Un record de 582 Chevrolet Volt hybrides rechargeables ont été vendues au Canada le mois dernier, deux mois après que Chevrolet ait livré un record de 483 Volt en septembre.
Le résultat est encore plus impressionnant si on considère que les ventes de voitures canadiennes ont chuté de 15 % entre les deux mois, alors que l'industrie entre dans sa période de ralentissement. Il y a eu plus de Volt vendues en novembre que les 536 véhicules électriques rechargeables vendus dans tout le Canada en 2011, et ces ventes sont demeurées près des ventes combinées de novembre des Prius hybrides conventionnelles de Toyota (les Liftback, Prius C et Prius V ont enregistré 592 ventes). La Chevrolet Bolt a enregistré 350 ventes, juste en deçà de son record d'octobre de 371. Elle a encore dépassé la Prius Liftback classique, qui a vendu 316 exemplaires. Si on ajuste les nombres à la population, les ventes de Bolt au Canada sont à peu près équivalentes aux américaines, alors qu'au cours des derniers mois, la Volt a été trois fois plus populaire au nord du 49e parallèle qu'aux États-Unis.
Commentaires
Le recyclage des batteries usagées de voitures électriques est encore coûteux, polluant et potentiellement dangereux. C'est pourquoi de plus en plus de constructeurs automobiles choisissent de proposer les batteries usagées de leurs VÉs pour stocker l'électricité.
Dans quelques mois, tout début 2018, le stade Amsterdam Arena abritera une installation originale : 280 packs de batteries de Nissan LEAF y seront utilisés en guise de système de stockage d'électricité de secours. Elles remplaceront ainsi les groupes électrogènes pour éviter les pannes d'électricité.
« Au bout de 6 à 8 ans, les batteries ont souvent perdu 20 % de leur capacité : elles ne sont plus assez performantes pour les voitures, mais peuvent être utilisées pour d'autres usages », explique Sébastien Amichi, expert de l'automobile chez Accenture. Maximiser la valeur résiduelle Pour de nombreux constructeurs automobiles, la réutilisation des batteries est un enjeu très important, puisqu'elle permet de maximiser la valeur résiduelle des batteries et de fluidifier le marché de l'occasion. Toyota a utilisé des batteries de sa Prius pour stocker de l'électricité solaire dans le parc de Yellowtone. Chez Daimler, ce sont celles de la Smart qui servent à stabiliser le réseau électrique près de Lünen, en Allemagne. Renault a déployé des batteries de seconde vie dans six bâtiments pilotes, comme le siège de la filiale immobilière de Sogeprom. Une idée en émergence Il ne s'agit toutefois pour l'instant que de premiers tests. « Les constructeurs explorent plusieurs voies pour leurs batteries usagées, mais on estime que les volumes nécessaires pour bâtir de véritables filières ne seront pas là avant 2025 ou 2030 », note Sébastien Amichi. Chez BMW, qui voulait lancer une offre de stockage pour les maisons à partir des batteries de son i3, l'idée a été abandonnée pour l'instant faute de volumes. Tesla a même délibérément écarté le réemploi des batteries de ses voitures, jugé nettement moins économique que le recyclage.
Source : Les Échos
Contribution : Naïma Hassert
Les Chevrolet Volt et Bolt ont continué de conquérir le marché canadien des voitures électriques rechargeables neuves en octobre.
Chevrolet a vendu 424 Volt pour démarrer le quatrième trimestre, en légère baisse par rapport aux 483 de septembre.
Ses 3 431 ventes du mois d'octobre ont presque égalé les 3 469 ventes enregistrées l'année dernière et le chiffre pourrait même atteindre les 4 000 d'ici la fin de l'année. Sans la Toyota RAV4 hybride (5 115 ventes en octobre), la Volt serait le véhicule le plus vendu au Canada dans les catégories électrique et hybride rechargeable combinées. La Chevrolet Bolt est devenue le quatrième véhicule électrique rechargeable à atteindre plus de 300 ventes en un mois au Canada le mois dernier.
Lucid Motors a découvert que construire une voiture électrique coûte cher, Tesla aura finalement accès aux incitatifs pour VÉs de la Corée du Sud d'environ 23 000 $ US, et la ville de Toyota utilisera des hybrides rechargeables pour équilibrer l'alimentation en électricité : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
Cet article analyse l’effet que crée la Toyota Prius Prime sur le marché des véhicules électriques et hybrides.
