Plus de 50 lancements mondiaux à l'AutoMobility LA 2018 du 26 au 29 novembre; Renault EZ-PRO : un concept de robot-livreur pour 2030; Croissance du programme d’autopartage de véhicules électriques aux États-Unis; Aston Martin donne un avant-goût de la Rapide E, son tout premier véhicule électrique; Le VUS PSA DS 3 Crossback électrique pourrait être bientôt disponible en Amérique; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
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Contributeur: André Martel
Trois voitures électriques aux couleurs de Jean Coutu ont commencé à circuler dans la région de Chateauguay le lundi 17 juillet.
Il s’agit de Nissan Leaf acquises par les propriétaires de cinq pharmacies ayant pignon sur rues à Châteauguay, Mercier et Beauharnois, Jacques et Line Thibault et leurs associés. Une grande première québécoise pour la bannière.
«Des véhicules électriques pour faire la livraison, c’est nouveau. C’est une première dans l’ensemble des Jean Coutu du Québec», affirme Pierre Pouliot, administrateur pour les Jean Coutu de Châteauguay et Mercier. Le virage s’est amorcé en février. Les frais de livraisons effectuées par ses sous-contractants avec leurs propres véhicules ont alors été évalués. À la suite de l’exercice, M. Pouliot a proposé à ses patrons d’acquérir leurs propres véhicules. Une formule qui offrirait une visibilité à Jean Coutu puisque les voitures lui appartenant seraient lettrées, observe Pierre-Aimé Slevan, administrateur/service à la clientèle. Amortis sur cinq ans Les propriétaires ont donné le feu vert à une comparaison des coûts de revient de véhicules à essence et électrique. «Nous avons demandé des soumissions et nous avons conclu que la voiture électrique était amortissable sur une période de cinq ans au même titre qu’un véhicule à essence», révèle Pierre Pouliot. Des avantages non monétaires ont aussi pesé du côté positif. «On fait de la livraison tout en étant écologique et écoresponsable», se réjouit l’administrateur. Son collègue précise que les établissements avaient déjà entrepris un tournant écologique, notamment en pratiquant la récupération et le recyclage. «Avec les voitures, on est une coche au-dessus», estime Pierre-Aimé Slevan. L’enjeu de l’autonomie L’autonomie constituait un enjeu. Pendant trois mois, le kilométrage des livreurs a été mesuré pour déterminer si la voiture électrique offrait une portée suffisante. L’exercice a été concluant. «En moyenne, il s’est avéré que les livreurs faisaient entre 125 et 130 km par jour. La Nissan Leaf peut parcourir 174 km avec une pleine charge», laisse entendre M. Pouliot Source : Le Soleil de Chateauguay Contribution : Martin Archambault
Les entreprises Libner et Dachser ont créé le BIL, un petit véhicule électrique autonome relié à un camion porteur, qui achemine à sa place les livraisons en centre-ville: écologique, silencieux, rapide et moins pénible pour le livreur.
La « solution du dernier kilomètre ». C'est ce que proposent l'entreprise allemande Dachser (prestataire international de solutions de transport et de logistique) et l'entreprise française Libner (spécialiste de la carrosserie industrielle). Face aux enjeux de la livraison urbaine, compliquée par les restrictions d'accès au centre-ville mises en place par les mairies, les considérations écologiques, les problèmes de nuisances sonores pour les riverains, les deux partenaires ont mis au point un prototype de livraison innovant, dénommé le « BIL » (Base Intelligente de Logistique). Frédéric Jurado, le directeur Network Dachser France, Franck Potron, le directeur commercial de Libner, et François Joseph Libner, le fils de Joseph Libner et dirigeant du groupe Libner, ont présenté dernièrement leur innovation, à Paris 14ème. Le dispositif combine deux véhicules en un : un camion porteur de 19 tonnes emporte en son sein un petit véhicule électrique, de 2.43 mètres de long pour 1.73 mètres de large. Le livreur gare le camion à proximité de la zone à livrer. Il se déplace ensuite grâce au seul petit véhicule, le BIL, vers les points de livraison. Cela évite la présence de camions dans le centre-ville, et également les sauts de puce d'un point à un autre, parfois très rapprochés. Le BIL peut rouler sur le trottoir, accéder aux endroits où l'accessibilité est restreinte, voire impossible, comme par exemples les sous-sols, les parkings, les rues étroites… « C'est un mode de livraison en marguerite » image Frédéric Jurado. « Le livreur part d'un point pour aller aux destinations et il revient toujours au même endroit ».
