Selon les deux entreprises, le constructeur automobile japonais Mazda Motor et Panasonic Holdings entameront des pourparlers pour mettre en place un partenariat de fourniture de batteries lithium-ion pour les véhicules électriques.
Un telle entente est susceptible d’augmenter la production de véhicules électriques de Mazda, à la suite d’un programme d’investissement de 1 500 milliard de yens ( 14 milliards de dollars$ CAD) dévoilé en novembre dernier pour stimuler l’électrification des véhicules. Dans le cadre de ce partenariat, Panasonic Energy fournirait à Mazda des batteries lithium-ion cylindriques automobiles fabriquées au Japon et en Amérique du Nord qui devraient être déployées dans la seconde moitié de cette décennie, ont déclaré les sociétés dans un communiqué de presse. Un porte-parole de Mazda a refusé de dire exactement quelles batteries le constructeur automobile basé à Hiroshima prévoyait utiliser dans ses véhicules électriques, ajoutant que la compagnie négociait une entente en vue de sécuriser l’approvisionnement à partir de 2025-27 au plus tard. Mazda a identifié cette période comme la deuxième phase d’un projet prévu en trois phases, affirmant en novembre dernier qu’elle introduirait des véhicules électriques dans la seconde moitié de cette décennie. Les entreprises ont déclaré qu’ils négociaient un partenariat à moyen et long terme. Selon le porte-parole, en 2012 au Japon, Mazda avait utilisé des batteries 1865 fournies par Panasonic pour fabriquer son véhicule électrique Demio, et louer 100 unités de la sous-compacte à titre d’essai pour améliorer ses connaissances sur l’électrification. Les constructeurs automobiles japonais se préparent à rivaliser pour obtenir une plus grande part du marché mondial des véhicules électriques. Le constructeur automobile le plus vendu au monde, Toyota, qui détient une participation de 5,1% dans Mazda, a dévoilé la semaine dernière son plan d’envergure visant à adopter des batteries à semi-conducteurs et ajouter de nouvelles technologies pour améliorer l’autonomie des véhicules électriques et réduire les coûts de production des futurs véhicules électriques. Le gouvernement Japonais a annoncé vendredi dernier qu’il augmenterait son soutien à la production nationale de batteries jusqu’à 2,2 milliards $ USD, promettant un soutien à Toyota et à d’autres constructeurs dans le but de renforcer l’économie mondiale. REUTERS The Japan Times
Contribution: André H. Martel
Commentaires
Selon une mise à jour du plan d'affaires à moyen terme du constructeur automobile, Mazda vise désormais à ce que les véhicules électriques représentent jusqu'à 40 % de ses ventes mondiales d'ici 2030 et prévoit entretemps introduire un nouveau modèle hybride.
"Nous estimons que le ratio de VÉ de Mazda dans les ventes mondiales devrait atteindre une fourchette comprise entre 25% et 40% à partir de 2030", indique un communiqué de presse de la société. Mazda a déclaré en 2021 qu'elle s'attendait à ce que les véhicules électriques représentent 25 % de ses ventes mondiales d'ici la fin de la décennie, ils seront construits sur une plateforme de VÉ évolutive qui devrait arriver vers 2025, appelée, le Skyactiv EV.
Mazda MX-30 2022
Mazda avait précédemment déclaré qu'elle souhaitait que toute sa gamme de véhicules ait un certain pourcentage d'électrification d'ici 2030. Elle a réitéré cet objectif dans sa dernière annonce, ajoutant qu'un nouveau modèle hybride est en cours de développement. Le constructeur automobile n'a fourni aucun détail technique, mais a déclaré que ce modèle hybride serait disponible avant le lancement de production de véhicules tout électriques et que d'éventuels investissements seraient disponibles pour la production de batteries afin de soutenir le programme. Mazda a récemment déployé des hybrides en Europe, bien qu'elle ait utilisé la technologie de Toyota. Mais le constructeur automobile a dernièrement annoncé une série d'accords avec des fournisseurs pour développer et fabriquer des unités d'entraînement électriques, incluant un moteur, un onduleur et un réducteur de vitesses, qui indiquent le désir d’inclure cette technologie à l’interne.
Mazda MX-30 2022
Basé sur les ventes mondiales, l'objectif de 40 % de véhicules électriques de Mazda s'aligne sur la politique de l'administration Biden pour les États-Unis, bien que le plan de l'administration pour les véhicules électriques prévoit que l’objectif est d’atteindre 50 % de véhicules électriques d'ici 2030. Mazda n'a pas de base solide sur laquelle s'appuyer pour les ventes de véhicules électriques aux États-Unis. Son premier véhicule de recharge américain, le Mazda MX-30, a une autonomie de 160 km selon l’EPA, bien que l’on préconise pour bientôt une version avec une plus grande autonomie. Jusqu’à récemment, Mazda cherchait à mettre l'accent sur le diesel aux États-Unis plutôt que sur les hybrides et les véhicules tout électriques. Stephen Edelstein Green Car Reports
Contribution: André H. Martel
Aujourd'hui, Mazda a confirmé qu'elle dévoilerait un nouveau véhicule électrique au Salon de l'automobile de Tokyo le mois prochain, selon le magazine Automotive News .
