l’Apple Car. Les rumeurs, fuites et allégations vont bon train. Il y a des choses que l’on sait et d’autres que l’on imagine. Ce que l’on sait par exemple, révélé par le Wall Street Journal, c’est l’embauche d’un des meilleurs experts de la construction automobile, Doug Betts, débauché de chez Fiat Chrysler, ou le recrutement de Johann Jungwirth, ancien président de la R&D de Mercedes. Ce que l’on sait aussi, c’est le nom du projet. Il serait baptisé «Titan » et serait dirigé par un homme qui a été un des inventeurs de l’iPod, l’actuel vice-président design produit chez Apple, Steve Zadesky. Le Financial Times affirme que ce Zadesky se serait rendu plusieurs fois ces derniers mois en Autriche pour trouver un partenaire pour la fabrication de l’Apple Car. Le magazine Business Insider fait état d’une interview avec un employé du projet secret Titan qui aurait déclaré travailler sur « un projet qui donnerait des cheveux blancs à Tesla ». Il est vrai aussi que le fondateur de Tesla, Elon Musk, ne décolère pas : depuis quelques mois, ses meilleurs ingénieurs spécialistes des voitures électriques sont débauchés à prix d’or par Apple (une prime de 250 000 dollars est donnée avant toute discussion…) Même aventure avec un des meilleurs fabricants de batteries pour véhicules électriques, A123 Systems, qui poursuit Apple en justice pour débauchage d’employés. Qu’Apple s’intéresse à l’automobile, cela ne fait plus aucun doute. Business Insider rapporte que le PDG de Fiat Chrysler a récemment rencontré Tim Cook qui ne lui a pas caché sa volonté de percer dans l’automobile. Cook lui-même entretient le suspense en déclarant : « nous travaillons sur des produits dont personne n’a idée ». Un cadre dirigeant d’Apple, Jeff Williams, affirmait que « la voiture est l’appareil mobile par excellence ». Nous sommes en présence d’une somme d’informations concordantes, mais encore aucune annonce officielle. Accélération de la croissance Avec la banalisation des iPhone et iPad qui ont fait sa fortune, Il est normal qu’Apple cherche de nouveaux secteurs à révolutionner pour poursuivre sa croissance. La voiture électrique en est un, et la firme de Cupertino a les moyen de concrétiser cette ambition pour poursuivre et accélérer sa croissance. Imaginez simplement : si Apple sort une voiture électrique avec le même succès que l’iPhone, on pourra assister à une véritable révolution. Les voitures traditionnelles à essence auront l’air aussi ringardes que nos vieux téléphones portables à clavier repliable et écran monochrome. On sautera un pas disruptif. Et tout le monde, par effet d’entrainement, voudra une voiture électrique Apple. Le monde n’en sera alors que plus propre, débarrassé d’un des principaux consommateurs d’énergies fossiles polluantes : la bonne vieille voiture à papa. Si vous voulez vérifier cette information auprès de Tim Cook lui-même, il vous suffit de prendre rendez-vous avec lui pour un déjeuner. Il le propose, dans le cadre d’une œuvre de charité, pour 350 000 dollars. Peut-être vous fera-t-il des confidences entre la poire et le fromage … Source : Up' Magazine Contribution : Emmanuel Huybrechts Note de la rédaction: Comme toujours, certains articles provenant d'autres publications sont là pour présenter une vision de l'électromobilité qui diffère de la nôtre, mais nous les publions afin de stimuler la conversation. Nous ne sommes pas d'accord sur l'idée initiale du chroniqueur (Tesla va perdre la course), mais certains points apportés sont tout de même intéressants. Bonne lecture! Être le premier n’est pas toujours aussi avantageux qu’on le croit. Avant que Facebook ne soit adopté par tous, il y avait MySpace. Les DVD HD ont battu les disques Blu-Ray sur le marché de quelques mois, mais ils ont fini par être abandonnés par la société qui les a créés. Tesla est la première à lancer des voitures électriques qui sont à la fois séduisantes et bien construites – le dernier Modèle S a brisé la notation du Consumer Reports – et le PDG Elon Musk souhaite rendre accessibles les voitures électriques au grand public. Mais ce n’est peut-être pas la bonne