Historique
Toyota fut le premier constructeur à mettre sur le marché nord-américain un véhicule hybride, avec sa Prius au tout début des années 2000. Depuis le début, la Prius a subi des changements à chaque génération et ce véhicule se vendait toujours de plus en plus. À un tel point où le constructeur japonais a vendu plus de Toyota Prius dans le monde depuis 1997 (début de commercialisation sur le marché asiatique) que Ford a vendu de Mustang depuis la création du modèle en 1964. En effet, en date du mois d’avril 2016, la Prius a été vendu à plus de 10 millions d’exemplaires alors que la Ford Mustang est à 9,5 millions[1]. En 2016, Toyota vend sur le marché nord-américain la Prius Prime en novembre 2016. [1] http://www.autoguide.com/auto-news/2017/02/there-are-more-toyota-hybrids-in-the-world-than-ford-mustangs.html Effet Prius Prime Dès les premiers mois de sortie de ce nouveau modèle, l’effet Prius Prime a commencé. Malgré une faible production combinée à une grande demande, l’hybride enfichable réussi a être vendu à 781 exemplaires en novembre ce qui la place en 6e position des véhicules électriques ou hybrides vendus aux États-Unis. En décembre 2016, ce véhicule réussi à se placer à la 5e position avec 1641 exemplaires. La Prius Prime se rend plus haut en Janvier 2017 alors qu’elle atteint 1366 unités vendues, ces ventes la placent en 2e position, derrière la Chevrolet Volt. En Février 2017, elle descend au 3ème échelon (1362 unités vendues), déclassé par Tesla avec sa model S. Quels sont les effets de la Prius Prime? Il y a au moins deux que l’on peut nommer et expliquer brièvement.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la Toyota Prius Prime aidera la conversion des gens vers les véhicules hybrides et électriques comme le fait la Chevrolet Volt depuis 2010. Une rivalité saine ne peut qu’être bénéfique. Auteur : Dominic Gratton - Membre de l’AVÉQ Contribution : Martin Archambault [2] http://insideevs.com/toyota-dealers-increase-requests-prius-prime-sales-exceed-expectations/ Les facteurs principaux de l'analyse résident dans un équivalent de "Mile par gallon" effectué en ville ou sur autoroute pour les voitures à essence et en "Mile par kwH" pour les véhicules électriques.
A noter que la liste est bien plus longue que celle illustrée ci-haut. En continuer à descendre dans la liste , on peut constater par exemple que selon l'ACEEE, une Tesla S 60D est moins "éco-énergétiques" par exemple qu'un Chevrolet Malibu ! Toujours difficile de comparer entre eux des véhicules de technologies différentes (100% électriques, hybrides, prolongateurs d'autonomie, essence, etc...) Source : ACEEE - GreenerCars Rating Contribution : Martin Archambault La Toyota Prius a été plus vendue en janvier que les Tesla Model S et X, les ventes de voitures rechargeables ont bondi de 10% en Europe l'an dernier, la Lituanie tente de charmer Elon Musk à l'aide de Minecraft, et Tesla présente de nouveaux plans de maintenance pour les Model S et X : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
L’équipe de Toyota travaille présentement à développer un véhicule électrique à batterie qui pourrait être mis en vente dès 2020. Après une décennie à proclamer que l’électricité était uniquement destinée aux petits véhicules urbains, le plus grand constructeur automobile du monde change maintenant de discours.