Mazda développe actuellement un nouveau véhicule électrique, avec des prototypes montés sur une carrosserie croisée de style «CX» . Mais Mazda affirme cependant que ce nouveau véhicule électrique sera un tout nouveau modèle, et non le châssis du CX-30 qui a été repéré sur des prototypes.
On en est encore aux spéculations, considérant que la voiture n'a pas encore été dévoilée et n'a été aperçue que sous forme de prototype. Bien que Mazda n’ait pas annoncé de date de sortie, certaines déclarations laissent croire que le premier véhicule électrique de Mazda serait sur la route en 2020 . Tout ce que nous savons est que cette voiture sera un tout nouveau modèle, mais par contre, il a été confirmé que Mazda prévoit par contre proposer des modèles tout électriques et hybrides rechargeables en Amérique du Nord. Le groupe motopropulseur électrique du prototype est équipé d’une batterie de 35,5 kWh. Il peut fournir une puissance de 105 kW (142 ch) et un couple de 264 Nm (195 lb-pi). Nous ne savons pas encore quelles options de chargement seront disponibles ni quelle autonomie aura la voiture. Son autonomie devrait se situer quelque part entre 195 et 225 km avec une batterie de cette taille. Ces chiffres les placent dans les modèles de base du marché actuel des véhicules électriques: une Nissan Leaf de base dispose d’une batterie de 147 ch et de 40 kWh pour une autonomie de 245 km. D'autres modèles du marché, tels que les Chevrolet Bolt et Kia Niro / Hyundai Kona et Nissan Leaf Plus, offrent des batteries plus puissantes. Mazda a précédemment indiqué que son premier VÉ se situerait entre un CX-5 et un CX-3, ce qui le situerait bien dans la catégorie des véhicules susmentionnés. C'est un segment de voiture populaire aux États-Unis à l'heure actuelle, et alors que la première génération de voitures électriques était principalement constituée de petites berlines à hayon, nous voyons beaucoup de nouveaux véhicules électriques dans la catégorie multi segment. Quelques nouvelles berlines électriques font également leur apparition, les Honda E et Mini Cooper SE offrent des caractéristiques de batterie et de puissance similaires, mais les voitures destinées à l’UE, telles que la Renault Zoe , la Peugeot e-208 et l’ Opel Corsa-e, ont toutes une autonomie de plus de 320 km. Ces véhicules à hayon sont pertinents parce que les anciens véhicules à petites batteries sont proposés à des prix similaires à ceux des derniers véhicules à grandes batteries, ce qui peut être difficile à vendre. Mazda pourrait tomber dans le même piège si son prix était trop élevé. Il faudra probablement fixer un prix plus proche du prix du prix de base (environ 30 000 USD avant les incitatifs), plutôt que le prix d'un Chevy Bolt (environ 37 000 USD avant les incitatifs), ou encore proposer des avantages que Kia, Hyundai et Chevy ne peuvent pas offrir. Nous le saurons le mois prochain au Tokyo Motor Show. Selon Electrek, Mazda a été jusqu’à maintenant absente de dans la stratégie globale d’électrification de sa flotte. À l'heure actuelle, ils n'ont pas de VÉ ou d'hybrides rechargeables sur la route ou annoncés pour l'avenir. Par le passé, ils ont fait preuve de dérision en parlant d'électrification. Au début, ils ne parlaient que des véhicules électriques pour se conformer à la règlementation ZEV et prévoyaient un lancement éventuel en 2019. Et en 2017, Robert Davis, vice-président des opérations nord-américaines de Mazda, semblait tout ignorer de l'état des voitures électriques . Mais ils semblent au moins en venir à la conclusion que la propulsion électrique est inévitable. Ils ont créé une un partenariat avec Toyota pour expérimenter les technologies électriques bien que Toyota soit qu’ère plus avancée qu’eux-mêmes. Ce nouveau modèle ne fera cependant pas issu du partenariat avec Toyota puisqu’il a été conçu exclusivement par Mazda. D'autres modèles hybrides rechargeables seront ajoutés à la gamme Mazda en 2021 et 2022. Mazda est l’un des plus petits constructeurs automobiles du monde. Depuis de nombreuses années, l’une de ses excuses est qu’ils n’avaient pas les ressources nécessaires pour développer de nouveaux groupes motopropulseurs. Mais un plus petit constructeur que Mazda, la compagnie Tesla a pu développer des groupes motopropulseurs électriques, ce qui a fini par transformer l'industrie. D'autant plus que Mazda a consacré de nombreuses ressources à la recherche d'un groupe motopropulseur unique, le moteur rotatif. Ils trouveront sûrement du temps et de l’argent pour développer une technologie aussi simple que des moteurs électriques. Mazda a toujours su fabriquer des voitures sportives et amusantes, qui ne peuvent que se bonifier avec l’électrification. De plus le fait d’être un plus petit manufacturier est avantageux, dans la mesure où c’est beaucoup plus facile de mettre rapidement de nouvelles idées ou un nouveau produit sur la route sans avoir à affronter une structure massive. C’est intéressant de voir Mazda entrer enfin dans la mêlée et faire un effort sérieux pour joindre le groupe. electrek
Contribution : André H. Martel
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Toyota prendra 51 pour cent de l'entreprise, tandis que Panasonic détiendra la participation restante, selon une source.
