Christine Beaulieu, porte-parole de Roulons Électrique rencontre le Dr François Reeves, cardiologue
On évalue l’impact de la pollution atmosphérique au Québec et l’importance de l’électrification du transport pour endiguer l’impact négatif de la pollution aérienne et sonore. « La pollution atmosphérique est responsable à elle seule de 36 milliards $ de soins de santé au Canada et d’une fourchette, selon les études d’au moins 7 000 jusqu’à 20 000 décès prématurés au Canada » DR. François Reeves Une vidéo de 2,29 minutes qui mérite votre attention. Bon visionnement
Contribution: André H. Martel
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Des reportages intéressants et des informations pertinentes de la semaine pour nos électromobilistes.
Contribution: André H. Martel
Le nouveau chef libéral provincial et premier ministre désigné, Iain Rankin, a fait une campagne basée sur une plateforme promettant des incitatifs pour les véhicules électriques, une infrastructure de recharge élargie et davantage de transports en commun zéro émission.
La Nouvelle-Écosse a un nouveau premier ministre désigné et avec lui vient la promesse d'initiatives accrues en matière de véhicules électriques et de transport électrifié. Le 6 février, Iain Rankin a été élu nouveau chef du Parti libéral de la Nouvelle-Écosse, à la suite de la démission de l'ancien premier ministre Stephen McNeil. Une fois officiellement assermenté, Rankin aura l'opportunité de faire progresser sa plateforme de campagne, qui était beaucoup axée sur les questions environnementales. Dans un article du 6 décembre dernier où il dévoilait sa plateforme environnementale, Rankin avait déclaré : « la province a fait des progrès sur les questions environnementales, mais nous devons faire plus». Plus précisément, il a dit qu'il se concentrerait sur trois domaines: la conservation, la réduction des émissions et le transport. Plus spécifiquement, en ce qui concerne le transport, Rankin souhaite investir des fonds disponibles du programme fédéral, Investir dans les infrastructures du Canada, pour aider la province à ajouter plus d'autobus électriques et ajouter des traversiers écologiques et un nouveau service de traversiers entre le bassin de Bedford et le centre-ville de Halifax. Incitatifs pour véhicules et l’infrastructure de recharge Rankin prévoit créer des incitatifs pour véhicules électriques et les vélos électriques pour encourager l’achat de VÉ. Il souhaite également que tous les bâtiments gouvernementaux provinciaux et municipaux et les nouveaux développements commerciaux disposent d'une infrastructure de recharge de véhicules électriques. Les détails spécifiques de ces initiatives n'ont cependant pas encore été publiés. «Faire les bons investissements dans les infrastructures stimulera notre économie, mettra nos gens au travail et bâtira une Nouvelle-Écosse plus résiliente et mieux protégée contre les impacts d'un climat déjà changeant», a déclaré Rankin sur son blogue . «Nous devons travailler en collaboration avec nos partenaires fédéraux et municipaux pour réaliser rapidement ces investissements intelligents pour le développement d’une infrastructure verte, y compris l'infrastructure de transport collectif. Rankin a été élu pour la première fois comme député de la circonscription de Timberlea-Prospect en 2013 et réélu en 2017. Il a été à la fois ministre de l'Environnement et ministre des Terres et des Forêts. Electric Autonomy
Contribution: André H. Martel
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Contribution: André H. Martel
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Contribution: André H. Martel
Comment l'élection de Biden pourrait relancer l'adoption de véhicules zéro émission aux États-Unis12/11/2020
C’est tout un soulagement que la plupart des regroupements pour l'économie propre ressentent après la victoire historique du président élu Joe Biden et de la vice-présidente élue Kamala Harris le weekend dernier.