compagnie pour atteindre cet objectif. Apple aurait déjà démarré son projet de voiture électrique, et Google n’est pas loin derrière avec son programme de voitures autonomes. Sans oublier que presque toutes les marques établies de voitures travaillent sur une voiture électrique. Tesla, une avant-gardiste du marché, pourrait-elle ne devenir qu’une note de bas de page dans l'histoire du succès d’un rival? À ce jour, Tesla a livré plus de 78 300 berlines Model S, et plus de 2100 Roadsters. Avec les S, l'entreprise a créé la première voiture entièrement électrique qui a un look invitant et qui fonctionne bien. La société est sur le point de lancer son prochain véhicule, le multisegment Model X, la semaine prochaine. La X, qui coûte environ 130 000 $, sera destinée à un marché de voitures de luxe similaire au modèle S. La prochaine voiture de la société après la X sera le Model 3, qui devrait coûter 35 000 $. Mais les premiers Model 3 ne sont pas censés être livrés avant 2017, date à laquelle Tesla ne sera sans doute plus la seule entreprise à fabriquer des voitures électriques intéressantes. Audi et Mercedes devraient produire des véhicules électriques d'ici la fin de la décennie, et Porsche prévoit d'être juste derrière eux. À l'heure actuelle, Tesla est un peu comme BlackBerry en 2007: elle a pris le contrôle d'un marché relativement nouveau et elle possède les produits les plus populaires dans ce marché. Mais BlackBerry, qui était encore la société de téléphones intelligents dominante aux États-Unis en 2010, n'a pas réussi à faire face à de nouveaux concurrents. Apple a fini par gagner la course des téléphones intelligents contre les BlackBerry, en partie parce qu'elle était une société d'informatique (et que les téléphones sont devenus de petits ordinateurs), mais aussi parce qu'elle construisait un meilleur téléphone et excellait à la commercialisation. Cela ne veut pas dire que le marché de la voiture électrique va s’organiser de la même manière que celui des téléphones intelligents. Aujourd’hui, beaucoup de marques de voitures différentes, qu’elles soient luxueuses ou économiques, parviennent à se concurrencer dans le même espace. Et même si les voitures électriques finissent comme les téléphones intelligents, il peut encore y avoir plusieurs gagnants – Apple et Samsung se partagent maintenant environ 35% seulement du marché des téléphones intelligents. Dans 10 à 20 ans, de quoi aura l’air le marché automobile? Voici quelques scénarios: 1-Les grands fabricants d'automobiles sont toujours en charge La création de nouvelles lignes de voiture prend des années de recherche, de développement, de réoutillage de l'usine et de logistique. Les constructeurs automobiles le savent. Chevrolet a lentement – et jusqu’à maintenant, sans grand succès – commencé à s’intéresser à l’électricité avec son hybride Volt, avant de développer son modèle entièrement électrique, la Bolt. Mais les compagnies de voiture ont déjà les infrastructures nécessaires, et le prestige de leur marque. Que préfériez-vous : acheter une voiture électrique qui fonctionne aussi bien qu’une Porsche, ou acheter une vraie Porsche électrique? Les constructeurs automobiles traditionnels ont le patrimoine de leur côté, et s’ils sont prêts à investir dans une modernisation, rien ne peut les empêcher d’entrer dans l'ère électrique. Récemment, Audi, BMW et Daimler ont formé un consortium pour acheter HERE, la technologie de cartographie de Nokia. Ces mêmes sociétés travaillent sur des voitures électriques de luxe et sur des voitures autonomes, ou assistées par intelligence artificielle, qui utiliseraient ces cartes géographiques. Toyota a récemment annoncé qu'elle allait investir 50 millions de dollars dans un partenariat avec le MIT et Stanford pour des recherches sur l’intelligence artificielle et la robotique, dont Gill Pratt, l'ancien directeur de la DARPA Défi Robotique, sera en charge. Avec les voitures électriques et autonomes, on verra s’il est plus facile d’intégrer la technologie dans les voitures ou de transformer les voitures elles-mêmes en technologie. 