Toyota Motor et Panasonic devraient lancer une coentreprise l'année prochaine pour produire des batteries pour véhicules électriques afin de concurrencer leurs rivaux chinois, selon une source proche du dossier.
La coentreprise, qui appartiendra à 51% à Toyota et le reste à Panasonic, pourrait également fournir des batteries aux partenaires technologiques de Toyota, les compagnies Mazda et Subaru, tel qu’annoncé dimanche dernier. La source d’information a cependant refusé d'être identifiée car les discussions sur la coentreprise sont privées. L'entreprise commune serait basée sur l'accord déjà annoncé fin 2017 par le duo pour assurer le développement en commun de batteries à densité d'énergie plus élevée basé un agencement de cellules prismatiques. Toyota et Panasonic ont conjointement déclaré que le projet de création de cette coentreprise, annoncé dimanche dernier par le quotidien économique Nikkei , a évolué comparativement avec ce qui avait été préalablement annoncé. Un porte-parole de Toyota a déclaré que les deux sociétés ont grandement amélioré le projet de partenariat annoncé en 2017. Panasonic a confirmé cette évolution dans un communiqué. South China Morning Press
Contribution: André H. Martel
Toyota a longtemps affirmé que les hybrides constituaient le meilleur lien entre les véhicules à combustion interne et les véhicules à pile à combustible à hydrogène, alors que la plupart des concurrents ont misé sur les véhicules électriques à batterie.
Un dirigeant de Toyota décrit enfin la logique qui a sous-entendu la décision de l'entreprise en matière de véhicules électriques. Toyota ne vend pas un seul véhicule entièrement électrique aux États-Unis, sa seule implication étant la pile à hydrogène de la Toyota Mirai (futur). Chez Toyota, on a indiqué avoir un projet en collaboration avec Mazda en matière d’électrification, mais que l’on demeure jusqu’à présent engagé dans des voitures hybrides essence/électricité. Pourquoi se limiter à cette production alors que l’on assiste à l'enthousiasme de Tesla et des manufacturiers automobiles pour construire des véhicules électriques? Pourquoi Toyota ne joint-elle toujours pas la concurrence?
Lors du salon de l'auto de Genève en 2019 , Gerald Killmann, vice-président de la recherche et du développement pour l'Europe, nous a expliqué la raison pour laquelle le constructeur n'avait pas adopté les véhicules électriques: la capacité de production de batteries. À l'heure actuelle, Toyota peut produire suffisamment de batteries pour alimenter 28,000 véhicules électriques annuellement, ou pour 1,5 million de voitures hybrides.
Selon Toyota, la vente de 1,5 million de voitures hybrides réduit les émissions de carbone de 33% de plus que la vente de 28,000 véhicules électriques. En d’autres termes, la société produit un impact environnemental plus positif en vendant bien plus de voitures hybrides essence/électricité qu’elle ne le ferait en vendant beaucoup moins de véhicules électriques tout en fournissant à ses clients des véhicules plus pratiques à des prix plus abordables.
Toyota est également l'un des rares constructeurs à utiliser encore la chimie des piles au nickel/métal hydrure (NiMH) dans un grand nombre de ses produits électrifiés, y compris certaines versions de la Prius hybride, bien que la société propose également la technologie lithium-ion dans certaines versions de la Prius et de la Prius Prime hybride rechargeable. Non seulement les piles nickel-métal hydrure sont-elles moins chères que les unités lithium-ion, mais Toyota a découvert que leur susceptibilité à la dégradation liée à la mémoire, essentiellement dues aux décharges et aux recharges partielles, par rapport au drainage et au remplissage complets de la batterie était moindre que prévu initialement en comparaison aux batteries lithium-ion. La preuve selon Toyota, étant le nombre de taxis hybrides Toyota et Ford utilisant toujours leurs batteries d'origine avec plus de six chiffres sur leur compteur.