Les industries associées à la production des véhicules zéro émission, fournisseurs d'infrastructures, constructeurs automobiles, startups de mobilité représentent l'un des secteurs qui pourraient tirer le plus parti de la victoire de Biden. Le transport est la plus grande source d'émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis, et une administration Biden qui prend au sérieux le changement climatique fera de la lutte contre les émissions des transports une priorité. Voici cinq choses qui pourraient accélérer l’implantation des VZE à travers les États-Unis: Trump a réduit les normes d'émissions automobiles: plus tôt cette année, l'administration Trump a officiellement affaibli les normes fédérales d'émissions automobiles que l'administration Obama avait promulguées. L'administration Trump a confirmé une augmentation de seulement 1,5% des normes d'émissions de carbone par an jusqu'en 2026, tandis que le plan Obama visait 5% par an. Attendez-vous à ce qu'une administration Biden revienne non seulement aux normes d'émissions de l'ère Obama, mais les renforce considérablement, en mettant sur pied une politique zéro émission beaucoup plus agressive. La Californie a poursuivi l'administration Trump pour protéger son droit de fixer des normes d'émissions automobiles plus strictes que les nouvelles normes fédérales. Cette confrontation juridique devrait être annulée, car l'administration Biden ne contestera probablement pas la dérogation de la Californie en matière de gestion de qualité de l’air. Les États-Unis pourraient suivre les normes et la règlementation de la Californie concernant les VZE: si le gouvernement fédéral suit cet exemple, il pourrait s’inspirer de sa règlementation et de ses incitatifs VZE et les appliquer sur l’ensemble du territoire américain. Dan Lashof, du World Resources Institute, recommande à l'administration Biden d’établir la même norme de voiture propre que celle récemment promulguée par le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, qui interdit la vente de nouvelles voitures à essence à compter de 2035. Les États-Unis pourraient également accélérer la venue des véhicules commerciaux à zéro émission grâce à une législation telle que l'Advanced Clean Truck Rule, qui fixerait des délais pour convertir les camions et les bus en véhicules zéro émission. On recherche un nouveau leadeurship en matière de transport et d'air pur: avec la nouvelle administration, de nouveaux dirigeants auront un effet dramatique sur la reconstruction des règlementations climatiques et environnementales. Le groupe Politico a uune bonne idée des candidats potentiels qui intéressent l'administration Biden. plus spécifiquement ceux qui touchent les transports durables:
À surveiller: la construction d'une infrastructure VZE: plus tôt cette année, le président élu Joe Biden a révélé un plan climatique de 2 milles milliards de dollars qui implique plus spécifiquement des investissements dans l'infrastructure de recharge des véhicules électriques afin d’accélérer la reconstruction économique. Sur le site Web du groupe de transition de Biden, la nouvelle administration affirme qu'elle créera des millions de nouveaux emplois en finançant de nouvelles infrastructures et en investissant dans l'avenir d'une industrie automobile nationale. Le président élu affirme également qu'il financera également le développement du transport en commun urbain zéro émission, du tramway à une meilleure infrastructure cyclable en passant par le transport collectif urbain traditionnel. Anne Smart, vice-présidente des politiques publiques de la société de recharge EV ChargePoint, a déclaré: «Dans sa plateforme de campagne, le président élu Biden a mis l’accent sur le déploiement de bornes de recharge pour VÉ à travers le pays. Nous aurons la possibilité de transformer cette promesse en action par des initiatives telles que le Clean Corridors Act , qui entrainera des investissements importants pour la recharge des VÉ et créera des emplois dans tout le pays. " L'organisme à but non lucratif Veloz, axé sur la défense des véhicules électriques en Californie, a déclaré qu'il espérait voir l’administration Biden surmonter les trois obstacles à l'électrification des transports; le coût d’acquisition des VÉ; la construction d’une infrastructure de recharge; et une meilleure communication pour accroitre la sensibilisation du public à la situation et aux options qui lui sont offertes. Espoir de relance pour les bus électriques : si le gouvernement fédéral fournit des fonds pour inciter les villes à convertir leurs flottes en bus électriques, cela pourrait s’avérer une stratégie de relance efficace, a noté Lashof de WRI lors d'un appel conférence avec les médias lundi dernier. Pourquoi? Les bus électriques peuvent faire économiser de l'argent aux villes sur les coûts de carburant et d'entretien et également réduire la pollution atmosphérique, le seul obstacle en ce moment est leur coût d’acquisition. Si les fonds de relance permettent de réduire ou d’éliminer la différence entre le coût d’achat d’un bus diésel et d’un bus électrique, en offrant des incitatifs comme le fait déjà la Californie, cela ne pourrait qu’accélérer la transition vers les VZE. Katie Fehrenbacher Green Biz
Contribution: André H. Martel
Sondage: Les Québécois en faveur d’un effort accru pour financer l’électrification des transports10/2/2020
Les Québécois se sont clairement prononcés en faveur de différentes mesures d’écofiscalité qui visent à accélérer l’électrification des transports.
Au début de l’année, Équiterre, Vivre en ville, la Fondation David Suzuki et l’Association des véhicules électriques du Québec ont mandaté la firme de sondage Léger Marketing pour sonder la population québécoise sur le principe de redevance-remise pour les propriétaires de véhicules polluants.