La nouvelle est venue de Hisao Yamashige, l'un des nombreux chercheurs chez Toyota qui s'affaire à développer une nouvelle technologie de batterie et qui a pris la parole devant les médias de Tokyo la semaine dernière. Selon lui, « les batteries lithium-ion sont une technologie clé et leurs performances doivent s'améliorer davantage pour aller de l'avant. Toyota sera en mesure de construire des voitures dotées de batteries à durée de vie prolongée et qui offriront jusqu'à 15% plus d’autonomie que celles d’aujourd’hui, d’ici quelques années. » Green Car Journal annonce les finalistes de la voiture verte de l'année 2017, Nissan présente une édition spéciale de la LEAF, Workhorse dévoile un concept de camion électrique et Tesla acquiert une compagnie d'ingénierie allemande : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Les quelques constructeurs automobiles qui misent toujours sur la technologie des piles à hydrogène commencent maintenant à se tourner vers des VÉ alimentés par batterie, afin de se conformer aux normes zéro émission plus strictes. Ce serait maintenant au tour de Toyota, pourtant l'une des plus grandes adeptes des piles à combustible jusqu'à maintenant, de planifier une production de VÉ à autonomie prolongée alimentés par batterie d'ici 2020. Cette information arrive au moment où Toyota connaît des difficultés à vendre ses Mirai, ses voitures à hydrogène, aux États-Unis. Malgré la baisse du prix à plusieurs reprises, et un bail à seulement 350 $ (une baisse de 500 $) en Californie, le constructeur automobile japonais ne peut trouver de marché et a seulement livré 782 unités depuis le début des livraisons l'an dernier - et cela inclut les achats de dizaines de ces modèles par l’État pour justifier les millions de dollars consacrés à l'infrastructure de ravitaillement. Plusieurs observateurs de l'industrie ont prédit que Toyota finirait par se tourner vers les batteries dans son effort pour offrir des véhicules à zéro émission. Un article publié ce matin par Nikkei au Japon (via Reuters) affirme que Toyota prévoit investir dans une équipe au début de 2017 qui développerait un VÉ capable d’une autonomie de plus de 300 km sur une seule charge et prêt à entrer sur le marché en 2020. Ce serait le premier véhicule tout-électrique à batterie de Toyota développé directement par le constructeur. Il vend actuellement des hybrides rechargeables, comme la Prius Prime, et il a déjà vendu des Rav4 tout-électriques, mais le groupe motopropulseur avait alors été développé et fabriqué par Tesla. Le partenariat entre Toyota et Tesla a été jadis considéré comme une étape majeure pour les VÉ. Le plus grand constructeur automobile du monde qui investit dans une start-up de VÉ avec l'objectif de collaborer sur des programmes de véhicules - plusieurs ont alors cru que cela ferait de Toyota la leader de la production de masse de VÉ, mais ça n’a pas été le cas. Question de faire un retour dans le temps, voici une vidéo datant de 2010, au moment où Elon Musk annonçait le partenariat entre Tesla et Toyota : À cette époque, Toyota a investit dans Tesla et a vendu à la société son usine de Nummi à Fremont, en Californie, qui est maintenant connue sous le nom Tesla Fremont Factory. Elles ont commencé à travailler sur le RAV4 tout-électrique qui est entré en production en 2012 et ont livré environ 2 500 unités jusqu'en 2015 avant de mettre fin au programme.
Le véhicule était équipé d'une batterie de 41 kWh et doté d’une autonomie de 166 km. Au moment où la production des RAV4 a cessée, Toyota a vendu ses actions à Tesla (réalisant un profit considérable) et mis fin à la relation. Au cours d'une visite au Japon à l'époque, Musk avait déclaré que Tesla pourrait s'associer de nouveau avec Toyota à l'avenir. Il semble que ce serait peut-être une bonne occasion maintenant, mais l'article de Nikkei suggère que la société prévoit plutôt développer le véhicule à l'interne et même éventuellement investir dans sa propre technologie de batterie. Nous devrions en savoir plus une fois que le programme sera lancé en 2017 et se rapprochera de la production, quelque part en 2020. Source : Electrek Contribution : Peggy Bédard Des nouvelles en direct du Mondial de l’automobile en cours à Paris et un bras robotisé pour charger un VÉ : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Allégations criminelles contre Hyperloop One, possible enquête de la SEC chez Tesla, un nouveau partenariat permettra d’étendre le réseau de recharge allemand et détails au sujet du 5e banc de la Toyota Prius Prime : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
NextEV entend dépasser Tesla, un nouveau Nissan Murano hybride, vidéo du Can-Am Spyder tout-électrique, un service d’autopartage lancé à Bruxelles, résumé des ventes de VÉ rechargeables aux États-Unis et premier essai de la Toyota Prius Prime : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Tesla souhaite investir en Chine, l’Audi Q5 fabriqué au Mexique, de nouveaux objectifs de vente pour la Prius Prime, Philips promet le carbone neutre et des voitures vertes historiques : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Au départ, personne ne prenait Tesla au sérieux. Par la suite, la compagnie a commencé à intriguer certains influents experts automobiles avec sa technologie de batterie - et a même décroché quelques contrats d'approvisionnement et des investissements de Toyota et Daimler. Ensuite, elle a poussé bien des joueurs à réévaluer leurs programmes destinés à la production de véhicules électriques, sans qu’aucun n’arrive à les dépasser. Maintenant vient l'étape suivante : Imiter Tesla peut être gênant et risqué pour votre marque, mais ne pas le faire comporte encore plus de risques. À noter que :
Les deux sont très loin d’arriver à la cheville de Tesla.