Une journée type se déroulerait comme suit : la batterie du BIL est chargée chaque matin à l'agence Dachser à Pantin (93). Il est ensuite chargé avec des palettes (de 8 à 12 par livraison, cela dépend de leur taille). Il peut supporter jusqu'à sept tonnes de charges par voyage et bénéficie d'une autonomie de 120 kilomètres. Il peut se recharger sur sa base, le véhicule porteur, en cas de besoin.
Frédéric Jurado était confiant sur l'avenir du projet : « nous sommes les seules sociétés pouvant répondre à la problématique de la livraison en centre-ville. Il n'y a pas d'autres solutions. Nous offrons trois solutions d'avenir, en termes d'écologie, de nuisances sonores, de qualité client ». Totalement électrique, le BIL permettrait de réduire les émissions de CO2 en centre-ville et d'être en totale harmonie avec les règles environnementales. Comme seul celui-ci se déplacerait en ville, finis les bruits de moteur en marche des véhicules en stationnement et tous les autres désagréments sonores. L'idée du BIL est née en 2014, sur idée de Joseph Libner, le fondateur de l'entreprise en 1965. Une cellule de réflexion s'est ensuite réunie régulièrement pour donner vie à ce projet. La phase d'expérimentation réelle a débuté le 18 avril dernier, dans le 14ème arrondissement de Paris. La production des véhicules devrait débuter en septembre prochain. Source: Affiches Parisiennes Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Sébastien de JN Auto inc a rencontré le co-propriétaire de CertaPro Antoine Lebouc. Ce dernier est spécialiste en peinture commerciale, institutionnelle et résidentielle depuis près de 20 ans à Montréal . Il envisageait l'achat d’un premier VÉ soit une BMW I3 , par conscience environnementale et économique. L'entreprise avait déjà des véhicules à essence. Les co-propriétaires étaient convaincus que cet effort environnemental rendrait leur entreprise plus compétitive et aura un impact positif sur leur marque de commerce tout en la rendant plus éco-responsable !
M. Lebouc et la co-propriétaire, Mme Genevieve Giguere LeBouc, étonnés par l’efficacité et les économies réalisées par cette technologie ont converti début 2017 deux autres véhicules de leur flotte et ont acquis quatre nouvelles bornes de recharge pour ravitailler leur flotte verte !!