Par exemple, à l’énoncé «le gouvernement du Québec devrait encourager, par différentes mesures fiscales, l’utilisation de véhicules moins polluants », 78% des répondants se disent favorables contre 16% qui se disent défavorables. À la question « êtes-vous favorable à ce que le gouvernement du Québec décourage les véhicules polluants et nuisibles à la lutte contre les changements climatiques en instaurant une nouvelle taxe? », 55 % des répondants se disent favorable contre 38 % qui se disent défavorables. Pour consulter le sondage : http://bit.ly/sondageRD «Les résultats du sondage démontrent que les Québécois et les Québécoises sont prêts à faire les efforts nécessaires pour accélérer l’électrification des transports et lutter contre l’un des principal responsable de la hausse des gaz à effet de serre (GES) du secteur des transports au Québec: les véhicules polluants» a souligné Jessie Pelchat, analyste des politiques publiques en transport chez Équiterre. Constats inquiétants de l’État de l’énergie 2020 Le Québec est un leader en matière de mobilité électrique, et il s’agit d’une source de fierté. Malgré l’engouement des Québécois pour les véhicules électriques, toutefois, le secteur du transport routier fait marche arrière par rapport aux objectifs climatiques qu’il doit atteindre. Trois constats inquiétants tirés de l’État de l’énergie 2020 démontrent la nécessité pour le gouvernement d'agir dès maintenant pour inverser la courbe en transport: Les ventes d’essence ont atteint un sommet sans précédent: Alors que la stratégie énergétique gouvernementale vise une diminution de la consommation de produits pétroliers de 40 % en 2030 par rapport à 2013, nous avons plutôt observé une augmentation de la consommation d’essence de 24 % de 2013 à 2018. Le parc de véhicule croît plus rapidement que la population: depuis 1990, on observe une augmentation de 65 % du nombre de véhicule personnel, soit une hausse près de trois fois plus importante que la croissance démographique de la province (+19 %); Les Québécois continuent massivement d'acheter des gros véhicules polluants: depuis 2015, les ventes de gros véhicules polluants ont surpassées les ventes de voiture plus écoénergétiques. Ceux-ci représentaient 41 % du parc automobile et 64 % de la part de vente de véhicules neufs en 2018, soit une augmentation de près de 263 % depuis 1990. « Les gains réalisés en efficacité énergétique des véhicules automobiles depuis une décennie ont été effacés par l’augmentation de la taille, du poids, et du nombre de grosses cylindrées sur nos routes. Cette tendance alimentée par l’industrie automobile contribue à l’endettement des ménages et rend impossible l’atteinte de nos objectifs de lutte aux changements climatique. Le gouvernement doit agir! » a déclaré Karel Mayrand, directeur général pour le Québec et l’Atlantique à la Fondation David Suzuki. Une mesure essentielle pour réussir l’électrification des transports Les experts à travers le monde s'entendent: pour atteindre la cible de réduction de GES, nous devons non seulement inverser la tendance à l’accroissement perpétuel de la part des véhicules polluants dans le parc automobile mais aussi accélérer l’électrification des transports. Pour se donner les moyens de maintenir le soutien financier à l’électrification des transports, le gouvernement du Québec doit mettre en place un fonds autofinancé par un système de redevance-remise. Le principe est simple: lors de l’achat (ou de l’immatriculation) d’un véhicule, inciter financièrement les Québécois à choisir un véhicule zéro-émission (VZE), et financer cette subvention en instaurant une contribution à l’électrification des transports (redevance) pour les propriétaires de véhicules énergivores et polluants. Il s’agirait donc bel et bien d’un fonds autofinancé sans impact négatif sur l’économie. L’ampleur de la contribution à l’électrification serait proportionnelle aux GES émis par les véhicules à essence. La mise en place d’un tel système permettrait de générer assez de recettes pour financer les programmes d’incitatifs à l’achat de véhicules électriques et d’autres projets d’électrification des transports. De plus, elle permettrait de réduire le nombre de véhicules personnels et le nombre de véhicules polluants dans le parc automobile, une condition sine qua non pour atteindre les cibles de réduction de GES en transport. «Un appui financier à l’achat des véhicules électriques continuera d’être nécessaire si le Québec veut atteindre des objectifs ambitieux d’électrification des transports et de réduction des émissions polluantes d’ici 2030. Il apparaît nécessaire et raisonnable que les propriétaires de véhicules polluants fassent leur part en payant une contribution à l’électrification. En liant cette redevance à la subvention à l’achat dans un d’un programme autofinancé, le Québec se dotera d’une mesure d’écofiscalité qui accélèrerait la transition vers les véhicules à faibles émissions sans grever les finances publiques» a affirmé Christian Savard, directeur général chez Vivre en ville. Une norme VZE plus ambitieuse De plus, afin d’assurer une offre suffisante de VZE permettant de répondre à la demande croissante des consommateurs qui souhaitent faire le saut à l’électrique, le gouvernement doit revoir à la hausse les ambitions de la norme sur les VZE. Adoptée en 2018, cette norme exige aux constructeurs automobiles de mettre à la disposition des consommateurs québécois un plus grand nombre et un plus large éventail de VZE. Le but de la norme VZE est de stimuler le