2-Tesla domine le marché Dans les prochaines années, Tesla a le potentiel de devenir le Apple des voitures électriques, même si Apple elle-même fait son entrée dans l'industrie. La société aura quatre modèles en circulation – la Roadster, la S, la X, et la 3 – alors qu’Apple ou tout autre compétiteur n’aura eu le temps que d’en concevoir un seul. La méga-usine Tesla – un centre de production massif dans le Nevada qui peut produire jusqu'à 500 000 packs de batteries par an – sera aussi en marche. Si Tesla peut baisser ses prix, ses voitures pourraient devenir beaucoup plus courantes sur les routes. Tesla met également en place la même fidélité à la marque qu’impose Apple à ses consommateurs. La société a construit son réseau « Supercharger », une série de stations de recharge rapide pour les voitures Tesla, placées sur les principales autoroutes américaines. Depuis 2014, les clients de Tesla sont en mesure de conduire à travers le continent américain, l'Europe occidentale et le Japon, sans craindre de tomber en panne avant d’atteindre une station de recharge Tesla. [NDLR: corrections effectuées - le réseau SC est bien en fonction!] En plus de cela, Tesla rendra bientôt disponibles ses piles « Powerwall » pour la maison. Les consommateurs pourront relier leur batterie à des panneaux solaires et alimenter en énergie leur maison et leur Tesla, stockant tout surplus d'électricité dans la pile, au besoin. C’est comme avoir un iPhone connecté à une montre Apple qui se synchronise avec un MacBook et un iPad sur une plus grande échelle encore. En supposant que Tesla parvienne à réaliser tous ses projets et que la qualité soit la même que ce qu'elle a produit à ce jour, la compagnie pourrait continuer de dominer le marché de la voiture électrique pour les prochaines décennies. En plus de tout cela, Tesla a Elon Musk. Quand il ne dirige pas Tesla, celui qu’on compare à Tony Stark (Iron Man) lance des fusées dans l'espace et essaie de tente d’envoyer des humains sur Mars. Comme Steve Jobs avant lui, il semble exiger le meilleur de son équipe pour livrer des produits qui intéressent vraiment les médias et le marché. 3-Une société d'informatique se taille une place Apple a passé la dernière décennie et demie à créer de l'électronique très populaire et bien conçu. Comme Wired l’a récemment souligné, la voiture moderne est essentiellement un téléphone intelligent avec des roues. Et Apple sait comment commercialiser des téléphones intelligents. Les ventes de l'iPhone sont la plus grande source de revenus de la société depuis des années. Si Apple est en mesure de fournir un modèle de production à l'industrie automobile aussi efficace que celui de ses appareils mobiles, elle pourrait avoir une chance de réussir. Les marges de profits de Tesla sont proches de celles de Porsche, ce qui signifie que si Apple arrive à produire à grande échelle comme elle l’a fait pour l'iPhone, elle pourra demander des prix similaires à ceux de Tesla. La société a également réussi à développer sa branche informatique à un moment où le reste de l'industrie du PC est en train de sombrer. Cela est dû en partie au fait qu'elle produit un gadget bien conçu, bien commercialisé, mais aussi parce que ses ordinateurs font partie d'un écosystème plus vaste de produits Apple. Apple est un choix de vie, et à cet égard, il n’y a pas de meilleure expression de votre choix de vie en Amérique que la voiture que vous conduisez. Apple se dépêche de lancer son programme de développement automobile : pour ce faire, elle augmente son personnel à 1 800 personnes et elle recrute, selon le Wall Street Journal, des experts des voitures autonomes. De son côté, Google a récemment embauché John Krafcik, l'ancien PDG de Hyundai États-Unis, pour diriger son programme de voitures autonomes. Un porte-parole de Google a déclaré que ce programme était un « bon candidat » pour devenir une compagnie distincte dans la grande famille Alphabet (conglomérat appartenant à Google), même si le géant a déjà dit ne pas vouloir construire ses propres voitures, préférant à la place des partenariats avec des fabricants d'automobiles. Voilà qui