Voici un bref résumé des économies qu'ils entrevoient :
Leaf 2016 (Fouad Sitout) Leur employé Fouad a parcouru 1153 km depuis le 3 avril (soit 14 jours de travail). l'économie est donc de 110 litres d'essence vs Le Ford Escape 2010. Ceci représente environ 110 litres x 1.05 $ = 115.50$ (8.25$ par jours) Par année, Fouad va travailler environ 210 jours, donc 1732.50$ d'essence sera économisé.......Moins les frais d'électricité (500$ ?) = 1232.50$ d'économie annuelle. Fouad se branche tout le temps au bureau; le matin et l'après-midi à son retour. BMW i3 2015 (Antoine LeBouc) Antoine a parcouru 10 800 km depuis le 21 décembre..... Une économie de 1080 litres vs le Touareg TDI.....1080 litres x 1.10$ = 1188$ (10$ par jours) Par année, l'entreprise va économiser 10$ / jours x 365 jours = 3650$...Moins les frais d'électricité (650$) = 3000$ . Le tout basé sur le principe qu'Antoine se branche à la maison le soir + la fin de semaine et parfois sur les bornes du bureau. BMW X5 Hybrid (Geneviève Giguère LeBouc) Elle a parcouru 1274km en 23 jours. Une économie de 76 litres vs le Audi SQ5 2015.... 76 litres x 1.10$ = 83.60$ (3.63$ par jours) Par année, elle va sauver 3.63$ / jours x 365 jours = 1325$....Moins les frais d'électricité (300$) = 1025$ Elle se branche la nuit à la maison + les week end. Elle se branche aussi sur les bornes du bureau le jour. Total d'économie par année; 1232.50$ + 3000$ + 1025$ = 5257.50$ + frais entretien réduits + moins de pollution !!! Félicitation à M. Lebouc et Mme Giguère LeBouc pour ce virage éco-responsable qui leur permet de surcroît, des économies substantielles ! Si vous avez besoin de peintres qui ont les mêmes valeurs que vous, vous savez qui appeler ! http://www.certapromontreal.ca/ Si vous avez des expériences semblables à raconter, N'hésitez pas à nous en faire part ! Source : JN Auto Contribution : Martin Archambautl
Première livraison UPS en vélo électrique, la Chine domine le marché du lithium, près de 1850 travailleurs à la Gigafactory Tesla et Daimler investira jusqu’à 10 milliards d'euros dans le développement de VÉ : Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus.
Bonne lecture!
Contribution : Peggy Bédard
Suite à de nombreuses lectures sur le site de l'AVÉQ, l'homme d'affaire Mickael Boyer a fait l’acquisition d'une Mitsubishi iMiev 2016 pour effectuer la livraison de nourriture pour leur restaurant.
Cette franchise, située sur le chemin Gascon à Terrebonne au coin de la 640, sera le premier Thaïzone de la chaîne à avoir un véhicule électrique. Nous sommes vraiment fébrile à l'idée de pouvoir livrer à nos clients en mode électrique
Ce qui a incité l'achat de cette voiture fût la perte totale suite à un accident de l'une de leur voiture il y a trois semaines. Une de leur stratégie d'affaires est de ne pas avoir de paiement de voiture. Alors, ils utilisaient une flotte usagée, mais très bien entretenue. Avec deux succursales, la flotte était composée de 4 voitures Toyota Yaris entre 2008 et 2010.
«Lorsque nous faisons face à de l'adversité, notre but est de trouver un moyen de se sortir gagnant de cette situation. Alors, devant le fait de devoir racheter un nouveau véhicule, je cherchais une stratégie gagnante» de dire M. Boyer. Les choix qui se présentaient devant l'homme d'affaire étaient:
Le désir de rouler électrique, l'indépendance totale, voilà le raisonnement qui les a conduit à la solution gagnante puisque le restaurant dépensait déjà 250$ par mois d'essence par véhicule, pour un total de 30,000 km par auto par année. La iMiev leur coûte 260$ par mois, 0$ en acompte. Conclusion? Ils obtiennent une voiture neuve à coût pratiquement nul considérant le faible coût d'une recharge, tout en bénéficiant d'une image publicitaire forte. Les subventions provinciales pour la voiture et pour l'installation de la borne 240V ont influencé le choix de ces entrepreneurs, et le site de l'AVÉQ a permis d'éclairer sur ce sujet encore nébuleux pour la majorité des gens d'affaires. L'après-midi en moment moins achalandé et la nuit seront les périodes de recharge du véhicule. Les voitures roulent quotidiennement 140 km, et un peu plus le jeudi-vendredi-samedi. Si l'expérience est positive, Mickael Boyer électrifiera sa flotte graduellement, et on peut imaginer que les autres franchisés Thaïzone suivront dans ses traces - le directeur de la chaîne étant axé sur l'innovation, il accueille cette nouveauté avec joie. Contribution: Simon-Pierre Rioux
Les pharmacies Hugo Flamand et Alexandre Comtois, affiliées à Familiprix Extra et situées à Joliette et à St-Félix-de-Valois, célèbrent aujourd’hui les progrès considérables réalisés par leurs équipes en matière de développement durable. Dans la dernière année, les deux pharmaciens propriétaires ont annoncé leur engagement à devenir une Pharmacie éco+responsable avec Maillon Vert.