marché automobile pour qu’il développe davantage de modèles. Or, les exigences de la norme ne sont pas suffisamment ambitieuses pour satisfaire la demande croissante pour ces véhicules. En effet, les estimations de ventes prévues par la norme ne tiennent pas compte de l’engouement grandissant des Québécois pour les VZE. De plus, le manque d’inventaire demeure un frein important à leur adoption. Nous demandons au gouvernement du Québec de revoir les paramètres de la norme actuelle afin d’atteindre 100% de vente de VZE d’ici 2030. «Il nous apparaît critique de bonifier la norme VZE dont s’est dotée le gouvernement en 2018 afin d’atteindre ses objectifs de 100 000 véhicules électriques dès la fin de cette année, et de 300 000 d’ici 2026. Cette norme devait offrir aux consommateurs une disponibilité suffisante de véhicules chez les concessionnaires, mais on remarque maintenant que les constructeurs offrent le strict minimum sur le marché selon les barèmes peu exigeants de la présente loi. En 2020, il est inacceptable que des listes d’attente pour accéder à un VÉ existent encore chez les concessionnaires québécois, et nous devons absolument remettre les pendules à l’heure» a affirmé Simon-Pierre Rioux, président-fondateur de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVÉQ). « Avoir des objectifs ambitieux ne suffit plus dans un contexte de crise climatique. Le Québec doit prendre des mesures audacieuses pour freiner la hausse inquiétante des gros véhicules polluants sur nos routes, et ce, dès maintenant », exige Catherine Gauthier, directrice générale d’ENvironnement JEUnesse. « Nous ne pouvons plus attendre. Chaque fois qu’une mesure climatique est repoussée à plus tard, c'est une partie de notre futur qui part en fumée. » Si le gouvernement du Québec se saisit sérieusement de la crise climatique et souhaite atteindre ses cibles de réduction de GES, la mise en place de ces mesures qui entraîneront des changements de comportements est essentielle. La réussite du futur plan Électrification et changements climatiques (PECC) en dépend. Équiterre
Activités et informations de la semaine pertinentes pour les électromobilistes québécois
Contribution: André H. Martel
Québecor a l’intention d’électrifier la « quasi-totalité » de ses 1100 véhicules d’ici 2030 pour lutter contre les changements climatiques. Le projet est évalué à 17,5 millions $ par l’entreprise, qui demande une aide financière d’environ 5 millions $ à Québec.
Le président et chef de la direction de Québecor, Pierre Karl Péladeau, a fait l’annonce mercredi aux studios MELS, à Montréal.
Le plan d’électrification des transports de Québecor touchera à terme la quasi-totalité de ses quelque 1100 véhicules, parmi lesquels on compte déjà une trentaine de voitures électriques. Après avoir racheté à titre personnel la marque de taxis électriques Téo Taxi, Pierre Karl Péladeau a annoncé mercredi que Québecor électrifierait la majeure partie de son parc automobile d’ici à 2030. M. Péladeau a présenté le projet aux studios MELS, dans la métropole. La compagnie prévoit acheter de nouvelles voitures roulant à l’électricité, mais aussi convertir plusieurs de ses fourgonnettes et camions légers. D’ici 2024, le géant des télécommunications procèdera à l’électrification de 200 des 900 véhicules de Vidéotron. Le Groupe TVA va pour sa part acheter 60 véhicules et réduire de 10 % la taille de son parc de véhicules d’ici 2024. « C’est le rôle des entreprises d’assurer le leadership de la protection de l’environnement. C’est encore plus pertinent au Québec, où l’électricité est verte et renouvelable », a soutenu M. Péladeau. Avec cette annonce, Vidéotron deviendra la première entreprise de télécommunications au pays à devenir 100 % électrique. Le Groupe TVA devient quant à lui la première entreprise médiatique à faire de même au Québec. Les véhicules qui sont la propriété de sous-traitants ou d’employés ne sont pas visés par cette annonce. Plus de 14 millions de dollars seront nécessaires pour transformer les 200 véhicules de Vidéotron et pour « procéder à l’achat de bornes électriques et à la mise à niveau des infrastructures », précise l’entreprise propriétaire du Journal. Pour ce faire, Vidéotron entend notamment demander une aide financière de 5 millions de dollars de la part du gouvernement du Québec. Interrogé à ce sujet, le ministre de l’Énergie, Jonatan Julien, s’est engagé à revoir les mesures d’aide actuelles pour encourager les entreprises à électrifier leurs véhicules. « C’est sûr qu’on est pour l’électrification des transports [...], que ce soit les IGA de ce monde ou les Vidéotron », a signalé le ministre Julien. « Je crois que ça doit passer par [...] Transition énergétique Québec. [...]. C’est un programme qu’on va réviser », a-t-il ajouté. « C’est le rôle des entreprises d’assurer le leadership de la protection de l’environnement. C’est encore plus pertinent au Québec, où l’électricité est verte. » – Pierre Karl Péladeau, PDG de Québecor – Avec la collaboration de Marc-André Gagnon et Pierre-Paul Biron ♦ Le gouvernement du Québec s’est engagé à faire reculer les émissions de GES de 37,5 % sous leur niveau de 1990 d’ici 2030. Un reportage de : Philippe Orfali Journal de Montréal
Contribution: André H. Martel
Un autobus scolaire électrique Lion
La Compagnie Électrique Lion (Lion) vient d’effectuer la livraison des cinq premiers autobus scolaires 100% électriques sur une possibilité de deux cents financés par le programme de remplacement d’autobus scolaires de la California Energy Commission.