diffère de la manière dont Google fonctionne avec Android, soit le développement d’un système d'exploitation open-source que les fabricants de téléphones intelligents peuvent utiliser. Peut-être qu’un constructeur automobile bien établi – Nissan pourrait être un candidat décent, car elle produit actuellement la voiture électrique la plus populaire qui n’est pas dans l’écurie Tesla, la Leaf – pourrait utiliser la technologie de Google pour faire de la compétition à la voiture d’Apple. Ou alors peut-être que Google suivra ses propres traces et produira une voiture en quantité limitée, comme sa ligne de téléphones Nexus. 4-Une jeune entreprise perturbatrice Si Tesla laisse filer son avance et qu’Apple finit par rater sa cible, il y a une autre entreprise qui pourrait arriver à dominer notre avenir automobile: Uber. La jeune entreprise évaluée à 50 milliards a déjà perturbé de nombreuses sociétés de taxi, et elle ne cache pas son ambition de remplacer éventuellement sa main-d'œuvre humaine par des véhicules autonomes. Uber a récemment décimé le laboratoire de robotique à Carnegie Mellon en engageant plusieurs talents pour travailler sur une flotte de voitures sans conducteur. Si la société peut arriver à transformer la recherche en robotique directement en voitures autonomes, elle pourrait être en mesure de contourner toute la course vers la voiture électrique. Peut-être que dans quelques décennies, en supposant que les obstacles juridiques et logistiques qu’implique l'intégration de voitures robotisées dans nos systèmes d'autoroute puissent être surmontés, l'achat d'une voiture – électrique ou autre –vous semblera aussi pittoresque que l'envoi d'un télégramme. En attendant, cela ressemble à une course où Tesla devra continuer à exceller pour rester compétitif. Source: Quartz Collaboration: Lisanne Rheault-Leblanc Apple appuie sur l'accélérateur pour commercialiser un véhicule électrique à l'horizon de 201922/9/2015 Le projet d'Apple porte le nom de code "Titan" et ses instigateurs ont obtenu l'autorisation de tripler les effectifs de leur équipe qui compte actuellement 600 personnes, écrit le «Wall Street Journal», citant des sources proches du dossier. Selon les rumeurs, le véhicule combinerait l’expertise d’Apple dans le design des produits, dans les batteries, dans la technologie de capteurs et dans l’intégration matériel/logiciel. Les dirigeants de la firme ont donné le feu vert au projet après plus d’une année de recherche sur la faisabilité d’un véhicule électrique commercialisé sous la marque Apple. L’an dernier, le PDG Tim Cook a fait le tour des implantations de BMW en Europe. Le constructeur a également rencontré des administrations en Californie. Il est entré en contact avec l’autorité Contra Costa Transportation pour avoir accès à la base militaire Concord Naval Station, près de San Francisco. Celle-ci a été transformée en zone de test pour les voitures autonomes, sous le nom de «GoMentum Station». Phases de développement Le Wall Street Journal précise qu'Apple ne compte pas faire de son premier véhicule électrique un engin totalement autonome. Considérant la complexité de la construction d'une voiture autonome, et ce, malgré les technologies existantes chez les concurrents (Delphi, Valeo, Audi). Apple, qui a avancé sur une technologie de conduite autonome, a préféré changer son fusil d'épaule en février dernier en visant un véhicule électrique, selon le journaliste Daisuki Wakabayashi, citant des sources proches de la marque à la pomme. Mais en aucun cas Apple ne renonce à la voiture autonome sur laquelle il continue de travailler. Alliance ? Apple a fait le tour de la planète pour recruter tous les meilleurs spécialistes du secteur automobile. Malgré tout, on ne construit pas une voiture en claquant des doigts, bien que Tesla l'a presque fait. Des rumeurs ont fait état de rencontres avec l'allemand BMW — Steve Jobs avait un faible pour le design de la marque à hélice ; une moto est d'ailleurs exposée dans le hall d'entrée du siège à Cupertino. Le géant informatique parviendra-t-il à transformer le monde automobile comme il a su le faire pour celui de la musique ? »»» À lire sur le même sujet : Projet TITAN: les rumeurs sur la voiture électrique de Apple continuent... Sources:
Contribution : Richard Lemelin, directeur régional AVÉQ - Capitale-Nationale Un membre du forum gm-volt.com qui porte le pseudo Kickincanada a récemment eu la chance de conduire une Chevrolet Volt 2016 pour une durée de 30 minutes. Il possède déjà une Volt 2012, de sorte qu'il est familier avec la conduite d’un hybride rechargeable de la marque.
Par la suite, il a écrit sur le forum : « Le siège du conducteur m'a rappelé le confort de la Cadillac ELR ... ..Tout est magnifiquement aménagé, les matériaux intérieurs sont de meilleure qualité, et la visibilité est améliorée par rapport à la première génération. Les supports du châssis semblent être mieux positionnés. « À l'intérieur, l'intégration Apple à l’aide de votre iPhone est fantastique. Google Maps ou Apple Maps se trouve sur l'écran d'affichage, dont la résolution est bien supérieure à celle de la vieille Volt. Présentement, il faut brancher votre appareil dans le port USB car l'intégration sans fil Apple n’est pas encore prête - mais on m'a dit que ça s’en vient. » Comment décrire la conduite de cette deuxième génération de Volt? « Incroyable. La première chose qu’ai je remarquée est que la voiture offrait une conduite plus calme et contrôlée. La suspension est certainement mieux et dans l'ensemble c’est une expérience plus luxueuse. En termes d'accélération initiale, elle est certainement plus rapide en mode électrique.» La nouvelle voiture dispose d'un système de freinage à récupération retravaillé que le conducteur peut contrôler à l'aide d'une commande sur le volant. Kickincanda dit : « Quand vous conduisez en mode économie d’énergie et en mode sport (ce qui est ma préférence quotidienne) la régénération donne l’impression de relâcher l’accélérateur. Cependant, j’ai utilisé la commande de régénération, qui est située sur le côté gauche du volant, et elle ralentit la voiture beaucoup plus rapidement. On m'a dit que les feux de freinage s’activent lors de l'utilisation de la commande de régénération. Il résume son expérience ainsi : « La nouvelle Volt 2016 offre une amélioration sur toute la ligne. Elle est vraiment supérieure au modèle précédent. » Source: Ecomento Collaboration: Lisanne Rheault-Leblanc Nouvelle appli pour Tesla Model S sur iOS/iWatch plus fonctionnelle que la version officielle31/5/2015 Une nouvelle application est maintenant disponible sur iTunes Store par Rego Apps, un développeur indépendant qui a créé une refonte complète de l'application officielle de Tesla Motors pour contrôler la Tesla Model S. Offert à 12$, REMOTE S offre de nombreuses améliorations incluant un contrôle complet du véhicule via la Apple Watch, dont la mise en fonction de l'auto avec TouchID sans même avoir les clés sur soi. L'application qui fonctionne pour iPhone/iPad a réussi à se placer dans le Top 10 des applis du iTunes Store US, tout un exploit considérant qu'elle s'adresse à un public très spécifique: les propriétaires de Model S. Parmi les fonctions uniques qu'on ne retrouve pas sur l'appli officielle: Mode camp (pour activer la climatisation du véhicule sans limite), Breadcrumb (pour identifier la route suivie par le véhicule), contrôle plus précis du toit ouvrant, commandes HTML et Javascript pour créer une page web afin de planifier le contrôle de sa voiture, surveiller l'autonomie idéale/estimée/nominale en même temps. Avec une excellente réactivité et une plus-value bien définie, il ne serait pas surprenant de voir le développeur obtenir un poste de développeur permanent chez Tesla Motors! Après avoir fait fortune grâce aux ordinateurs que l'on glisse dans une poche, Apple pourrait bien s'attaquer à un objet du quotidien beaucoup plus imposant : la voiture. Des signes montrent en effet que la firme de Cupertino semble se préparer à la production de voitures électriques qui se conduiront toute seule.