« Nous avons le sentiment d'avoir contribué à réduire notre empreinte écologique », a expliqué M. Hugo Flamand, pharmacien propriétaire. « Tout récemment, nous avons fait l'acquisition de deux voitures électriques, pour chacune de nos pharmacies, afin de réduire la pollution engendrée par notre service de livraison. Nous estimons que cela nous permettra d'épargner plus de 10 tonnes de CO2 annuellement. Nous avons également installé des bornes afin que notre clientèle puisse recharger leurs propres voitures. C’est dans l’air du temps! » En suivant le plan d’action élaboré par Maillon Vert suite à son diagnostic de chaque entreprise, les pharmacies se sont engagées à réduire considérablement leurs déchets plastiques. Au terme de sa première année avec Maillon Vert, la pharmacie de Saint-Félix-de-Valois a notamment contribué à recycler plus de 6 150 kg de matières diverses, correspondant à plus d’un camion à ordures. Elle a également sauvé l’équivalent de 35 arbres en diminuant sa consommation de papier. Des actions similaires ont été entreprises à la pharmacie de Joliette, partenaire avec Maillon Vert depuis son ouverture au mois d’octobre. Ces actions ont été combinées à d’autres initiatives comme l’intégration de principes écologiques LEED dans la construction de leur nouveau bâtiment ainsi que la formation des employés à la bonne gestion des médicaments périmés. Les deux pharmacies offrent également plusieurs produits écoresponsables certifiés biologiques, équitables ou locaux. Maillon Vert, initiative unique et novatrice en Amérique du Nord, permet aux pharmacies de se démarquer dans leurs communautés par la mise en œuvre de mesures écologiques, sociales et économiques concrètes. Leur approche repose sur quatre piliers : l’implication sociale, les produits et services, les matières résiduelles ainsi que l’énergie et les transports. « C’est avec enthousiasme et détermination que nos employés ont su relever ces défis! », a fait valoir M. Alexandre Comtois, pharmacien propriétaire. « Et ce n’est que le début! L’avenir est prometteur et nous nous engageons à poursuivre nos efforts pour prendre soin de notre communauté et notre planète ». À noter que c'est notre directeur régional pour Lanaudière, Philippe Janson, qui a approché ce commerce pour les convaincre des avantages indéniables d'utiliser des voitures électriques pour la livraison. Bravo Philippe! Source: Le journal de Joliette Contributeur: Simon-Pierre Rioux
Les voitures électriques sont de plus en plus présentes dans le paysage automobile mondial. Les qualités environnementales de celles-ci ne font pas de doute, mais sont-elles faciles d’entretien ?