Le nom Prius signifie « aller de l’avant », mais dans ce cas-ci on pourrait dire « courir après ». Voilà une vraie surprise. Une autre surprise: Alors qu’elle déploie une nouvelle offre de véhicules électriques, Audi a félicité Tesla pour sa démarche dans un marché que tout le monde sous-estimait. Voilà tout un revirement d’attitude, car il y a seulement quelques années, Audi se plaisait, comme tant d’autres, à se moquer de Tesla. Maintenant que Tesla a construit une image de marque sérieuse, qu’elle a gagné le respect, que plusieurs grands noms de l’industrie l’imitent, et qu’elle s’est accaparée une grande part de marché, il est temps de capitaliser. Les employés des magasins croient que Tesla changera les fonctionnalités/prix de la Model S pour correspondre à la Model 3, traitant les deux voitures comme un seul et même type de berline. Si cela fonctionne un peu comme un supermarché, un changement dans l'emballage devrait certainement conduire à une augmentation de prix. Tesla a maintenant gagné le droit de demander plus d'argent après tout… Source : InsideEVs Contribution : Peggy Bédard
La Toyota Prius Prime 2017, la nouvelle version hybride rechargeable de l’hybride la plus vendue au monde, a été dévoilée au Salon de l’auto de New York.
Selon Toyota, la deuxième version de la Prius hybride aura une autonomie de 35 km grâce à un bloc-batterie de 8,8 kWh. Une autonomie qui se compare davantage aux 40 km d’autonomie de la Hyundai Sonata qu’aux 85 km de la Chevrolet Volt. Toyota prévoit une recharge complète en 2 heures avec une borne de 240 V, ou de 5,5 heures avec une borne de 120 V. Plusieurs améliorations auraient été apportées par rapport au modèle précédent. Par exemple, le mode électrique pourra être utilisé dans un plus grand nombre de conditions. La voiture peut notamment atteindre les 125 km/h en mode électrique. Les prix seront annoncés plus tard au cours de l’année et la voiture sera chez les concessionnaires d’ici la fin de 2016, peut-être en novembre. Source: GreenCarReports Contributeur: Benoit Raymond
La Toyota Prius, le premier véhicule hybride produit en série à l’échelle mondiale, a été lancée au Japon en 1997. Dix-huit ans plus tard, avec des ventes dépassant les 8 millions de véhicules, on a une idée plus précise de la durabilité de ces modèles propulsés par des groupes motopropulseurs électriques.
La Prius s’est révélée véritablement durable, on peut compter de nombreux taxis qui ont réussi à dépasser le million de km (le record est de 1,5 million) et il y a même un fil de discussion sur le site PriusChat destiné aux propriétaires qui ont passé les 480 000 km (299 999 miles). Non seulement la plupart des Prius atteignent ces distances sur la batterie d'origine, mais dans de nombreux cas sur le même ensemble original de plaquettes de frein. Et puisqu’elles sont capables d'utiliser la récupération de freinage à des vitesses aussi basses que 10 km/h, les freins à friction hydromécaniques de norme industrielle passent d’un système fait de pièces consommables à un système durable qui résiste toute la durée de vie du véhicule. La durée de vie typique des plaquettes de frein sur une voiture à moteur à combustion interne se situe entre 50 000 à 100 000 km, où les disques ont besoin d’être changés tous les 100 000 à 200 000 km, ce qui fait que la durée de vie des freins de la Prius est environ 10 fois plus élevée. Si la puissance relativement faible du moteur/générateur électrique de 50 kW de la Prius a rendu les freins à friction à 90% inutiles, alors des véhicules comme la BMW i3, dotée d'un moteur électrique beaucoup plus puissant (125 kW) et d’une récupération de freinage à vitesse variable capable d'amener la voiture à un arrêt complet, réduisent les freins à friction à un système dont la seule utilité se résume à fournir des fonctions de sécurité à très faible rapport cyclique, telle que les freins antiblocage (ABS) et le contrôle électronique de la stabilité (ESC).