Ce n'est désormais presque plus qu'un secret de polichinelles qu'Apple travaille à l'élaboration d'une voiture électrique autonome pour concurrencer frontalement Tesla après avoir visiblement échoué à racheter la société d'Elon Musk. Alors que les deux entreprises se débauchent mutuellement des ingénieurs, Venture Beat rapporte qu'Apple s'apprête à transiger à l'amiable dans un conflit avec l'entreprise A123 Systems, spécialisée dans les batteries électriques Lithium Ion, et plus particulier dans celles pour voitures et autres véhicules de transport. Selon des documents produits en justice, A123 Systems reprocherait à Apple d'avoir recruté de façon frauduleuse des ingénieurs qui travaillaient pour lui. Parmi eux figure le directeur technique Mujeeb Ijaz, qui était payé 294 000 dollars... par mois, et qui était en charge de l'élaboration de batteries électriques pour la Formule E (la Formule 1 électrique). Il avait passé 16 ans chez Ford. Dans sa plainte, A123 Systems affirme qu'il a des raisons de croire qu'Apple "développe actuellement une activité à grande échelle de batteries dans un domaine exactement similaire à celui de A123". "En lien avec ce développement, en juin 2014 ou autour de cette date, le défendeur Apple s'est embarqué dans une campagne agressive pour braconner des employés de A123", ajoute l'entreprise. Par ailleurs Business Insider rapporte qu'Apple recrute en Irlande du personnel ayant une expérience dans l'industrie automobile, robotique et aéronautique, et qu'une usine géante serait en préparation à Cork. Enfin entre autres actualités récentes qui pourraient avoir un lien, Apple a acheté la société Coherent Navigation, spécialisée dans les systèmes GPS de très haute précision. En concevant ses propres voitures autonomes électriques, Apple n'entrerait pas simplement en concurrence avec Tesla, mais aussi avec les futures Google Car et autres voitures-robot Uber pour lesquelles l'entreprise de VTC a ouvert un centre de R&D très pointu. Et plus largement, Apple investirait sa marque dans un marché industriel qui reste en très forte croissance lorsqu'il est observé sur une longue durée, et qui promet d'être re-dynamisé par l'arrivée des voitures auto-pilotées. Chaque année, ce sont plus de 90 millions de véhicules qui sont produits et vendus dans le monde. Source: http://www.numerama.com/magazine/33122-une-voiture-electrique-autonome-apple-de-nouveaux-indices.html. Thierry valverde Meilleure gestion de l'utilisation des bornes de recharge publiques grâce au logiciel ChargeBump15/5/2015 Nous sommes tous déjà arrivés devant une borne déjà utilisée par un collègue électromobiliste. Bien sûr , s'il utilise la fiche de courtoisie suggérée par l'AVÉQ, il n'y a pas trop de problème. Par contre, une nouvelle approche technologique pourrait nous rendre la vie plus facile. Le logiciel ChargeBump vient aider à la gestion de l'utilisation des bornes publiques en rendant la communication entre les VÉistes possible. Cette application permet entre-autre d'envoyer des demandes à un électromobiliste qui utilise actuellement la borne de recharge que vous convoitez. La personne reçoit une demande sur son téléphone intelligent et peut ensuite choisir des réponses telles : Je reviens dans 5 minutes, j'en ai encore pour longtemps, vous pouvez me débrancher, etc... Les véhicules sont identifiés par leur plaque d'immatriculation et lorsque vous répondez à une requête, seul votre nom d'usager est transmis à l'autre VÉiste. EV CHARGEHUB : demande de débranchement L'application québécoise EV ChargeHub permet la même fonctionnalité et plus: une demande de débranchement en entrant la plaque d'immatriculation, une possibilité de conversation entre électromobiliste, en plus de partager ses bornes domiciliaire, chalet et au travail, et repérer les bornes autour de soi. Visitez le site www.evchargehub.com Contributeur : Martin Archambault Une alliance entre Apple, Google, Tesla et Fiat alliance et une entente entre Toyota et Mazda?12/5/2015 Le président-directeur général de Fiat a rencontré Tim Cook (Apple) et Elon Musk (Tesla) et est embarqué dans le véhicule autonome de Google. Fiat a affirmé être ouvert à une alliance avec Google ou Apple.