Killmann n’a pas fourni de détails concernant ces calculs et on peut difficilement affirmer si cette logique a été créée pour expliquer les offres inexistantes de Toyota concernant les VÉ ou si cela a été planifié depuis toujours dans le cadre d’une approche pragmatique qui risque de nuire à long terme à la réduction des émissions de carbone causés par les véhicules neufs. Même si Toyota ne vend pas de véhicules tout électriques, cela ne veut pas dire qu’elle ne peut pas en vendre ou manque de moyens pour les produire. On prend simplement les précautions habituelles. Toyota considère toujours la technologie de la pile à combustible à hydrogène comme le véritable avenir de la mobilité, et les véhicules hybrides constituent clairement un pont important vers cet avenir. Car and Driver
Contribution: André H. Martel
44 jeunes de la génération Z révèlent ce qu'ils attendent de la voiture dans 30 ans; La Corporation Mazda annonce des stratégies d'électrification et de connectivité; Mario Plourde, PDG de Cascades, reçoit les prix Clean50 et Clean16 pour sa contribution au développement durable; En septembre, la Norvège atteint un nouveau record de 60% de ventes de véhicules électriques; Bill Ford annonce l’arrivée éventuelle d’un Ford F-150 100% électrique; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
6 des 10 voitures usagées les plus vendues aux États-Unis sont des VÉs rechargeables, la Chine fixe la date limite à 2019 pour que les constructeurs automobiles atteignent les objectifs de vente des véhicules verts, BMW et Mercedes proposeront des options de recharge sans fil pour les hybrides rechargeables l'année prochaine, Audi révèle la e-tron FE04 pour la Formule E, Mazda, Toyota et Denso se sont associés pour développer des VÉs : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Mazda deviendrait entièrement électrique et hybride d'ici 2030, Nissan, Mitsubishi et Renault lanceront 12 nouvelles voitures électriques d'ici 2022, la très attendue Mission E, tout-électrique, de Porsche aura un prix de base d'environ 86 000 $ US, TomTom lance un service de recharge pour VÉs en temps réel pour combattre l'anxiété d'autonomie, et l'Edison Electric Institute prédit 7 millions de VÉs rechargeables sur les routes américaines d'ici 2025 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Voici un complément d'informations sur une des brèves du 1er août dernier.
Un cadre de Mazda, Robert Davis, a renchéri sur la position anti-VÉ de Mazda lors d'une convention d'un groupe de commerce du Michigan cette semaine, a rapporté Automotive News. Dans un séminaire, Davis a déclaré que la mort imminente du moteur à combustion interne est surévaluée, que les gouvernements ne devraient pas rendre les VÉs obligatoires et que les incitatifs pour VÉs devraient être éliminés.
Mazda ne fabrique actuellement aucun modèle électrique ou hybride rechargeable, bien qu'elle ait prétendu l'année dernière qu'elle envisageait d'offrir des VÉs en 2019 pour respecter les règlements de véhicules à zéro émission. Robert Davis était vice-président principal des opérations américaines pour Mazda jusqu'à ce qu'il soit réaffecté à un plus petit rôle plus tôt cette année. Davis a également mentionné l'opposition de Mazda à la notion de « voitures de conformité », un modèle à production limitée vendu uniquement sur certains marchés pour respecter les mandats des véhicules à émission nulle, afin de permettre à un constructeur automobile de continuer à vendre des volumes beaucoup plus élevés de véhicules à haute consommation. Il a déclaré que le but de Mazda est de rendre chaque voiture aussi économe en énergie que possible. Les moteurs à essence utilisés dans les voitures ont une efficacité thermique totale (c'est-à-dire combien l'énergie de l'essence est transformée en mouvement plutôt que gaspillée en chaleur ou en bruit) d'environ 20 à 30%. Les moteurs électriques ont une efficacité d'environ 90% et plus. Les deux perdent de l'efficacité si vous prenez en compte le « long tuyau d'échappement » du forage / expédition / raffinage de l'essence ou de la production / transmission d'électricité - environ un tiers de l'énergie est perdue dans le cas de l'essence et, avec l'électricité, le nombre varie considérablement. Dans l'ensemble, cependant, les VÉs sont beaucoup plus efficaces que les véhicules à essence, quelle que soit la source d'énergie utilisée pour les alimenter. L'avis d'Electrek Les commentaires de Davis peuvent être lus comme un résumé des arguments de la campagne de désinformation des frères Koch. Si vous le permettez, nous détruirons tous les arguments contre les VÉs un par un. Les « incitatifs » Tout d'abord, Davis a déclaré que le crédit d'impôt fédéral de 7 500 $ et tous les mandats de VÉs devraient être éliminés, laissant ainsi le gouvernement garder les 7 500 $ et l'industrie trouver le meilleur moyen de garder l'air le moins pollué possible, peu importe comment ces normes sont définies. Cette position ne reflète pas l'opinion de sa propre entreprise sur ces normes. Pas plus tard que le mois dernier, les groupes de l'industrie qui représentent presque tous les constructeurs automobiles (y compris Mazda, en tant que membre de JAMA) ont fait pression sur la Chine pour arrêter leur mandat de VÉs et, récemment, Mazda a également fait pression sur le gouvernement américain pour bloquer les futures normes d'émissions de carburant de l'EPA. Au-delà de ça, il est également très étrange qu'un dirigeant de l'industrie se prononce contre les incitations fiscales offertes à son industrie. Telle est l'opposition de Mazda aux VÉs, apparemment. Mais cela soulève un autre point : et si nous éliminons tous les incitatifs? Les voitures à essence bénéficient d'une énorme subvention sous forme d'externalités qui ne sont pas évaluées en terme de prix. Un rapport du FMI évalue la subvention totale de l'énergie sale dans le monde (dont l'essence représente une part importante) à 5,3 trillions de dollars par an. Une autre étude suggère que les coûts sociaux (santé, réchauffement climatique et autres) de la combustion de l'essence sont de 3,80 $ le gallon d'essence et de 4,80 $ le gallon de diesel. Si on assume que la voiture moyenne dure 150 000 miles (240 000 km) et qu'on la compare à l'efficacité moyenne de Mazda de 29,6 mile par gallon, la Mazda moyenne vendue aujourd'hui bénéficiera de 19 254 $ en « incitatifs » en n'ayant pas à payer le coût de la pollution qu'elle émet (3,80 $ X (150 000 / 29.6)). C'est bien plus que le crédit de 7 500 $ dont profitent les VÉs. C'est pourquoi le PDG de Tesla, Elon Musk, a affirmé à plusieurs reprises qu'il aimerait que tous les incitatifs soient éliminés, à la fois pour les VÉs et les véhicules à essence, et les voir concurrencer sur un terrain de jeu équitable, parce qu'actuellement, les incitations sont avantageuses pour les véhicules à essence, pas pour les VÉs. Le recyclage Davis mentionne également l'un des points de discussion préférés des gens qui sont contre l'environnement, qui consiste à profiter de l'ignorance du public sur la technologie de la batterie pour affirmer que les batteries au lithium-ion sont dangereuses à jeter. La raison pour laquelle ce travail de peur fonctionne pour le public est dû au fait que les batteries auxquelles les gens sont habitués, celles des véhicules à essence, y compris celles de toutes les Mazda, sont des catastrophes environnementales. Les batteries au plomb sont extrêmement dangereuses si elles ne sont pas éliminées correctement. Heureusement, il existe des programmes extrêmement efficaces qui ont réussi à atténuer cela, avec 99% (!) des batteries d'auto usagées qui sont recyclées (c'est pourquoi vous obtenez une réduction sur une nouvelle batterie lorsque vous remettez l'ancienne). Il est heureux que ces programmes existent, car la plupart des VÉs utilisent encore des batteries au plomb, à l'exception notable de la Tesla Roadster. Les batteries au lithium-ion, cependant, sont loin d'être aussi dangereuses. Contrairement aux batteries au plomb, les batteries au lithium-ion ne sont généralement pas considérées comme des déchets dangereux et la plupart des éléments sont considérés comme sûrs pour les incinérateurs et les sites d'enfouissement. En outre, si un programme de recyclage de batteries au plomb peut atteindre 99% d'efficacité avec un rabais de seulement 10 $ en échange du retour de l'ancienne batterie, on pourrait penser qu'un programme de recyclage de batteries au lithium-ion beaucoup plus grand et beaucoup plus coûteux, avec une réduction beaucoup plus importante pour retourner les piles usées (par exemple, le programme de remplacement de la batterie de Nissan pour la LEAF qui offre un rabais de 1 000 $ pour rapporter votre ancienne batterie), pourrait atteindre une efficacité similaire. Actuellement, il existe peu de programmes du genre : il n'y a pas beaucoup de batteries de VÉs existantes puisque la plupart des VÉs sont relativement nouveaux. Mais la Gigafactory de Tesla envisage d'intégrer le recyclage de la batterie, ce qui devrait être facile à faire puisqu'ils pourront assembler et démonter les batteries avec les mêmes machines. Ce serait plus efficace qu'une installation de recyclage conçue pour recycler tous les différents types de piles, ce qui explique pourquoi l'argument de Davis, qui affirme que les batteries de VÉs ne peuvent pas être recyclées aussi facilement que les batteries de téléphones cellulaires n'a aucun sens, surtout si Tesla utilise une taille de batterie standard qui est utilisée ailleurs dans l'industrie. Les émissions Le troisième point à défaire est l'argument du « long tuyau d'échappement » mentionné ci-dessus, que Davis souligne en disant que les VÉs ne sont pas à « émissions nulles » mais à « émissions à distance, ou émissions déplacées ». L'industrie polluante aime souvent prétendre que les VÉs polluent autant que les voitures à essence. S'il est vrai qu'il existe évidemment des émissions émises dans de nombreux types de production d'électricité, les VÉs sont plus efficaces que les voitures à essence, peu importe d'où provient l'électricité pour les alimenter. La Union of Concerned Scientists a produit plusieurs rapports à ce sujet, et les a mis à jour quelques fois pour montrer que les VÉs ne deviennent que plus propres à mesure que le temps passe. Dans une autre étude, l'Union a démontré que les voitures à essence ont eux-mêmes un « long tuyau d'échappement », puisque la production d'essence entraîne une baisse d'efficacité de 26%. Ainsi, les véhicules à essence de Mazda ont eux-mêmes beaucoup d'émissions « à distance ». Bien sûr, toutes ces émissions peuvent être complètement éliminées en plaçant des panneaux solaires sur le toit de votre maison, que de nombreuses entreprises offrent à un prix initial de zéro dollar et à un prix mensuel qui est plus bas que votre facture d'électricité actuelle, ce qui en fait un choix évident en particulier pour ceux qui ont un VÉ. Et puis, il y aura bientôt le toit solaire de Tesla. Les voitures de conformité L'opposition de Mazda aux voitures de conformité, que Davis soulève dans son discours, a du sens. Oui, il serait préférable de produire beaucoup d'automobiles efficaces en énergie au lieu de perdre de l'argent sur quelques voitures hyper efficaces et