Les exploitants de taxis qui possèdent des flottes de Nissan LEAF font également état d'un kilométrage élevé sur les plaquettes de freins d'origine. Sans aucun doute, elles finiront par atteindre 500 000 km sans un changement de plaquettes ou de disques. Les propriétaires de LEAF ont l'avantage de ne pas avoir un moteur à combustion interne à entretenir (Les Prius à moteur à combustion interne sont connues pour consommer une quantité énorme d’huile au delà de 500 000 km) et avec la durée de vie typique des moteurs électriques mesurée sur une période de 20 000 à 40 000 heures, seuls les groupes motopropulseurs électriques pourraient durer plus de 2 millions de kilomètres sans problème, par rapport à la durée de vie caractéristique d’un moteur à combustion interne de 320 000 km (200 000 miles).
Alors que la récupération de freinage devient une norme de l'industrie automobile, il devient inévitable d’éliminer le poids et les coûts associés aux anciens systèmes de freinage à friction. Afin de permettre au freinage électromagnétique de remplacer les systèmes de sécurité obligatoires comme l’ESC, chaque roue nécessite un moteur électrique pour conduire/freiner chaque roue de façon indépendante. Les technologies que nous prenons pour acquis aujourd’hui - comme les freins de contrôle de stabilité et antiblocage - ont ouvert la voie pour les voitures commandées par ordinateur, et ces technologies de sécurité établies depuis fort longtemps sont mandatées par la National Highway Traffic Safety Agency (NHTSA). Les constructeurs automobiles ont convenu d’offrir un système automatique de freinage d'urgence (AEB) standard sur la plupart des voitures américaines d’ici 2022. Le freinage automatique, comme le maintien sur la voie et le régulateur de vitesse dynamique, est considéré comme un précurseur aux véhicules complétement autonomes. L'électrification des véhicules et les voitures sans chauffeur devraient accélérer la nécessité de consolider tous les contrôles dynamiques des véhicules vers un système unique de propulsion et de freinage, à savoir le logiciel Eats Powertrain Automotive. Source : Electric Vehicle News Contribution : Peggy Bédard Toyota offrira la nouvelle Prius 2016 avec une batterie nickel-hydrure métallique (NiMH), comme dans son modèle précédent et la plupart de ses autres hybrides. Mais il y aura aussi une option lithium-ion, la même chimie utilisée dans la plupart des voitures électriques et hybrides rechargeables. Les batteries ont les mêmes coûts de production et elles offrent des performances similaires, ce qui n’affectera probablement pas l'économie de carburant. Cependant, la lithium-ion pèsera 35 livres de moins que la batterie NiMH, une différence importante selon Automotive News. La batterie plus légère permettra à Toyota d’installer plus d'équipements dans les modèles hauts de gamme, tout cela sans nuire à l'efficacité. « Dans les classes supérieures, la masse est augmentée de sorte qu'il est plus difficile d'obtenir une bonne économie de carburant », a déclaré l'ingénieur en chef chez Prius, Kouji Toyoshima, lors d'un événement d'essai routier pour la voiture. « Alors, pour celles-ci nous allons utiliser des batteries lithium-ion. » Il s’attend à un partage quasi égal entre les voitures équipées de la batterie NiMH et celles de la lithium-ion. Les consommateurs exigent maintenant plus de fonctionnalités dans les voitures, en particulier en ce qui concerne l’info-divertissement et la sécurité. Mais l'ajout de fonctionnalités ajoute aussi du poids, une évidence lorsque l'on compare les différentes générations de Prius. La version japonaise du nouveau modèle pèse 2998 livres, soit 22 livres de plus que le modèle sortant de troisième génération, et 309 livres de plus que la beaucoup plus petite Prius de première génération, qui a fait ses débuts au Japon en 1997. Néanmoins, il y a des gains d'économie de carburant possibles. Toyota a affirmé précédemment qu'elle visait une amélioration de 10% pour sa Prius de troisième génération de 50 mpg (mile par gallon) combinés, certifiée EPA , mais ce ne sont pas tous les modèles qui pourront atteindre cet objectif. La plupart sont évalués à 52 mpg combinés (54 mpg ville, 50 mpg autoroute), tandis que la Prius Two Eco obtient 56 mpg combinés (58 mpg ville, 53 mpg autoroute). Source : Ecomento Contribution : Peggy Bédard |
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