Ce programme constitue le plus grand déploiement d’autobus scolaires électriques en Californie, mais également en Amérique du nord.
Pour obtenir les subventions les plus avantageuses, Lion avait pour objectif de livrer 5 % de ses contrats avant la fin de l’année, chose qui est présentement accomplie. Ce sont donc cinq autobus scolaires qui ont été livrés à la Commission scolaire Twin Rivers Unified, dans la région de Sacramento, pour marquer le début d’un déploiement historique pour la Californie. « La Commission scolaire Twin Rivers Unified est honorée d’être l’une des organisations recevant des autobus électriques par le biais du programme de remplacement d’autobus scolaire de la California Energy Commission. C’est une excellente journée pour nos étudiants et notre communauté d’ajouter ces dix nouveaux autobus à notre flotte actuelle de 25 autobus électriques », mentionne le directeur du transport de la Commission scolaire Twin Rivers Unified, Timothy Shannon. En plus de faire de cette Commission scolaire le plus grand parc d’autobus scolaires électriques aux États-Unis avec dix-sept autobus LionC, cinq autres LionC seront livrés cette semaine aux Commissions scolaires Durham Unified et Baldwin Park Unified. Nancy I. Leon, l’assistante Exécutive Sénior de la Commission scolaire Baldwin Park Unified déclare ; « La Commission scolaire Baldwin Park Unified fait fièrement les premiers pas vers l’élimination de notre empreinte de carbone en introduisant pour la première fois des autobus scolaires électriques à notre flotte alors que nous nous efforçons d’offrir un environnement d’apprentissage positif et d’enseigner à nos étudiants les principes de l’écocitoyenneté. » Nate Baguio, Vice-Président aux ventes de la Compagnie Électrique Lion dit ; « J’aimerais remercier la California Energy Commission pour leur leadership dans la promotion de la santé des enfants et pour l’amélioration de la qualité de l’air pour nos communautés. Lion se réjouie de travailler conjointement avec la Commission pour livrer plusieurs autres véhicules à travers l’État. De plus, nous sommes reconnaissants envers nos nouveaux clients, tout comme envers nos clients récurrents, d’avoir choisi Lion, son équipe, son service et ses véhicules zéro émission pour une avenir plus sain pour nos enfants, nos communautés et notre planète. » À propos de la California Energy Commission Le programme de remplacement des autobus scolaires de la California Energy Commission offre l’opportunité aux Commissions scolaires de recevoir jusqu’à dix autobus scolaires zéro émission, en plus de fournir leurs infrastructures de recharge. Les Commissions scolaires participantes ont été sélectionnée en fonction de l’âge de leur parc de véhicules et des critères propres aux communautés désavantagées. Le programme a pour but de prévenir la pollution de l’air par les particules de diesel en limitant le renouvèlement des véhicules fonctionnant à ce combustible. « Les autobus scolaires sont de loin le moyen le plus sécuritaire de se rendre à l’école. Toutefois, les autobus fonctionnant au diesel ne sont pas sains pour le développement du système respiratoire des enfants, une cible particulièrement vulnérable à la pollution atmosphérique. Faire la transition pour des autobus scolaires électriques qui ne contribuent aucunement à la pollution offre aux enfants et à notre communauté une meilleure qualité de l’air ainsi que des bénéfices pour la santé publique, » annonce la commissionnaire de l’énergie Patty Monahan. « La California Energy Commission est fière de supporter cette transition qui saura protéger la santé des enfants à travers l’État, une initiative qui aidera tous les californiens à respirer plus librement. » À propos de La Compagnie Électrique Lion Lion est un fabricant innovant de véhicules zéro émission. La compagnie pense, conçoit et produit des autobus et des minibus 100 % électriques, conçus pour le transport scolaire, adapté et collectif, ainsi que des camions commerciaux urbains électriques. Lion est un leader en électrification des transports en Amérique du Nord. Lion est la première compagnie à avoir fabriqué des autobus zéro émission et le seul manufacturier d’autobus scolaires électriques avec plus de 4 millions de kilomètres à l’odomètre. Plus d’une centaine d’autobus scolaires LionC roulent actuellement sur les routes en Amérique du Nord. La Compagnie Électrique Lion conçoit et assemble toutes les composantes de ses véhicules : châssis, ensemble de batteries ainsi que le fourgon. À la fine pointe des technologies, les véhicules Lion possèdent des caractéristiques uniques, spécialement adaptées aux besoins quotidiens de leurs utilisateurs. Nous sommes convaincus que la transition vers l’électrification des transports entrainera des améliorations majeures au sein de notre communauté, de notre environnement et de notre qualité de vie. La compagnie électrique Lion
Contribution: André H. Martel
Évènements ou informations de la semaine qui intéressent plus spécifiquement les électromobilistes du Québec
Contribution: André H. Martel
Informations ou évènements d'intérêt pour nos électromobilistes québécois
Contribution: André H. Martel
TRANSPORT 360° : Projet d’accompagnement des entreprises vers l’électrification de leurs transports26/5/2019
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https://fr.surveymonkey.com/r/Y6GNN7F)
Sherbrooke veut plus de bornes de recharge
Les élus souhaitent par exemple des mesures qui forceraient des commerces, institutions ou industries à aménager des bornes de recharge électrique dans des stationnements où le public peut circuler. Les services municipaux évalueront plusieurs scénarios qui seront présentés au conseil.