Elles sont belles, écoresponsables et attirantes, mais sont-elles pratiques ? Alors que le coût d’acquisition des voitures électriques ne cesse de diminuer, la question de leur entretien mérite que l’on s’y attarde afinn d’éviter des mauvaises surprises. Planifier la recharge Suffit-il de brancher le véhicule lorsque son niveau d’énergie est bas afin d’en assurer l’entretien ? Évidemment non. Mais les enjeux qui touchent la recharge demeurent importants. Pour bien des consommateurs, le nombre de points de recharge et leur distribution géographique est cruciale. Et même si le réseau prend de l’ampleur chaque année, la planification rigoureuse de la recharge demeure essentielle. Simon-Pierre Rioux, président de l’Association des véhicules électriques du Québec, explique que « la recharge se fera toujours principalement à domicile. Le réseau se développera de façon graduelle, la clé de cet enjeu essentiel étant l’accessibilité accrue aux bornes de recharge à haute vitesse ». Connaissances particulières Pour le moment, l’atelier de mécanique classique ne peut probablement pas voir à l’entretien particulier d’un véhicule électrique, c’est-à-dire l’entretien de la batterie. Celle-ci nécessite des connaissances et un outillage particulier avant de s’y attaquer. « Il faut des employés formés et un équipement contrôlé particulier pour effectuer certains types d’entretiens, comme celui de la batterie. Pour le moment, ce ne sont pas tous les garages qui sont équipés pour toucher à ces véhicules. On reçoit progressivement des formations spécifiques à chaque véhicule, mais le domaine automobile n’est pas encore adapté à ces nouveaux modèles. En conséquence, ce sont surtout les concessionnaires qui s’occupent de l’entretien », explique Louis Carignan, propriétaire de l’atelier Carignan pneus et mécanique de Varennes. En contrepartie, les besoins d’entretien d’une voiture électrique sont nettement moins grands que ceux d’un véhicule à essence. Elle possède moins de pièces mobiles, ce qui limite les situations de bris mécanique. Le véhicule électrique n’a pas besoin de changement d’huile, de remplacement de bougie d’allumage ou de filtres, ce qui réduit le nombre d’éléments à entretenir. Seuls les composants tels que les plaquettes et disques de frein, ainsi que les pneus, sont à changer régulièrement. À ceci, il faut bien sûr ajouter les essuie-glace et le liquide lave-glace. Les coûts Un véhicule électrique demeure donc très économique si l’on exclut le coût d’achat initial. Bien sûr, le coût de remplacement éventuel de la batterie sera important, mais le prix de cet élément diminue depuis quelque temps. « La batterie est conçue pour durer environ 10 ans. Il est rare que l’on doive la remplacer au complet, puisqu’il est possible de changer seulement certains de ses modules. On limite ainsi passablement les frais d’entretien », affirme M. Rioux. Quand à la facture environnementale collective, elle aura de quoi réjouir tout le monde. Source: CAMauto Contributeur: Simon-Pierre Rioux C’est maintenant fait! Un premier véhicule 100% électrique pour la livraison locale et régionale à Sherbrooke. LASERPRO, expert en impression durable, livre maintenant ses cartouches recyclées et imprimantes en véhicule zéro-émission. Alexandre Champagne, président de LASERPRO, considère que l’entreprise doit être conséquente avec l’image corporative qu’elle projette. C’est pourquoi la livraison de leurs produits s’effectue en Cmax hybride et aussi, depuis cette semaine, en Leaf SV 2016. Alexandre espère bien que leur décision convaincra d’autres commerces à se joindre à tous ceux qui ont à cœur le développement durable et la réduction des gas à effet de serre. La section régionale de l'Estrie travaille en collaboration avec ses partenaires, dont la ville de Sherbrooke, pour permettre à d’autres commerces de joindre les rangs, entre autre par une meilleure dispersion des bornes de recharge. Parmi les véhicules de promenade « branchable », c’est à Sherbrooke que la Leaf a le plus haut taux de pénétration au Québec (nb de véhicules par 1000 habitants)… pourquoi ne serait-ce pas possible de faire de même du côté des commerces?