Il a également eu de bons mots pour l’initiative d’Elon Musk de rendre public ses brevets il y a quelques mois. Rappelons qu’Apple travaillerait aussi sur un véhicule électrique autonome, appelé Titan, et que l’entreprise en est à explorer les processus de fabrications d’un véhicule électrique. Par ailleurs, Toyota et Mazda échangent de l’information sur leurs technologies automobiles. Toyota considérerait de partager ses connaissances en matière de technologies sur les véhicules à hydrogène et hybrides alors que Mazda en dirait plus sur SkyActiv à Toyota. Source : World eNews Réactions des différents PDG des grands manufacturiers automobiles réunis au Salon de l'auto de Genève.C'est un article très complet que L'AVÉQ vous a préparé.
Fiat Chrysler Le PDG de Fiat Chrysler Automobiles (FCA), Sergio Marchionne, a assuré mardi que la possible arrivée des géants de la Silicon Valley Google et Apple dans l'automobile serait «exactement ce dont ce secteur a besoin». «Tant Apple que Google sont des entreprises extrêmement sérieuses. S'ils prévoient de faire quelque chose, ils vont le faire», a prévenu M. Marchionne lors d'une conférence de presse en marge du salon automobile de Genève. «Je ne peux pas dire s'ils finiront par obtenir ce qu'ils prévoient», a ajouté M. Marchionne. Après que Google a présenté ses travaux sur un véhicule autonome, Apple a été le sujet de rumeurs fin février sur son intérêt vis-à-vis du monde de l'automobile. Selon des informations de la presse américaine, la marque à la pomme aurait déjà affecté des centaines de salariés à un projet de voiture électrique. «Leur intérêt serait exactement ce dont ce secteur a besoin», a assuré le dirigeant du groupe italo-américain. Les entreprises automobiles «ont besoin d'avoir ce genre d'entité en rupture qui entre dans le jeu et force les constructeurs à s'y mettre». «C'est une très bonne chose, qui nous sera bénéfique à tous à long terme», a-t-il ajouté, tout en se disant «préoccupé de voir quelqu'un de ce calibre tenter de faire la rupture». Apple est doté d'un trésor de guerre de quelque 180 milliards de dollars, soit de quoi racheter au comptant plusieurs constructeurs européens moyens. Renault-Nissan Interrogé lui aussi en marge du salon sur la possible émergence d'Apple en tant que constructeur automobile, le PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, a affirmé accueillir favorablement d'éventuels concurrents dans le domaine de la voiture électrique, un des axes de développement qu'il défend pour son entreprise. «Il est rafraîchissant de voir que même les entreprises de haute technologie rejoignent l'automobile électrique», a dit M. Ghosn face à des journalistes. «Je suis curieux, car ce sera très intéressant de voir quel genre d'innovations ils peuvent apporter, outre ce que nous avons déjà fait», a souligné M. Ghosn. «Je n'ai absolument pas peur, et je ne suis pas du tout hostile» à une possible arrivée d'Apple dans le monde automobile, a-t-il insisté. «Je considère tous les gens qui rejoignent la voiture électrique comme des alliés, en quelque sorte. Tous ensemble, nous soutenons une technologie qui est très importante», a-t-il assuré. Au sujet de Google, le PDG de Renault-Nissan a souligné que son entreprise se trouvait déjà en «mode de coopération» avec cette firme dans le domaine de la recherche sur les voitures autonomes, capables de se déplacer sans conducteur. Volkswagen Group «Si ces deux compagnies se concentrent à fabriquer uniquement des voitures électriques, ça accélérera l'électrification des transports» affirme le PDG Martin Winterkorn. «Nous serions heureux de travailler en coopération avec ces deux leaders» Toyota Selon Didier Leroy, «L'élément-clé est de s'assurer de travailler avec eux - et nous sommes totalement d'accord pour coopérer - c'est une réelle situation gagnante pour tous. Les fabriquants automobiles ne veulent pas devenir une simple commodité, un constructeur de boites vides dans lesquelles on insère une valeur-ajoutée qui crée véritablement le produit final» BMW Ian Robertson a fait la remarque que le constructeur allemand ne sous-estimerait jamais de nouveaux