de continuer à polluer avec beaucoup de voitures gourmandes en essence. Et le paradigme actuel laisse les entreprises qui se concentrent sur des voitures performantes, telles que Tesla, profiter beaucoup moins des entreprises qui se concentrent sur des voitures inefficaces. Malgré que Mazda soit appelée le constructeur automobile le plus efficace en Amérique, j'inclue Mazda dans la dernière catégorie, celle des constructeurs industriels inefficaces. Selon les normes fédérales CAFE, l'économie moyenne de Mazda pour sa flotte de voitures particulières est de 41,9 et celle de Tesla est à 314,4. Mazda pourrait prétendre qu'il est facile pour Tesla d'atteindre ce nombre parce qu'elle ne vend que quelques véhicules de toute façon, mais les ventes de Mazda aux États-Unis s'élèvent à environ 300 000 (bien que ses ventes aient chuté l'année dernière sous le régime de Davis malgré l'augmentation des ventes d'automobiles américaines). Les ventes de Tesla seront probablement à peu près au même niveau au cours de la prochaine année ou deux, mais il est peu probable que leur score CAFE baisse au niveau de Mazda. Et cette comparaison avec Tesla renvoie à l'autre excuse qui est souvent faite pour Mazda, qui est que c'est un fabricant relativement petit et qu'il ne peut donc pas consacrer suffisamment de ressources aux groupes motopropulseurs avancés. Tesla est également un petit fabricant, plus petit que Mazda en ce moment en termes de ventes, et pourtant, elle semble n'avoir aucun problème à proposer des groupes motopropulseurs avancés et encore faire des voitures de manière rentable. Alors, que tu choisisses une excuse ou l'autre, Mazda, aucune d'entre elles ne fonctionne vraiment. Davis fait également référence aux commentaires de Sergio Marchionnne de Fiat, qui dit avoir perdu de l'argent sur la Fiat 500e, se plaignant qu'une autre raison pour laquelle Mazda ne fait pas de voitures de conformité est qu'il est absurde de forcer les fabricants à perdre de l'argent sur certains modèles simplement pour faire face à un obstacle réglementaire. Ce serait stupide, mais encore une fois, nous avons une comparaison avec Tesla, dont 100% des voitures sont conformes à la réglementation zéro émission, et pourtant elle parvient à avoir une des plus hautes marges brutes de l'industrie automobile. Conclusion Donc, Robert Davis, oui, nous « respirons tous le même air, et il est plus logique que chaque voiture soit aussi efficace qu'elle puisse l'être ». Donc, arrêtez d'être ridicule et commencez à faire des VÉs. Et cela vaut pour le reste de l'industrie aussi. La position de Davis n'est pas atypique de l'industrie, et de nombreux autres cadres souffrent du même niveau d'obstination à essayer de justifier la poursuite de leurs affaires habituelles. Mais le temps passe. L'avancement technologique et le progrès se produiront qu'ils soient à bord ou non. Mazda se révèle être sans pertinence si elle continue à miser sur les moteurs à combustion interne. Il se peut que cela ne se reflète pas dans le prochain rapport trimestriel (cependant, dans le cas de Mazda, avec la baisse des chiffres d'affaires dans une industrie en croissance, peut-être ce le sera), mais la tendance se poursuivra même si les cadres de l'industrie comme Davis gardent confortablement leurs têtes dans le sable alors que les ventes continuent de chuter.
Le multisegment électrique de Buick sera basé sur la Bolt, la plate-forme de la nouvelle Nissan LEAF est susceptible de générer plus de modèles électriques, Toyota fait équipe avec Mazda pour construire des véhicules aux États-Unis et travailler sur de la technologie pour VÉs, et une Tesla Model S 100D vient de parcourir 1 078 km sur une seule charge : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Naïma Hassert
La Tesla Model 3 cache trois surprises, y compris une carte de la planète Mars, les camions électriques sont plus importants pour réduire les émissions que les voitures électriques, un cadre de Mazda présente sa stratégie qui consiste à prétendre que l'avenir ne sera jamais électrique, et toutes les Maseratis seront électrifiées à partir de 2019 : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
Le tout dernier épisode de la baladodiffusion officielle de l'AVÉQ - Silence, on roule , est maintenant disponible pour écoute et téléchargement
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Les démocrates demandent à l'EPA de ne pas revoir les règles d'efficacité énergétique des véhicules, Mazda ne sent pas de pression de la part de ses clients pour fabriquer des VÉs, d'anciens dirigeants de Tesla veulent une Gigafactory, et la Sedric autonome ressemble à tout sauf à une voiture : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
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Contribution : Naïma Hassert
ADOMANI vendra des autobus scolaires électriques Lion Bus dans les États de l'Ouest américain, GM fait le plus gros achat d'énergie verte à ce jour, Mazda devrait arriver sur le marché des VÉ en 2019 et un tour complet du concept électrique Jaguar I-Pace en vidéo : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images, vous n'avez qu'à cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Tous les derniers salons de l’auto l’ont prouvé : il y a un véritable engouement pour les véhicules électriques. L’industrie automobile évolue en présentant de plus en plus de modèles hybrides ou complétement électriques, et le CES de cette année a presque présenté l’essence comme une chose du passé. Malgré tout, on ne peut s’empêcher de se poser la question : est-ce que les États-Unis se dirigent vers une crise des véhicules électriques ?