La Tribune
Électrification des transports : Plessisville remporte le prix Villes électromobiles
La Ville de Plessisville a raflé les honneurs des prix Villes électromobiles, décernés lors de la Conférence et du Salon commercial EV2019VÉ qui se déroulent cette semaine du côté de Québec.
Au sein de ce concours pancanadien, Plessisville s’est distinguée dans la catégorie des municipalités de moins de 50 000 habitants. La Nouvelle union
Le CREL sensibilise pour un premier évènement à L’Assomption
Le premier évènement Essais routiers du projet La mobilité durable, ça me branche se tiendra dans la MRC L’Assomption le 28 mai prochain de 9h à 12h au 399 rue Dorval, L'Assomption, QC. Ce dernier permettra aux intéressés d’en savoir plus sur l’électrification des transports.
Hebdo Rive Nord
Le programme Roulez vert roule à fond de train
Les demandes de rabais de Roulez vert pour l’achat de véhicules électriques et hybrides rechargeables ont bondi de plus de 130% depuis un an, ce qui occasionne des défis opérationnels « très grands » pour la société d’État Transition énergétique Québec, responsable du programme.
Les concessionnaires automobiles doivent faire preuve de patience, car les délais de remboursement actuels peuvent aller jusqu’à dix semaines, ce qui représente deux à quatre semaines de plus qu’à pareille date l’an dernier. Guide de l’auto
Contribution: André H. Martel
C'est chaque jour de plus en plus clair que l'avenir des transports est électrique. Nous devrions encourager cette transition car, en plus des avantages pour les conducteurs, l'électrification des transports constituera un élément essentiel de la lutte contre le changement climatique.
Malheureusement, pour de nombreux observateurs, le scepticisme à l'égard des véhicules électriques est devenu un acte de foi. Enfouis dans un ensemble de faits obsolètes, les opposants aux véhicules électriques avancent les mêmes arguments qu'ils ont avancés pendant des années, alors même que la technologie évolue drastiquement.
Prenez le chroniqueur George Will, qui a lancé une campagne contre les véhicules électriques la semaine dernière . En jetant le doute sur la viabilité des véhicules électriques, Will révèle qu'il n'a pas mis à jour sa compréhension de la technologie ou du marché depuis une décennie. Son argument repose sur des preuves obsolètes, trompeuses et tout simplement fausses, sapant complètement la pertinence de sa thèse. Voici la vérité. Les véhicules électriques sont considérablement plus propres que les voitures à essence et cet avantage ne fait qu'augmenter avec le temps. La production d’électricité à base de charbon diminue de plus en plus et la part de notre électricité produite à partir de sources renouvelables augmente. En effet, Will insiste par inadvertance sur ce point dans son article. Il fait remarquer que 27% de notre électricité provient de centrales au charbon, mais il ne tient absolument pas compte du fait qu’une décennie plus tôt, le charbon était la plus grande source d’électricité avec près de la moitié (48%) de toute la production . Nous sommes sur le bon chemin. Les véhicules électriques sont moins coûteux à utiliser et à entretenir que les véhicules à essence traditionnels . Alors que le prix du pétrole est volatile, le coût de l'électricité est bas et stable, et dans la plupart des villes, la conduite d’un véhicule électrique peut permettre à un ménage d'économiser des centaines de dollars chaque année. Et avec la croissance du marché, le prix des véhicules électriques a chuté de manière spectaculaire: 80% des véhicules électriques vendus en 2018 ont un prix de détail suggéré inférieur à 50,000 USD.