arrivants dans l'arène malgré les complexités de l'industrie automobile. Plus nous approchons de la conduite autonome, plus le lien entre le consommateur et le véhicule s'affaiblit; et Google ainsi que Apple ne sont pas freinés par d'anciennes technologies mais peuvent partir à neuf. Jaguar L'ingénieur en chef chez Jaguar, Wolfgang Ziebart, est de cet avis. «La pensée traditionnelle dans l'industrie automobile n'est pas adaptée à exploiter les opportunités dans la communauté Internet. S'il nous faut constamment des comités pour prendre des décisions, alors on perdra avant même d'avoir commencé.» Daimler Mercedes Pour le PDG Dieter Zetsche, ce n'est aucunement une menace à prendre au sérieux. «Si une rumeur circulait à propos d'un futur téléphone intelligent Daimler ou Mercedes, le PDG de Apple dormirait sans soucis. Et la même chose s'applique à moi - avec tout le respect que je dois à Apple. C'est mon avis. Je ne crois pas que Google et Apple veulent construire des voitures complètes, mais bien être impliquées dans l'industrie. Nous devons donc chacun trouver nos rôles complémentaires, déterminer à quel point nous devenons dépendants ou compétiteurs» General Motors L'ancien PDG de GM, Dan Akerson, a décidé d'offrir son point de vue sur la situation. Pour lui, Apple n'a aucune idée dans quoi ils s'embarquent. «Si j'étais un investisseur Apple, je ne serais pas très heureux. J'aurais de gros doutes sur l'intention d'intégrer à long terme une industrie avec des marges de profits minimes à fabriquer d'aussi gros produits. Nous prenons de l'acier brut pour le transformer en voitures; ils n'ont aucune expérience valable.» Sources: Bloomberg, Wall Street Journal, Agence France-Presse, Financial Times, Motoring.com.au, Reuters, CNET Samsung a annoncé lundi avoir fait l’acquisition de la division batterie de Magna International, une compagnie canadienne majeure de composantes pour véhicules. La compagnie a affirmé que cet achat rehaussera le profil de Samsung dans le marché du véhicule électrique en combinant son leadership établi dans le domaine des modules de batteries à l’expertise de Magna dans les blocs-batteries. Cet achat ne signifie pas nécessairement que Samsung va se lancer dans la fabrication d’un véhicule électrique. Samsung avait tenté sa chance dans le domaine automobile au milieu des années 90. En 2000, elle avait vendu la majorité de ses actions dans ce secteur au géant Renault. Le marché des batteries pour véhicules électriques est en pleine croissance et cela ne fait que commencer alors qu’Apple a récemment décidé de se lancer également dans le secteur de l’électrification des transports. Samsung est déjà le fournisseur d’Apple pour certaines composantes-clés des iPhone et des iPad. Par cette acquisition, Samsung veut peut-être se positionner comme un fournisseur majeur dans le domaine de la batterie. Il est concevable qu’Apple fasse appel à Samsung pour les batteries du Apple iCar. Même si Apple conçoit sa propre batterie, il n'est pas exclu qu'Apple engage un sous-traitant comme Samsung pour sa fabrication. Source : MacObserver Les rumeurs vont bon train en ce qui a trait au véhicule électrique d’Apple. Un rapport affirme que la compagnie vise d’entrer en production d’ici 2020, un objectif ambitieux même pour un constructeur automobile bien établi. Le nom de code du projet serait “Titan” et Apple aurait engagé quelque 200 experts en batteries et robotique pour arriver à ses fins. Apple aurait recruté de grands noms de l’industrie du véhicule autonome et électrique, notamment chez Mercedes et chez Tesla. Les rumeurs se sont intensifées il y a quelques semaines à la vue d'une camionnettes munie de caméras et de capteurs dans la Baie de San Francisco. MàJ: Lire aussi l'article sur la production de voitures électriques par Hon Hai, le sous-traitant chinois utilisé par Apple, qui était probablement un avant-goût de ce que Apple prévoyait comme prochain produit: »» Communiqué important: Hon Hai promet de construire des voitures électriques pour 15,000$ Source: AppleInsider |
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