Alors qu’ils se remettent à peine du « Dieselgate », Volkswagen et Audi misent beaucoup sur les véhicules électriques. Même chose pour Ford, Chevrolet et Mercedes, et pratiquement tous les autres gros joueurs de l’industrie. Ils le font en partie parce que l'électrification représente probablement l'avenir du transport automobile, mais davantage parce que les exigences des gouvernements en matière d’économie de carburant et d’émissions les y forcent. Mais puisque l’essence est très abordable en ce moment aux États-Unis, les ventes de VÉ stagnent. Si cette tendance se poursuit, cela pourrait entraîner des maux de tête coûteux aux constructeurs automobiles. Selon de nouvelles données provenant de Brandon Schoettle et Michael Sivak de l’Institut de recherche sur le transport de l’université du Michigan, l'économie moyenne de carburant était en baisse en 2015 par rapport à l'année précédente. Ils ont signalé que l'économie de carburant était en baisse de 0,9 mpg depuis le sommet atteint en août 2014, mais d’un angle plus positif, elle est en hausse de 4,8 mpg depuis que l'université a commencé cette étude en 2007. Pourquoi la moyenne de l'économie de carburant tend à diminuer, alors que les voitures sont de plus en plus efficaces? Puisque le prix de l’essence diminue depuis un an maintenant, et que le prix d'un gallon de sans plomb est d'environ 1,97 $US à l'heure actuelle, les Américains ne privilégient tout simplement pas l'économie de carburant lorsqu’ils optent pour un nouveau véhicule. Les plus grands vendeurs de 2015 étaient Jeep, Ram et toutes les marques qui offrent de nombreux VUS, des camions et des véhicules multisegments. S’il n’en tenait qu’à eux, les Américains choisiraient à chaque fois des voitures plus imposantes. Pas des hybrides et des véhicules électriques, mais des camions et des VUS. Certes, le marché de l'hybride est encore relativement petit, mais il croît de plus en plus rapidement et les temps de recharge des infrastructures destinées aux VÉ et la tarification ne répondent pas encore aux besoins de la plupart des Américains. De nouveaux véhicules électriques et hybrides continueront d’être lancés, alors, au prix où l’essence se trouve actuellement, qui les achètera ? Mazda teste des voitures hybrides et électriques pour déterminer lesquelles préfèrent les Japonais22/9/2015 De façon générale, Mazda n’a pas délaissé les voitures à combustion interne, bien qu’elle n’ait pas cessé de chercher des moyens d'améliorer l'efficacité de ses véhicules. Le constructeur automobile japonais a offert des gains d'économie de carburant notables avec sa ligne de transmission SKYACTIV axée sur l'efficacité et avec les nouveaux véhicules développés autour de ce concept. Mais les hybrides et les véhicules électriques ont été la plupart du temps absents de l'équation, en dehors d'une poignée de véhicules vendus à faible volume dans des marchés spécifiques. Cela pourrait changer bientôt, car Mazda affirme effectuer des tests sur les préférences des consommateurs en ce qui a trait aux voitures hybrides et électriques dans son marché domestique. La transmission la plus populaire sera adoptée pour les futurs modèles de production Mazda, a dit le chef d'entreprise Masamichi Kogai à Auto Express. Cette citation provient d'un entretien qui a eu lieu au Salon de Francfort 2015 la semaine dernière. Kogai a affirmé qu’une version électrique de la sous-compacte Mazda 2 et une version hybride de la compacte Mazda 3 sont en cours d'évaluation au Japon. Mazda a commencé la démonstration de sa Demio EV en 2012. Il s’agit du nom du modèle japonais ce ce que les Nord-Américains appellent la Mazda 2. La voiture possède une batterie lithium-ion de 20 kWh et son autonomie serait de 200 kilomètres, telle que mesurée sur le cycle d'essai japonais, a dit Mazda. Son moteur électrique produit 75 kilowatts (100 chevaux) et 110 lb-pi de couple. La Mazda 3 SKYACTIV hybride a été dévoilée la première fois au Tokyo Motor Show 2013. Elle utilise une version du système Hybrid Synergy Drive de Toyota, jumelé à l'un des moteurs à essence SKYACTIV très efficaces de Mazda. Mazda avait également discuté précédemment vouloir offrir un groupe motopropulseur hybride diesel sur certains modèles de production, mais ce plan semble présentement être au point mort. Bien que les expériences avec des transmissions électriques aient été limitées au Japon jusqu'ici, Mazda pourrait bientôt devoir s’assurer qu’elles répondent aux réglementations américaines. Le constructeur automobile fait partie d'un deuxième groupe de constructeurs automobiles qui devront à tout prix se conformer à l’objectif zéro émission de la Californie, qui s’amorcera