La production d'électricité à partir du charbon a considérablement diminué au cours de la dernière décennie, parallèlement à l'augmentation de la production de gaz naturel et d'électricité renouvelable. Le remplacement des centrales à charbon par des sources d’électricité renouvelables rendra les véhicules électriques encore plus propres. La production d’énergie nucléaire et hydroélectrique n’est pas mentionnée car elles sont demeurées inchangées à 20 et à 7% de la production, respectivement.
Source: US Energy Information Administration
Ce passage à une électricité plus propre signifie que passer de l'essence à l'électricité pour alimenter nos voitures et nos camions réduira les émissions liées au réchauffement de la planète. Notre analyse la plus récente (basée sur les statistiques de production d'électricité de 2016) démontre que la moyenne des véhicules électriques alimentés aux États-Unis produit des émissions de réchauffement de la planète équivalentes à celles d'une voiture à essence de 2.95 L / 100 km. Et ce nombre est encore meilleur dans certaines régions des États-Unis, comme la Californie et les États du Nord-Est, où le charbon est en baisse et les énergies renouvelables plus importantes.
En plus d’être la principale source d’émission de réchauffement de la planète aux États-Unis, le transport est également une source majeure de pollution de l’air qui nuit à la santé publique . La réduction de la pollution causée par les tuyaux d'échappement aura de réels avantages pour les habitants des villes densément peuplées ou le long des principales autoroutes. Un avenir électrique n’est pas seulement l’espoir des propriétaires et des ingénieurs de véhicules électriques. Les constructeurs automobiles et les gouvernements du monde entier se tournent de plus en plus vers un avenir électrique comme moyen de réduire la consommation de pétrole, de réduire les risques de changement climatique et de bâtir un avenir plus propre et plus durable. Les principaux constructeurs automobiles, dont Volkswagen, General Motors et Toyota, ont tous explicitement déclaré qu’ils pensaient que l’avenir était électrique. Nous nous dirigeons décidemment vers un avenir électrique mais nous avons intérêt à ce que cela se produise rapidement, car l'urgence de la crise climatique l'exige et parce que nous ne pouvons pas nous permettre de rester à la traîne alors que le monde évolue vers l'innovation de nouvelles technologies. C'est pourquoi il est toujours logique que le gouvernement fédéral encourage l'adoption des véhicules électriques. Nous devons créer un marché de l'électricité fort et maintenir la compétitivité des États-Unis dans un monde soucieux de réduire les émissions de carbone. Les entreprises donneront la priorité à la recherche, au développement et à la fabrication lorsque les politiques encourageront le développement les véhicules électriques. Le retrait anticipé des incitatifs liés aux voitures électriques pourrait nuire aux constructeurs américains alors que les manufacturiers automobiles mondiaux donnant la priorité au progrès. En insistant sur le fait que ces incitatifs sont inutiles, Will utilise des données obsolètes et trompeuses. Par exemple, il écrit «après une décennie de production et de subventions, les voitures électriques ne représentent qu'une fraction de 1% de toutes les ventes de véhicules». La vérité est bien différente: en 2018, 7 ans, après le lancement de la Nissan LEAF et de la Chevy Volt, les véhicules électriques ont représenté 2% des ventes de voitures neuves aux États-Unis et 8% du marché californien. Les ventes sont en progression constante et génèrent de réelles économies d’échelle pour le secteur des véhicules électriques, mais les prochaines années seront cruciales pour que les véhicules électriques atteignent la parité avec le prix d’achat des véhicules classiques. M. Will reprend également l’argument favori de l’administration actuelle: les voitures et les camions américains ne représentent qu’une partie des émissions mondiales, alors pourquoi se donner la peine de passer à une technologie plus propre? Oui, nos voitures et nos camions ne sont pas la seule source d'émissions, mais ils sont une source croissante aux États-Unis. Et pour éviter les effets du changement climatique, nous devons réduire considérablement les émissions de tous les secteurs, transports inclus. Les États-Unis ont subi des augmentations de coûts considérables à la suite de catastrophes liées au changement climatique, et le gouvernement fédéral avertit déjà que les coûts futurs du réchauffement planétaire pour les États-Unis pourraient représenter des centaines de milliards de dollars par an en raison des décès dus à la chaleur extrême, de pertes de productivité du travail et de dommages d'inondations côtières. Mettre en œuvre des politiques comme prolonger le crédit d’impôt fédéral sur les véhicules électriques afin de réduire les émissions des transports est donc logique. Enfin, George Will a également induit le public en erreur concernant le revenu moyen des bénéficiaires du crédit d’impôt fédéral sur les véhicules électriques. L'analyse qu'il mentionne ne porte que sur les premiers achats de voitures électriques antérieurement à 2014 et ignore totalement les contrats de location de voitures électriques. Étant donné que de nombreuses voitures électriques moins chères ont été louées et que certaines ne sont disponibles que pour la location, les données sur les revenus présentées sont faussées concernant les acheteurs à revenus plus élevés. Le refus de Will d'examiner les derniers éléments de preuve mine sa thèse contre les incitatifs relative aux véhicules électriques. Le monde réel a dépassé ses arguments obsolètes, et refuser de mettre à jour sa compréhension signifie qu'il est malhonnête avec ses lecteurs. Union of Concerned Scientists Contribution: André H. Martel
VE Passion effectue une réflexion sur l'impact des VÉ avec l'environnement
Pour aborder la question, il présente une comparaison entre une voiture à combustion et une voiture électrique et effectue une remise en question de nos modes de transport. Il souligne également le potentiel qu'offre la voiture électrique.