…Le défi est lancé aux autres commerces ! L'AVÉQ est fière d'initiative comme celle-ci. Bravo à LASERPRO ! MAJ : Voici l'article paru sur EstriPlus.com Chic Alors! est un restaurant innovateur et sophistiqué, situé à Québec, où on y mange principalement des pizzas uniques et gourmandes. Une de ses particularités intéressantes est qu'il est certifié LEAF (de l'anglais Leaders in Environmentally Accountable Foodservice) niveau 3. Nous pouvons donc être fiers, puisqu'un restaurant certifié LEAF signifie qu'il aide l'industrie canadienne de la restauration à réduire son impact sur l'environnement. Le niveau 3 est présentement le plus élevé parmi les certificats. Ce qui veut dire que Chic Alors! fait tout le nécessaire pour cibler la récupération de l'énergie, de l'eau et de sa réduction des déchets. Électrification de la livraison Leur système de livraison m'éblouit complètement. C'est la première fois de ma vie que j'entends parler d'un restaurant qui fait des livraisons avec des voitures électriques! En 2009, ce restaurant hyper moderne a été LA première entreprise au Québec à investir dans une voiture de livraison électrique. Maintenant, 4 voitures électriques traversent la ville sous la bannière de Chic Alors! pour livrer ses délicieuses créations. C'est avec l'aide du réseau VER, un réseau de bornes de recharges publiques placées à des endroits stratégiques favorisant ainsi leur usage, que les livreurs peuvent se déplacer et fournir un service de livraison avec une flotte 100% électrique. Suite de l'article disponible à la source : Source : HuffingtonPost
Contribution : Richard Lemelin, délégué régional AVÉQ - Capitale-Nationale Il s’agit d’un sixième prix pour la e-NV200, camionnette tout électrique de Nissan, qui a récemment remporté la récompense de la meilleure camionnette verte (Best Green Van) aux prix Business Van à Londres. La Nissan e-NV200 peut également se vanter d’avoir écoulé quelque 2 300 unités en une demi-année seulement.
Source : Inside EVs Voici un superbe témoignage de Jean-Philippe, un camelot professionnel de la région de Québec qui a décidé d'acheter une voiture 100% électrique pour les besoins de son travail. Il avait besoin d'un véhicule fiable avec un grand espace de rangement pour y placer les différents journaux à livrer, très silencieux pour se promener dans les quartiers aux petites heures du matin sans réveiller ses clients, mais surtout qui lui permettrait d'économiser plus de 400$ en essence par mois!! Il a choisi la Nissan Leaf car c'était le meilleur choix pour ses besoins. Nous vous invitons à lire son histoire qui se doit d'être racontée, afin que d'autres camelots et livreurs professionnels puisse être mis au courant qu'il y a une alternative économique à ce qu'ils font présentement grâce à la voiture 100% électrique. Merci de partager cette histoire sur Facebook et Twitter. Bonjour, je me nomme Jean-Philippe et depuis 3 semaines, je suis l’heureux propriétaire d’une Leaf 2014. J’habite sur la rive-sud de Québec et me sert de ma Leaf essentiellement pour travailler. Je suis camelot, je passe donc des journaux en porte à porte. Peut-être un des premiers camelots électriques, en tout cas, je n’en ai pas eu connaissance s’il y en a d’autres. Au début, je lorgnais plus la Volt, car j’étais sûr de faire ma ‘’run’’ peu importe le temps de l’année, mais plus le moment d’acheter s’en venait et plus je me disais « Et si je pouvais le faire complètement électrique, ça serait génial!!». J’ai donc fait un drôle de roadtest avec un vendeur en faisant plein de départs-arrêts sur 30 minutes, multipliant le % de batterie utilisé (7 %) par 8 (ma ‘’run’’ dure 4 heures) et en rajoutant un petit 15 % pour l’aller-retour de chez moi à ma ‘’run’’ (je travaille à Ste-Foy sur la rive nord) pour un total d’aux