en 2018. Cela signifie que Mazda devra vendre un certain nombre de voitures définies comme « véhicules à zéro émission » en Californie pour se conformer à la loi. Mazda et d'autres constructeurs plus petits ont néanmoins réussi à faire changer les règles afin que les hybrides rechargeables puissent compter dans le total des ventes. La compagnie a aussi signé récemment un accord technique avec Toyota, ce qui signifie que le plus grand constructeur automobile devra probablement fournir des pièces pour les transmissions des futures hybrides et hybrides rechargeables. Source: Green Car Reports Collaboration: Lisanne Rheault-Leblanc En partenariat avec Toyota, le constructeur Mazda serait en phase de conception de son premier véhicule 100 % électrique. En échange, ce dernier fournirait sa future (2016) technologie hybride diesel-électrique à Toyota qui l’intégrerait dans son futur VUS présenté au dernier Mondial de Paris. Un mois après la signature d’un accord de coopération entre les deux constructeurs automobiles japonais, le partenariat semble entrer dans sa phase opérationnelle. Mazda serait présentement à travailler sur sa première voiture électrique, d'un format semblable à la BMW i3 pour commercialisation au Japon et aux USA dès 2018. Une échéance qui correspond à la mise en application de la nouvelle et très stricte loi Zero Emission Vehicle (ZEV) en Californie. Dans le cadre de l’accord de coopération, Mazda profite des technologies et des retours d’expérience de Toyota en matière de véhicule électrique (RAV-4 EV), hybride rechargeable (Prius Plug-in) et à pile à combustible hydrogène (Mirai). Source : BreezCar Contributeur : Martin Archambault Depuis plusieurs années, le California Air Board et son mandat sur les véhicules zéro émission exige que les plus grands manufacturiers automobiles produisent un certain nombre de véhicules zéro émission afin qu'ils soient vendus dans cet état. A partir 2018, les plus petits équipementiers devront eux aussi se soumettre a cette exigence. Sans grande surprise, ces compagnies souhaitent l’éviter. Jaguar Land Rover, Mazda, Mitsubishi, Subaru et Volvo ont donc demandé d’en être exemptés. Leur argument principal était que leurs plus petits budgets de R&D les désavantageraient par rapport aux géants comme Ford, GM et Nissan pour le développement de véhicules électriques. Le CARB leur a offert un compromis : les manufacturiers ayant moins de 40 $ milliards en revenus annuels devront respecter le mandat, mais auront l’option de vendre des véhicules électriques hybrides rechargeables afin d’obtenir des crédits et n’auront pas a produire de véhicules 100% électriques ou à piles à combustible. Source : Charged EVs Une alliance entre Apple, Google, Tesla et Fiat alliance et une entente entre Toyota et Mazda?12/5/2015 Le président-directeur général de Fiat a rencontré Tim Cook (Apple) et Elon Musk (Tesla) et est embarqué dans le véhicule autonome de Google. Fiat a affirmé être ouvert à une alliance avec Google ou Apple.
Il a également eu de bons mots pour l’initiative d’Elon Musk de rendre public ses brevets il y a quelques mois. Rappelons qu’Apple travaillerait aussi sur un véhicule électrique autonome, appelé Titan, et que l’entreprise en est à explorer les processus de fabrications d’un véhicule électrique. Par ailleurs, Toyota et Mazda échangent de l’information sur leurs technologies automobiles. Toyota considérerait de partager ses connaissances en matière de technologies sur les véhicules à hydrogène et hybrides alors que Mazda en dirait plus sur SkyActiv à Toyota. Source : World eNews C'est sans tambour ni trompette que Mazda s'est aventurée dans le marché de la voiture électrique. Effectivement, Mazda offre actuellement une voiture électrique sur le marché japonais. La Demio EV est effectivement offerte en location pour les corporations et gouvernements japonais depuis octobre 2012. Malgré qu'il s'agisse d'un manufacturier automobile avec des budgets beaucoup moindre que ses compétiteurs, Mazda a quand même été en mesure de fabriquer une voiture électrique assez intéressante. Afin de se conformer aux normes Californiennes, faudrait-il s'attendre à ce que Mazda puisse offrir cette voiture au marché Californien d'ici 2018 ? Le manufacturier Nippon limitera-t-il ses ventes à un seul état Américain ? Les consommateurs Canadiens auront-ils droit à cette voiture ? Aucune réponse pour l'instant mais néanmoins, tous les détails de la voiture son disponible sur le site : http://www.mazda.com/mazdaspirit/env/ev/ Mazda sera-t-il en mesure de nous offrir une variété différente du Zoom Zoom habituel ? |
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