L’édition 2019 de la brochure intitulée «Choisir un véhicule rechargeable qui répond à vos besoins» est maintenant disponible. Cette 4e édition du document s’intègre à la campagne Roulons électrique, qui vise à accélérer la promotion du véhicule électrique au Québec avec l’objectif d’atteindre 100 000 véhicules électriques d’ici la fin de 2020.
Cette brochure vulgarise bien tout ce qu’il y a à savoir pour bien choisir son véhicule électrique. On y démystifie aussi les grandes questions comme l’estimation de l’autonomie réelle nécessaire, l’hiver en véhicule électrique ou la fiabilité des véhicules rechargeables et le cycle de vie (impacts environnementaux), et bien d’autres choses encore ! La version imprimée sera disponible lors de différents événements d’essais ou salons, comme au récent Salon de l’auto de Montréal où plusieurs milliers d’exemplaires ont été distribués. La brochure est une réalisation de l’Institut du véhicule innovant (IVI) dans le cadre de la campagne Roulons électrique coordonnée par Équiterre avec le soutien financier de Transition énergétique Québec. Une version électronique (PDF) peut être téléchargée ici.
Alors qu’il commente le besoin légitime de trouver de nouvelles sources de financement pour le transport en commun montréalais, le président de Trajectoire Québec, François Pépin, écorche au passage le véhicule électrique. L’AVÉQ tient à dénoncer ces propos qui donnent de l’eau au moulin à ceux qui opposent transport en commun et électrification des transports routiers.
Tel que rapporté par Zacharie Goudreault du journal Métro, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) lance une consultation publique pour sonder la population sur l’avenir du transport en commun dans le Grand Montréal.
L'AVÉQ salue l’initiative de l’ARTM, mais ne pouvons laisser passer la déclaration malheureuse de François Pépin, qui a travaillé auprès de l’ARTM dans la réalisation de cette plateforme.
De tels propos sont pour le moins réducteurs. Certains pourraient y voir que la transition vers la voiture électrique nuit au financement du transport en commun. Pourtant, on révèle plus loin dans l’article que la taxe sur l’essence ainsi que celle sur l’immatriculation (combinées) ne représentent que 5 % du financement du transport en commun dans le Grand Montréal.
Notez au passage que, si les voitures électriques de la région de Montréal se soustraient au paiement de la taxe sur l’essence, elles paient toujours leur part de taxe sur l’immatriculation… En opposant ainsi la voiture électrique et le transport en commun, le président de Trajectoire Québec fait - de façon involontaire - le jeu des opposants à l’électrification des transports, partisans du statu quo et de l’attentisme. Monsieur Pépin devrait plutôt dû mettre l'accent sur la dépendance aux taxes sur l’essence - même si ce n’est que de 5 % - dans le budget d’exploitation du transport en commun montréalais. C’est cette même dépendance aux revenus pétroliers «pour payer l’épicerie» qui enchaîne le gouvernement fédéral et l’empêche de se lancer dans une véritable transition énergétique. Les revenus de la taxe spéciale sur le pétrole et les immatriculations dans la grande région de Montréal devraient plutôt être consacrés exclusivement au DÉVELOPPEMENT du réseau de transport en commun montréalais… pas à son exploitation ! En aucun cas, Trajectoire Québec ne devrait laisser planer que l’adoption spectaculaire du véhicule électrique nuit au financement du transport en commun. Le transport en commun et le véhicule électrique ne sont pas en opposition. Ils sont complémentaires dans cette recherche d’un monde plus propre, plus vert, pour nos enfants.
Ford – Volkswagen : vers un rapprochement dans les véhicules électriques et autonomes; Honda se joint à GM pour s’opposer vivement à la proposition du président Trump de geler le programme d’économie d’énergie; Une entreprise allemande se lance dans l'extraction, la transformation et la fabrication de piles au lithium autour du gisement de lithium bolivien; Sherbrooke va de l’avant avec ses trottinettes électriques; Voici un aperçu des actualités électromobiles de la journée. Pour augmenter la taille des images ou lancer une vidéo, vous pouvez cliquer dessus. Bonne lecture!
Contribution: André H. Martel
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