alentours de 70 %. Quand même un peu serré, mais j’ai tellement adoré l’expérience et fait rapidement mes calculs dans ma tête que même si j’utilisais juste la Leaf 9 mois sur 12, ça valait la peine. J’ai donc signé. À mon premier matin, j’étais un peu stressé, j’avais peur de m’être trompé dans mes calculs et effectivement les calculs n’arrivaient pas. J’ai fait ma ‘’run’’ le plus économique possible sans prendre de pause et en me rendant et revenant de ma job sur l’autoroute a 90 km/h. Résultat final : seulement 40 % utilisé. WOW. Je n’ai jamais été aussi content de m’être trompé. Maintenant, je fais mon travail sans me priver exactement comme avec mon ancien véhicule, un HHR de Chevrolet, à 110 km/h pour l’aller-retour et j’utilise 50 % de ma batterie. J’ai même une petite glacière branché dans le 12 v pour me garder des boissons froides pendant les 4 heures. Ça ne parait pas sur la consommation. 1 $ par jour d’électricité comparé à 15 $ en essence, quelle économie !!! Je pense donc pouvoir m’en servir presque à l’année, à part peut-être quelques nuits froides d’hiver. En essence, avec mon HHR, je dépensais minimum 400 $ par mois. Si j’allais juste me balader avec, je faisais du 7,8 l aux 100 km et en travaillant, je faisais du 16 l aux 100 km. Très dur sur une voiture à essence. Tout le contraire pour un véhicule électrique qui est vraiment idéal pour cette job avec tous les départs-arrêts que je fais. En tout, je roule 20 km d’autoroute pour l’aller-retour et 20 km de départs-arrêts sans dépasser 30 km/h. Ce type de véhicule est parfait pour tous les camelots et livreurs comme ceux de restaurants qui sont dans ce ‘’range’’ et peut-être même un peu plus, surtout les restaurants qui peuvent se brancher entre 2 livraisons. Quel bonheur de rouler silencieusement la nuit, de ne plus polluer, aucun changement d’huile et surtout ne plus mettre une goutte d’essence (J’en mettais aux 4-5 jours). Même si je suis plus de nuit que de jour, j’ai déjà eu plusieurs bons commentaires et ça impressionne tout le monde. Tous ceux à qui je l’ai fait essayer, ce croyait dans le futur. Probablement quelques-uns en feront leur prochain véhicule. Que du bon avec cette Leaf, le seul bémol (qui n’est vraiment pas grave) est le calcul des arbres éco. Comme je roule pendant 4 heures en dedans de 30 km/h, les arbres s’accumulent vites et rendu au milieu de ma ‘’run’’ les 5 arbres sont déjà affichés. À la fin, sur Carwings, j’ai toujours seulement 5 arbres d’accumulés. Je dois donc arrêter ma Leaf quand j’ai 5 arbres d’accumulés pour les ‘’resetés’’ et maintenant à la fin, sur Carwings, j’approche les 10 arbres par jour. C’est bien la seule chose que j’ai à redire, alors on peut dire que c’est un véhicule parfait pour moi et pour 99.9% de mes déplacements (Depuis que j’ai mon HHR, dans les 6 dernières années, on peut compter sur les doigts d’une main les fois où j’ai eu plus de 140 km à faire.) La fiabilité de la Leaf sera mise à l’épreuve, car c’est une job dur pour les freins, la suspension et la transmission (quoique dans ce dernier cas, avec la Leaf, je ne sais pas ce que ça va donner). Avec mon HHR, je changeais des plaquettes et des disques de freins et quelques jambes de suspension presque à chaque année. On verra avec la Leaf. J’ai loué sur 48 mois pour les mêmes raisons que beaucoup d’entre vous je crois : réutiliser la subvention de 8000 $ pour un vrai achat avec les prochains modèles dans environ 3 ans. J’ai loué chez Capitale Nissan à Québec. Très bon service et très courtois. Plusieurs vendeurs sont venus me féliciter en plus du directeur, bien sûr. Je remercie aussi l’AVEQ pour tous les bons conseils et renseignements que nous trouvons. Le rabais de l’AVEQ est aussi un très bon incitatif. J’ai aussi ma borne EVDuty qui fonctionne très bien. Je crois avoir pas mal tout dit, à part que c’est une de mes meilleures décisions à vie. Merci d’avoir pris le temps de me lire. |
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